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Covid France 23 décembre 2022 : 120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures

Covid France 23 décembre 2022 : 120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures

On enregistre jeudi 22 décembre 2022 :120 morts et 49 517 cas supplémentaires en 24 heures; . Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.440 (+7) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 131.554 (+113 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,94 le taux d’incidence à 521,92 et la tension hospitalière à 28,7 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 25.395 (+170) personnes hospitalisées et 1.452 (+9) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 5.869 (+73) hospitalisées, 381 (+8) en réanimation et +15 décès en 24h
Grand Est : 2.234 (+6) hospitalisés, 137 (+7) en réanimation et +15 décès en 24h
Hauts de France : 2.402 (+46) hospitalisés, 134 (0) en réanimation et +15 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 2.988 (+3) hospitalisés, 158 (0) en réanimation et +11 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 2.425 (+5) hospitalisé, 142 (-3) en réanimation et +10 décès en 24h
Bretagne: 1.019 (+27) hospitalisés, 45 (-4) en réanimation et +5 décès en 24h
Normandie : 1.094 (+26) hospitalisés, 37 (+2) en réanimation et +5 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.965 (+21) hospitalisés, 144 (+5) en réanimation et +6 décès en 24h
Pays de la Loire : 770 (+27) hospitalisés, 36 (-4) en réanimation et +7 décès en 24h
Occitanie: 1.976 (+3) hospitalisés, , 126 (+1) en réanimation et +11 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 1.181 (+4) hospitalisés, 43 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 1.122 (-71) hospitalisés, 54 (-3) en réanimation et +7 décès en 24h

Covid Chine : la crainte de plus de 1 million de morts ?

Covid Chine : la crainte de plus de 1 million de morts ?

En refusant la vaccination générale, la Chine prend un risque considérable surtout avec la reprise mondiale de la pandémie. Sa politique de zéro Covid constitue un échec dramatique qui a déjà entraîné dans la mort nombre de Chinois. Les chiffres sont évidemment difficiles à préciser tellement les statistiques en Chine prennent un caractère politique.

Cependant si on prend en compte les rythmes de contamination actuellement en hausse dans les pays développés, la politique sanitaire de la Chine pourrait se traduire par environ 1 million de morts sans parler des risques de contamination dans d’autres pays

La Chine fait face en effet à une forte vague de contaminations au coronavirus. Elle multiplie les confinements, provoquant des manifestations inédites.

La Chine se targuait de résultats très positifs de sa politique zéro Covid mais depuis plusieurs mois, la situation s’est inversée.

Le monde a renoué avec la liberté, et, si le virus circule toujours, il ne fait plus peser les mêmes contraintes sur nos vies. Pourtant, en Chine, la vague actuelle suscite une réaction très forte. Le pays multiplie les confinements au point de susciter de vives réactions dans une société chinoise pourtant peu habituée aux protestations publiques.

La Chine à plus de 1 million de morts ?

Covid- La Chine à plus de 1 million de morts ?

En refusant la vaccination générale, la Chine prend un risque considérable surtout avec la reprise mondiale de la pandémie. Sa politique de zéro Covid constitue un échec dramatique qui a déjà entraîné dans la mort nombre de Chinois. Les chiffres sont évidemment difficiles à préciser tellement les statistiques en Chine prennent un caractère politique.

Cependant si on prend en compte les rythmes de contamination actuellement en hausse dans les pays développés, la politique sanitaire de la Chine pourrait se traduire par environ 1 million de morts sans parler des risques de contamination dans d’autres pays

La Chine fait face en effet à une forte vague de contaminations au coronavirus. Elle multiplie les confinements, provoquant des manifestations inédites.

La Chine se targuait de résultats très positifs de sa politique zéro Covid mais depuis plusieurs mois, la situation s’est inversée.

Le monde a renoué avec la liberté, et, si le virus circule toujours, il ne fait plus peser les mêmes contraintes sur nos vies. Pourtant, en Chine, la vague actuelle suscite une réaction très forte. Le pays multiplie les confinements au point de susciter de vives réactions dans une société chinoise pourtant peu habituée aux protestations publiques.

