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Sondage « Baisse » d’impôts pour les classes moyennes : 80 % n’y croient pas

Sondage « Baisse » d’impôts pour les classes moyennes : 80 % n’y croient pas

Selon dernier sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, Les Français ne croient pas aux promesses de Macron concernant la baisse d’impôts pour les classes moyennes et estiment au contraire Emmanuel Macron favoriserait à l’inverse les plus «favorisés» pour 80% des sondés. Ces ménages qui se sentent lésés ne croient pas plus au changement de braquet du chef de l’État : 62% d’entre eux ne pensent pas qu’ils bénéficieront des baisses d’impôts promises par le gouvernement.

L ‘écrasante majorité des Français (71%) disent appartenir à ces catégories de revenus, alors qu’elles ne concernent que 50% de la population. Un positionnement «erroné», selon l’institut, mais qui témoigne néanmoins d’une perte de «pouvoir d’achat», ressentie par toutes les tranches confondues (95% des sondés). En cause, une inflation galopante, à près de 6% sur un an, avec près de 15% de hausse pour les seuls prix de l’alimentation.

La quasi-totalité des plus «aisés» (92%) se positionnent ainsi presque toujours parmi «les classes moyennes». Ils ne sont d’ailleurs que 6% à se définir «aisés», alors que ceux-ci représentent 20% de la population. Cette tendance à la «sous-estimation» se confirme notamment au sein des vraies «classes moyennes», puisque 77% des ménages concernés se positionnent dans la tranche inférieure : 60% se voient comme des «classes moyennes inférieures», et même pour certains (17%) parmi les «foyers aux revenus modestes». Un sentiment de déclassement économique auquel les promesses ne semblent donc rien changer.

Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Baisse des impôts des couches moyennes : du pipeau !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : du pipeau !

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : du pipeau !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le phare sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue. Notons enfin la modestie de l’éventuelle ristourne qui représenterait de l’ordre de 20 € pour les bénéficiaires potentiels !

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le par sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment

Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le par sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Baisse de la fiscalité pour les « classes moyennes » !!!!

Baisse de la fiscalité pour les « classes moyennes » !!!!

Dans son entretien fleuve à L’Opinion, le chef de l’État a défendu sa réforme des retraites en regrettant «le déni de réalité» de ses opposants. Pour autant, le chef de l’État promet, lui, une baisse de la fiscalité pour les classes moyennes. Le seul problème , c’est que les finances publiques sont dans un état pitoyable avec notamment un déficit annuel du budget de leur de 6 % du PIB, une dette qui dépasse 3000 milliards et une charge de la dette de plus de 50 milliards par an. Comment dès lors, promettre une baisse de la fiscalité -au concept de flou- des classes moyennes. En effet ces classes moyennes rassemblent environ 70 % de la population par exemple comprend les infirmières, les commerçants, les médecins, les fonctionnaires etc.

La vérité c’est que ce discours constitue un élément de la politique de communication du chef de l’État qui essaye de reprendre du crédit auprès de l’opinion. On observera d’ailleurs que le chef de l’État se montre une nouvelle fois relativement centraliste et étatiste en agissant sur le volet fiscal alors que la question est surtout économique et que salaire et rémunération doive être relevéspar les opérateurs économiques.

Sur la réforme des retraites, Emmanuel Macron ne regrette rien. Ou presque. «Si j’ai un regret, c’est que nous n’ayons pas réussi à expliquer suffisamment la nécessité de cette réforme», a-t-il expliqué dans un entretien publié dimanche par L’Opinion. Le chef de l’État estime donc que «le travail de conviction doit se poursuivre», tout en déplorant «le déni de réalité» de ses opposants. «C’est le carburant des extrêmes», a-t-il mis en garde. Le problème c’est que Macron fait aussi dans la démagogie et l’irresponsabilité

Impôts : promesses de baisse pour les « classes moyennes »

Impôts : promesses de baisse pour les « classes moyennes »

En difficulté dans les sondages, le gouvernement a décidé de cibler les « couches moyennes » ( (concept très floue qui peut aller du petit fonctionnaire au médecin en passant par le commerçant) et annonce des réductions d’impôts les concernant. Reste que les marges de manœuvre du gouvernement sont relativement faibles compte tenues de l’endettement actuellement autour de 3000 milliards et qui génère une charge financière annuelle autour de 50 milliards. Les modalités et l’ampleur de ces réductions d’impôts n’ont pas fait l’objet de précisions de la part de Gabriel Attal en charge du budget.

