Archive pour le Tag 'mort'

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Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées 

Viry-Châtillon. Cinq personnes, dont quatre mineurs, ont été interpellées et placées en garde à vue ce vendredi 5 avril, après la mort de Shamseddine.Une affaire évidemment dramatique de règlement de comptes dont on ignore pour l’instant les motifs mais qui révèlent la banalisation de la violence pour n’importe quelle raison et pas seulement le trafic de drogue. La preuve sans doute que le système de sanction est aujourd’hui complètement inadapté concernant les mineurs et qu’il faudra sans doute revenir rapidement aux anciennes maisons de correction sans doute appelé d’un nouveau nom type » institut d’insertion ». Aujourd’hui en effet la tolérance est telle que même les mots ne sont plus utilisés par peur de déplaire à certains . Si la violence se banalise ainsi c’est que toutes les règles de discipline et de respect sont ignorées. On ne peut plus désormais qualifier ces affaires de faits divers car il s’agit en réalité de faits de société qui préfigurent une insécurité généralisée voire le chaos.

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement. Transféré hier à l’hôpital Necker en urgence absolue, il avait été par la suite opéré dans la nuit de jeudi à vendredi. Le parquet d’Évry, qui a communiqué cette information, précise aussi qu’une enquête a été ouverte des «chefs d’assassinat et de violences en réunion aux abords d’un établissement scolaire». éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

 Les caméras de surveillance exploitées par les enquêteurs devraient permettre de comprendre comment les faits, dont les témoins semblent rares, se sont déroulés. C’est en tout cas ce qu’espère le maire centriste de la commune, Jean-Marie Vilain, qui précise que les images «ont été réquisitionnées par la police». Alors que des adolescents scolarisés au collège des Sablons quittaient l’établissement, pour beaucoup en larmes, ce vendredi, l’édile a également dénoncé une «ultraviolence» devenue «banale». Les agresseurs de Shamseddine «ont essayé de le massacrer», a poursuivi Jean-Marie Vilain, décrivant «des voyous de la pire espèce».
«Les faits dramatiques de Viry-Châtillon hier soir sont encore une preuve que l’ultra violence n’est pas simplement un sentiment d’insécurité mais une réalité», a déploré de son côté, le secrétaire départemental Un1té 91, Guillaume Roux, auprès du Figaro. «Quel que soit le motif, c’est un acte intolérable qui devra être très sévèrement puni.»

Menaces de mort d’un proviseur du lycée : La faillite l’État !

Menaces de mort d’un proviseur du  lycée : La faillite  l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Être un demeuré profond pour croire aux propos hypocrites de Poutine-réélu avec prés de 90%-  qui dit regretter maintenant la mort de navalny!

 

La mort de l’opposant russe Navalny est un « événement triste », a en effet déclaré ce dimanche 17 mars Vladimir Poutine, quelques heures après avoir été réélu très largement à la tête de la Russie, dans une élection sans réelle opposition.

« Quant à Monsieur Navalny, il est décédé. Oui, il est décédé, c’est toujours un événement triste, mais nous avons eu d’autres cas où des personnes en prison sont décédées », a déclaré Vladimir Poutine dans un discours retransmis à la télévision publique.

Le président russe également affirmé avoir été favorable à un échange de prisonniers avec les Occidentaux incluant son principal détracteur, avant sa mort en prison dans des conditions obscures mi-février.

Le président russe Vladimir Poutine a recueilli 87% des voix à l’élection présidentielle qui s’est achevée dimanche en Russie. Les résultats de l’élection témoignent de la confiance des citoyens du pays et de leur espoir que nous ferons tout ce qui est prévu », a-t-il assuré.

Mort subite : la pandémie de la Russie de Poutine

 
En Russie, on ne compte plus les décès par mort subite pour régler les comptes des opposants. Parfois même des comptes qui se règlent à l’étranger par empoisonnement ou défenestration. C’est le mode de régulation démocratique de Poutine et de sa clique de criminels fous et parfois alcoolique comme Medvedev Qui  promet d’utiliser la bombe atomique tous les matins.

« Lorsque l’avocat et la mère d’Alexeï sont arrivés à la colonie ce matin, on leur a dit que la cause de la mort de Navalny était le syndrome de mort subite », a écrit sur le réseau social X Ivan Zhdanov, qui dirige la Fondation anti-corruption de l’opposant décédé

L’heure est au deuil. La mère d’Alexeï Navalny a été informée, samedi 17 février, que l’opposant russe avait succombé à un « syndrome de mort subite » et qu’une enquête devait être menée avant la remise du corps du défunt à sa famille, a fait savoir son entourage.

