Archive pour le Tag 'mort'

Lucie Castets : c’est mort !

Lucie Castets : c’est mort !

En dépit de ses agitations estivales, la candidate du nouveau front populaire pour le poste de premier ministre n’a pas réussi à s’imposer. Au sein même de la coalition de gauche, on  considère d’ailleurs que cette candidature est morte.

 

En cause sur le fond évidemment des interprétations contradictoires du programme bâti à la hâte avec essentiellement des revendications sociales. Par parenthèse qui devraient être de la responsabilité première des acteurs sociaux et non des politiques. Sur la forme, la candidate première ministre du nouveau front populaire n’a pas réussi à séduire , c’est le moins que l’on puisse dire. Elle a au contraire affiché sa radicalité et son inexpérience sans parler de son  côté psychorigide. Exemple de cette maladresse quand elle affirme que les 1600 € pour le SMIC ne sont pas une première immédiate mais un objectif plus lointain ou encore quand elle parle d’élargissement du gouvernement que refusent les insoumis. Sans parler de son injonction à Macron pour qu’elle soit désignée comme chef du gouvernement.
Dernière maladresse, son coming out dont tout le monde se moque évidemment.

Encore une rixe entre jeunes qui fait un mort

Encore une rixe entre jeunes qui fait un mort

 

Sur fond de rivalité pour une jeune fille à la sortie d’une discothèque à Mâcon, deux groupes se sont retrouvés pour en découdre à Prissé, près de Mâcon en Saône-et-Loire, dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 juillet.
Cinq personnes ont été placées en garde à vue après la mort d’un jeune homme de 19 ans ce samedi 3 août lors d’une rixe à Prissé (Saône-et-Loire), près de Mâcon, a indiqué ce dimanche 4 août le parquet de la ville.

« Il y a actuellement cinq personnes en garde à vue dont la jeune fille » qui aurait fait l’objet d’une rivalité, a indiqué dimanche en fin de journée la procureure de la République de Mâcon Anne-Lise Furstoss.

 

 

 

 

Violences : «L’instinct de mort est revenu» (Alain Bauer)

Violences  : «L’instinct de mort est revenu» (Alain Bauer)

Le criminologue Alain Bauer* analyse la recrudescence alarmante de la violence en France, évoquant l’augmentation des tentatives d’homicide et l’émergence d’une nouvelle génération de criminels. Il appelle dans le JDD à une action concertée pour restaurer la sécurité et l’ordre.

Jacques René Mesrine avait intitulé son autobiographie L’instinct de mort parue en 1977 alors qu’il est détenu depuis 1973. Il y racontait sa jeunesse bourgeoise, son service militaire en Algérie, ses premiers parcours criminels, ses meurtres, sa vie en prison. Ennemi public numéro 1, il devient paradoxalement un Robin des Bois pour une partie de l’intelligentsia française des années 70.

Sa légende est née et des générations de lecteurs puis de spectateurs de cinéma ont voulu en faire leur héros au bénéfice de quelques phrases emblématiques noyées dans une liste de vols, d’attaques à main armée, de meurtres et de tentatives d’assassinat. Sans réseaux sociaux, influenceurs ou TikTok, Mérine comme il aimait qu’on prononce son nom, est une Star dont la légende survit. Nous voici un demi-siècle plus tard.

Les grands criminels, les « Beaux voyous », les Parrains et les Juges de paix du crime organisé français ont peu à peu disparu. Depuis la mort et Jean Ge Colonna et l’élimination de Farid Berrahma, en 2006, les guerres de succession et de sécession ont touché tous les secteurs géographiques et tous les métiers criminels. Le trafic de stupéfiants s’est étendu, enraciné, développé. L’expansion des zones de chalandise sur les petites et moyennes agglomérations, la relocalisation des cultures de cannabis à forte concentration de THC, la résurrection d’une « French Connection » spécialisée dans les produits de synthèse, ont provoqué une crise criminelle qui faute d’être totalement inédite, avait été durablement maîtrisée dans les années 80.