Le 18 avril, le ministre des Comptes publics avait déclaré vouloir « continuer à bâtir un plan Marshall (ndlr : terme généralement utilisé pour désigner un paquet de mesures assorties d’une enveloppe budgétaire importante) pour les classes moyennes » pour leur permettre de « mieux vivre » de leur travail. Outre la possibilité de mesures supplémentaires pour le pouvoir d’achat des classes moyennes, cela nécessite selon lui d’agir sur l’organisation du travail et de garantir « un meilleur accès aux services publics ». On distingue mal ce qui peut lier la réduction d’impôt et la modification de l’organisation du travail ou l’accès aux services publics !

Gabriel Attal prévoit par ailleurs de dévoiler dans les prochaines semaines un plan de lutte contre les fraudes fiscales et sociales. Le président de la République avait déjà promis « des annonces fortes dès le mois de mai » pour lutter contre ces fraudes. Là encore les objectifs et les modalités demeurent assez obscures

Croissance mondiale 2023: en dessous des moyennes habituelles

Croissance mondiale 2023: en dessous des moyennes habituelles

Le Fonds monétaire international (FMI) s’attend à ce que la croissance économique mondiale passe sous les 3% en 2023 et reste autour de cette barre pour les cinq prochaines années, a déclaré jeudi sa directrice générale Kristalina Georgieva, évoquant en outre des risques accrus de détérioration de la conjoncture. Le FMI n’avait pas publié d’aussi faibles prévisions à moyen terme depuis 1990, bien en dessous de la croissance moyenne de 3,8% observée au cours des deux dernières décennies. Pour rappel, la croissance a été de 3,4% en 2022.

Des mesures monétaires et budgétaires énergiques prises pour faire face à la pandémie de Covid-19 et à la guerre en Ukraine ont permis d’éviter une situation bien pire ces dernières années, a assuré Kristalina Georgieva, mais les perspectives de croissance restent faibles à cause de l’inflation. « Alors que les tensions géopolitiques s’intensifient et que l’inflation reste élevée, une reprise vigoureuse reste insaisissable, ce qui compromet les perspectives de tous, en particulier les personnes et les pays les plus vulnérables », a-t-elle observé.

Kristalina Georgieva a indiqué que l’Inde et la Chine devraient représenter la moitié de la croissance mondiale cette année, mais qu’environ 90% des économies avancées verraient leur taux de croissance diminuer.

Sondage 2022 : des moyennes de moyennes !

 

Le Figaro y compris se livre à l’exercice de moyennes de moyenne de sondages qui n’a guère de signification en tout cas qui méthodologiquement est très critiquable. Il n’est guère pertinent de faire des moyennes sur des moyennes mais cela permet d’alimenter la chronique en même temps que les critiques. Bref des chiffres à prendre vraiment avec des pincettes en tout cas à resituer dans des marges d’erreur de 3 à 5 %.

 

 

Exemple en tenant compte des marges d’erreur, les intentions de vote pour Yannick Jadot oscillent entre 2.97% et 9.91%

Emmanuel Macron

24.3%24.3%

Marine Le Pen

17.1%17.1%

Valérie Pécresse

16.0%16.0%

Eric Zemmour

13.8%13.8%

Jean-Luc Mélenchon

9.7%9.7%

Yannick Jadot

5.0%5.0%

Christiane Taubira

4.4%4.4%

Fabien Roussel

3.3%3.3%

Anne Hidalgo

2.9%2.9%

Nicolas Dupont-Aignan

1.7%1.7%

Source : NspPolls

Dernière mise à jour le 09/02/2022

Covif France 12 novembre: moyennes en hausse

Covid France  12 novembre: moyennes en hausse

 

Ce vendredi 12 novembre, 3.860 nouveaux cas de Covid-19 ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France, soit un total de 7.260.503 cas confirmés depuis le début de l’épidémie.

Le taux de positivité des tests s’établit à 3,3%, une donnée stable depuis la veille. Le nombre de malades du Covid-19 hospitalisés s’établit à 7.046 (+94 en 24h), dont 1.182 dans les services de réanimation (+37 en 24h). En 24 heures, 48 personnes ont succombé au Covid à l’hôpital. Le bilan total s’élève à 118.121 morts depuis le début de l’épidémie, dont 91.224 à l’hôpital.Depuis le début de la campagne de vaccination en France, 51.471.669 personnes ont reçu au moins une dose de vaccin.