Alexeï Navalny, un ancien avocat de 47 ans, a perdu connaissance et est décédé vendredi après une promenade dans la colonie pénitentiaire IK-3 située à Kharp, à environ 1 900 km au nord-est de Moscou, où il purgeait une peine de 30 ans, ont déclaré les autorités russes la veille.

Lyudmila, la mère du défunt qui est âgée de 69 ans, a bravé samedi des températures de – 30°C pour se rendre à la colonie pénitentiaire où son fils a trouvé la mort. L’avis de décès officiel qui lui a été remis indique un décès à 14h17 heure locale (09h17 GMT) le 16 février, a déclaré à Reuters la porte-parole d’Alexeï Navalny, Kira Yarmysh.

Pas d’acte criminel. « Lorsque l’avocat et la mère d’Alexeï sont arrivés à la colonie ce matin, on leur a dit que la cause de la mort de Navalny était le syndrome de mort subite », a écrit sur le réseau social X Ivan Zhdanov, qui dirige la Fondation anti-corruption de l’opposant décédé. Le « syndrome de mort subite » est un terme vague désignant différents syndromes provoquant un arrêt cardiaque soudain conduisant à la mort.

On ne sait pas non plus où se trouve le corps de Navalny, a indiqué son équipe. Sa mère a appris que le corps avait été emmené à Salekhard, ville proche du complexe pénitentiaire, mais lorsqu’elle est arrivée sur place, la morgue était fermée. Contacté par l’avocat de Navalny, un employé de la morgue a indiqué qu’il ne disposait pas du corps, a déclaré Kira Yarmysh.

Plus tard, les autorités leur ont dit que le corps ne serait pas remis à la famille avant la fin de l’enquête !

À ce niveau de cruauté, la question de l’état mental de Poutine est posée.

 

 

Mort d’une agricultrice et de sa fille : les trois occupants de la voiture étaient sous OQTF

Mort d’une agricultrice et de sa fille : les trois occupants de la voiture étaient sous OQTF

Une terrible nouvelle que le décès de cette agricultrice qui participait au mouvement de protestation des agriculteurs d’autant que sa fille est aussi décédée. Bien sûr c’est une conséquence indirecte de la grave crise qui secoue l’agriculture et on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi les trois passagers présents dans la voiture responsable étaient encore en France alors qu’ils étaient sous l’obligation   de quitter le territoire.

 

Les trois suspects interpellés après la collision qui a coûté la vie à une agricultrice et à sa fille ce mardi matin étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), a appris Le Figaro d’une source proche de l’enquête confirmant une information du Parisien . Tous de nationalité arménienne, ils avaient déposé une demande d’asile en France qui leur avait été refusée en 2022. Ils avaient engagé des recours contre cette décision mais avaient à nouveau été déboutés de leur demande en 2023, et une OQTF avait été prise à leur encontre. «Ils n’étaient toutefois pas connus pour des troubles à l’ordre public», précise notre source proche de l’enquête.

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Marie-Hélène Thoraval a annoncé ce mercredi 3 janvier sur BFMTV-RMC avoir porté plainte mardi pour la quatrième fois après avoir reçu de nouvelles menaces de morts, faisant suite à la mort de Thomas, 16 ans, à Crépol, dans la Drôme.

Cette série de menaces a commencé après l’utilisation par la maire de la qualification de « sauvages » pour évoquer une partie des personnes impliquées dans la mort de Thomas. Elle avait également demandé à ce que la circonstance aggravante de « racisme », en l’occurrence de « racisme anti-blanc », soit retenue par la justice. Une demande également formulée de la famille du jeune homme, selon la maire.

« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » a déploré Marie-Hélène Thoraval sur notre antenne.
À l’issue des tros première plaintes, deux personnes ont été interpellées et l’une d’entre elles a été condamnée à huit mois de prison. L’autre, actuellement en détention provisoire, doit être jugée au cours d’une audience qui doit s’ouvrir le 5 février.

La maire a souligné la conversion à l’islam de la première personne condamnée au cours d’une précédente détention. « Je pense que ça pouvait dire quelque chose du profil au regard des événements de Crépol et de l’agression de Thomas, qui a été assassiné notamment par des individus qui avaient des origines maghrébines », a-t-elle développé.

