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La mort au Sahel d’un important chef djihadiste : une annonce bien tardive !

La  mort au Sahel d’un important chef djihadiste : une annonce bien tardive !

 

 

Une annonce bien tardive de la part du gouvernement français qui sans doute tente désespérément de faire écho à la déclaration tonitruante de Trump  à propos de la mort du chef de Daesh en Syrie. On sait que Macron a pris ombrage des propos du président américain indiquant  clairement que la France, pourtant membre de l’alliance théoriquement, n’avait pas été informée de l’opération visant à détruire Baghdadi. Du coup on ressort un peu tardivement une information relative à la mort d’un  supposé chef djihadiste important, le Marocain Ali Maychou qui a été tué au Sahel par l’armée française le mois dernier d’après  la ministre des Armées Florence Parly.

“Le 9 octobre, la France a éliminé le numéro deux du groupe RVIM au Sahel, rattaché à Al-Qaïda. Ali Maychou, leader religieux, recruteur et cerveau de plusieurs attentats d’ampleur était un artisan de la haine”, a écrit la ministre sur Twitter.

Selon les propos tenus à l’AFP par la ministre dans l’avion qui la ramenait d’une tournée au Sahel, Ali Maychou, de son vrai nom Abou Abderahman al Maghrebi, a été tué au Mali dans la nuit du 8 au 9 octobre lors d’une opération menée en coordination avec les forces maliennes et un soutien américain.

L’état-major des Armées a précisé que le chef djihadiste avait été tué lors d’une opération héliportée essentiellement française dans la région de Tombouctou, à la suite d’un “renseignement”.

L’identité de la victime a été confirmée à 100%, a-t-il ajouté.

Le RVIM est l’acronyme de Rassemblement pour la victoire de l’islam et des musulmans, autre nom donné au GSIM (groupe de soutien à l’islam et aux musulmans), affilié à Al Qaïda et dirigé par le chef touareg malien Iyad ag Ghali.

La France avait déjà annoncé en février avoir éliminé un précédent numéro deux du RVIM, Yahia Abou Hamman.

La ministre des Armées a réaffirmé l’engagement de la France à aider ses partenaires africains à lutter contre la recrudescence des attaques djihadistes au Sahel, mardi à Bamako, troisième étape d’une tournée qui l’a menée au Tchad, au Burkina Faso et au Mali. Une annonce sans doute aussi pour tenter d’éteindre les fortes de interrogations sur l’opportunité d’une présence française au Sahel et sur son efficacité.

Le terrible attentat perpétré par Daesh qui a fait 54 morts dans le nord-est du Mali doit évidemment nous interroger sur la situation particulièrement gangrénée au Sahel. par ailleurs au Burkina , cinq gendarmes et au moins cinq civils ont été tués lundi matin lors d’une attaque contre le détachement de gendarmerie de Oursi (province de l’Oudalan, nord). Cette fois il s’agit de victimes maliennes et burkinabaises mais régulièrement on compte aussi des victimes parmi les forces internationales et les forces françaises en particulier. Au Mali, au Burkina Faso au Niger Daesh  se montre de plus en plus agressif et présent. Les attaques contre des objectifs militaires ou civils se multiplient. Il faut bien constater une certaine impuissance des forces internationales et en particulier de la force Barkhane qui paraît actuellement bien mal adaptée pour lutter contre le terrorisme. Pire, cette force est de plus en plus critiquée par la population locale qui constate aussi l’impuissance totale des autorités publiques, leur corruption et leur irresponsabilité. La France est en train de s’enliser dans un conflit dont elle risque de porter la responsabilité pour n’avoir pas su impliquer davantage les acteurs locaux. De ce point de vue il serait temps de réexaminer une situation qui devient particulièrement dangereuse et de réadapter la stratégie.

Au moins 53 soldats et un civil ont en effet été tués lors d’une attaque contre un poste de l’armée dans le nord-est du Mali, a annoncé le gouvernement malien samedi, dans l’une des attaques les plus meurtrières de ces dernières années contre l’armée dans le pays. Le groupe djihadiste Etat islamique a revendiqué l’attaque dans la soirée, via son organe de propagande Amaq. “Des inconnus lourdement armés ont attaqué vers midi. L’attaque a commencé par des tirs d’obus… Puis ils se sont retirés vers le Niger”, a déclaré à Reuters le porte-parole du gouvernement, Yaya Sangaré.

Il a ajouté que le nombre de victimes restait encore provisoire alors que les cadavres étaient en cours d’identification. L’armée a opéré une opération de ratissage dans le secteur avec le soutien des forces internationales, notamment des troupes françaises de l’opération Barkhane et des casques bleus de l’ONU.“Les renforts dépêchés sur place ont trouvés 54 corps dont un civil, 10 survivants et trouvé des dégâts matériels considérables”, avait déclaré plus tôt dans la journée Yaya Sangaré sur Twitter. Par ailleurs, l’Elysée a de son côté annoncé dans un communiqué le décès d’un militaire français de l’opération Barkhane. Le militaire, qui appartenait au 1er régiment de Spahis de Valence, a succombé à ses blessures après le déclenchement d’un engin explosif au passage de son véhicule blindé près de la ville de Ménaka.