Forte progression des moyennes

Forte progression des indicateurs notamment avec environ 7000 contaminations en moyenne par jour alors que nous étions sur des moyennes précédentes de l’ordre de 5000.En hausse dans toutes les régions, le taux d’incidence corrigé dépassait 100 cas pour 100 000 habitants dans 21 départements. En cette deuxième semaine des vacances scolaires, le recours au dépistage était de nouveau en baisse chez les moins de 20 ans mais a augmenté chez les 50 ans et plus. En Outre-mer, une forte hausse du taux d’incidence corrigé était observée pour la deuxième semaine consécutive à La Réunion. Au 09 novembre, 76,6% de la population avait reçu au moins une dose de vaccin et 75,0% était complètement vaccinée. Parmi les 65 ans et plus, 24,2% avaient reçu une dose de rappel. Dans un contexte d’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 et des virus hivernaux, notamment chez les plus âgés, il est primordial d’encourager la vaccination des personnes non encore vaccinées ainsi que l’administration du rappel aux 65 ans et plus et aux autres groupes éligibles. Il reste également nécessaire d’associer la vaccination au maintien de l’adhésion aux gestes barrières à un haut niveau, compte tenu de l’intérêt de ces mesures pour contenir l’épidémie de COVID-19 (et les infections aux autres virus hivernaux) et préserver le système de soins.

En semaine 44, au niveau national, le taux d’incidence corrigé a atteint 90 nouveaux cas pour 100 000 habitants (vs 62 en S43) soit une augmentation de +44%. En moyenne, 7 283 cas ont été diagnostiqués par jour. Il était en hausse dans toutes les classes d’âge, avec des taux supérieurs à 100/100 000 chez les 20-29 ans (104, +51%), les 30-39 ans (131, +53%) et les 40-49 ans (109, +52%). Le taux de dépistage corrigé, incluant tests antigéniques et PCR (autotests exclus), était de 2 914/100 000 habitants tous âges confondus (+4%). En cette deuxième semaine de vacances scolaires, il a de nouveau diminué chez les 0-9 ans (797, -13%) et les 10-19 ans (3 749, -8%). S’il est resté stable chez les 20-49 ans, une hausse était observée chez les 50 ans et plus. Le taux de positivité a de nouveau progressé et a atteint 3,1% en S44 (+0,9 point). Il a augmenté chez les personnes symptomatiques (15,3% vs 11,5% en S43) et chez les personnes asymptomatiques (1,6% vs 1,2%). La proportion de cas présentant des symptômes était en augmentation (54% vs 52% en semaine 43).

En France métropolitaine, le taux d’incidence corrigé était en hausse dans toutes les régions. Il atteignait 131/100 000 habitants en Corse (+46%), 108 en Pays de la Loire (+29%) et 106 en Provence-Alpes-Côte d’Azur (+36%). Au total, 21 départements avaient un taux d’incidence corrigé supérieur à 100/100 000 habitants. La Corse et Provence-Alpes-Côte d’Azur gardaient les taux de dépistage corrigés les plus élevés (>4 000/100 000 habitants). En Outre-mer, le taux d’incidence était toujours en baisse en Guyane (157, -8%) et il est resté stable en Martinique (114, -1%). Une forte augmentation était observée pour la deuxième semaine consécutive à La Réunion, où le taux d’incidence corrigé a atteint 119/100 000 habitants (+97%).

Le 09 novembre 2021, 6 912 patients COVID-19 étaient hospitalisés en France (vs 6 741 le 02 novembre, soit +3%), dont 1 153 en services de soins critiques (vs 1 104 le 02 novembre, +4%). Au niveau national, les indicateurs hospitaliers par date d’admission faisaient état de 1 691 nouvelles hospitalisations en semaine 44 (+2% par rapport à semaine 43, contre +13% entre les semaines 42 et 43) et 418 nouvelles admissions en services de soins critiques (-3% par rapport à la semaine 43, contre +13% entre les semaines 42 et 43). Les évolutions seront à confirmer la semaine prochaine, les premières consolidations indiquant une tendance à la hausse de ces deux indicateurs.

Les nouvelles hospitalisations étaient en hausse ou stables dans la majorité des régions. Les taux les plus élevés étaient observés cette semaine en Pays de la Loire et Provence-Alpes-Côte d’Azur.