Neuf personnes (six majeurs et trois mineurs) ont été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas mais le chef d’ »assassinat », qui indiquerait un acte prémédité, n’a pas été retenu par les enquêteurs, contrairement à ceux de « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».

Sur BFMTV-RMC, Marie-Hélène Thoraval a dénoncé une nouvelle fois des « dynasties de de délinquants », notamment au sein du quartier de la Monnaie dans sa ville de Romans-sur-Isère, dont sont issues plusieurs personnes ayant fait partie du groupe parmi lequel se trouverait le meurtrier de Thomas. Elle a évoqué une « centaine » de personnes posant problème, notamment pour leur lien avec divers délits dont le trafic de drogue.

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Société-Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Marie-Hélène Thoraval a annoncé ce mercredi 3 janvier sur BFMTV-RMC avoir porté plainte mardi pour la quatrième fois après avoir reçu de nouvelles menaces de morts, faisant suite à la mort de Thomas, 16 ans, à Crépol, dans la Drôme.

Cette série de menaces a commencé après l’utilisation par la maire de la qualification de « sauvages » pour évoquer une partie des personnes impliquées dans la mort de Thomas. Elle avait également demandé à ce que la circonstance aggravante de « racisme », en l’occurrence de « racisme anti-blanc », soit retenue par la justice. Une demande également formulée de la famille du jeune homme, selon la maire.

« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » a déploré Marie-Hélène Thoraval sur notre antenne.
À l’issue des tros première plaintes, deux personnes ont été interpellées et l’une d’entre elles a été condamnée à huit mois de prison. L’autre, actuellement en détention provisoire, doit être jugée au cours d’une audience qui doit s’ouvrir le 5 février.

La maire a souligné la conversion à l’islam de la première personne condamnée au cours d’une précédente détention. « Je pense que ça pouvait dire quelque chose du profil au regard des événements de Crépol et de l’agression de Thomas, qui a été assassiné notamment par des individus qui avaient des origines maghrébines », a-t-elle développé.

Neuf personnes (six majeurs et trois mineurs) ont été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas mais le chef d’ »assassinat », qui indiquerait un acte prémédité, n’a pas été retenu par les enquêteurs, contrairement à ceux de « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».

Sur BFMTV-RMC, Marie-Hélène Thoraval a dénoncé une nouvelle fois des « dynasties de de délinquants », notamment au sein du quartier de la Monnaie dans sa ville de Romans-sur-Isère, dont sont issues plusieurs personnes ayant fait partie du groupe parmi lequel se trouverait le meurtrier de Thomas. Elle a évoqué une « centaine » de personnes posant problème, notamment pour leur lien avec divers délits dont le trafic de drogue.

Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Crépol : la maire de Romans-sur-Isère encore menacée de mort

Marie-Hélène Thoraval a annoncé ce mercredi 3 janvier sur BFMTV-RMC avoir porté plainte mardi pour la quatrième fois après avoir reçu de nouvelles menaces de morts, faisant suite à la mort de Thomas, 16 ans, à Crépol, dans la Drôme.

Cette série de menaces a commencé après l’utilisation par la maire de la qualification de « sauvages » pour évoquer une partie des personnes impliquées dans la mort de Thomas. Elle avait également demandé à ce que la circonstance aggravante de « racisme », en l’occurrence de « racisme anti-blanc », soit retenue par la justice. Une demande également formulée de la famille du jeune homme, selon la maire.

« Ça a l’air d’être un vilain gros mot de parler de racisme anti-blanc » a déploré Marie-Hélène Thoraval sur notre antenne.
À l’issue des tros première plaintes, deux personnes ont été interpellées et l’une d’entre elles a été condamnée à huit mois de prison. L’autre, actuellement en détention provisoire, doit être jugée au cours d’une audience qui doit s’ouvrir le 5 février.

La maire a souligné la conversion à l’islam de la première personne condamnée au cours d’une précédente détention. « Je pense que ça pouvait dire quelque chose du profil au regard des événements de Crépol et de l’agression de Thomas, qui a été assassiné notamment par des individus qui avaient des origines maghrébines », a-t-elle développé.

Neuf personnes (six majeurs et trois mineurs) ont été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur la mort de Thomas mais le chef d’ »assassinat », qui indiquerait un acte prémédité, n’a pas été retenu par les enquêteurs, contrairement à ceux de « meurtre en bande organisée », « tentatives de meurtre » ou « violences volontaires commises en réunion ».