La mort du brigadier Ronan Pointeau nous montre que le combat contre les groupes terroristes qui sévissent au Sahel n’est pas terminé”, a souligné dans un communiqué Florence Parly, la ministre française des Armées.

 

Mort d’al-Baghdadi: Trump a menti

Mort d’al-Baghdadi: Trump a menti

 

 

Avec des détail scabreux relevant davantage de l’exhibitionnisme que de la vérité, Trump a mis en scène le récit de la mort de Baghdadi , le chef de Daesh. Une mise en scène par ailleurs idiote avec des propos excessifs qui ne peuvent qu’attiser le velléités meurtrières  de déséquilibrés. Comme d’habitude , l’expression de Trump n’a pas de finalité diplomatique mais vise seulement à renforcer les convictions de ses fans en interne. En tout ce que Trump a dit de la fin du chef des terroristes est en grande partie faux.

D’après la presse américaine, les images auxquelles le chef d’Etat a eu accès en temps réel étaient en fait une captation aérienne du site, offrant plusieurs angles de vue, colorée par les signatures thermiques des protagonistes, le tout retransmis sur plusieurs écrans. Les militaires déployés au sol étaient bien équipés de caméras arrimées à leur torse mais elles ne faisaient qu’enregistrer sans diffuser aussitôt. Pour les visionner, il fallait les télécharger a posteriori. Ni le Pentagone ni la Maison Blanche n’avaient donc pu consulter ces images, selon le New York Times, au moment où Donald Trump s’est installé derrière les micros.

De surcroît, Donald Trump n’a rien pu entendre des échanges sur place. S’il était bien renseigné par des rapports in vivo, à l’instar de Barack Obama, abreuvé d’informations livrées par Leon Panetta, alors directeur de la CIA, lors de l’intervention ayant conduit à l’élimination d’Oussama Ben Laden au Pakistan en 2011, il n’existait pas de communication audio en direct entre le site syrien et la Maison Blanche.  Un dernier obstacle, bien qu’hypothétique à ce stade, vient gêner le récit de Donald Trump et sa faculté à avoir eu connaissance des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi : on ne sait pas si le chien qui a suivi al-Baghdadi dans le tunnel - dont l’action a été saluée sur Twitter par Donald Trump lundi - portait une caméra.

 

Nantes Mort de Steve: pour Edwy Plenel, « Édouard Philippe a parlé trop vite » (Edwy Plenel)

Nantes Mort de Steve: pour Edwy Plenel, « Édouard Philippe a parlé trop vite » (Edwy Plenel)

 

Invité ce mardi à l’antenne de BFMTV et de RMC, le co-fondateur de Mediapart Edwy Plenel a de nouveau réagi à cette affaire, estimant que « sans aucun doute, Édouard Philippe a parlé trop vite et son ministre de l’Intérieur (Christophe Castaner, NDLR) a montré une très grande indifférence. »

« Nous avons révélé deux éléments qui auraient du se retrouver dans cette enquête de l’IGPN. D’abord le rapport du commandant de la compagnie républicaine de sécurité qui s’est refusé à toute utilisation de moyens lacrymogènes pour éviter les mouvements de panique. Lui savait que les mouvements de panique pouvaient être à l’origine de mouvements de foule. En 2017, voyant le danger, ils décident de ne pas intervenir. Ce rapport n’est ni fait ni à faire », poursuit-il.

Par la suite, interrogé sur la défiance envers la police, Edwy Plenel a expliqué que ces derniers avaient « lâché les freins. Ils n’ont eu aucun message de retenue, de précaution, de sensibilité. ‘Ou est Steve’ est fédérateur parce que les gens l’ont senti et les policiers en sont otage. Le pouvoir politique est violent par rapport à la politique: la violence contre les gilets jaunes, la jeunesse, la presse indépendante.

Mort à Nantes –Le rapport bidon de l’IGPN

Mort à Nantes –Le rapport bidon  de  l’IGPN

 

 

Le rapport de lIGPN sur la mort de Steve est comme dhabitude un rapport élaboré sur mesure pour préserver la responsabilité du gouvernement. Il en est de même pour la plupart des rapports des inspections générales des ministères puisque précisément ces inspections générales sont des directions qui dépendent directement du ministre. Le plus souvent,  il est complètement illusoire d’espérer à la fois pertinence et objectivité de la part de ces inspections générales. On se demande d’ailleurs pourquoi ce type de rapport est public sinon pour répondre un besoin médiatique immédiat. Le problème c’est que dans l’affaire du jeune homme mort à Nantes,  les contradictions des enquêteurs ne cessent de s’amplifier au point qu’ils sont contraints de dire à peu près le contraire de leurs propos initiaux. On aura déjà noté dans d’autres affaires les propos particulièrement alambiqués de la directrice de cette infection générale de la police nationale. Finalement, la directrice de l’IGPN  convient que son rapport ne prouve rien alors qu’elle avait un peu vite dédouané la responsabilité de la police. Dans « Libération », deux responsables de l’IGPN expliquent pourquoi leur rapport n’établit aucun lien entre la mort de Steve Maia Caniço, lors de la Fête de la musique à Nantes, et l’opération policière qui l’a précédée.

