Archive pour le Tag 'mort'

Page 9 sur 10

Affaires : menaces de mort sur des journalistes et des magistrats

Affaires : menaces de mort sur des journalistes et des magistrats

 

Il fallait s’y attendre les propos outranciers du camp Fillon mettant en cause la police, la justice et les journalistes ont largement contribué à brûler la cervelle d’individus au cerveau déjà dérangé. Ainsi les attaques injustifiées de Fillon ont encouragé des extrémistes de droite à adresser directement des menaces de mort  à des journalistes et à des magistrats. Si cela devait prendre des tournures dramatiques, Fillon serait grandement responsable par ses accusations irresponsables. Ces accusations graves contre  la  police, la justice et les journalistes le discrédite pour être un président garant de l’unité, de la justice et de la sécurité du pays.une  enquête a donc été ouverte pour « menaces de mort » après la réception par des magistrats et des journalistes du Canard enchaîné et de Mediapart de lettres accompagnées d’une balle, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Paris. Selon Mediapart, les magistrats en question sont quatre membres du pôle financier chargés de l’affaire concernant le candidat de la droite à l’élection présidentielle, François Fillon, ce que le parquet n’a pas voulu confirmer. Une photo de la lettre diffusée par Mediapart montre une courte missive sur laquelle figurent le dessin d’un cercueil et celui d’une tête de mort, à en-tête d’un « Collectif d’Epuration 2J », avec la mention « Juges et Journalistes dans le même sac». Le texte de la lettre, partiellement caché par une balle sur la photo, est « La Vigilance et la Protection ne durent pas Ad Vitam… Ce jour-là Nous serons là pour Vous ou l’un de vos Proches », ajoute Mediapart, qui précise que la missive a été envoyée de Marseille. Le président de l’association de défense des journalistes Reporters sans frontières, Christophe Deloire, a déclaré dans un communiqué que « les menaces proférées à l’encontre des journalistes de Mediapart et du Canard enchaîné sont graves et doivent être prises très au sérieux ». D’une certaine façon pour ambitionner d’être comme président « Ces actes d’intimidation sont inacceptables dans une démocratie et surviennent dans une atmosphère déjà contaminée par les propos toxiques et dangereux de responsables politiques à l’encontre des journalistes », ajoute-t-il.

PS : mort brutale ou lente agonie ?

PS : mort brutale ou lente agonie ?

 

De toute évidence, on  va vers la disparition du parti socialiste. La question est de savoir si cette mort sera brutale ou lente. On pourra avoir un début de réponse avec les résultats des élections présidentielles de 2017 et surtout des législatives qui suivront. Dans le meilleur des cas le parti socialiste obtiendrait d’après les sondages autour de 10 % avec Valls, 5% avec Montebourg. Un score qui rappelle celui de Gaston Defferre en 1969 quand l’ancêtre du parti socialiste à savoir la SFIO a  disparu (Defferre avait obtenu 5 %). Le parti socialiste supposé représenter les couches populaires notamment les ouvriers ne recueille pratiquement plus aucun soutien dans cette catégorie sociologique récupérée à hauteur de 50 % par le Front National. En réalité,  le parti socialiste a été approprié dès le départ par les professionnels de la politique ;  des couches moyennes et aisées ou supérieures bien loin des préoccupations des moins favorisés. Jusque-là grâce à Mitterrand et à quelques autres comme Hollande, le parti socialiste a  réussi l’exploit de faire un grand écart entre dés orientations crypto communistes  (représentées aujourd’hui surtout par les frondeurs à mon) et une pratique de gestion plutôt centriste de type social libéral. Les réalités  de la gestion ont fait éclater en vol les contradictions idéologiques du parti socialiste. Une organisation qui par ailleurs n’a jamais représenté une organisation de masse mais plutôt un club d’élus et de candidats à l’élection. Pour preuve aucune réflexion de fond n’est jamais sortie du parti socialiste dont les structures sont virtuelles et ne servent pratiquement à rien. Certes des débats ont lieu dans certains cas mais il n’en est jamais tenu compte lorsque le parti socialiste est au pouvoir. Ce fut le cas en 81 avec François Mitterrand qui s’est assis immédiatement et sans scrupules sur le projet socialiste préparé par Chevènement et qui a sorti de son chapeau 110 propositions par ailleurs pas davantage respectées. Même chose avec Jospin ou encore Hollande. D’une certaine façon le bouillant Mélenchon a raison quand il se demande à quoi peut servir une candidature socialiste en 2017 alors qu’elle se situera en quatrième, cinquième voir sixième position. Certains observateurs estiment que l’enjeu de la primaire de la gauche n’est plus la présidentielle mais la préparation du prochain congrès du parti socialiste pour en prendre la direction. Reste à savoir ce qu’il en restera. En effet les législatives pourraient être encore plus meurtrières pour le parti socialiste. Un parti qui aujourd’hui peut compter 250 députés et qui demain pourrait voir sa représentation réduite à 30 ou 50 dans le meilleur des cas. À moins évidemment de se rallier pour les uns a Mélenchon pour les autres à Macron. Ce que feront sans doute nombre de députés socialistes qui voudront sauver leur peau. Le parti socialiste va vraisemblablement connaître le sort de la SFIO c’est-à-dire disparaître à terme et en attendant vivoter avec un impact dans l’électorat autour de 7 %. En cause dans cette agonie,  le fait que le parti socialiste a été complètement détourné de son objet du fait de l’appropriation par des professionnels de la politique,  des dirigeants sans grande conviction et -où coupés des réalités socio-économiques voir culturelles. En tout état de cause la mort du parti socialiste et programmés avec d’un côté des crypto marxistes proches de Mélenchon et de l’autre des sociaux libéraux proches de Macron.

