Archive pour le Tag 'Morelle'

Hollande « un enfoiré » (Morelle)

Hollande « un enfoiré » (Morelle)

Preuve s’il en fallait des rapports humains pathétiques dans la jungle politiques avec le témoignage de Morelle (ancien conseiller de l’Elysée) sur Hollande. L’ancien conseiller de François Hollande, Aquilino Morelle, se lâche dans une enquête à paraître dans le Nouvel Observateur de jeudi. Celui qui a été remercié de l’Elysée le 18 avril dernier revient sur l’affaire Trierweiler, sa relation avec le chef de l’Etat – qualifié au passage d’ »enfoiré » – ainsi que sur son avenir proche.  Aquilino Morelle, ex-conseiller du chef de l’Etat, a des choses à dire. Il publiera bientôt un livre qui, un peu comme Valérie Trierweiler avant lui, décrira l’ambiance élyséenne du début de mandat de François Hollande. Il donne un avant-goût de la charge à venir dans le Nouvel Observateur à paraître jeudi. L’hebdomadaire publie en effet une enquête sur celui qui a été remercié en l’espace de quelques heures, le 18 avril dernier. Mediapart venait alors de révéler qu’il avait fait venir un cireur de chaussures dans les locaux présidentiels. L’autre raison de son licenciement tient à la révélation d’un contrat passé en 2007 avec un laboratoire pharmaceutique alors même qu’il était inspecteur à l’Igas (Inspection générale des Affaires sociales). « C’est simple, j’ai été victime d’une élimination politique planifiée », confie l’intéressé au Nouvel Obs’, martelant ainsi une confidence qu’il avait déjà faite au Point le 11 septembre dernier, avant de la démentir. « Je ne peux pas rester immobile toute ma vie. Je dois m’expliquer pour ma femme, mes enfants, mes amis, tous ceux qui n’ont pas compris mon silence… Le dossier est vide, je n’ai rien à me reprocher », explique-t-il ensuite pour justifier la publication de son livre. Mais il ne peut s’empêcher d’égratigner avant l’heure François Hollande, qu’il qualifie d’ »enfoiré » au détour d’une phrase. « François se comporte avec moi comme avec Valérie (Trierweiler), incapable d’assumer une rupture qui était aussi d’ordre affectif », croit-il savoir. Il revient pour le Nouvel Obs’ sur l’affaire Trierweiler, la rupture entre le chef de l’Etat et l’ancienne première dame. « Jamais nous n’avions été aussi proches qu’en cet hiver 2014″, se rappelle le conseiller, qui raconte avoir posé sur le bureau du Président l’exemplaire du Closer à l’origine du scandale. « J’ai vu François nu, plus bas que terre, je l’ai ramassé à la petite cuillère. Peu à peu, il s’est relevé. Alors il n’a plus supporté mon regard », raconte-t-il. Et maintenant? Aquilino Morelle a revu François Hollande en juin. Mais, sur le plan professionnel, la politique semble bien éloignée. L’ancien conseiller a repris le chemin de l’Igas. Et lance une pique visant la politique aujourd’hui menée par le pouvoir socialiste : « Je revis d’une certaine manière. Vendre des billets de 5 euros pour des billets de 500 commençait à m’abaisser intellectuellement. Aujourd’hui, je suis serein. »

 

« Merkel va nous traiter comme des laquais »( Aquilino Morelle)

« Merkel va nous traiter comme des laquais »( Aquilino Morelle)