La  directrice de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), Brigitte Jullien, et le chef de l’unité de coordination des enquêtes, David Chantreux, s’expriment sur le rapport rendu à propos de l’opération des forces de l’ordre à Nantes lors de la Fête de la musique. Il se réfugie derrière le caractère administratif de leur enquête qui en limite forcément la portée puisque pratiquement ils n’ont pas interrogé de témoins extérieurs à l’administration.

Ce que les deux responsables de l’IGPN martèlent surtout, c’est que leur rapport est une enquête administrative, qui a certaines limites et ne peut se substituer à une procédure judiciaire. « Cela veut dire qu’on doit faire ce qu’on peut avec les moyens dont on dispose dans le cadre d’une enquête administrative. Et ce ne sont pas des moyens de police judiciaire : ce sont les mêmes moyens que n’importe quelle autre administration », détaille David Chantreux. Par exemple, impossible pour l’IGPN d’accéder aux procès-verbaux de plainte, de convoquer des tiers. « Mardi, on a donc rendu les conclusions d’une enquête administrative, qui est circonscrite, et qui au regard de l’ampleur de l’affaire et de la gravité des faits, ne peut pas répondre en trois semaines à la question posée.». Dès lors,  on peut se demander pourquoi leur ils rendent leur rapport public !

Mort à Nantes-Castaner : dilettante et irresponsable

Mort à Nantes-  Castaner : dilettante et irresponsable

Inutile de tourner autour du pot, Christophe Castaner n’a pas les épaules  pour assumer son rôle de ministre de l’intérieur. Comme beaucoup d’autres ministres (ou de députés) de la majorité, Castaner manque cruellement de compétences et expériences. Il a été nommé à ce poste un peu par hasard (Gérard Collomb, brusquement démissionnaire). Il a fallu du temps pour trouver un remplaçant. Comme d’habitude, Macron n’a pas recherché le profil le plus compétent mais le profil le plus courtisan. Ce qu’il a fait aussi quand Hulot lui aussi démissionnaire a été remplacé par le très transparent et obéissant de Rugy. Un incompétent qui en outre a confondu la démocratie avec la monarchie en faisant payer aux contribuables des dîners d’amis. Christophe Castaner par son inconséquence a été responsable de graves lacunes en matière de maintien de l’ordre lors à l’occasion des manifestations des gilets jaunes. En certaines circonstances il s’est montré beaucoup trop laxiste vis-à-vis des casseurs. En d’autres circonstances,  il s’est monté beaucoup trop brutal avec un nombre de blessés voire de mort inadmissible. Quand on examine le CV de Christophe Castaner, on constate que sa qualité principale est d’être un courtisan de Macron. C’est en effet un ancien second couteau, voire un troisième couteau du parti socialiste qui n’a jamais assumé de responsabilité nationale au plan politique encore moins au niveau gouvernemental. Le choix de Macon de privilégier des collaborateurs sans grande compétence, sa grande expérience et sans vraie légitimité comporte des risques. On ne nomme  pas à ce poste très délicat un novice. L’affaire du mort  de Nantes n’est pas admissible car il ne s’agissait pas d’une manifestation politique mais d’une fête de la musique qui en aucun cas ne justifiait l’utilisation de moyens de répression.

 

