Archive pour le Tag 'mosquée'

Atrocités Israël : l’imam de la grande mosquée rétro pédale

Atrocités Israël : l’imam de la grande mosquée rétro pédale

Après avoir fait semblant d’ignorer les atrocités commises par le Hamas en Israël et même les avoir contesté, l’immam de la Grande mosquée revient sur ses propos. Cela d’autant plus que son avis très partisan a été condamné par la Grande mosquée elle-même. Abdelali Mamoun a présenté des excuses, tout en continuant de demander des «explications» sur ces chiffres des atteintes à la laïcité en France.

Il est évident que cette forme de négationnisme n’a pas sa place dans un pays démocratique comme la France où l’information est largement accessible à tous, documentée et librement discutée.

Cette bataille de l’information est d’ailleurs fondamentale car elle est consubstantielle à l’existence même de la démocratie alors que dans certains pays autoritaires les faits et les chiffres partisans sont seulement autorisés.

De toute évidence, l’imam se trompe de pays, de civilisation et de démocratie. Ce chiffre (1240 actes antisémites depuis le 7 octobre en France) lui est de nouveau rappelé par Olivier Truchot sur BFM , et là encore, Abdelali Mamoun plaide l’incompréhension : «là vous êtes en train d’évoquer quelque chose qui se passe en Israël et en Palestine !».

Les journalistes en plateau précisent que non, il s’agit des actes antisémites en France. «Depuis le début de l’année ou depuis… ?» s’enfonce l’imam de la Grande Mosquée de Paris. Non, depuis le 7 octobre. «Je viens de l’apprendre», rétorque alors Abdelali Mamoun, visiblement en difficulté. «Vous êtes en train de vous faire passer pour un idiot», fait observer Alain Marschall.

Le ministre de l’Intérieur a par ailleurs salué le communiqué de la Grande mosquée de Paris dans lequel l’institution se désolidarise des propos d’Abdelali Mamoun et affirme qu’elle «ne nie pas, ne minimise pas et ne relativise pas les actes antisémites survenus en France ces dernières semaines».

Mosquée turque de Strasbourg: les écologistes naïfs ou complices

Mosquée turque  de Strasbourg: les écologistes naïfs ou complices

 

Décidément la question est de savoir si les écologistes d’Europe écologie les Verts sont naïfs ou complices de  islamogauchiste. À Strasbourg en particulier, la maire  tente de se dédouaner en affirmant qu’elle n’était pas au courant du mode de financement de la future mosquée et de l’influence d’organisations proches d’Erdogan.

 

Incompétence ou hypocrisie ? Sans doute un peu les deux car ce n’est pas la première fois que les écologistes d’Europe écologie les Verts sont pris les voix dans le pot de confiture du gauchisme. D’une certaine manière, sur le plan philosophique et politique les élus d’Europe écologie les Verts se caractérisent à la fois par un radicalisme d’extrême-gauche..

 

Il paraît pour le moins peu crédible que la maire et son conseil municipal ne soient pas au courant que l’association qui soutient cette construction de mosquée est sous influence directe de la Turquie. Pour preuve elle fait parti des organisations qui refusent de signer la charte de l’islam de France élaborée au sein du CFCM et  ses représentants sont en première ligne pour défendre les positions d’Erdogan.

 

Si les écologistes ont réussi une percée électorale dans les grandes villes lors des dernières élections municipales c’est essentiellement des préoccupations environnementales. Or depuis leur élection les élus d’Europe écologie les Verts se signalent surtout pour leurs positions gauchistes. Voir à cet égard leur posture très ambiguë vis-à-vis de l’islamogauchisme.

Notons aussi que jamais un tel montant n’avait été accordé pour un projet de cette nature. 2,5 M€ sans aucune garantie sur les cofinancements, c’était tellement gros que l’équipe municipale a dû in extremis revoir sa délibération pour conditionner l’aide de la ville à la production d’un plan de financement crédible.