Sur BFMTV-RMC, Marie-Hélène Thoraval a dénoncé une nouvelle fois des « dynasties de de délinquants », notamment au sein du quartier de la Monnaie dans sa ville de Romans-sur-Isère, dont sont issues plusieurs personnes ayant fait partie du groupe parmi lequel se trouverait le meurtrier de Thomas. Elle a évoqué une « centaine » de personnes posant problème, notamment pour leur lien avec divers délits dont le trafic de drogue.

Encore un professeur menacé de mort par un élève

Encore un professeur menacé de mort par un élève

Chaque jour ou presque on apprend qu’un professeur a été menacé par un élève voire même par les parents. Des événements qui font l’objet de quelques lignes dans les médias car considérés comme des faits divers. Le problème c’est que la répétition et l’ampleur du phénomène caractérise une crise profonde du respect et de l’autorité. Et la justice pour faire bonne mesure se contente de sanctions symboliques.

L’adolescent a été interpellé dimanche 17 décembre, après que le professeur visé a déposé plainte pour «menaces de mort». Une enquête en flagrance a été ouverte, indique le parquet de Versailles, qui nous précise que la garde à vue de l’élève, ce lundi 18 décembre, est toujours en cours.

Le suspect serait de nationalité libanaise et n’aurait aucun antécédent judiciaire.

Le professeur, qui a déposé plainte dimanche dans la matinée au commissariat de Versailles, a indiqué n’avoir jamais eu de conflit avec cet élève de sa classe, qu’il décrit comme solitaire et souvent absent des cours, a précisé une source policière.

L’établissement a de son côté déclaré dans un communiqué avoir pris connaissance de ces «menaces graves». «Jusqu’à nouvel ordre, l’élève mis en cause n’est pas autorisé à accéder à l’établissement», a indiqué le lycée privé, avant d’annoncer qu’une cellule de crise et un soutien psychologique ont été mis en place pour l’ensemble de la communauté scolaire.

Du sursis pour une menace de mort d’un enseignant !

Du sursis pour une menace de mort d’un enseignant !

Nouvelle dérive de la justice. Un homme de 38 ans né en Algérie a été condamné mercredi 13 décembre par le tribunal correctionnel de Bobigny à 12 mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans pour «menaces de mort à l’encontre d’une personne chargée d’une mission de service public», en l’occurrence l’instituteur de son fils.

Vendredi 13 octobre, en fin d’après-midi, Fayssal B. se rend à l’école Sadi Carnot, à Pantin (Seine-Saint-Denis), où est scolarisé son fils. Ce dernier lui a récemment confié que son instituteur était «méchant» et l’avait «grondé». Et Le père de promettre la mort à l’enseignant en représailles.

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

La maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, annonce ce mercredi 6 novembre la condamnation « de l’auteur des appels pour l’intimider » à 8 mois de prison ferme. L’homme âgé d’une trentaine d’années et originaire du Pas-de-Calais, d’après le procureur de Valence, a déjà été condamné à « plus de 20 reprises ». On ignore les motifs de ces précédentes condamnations mais on s’en doute compte tenu du profil récurrent de ces délinquants. Il a été interpellé à Marseille en début de semaine. En plus des huit mois de prison ferme, l’individu a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à la maire de Romans-sur-Isère.

Marie-Hélène Thoraval se réjouit ce mercredi 6 décembre sur X (ex-Twitter) de l’interpellation « de l’auteur des appels pour l’intimider ». Jugé en comparution immédiate ce mercredi, il a été condamné à 8 mois de prison ferme. Une information confirmé par le parquet de Valence à l’AFP.

« Merci à la police pour sa célérité et son efficacité, à la justice pour sa fermeté », déclare l’édile.

Interpellé à Marseille en début de semaine, l’homme né en 1990 a été condamné en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Valence dans la Drôme pour « outrages par paroles ou menaces » à l’encontre de l’édile et a été incarcéré dans la foulée.

Sept jours plus tôt, la maire de Romans-sur-Isère, où était scolarisé en lycée le jeune Thomas, tué au couteau lors d’un bal de village mi-novembre, avait déposé plainte après avoir reçu des menaces par téléphone et sur les réseaux sociaux, dont une de mort « par décapitation », selon l’édile.

Elle souligne que « l’auteur des ces menaces de mort » n’a quant à lui pas encore été « appréhendé ». Une enquête disjointe se poursuit.