« EDF : danger de mort » (François de Rugy)

« EDF : danger de mort » (François de Rugy)

 

 

.

Le propos de François de Rugy, candidat écologiste à la primaire organisée par le PS est sans doute excessif mais l’analyse des finances d’EDF parait quand même pertinente. Témoins l’action qui  valait 32 € en 2005 et qui est passée sous la barre des 10 € ;  en cause, la prolongation de la durée de vie des centrales  pour un de  coût de 100 milliards d’euros sur 15 ans. , la dette de 40 milliards, les 25 à 50 milliards du site d’enfouissement des déchets nucléaires de Bure en Moselle enfin un besoin de financement de 200 milliards à terme pour le renouvellement du parc nucléaire. Sans parler des coûts de démantèlement.  

 

« On a accumulé les dettes et (on) a devant nous un mur d’investissements (…) à 100 milliards d’euros, si l’on veut prolonger les centrales nucléaires. Donc moi je propose au contraire que ces 100 milliards d’euros, on les investisse dans le développement des énergies renouvelables », a expliqué le député de Loire-Atlantique, qui vise dans son programme d’arriver à 100% d’énergie renouvelable d’ici à 2050.   Il faut donc dire aux salariés d’EDF, oui on va fermer les centrales, on ne va pas vous mentir, on va le faire ensemble, vous serez tous reconvertis, vous serez tous gardés au sein de l’entreprise EDF », a-t-il ajouté.  Selon François de Rugy, « c’est d’ailleurs en faisant ce virage qu’on sauvera EDF, sans quoi (l’entreprise) risque de mourir à cause des boulets financiers qu’elle a aux pieds à cause du nucléaire ».       François de Rugy a aussi estimé que la fermeture de la centrale de Fessenheim, une promesse de campagne de François Hollande, était « tout à fait possible » d’ici la fin du quinquennat. « Il est encore temps de le faire avant la fin du mandat », a-t-il déclaré.

Mort du chef jihadiste Mokhtar Belmokhtar

Mort du chef jihadiste Mokhtar Belmokhtar

Le jihadiste algérien Mokhtar Belmokhtar aurait été tué par une frappe aérienne française en Libye, a annoncé dimanche 27 novembre le Wall Street Journal, citant des sources militaires américaines. Une information confirmée lundi 28 novembre par un responsable américain auprès de l’AFP. C’est au moins la troisième fois que ce chef terroriste, membre d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), est annoncé mort, rappelle le JDD. Selon le quotidien new-yorkais, il aurait été tué au cours d’une opération au mois de novembre 2016. Pour l’heure, ni les Etats-Unis et la France n’ont officiellement confirmé cette information.  Une frappe aérienne française en Libye serait une première depuis 2011, rapporte sur Twitter le journaliste et spécialiste des questions jihadistes David Thomson. La France était alors engagée dans une coalition avec les Etats-Unis contre le régime de Mouammar Kadhafi.