Pris pour cible, le ministre de l’Intérieur suscite des doutes dans la majorité mais reste soutenu par l’exécutif. Il y a des images qui parlent d’elles-mêmes. Mardi après-midi, puis mercredi matin, Édouard Philippe et Christophe Castaner se sont ostensiblement affichés côte à côte. Dans la cour de Matignon, d’abord, pour faire un point sur le rapport de l’IGPN après la mort de Steve Maia Caniço. En Essonne, ensuite, pour improviser une visite surprise au commissariat des Ulis avant d’arpenter les rues de Palaiseau. Chaque fois, le chef du gouvernement et son ministre de l’Intérieur ont adopté la même scénographie: le premier s’exprime et répond aux questions ; le second l’observe et prend peu la parole.Une chose est sûre: il existe un «sujet» Christophe Castaner dans la majorité. Défendu par l’Élysée et par Matignon, ce Marcheur de la première heure peine à s’imposer et à convaincre depuis qu’il a remplacé Gérard Collomb à l’automne dernier. Déjà affaibli par sa gestion de la crise des «gilets jaunes» et par la publication de photos d’une soirée arrosée dans un restaurant parisien, l’élu du Sud-Est doit affronter un nouveau tourbillon.  En coulisses, certains proches d’Emmanuel Macron s’étonnent d’ailleurs de constater que Christophe Castaner n’a pas été inquiété outre mesure par cette affaire - seule une partie de l’opposition, emmenée par La France insoumise et le Parti socialiste, réclame une commission d’enquête parlementaire. «Le Parlement, s’il le souhaite, est libre de le faire. Il faut respecter la séparation des pouvoirs. Mais aussi le pouvoir judiciaire: une telle commission ne peut pas porter sur des faits faisant l’objet d’une enquête judiciaire», répond l’entourage du ministre. Idem sur les appels à la démission.«Le bilan de son passage à LREM était déjà transparent, mais il s’en sortait grâce à la com. Là, ça ne suffit plus. Il faut bosser et obtenir des résultats. Point», martèle-t-on y compris dans la majorité.

Mort de Steve à Nantes : les enquêtes bidon

Mort de Steve à Nantes : les enquêtes bidon

Il faut vraiment être naïf pour penser que les enquêtes confiées à administration (inspection générale, préfectures ou autres) seront indépendantes. En effet, ces administrations dépendent évidemment directement de l’État. Soit par auto censure, soit sur ordre, ces administrations protègent systématiquement le pouvoir. C’est encore le cas pour la mort de Stève à Nantes lors d’une fête de la musique. Comme dans d’autres circonstances,  la police a surdimensionné les moyens par rapport à la nature du risque. Évidemment le premier rapport de l’inspection de la police dédouane le ministère. C’est toujours le cas lorsque les enjeux politiques sont importants. C’est un scandale que dans notre pays une administration se contrôle  elle-même. En effet les membres des différentes inspections appartiennent à cette administration. On a vu par exemple dans le cas de cette femme de 74 ans blessée à Nice lors d’une manifestation des gilets jaunes que le procureur avait innocenté la police, cela a-t-il même déclaré « pour protéger Macron ». Dans la période, on ne peut guère compter sur l’objectivité des inspections générales ou même de la justice. Témoin d’ailleurs toutes ces affaires politico financières enterrées. Comment d’ailleurs croire encore à l’indépendance de la justice quand ceux qui initient les enquêtes, c’est-à-dire les procureurs, dépendent hiérarchiquement du ministère. Certes il serait ridicule d’affirmer que la France vit dans un régime de dictature pour autant les institutions ont une fâcheuse tendance à s’adapter à ce climat de monarchie absolue que répand Macron en intervenant partout, toujours et surtout. Y compris par exemple à propos de cette femme de 74 ans blessés à Nice à laquelle il a conseillé une plus grande sagesse avant qu’on ne découvre le pot aux  roses de la bouche même du procureur. Même hystéries de Macron  à propos de l’affaire de Rugy quand il en profite pour condamner la république de la délation. Un dérapage sémantique qui témoigne sans doute de sa préférence pour une république d’inspiration monarchique absolue.

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

Mort de Khashoggi : le prince héritier saoudien sérieusement soupçonné

 

 

Dans les dictatures comme celle d’Arabie Saoudite (mais ceci vaut aussi dans de nombreux autres pays comme l’Iran, la Russie ou la Chine)  on ne s’embarrasse pas de formalités accessoires pour supprimer un ennemi politique. Il suffit de l’accuser tout simplement d’avoir la rage ou mieux qu’il a été détenteur d’une barrette de drogue. Dans les cas, les plus pressés on fait même l’impasse sur le motif d’inculpation et on liquide l’intéressé. Ce qui s’est passé pour l’opposant Jamal Khashoggi  Dans un rapport rédigé au terme de six mois d’enquête, la rapporteure spéciale des Nations unies, Agnès Callamard, indique que “M. Khashoggi a été la victime d’une exécution délibérée, préméditée, une exécution extrajudiciaire dont l’Etat d’Arabie saoudite est responsable au regard du droit international lié aux droits de l’homme”.La CIA et plusieurs pays occidentaux sont convaincus que le meurtre a été commandité par le prince héritier lui-même.L’équipe d’Agnès Callamard, qui s’est rendue à Istanbul cet hiver, s’est appuyée sur des documents fournis par les enquêteurs turcs et des informations obtenues dans le cadre des procès saoudiens.“Les enregistrements effectués par des agents des services de renseignement turcs et d’autres pays suggèrent qu’un sédatif a pu être injecté à M. Khashoggi et qu’il a été étouffé à l’aide d’un sac en plastique”, écrivent les auteurs du rapport.Recep Tayyip Erdogan, le président turc, a promis de son côté que les assassins de Khashoggi seraient punis et répondraient de leurs actes.