En Outre-mer, les taux hebdomadaires de nouvelles hospitalisations et de nouvelles admissions en soins critiques restaient les plus élevés en Guyane, mais étaient en diminution. En Guadeloupe et en Martinique, ces deux indicateurs étaient stables. À La Réunion, ces taux étaient en hausse, mais restaient faibles.

L’analyse de la situation du SARS-CoV-2 chez les enfants montre une dynamique comparable chez les 5-11 ans et chez les 12-17 ans en termes d’évolution temporelle du nombre de cas confirmés, de nouvelles hospitalisations et d’admissions en soins critiques. A l’exception de ces dernières semaines, les taux d’incidence et d’hospitalisation étaient cependant plus élevés chez les 12-17 ans que chez les 5-11 ans. En 2020, le taux d’incidence annuel était plus de 2 fois plus élevé chez les 12-17 ans (3 408 pour 100 000) que chez les 5-11 ans (1 549 pour 100 000) et le nombre d’hospitalisations chez les 12-17 ans (1 011) environ deux fois supérieur en comparaison des 5-11 ans (511). Par ailleurs, les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentaient respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021.

Depuis septembre 2021, les taux d’incidence et d’hospitalisation hebdomadaires sont comparables dans ces deux classes d’âge, très vraisemblablement en lien avec la mise en place de la vaccination mi-juin 2021 chez les 12-17 ans.

Des villes moyennes contre la métropolarisation ?

  • Des villes moyennes contre la métropolarisation ?
  • La covid  a sans doute contribué à démontrer les inconvénients de la mode de la métropolarisation sur les conditions de vie et de travail. Sans doute pourquoi des maires soutiennent le principe du développement des villes moyennes contre ce phénomène de concentration extrême dans les métropoles. Cela sous réserve évidemment de présenter une offre suffisante et de qualité en matière de santé, de commerce de sport et de tourisme.
  • Jean-Christophe Fromantin, maire DVD de Neuilly-sur-Seine, a lancé ce message cette semaine avec les trois présidents de région Carole Delga (Occitanie), Xavier Bertrand (Hauts-de-France) et Hervé Morin (Normandie). Coordonnateur d’un collectif rassemblant élus, entrepreneurs et universitaires, Fromantin veut rebondir sur les scrutins régionaux de juin pour défendre le «rôle stratégique» des villes moyennes, ces communes qui comptent 20 000 à 100 000 habitants. Et selon lui, les collectivités régionales doivent être les moteurs de leur évolution. «Nous avons les moyens de faire en sorte que 400 villes moyennes puissent offrir la qualité de services des métropoles», affirme Fromantin.

Dévalorisation du patrimoine des classes moyennes

Dévalorisation du patrimoine des classes moyennes

Un article de Xerfi repris par la Tribune sur la dévalorisation du patrimoine des classes moyennes.

 

 

Opinion

 

« Le patrimoine privé des classes moyennes est attaqué sur ses trois composantes : immobilière, mobilière (avec l’automobile) et financière. Immobilière d’abord. Dans un pays, où les prix de l’immobilier sont à un pic historique cela a de quoi surprendre.

 

Certes les prix de l’immobilier montent, mais pas partout. Les tendances haussières à Paris en petite couronne et dans quelques grandes métropoles régionales (Nantes, Rennes, Bordeaux, Lyon par exemple) ne résument pas à elles seules la réalité d’un marché national à trois vitesses : selon les données notariales, 45% des départements ont enregistré une progression des prix des appartements dans l’ancien en 2018, 40% ont connu une baisse et 15% sont restés stables. Bref, la tendance haussière ne concerne même pas la moitié des départements.

En outre, même là où les prix augmentent, ce n’est qu’une moyenne. La carte de France immobilière ressemble à une peau de léopard. Une peau de léopard où les taches brunes représentent les zones les plus tendues où les prix flambent, le plus souvent les grandes agglomérations. Mais il y a aussi les taches blanches, ces zones en perte de vitesse, le plus souvent situées en périphérie. Ces zones, c’est la France pavillonnaire celle des lotissements situés en couronnes périurbaines où les prix baissent voire chutent brutalement. Or le poids de la résidence principale dans l’ensemble du patrimoine des classes moyennes est écrasant : c’est nettement plus de la moitié et jusqu’à plus de 70% pour les ménages dont le montant du patrimoine les place entre le 5ème et le 7ème décile.