2017 : Valls mort politiquement ?

2017 : Valls mort politiquement ?

D’après le JDD Manuel Valls s’inquiète de son avenir politique. Certes il ne cache pas son ambition de représenter le parti socialiste pour le cas où François Hollande renoncerait mais il est tout autant conscient qu’un score très marginal pourrait provoquer sa mort politique. Certes la cote de popularité de Manuel Valls n’est pas complètement négligeable : autour de 25 % selon les sondages. Par contre le score qu’il pourrait espérer en 2017 risque de se situer en-dessous de 10 % (autour de 7à 8 % selon le sondage) concurrencée qu’il serait d’une part par Mélenchon qui obtiendrait autour de 15 %, d’autre part par Macron qui obtiendrait aussi autour de 15 %. Dans tous les cas Manuel Valls  ne pourrait se qualifier pour le deuxième tour des présidentielles. Il n’est même pas certain de remporter la primaire du parti socialiste ; pour l’instant, il est devancé par Montebourg. Le Premier ministre, se dit prêt à remplacer le chef de l’Etat à la présidentielle, estime aussi qu’il   »risque de terminer à 10% » au premier tour du scrutin. . Manuel Valls, cité dans Le Canard enchaîné à paraître mercredi et repris par Le Lab, aurait commenté en des termes très sévères les confidences de  François Hollande dans le livre Un président ne devrait pas dire ça. De retour du Canada, le Premier ministre aurait en effet critiqué les déclarations de son chef de l’Etat faites auprès des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme. « C’est irresponsable, consternant, indéfendable, et cela peut-être cataclysmique », aurait lancé Manuel Valls selon Le Canard avant d’enchaîner sur l’éventuelle candidature à la présidentielle de François Hollande : « Je ne vois pas, après ça, comment il peut faire campagne! Cela ressemble à un suicide politique. Il faut maintenant éviter que ce suicide personnel ne devienne collectif. » Samedi dernier, un député PS avait déjà employé l’expression : Mardi, c’est Jean-Marc Ayrault qui a critiqué les propos de François Hollande, après de nombreux responsables comme Claude Bartolone. Interrogé sur cet ouvrage lors d’une rencontre avec la presse au Quai d’Orsay, le ministre des Affaires étrangères a été lapidaire : « Un président ne devrait pas dire ça… la réponse est dans le titre, c’est la seule chose intéressante du livre. » L’ex-Premier ministre est nommément cité dans le livre : Jean-Marc Ayrault « fait le métier sans enthousiasme excessif », « il est tellement loyal qu’il est inaudible », dit notamment de lui le chef de l’État. Dans un autre indiscret du Canard enchaîné de mercredi, Manuel Valls ne s’arrête pas là et envisage son propre avenir. Le Premier ministre a souvent répété être prêt à remplacer François Hollande si ce dernier ne se présentait pas à la prochaine élection présidentielle. Mais, dans ce cas précis, le chef du gouvernement est peu optimiste quant à son propre avenir. « Je vais me retrouver candidat, mais je risque de terminer à 10%. Je serai alors mort politiquement », aurait-il déclaré, toujours selon l’hebdomadaire satirique.

 

La mort de l’OPEP ?

La mort de l’OPEP ?

 

 