Sécurité routière : Hausse des incivilités et des morts

Sécurité routière : Hausse des incivilités et des morts

Policiers et gendarmes ont noté depuis la période de crise Covid , une très forte hausse des incivilités allant même parfois jusqu’à des refus d’obtempérer. Dans la plupart des cas, il s’agit cependant d’infractions notamment concernant la vitesse qui concourent à augmenter les risques et provoquent des accidents. Ainsi 295 personnes ont perdu la vie sur les routes de l’Hexagone en octobre 2022, a annoncé, mardi 15 novembre, la Sécurité routière. Soit une augmentation de 15% par rapport au même mois en 2019, année de référence avant la pandémie. Parmi elles, 122 étaient des automobilistes, 58 des piétons, 34 des cyclistes. Plus de la moitié de ces décès ont eu lieu hors agglomération.

Le nombre d’accidents corporels enregistrés par les policiers et gendarmes, qui ne constituent qu’une partie des accidents de la circulation routière, a au contraire enregistré une baisse pour s’établir à 4 720, soit 868 de moins qu’en octobre 2021 et 415 de moins qu’en 2019. « Même si la pandémie est toujours active, les déplacements et l’accidentalité retrouvent un rythme proche de celui avant pandémie voire supérieur, avec parfois des évolutions liées à de nouvelles habitudes », relève l’ONISR.

Cela tendrait à prouver que le nombre d’accidents graves tend à diminuer légèrement mais que parallèlement la conduite irresponsable et dangereuse d’une minorité fait progresser la mortalité.

Dans les territoires d’outremer, 33 personnes sont mortes dans un accident de la route le mois passé, soit huit de plus qu’en 2021 sur la même période et dix par rapport à 2019.
Le nombre d’accidents corporels enregistrés par les forces de l’ordre s’établit en outre à 269, en hausse par rapport aux 244 d’octobre 2021 et aux 259 comptabilisés en 2019.

Pollution: Responsable de neuf millions de morts

Pollution: Responsable de neuf millions de morts 

 

Quatre ans après un premier rapport, la situation n’a pas évolué: environ une mort prématurée sur six dans le monde est liée à la pollution, déplore la Commission sur la pollution et la santé du Lancet.

La pollution était responsable de la mort prématurée de neuf millions de personnes en 2019, selon une étude publiée mercredi 18 mai dans la revue Lancet, un bilan qui ne s’améliore pas, principalement à cause de la mauvaise qualité de l’air et des polluants chimiques, le plomb notamment.

 

Quatre ans après un premier rapport, la situation n’a pas évolué: environ une mort prématurée sur six dans le monde est liée à la pollution, déplore la Commission sur la pollution et la santé du Lancet. La pollution et les déchets créés par les humains rejetés dans l’air, l’eau et le sol tuent rarement directement, mais sont à l’origine de graves maladies du cœur, de cancers, de problèmes respiratoires ou de diarrhées aiguës. «Les effets sur la santé restent énormes, et les pays à faible et moyen revenus en subissent le poids», résume l’auteur principal et codirecteur de la commission Richard Fuller. Ils concentrent en effet 92% de ces décès et la majeure partie des pertes économiques qui en découlent. «L’attention et le financement n’ont que très peu augmenté depuis 2015, malgré une augmentation bien documentée des préoccupations du public en matière de pollution et de ses effets sur la santé», se lamente-t-il, cité dans un communiqué.

Si les décès prématurés liés aux types de pollutions associées à l’extrême pauvreté sont en repli, ceux liés à la pollution de l’air et à la pollution par produits chimiques augmentent. «L’effet de la pollution sur la santé reste bien plus important que celui de la guerre, du terrorisme, de la malaria, du VIH, de la tuberculose, des drogues et de l’alcool, et le nombre de morts causées par la pollution rivalise avec celles causées par le tabac», est-il souligné. En 2019, 6,7 millions des morts prématurées sont attribuables à la pollution de l’air, 1,4 million à la pollution de l’eau, 900.000 au saturnisme. «Le fait que la situation du plomb s’aggrave, principalement dans ces pays plus pauvres, et s’accélère en termes de nombre de décès, est horrible», s’est inquiété Richard Fuller auprès de l’AFP. Une exposition à la substance toxique peut, par ailleurs, générer des retards dans le développement cognitif des enfants.