Menaces de mort contre Pierre Liscia de la part d’islamistes

Menaces de mort contre Pierre Liscia de la part d’islamistes  

Une interview de Pierre Liscia est élu (non-inscrit) du 18e arrondissement de Paris, et chroniqueur dans l’émission «Terriens du dimanche» qui dénonce les milliers de menaces de mort après son débat avec l’homme politique algérien Rachid Nekkaz. (Le Figaro).

 

Après un affrontement avec Rachid Nekkaz sur le plateau de l’émission «Terriens du dimanche», vous avez reçu de nombreuses menaces de mort. Pouvez-vous décrire la nature et l’ampleur de ces menaces?

 

Pierre LISCIA.- Depuis dimanche soir, j’ai reçu près de 20 000 commentaires et messages insultants et menaçants en français et en arabe. Dans la journée de lundi, je recevais en moyenne un à deux messages chaque minute, ainsi que des dizaines d’appels sur Messenger et des messages vocaux en arabe. Tous mes réseaux sociaux sont saturés. C’est un harcèlement de grande ampleur très bien orchestré par des réseaux très bien organisés. J’ai reçu le soutien de Zineb El Rhazoui qui a elle-même dénoncé une opération d’une violence inouïe et totalement inédite. J’ai bien évidemment déposé plainte.

Que cela révèle-t-il sur Rachid Nekkaz, les moyens mis en œuvre et l’idéologie qu’il défend?

Tout cela en dit long sur le personnage de Rachid Nekkaz. Il a à sa disposition une meute de milliers de soutiens acharnés qui se tiennent prêt à passer à l’offensive à sa demande. Leurs références politiques sont très claires puisque j’ai reçu quantité de photos de Dieudonné, d’Hitler et de drapeaux français brûlés associés à des versets du Coran et des drapeaux algériens, ce qui prouve que manifestement, ces individus n’ont, contrairement à moi, aucun respect pour l’Islam et pour l’Algérie. Je le regrette très profondément. Le message est très clair: toute personne qui osera formuler la moindre critique à l’égard de Rachid Nekkaz s’expose à des représailles massives du même type, de la même manière qu’ils ont également saturé les lignes téléphoniques des hôpitaux de Genève et leurs réseaux sociaux vendredi après l’interpellation de Rachid Nekkaz.

Cet épisode a simplement permis de démasquer le système érigé autour de Rachid Nekkaz, tant sur ses affinités politiques et idéologiques que sur ses méthodes, alors que lui cherche à se présenter comme le visage d’une Algérie laïque et moderne.

Nous sommes en République, et je n’ai pas l’intention de me laisser intimider par de telles méthodes qui démontrent le peu d’attachement des soutiens de cet homme à la démocratie et à la liberté d’expression. Cet épisode a simplement permis de démasquer le système érigé autour de Rachid Nekkaz, tant sur ses affinités politiques et idéologiques que sur ses méthodes, alors que lui cherche à se présenter comme le visage d’une Algérie laïque et moderne.

Qui vous a soutenu en France contre ces menaces de morts? En tant qu’élu de la ville de Paris, avez-vous reçu le soutien d’Anne Hidalgo?

J’ai reçu d’innombrables messages d’élus de droite, comme Valérie Pécresse, François-Xavier Bellamy, Agnès Evren, Rachida Dati ou encore Florence Berthout, ainsi que beaucoup de Français anonymes de tout le pays qui sont choqués par cette déferlante de haine. Mounir Mahjoubi m’a également appelé pour me témoigner son soutien. J’ai aussi reçu des centaines de témoignages de reconnaissance d’Algériens, et particulièrement de femmes. Je les remercie. En revanche, je suis sidéré de n’avoir reçu aucun soutien venant de la gauche. Silence radio! Quant à la Maire de Paris, elle ne s’est pour l’heure aucunement émue qu’un élu de Paris puisse faire l’objet de menaces de mort. C’est révélateur de la dérive intellectuelle d’une certaine gauche française, qui a troqué les valeurs fondamentales de la République, et notamment les principes de laïcité et de liberté d’expression, contre une certaine complaisance coupable à l’égard des dérives communautaristes de l’Islamisme radical. C’est très préoccupant.

Le chômage, « angle mort des gilets jaunes » !!!

Le chômage, « angle mort des gilets jaunes » !!!