Fondée par l’ancien Premier ministre Necmettin Erbakan, Milli Görüs («vision nationale») est l’un des vecteurs de l’influence politico-religieuse turque en Europe. Faisant partie des organisations qui refusent de signer la charte de l’islam de France élaborée au sein du CFCM, ses représentants sont en première ligne pour défendre les positions agressives d’Erdogan contre la France, accusée «d’islamophobie».

 

Pour la capitale européenne des droits de l’Homme, c’est un drôle de symbole ; surtout au moment où Ankara se retire de la convention…d’Istanbul contre les violences faites aux femmes !

Autrement dit, les écologistes strasbourgeois font un cadeau conséquent à l’un des fleurons de l’offensive islamiste en Europe. Pour la capitale européenne des droits de l’Homme, c’est un drôle de symbole ; surtout au moment où Ankara se retire de la convention…d’Istanbul contre les violences faites aux femmes!

On voit mal comment cette décision pourrait rester sans conséquence au niveau national, tant elle confirme une inflexion plus générale, pour ne pas dire un changement de cap, de l’écologie politique telle que l’incarne et la pratique Europe Écologie Les Verts.

Si  on fait abstraction des conditions très particulières du vote de mars/juin 2020, il n’est pas sûr que l’électorat qui a porté ses équipes aux responsabilités, qu’on devine jeune, intégré et diplômé, trouve forcément son compte dans ce nouveau logiciel idéologique, d’ailleurs très composite, entre philosophie «décroissante» qui puise aux sources du christianisme social, modernisme et volontarisme affichés en matière de transports, d’alimentation ou d’aménagement urbain, et le retour à une certaine radicalité d’extrême-gauche.

Surtout si c’est pour faire la courte échelle à une dictature nationaliste, autoritaire et religieuse comme celle d’Erdogan.

Renoncement de la Grande mosquée de Paris au projet de « conseil national des imams »

Renoncement de la Grande mosquée de Paris au projet de « conseil national des imams »

Le recteur de la grande Mosquée de Paris a annoncé, lundi 28 décembre, son retrait du projet de « conseil national des imams » (CNI), voulu par l’Elysée et confié au Conseil français du culte musulman (CFCM), en dénonçant l’influence de « la composante islamiste » au sein de ce dernier. « J’ai décidé (…) de ne plus participer aux réunions qui visent à mettre en œuvre le projet du “conseil national des imams” et de geler tous les contacts avec l’ensemble de la composante islamiste du CFCM », écrit le recteur, Chems-Eddine Hafiz, dans un communiqué.

Ce projet a été confié au CFCM, principal interlocuteur de l’Elysée sur les questions d’organisation du culte musulman en France. Le CNI doit délivrer un agrément aux imams en fonction de leurs connaissances et de leur engagement à respecter un code de déontologie.

 « Malheureusement, la composante islamiste au sein du CFCM, notamment celle liée à des régimes étrangers hostiles à la France, a insidieusement bloqué les négociations en remettant en cause presque systématiquement certains passages importants » de la charte républicaine qui devait être mise au point, critique le recteur de la grande Mosquée de Paris. Des « membres de la mouvance islamiste » auraient fait croire « que cette charte avait pour ambition de toucher à la dignité des fidèles musulmans », détaille Chems-Eddine Hafiz. C’est « un mensonge éhonté », dit-il.

« J’estime que la représentation des musulmans mérite autre chose (…) que des agissements douteux entourés d’actions qui cherchent à diviser la communauté nationale et à séparer les Français de confession musulmane de leur société », écrit-il encore.

Au début de décembre déjà, une dizaine de figures de l’islam réformé avaient dénoncé le rôle accordé par l’Etat au CFCM pour la création du CNI, le qualifiant d’« institution fragile ».

La mosquée Al Azhar ou la grande confusion intellectuelle

La mosquée Al Azhar ou la grande confusion intellectuelle

il y a quelque chose de surréaliste dans l’appel du  grand imam de la mosquée Al Azhar en Egypte pour criminaliser les actions hostiles à l’islam face au droit revendiqué en France de continuer à montrer des caricatures de Mahomet. Première observation, s’il y avait lieu de criminaliser des actions contre l’islam, il  faudrait par équité viser toute les religions car l’islam ne saurait être la seule et unique référence spirituelle.