 

Si la mortalité liée à la pollution au sein du foyer (liée à la combustion de carburants ou à des problèmes d’eau ou d’hygiène) a reculé, particulièrement en Afrique, les formes «modernes» de pollution pèsent largement plus qu’il y a vingt ans. En 2000, les décès prématurés liés à la pollution de l’air ambiant s’élevaient à 2,9 millions, et 4,5 millions en 2019. Particules fines et ozone dans l’air, exposition au plomb, à des carcinogènes dans le cadre de son travail, pollutions chimiques dans l’environnement, gagnent du terrain, surtout en Asie. «Si nous ne parvenons pas à nous développer d’une manière propre et écologique, alors ce que nous faisons est terriblement mauvais», a confié M. Fuller à l’AFP.

Sujet

Covid: 15 millions de morts dans le monde ?

Covid: 15 millions de morts  dans le monde ?

 

 

« Le bilan total associé directement ou indirectement avec la pandémie atteint autour de 15 millions de morts  d’après l’OMS qui précise cependant que   cette statistique sous-estimait la réalité.

L’OMS affirme que la plupart des décès excédentaires (84 %) sont concentrés en Asie du Sud-Est (dont l’Inde), en Europe (qui comprend la Russie et d’autres pays de l’ex-URSS) et dans les Amériques. Quelque 10 pays représentent à eux seuls 68 % du total de la surmortalité : dans l’ordre décroissant, il s’agit du Brésil, de l’Egypte, de l’Inde – qui conteste avec force les chiffres de l’OMS bien plus élevés que ses chiffres officiels -, l’Indonésie, le Mexique, le Pérou, la Russie, l’Afrique du Sud, la Turquie et les Etats-Unis.

De fait, ces chiffres souffrent de trous dans les statistiques, la collecte de données étant parfois parcellaire voire totalement inexistante pour certains pays. Les fourchettes données vont parfois du simple au double. L’Organisation estime ainsi que 6 décès sur 10 ne sont pas enregistrés au niveau mondial. Le sujet est extrêmement sensible en raison des répercussions politiques, ces chiffres étant indicateurs de la qualité de la gestion de la crise par les autorités.

Venezuela: Une coupure de courant fait plus de 200 morts dans les hôpitaux

Venezuela: Une coupure de courant fait plus de 200 morts dans les hôpitaux 

Du fait d’une gestion calamiteuse de la santé, le Venezuela a enregistré plus de 200 morts faute de courant.(Le Figaro)

 

 

Des médecins des principaux hôpitaux du pays ont participé à l’enquête qui a été lancée en 2014 pour comprendre les carences du système de santé publique, en proie aux pénuries de médicaments, de fournitures, des coupures d’eau et d’électricité. Les responsables de l’enquête, regroupés au sein de l’ONG Médicos por la Salud (Médecins pour la Santé) ont commencé à recenser les décès pouvant être attribués aux coupures de courant après le blackout de 2019 qui avait duré quatre jours.

Certains «patients sont morts parce qu’ils avaient besoin d’une ventilation artificielle ou devaient subir une intervention chirurgicale d’urgence et ne pouvaient pas être transférés à l’intérieur de l’hôpital parce qu’il n’y avait pas d’ascenseur», selon le rapport. L’augmentation du nombre de décès en 2021 pourrait être liée à la pandémie de Covid-19, selon l’étude. «Comme il s’agit d’une maladie avec atteinte respiratoire, les patients les plus sévères ont eu besoin d’une ventilation artificielle constante pendant de nombreux jours. La fluctuation de l’énergie a évidemment des conséquences dans ces cas-là.»

Le Venezuela connaît des coupures d’électricité constantes depuis plus de dix ans. Le pouvoir du président Nicolas Maduro les attribue généralement à des actes de sabotage ainsi qu’aux sanctions internationales destinées à l’évincer du pouvoir. Toutefois, les experts s’accordent à dire que la crise énergétique dans les hôpitaux est le résultat d’années de mauvaise gestion et de manque d’investissement.

Covid monde : omicron a fait 500 000 morts

Covid monde : omicron a fait 500 000 morts

Le  Covid  fait désormais autour de 6 millions de morts dont 500 000 imputables aux virus Omicron.
«Alors que tout le monde disait Omicron plus bénin, on est passé à côté du fait qu’un demi-million de personnes sont mortes depuis qu’il a été détecté», a déclaré le gestionnaire des incidents de l’OMS, Abdi Mahamud.
«À l’ère des vaccins efficaces, un demi-million de personnes qui meurent, c’est vraiment quelque chose (…) C’est plus que tragique», a-t-il ajouté, lors d’un échange organisé sur les réseaux sociaux par l’organisation.