Ce n’est pas tout à fait la mort de l’OPEP mais plutôt sa mise en sommeil du fait de l’Arabie Saoudite qui considère que le gel de la production réclamée par certains pays producteurs n’est plus adapté à l’évolution structurelle du marché du pétrole. Pour résumer,  l’Arabie Saoudite considère qu’il vaut mieux vendre aujourd’hui à bas prix car demain avec les évolutions technologiques et écologiques les prix risquent d’être encore plus bas. Sans compter que l’économie mondiale semble s’installer un moment dans une croissance relativement molle. Ryad estime en effet que prendre les prix pour objectif n’a plus de sens car la situation actuelle du marché, dont les prix ont chuté depuis la mi-2014, atteste de changements en profondeur et non conjoncturels, selon des sources au fait de la pensée saoudienne. Les tensions entre l’Arabie saoudite et l’Iran, qui ont eu raison le mois dernier d’une tentative de sceller un premier accord de gel de la production en 15 ans, se sont à nouveau exprimées sans retenue lundi. Le gouverneur iranien, Hossein Kazempour Ardebili, a ainsi déclaré que la raison d’être de l’Opep était de maîtriser les cours et qu’en conséquence une « gestion efficace de la production » devait être l’une de ses priorités à long terme.   »L’industrie pétrolière n’est plus, toutes proportions gardées, une industrie de croissance », explique l’une des sources. Une baisse des prix avait par le passé pour effet de doper la demande. Ce n’est plus le cas désormais car l’industrie automobile a fait de gros progrès en matière de consommation et l’écologie est devenue un enjeu clé pour de nombreux consommateurs. Ainsi, alors que les prix ont touché des plus bas record en 2015, la demande globale ne devrait augmenter que d’un million de barils par jour (bpj) cette année, soit de 1% à peine. Une chose est certaine : le royaume saoudien ne renouera pas avec une réduction des pompages pour le bien de tous les autres pays producteurs de l’organisation, disent des sources saoudiennes. Un point de vue partagé par certains concurrents de l’Arabie. « L’Arabie saoudite n’en a plus rien à faire de l’Opep; c’est le pétrole de schiste américain, les sables bitumineux du Canada et la Russie qu’elle a en ligne de mire », résume une source de l’Opep extérieure aux pays du Golfe.

(Avec AFP)

Twitter à plus de 140 caractères : ou la mort de la littérature française contemporaine

Twitter à plus  de 140 caractères : ou la mort de la littérature française contemporaine

On vient à peine de banaliser le « fast aphorisme numérique »  que déjà les écrivains au  bestseller d’une ligne sont renvoyés aux principes  premiers de l’écriture. En effet Twitter veut faire sauter le verrou de 140 caractères et passer à 10 000. Une vraie révolution culturelle. Dommage car nombre de succès littéraires était fondés sur le rétrécissement de la pensée et du verbe. Un seul exemple,  un des grands succès de 2015 « Le crime du compte Neuville » d’Amélie Nothomb paru  chez Albin Michel écrit sans doute en une journée-ceci expliquant cela-  ne compte que 130 pages avec en plus une énorme police de  caractères et de très grandes  marges. Pour donner une idée cette œuvre magistrale dans son volume (comme dans son contenu), ne représenterait qu’une trentaine de pages si l’on retenait la mise en page d’« A la recherche du temps perdu » de Proust (texte intégral paru chez Gallimard en 1999). Du coup cette décision de Twitter constitue un coup d’arrêt à la logique d’écriture des romans réalisés en une journée entre deux verres de beaujolais  à la terrasse du Café de Flore.  Décidément, Twitter ne sait plus quoi faire pour séduire de nouveaux utilisateurs ! Après avoir expérimenté en décembre 2015 l’affichage des tweets par pertinence et non plus dans un ordre chronologique, voilà que le site de microblogging réfléchit à abandonner à sa fonction historique, la limite des 140 signes pour un tweet… comme une rumeur le laissait déjà entendre en septembre.  La nouvelle limite pourrait être de 10 000 caractères !  De quoi porter un coup fatal à la logique de production intellectuelle dans le domaine philosophique et surtout politique. Un aspect positif toutefois : la retombée sur l’emploi. On prévoit en effet la création de milliers de postes de nègres pour aider nos élites à produire au-delà de trois lignes de réflexion.

Le système antiterroriste français en état de mort clinique ?

Le système antiterroriste français en état de mort clinique ?