Un curieux titre du journal la Tribune plutôt à gauche. Mais une gauche assez orthodoxe qui s’est toujours montrée relativement sceptique vis-à-vis du mouvement des idées jaunes. Un titre qui laisse supposer que les gilets jaunes ont ignoré la question du chômage. C’est vraiment ne rien connaître de la sociologie des gilets jaunes justement dont la principale revendication consiste à demander un réaménagement du territoire. Ce n’est pas un hasard si pour l’essentiel les gilets jaunes appartiennent aux zones périphériques et notamment rurales. Des zones rurales qui deviennent de véritables déserts économiques, ou les services publics disparaissent comme les services privés et les commerces. Ce que veulent les idées jaunes c’est vivre et travailler au pays dans des conditions décentes et non être contraints de rejoindre les grandes métropoles.  De toute évidence l’intelligentsia de gauche n’aime guère ces couches moyennes et populaires qu’elle taxe de populiste. visiblement cette gauche là n’a encore rien compris à la problématique économique. En effet la consommation des ménages représente les deux tiers du produit intérieur brut. Or ce sont les mesures fiscales qui ont tué le pouvoir d’achat en début d’année et en même temps qui ont fait chuter la croissance. Pour justifier son raisonnement la Tribune développe un long passage sur le chômage de longue durée qui n’a pas grand-chose à voir avec son titre. De tels raisonnements et de tels rapports aux plus défavorisés ont pourtant été à l’origine de l’écroulement du parti socialiste dont culturellement et politiquement la Tribune est proche. Il est clair que le mouvement des gilets jaunes se tasse, il est tout évident  que ce mouvement est traversé par des contradictions, sans doute pourquoi les nantis y compris de gauche se rebiffent et règlent  leur compte à ce qu’il considère comme une populace. Dommage car la Tribune apporte des éléments d’analyse intéressant quand elle évite le piège de la politique. On pourrait en dire autant des Echos qui lui tombe de temps en temps de dans le marais droitier et financier. On n’attend pas des journaux économiques qu’ils étalent leurs convictions politiques mais qu’ils s’en tiennent aux faits et aux chiffres et à l’analyse purement économique.

La mort du macronisme ?

La mort du  macronisme ?

 

 

Ce matin on apprend que Macron n’est plus soutenu que par 21 % de l’opinion. Ce qui donne une légitimité à l’interrogation sur la fin du macronisme On ne peut en effet écarter l’hypothèse d’un écroulement brutal du mouvement,  aussi soudain que son avènement imprévu. Et cela pour un motif simple : le macronisme   n’a aucune idéologie claire et il est surtout soutenu par des financiers. Le parti en marche, lui est une fiction et composé pour l’essentiel de cadres arrivistes sans aucune expérience ni légitimité sociale ou politique. On objectera qu’ils ont été élus mais une chèvre avec l’étiquette macro l’aurait été également. Le macronisme,  c’est uniquement Macron  et le reste relève de la courtisanerie.  Sur quoi en effet reposait les vertus supposées du candidat Macron : sa jeunesse, son dynamisme son refus des clivages et l’espérance d’un renouveau démocratique. Il ne reste plus grand-chose de tout cela hormis  le jeune âge de l’actuel président de la république. Son dynamisme s’est transformé en activisme avec des réformes minimalistes et souvent bâclées autant par incompétence que par manque de courage politique. Le pouvoir a notamment évité la réforme la plus stratégique pour moderniser le pays, à savoir : la transformation de l’État. Un État qui tue la compétitivité et l’initiative. On croyait Macron ni à droite ni à gauche ou encore un peu de droite et en même temps un peu de gauche. Dans les faits, il est totalement de droite après avoir accordé  notamment des allégements fiscaux aux plus privilégiés sans aucune contrepartie. Maintenant il faut boucher les trous et on sollicite les Français les moins favorisés via par exemple la hausse du carburant. On a souvent reproché à Macron un manque de capacité à expliquer son projet ; la vérité c’est que sa vision est très conventionnelle ; elle s’appuie sur les réflexions de salon de nombre d’experts coupés des réalités sociales et économiques. Une sorte de reprise des idées à la mode rajeunies par la dialectique anglo-saxonne de Macron. Où la France considérée comme une sorte de start-up où tout reposerait sur la digitalisation et la plus-value boursières en quelques années. Si Macron n’est pas parvenu à théoriser le macronisme,  c’est tout simplement que cette philosophie politique est une sorte de cocktail sulfureux ; mélange de néolibéralisme, d’étatisme, de souverainisme républicain et de grand laisser-aller sur des questions fondamentales comme par exemple la réindustrialisation ou la violence dans les banlieues. Sur le plan idéologique, le macronisme me ne repose sur rien de  solide, en outre il ne s’appuie sur aucune implantation locale aucune structure réellement démocratique. Pour l’essentiel des recyclés carriéristes d’autres partis, de nombreux cadres sans expérience politique ou légitimité sociale et des technocrates type Macron (qui a une formation uniquement littéraire) qui en réalité n’ont aucune compétence. Pour s’en persuader, il suffit de voir lors des débats télévisés comment les représentants d’ »en marche se montrent à la fois incompétent et sans consistance charismatique. Le macronisme  n’existe pas politiquement, c’est une fiction qui ne repose que sur la salle personnalité par ailleurs très fragile de Macron. Le macronisme pourrait bien disparaître avec son inspirateur aussi vite qu’il est venu. Avec maintenant seulement 21 % de popularité la question peut être posée.