Covid Monde : Environ 6 millions de morts , la France dans le peloton de tête

Covid Monde : Environ 6 millions de morts 

 

En valeur absolue, les pays les plus importants ont logiquement enregistré le plus de décès du fait de la pandémie. Rapporté au nombre d’habitants, le classement et différent. De ce point de vue la France se situe dans le plan de tête des mœurs avec 1900 décès par million d’habitants ( 130 000 en valeur absolue). En Europe qui a été durement touchée le Royaume-Uni se situe dans une position encore plus catastrophique avec 2300 décès par million d’habitants et 155 000 en valeur absolue. À noter qu’en Allemagne on constate 1402 morts par million d’habitants soit nettement moins qu’en France

Au plan mondial,  pandémie a fait officiellement plus de 5,64 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 368 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l’AFP samedi à 15H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (Environ 900 000), devant le Brésil (Environ 700 000) et l’Inde (Environ 500 000).

Des chiffres toutefois à relativiser compte tenu de l’état des systèmes sanitaires et des modes de recueil des statistiques

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

Des chiffres toutefois à relativiser car les systèmes de santé et de statistiques diffèrent beaucoup sans parler des manipulations à caractère politique.

Covid États-Unis : 900 000 morts, record

Covid États-Unis : 900 000 morts, record 

 

En valeur absolue les États-Unis détiennent le record de mort suite au Covid; ils sont cependant dépassés quand on rapport ce nombre de morts au nombre d’habitants.

Les Etats-Unis ont dépassé vendredi les 900 000 morts du Covid-19 depuis le début de la pandémie, selon le calcul de l’université Johns-Hopkins. Le pays avait franchi le seuil des 800 000 décès mi-décembre, il y a seulement un mois et demi.

Depuis, les Etats-Unis ont été confrontés à la vague liée au variant Omicron du coronavirus, qui a provoqué les niveaux de contaminations les plus élevés depuis l’apparition du SARS-CoV-2. Les cas sont maintenant en baisse, mais le nombre de décès quotidiens continue, lui, d’augmenter, s’établissant actuellement à 2 400 morts par jour actuellement, selon les données des autorités sanitaires. Les décès surviennent généralement avec quelques semaines de retard sur les contaminations, ce qui explique ce décalage entre la courbe des cas et des morts.

Etats-Unis comptent en tout  388 831 cas et 2 470 morts en moyenne chaque jour pendant la semaine du vendredi 28 janvier au jeudi 3 février 2022.
64,7 % de la population complètement vaccinée (au 3 février 2022, source JHU).
Ouverturede lavaccinationà lapopulationgénéralefév. 21 21avriljuinaoûtoct.déc.fév. 22250 000500 000750 000 cas1 0002 0003 000 morts
Tous les chiffres dans notre tableau de bord Covid-19

Seule 64 % de la population vaccinée

Quant au nombre d’hospitalisations, il « reste élevé, poussant dans leurs retranchements nos capacités de soins et notre personnel de santé dans certaines régions », avait souligné mercredi lors d’une conférence de presse Rochelle Walensky, la directrice des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), principale agence sanitaire fédérale.

« Aujourd’hui, notre pays franchit une nouvelle étape tragique », a réagi le président américain, Joe Biden, dans un communiqué, rendant hommage aux 900 000 Américains décédés et à leurs familles. « Nous avons maintenant plus d’outils que jamais pour sauver des vies et combattre ce virus », a-t-il ajouté, exhortant une nouvelle fois ses compatriotes à se faire vacciner ou à recevoir leur dose de rappel. Les vaccins, très efficaces, sont largement disponibles dans le pays. Mais seule 64 % de la population est entièrement vaccinée.

En valeur absolue, les Etats-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès, devant le Brésil et l’Inde, selon les chiffres officiels communiqués par les autorités. La pandémie a fait officiellement au moins 5,7 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, selon un bilan établi par l’AFP vendredi en milieu de journée. Mais selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le bilan réel pourrait être deux à trois fois plus élevé.

Lire aussi  Article réservé à nos abonnés Le variant Omicron entraîne des formes moins sévères que Delta

Inflation: Les salariés vont payer la note ?

Inflation: Les salariés vont payer la note ?

 

Le retour de l’inflation fait renaître le débat sur le maintien du pouvoir d’achat des salaires, analyse l’économiste Pierre-Cyrille Hautcœur. Faute de revalorisation des salaires, comme en 1920, les salariés risquent de payer la note (chronique dans le Monde)

 

Chronique.