Le journal Le Monde s’interroge à juste titre sur l’efficacité du dispositif antiterroriste de la France qu’l  considère en état de mort clinique. Le constat de la situation est certainement pertinent car en particulier notre organisation du renseignement a montré de graves défaillances. Reste cependant à ébaucher une réponse à ce terrorisme d’un nouveau type une réponse qui n’est pas évidente  car le risque zéro n’existe pas face à une telle barbarie. Ce ne sont pas 1000 ou 2000 policiers supplémentaires– même nécessaires-  qui permettront de resserrer les mailles  du filet. Les individus radicalisés seraient autour de 4000, or  il faut environ 20 policiers pour surveiller un individu potentiellement dangereux sans parler de ce qui ne sont pas identifiés comme tels. Du coup se repose totalement la problématique de l’organisation du renseignement qui doit impérativement impliquer la population. En situation de guerre comme nous le sommes la police officielle doit s’appuyer sur un réseau d’indicateurs qui maillent le territoire. En outre la vigilance active de tous les Français doit être sollicitée. Bref une autre organisation à la dimension du risque. Comme l’indique le monde : « Ce qui le scandalise, c’est avant tout l’absence totale de remise en question affichée au sein du ministère de l’intérieur et du gouvernement. «Je veux saluer encore une fois le travail exceptionnel de nos services de renseignement», a répété Manuel Valls, devant les députés, le 19novembre, après la mort à Saint-Denis du coordonnateur probable des attentats, Abdelhamid Abaaoud – que lesdits services de renseignement croyaient pourtant en Syrie. Au fond, aucune de ces réformes de structure ou modifications législatives – dont certaines se sont révélées inutiles, comme la création d’une infraction d’« entreprise individuelle terroriste » – n’a changé les deux piliers de la lutte anti­terroriste: l’infraction d’« association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et le cumul judiciaire-renseignement au sein d’un même service. A l’origine, ce dernier devait permettre à la direction de la surveillance du territoire (DST), devenue direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) en  2008 puis direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en 2014, de maintenir une bonne circulation de l’information en son sein. »

Béziers : menaces de mort sur des opposants à Ménard

Béziers : menaces de mort sur des opposants à Ménard

<:figure>Aimé Couquet et les deux militants Linda Mendy-Hamdani et Mehdi Roland ont reçu une lettre de menaces de mort, rapporte samedi 24 octobre Midi Libre. Envoyé au siège du Parti communiste biterrois le 21 octobre, le courrier, insultant et truffé de fautes d’orthographe, affiche une du Klu Klux Klan en en-tête. Connus pour s’être opposés au maire de Béziers proche du Front national notamment sur la question des réfugiés syriens, les trois personnes visées avaient par ailleurs été qualifiées de « militants de la haine » dans le bulletin municipal du 15 octobre, rapporte Metronews.   Pour Aimé Couquet, aucun doute : il y un lien direct entre son engagement et ces menaces : « Par ses propos et ses interventions musclées, le maire de Béziers crée dans notre ville un climat délétère, de suspicion et de dénonciation. Peut-être cela pèse-t-il dans le comportement de certains individus qui croient que tout est permis ? Ce n’est pas cela qui nous fera reculer dans notre résistance ». Il a refusé de porter plainte, au contraire de Mehdi Roland qui dit vouloir étudier le cas avec son avocat selon le quotidien régional. Des propos qui n’ont pas manqué de faire réagir le maire de Béziers. S’il condamne le courrier, « le fait d’abrutis », il considère qu’utiliser cette histoire à des fins politiques est « minable ». « Je ne rends personne responsable des graffitis me visant. Aimé Couquet a une attitude minable. Si ces faits sont graves, on commence par porter plainte avant de prévenir la presse.