Marie-Hélène Thoraval explique « avoir reçu deux appels anonymes qui ont été opérés auprès du standard de la mairie avec un message plutôt qui relevait de l’intimidation, [lui] demandant si [elle] disposait d’une kalachnikov chez [elle] et si [elle] avait des gardes du corps ».

C’est pour ces faits, que l’homme condamné ce mercredi comparaissait devant le tribunal. Il a toutefois été relaxé des faits d’ »appels téléphoniques malveillants ». En garde à vue comme devant le tribunal il a contesté les faits, affirmant que quelqu’un d’autre avait utilisé son téléphone !

Mort de Thomas à Crépol : deux auteurs présumés

Mort de Thomas à Crépol : deux auteurs présumés

Ilyès Z., 22 ans, et un autre individu mineur au prénom à consonance française, tous deux en détention provisoire, ont été désignés par au moins un témoin chacun comme étant l’auteur du coup mortel. «Plusieurs éléments permettent bien d’incriminer ces deux personnes».

Alors que l’individu mineur nie même s’être rendu à la soirée, plusieurs témoignages, vidéos et informations téléphoniques attestent de façon formelle de sa présence sur les lieux ce soir-là. Par ailleurs, son jeune frère aurait lui aussi participé à l’expédition punitive. «Cet individu, qui a la particularité de ressembler beaucoup à son frère aîné, est toujours recherché, au même titre que plusieurs autres personnes», détaille une source.

Alors que neuf témoins ont rapporté avoir entendu les agresseurs exprimer le fait de vouloir «tuer des Blancs», un nouveau témoignage interpelle. Celui d’une amie d’un jeune rugbyman présent à la soirée. Celle-ci a déclaré aux enquêteurs avoir entendu son ami ce soir-là dire : «J’ai envie de taper des bougnoules». «Le moment où ces paroles ont été prononcées reste à circonstancier, ce qui est très important», précise encore au Figaro notre source.

Au total, neuf individus ont été mis en examen pour «meurtre en bande organisée» pour certains et «violences volontaires» pour d’autres. Six d’entre eux, dont deux mineurs, ont été placés en détention provisoire. Les trois autres, dont un mineur, ont été placés sous contrôle judiciaire. «À l’heure actuelle, l’ensemble des protagonistes n’est pas interpellé ni identifié», précise le procureur de la République de Valence, Laurent de Caigny.

Mort du supporter du FC Nantes :Un autre un chauffeur de VTC mis en examen

Mort du supporter du FC Nantes :Un autre chauffeur de VTC mis en examen

Un autre chauffeur de VTC au passé lourd à également été mis à la en examen pour son implication dans la mort du supporter du FC Nantes.
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Le procureur de la République de Nantes a confirmé que la tragédie s’était déroulée lorsque des supporteurs nantais «en grand nombre» ont pris à partie des VTC transportant des supporteurs niçois et leurs chauffeurs.

Il a ainsi affirmé que l’auteur principal présumé des deux coups de couteau mortels est «un homme âgé de 35 ans, chauffeur VTC, possédant quatre mentions sur son casier judiciaire, dont une de prison ferme pour détention et trafic de stupéfiants».

Le second suspect, un chauffeur VTC entendu dans un premier temps en tant que témoin, a été ensuite mis en garde à vue, « lorsqu’on s’est rendu compte que son véhicule était doté d’un système d’enregistrement et que ces documents (les vidéos, NDLR) avaient disparu». Il aurait selon le procureur, également porté des coups à Maxime avec une matraque télescopique. Ce deuxième suspect a été mis en examen pour violences volontaires et altération de preuves.

Mort de Thomas à Crépol: Le déni de réalité de la part des élites

Mort de Thomas à Crépol: Le déni de réalité de la part des élites

La plupart des élites et des grands médias ne cessent de réduire la mort tragique de Thomas à Crépol à un simple fait divers. En même temps ils condamnent évidemment l’analyse faisant le lien avec ce tragique événement et sa dimension sociétale nationale. Un internaute parmi d’autres proteste contre ce déni de réalité de la part des élites.