 

 

 La crainte de voir s’enclencher une boucle inflationniste prix-salaires est brandie actuellement par le patronat et par le gouvernement pour éviter une hausse générale des salaires. Plusieurs syndicats, inversement, alertent sur les risques de perte de pouvoir d’achat en cas de résurgence inflationniste et réclament un ajustement automatique tenant compte de l’inflation, une « indexation » des salaires sur les prix.

La question s’est posée il y a un siècle, lorsque, en 1919-1920, le pouvoir d’achat des salaires se trouve significativement réduit parce que les prix, bloqués pendant la guerre, ont été libérés, alors que les salaires restent souvent inchangés. Les entreprises, comme d’ailleurs l’Etat employeur, utilisent un mélange d’augmentations individuelles et de primes « de vie chère » pour limiter le mécontentement ou le départ des salariés. Un indice officiel du coût de la vie est créé en 1920, pour servir de référence aux négociations. Mais, même après avoir renoncé au retour au franc-or, les gouvernements rejettent l’idée d’indexation et la fixation des salaires reste décentralisée.

Le Front populaire impose en revanche une prise en compte du niveau des prix et du pouvoir d’achat dans les négociations collectives, devenues désormais obligatoires au niveau des branches professionnelles. Dans la pratique, les clauses d’indexation sont cependant presque toujours très prudentes et les recours à l’arbitrage intentés par les syndicats pour obtenir leur application conduisent, dans la plupart des cas, à des rejets au nom de « l’équilibre économique » du secteur (en fait, la préservation des profits et des investissements). L’inflation, comme au début des années 1920, profite principalement aux employeurs, privés et plus encore publics.

L’économie semi-dirigée qui suit la seconde guerre mondiale est, en revanche, propice à une politique nationale des salaires. Le mouvement ouvrier revendique alors « l’échelle mobile automatique et générale » et ainsi la possibilité pour « l’ouvrier » de pouvoir faire vivre sa famille dignement.

Après plusieurs années de débats, une loi adoptant l’échelle mobile des salaires est adoptée en 1952 par le gouvernement conservateur d’Antoine Pinay. Elle complète un dispositif où un salaire minimum national est défini par l’Etat (alors que, depuis 1936, il l’était par branche et par région). Mais la mise en œuvre est très loin des discours : les conventions collectives adaptent localement « l’échelle mobile » vers le haut ou vers le bas, en fonction des rapports de force et d’autres considérations tout aussi essentielles, comme les heures supplémentaires, le coût de la vie local, la part de l’emploi féminin (qui est à l’époque légalement moins rémunéré). Seule l’indexation du salaire minimum interprofessionnel garanti (le SMIG, lui-même sujet à nombre d’exceptions), adoptée cette même année, est réelle. Mais en période de croissance, l’indexation du salaire minimum n’empêchera pas une baisse relative du SMIG par rapport au salaire médian.

 

Accidents météorologiste en Europe : 140 000 morts

Accidents météorologiste en Europe  : 140 000 morts

 

D’après l’Agence européenne de l’Environnement (AEE), les accidents météorologistes ont provoqué 140 000 morts en Europe en 40 ans ; ces évènements «climatiques», principalement les canicules, mais aussi les vagues de froid, sécheresses et feux de forêt, comptent pour 93% du nombre total des morts et pour 22% des dommages financiers, selon le bilan qui repose sur les données de l’organisme CATDAT.

 

Pour l’Europe, l’AEE estime que les données des 40 dernières années ne permettent pas de conclure de façon certaine à un accroissement de ces phénomènes lié au changement climatique du fait des dommages très irréguliers selon les années, mais que le risque va s’accroître dans un avenir très proche. «Toutes les catastrophes que nous décrivons comme étant liées à la météo et au climat sont influencées par les conditions climatiques. Mais cela ne revient pas à dire qu’elles sont toutes influencées par le changement climatique», a déclaré à l’AFP un expert de l’agence européenne, Wouter Vanneuville. De récentes études, notamment les travaux du GIEC, montrent que la fréquence et la gravité d’événements comme les sécheresses et les incendies de forêt s’expliquent mieux lorsque le changement climatique est pris en compte, a-t-il toutefois rappelé. Pour d’autres, comme les tempêtes de grêle, on manque encore de preuves.