Plus varié en haut de la pyramide, le patrimoine des plus aisés est plus diversifié faisant tomber la part de la résidence principale à peine plus de 10%. La France des lotissements c’est aussi celle de la voiture. Et pour cause. Aux manques de transports en communs s’ajoutent les conditions d’accès difficiles aux services au sens large (écoles, commerces, services administratifs, médicaux, culturels). L’automobile est dès lors l’outil indispensable pour y accéder et la multi-motorisation une quasi-obligation. Pour les Français les plus modestes la voiture va jusqu’à représenter plus de 20% de leur patrimoine. Pour les classes moyennes c’est un peu moins de 5%. Ce n’est pas négligeable d’autant plus que c’est un patrimoine qui se déprécie d’autant plus rapidement qu’il est essentiellement constitué de véhicules diesels, ceux-là même que le gouvernement et les grandes métropoles veulent chasser du territoire. Le bilan est là, les ventes de diesel d’occasion sont en recul. Selon les chiffres de AAA Data, elles déclinent depuis 2017 et les plus touchées sont les diesels d’occasion de plus de six ans, cœur de cible des classes moyennes avec à la clé de sévères baisses de prix pour des vendeurs contraints pour certains de brader leur véhicule.

De surcroît, face à ce patrimoine mobilier et immobilier qui perd de sa valeur, il y a de l’endettement : plus du quart des ménages dont le patrimoine les situe entre le 4ème et le 5ème décile sont endettés au titre de leur résidence principale, une part qui monte à 42,4% pour ceux qui sont entre le 6ème et 7ème décile. La part des ménages endettés pour l’achat d’automobile est plus faible mais près du quart des ménages situés entre le 6ème et le 7ème décile sont concernés. Reste le patrimoine financier des classes moyennes, constitué à près de 90% des comptes chèques, des livrets défiscalisés et de l’assurance-vie. Si les comptes chèques ne rapportent rien, les autres placements sont également de moins en moins rémunérateurs : de 0,5% pour le Compte d’Epargne Logement à 1,25% pour le Livret d’Epargne Populaire en passant par 0,75% pour le livret A.

En fait seul le LEP se hisse au-dessus de l’inflation. Bref, en termes réels les rendements sont globalement négatifs. L’assurance-vie s’en sort un peu mieux mais la tendance est à la baisse. Attaqué sur toutes ses composantes, le patrimoine des classes moyennes se déprécie et participe à la montée des mécontentements.

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Entreprises moyennes (ETI) : les effets néfastes du tassement international.

Entreprises moyennes (ETI) : les effets néfastes du tassement international. 

 

Selon la dernière enquête de conjoncture réalisée par Bpifrance et la direction générale des entreprises (DGE) installée au ministère de l’Economie, les entreprises  de taille intermédiaire (ETI) exposées aux marchés extérieurs souffrent de la dégradation de la conjoncture mondiale. Dans son dernier bulletin, le fonds monétaire international (FMI) a abaissé ses prévisions de croissance pour l’économie mondiale à 3,2% en 2019 et 3,5% en 2020 contre 3,3% et 3,6% en avril. Les tensions commerciales et technologiques, les incertitudes qui entourent l’issue du Brexit, le coup de frein dans les économies émergentes ont amené la plupart des prévisionnistes à revoir à la baisse leurs projections.

L’examen détaillé des résultats de la banque publique indique que le solde des opinions des dirigeants anticipant un développement de leur activité a dégringolé de 23 points en un an passant de 76% à 53%. 62% des ETI qui réalisent au moins un quart de leur chiffre d’affaires à l’international prévoient une expansion de leur activité en 2019 et 9% anticipent un recul. Les entreprises moyennes qui exportent un peu moins (entre 5% et 25% de leur chiffre d’affaires à l’international) « voient leur indicateur d’activité reculer de 15 points (à 36) ».

Les firmes davantage tournées sur le marché intérieur semblent bien mieux résister aux soubresauts de l’économie mondiale. Les auteurs de la note de conjoncture expliquent par exemple que la construction connaît un regain d’activité sur un an (+60%, +12 points) tout comme le commerce, les transports ou l’hébergement restauration avec un indicateur à 39% (+4 points sur un an).

Sans surprise, les carnets de commandes se remplissent à un rythme plus modéré qu’en 2018. L’outil qui mesure les prévisions des carnets de commandes est en repli de 13 points sur un an passant de 33% à 20%. Tous les secteurs économiques sont concernés par cette tendance et plus particulièrement le commerce, les transports et l’hébergement-restauration qui enregistrent une baisse de 20 points sur un an du solde d’opinion relatif aux carnets de commandes.