Il s’appelle André, vit à Romans-sur-Isère et porte un manteau jaune. Son coup de colère a été relayé des milliers de fois sur les réseaux sociaux et diffusé en boucle sur les chaînes d’info. Réagissant à la visite d’Olivier Véran à Crépol, il dénonce « tous ces gouvernements qui défendent la France des cités contre la France de Thomas, la France rurale, la France des gens qui élèvent leurs gosses comme il faut, pas dans la haine de la France et des Français. » Et d’ajouter : « Je fais partie de ce territoire, on n’en peut plus et on comprend tout depuis longtemps : la prochaine fois, ce n’est pas avec des couteaux qu’ils viendront, mais avec des armes automatiques. »

André n’est ni journaliste, ni sociologue et nombre d’« experts » ne manqueront sans doute pas de mettre en garde contre des propos qu’ils jugeront sommaires et dangereux ! Pourtant il s’agit bien d’un fait de société sur fond de radicalisation générale et de trafic de drogue puisque les auteurs du drame sont aussi des délinquants connus et bien identifiés.

Société-Mort de Thomas à Crépol: les mêmes profils cachés des auteurs

Société-Mort de Thomas à Crépol: les mêmes profils cachés des auteurs


Volontairement, la justice et les pouvoirs publics ont caché le profil des auteurs des attaques a Crépol qui ont valu la mort à Thomas. On a notamment caché au début de l’affaire le profil de délinquants des auteurs et leur lien de nationalité. On a surtout voulu et on continue de considérer qu’il s’agit d’un fait divers et non d’un phénomène de dimension nationale. Bref un véritable déni de réalité. À propos de ce profil, on s’est contenté de dire qu’il s’agissait de français, fils de français ! En réalité on a caché les noms à consonance étrangère qui concernaient la plupart des auteurs de la barbarie. Ce déni du profil identitaire et sociologique des auteurs habituels d’actes barbares témoigne bien de la frilosité voir de la lâcheté des pouvoirs publics vis-à-vis de la violence.

Comme on pouvait le supposer malheureusement, les auteurs des attaques mortelles qui ont fait plusieurs blessés et un mort a Crépol sont encore le fait de délinquants connus de la police est déjà condamnés y compris pour des motifs identiques ou d’autres comme le trafic de stupéfiants. Sans parler des infractions routières. Ce sont des habitués de la violence. Bref des sauvages qui ont l’habitude de vivre hors des clous des valeurs républicaines, des lois et des civilisations modernes.

Évidemment pour de tels intéressés la prison n’est pas forcément la meilleure solution et on pourrait sans doute réfléchir à la création d’établissements spécialisés pour reciviliser ces individus hybrides entre humains et sauvages.

Le premier majeur mis en cause et principal suspect du coup de couteau qui a ôté la vie de Thomas, 16 ans, est âgé de 20 ans. Il est de nationalité française. Son casier judiciaire est émaillé de deux condamnations «par ordonnance pénale à des peines d’amende». La première, pour recel de vol, et la seconde, pour «port d’arme blanche ou incapacitante de catégorie D sans motif légitime», autrement dit, un «poignard» ou «couteau-poignard», d’après la direction de l’information légale et administrative. Cette dernière condamnation était assortie d’une peine complémentaire d’interdiction de détenir ou porter une arme pour une durée de deux ans, qui lui avait été notifiée le 25 septembre dernier.

Cinq autres mis en cause sont majeurs. Deux d’entre eux sont âgés de 19 ans, nés à Romans-sur-Isère pour l’un et en Italie pour l’autre. Leur casier ne comporte aucune condamnation.

Le quatrième est également natif de Romans-sur-Isère. Âgé de 20 ans, son casier présente une mention de condamnation à un travail d’intérêt général, «pour une infraction à la législation sur les stupéfiants», ainsi qu’une «amende de composition pénale pour une infraction délictuelle au Code de la route». Rappelons que la plupart des infractions au Code de la route ne figurent pas au casier judiciaire, à moins d’être condamné pour un excès de vitesse de plus de 50 km/h, un refus d’obtempérer ou une conduite sous stupéfiants, par exemple.

Le cinquième, âgé de 21 ans et natif de Romans-sur-Isère, a deux mentions de condamnation à son casier judiciaire: l’une est une peine d’amende et une suspension du permis de conduire pour infraction routière, et l’autre est une peine d’emprisonnement assortie d’un sursis probatoire durant deux ans, pour des faits de violences aggravées. Cette dernière peine était exécutoire depuis le 22 mars 2022.

Quant au dernier majeur mis en cause, romanais de naissance et âgé de 22 ans, son casier judiciaire comporte également deux mentions de condamnations. «L’une à de l’emprisonnement avec sursis pour des faits d’outrage et menace à l’encontre de dépositaire de l’autorité publique et conduite d’un véhicule sans permis», avance le parquet, et «la seconde à du travail d’intérêt général pour plusieurs infractions délictuelles au Code de la route»

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