 

 

Le SSMSI, service statistique du ministère de l’intérieur qui n’avait plus publié les chiffres des tentatives d’homicide depuis plusieurs années a brutalement confirmé début juillet 2024 dans son bilan annuel sur l’année précédente que ceux-ci avaient connu une hausse de 78 % entre 2016 et 2023. Près de neuf tentatives d’homicide enregistrées sur dix ont été commises en dehors du cadre familial et plus des trois quarts des victimes sont des hommes (77 %). À l’inverse, les femmes représentent 65 % des victimes dans le cadre familial, et même 73 % dans le cadre conjugal.

Les jeunes âgés de 15 à 29 ans sont les plus exposés aux tentatives d’homicide, les hommes cinq fois plus que les femmes dans cette tranche d’âge. Les personnes mises en cause présentent le même profil que les victimes : des hommes (90 %), âgés de 18 à 29 ans (47 %).

 

Depuis le plancher historique de 2012, homicides et tentatives, dont une grande partie est motivée par le trafic et ses conséquences en matière de concurrence, de détournement de marchandises ou de dettes impayées, connaissent une impressionnante progression et un plus haut historique en 2023. On a même dû inventer un terme pour préciser la situation, le « Narcomicide » qui rejoint le « féminicide » au rang des néologismes qui illustrent une réalité trop longtemps minimisée ou occultée par les institutions politiques.

Les grands criminels, les « Beaux voyous », les Parrains et les Juges de paix du crime organisé français ont peu à peu disparu

 

Plus saisissant encore, le nombre d’agressions, coups et blessures volontaires, embuscades, montées par des mineurs, en groupes, n’ayant plus aucune maîtrise de leur violence pulsionnelle. Vengeurs des leurs (sœurs en général), rédempteurs de comportements sexuels dont ils n’arrivent toujours pas à admettre la simple existence, agents divins autoproclamés, se réclamant de toutes les causes ayant échauffé leurs humeurs après le dernier sermon TikTok, leur passage à l’acte est puissant et accéléré, violent et pas toujours impulsif.

 

Une partie de cette génération imagine que sa violence est légitime et justifiée, qu’en tant que « victimes » de la société, la vengeance par élimination de l’adversaire, même s’il n’a rien fait d’ autre qu’exister, est « normale » et souvent, à la surprise des policiers ou magistrats, parfaitement assumée.

 

Chaque jour apporte son lot de « fait divers » qui construisent une réalité quotidienne dont la répétition pourrait faire oublier l’anormalité : sept morts dont des enfants à Nice dans l’incendie volontaire d’un appartement sur fond de trafics, un jeune homme grièvement blessé à coups de sabre à Dugny, un policier attaqué au couteau sur les champs Élysées par l’auteur présumé d’un premier homicide à Courbevoie, un militaire de sentinelle agressé à l’arme blanche par un récidiviste gare de l’Est, un jeune homme tué lors d’un affrontement entre bandes à Créteil, un autre grièvement blessé à Saint Denis, deux autres abattus à Bobigny, des guets apens homophobes qui ne se comptent plus, … tel est le bilan en plein juillet 2024, d’un pays qui devrait se réjouir d’accueillir les Jeux Olympiques.

 

Il n’est pas normal d’avoir peur de ses propres enfants. Pas plus que de se résigner à leur violence, car leurs principales victimes leur ressemblent. Un regard, une cigarette, un commentaire, et le duel revient sous forme de traquenard, sans foi ni loi, sans règles, sans honneur.

 

L’instinct de mort est revenu. Il ruine l’avenir d’enfants et d’adolescents, de familles, de toute une société qui ne peut plus se contenter des postures, des incantations, des lamentations, des imprécations.

 

Ni du spectacle de plus en plus lamentable qu’offre, après une mobilisation historique des électeurs français, l’espace politique. Il est plus que temps que les acteurs du terrain, élus locaux, éducateurs, enseignants, policiers, gendarmes et magistrats se parlent pour fournir au gouvernement une feuille de route qu’il ne semble toujours pas capable d’écrire tout seul.


*Alain Bauer est professeur de criminologie au CNAM et l’auteur de Tu ne Tueras Point, Fayard 2024

Plainte de Bellamy contre Rima Hassan pour «menaces de mort»

Plainte de Bellamy contre Rima Hassan pour «menaces de mort»

Après les déclarations complètement irresponsables de Rima Hassan, égérie des Insoumis, Bellamy porte plainte pour menaces de mort. Une nouvelle fois la députée des « Insoumis » n’avait pas hésité à employer un langage de voyou et de menacer même physiquement Bellamy.

 «Pour le moment François-Xavier Bellamy et ses petits copains, proches du régime génocidaire israélien, dorment bien la nuit. Ça ne va pas durer», a menacé Rima Hassan, eurodéputée Insoumise (LFI), sur le réseau social X mercredi soir. Une attaque ad hominem, qui fait écho à des invectives déjà publiées mardi par la mélenchoniste. Silencieux depuis la publication de ce post, François-Xavier Bellamy s’est entretenu, selon nos informations, avec de nombreux parlementaires LR ces dernières heures qui lui ont tous conseillé de porter plainte contre la mélenchoniste. Ce qu’il a donc décidé de faire auprès de la procureure de Paris, invoquant les motifs de «menaces de mort» et «incitation à commettre un crime contre un élu».

 

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins». C’est à propos de ce slogan scandé lors de manifestations contre le Rassemblement national, que le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a déclaré au journaliste du JT de M6 qui l’interrogeait : «C’est absurde… mais on a le droit de rigoler quand même»«Pas sur la mort des gens, bien sûr», a-t-il ensuite tenté de nuancer. Provoquant un véritable tollé sur les réseaux sociaux et dans le débat public.

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Comme chaque jour il y a au moins un fait divers faisant état de violences envers des enseignants. Et comme chaque jour cela sera rangé dans la rubrique faits divers alors qu’il s’agit d’un fait de société surtout quand en plus la violence et le faite d’une adolescente fichée S !

 

Une mesure conservatoire a par ailleurs été prononcée par le chef d’établissement à l’encontre de l’élève mise en cause avant l’engagement prochain d’une procédure disciplinaire. Tout accès au lycée lui est désormais interdit. Un dispositif d’accompagnement et de suivi a été proposé à l’enseignante verbalement agressée, indique enfin le rectorat. La garde à vue de la lycéenne était toujours en cours ce mercredi soir.

La question est pour combien de temps?

 

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Comme chaque jour il y a au moins un fait divers faisant état de violences envers des enseignants. Et comme chaque jour cela sera rangé dans la rubrique faits divers alors qu’il s’agit d’un fait de société surtout quand en plus la violence et le faite d’une adolescente fichée S !

 

Une mesure conservatoire a par ailleurs été prononcée par le chef d’établissement à l’encontre de l’élève mise en cause avant l’engagement prochain d’une procédure disciplinaire. Tout accès au lycée lui est désormais interdit. Un dispositif d’accompagnement et de suivi a été proposé à l’enseignante verbalement agressée, indique enfin le rectorat. La garde à vue de la lycéenne était toujours en cours ce mercredi soir.

La question et pour combien de temps?

 

Violence extrême aussi en Guadeloupe avec la mort d’un patron par son fils

Violence extrême aussi en Guadeloupe avec la mort d’un patron par son fils

 

La violence n’est pas nouvelle en Guadeloupe comme ailleurs mais le fait divers de cet assassinat d’un chef d’entreprise par son fils témoigne de la sauvagerie des rapports qui s’installent comme le rappelle le Figaro.

Le fils du chef d’entreprise s’étend dénoncé comme le responsable de ce meurtre d’autres criminels impliqués ont été arrêté. De  nouvelles personnes ont été mises en examen dans l’affaire du meurtre en septembre 2023 d’un chef d’entreprise très connu en Guadeloupe, a indiqué jeudi 23 mai Caroline Calbo, procureure de la République de Pointe-à-Pitre. Mickaël Paturot, 39 ans, à la tête d’une entreprise de climatisation, avait été tué par balle à son domicile au Gosier (sud-ouest de la Grande Terre) le 23 septembre, à la suite d’un cambriolage qui aurait mal tourné, selon les enquêteurs.

Le lendemain, son fils de 16 ans s’était dénoncé à la police comme étant le commanditaire du vol, provoquant un gros émoi dans l’archipel. Ce dernier avait été immédiatement placé en détention provisoire, rejoint un mois plus tard par trois autres jeunes hommes. Au total, «quatre mineurs et quatre majeurs», âgés de 15 et 19 ans, sont mis en cause, a précisé Caroline Calbo. Sept sont en détention provisoire et mis en examen «pour des faits d’homicide concomitant avec un autre crime et vol avec arme», selon la même source. Le huitième suspect, un mineur, a été placé sous contrôle judiciaire et a intégré un centre pour mineurs.

Bordeaux : un mort pour querelle de « voisinage »

Bordeaux : un mort pour querelle de « voisinage »

 A bordeaux, un mort pour querelle de voisinage qui pourrait être lié une querelle de religion.. Un individu, « vêtu d’une djellaba » et « d’origine nord-africaine », a indiqué une source proche du dossier, a violemment attaqué au couteau deux personnes près du centre-ville de la cité girondine, aux alentours de 20 heures. Les circonstances demeuraient floues mercredi en fin de soirée.

Mais selon des éléments préliminaires, l’assassin aurait reproché à ses victimes, de nationalité algérienne, leur consommation d’alcool, alors qu’était célébré, ce 10 avril, l’Aïd-el-Fitr, fête musulmane honorant la fin du jeûne du ramadan. Sur l’une des nombreuses vidéos publiées sur les réseaux sociaux, l’on peut voir le suspect principal se pencher vers le bas, comme pour donner des coups de couteau à un individu au sol. «Arrête!», peut-on entendre crier.

Viry-Châtillon : cinq interpellés après la mort de Shamseddine, 15 ans.

Viry-Châtillon : cinq  interpellés après la mort de Shamseddine, 15 ans. 

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement.

D’après une source policière au Figaro, Shamseddine aurait été violenté pendant de longues minutes par trois jeunes encapuchonnés, à coups de poing et de pied, avant d’être laissé pour mort dans cette ruelle de Viry-Châtillon. Sa «boîte crânienne, défoncée», lui laissait, selon cette même source, peu de chance de survie. Le corps de la victime présentait également «plusieurs hématomes et des rougeurs». De son côté, le procureur Grégoire Dulin précise dans son communiqué qu’«une autopsie aura lieu dans les prochaines heures» afin de déterminer la nature des coups portés à l’adolescent et la cause exacte de son décès.

 

Une seconde source policière, elle, confie que ce déferlement de violences pourrait, d’après les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées

Viry-Châtillon :Mort de l’élève tabassé et cinq personnes interpellées 

Viry-Châtillon. Cinq personnes, dont quatre mineurs, ont été interpellées et placées en garde à vue ce vendredi 5 avril, après la mort de Shamseddine.Une affaire évidemment dramatique de règlement de comptes dont on ignore pour l’instant les motifs mais qui révèlent la banalisation de la violence pour n’importe quelle raison et pas seulement le trafic de drogue. La preuve sans doute que le système de sanction est aujourd’hui complètement inadapté concernant les mineurs et qu’il faudra sans doute revenir rapidement aux anciennes maisons de correction sans doute appelé d’un nouveau nom type » institut d’insertion ». Aujourd’hui en effet la tolérance est telle que même les mots ne sont plus utilisés par peur de déplaire à certains . Si la violence se banalise ainsi c’est que toutes les règles de discipline et de respect sont ignorées. On ne peut plus désormais qualifier ces affaires de faits divers car il s’agit en réalité de faits de société qui préfigurent une insécurité généralisée voire le chaos.

Shamseddine, un garçon de 15 ans, scolarisé au collège des Sablons à Viry-Châtillon (Essonne), est décédé, ce vendredi en début d’après-midi, des suites de graves blessures provoquées par un sanglant passage à tabac aux abords de son établissement. Transféré hier à l’hôpital Necker en urgence absolue, il avait été par la suite opéré dans la nuit de jeudi à vendredi. Le parquet d’Évry, qui a communiqué cette information, précise aussi qu’une enquête a été ouverte des «chefs d’assassinat et de violences en réunion aux abords d’un établissement scolaire». éléments recueillis par les enquêteurs, être lié «à une histoire de filles». Le jeune ne serait pas connu des services de police, ni identifié dans une bande particulière du quartier, détaille-t-elle aussi. «Shamseddine, c’était quelqu’un de sociable, qui avait plein d’amis, pas de soucis. On le connaît depuis tout petit», abondent de leur côté deux adolescents très émus, à la sortie du collège Les Sablons ce vendredi, où une cellule psychologique a été ouverte.

 Les caméras de surveillance exploitées par les enquêteurs devraient permettre de comprendre comment les faits, dont les témoins semblent rares, se sont déroulés. C’est en tout cas ce qu’espère le maire centriste de la commune, Jean-Marie Vilain, qui précise que les images «ont été réquisitionnées par la police». Alors que des adolescents scolarisés au collège des Sablons quittaient l’établissement, pour beaucoup en larmes, ce vendredi, l’édile a également dénoncé une «ultraviolence» devenue «banale». Les agresseurs de Shamseddine «ont essayé de le massacrer», a poursuivi Jean-Marie Vilain, décrivant «des voyous de la pire espèce».
«Les faits dramatiques de Viry-Châtillon hier soir sont encore une preuve que l’ultra violence n’est pas simplement un sentiment d’insécurité mais une réalité», a déploré de son côté, le secrétaire départemental Un1té 91, Guillaume Roux, auprès du Figaro. «Quel que soit le motif, c’est un acte intolérable qui devra être très sévèrement puni.»

Menaces de mort d’un proviseur du lycée : La faillite l’État !

Menaces de mort d’un proviseur du  lycée : La faillite  l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Tartuferie criminelle : Poutine regrette la mort de Navalny

Être un demeuré profond pour croire aux propos hypocrites de Poutine-réélu avec prés de 90%-  qui dit regretter maintenant la mort de navalny!

 

La mort de l’opposant russe Navalny est un « événement triste », a en effet déclaré ce dimanche 17 mars Vladimir Poutine, quelques heures après avoir été réélu très largement à la tête de la Russie, dans une élection sans réelle opposition.

« Quant à Monsieur Navalny, il est décédé. Oui, il est décédé, c’est toujours un événement triste, mais nous avons eu d’autres cas où des personnes en prison sont décédées », a déclaré Vladimir Poutine dans un discours retransmis à la télévision publique.

Le président russe également affirmé avoir été favorable à un échange de prisonniers avec les Occidentaux incluant son principal détracteur, avant sa mort en prison dans des conditions obscures mi-février.

Le président russe Vladimir Poutine a recueilli 87% des voix à l’élection présidentielle qui s’est achevée dimanche en Russie. Les résultats de l’élection témoignent de la confiance des citoyens du pays et de leur espoir que nous ferons tout ce qui est prévu », a-t-il assuré.

Mort subite : la pandémie de la Russie de Poutine

 
En Russie, on ne compte plus les décès par mort subite pour régler les comptes des opposants. Parfois même des comptes qui se règlent à l’étranger par empoisonnement ou défenestration. C’est le mode de régulation démocratique de Poutine et de sa clique de criminels fous et parfois alcoolique comme Medvedev Qui  promet d’utiliser la bombe atomique tous les matins.

« Lorsque l’avocat et la mère d’Alexeï sont arrivés à la colonie ce matin, on leur a dit que la cause de la mort de Navalny était le syndrome de mort subite », a écrit sur le réseau social X Ivan Zhdanov, qui dirige la Fondation anti-corruption de l’opposant décédé

L’heure est au deuil. La mère d’Alexeï Navalny a été informée, samedi 17 février, que l’opposant russe avait succombé à un « syndrome de mort subite » et qu’une enquête devait être menée avant la remise du corps du défunt à sa famille, a fait savoir son entourage.

Alexeï Navalny, un ancien avocat de 47 ans, a perdu connaissance et est décédé vendredi après une promenade dans la colonie pénitentiaire IK-3 située à Kharp, à environ 1 900 km au nord-est de Moscou, où il purgeait une peine de 30 ans, ont déclaré les autorités russes la veille.

Lyudmila, la mère du défunt qui est âgée de 69 ans, a bravé samedi des températures de – 30°C pour se rendre à la colonie pénitentiaire où son fils a trouvé la mort. L’avis de décès officiel qui lui a été remis indique un décès à 14h17 heure locale (09h17 GMT) le 16 février, a déclaré à Reuters la porte-parole d’Alexeï Navalny, Kira Yarmysh.

Pas d’acte criminel. « Lorsque l’avocat et la mère d’Alexeï sont arrivés à la colonie ce matin, on leur a dit que la cause de la mort de Navalny était le syndrome de mort subite », a écrit sur le réseau social X Ivan Zhdanov, qui dirige la Fondation anti-corruption de l’opposant décédé. Le « syndrome de mort subite » est un terme vague désignant différents syndromes provoquant un arrêt cardiaque soudain conduisant à la mort.

On ne sait pas non plus où se trouve le corps de Navalny, a indiqué son équipe. Sa mère a appris que le corps avait été emmené à Salekhard, ville proche du complexe pénitentiaire, mais lorsqu’elle est arrivée sur place, la morgue était fermée. Contacté par l’avocat de Navalny, un employé de la morgue a indiqué qu’il ne disposait pas du corps, a déclaré Kira Yarmysh.

Plus tard, les autorités leur ont dit que le corps ne serait pas remis à la famille avant la fin de l’enquête !

À ce niveau de cruauté, la question de l’état mental de Poutine est posée.

 

 

Mort d’une agricultrice et de sa fille : les trois occupants de la voiture étaient sous OQTF

Mort d’une agricultrice et de sa fille : les trois occupants de la voiture étaient sous OQTF

Une terrible nouvelle que le décès de cette agricultrice qui participait au mouvement de protestation des agriculteurs d’autant que sa fille est aussi décédée. Bien sûr c’est une conséquence indirecte de la grave crise qui secoue l’agriculture et on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi les trois passagers présents dans la voiture responsable étaient encore en France alors qu’ils étaient sous l’obligation   de quitter le territoire.

 

Les trois suspects interpellés après la collision qui a coûté la vie à une agricultrice et à sa fille ce mardi matin étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF), a appris Le Figaro d’une source proche de l’enquête confirmant une information du Parisien . Tous de nationalité arménienne, ils avaient déposé une demande d’asile en France qui leur avait été refusée en 2022. Ils avaient engagé des recours contre cette décision mais avaient à nouveau été déboutés de leur demande en 2023, et une OQTF avait été prise à leur encontre. «Ils n’étaient toutefois pas connus pour des troubles à l’ordre public», précise notre source proche de l’enquête.

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