 

Violences banlieue : encore un mort, de 12 ans

Violences banlieue : encore un  mort, de 12 ans

 

Nouveau règlement de comptes en banlieue, cette fois aux Lilas. La conséquence directe du mépris de Macron pour les banlieues. On se souvient que, Macron a enterré, sans ménagement pour son auteur, le rapport Borloo. Certes on ne pouvait pas attendre à une reprise intégrale de ce plan très ambitieux, certes ce plan faisait suite à bien d’autres qui n’ont pas toujours montré une grande efficacité mais Macron a non seulement enterré le rapport Borloo mais aussi la problématique renvoyée à une question subalterne ; Il fallait donc attendre une future explosion ou la répétition d’actes inqualifiables comme dans la région parisienne avec le lynchage d’ados , à Marseille ou la police a été visée par des armes lourdes pour que Macron manifeste un peu de considération des ces zones en déshérence économique et républicaine.  De la part de Macron,  «Il n’y a aucun engagement concret, et c’est le vide sidéral. Pourquoi avoir fait appel à Jean-Louis Borloo, alors qu’on le dénigre tant aujourd’hui?» s’est interrogé le député LR Damien Abad. «Jean-Louis Borloo, comme beaucoup de maires de France dans des villes de banlieue, a-t-il souligné, n’a aucune leçon à recevoir de celles et ceux qui n’ont pas vécu en banlieue.»L’Elysée a en effet désapprouvé le plan très ambitieux de Borloo jugé trop coûteux, seconde raison plus fondamentale celle-là : la banlieue pour Macron n’est pas vraiment la priorité. Il est plus à l’aise pour parler des start-ups et des premiers de cordée que des exclus, des paumés ou tout simplement des pauvres.  Plus de 5,5 millions de personnes vivent dans ces quartiers qui affichent encore des taux de chômage et de pauvreté nettement supérieurs à la moyenne nationale et comptent toujours deux fois moins de médecins généralistes, près de cinq fois moins de crèches par département !  La plupart des mesures de formation et d’insertion du rapport Borloo ont été balayées. D’où la colère des maires et ONG concernées. En attendant des jeunes meurent lors de règlements de compte relatifs le plus souvent au trafic de drogue.

Mort de Naomi : le drame d’un système de santé qui explose

Mort de Naomi : le drame d’un système de santé qui explose

 

On peut évidemment attribuer ce terrible drame à des circonstances particulières voire faire porter le chapeau à une ou deux personnes (dont les propos sont par ailleurs inqualifiables) mais ce qui est en jeu c’est la situation globale d’un système de santé au bord de l’explosion. Il y a encore quelque années, ni le SAMU, ni les urgences n’étaient en pointe pour assurer les premiers soins mais le problème c’est qu’on a supprimé volontairement la médecine de ville (et encore davantage la médecine rurale). On ne trouve plus de médecins libéraux parce qu’on a réduit le numerus clausus mais aussi parce que la sécu interdit à ceux qui restent d’être de permanence quand ce serait nécessaire. Au nom d’économies stupides et criminelles. Du coup les urgences sont le réceptacle non seulement de toutes les pathologies mais aussi de toutes les misères. Le SAMU et les urgences devraient être réservés aux cas effectivement graves et urgents. Du coup on ne sait plus faire assez la distinction entre ce qui est grave et ce qui ne lest pas, entre ce qui est urgent et ce qui ne lest pas. Cela d’autant plus que les effectifs de ces urgences sont largement sous dimensionnés. Il y aura d’autres drames, il y en a même régulièrement qui ne font pas l’objet de l’attention de médias mais celui là est celui de trop.  

« Le PS est mort » (Le Guen)

« Le PS est  mort » (Le Guen)

 