Méditerranée : Mort de 40 migrants dans l’indifférence

Méditerranée : Mort de 40 migrants dans l’indifférence

Encore une tragédie en Méditerranée avec 40 migrants morts  d’asphyxie dans la cale d’un bateau d’un bateau de pêche, a annoncé la marine italienne samedi. Depuis le début de l’année ce sont plusieurs milliers de morts qui ont été enregistrés. Des victimes de la guerre, des conflits religieux et de la famine. Jusqu’à maintenant l’Europe s’est montrée incapable d’apporter une solution efficace et humaine pour gérer cette migration. Pour résumer chaque pays se limite à tenter de repousser les migrants dans le pays voisin. L’action de l’union européenne ce caractérise par une grande indigence, elle est très critiquée même par l’ONU. Il est évident qu’une réflexion reste à entreprendre pour élargir la problématique de l’immigration. La question n’est pas simple car de nombreux facteurs explicatifs sont à prendre en compte (impact des anciennes colonisations, pillage des ressources des pays concernés, corruption, interventions militaires déstabilisatrices, lutte contre l’État islamique, conditions de circulation à l’intérieur de l’Europe, efficacité de l’aide au développement etc.) Les dernières  victimes de la méditerranée  étaient 40 probablement mortes d’avoir inhalé des émanations de carburant alors qu’une voie d’eau s’était déclarée dans la cale du bateau, a expliqué le capitaine du navire qui a porté secours aux naufragés. Le commandant Massimo Tozzi a précisé que les membres de son équipage ont découvert les corps des victimes baignant « dans l’eau, le carburant et des excréments humains » dans la cale. L’amiral Pierpaolo Libuffo, chef des opérations de secours menées par la marine italienne, a annoncé sur la télévision italienne que 312 survivants, dont 45 femmes et trois enfants, avaient été récupérés. Les corps de sept migrants ont été transférés sur le navire de secours et une trentaine d’autres se trouvaient toujours dans la cale, a-t-il ajouté. Le bateau de pêche a été remorqué en direction de l’île de Lampedusa. Les migrants qui sont arrivés en Italie ont raconté que les passeurs opérant en Libye exigeaient entre 1.200 et 1.800 dollars par personne pour une place sur le pont d’un bateau. Le prix est divisé par deux pour ceux qui acceptent de faire le trajet dans la cale. Mardi soir, une cinquantaine de migrants qui se trouvaient à bord d’un canot pneumatique ont été portés disparus en mer tandis que près de 2.000 personnes ont été secourues au cours de la semaine.

 

Terrorisme : la peine de mort en Tunisie

Terrorisme : la peine de mort en Tunisie

Rédigée à la suite des attentats survenus à Sousse le 26 juin dernier, la nouvelle loi antiterroriste adoptée par le Parlement tunisien dans la nuit de vendredi, prévoit entre autres la peine de mort pour crime terroriste ainsi que la possibilité de maintenir un suspect en garde à vue pendant quinze jours sans avocat.  Un texte drastique controversé, qui fait la fierté de la majorité mais provoque la colère des ONG qui estiment qu’il porte atteinte aux libertés individuelles.   Le président de l’Assemblée des représentants du peuple, Mohamed Ennaceur, a évoqué un « effort extraordinaire » pour renforcer la sécurité en Tunisie. Le pays s’inquiète tout particulièrement des djihadistes qui s’infiltrent dans le pays à partir de la Libye voisine où Daech a profité du chaos ambiant – deux gouvernements et deux parlements se disputent le pouvoir – pour établir une présence. La Tunisie a d’ailleurs annoncé avoir commencé à ériger un mur et un fossé le long de sa frontière avec la Libye, qui court sur 168 km.  La transition vers la démocratie s’est faite de façon plutôt pacifique en Tunisie, depuis le soulèvement de 2011, mais le pays doit désormais faire face à une insurrection islamiste. Le mois dernier, 39 touristes, principalement britanniques, ont trouvé la mort dans un attentat dans la station balnéaire de Sousse. En mars, au musée du Bardo à Tunis, deux hommes ont tué 21 touristes étrangers et un policier tunisien.  Ces deux attentats ont été revendiqués par le groupe Etat islamique.

 

 

Trichet : comme les autres, à « mort la Grèce « 

Trichet : comme les autres,  à « mort la Grèce  »

 