e l’AEE. «Après 2003, des canicules similaires ont causé moins de morts grâce à la mise en place de mesures d’adaptation», comme l’installation de climatiseurs, souligne l’agence. Au niveau national, l’Allemagne est le pays européen qui a le plus souffert avec 42.000 morts et des pertes financières s’élevant à 107 milliards d’euros. Suivent la France (26.700 morts et 99 milliards d’euros de dommages) et l’Italie (21.600 et 90). Seuls 23% des biens ayant souffert de dégâts matériels à travers l’Europe étaient assurés, mais les disparités sont énormes : ils étaient par exemple 1% à l’être en Roumanie et en Lituanie contre 55% aux Pays-Bas ou 56% au Danemark.

 

Covid monde: 5,64 millions de morts

Covid monde: 5,64 millions de morts

En valeur absolue, les pays les plus importants ont logiquement enregistré le plus de décès du fait de la pandémie. Rapporté au nombre d’habitants, le classement et différent. De ce point de vue la France se situe dans le plan de tête des mœurs avec 1900 décès par million d’habitants ( 130 000 en valeur absolue). En Europe qui a été durement touchée le Royaume-Uni se situe dans une position encore plus catastrophique avec 2300 décès par million d’habitants et 155 000 en valeur absolue. À noter qu’en Allemagne on constate 1402 morts par million d’habitants soit nettement moins qu’en France

Au plan mondial,  pandémie a fait officiellement plus de 5,64 millions de morts dans le monde depuis fin décembre 2019, sur plus de 368 millions de contaminations confirmées, selon un bilan établi par l’AFP samedi à 15H00 GMT.

Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de décès (882.881), devant le Brésil (625.884) et l’Inde (493.198).

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime, en prenant en compte la surmortalité directement et indirectement liée au Covid-19, que le bilan de la pandémie pourrait être deux à trois fois plus élevé que celui qui est officiellement établi.

Des chiffres toutefois à relativiser car les systèmes de santé et de statistiques diffèrent beaucoup sans parler des manipulations à caractère politique.

Covid France 26 janvier 2022 : hausse aussi des morts

Covid France 26 janvier 2022 : hausse aussi des morts

 

 

Des records ont été battus ce mardi 25 janvier avec le nombre de contaminations de plus de 500 000 en 24 heures, le nombre d’hospitalisés de plus de 30 000 et un nombres de décès toujours très important.

 

Concernant les décès à l’hôpital, la courbe ne cesse de grimper ces dernières semaines. Santé publique France rapporte 364 nouveaux décès liés au coronavirus recensés à l’hôpital pendant les dernières 24 heures.

 

En moyenne, les hôpitaux enregistrent maintenant 251 nouvelles victimes de l’épidémie chaque jour, contre une moyenne de 218 nouveaux décès par jour il y a une semaine. Au total, le bilan humain de la France s’établit à 129 386 morts au coronavirus depuis début 2020.

Parmi les pays les plus touchés la France dans le peloton de tête

 

Parmi les pays les plus touchés la France dans le peloton de tête 

Avec l’envolée des contaminations au cours des dernières semaines, la France se situe dans le polo donc de tête des décès  provenant du covid. Bien entendu ces statistiques peuvent être soumises à discussion tellement sont différents les systèmes statistiques et de santé dans chaque pays sans parler des considérations politiques .

Au 22 janvier la France a  enregistrée de l’ordre de 2000 décès pour 1 million d’habitants inférieurs à celui des États-Unis avec 2600, à celui du Brésil avec 2900, à celui du Royaume-Uni avec 2300 , à celui de l’Argentine avec 2600, inférieurs à la Colombie 2600, inférieurs à l’Ukraine avec 2400, inférieurs à la Belgique avec 2500 mais très supérieurs à celui de l’Allemagne, un pays comparable, avec 1300 décès par million d’habitants.

En cause sans doute ,les tergiversations sur la politique de prévention avec de nombreuses contradictions en France. Une politique sanitaire caractérisée d’une part par sa complexité d’autre part par son ambiguïté puisque le pouvoir en même temps annonce la fin prochaine de la pandémie et la levée des mesures au même moment où les statistiques s’envolent. Des annonces sans doute trop optimistes et la levée de mesures de protection trop prématurée.Le même phénomène qu’on a connu au cours de l’été 2021 !

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