Déjà sonné après la présidentielle, le Parti socialiste « est très clairement mort », a estimé sur LCI Jean-Marie Le Guen, ancien secrétaire d’Etat de François Hollande. Comme le SFIO, le PS va disparaitre après le laminage des législatives où  il obtient au  premier tour des législatives  un peu plus de 7% des votes, la défaite la plus importante dimanche prochain, 46 ans jour pour jour après la refondation du parti en 1971 au congrès d’Epinay. « Le premier tour des élections législatives est (…) marqué par le recul sans précédent de la gauche dans son ensemble et notamment du Parti socialiste », a déclaré Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire fragilisé avant le scrutin et disqualifié à l’issue du premier tour. La campagne socialiste, qui a pâti d’un manque de lisibilité et de leadership, risque d’aboutir au plus bas nombre de députés élus, inférieur à celui de la débâcle de 1993, quand le PS n’avait remporté que 57 sièges. Parmi les figures qui doivent symboliser cette réinvention, plusieurs n’ont pas passé ce premier tour. C’est le cas de Benoît Hamon ou de Matthias Fekl, ancien ministre de l’Intérieur, contrairement à Najat Vallaud-Belkacem – néanmoins en ballottage très défavorable. Seule Delphine Batho semble en mesure de l’emporter dans sa circonscription. Les socialistes n’ont pas attendu cette défaite pour se déchirer, entre aile gauche en faveur de l’opposition au nouveau chef de l’Etat et aile droite du parti, Manuel Valls en tête, qui a fait campagne en faveur de la majorité présidentielle. Les résultats donnent raison à ces derniers, face à qui La République en marche, n’avait pas toujours présenté de candidat. Stéphane le Foll arrive ainsi en tête dans la 4e circonscription de la Sarthe, avec 30,31%, tout comme Marisol Touraine en Indre-et-Loire. Manuel Valls, qui n’est plus au PS, est lui aussi premier. Myriam El Khomri arrive, de son côté, derrière Jean-Yves Bournazel, candidat Les Républicains se revendiquant comme elle du nouveau chef de l’Etat. L’implantation locale des socialistes n’a pas permis d’éviter la défaite. Plusieurs figures du parti, élus depuis plusieurs décennies, sont disqualifiées dès le premier tour, comme Elisabeth Guigou, en Seine-Saint-Denis, Patrick Mennucci, à Marseille, ou encore Jean Glavany, dans les Hautes-Pyrénées. D’autres, anciens ministres, n’ont pas fait mieux, comme Aurélie Filippetti, ou les alliées écologistes Cécile Duflot et Emmanuelle Cosse.

« PCF, la mort et le néant » : (Mélenchon)

« PCF, la mort et le néant » : (Mélenchon)

La guerre succède à une lune de miel entre le parti communiste et Mélenchon qui ne fait pas dans la dentelle dans un SMS type Poutine ou Trump de gauche. C’est Le Canard enchaîné qui a révélé le message en question, soulignant qu’il avait été envoyé le 4 mai, soit quelques jours avant l’annonce officielle de l’échec des négociations pour les législatives. « Vous créez la confusion dans tout le pays en vous appropriant mon portrait et mon nom sans parler du logo Front de Gauche ! Bravo l’identité communiste ! Tout ça pour après des mois d’injures et manœuvres pour (sic) saboter ma campagne. Et vous recommencez ! Vous êtes la mort et le néant. Dix mois pour me ‘soutenir’, dix minutes pour soutenir Macron. Sans oublier les accords que vous ne respectez pas. J’en ai assez. Je vais donc annoncer notre rupture politique dès mon retour à Paris. Et je vais dire pourquoi. »

Affaires : menaces de mort sur des journalistes et des magistrats

Affaires : menaces de mort sur des journalistes et des magistrats

 

Il fallait s’y attendre les propos outranciers du camp Fillon mettant en cause la police, la justice et les journalistes ont largement contribué à brûler la cervelle d’individus au cerveau déjà dérangé. Ainsi les attaques injustifiées de Fillon ont encouragé des extrémistes de droite à adresser directement des menaces de mort  à des journalistes et à des magistrats. Si cela devait prendre des tournures dramatiques, Fillon serait grandement responsable par ses accusations irresponsables. Ces accusations graves contre  la  police, la justice et les journalistes le discrédite pour être un président garant de l’unité, de la justice et de la sécurité du pays.une  enquête a donc été ouverte pour « menaces de mort » après la réception par des magistrats et des journalistes du Canard enchaîné et de Mediapart de lettres accompagnées d’une balle, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Paris. Selon Mediapart, les magistrats en question sont quatre membres du pôle financier chargés de l’affaire concernant le candidat de la droite à l’élection présidentielle, François Fillon, ce que le parquet n’a pas voulu confirmer. Une photo de la lettre diffusée par Mediapart montre une courte missive sur laquelle figurent le dessin d’un cercueil et celui d’une tête de mort, à en-tête d’un « Collectif d’Epuration 2J », avec la mention « Juges et Journalistes dans le même sac». Le texte de la lettre, partiellement caché par une balle sur la photo, est « La Vigilance et la Protection ne durent pas Ad Vitam… Ce jour-là Nous serons là pour Vous ou l’un de vos Proches », ajoute Mediapart, qui précise que la missive a été envoyée de Marseille. Le président de l’association de défense des journalistes Reporters sans frontières, Christophe Deloire, a déclaré dans un communiqué que « les menaces proférées à l’encontre des journalistes de Mediapart et du Canard enchaîné sont graves et doivent être prises très au sérieux ». D’une certaine façon pour ambitionner d’être comme président « Ces actes d’intimidation sont inacceptables dans une démocratie et surviennent dans une atmosphère déjà contaminée par les propos toxiques et dangereux de responsables politiques à l’encontre des journalistes », ajoute-t-il.

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