Formidable Trichet qui n’a jamais eu la moindre formation ou expérience économique, ce qui ne l’a pas empêché de diriger –mal- la BCE dans le sens que souhaitait l’Allemagne. Et c’est pourquoi il était tellement apprécié.  Et qui répète encore ce que dit m’Allemagne : » la Grèce dehors ». Putassier en plus quand il sollicité la condamnation des Français et leur nationalisme. Au fait il était bien gouverneur de la Banque de rance quand les déficits français se sosnt accumulés ? Er c’est combien la retraite d’un ancien gouverneur ? Et quel était son salaire de président de la BCE en 2007 ? Le «traitement de base» du Président du directoire, Jean-Claude Trichet, était  de 345 252 euros par an, celle du vice-président, Lucas Papademos, de 295 920 euros, et celle des quatre autres membres du directoire, de 246 588 euros chacun A ces sommes s’ajoutent «une indemnité de résidence et une indemnité pour frais de représentation. Pour ce qui concerne le président, un logement de fonction appartenant à la BCE est mis à sa disposition, à la place de l’indemnité de résidence. Conformément aux conditions d’emploi du personnel de la Banque centrale européenne, les membres du Directoire ont droit à des allocations scolaires, de foyer et pour enfant à charge, en fonction de leur situation individuelle». Ces indemnités supplémentaires ainsi que «les prestations qu’ils ont perçues au titre des cotisations de la BCE aux régimes d’assurance maladie et accidents se sont élevées au total à 579 842 euros (557 421 en 2006), portant le montant total des émoluments à 2 207 366 euros (2 153 013 en 2006)». En comparaison, le  président de la Réserve fédérale américaine ne gagne «que» 186.000 dollars (dévalués) alors que celui de la Banque nationale de Belgique atteint le record de… 475.000 euros. Le président de la Commission, lui, ne gagne que 280 608 euros par an auxquels s’ajoutent une indemnité de résidence de 42 091 euros et 16 800 euros d’indemnité de représentation. Un traitement similaire à celui du Président de la Cour de justice européenne.  La Grèce s’apprête à demander une nouvelle aide financière mais Trichet s’y oppose, il faudrait sans doute toucher à sa retraite (payée par la dette française).  Pour l’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE), Athènes doit d’abord s’engager à faire de nouvelles réformes.  Pour Jean-Claude Trichet, Athènes doit fournir « des engagements crédibles, qui permettent de remettre la Grèce sur des rails, d’avoir de la croissance, des créations d’emplois, d’être à nouveau compétitive« . A cette condition, une nouvelle aide est possible. Les Grecs ont massivement rejeté, lors du référendum de dimanche, le plan proposé par les créanciers du pays. Mais selon Jean-Claude Trichet, la Grèce doit d’abord s’en prendre à elle-même et à ses dépenses excessives avant la crise : « quand les Français avaient 36% d’augmentation de salaire, les fonctionnaires grecs avaient 117% d’augmentation de salaire. Il y a eu un dérapage non contrôlé« . « Ce que vous appelez l’austérité« , ajoute-t-il, « c’est le retour progressif à une situation d’équilibre« . Alexis Tsipras veut renégocier, sans attendre, la dette de son pays. Jean-Claude Trichet est opposé à toute réduction de cette dette : « Les Français ont sur la Grèce une créance de 45 milliards d’euros (…) On ne peut pas en parler légèrement dans l’état des finances publiques françaises et compte tenu de ce qu’on a déjà demandé aux contribuables français (…) Je suis totalement contre un abandon de créance« . Plus putasser tu meurs !

Terrorisme Nantes : un mort

Terrorisme Nantes : un mort

 

 

Il y a un mort victime de l’acte terroriste à Nantes. C’est une victime du terrorisme et de la propagande de l’Etat islamique   même si l’auteur est un déséquilibré (comme la plupart des islamistes radicaux). Ce que conteste le gouvernement qui a pourtant annoncé le renforcement du plan Vigipirate, précisément un plan destiné à lutter contre le terrorisme. Au lendemain de l’attaque du marché de Noël place Royale à Nantes, l’une des personnes blessées par la voiture folle est décédée ce 23 décembre, a annoncé le président de la République François Hollande pendant son déplacement à Saint-Pierre et Miquelon. La victime est un jeune homme de 25 ans, dont le pronostic vital était engagé depuis hier soir.  « Je viens d’apprendre qu’il y a eu un décès à Nantes », a déclaré le chef de l’État. Son entourage a ensuite indiqué qu’il s’agissait de la « mort clinique » d’une de ces victimes, déjà annoncée par le procureur de Nantes. Au total, 9 piétons ainsi que le conducteur de la camionnette avaient été touchés. Six d’entre eux sont sortis de l’hôpital.  Ce 22 décembre, un homme de 37 ans, prénommé Sébastien, avait foncé en camionnette sur le marché de Noël de la ville. Il avait ensuite tenté de se suicider en se poignardant de 9 coups de couteau. Il est toujours dans un état grave, mais ses jours ne sont plus en danger. La procureure de la République de Nantes a annoncé qu’il ne s’agissait pas d’un acte terroriste. Le conducteur n’a aussi aucun rapport avec la mouvance islamique. Le premier ministre Manuel Valls a annoncé le renforcement du plan Vigipirate pendant les fêtes dans les zones à forte fréquentation. 200 à 300 militaires de plus seront déployés à travers la France.