Pensions moyennes : 1517 euros

Pensions moyennes : 1517 euros

Une moyenne de 1517 € nets pour  les pensions, cela peut paraître à la fois peu et beaucoup. C’est pet pour un retraité qui vit en ville et doit faire face à des charges de loyer. C’est mieux pour un rural par exemple qui possède sa résidence. C’est environ 200 € de moins que le salaire moyen d’un actif. Notons qu’on oppose quelquefois les revenus des actifs et des retraités en raison sans doute du régime de répartition donc de solidarité entre les générations. Il est rarement indiqué cependant que nombre de retraités ont travaillé à peu près le double de temps par rapport aux actifs actuels (nombre de jours de repos hebdomadaires, nombre deux jours de congés annuels, durée du travail, plus proche de 70 heures que de 35 !).  Ceci étant il s’agit d’une moyenne avec beaucoup de dispersion autour. Il faut surtout aussi observer que pendant plusieurs années ces pensions ont été désindexées, c’est-à-dire qu’elles n’ont pas suivi l’évolution des prix ; ce qui a provoqué une dévaluation de fait du montant des retraites. Une situation dramatique surtout pour les petites pensions. Ainsi 10 % des retraités gagnent environ 600 € bruts, c’est-à-dire une misère. À l’inverse évidemment d’autres touchent des pensions de plusieurs milliers d’euros. Les trois quarts (75%) des retraités résidant en France bénéficiaient fin 2016 d’une pension totale inférieure à environ 2000 euros par mois, selon une étude du service statistique des ministères sociaux (Drees) publiée mardi. Sur les 16,1 millions de personnes touchant une pension de retraite de «droit direct» d’au moins un régime français, 14,9 millions vivaient en France. Ces dernières ont perçu une pension moyenne de 1626 euros bruts (1517 euros nets), un montant qui comprend les éventuelles pensions de réversion versée aux veuves et veufs, selon l’étude. Parmi ces retraités, trois sur quatre «ont une pension brute totale inférieure à 2067 euros, soit 1913 euros net». Autre enseignement, les «10% de retraités aux pensions les plus élevées» perçoivent au total plus de 2776 euros brut, «tandis que les 10% aux pensions les plus faibles reçoivent moins de 568 euros brut, soit cinq fois moins».

À l’issue du grand débat national organisé en réponse à la crise des «gilets jaunes», Emmanuel Macron avait promis en avril de réindexer en 2020 les «retraites de moins de 2000 euros» sur l’inflation. En décembre, il avait décidé d’exempter de hausse de CSG les retraités touchant moins de 2000 euros par mois tous revenus confondus.

 

Pensions moyennes retraités touchent en moyenne 1376 euros mais en brut pas en net

Pensions moyennes  retraités touchent en moyenne 1376 euros mais en brut pas en net

 

L’administration (Drees, le service statistique du ministère de la Santé) affiche un montant moyen des pensions de 1376 € mais en brut pas net. En net, cela représente autour de 1200 €. Il s’agit bien sûr d’une moyenne et environ un demi-million de retraités ne touche que la minimum vieillesse à 800 €. Avec une pension moyenne de 1376 euros bruts mensuels en 2015, les retraités ne roulent pas sur l’or. Parmi eux, un demi-million a perçu le minimum vieillesse (Aspa), soit 800 euros mensuels pour une personne seule et 1 242 euros mensuels pour un couple. En dépit de son faible montant, la pension moyenne a cependant augmenté en 2015 de 0,5 % pour les hommes et de 1,1 % pour les femmes. Pour une raison mécanique que les experts qualifient «d’effet noria»: les nouveaux retraités, disposant de carrières plus favorables (et plus complètes pour les femmes), perçoivent souvent des pensions plus élevées que leurs aînés. Les femmes en revanche restent loin derrière les hommes, même si l’écart diminue au fil du temps. La pension de droit direct des femmes reste inférieure de 39,2 % à celle des hommes en 2015 (contre 45,8 % en 2004). C’est un peu mieux si l’on y ajoute les pensions de réversion - versées aux veufs et plus souvent aux veuves -, l’écart se réduisant alors à 25,1 %. Un sujet sensible sur lequel le nouveau président ne s’est pas encore exprimé.

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