La seconde observation concerne les confusions qu’entretiennent les radicaux islamistes avec le droit. L’intéressé confond sans doute la critique avec le crime. Deviendrait alors criminelle toute pensée, toute expression, toute action en désaccord avec l’islam. Bref une espèce de dictature juridique fondée sur la primauté de la loi islamique. Exactement ce qui se passe dans les dictatures islamiques comme en Iran et nombre d’autres pays musulmans.

Par contre, l’appel du responsable de la mosquée est fondé quand il se pose à l’instrumentalisation de la religion musulmane à des fins électorales. On peut seulement souhaiter que ce souhait soit partagé et respecté précisément dans les dictatures islamiques. Le cheikh Ahmed al Tayeb, qui, en tant que dirigeant de cette mosquée et de l’université qui y est rattachée, est l’un des plus hauts dignitaires de l’islam sunnite, a effet déclaré que son institution rejetait fermement toute exploitation des sentiments antimusulmans à des fins électorales.

Notons que Le président égyptien Abdel Fattah al Sissi a été beaucoup plus mesuré et pour cause car il connaît la menace islamique dans son propre pays. Il a simplement déclaré que la liberté d’expression ne devait pas autoriser à offenser plus de 1,5 milliard de personnes à travers le monde.

Mieux, Il a aussi exprimé un rejet ferme de toute forme de violence au nom de la défense d’une religion ou de symboles religieux.

Angers refuse la vente d’une mosquée au Maroc

Angers refuse la vente d’une mosquée au Maroc

Le  conseil municipal d’Angers considère que la vente d’une mosquée au Maroc contrevient à la neutralité de cet établissement de culte. La vente au Maroc était envisagée pour faire face au manque de moyens financiers pour terminer l’ouvrage.

Lors de la séance de lundi, le conseil municipal a voté à l’unanimité une délibération proposée par le maire, Christophe Béchu (ex-LR, DVD) contre cette vente. Le motif est le suivant: bien qu’«attaché au libre exercice des cultes et respectueux du souhait de la communauté musulmane de disposer d’un lieu de culte digne permettant aux croyants de pratiquer leur religion», il apparaît que «la cession de la future mosquée à un pays étranger ne correspond pas à la neutralité souhaitée pour 

Mosquée de Pantin : fermeture confirmée par la justice

Mosquée de Pantin : fermeture confirmée par la justice

Les autorités reprochent notamment à cette mosquée le partage sur son compte Facebook de la vidéo dans laquelle Brahim C., père d’une des élèves de Samuel Paty, appelait “tous les musulmans” à faire pression sur l’enseignant et le collège du Bois d’Aulne, dont il donnait l’adresse, pour dénoncer son comportement et obtenir son renvoi.

“Le tribunal administratif de Montreuil vient de confirmer la fermeture administrative de la mosquée de Pantin”, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, sur Twitter.

Samuel Paty a été décapité le 16 octobre par un jeune islamiste présumé d’origine tchétchène, quelques jours après avoir montré des caricatures de Mahomet publiées par Charlie Hebdo lors d’un cours d’éducation morale et civique, une initiative à l’origine d’une campagne hostile sur les réseaux sociaux via notamment cette vidéo sur Facebook.

FERMETURE DE LA MOSQUÉE DE PANTIN

FERMETURE DE LA MOSQUÉE DE PANTIN

« J’ai demandé au préfet de Seine-Saint-Denis de faire fermer la mosquée de Pantin », a déclaré le ministre de l’Intérieur sur TF1, précisant que le préfet devait « signer ce (lundi) soir son interdiction ».

« Son dirigeant a relayé le message qui consistait à dire que ce professeur devait être intimidé, en relayant d’ailleurs l’adresse du collège », a poursuivi Gérald Darmanin.

L’établissement sera fermé six mois, et la notification de fermeture aura lieu dès lundi soir, a précisé une source policière à l’AFP.

« C’est peut être un geste d’apaisement par rapport à la tension générale », a réagi auprès de l’AFP, M’hammed Henniche, responsable de la grande mosquée de cette ville du nord de Paris.

Sainte-Sophie : retour à un statut de mosquée

Sainte-Sophie : retour à un statut  de mosquée

 

Par provocation évidemment mais aussi par souci de masquer les nombreuses difficultés de la Turquie sur le plan économique social et sanitaire, Erdogan a décidé de transformer le statut de Sainte Sophie, (de l’ancienne basilique byzantine( avec retour au statut de mosquée. Un geste évidemment très politique pour montrer les muscles d’un président Erdogan de plus en plus affaibli mais de plus en plus provocateur. Historiquement évidemment Sainte-Sophie , construction byzantine à aussi été une mosquée . Mais avec le temps, histoire l’avait transformé en patrimoine international en fait sans religion. Le président turc a toutefois estimé que la Turquie avait exercé son droit souverain en la convertissant en mosquée et qu’il interprèterait les critiques de cette décision comme une atteinte à l’indépendance du pays.

Les Etats-Unis, l’Union européenne (UE) ou encore la Russie ont fait part de leur inquiétude après la décision turque sur Sainte-Sophie.

“La décision du Conseil d’État turc d’annuler l’une des décisions historiques de la Turquie moderne et la décision du président Erdogan de placer le monument sous la gestion de la présidence des affaires religieuses est regrettable”, a déclaré le chef de la politique étrangère de l’UE, Josep Borrell, dans un communiqué.

“Nous sommes déçus par la décision du gouvernement turc de modifier le statut de Sainte-Sophie”, a pour sa part déclaré le porte-parole du département d’Etat, Morgan Ortagus.

“Nous comprenons que le gouvernement turc reste engagé à maintenir l’accès à la Sainte-Sophie pour tous les visiteurs, et nous attendons avec impatience d’entendre ses plans pour la gestion continue de la Sainte-Sophie afin de s’assurer qu’elle reste accessible sans entrave pour tous”, a-t-il ajouté.

L’Unesco a pour sa part dit regretter “vivement” la décision turque, s’inquiétant de la préservation de l’ex-basilique.

“Il est important d’éviter toute mesure de mise en oeuvre qui ne serait pas préalablement discutée avec l’Unesco et qui entraînerait des conséquences sur l’accès physique, sur la structure du bâti, sur les biens mobiliers et sur le mode de gestion du site”, a déclaré Ernesto Ottone, directeur général adjoint de l’Unesco pour la culture.

Loin du kémalisme et des ambitions laïques d’Atatürk, Erdogan, au pouvoir depuis 17 ans, veut renouer avec les racines musulmanes. La décision de vendredi s’inscrit dans cette volonté.

Au parlement, les députés de son parti de la Justice et du Développement (AKP) se sont levés et ont applaudi après la lecture du décret.

“Sainte-Sophie, c’est le couronnement de la révolution religieuse d’Erdogan qui se déploie en Turquie depuis plus de dix ans”, a commenté Soner Cagaptay, directeur du programme de recherche sur la Turquie au Washington Institute for Near East Policy.

Le Conseil d’Etat a jugé vendredi en début d’après-midi que le décret gouvernemental de 1934 ayant transformé l’ancienne basilique byzantine en musée était illégal. Dans sa décision, le juge administratif dit être parvenu à la conclusion que “l’acte d’implantation (ndlr, de l’édifice) lui a octroyé le statut de mosquée” et que “son usage hors ce statut n’est pas juridiquement possible”.

“La décision gouvernementale de 1934 qui a mis fin à son utilisation en tant que mosquée et l’a transformé en musée n’était pas conforme à la loi”, ajoute le Conseil d’Etat.

La construction de Hagia Sophia  (“sagesse divine”) a été achevée en 537, sous l’empereur byzantin Justinien.

Après la prise de Constantinople par les Ottomans, quatre minarets ont été ajoutés et les icônes ont été recouvertes, à l’abri du regard des fidèles. Des panneaux célébrant Allah et Mahomet ont été accrochés au siècle dernier à l’intérieur du bâtiment.




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