 

La mort du pacte de responsabilité ?

La mort du pacte de responsabilité ?

 

 

C’est la mort du pacte de responsabilité pour le député Mariton., selon Hervé Mariton. La mort peut-être pas mais un sérieux coup de canif dans le volet social. « C’est le rappel d’une réalité simple : il y a des règles. Les charges sociales ne doivent pas être progressives. Ils le savaient et sont allés au mépris de la règle », estime Mariton. « Le pouvoir d’achat dépend d’une politique économique et le gouvernement n’en a pas », poursuit le député UMP. Hervé Mariton considère même que « le pacte de responsabilité est mort ». Et d’énoncer trois erreurs commises, selon lui, par le gouvernement : « Une technique, une politique et une économique. Il ne reste rien de ce pacte ». Dès la rentrée, le gouvernement va tenter de sauver les meubles et proposera des mesures alternatives. Matignon passera par la fiscalité pour tenir sa promesse. –  Le Conseil constitutionnel a refusé ce soir l’allègement des cotisations salariales pour les ménages aux revenus modestes. Cette mesure phare du pacte de responsabilité devait pourtant permettre aux salariés en difficulté d’économiser près de 520 euros par an. Elle aurait dû toucher 5,2 millions de salariés et 2,2 millions de fonctionnaires au 1er janvier 2015.   Face à ce veto constitutionnel, Matignon prévoit dès la rentrée de passer par la voie fiscale pour mettre en place des mesures alternatives qui auraient la même ampleur. Il y a cependant une grande différence entre une réduction d’impôt sur le revenu qui intervient un an après et une augmentation mensuelle vis les cotisations socailes.

 

 

UMP : un parti déjà mort (Christian Estrosi)

UMP : un parti déjà mort (Christian Estrosi)

 

Christian Estrosi :  « nous avons un parti qui est déjà mort, un parti qui ne distribue plus que des investitures et ne produit plus d’idées nouvelles. Interrogé sur la dette de l’UMP, qui pourrait atteindre 80 millions d’euros, Estrosi rétorque : « Si ce chiffre est exact, cela veut dire que la situation est extrêmement grave et que l’UMP est terriblement fragilisée.» « Nous ne pouvons pas faire autrement que de changer de nom. Ce n’est pas une restructuration avec un congrès a minima qu’il faut, mais une véritable révolution ! », ajoute le député-maire de Nice, qui juge par ailleurs que le bureau actuel de l’UMP est « une instance où les places ont été partagées, il y a deux ans, entre Copé et Fillon » et qui « ne correspond plus à la carte politique d’aujourd’hui ». « Les élus locaux, ceux-là mêmes qui ont offert d’extraordinaires victoires lors des dernières municipales, sont peu représentés », note-t-il. « Or, aujourd’hui, c’est grâce à eux que nous avons encore autant de militants ». Estrosi assure que « l’UMP est devenue un parti bourgeois et élitiste », et souhaite qu’elle redevienne « un parti populaire ».  Il se dit par ailleurs prêt à quitter le parti. « Après le congrès, si l’UMP est à nouveau le théâtre des ego, des petits marquis animés par des serviteurs zélés qui n’hésitent pas à trahir les uns et les autres en fonction de leurs intérêts, je ne m’y sentirai plus à ma place. Je dis même que je n’en serai plus. Je suis prêt à apporter ma contribution à une autre aventure collective, en espérant ne pas en arriver là ». Estrosi explique également qu’en cas de candidature de Nicolas Sarkozy, il « pourrait avoir…toutes les raisons de le soutenir. Mais seulement si c’est pour bâtir un projet, des idées et une gouvernance nouvelle », tempère celui qui se défend d’être un « sarkobéat ».

 

1...678910



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol