Archive pour le Tag 'Morano'

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Morano évincée des élections régionales

Morano évincée des élections régionales

 

Morano grisée par son exposition médiatique a refusé de s’excuser par écrit de ses propos racistes comme lui demander Sarkozy. Du coup elle est évincée de la liste des républicains aux régionales. Son entêtement pourrait lui coûter très cher dans la mesure où on ne voit pas quelle courant du parti aurait vraiment envie de récupérer cette provocatrice à la fois haineuse et idiote sa place serait davantage au Front National qui n’en veut même pas. La Commission nationale d’investiture des Républicains a retiré mercredi à Nadine Morano la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales de décembre, une décision qui sanctionne ses propos sur la France, pays « de race blanche ». Cette éviction, confirmée par le parti dans un communiqué, a été votée à l’unanimité moins trois abstentions par la Commission d’investiture, composée de 26 membres. « La CNI a pris acte avec regret du refus de Nadine Morano de revenir sur ses propos comme il le lui avait été demandé à plusieurs reprises », peut-on lire dans ce communiqué.  Nadine Morano, qui est vice-présidente de l’instance, était absente lors de la réunion. Députée européenne, elle se trouvait à Strasbourg pour l’intervention d’Angela Merkel et François Hollande devant le Parlement européen. Nicolas Sarkozy avait accordé mardi soir à l’élue une dernière chance, lui demandant de formuler des regrets dans une lettre avant la réunion de la CNI, ce qu’elle n’a pas fait, ne reniant rien de ses propos. Nadine Morano sera remplacée par Valérie Debord, ex-députée de Meurthe-et-Moselle. Selon un participant au comité exécutif du parti qui a précédé la CNI, Nicolas Sarkozy a estimé qu’il fallait sacrifier Nadine Morano, même si elle avait présenté ses excuses. Philippe Richert, tête de liste des Républicains aux élections régionales dans le Grand Est, a en effet annoncé aux instances nationales de sa formation qu’il démissionnerait si elle gardait son investiture en Meurthe-et-Moselle. « Richert m’a dit : ‘Si Morano est investie, c’est sans nous. J’ai la lettre de démission des têtes de liste de cette région sur mon bureau’ », a déclaré Nicolas Sarkozy selon ce participant. « Mieux vaut une crise passagère et investir à long terme. On a la responsabilité de porter l’alternance », aurait-il ajouté.

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

Morano doit demander pardon (Sarkozy)

En réalité Sarkozy veut mettre Morano à genoux en la contraignant à écrire une lettre d’excuses suite à ses propos racistes relatifs à la race blanche. Pas sûr cependant que l’intéressé consente à revenir en arrière. Moins pour des considérations philosophiques et idéologiques qui lui échappent largement que pour l’occasion extraordinaire qu’elle a de sortir de l’ombre et d’occuper ainsi une place médiatique exceptionnelle pour elle. Ses explications sont en effet pathétiques, elle ne cesse de s’enfoncer dans son argumentaire fumeux et contradictoire. Mais là n’est pas l’essentiel, Morano à l’occasion d’exister grâce à l’outrance de ses propos ! Nadine Morano, condamnée par Nicolas Sarkozy pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche », devrait selon toute vraisemblance être évincée mercredi de la campagne des Républicains pour les élections régionales, une sanction qui ne fait pas l’unanimité au sein de la formation d’opposition. L’élue européenne, qui dénonce « une cabale politique et médiatique » pour « une évidence de bon sens », a refusé mardi de présenter les excuses réclamées par le président de LR lors d’une réunion houleuse du bureau politique, où Jean-François Copé, ex-président de l’UMP, a pris sa défense, ont rapporté des participants. Nicolas Sarkozy a donné jusqu’à mercredi à l’élue pour retirer ses propos dans une lettre, a-t-on précisé. Mais l’inflexibilité de l’ancienne ministre, qui répète ne pas avoir commis de faute, risque de sceller son sort. Mercredi après-midi, la Commission nationale d’investiture (CNI) du parti devrait lui retirer la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales des 6 et 13 décembre. Nadine Morano, qui est vice-présidente de la CNI, a annoncé sur France 2 qu’elle serait mercredi à Strasbourg pour les interventions d’Angela Merkel et François Hollande devant le Parlement européen. « J’ai dit ‘La France est un pays de race blanche’, je n’ai pas dit ‘Les Français sont de race blanche’. Je sais que la communauté nationale est composée de tous ses habitants, quelle que soit leur couleur de peau, leur origine, leur histoire, leur croyance ou leur non croyance d’ailleurs », a-t-elle plaidé. « L’affaire Morano », embarrassante pour Nicolas Sarkozy, qui se prévaut d’avoir ramené l’unité au sein du parti d’opposition, est loin d’être close: des élus dénoncent en privé un « acharnement » contre ce bon soldat de la Sarkozy et s’inquiètent des effets de sa mise à l’écart sur un électorat prompt à défendre « Nadine ».

Sondage Morano : seulement 16% de bonnes opinions

Sondage Morano :seulement  16% de  bonnes opinions

Si les propos de Morano sont largement rejetés par l’opinion,  il n’empêche qu’elle recueille quand même 16 % de suffrages. Sans doute pour la plupart des soutiens de Français aigris voire haineux  dont la caractéristique n’est pas la hauteur de vue intellectuelle (sauf exception). D’une certaine manière c’est la France paumée qui se retrouve dans ses propos populistes qui rassurent car leur simplisme permet d’identifier des boucs émissaires qui font office d’analyse. Selon un sondage Odoxa pour itéré et Paris Match publié vendredi soir. 16% des Français ont une bonne opinion de Nadine Morano, selon ce même sondage.  C’est un plébiscite…contre elle. 16% des Français seulement ont aujourd’hui une bonne opinion de Nadine Morano, qui a lancé une polémique il y a une semaine en parlant de la France comme d’un « pays de race blanche »: un Français sur deux (47%) en a une mauvaise (29%, une « très mauvaise ») et plus d’un Français sur trois (37%) ne la connaît pas, ou en tout cas pas suffisamment pour émettre une opinion à son égard, selon un sondage Odoxa pour iTélé et Paris Match publié vendredi soir.  Nadine Morano ne bénéficie pas non plus d’une forte côte de popularité auprès des sympathisants de son parti ou du FN : seulement 29% des sympathisants du parti Les Républicains et 34% des sympathisants du FN ont une bonne opinion d’elle.  60% des Français estiment que les propos tenus par Nadine Morano « sont le signe que la plupart des responsables du parti Les Républicains partagent désormais des positions proches de celles du FN ». Toutefois, un peu moins d’un Français sur deux pense qu’il faudrait l’exclure de son parti : seulement 47% des Français souhaiteraient voir Nadine Morano exclue de son parti, contre 52% qui ne lui souhaitent pas une telle sanction.  »C’est sans doute le signe que les Français estiment que la sanction déjà prise (consistant à l’exclure de la liste Les Républicains dans sa région Alsace Lorraine Champagne Ardenne) était suffisante », selon Odoxa.

Propos de Morano : un cocktail de ragots de bistrot ou le triomphe du populisme

Propos de Morano : un cocktail de ragots de bistrot ou le triomphe du populisme

Face au désarroi général d’un grand nombre de Français dans le domaine socio-économique voir sociétal, en comprend que les propos les plus populistes puissent avoir un écho favorable chez certains.  Peu importe d’ailleurs que ces propos soient inexacts, contradictoires, qu’ils  relèvent même simplement de la crétinerie  ordinaire, ils permettent de schématiser à outrance les situations et de trouver facilement des boucs émissaires. De ce point de vue, l’inénarrable Nadine Morano s’est faite une spécialité de l’outrance et de l’approximation. Elle mélange allègrement les questions de race, de religions, de couleurs de peau, d’ethnies sans grand scrupule d’autant que sa culture est plus qu’approximative ; des questions évidemment qui peuvent avoir des liens mais qui sont déformées et relèvent  de la manipulation. Il y a d’abord cette question de race, une expression couramment utilisée mais qui ne correspond à aucun concept scientifique puisque la race humaine est unique. On emploie le concept de race pour les chiens pas pour les hommes. Par ailleurs, il est clair qu’on ne saurait parler   de « race » unique puisque nos origines   sont multiples et cela depuis des siècles ; Morano elle-même descendante d’étranger a la mémoire et la culture courtes. Ses propos vont même au-delà de ce que pense le Front national. En vérité cette parvenue de la politique (elle dispose simplement d’un simple diplôme de vente) a effectué toute sa carrière dans  la politique ;  grâce à Sarkozy elle est curieusement parvenue aux plus hautes fonctions sans aucune compétence.  Du coup brusquement écartée de la direction des Républicains elle a décidé de mener bataille contre Sarkozy. Pour cela, elle a en nouveau enfourché le cheval de bataille de l’extrémisme le plus ignoble. Il y a sans doute chez elle des arguments politiciens mais le plus grave c’est que cette élue nationale ne comprend même pas le 10e des concepts qu’elle avance et de leurs conséquences.  Bref,  Morano c’est l’exemple même de la politique dans le caniveau ce qui ne l’empêche pas d’avoir le soutien d’une partie de l’opinion, elle-même complètement perdue par au rapport aux évolutions sans précédent que nous vivons sur le plan économique, social, technologique, environnemental ou sociétal.

Morano veut « dézinguer Sarkosy » !

Morano veut  « dézinguer Sarkosy » !

Nadine Morano évincée par Sarkozy des instances  dirigeante du nouveau parti les républicains en veut beaucoup à l’ancien président de la république. En outre Sarkozy a condamné les propos de Morano sur la race blanche. Du coup Morano veut tout faire pour empêcher Sarkozy de gagner les primaires et elle promet même de «  le dézinguer ». Après avoir maintenu ses propos sur la « race blanche », prononcés sur France 2 dans On n’est pas couché, Nadine Morano est pratiquement évincée de la tête de liste départementale en Meurthe-et-Moselle. La liste n’avait pas encore été validée en Commission nationale d’investiture (CNI) dont elle est, par ailleurs, la vice-présidente. Or, Philippe Richert, la tête de liste régionale de la région Grand Est, ne souhaitait plus que la députée européenne figure sur sa liste.Le président des Républicains, Nicolas Sarkozy, était, de son côté, tenu par son accord avec l’UDI aux régionales. Difficile de maintenir Morano sans déclencher une crise majeure avec l’UDI dont le président, Jean-Christophe Lagarde, avait qualifié Nadine Morano de « porte-parole du Ku Klux Klan ». Contactée par Le Point, la députée européenne sort la boîte à gifles : « C’est un procès en sorcellerie. Sur quel fondement veut-on m’évincer ? Aucune plainte n’a été déposée contre moi. On veut me dézinguer parce que je suis candidate à la primaire. Je reçois des milliers de messages de soutien, y compris d’élus locaux dans ma circonscription, car je n’ai rien dit qui soit raciste. J’ai cité les propos du général de Gaulle et j’admets parfaitement que la France d’aujourd’hui soit multiculturelle. ». Pour Nadine Morano, la condamnation de ses propos par Bruno Le Maire est « hypocrite ». « J’ai été très bonne chez Ruquier, samedi soir. Ils ont peur, affirme la candidate à la primaire de la droite et du centre. Alors chacun envoie ses sbires pour me dégommer. Franck Riester agit pour le compte de Le Maire, Darmanin travaille pour Xavier Bertrand. Ciotti pour on ne sait plus qui. Il n’y a que Fillon qui a été parfaitement correct avec moi dans cette affaire. » Nadine Morano dit ne pas être impressionnée par la pression subie. « M. Richert, c’est un nul qui ne sait pas conduire sa campagne régionale. Il n’est pas mon patron. Il n’est qu’un chef de file. Quant à Nicolas Sarkozy, ce n’est même pas la peine qu’il songe à se présenter à la présidentielle, je le dézinguerai ! » « C’est la meilleure chose qui puisse nous arriver », répond un proche de Nicolas Sarkozy.

Morano répète que la France est un « pays de race blanche »….. à Moscou !

Morano répète que la France est un « pays de race blanche »….. à Moscou !

. En déplacement à Moscou, cette dernière a estimé jeudi que la France est « un pays de race blanche avec des noirs, comme le Congo est un pays de race noire avec des blancs », répétant ses propos polémiques qui pourraient lui coûter son investiture pour les régionales.   »Vous voyez, au Congo, ils reconnaissent que la France est un pays de race blanche avec des noirs, comme le Congo est un pays de race noire avec des blancs », a déclaré l’eurodéputée, juste après avoir discuté avec un représentant de la République démocratique du Congo.  Nadine Morano participe à Moscou à un forum parlementaire sur la sécurité internationale où sont également présents le député des Français de l’étranger Thierry Mariani ou la député du Front national Marion Maréchal-Le Pen. Elle risque de se voir retirer son investiture Les Républicains en Meurthe-et-Moselle aux élections régionales après qu’elle a réitéré mercredi ses propos polémiques sur la France.

Le Front national refuse Nadine Morano

Le Front national refuse Nadine Morano

« Je n’ai aucune raison d’accueillir Nadine Morano qui appartient à un mouvement politique immigrationniste (…), qui a mis en oeuvre le communautarisme en France », a-indiqué marine Le Pen  Nicolas Sarkozy a demandé mercredi l’éviction de Nadine Morano de la campagne pour les régionales de décembre, une sanction qui devrait être entérinée.  Marine Le Pen a fait valoir que les propos de l’ancienne ministre UMP pouvaient être entendus « de manière blessante », notamment par les Français de l’Outre-mer. Le vice-président du FN, Florian Philippot, a utilisé presque les mêmes mots, sur la chaîne parlementaire LCP, pour écarter tout idée d’accueillir Nadine Morano.   »Nous ne considérons pas que la France soit une race, bien évidemment », a-t-il tenu à préciser. Interrogé par Le Parisien sur une éventuelle arrivée de l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy au FN, Florian Philippot avait déjà répondu : « Surtout pas ! » Quand au député apparenté FN Gilbert Collard, il a assuré sur iTELE qu’il n’était pas question que Nadine Morano « vienne se réfugier » au Rassemblement Bleu Marine, créé par Marine Le Pen pour accueillir des personnalités ne souhaitant pas entrer directement au FN.   SuiteA droite, le maire de Bordeaux, candidat à la primaire du parti Les Républicains pour l’élection présidentielle de 2017, Alain Juppé, fait toujours la course en tête (42% des sondés lui souhaitent un avenir important).

Régionales : « Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Régionales :   »Nadine Morano doit démissionner  » (Sarkozy)

Sarkozy va saisir la Commission nationale d’Investiture « pour lui proposer de retirer l’investiture en Meurthe-et-Moselle à Nadine Morano.

« Ses derniers propos ne correspondent ni à la réalité de ce qu’est la France ni aux valeurs défendues par les Républicains. Que tous ceux qui cherchent par leur déclaration à s’assurer une publicité qui nuit à la crédibilité des Républicains comprennent que cela ne peut pas rester sans conséquence ».

Nadine Morano ne sera donc bientôt plus tête de liste en Meurthe-et-Moselle. Le patron a tranché. Un Nicolas Sarkozy d’autant plus mécontent peut-être qu’il était aujourd’hui sur tout autre chose : une grande interview au journal Les Echos mercredi matin pour expliquer son programme économique, une journée de travail de son parti pour relayer ses propositions en matière de droit du travail, et un vote des adhérents pour les adopter. Tout était prêt pour permettre au président des Républicains de peaufiner son profil de réformateur et de rééquilibrer son image, autoritaire, identitaire, sécuritaire véhiculée ces dernières semaines. Une séquence rééquilibrage qui vole en éclat sous les coups de boutoir de l’ex-groupie sarkozyste.   Sur France Info à la mi-journée, Philippe Richert a appuyé son propos en expliquant : « Nadine Morano essaie de s’organiser un créneau pour exister dans la campagne aux primaires du parti Les Républicains. C’est pas possible« . Et il indique avoir essayé de joindre l’intéressée à plusieurs reprises pour en discuter. Sans succès.