Lancien conseiller de Hollande règle ses comptes avec le Président et sa gestion. Certes il conteste l’intreview au Point mais elle a pourtant bien eu lieue comme l’a confirmé BFM. En fait il ne faiat que répéter ce que dit Trierweilller, Hollande manque totalement de courage, favorise ses copains et mène le pays dans le mur. Du coup « l’Allemagne va bous traiter comme des laquais «  conclu-il. Il a raison et d’une certaine manière c’est déjà fait ; Merkel s’est installée comme la vraie et seule patronne de l’Europe et elle entend à peine ce que bafouille Hollande A la décharge de Hollande le dédain que manifeste Merkel à légard de la France avait commencé sous Sarkozy mais s’est amplifié avec les résultats économiques catastrophiques.  Après avoir été victime d’une enquête l’accusant de conflit d’intérêt, ce qui lui a coûté sa place à l’Elysée, Aquilino Morelle affirme avoir été piégé par une journaliste du Point. Cité par Europe 1, l’ancien conseiller du président affirme qu’elle « voulait me revoir à titre amical et m’a extorqué des pseudos confessions. » Dans un article paru jeudi dans Le Point, Aquilino Morelle juge que son éviction était « 100% politique ». Écarté de l’Elysée en avril, il a été accusé de conflit d’intérêt avec un laboratoire pharmaceutique lorsqu’il était encore inspecteur de l’Igas en 2007.  Dans un article du Point, il se pose en victime d’ »une chasse à l’homme, un complot » de François Hollande et des proches du chef de l’État. « Il fallait me discréditer en vue de 2015 et de mon témoignage au procès du Mediator » analyse-t-il. Mais Aquilino Morelle voit plus loin que son cas personnel : « La logique qui est en œuvre est celle d’une purification ethnique ». Il n’hésite pas comparer son départ et celui de son ami, l’ancien ministre de l’Économie Arnaud Montebourg, au génocide rwandais qui opposait « les Hutus et les Tutsis ». Il raille « Hollande et ceux qui l’entourent : Jean-Pierre Jouyet et tous les ministres hollandais. A présent le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils sont entre eux. Mais cela va accélérer leur chute. » Sur l’affaire du cireur de chaussures venu dans le palais présidentiel, il reconnaît avoir « fauté » même s’il en profite pour épingler Pierre-René Lemas d’où viendrait la fuite selon lui. Il se vante de « l’avoir buté avant » (Lemas a été remplacé le 12 avril de son poste de secrétaire général de l’Élysée). Seul le premier ministre, Manuel Valls, trouve grâce à ses yeux. « Il reste mon ami » affirme-t-il, malgré la position centrale de Valls au gouvernement et son rôle dans le limogeage d’Arnaud Montebourg. Pour Aquilino Morelle, la faute en revient encore à François Hollande :  » Cela faisait des mois que Hollande rêvait de se débarrasser d’Arnaud. Il se débrouille toujours pour que les autres fassent ce qu’il n’a pas le courage de faire. » En prime, Aquilino Morelle en profite pour lancer une pique sur le nouveau ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, « un ministre libéral [...] un collaborateur ». Il prévoit une fin de mandat catastrophique : « On ne peut pas réduire un déficit publique avec une croissance zéro [...] Et surtout pas Hollande, Jouyet, Manuel et Emmanuel. Merkel va nous traiter comme on le mérite. Comme des laquais. »

 

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Affaire Morelle ; un copain énarque remplace le copain viré

Gaspard Gantzer, 34 ans, un énarque qui a travaillé aux côtés de Bertrand Delanoë puis Laurent Fabius, a été nommé conseiller chargé des relations avec la presse et chef du pôle communication à l’Elysée, a annoncé mercredi la présidence.  Il devait seconder le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll mais la démission d’Aquilino Morelle, soupçonné de conflit d’intérêts, lui a offert une promotion. Gaspard Gantzer a été nommé mercredi soir « conseiller chargé des relations avec la presse, chef du pôle communication, à la Présidence de la République », a indiqué l’Elysée dans un communiqué. Il reprend ainsi en partie les attributions d’Aquilino Morelle. Issu comme Emmanuel Macron, secrétaire général adjoint de l’Elysée, de la promotion de l’Ena Léopold Sédar Senghor (2004), Gaspard Gantzer a notamment été conseiller pour la communication (2010-2012) puis porte-parole de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris de mai 2012 à janvier 2013. Il était depuis janvier 2013 le conseiller communication et presse de Laurent Fabius au Quai d’Orsay. Un autre conseiller de l’Elysée va également quitter le Chateau quelques jours après Aquilino Morelle. Il s’agit de son ancien adjoint, Christian Gravel. Mais ce dernier explique selon le Lab, qui cite un SMS envoyé à ses amis, que son « départ n’a rien à voir avec la dernière petite affaire elyséenne… C’est un choix personnel. »

« Hollande, un salaud » (Morelle)

« Hollande, un salaud » (Morelle)

 

 La vérité sort de la bouches des petits marquis répudiés par le monarque « républicain ».morelle devrait savoir qu’on peut faucher dans la caisse de l’Etat mais de manière légale ( en se faisant nommer dirigeant d’une grande société, exemple aujourd’hui chez Orange) et en passant ainsi d’environ 5000 euros mensuels à 100 000.  En effet La démission d’Aquilino Morelle était, de l’avis de François Hollande,  « la seule décision qui convienne ». Un avis que ne partageait apparemment pas l’ex-conseiller du président. Selon Le Canard Enchaîné à paraître ce mercredi 23 avril, Aquilino Morelle a violemment reproché au chef de l’État de ne pas le soutenir après les révélations de Mediapart : Alors qu’il y a des chiens après moi, tu m’abandonnes. Tu es vraiment un salaud !  Vendredi 18 avril, accusé de conflits d’intérêts avec des laboratoires pharmaceutiques, Aquilino Morelle avait annoncé sa démission à l’AFP : Je veux redire que je n’ai commis aucune faute. Je n’ai jamais été en situation de conflit d’intérêts. Je souhaite mettre fin à mes fonctions pour être entièrement libre de répondre aux attaques.  Quelques heures plus tard, en visite dans l’usine Michelin de Clermont-Ferrand, François Hollande avait acté cette démission, « la seule décision qui convienne ». Il a travaillé pour la Présidence de la République pendant deux ans. Et il a bien travaillé. Mais ce qu’il s’est passé avant, il a à en répondre.  Jeudi 17 avril, le site Mediapart a publié une enquête concernant Aquilino Morelle, l’accusant de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique lorsqu’il était encore rattaché à l’IGAS, l’inspection générale des affaires sociales. Dans ce même article, on apprenait également que le conseiller du président avait fait privatiser à au moins deux reprises, un salon de l’hôtel de Marigny pour une séance de cirage de ses chaussures.

Affaire Morelle « la gauche caviar » (Hervé Mariton)

Affaire Morelle « la gauche caviar » (Hervé Mariton)

Morelle l’inspirateur du fameux discours moralisateur du Bourget, de quoi sourire si ce n’était pathétique. « Cette affaire est ahurissante et la moindre des choses est qu’il démissionne », a affirmé le député de la Drôme, Hervé Mariton, ce dimanche 20 avril sur RCJ ajoutant qu’ »on ne fait pas ce qu’il a fait. C’est sans doute une question de droit, c’est au minimum une question de décence et de morale publique. Ce n’est pas décent ». Le conseiller politique de François Hollande a démissionné vendredi après les révélations de Mediapart. Il est soupçonné d’avoir touché 12.500 euros du laboratoire danois, Lundbeck, en 2007 alors qu’il était en poste à l’Inspection générale des affaires sociales (Igas). L’enquête du site dirigé par Edwy Plenel l’accuse également d’avoir eu recours aux services d’un cireur de chaussures à l’intérieur de l’Élysée. « Quant à l’affaire des chaussures, c’est grotesque, c’est invraisemblable, c’est le moment où on a l’impression qu’on n’est pas sur la même planète! Il y a cet aspect gauche caviar qui ressort. Qu’on soit à droite ou à gauche, il faut éviter de donner trop de leçons à tout le monde. Aquilino Morelle a donné beaucoup de leçons », a-t-il ajouté. Aquilino Morelle avait été l’inspirateur du discours du Bourget de janvier 2012, dans lequel François Hollande avait clamé que son « principal adversaire » était « le monde de la finance » et promis de ramener l’argent au rang de « serviteur et non d’un maître ».

 

Encore une affaire pour Hollande après le vidage de Morelle

Encore une affaire pour Hollande après le vidage de Morelle

Cette affaire « affaiblit François Hollande », a réagi après coup Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice de l’aile gauche du PS. Elle « traduit la faillite (…) morale de cette présidence de la République » pour le député UMP Eric Ciotti.  Cette nouvelle affaire intervient au mauvais moment pour François Hollande, qui a choisi de renouveler quasi-intégralement le dispositif de sa majorité après la déroute de la gauche lors des élections municipales.  A l’Elysée, M. Morelle avait été épargné par cette grande lessiveuse qui a en revanche coûté sa place au secrétaire général, Pierre-René Lemas.  Le départ d’Aquilino Morelle met à mal la nouvelle organisation entre les deux têtes de l’exécutif souhaitée par le chef de l’Etat. M. Morelle devait assurer un lien plus étroit entre l’Elysée et Matignon, après le remplacement de Jean-Marc Ayrault par Manuel Valls.  Un an après la démission du ministre du Budget Jérôme Cahuzac (19 mars 2013) pour détention de comptes bancaires à l’étranger, cette affaire sème de nouveau le trouble dans la majorité.   »Je me demande si on a appris de l’affaire Cahuzac », s’est lamentée Emmanuelle Cosse, la patronne d’EELV. « Quand on travaille à l’Igas, même si on respecte les règles, aller faire des ménages dans l’industrie pharmaceutique, c’est pas bien », a appuyé la secrétaire nationale du parti. Plus symbolique mais tout aussi embarrassante est la scène, rapportée par Mediapart, d’un M. Morelle se faisant cirer ses nombreuses et luxueuses chaussures dans un salon de l’hôtel Marigny, tout proche de l’Elysée.  Une image assassine pour celui qui inspira très largement le fameux discours du Bourget de janvier 2012 dans lequel François Hollande clamait que son « principal adversaire » était « le monde de la finance » et promettait de ramener l’argent au rang de « serviteur et non d’un maître ».   »Des conseillers comme ça, c’est une plaie », fulminait vendredi un ministre proche du président.  L’affaire intervient surtout alors que le Premier ministre a engagé le fer avec une partie de sa majorité, peu désireuse d’endosser les 50 milliards d’euros d’économies dont le gel jusqu’en octobre 2015 d’une partie des prestations sociales. « Les députés PS sont déjà assez remontés, ils n’ont pas envie de la moindre concession » face à ce type de comportement, selon un parlementaire socialiste.

 

Elysée : après Cahuzac, Morelle viré

Elysée : après Cahuzac, Morelle viré

Dans un communiqué à l’AFP, celui qui venait récemment de prendre du galon en étant nommé directeur de la communication de l’Elysée, a fait part de sa décision « de mettre fin à ses fonctions de conseiller à la présidence de la République », démentant toutefois les accusations de conflit d’intérêts et assurant n’avoir commis « aucune faute ».  Le conseiller élyséen affirme avoir pris cette décision à la fois pour « être entièrement libre de répondre (aux) attaques » le visant et « ne pas gêner l’action du président de la République ».  Depuis Clermont-Ferrand, où il visitait un site Michelin, François Hollande a déclaré que son collaborateur avait pris « la seule décision qui convenait ». « Ce qu’il a fait avant » d’être nommé à l’Elysée en 2012, « il a à en répondre, ça revient à lui et à lui seul, c’est ce qu’il a compris en présentant sa démission, que j’ai acceptée immédiatement », a dit le chef de l’Etat.  Selon l’entourage du chef de l’Etat, le départ d’Aquilino Morelle a été décidé dès jeudi soir. La situation devenant « très difficile », il lui a été proposé soit de démissionner lui-même, soit d’être démis de ses fonctions.  Vendredi aux aurores, avant son départ pour Clermont-Ferrand, François Hollande a eu une réunion avec sa directrice de cabinet Sylvie Hubac et son nouveau secrétaire général Jean-Pierre Jouyet pour les derniers calages. Selon l’entourage du président, M. Morelle a dès ce moment-là acté sa décision de démissionner.  Manuel Valls a ensuite reçu Aquilino Morelle, dont il est très proche, et lui a conseillé de démissionner pour « répondre librement aux questions de la presse ».  Jeudi, dans une enquête au vitriol, le site d’information Médiapart avait accusé le conseiller élyséen d’avoir touché en 2007 12.500 euros d’un laboratoire danois, Lundbeck, alors qu’il était en poste à l’Igas (Inspection générale des Affaires sociales).  Des accusations corroborées vendredi matin par cet organisme qui a assuré ne pas avoir délivré d’autorisation à Aquilino Morelle pour travailler dans l’industrie pharmaceutique.  Par ailleurs, la Haute autorité pour la transparence de la vie publique a indiqué qu’elle entamait « une étude plus approfondie des déclarations d’intérêts et de patrimoine » du conseiller élyséen.




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