La France n’est pas une race (réponse à Morano)

La France n’est pas une  race (réponse à Morano)

 

 

Volée de bois vert pour Morano suite à ses propos racistes. Curieux  cette haine de l’autre surtout quand on est soi-même descendante d’immigré. Morano dont la mère était la fille d’un maçon piémontais ! Un peu comme Sarkozy qui donne des brevets de citoyenneté français quand lui même est fils de hongrois et dont le père parle à peine le français. Visiblement ces personnages sont mal dans leurs godasses et ils ont en commun la vulgarité, la haine et la bêtise. Trois qualificatifs qui conviennent parfaitement à Morano qui porte jusque dans son  visage sa grossièreté et son fanatisme imbécile. Davantage le profil d’uen marchande de poissons que d’une  femme d’Etat. Pas étonnant c’est aussi un le produit de l’oligarchie, non seulement elle na pratiquement jamais travaillé mais en définitive ne dispose que d’un vague diplôme de communication. Pas de quoi compenser vraiment son déficit initial de culture dont elle n’est pas responsable mais qui ne saurait l’autoriser à s’ériger en philosophe de bistrot mal fréquenté.  « La France, ce n’est pas une race. La France, ce n’est pas une couleur. La France, ce n’est pas une religion. La France, c’est une identité multiple qui doit être fière de ses racines », a-t-il dit dans un discours prononcé lundi à Avignon. Ses mots ont fait écho à ceux prononcés quelques heures plus tôt sur BFM TV par Bruno Le Maire, candidat à la primaire des Républicains pour la présidentielle de 2017. « La France, ce n’est pas une race. La France, ce n’est pas une religion, la France (…) n’est pas une couleur de peau. La France c’est une idée, c’est des principes, c’est des valeurs essentielles, l’égalité homme-femme, la laïcité, notre histoire, notre mémoire, notre langue », a-t-il déclaré. L’ancien Premier ministre Alain Juppé a lui aussi réagi lors d’une conférence de presse à Bordeaux.   »La nation ne se définit pas par une race », a-t-il dit en refusant toutefois de dire si Nadine Morano avait toujours sa place chez Les Républicains : « Je ne suis pas le grand excommunicateur, ni le grand inquisiteur. Je défends mes valeurs, voilà. » Sébastien Huyghe, porte-parole des Républicains, a dit lundi lors d’un point de presse que Nadine Morano n’était « pas habilitée à parler au nom de notre famille politique ». Il a déploré une « expression malheureuse » à laquelle les Républicains ne s’ »associent pas ». Mais Nadine Morano ne sera pas sanctionnée car elle s’exprimait en son nom, a-t-il précisé. Philippe Richert, candidat des Républicains à la présidence de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, dont Nadine Morano est co-listière, a diplomatiquement fait connaître son désaccord dans un communiqué. « Les propos attribués au général de Gaulle (…) ne peuvent pas être utilisés en dehors du contexte historique qui était celui de l’époque. La connotation et la charge des mots ont considérablement changé en un demi-siècle », a-t-il écrit. Nadine Morano a publié lundi soir un communiqué dans lequel elle ne retire pas un mot de ses propos, qualifiant la polémique de « tempête dans un petit verre de liqueur » De humour ? Comme le reste,  plus qu’approximatif et pathétique !!

 

« La France est un pays de race blanche » (Morano)…. aussi de connes

« La France est un pays de race blanche » (Morano)….  aussi  de connes

Bedos avait déjà traité Morano de conne lors de sa d’un spectacle, la justice ne l’a d’ailleurs pas condamné. Ses propos étaient sans doute pertinents puisque sur France 2 la subtile Morano a déclaré samedi que la France était un pays de race blanche. Aussi un pays de connes sans doute tellement l’outrance, la vulgarité et la haine caractérisent  l’ancienne égérie de Sarkozy. Une égérie qui n’hésite pas à en rajouter pour avoir été écartée de la direction du nouveau parti les républicains. Ce qui a justifié sa candidature aux primaires contre Sarkosy. Ce qui légitime aussi sans doute ses saillies extraterrestres. On peut se demander comment de tels personnages peuvent parvenir à d’aussi hautes fonctions comte tenu de leurs bagages intellectuels et morales.   Avec Morano on est assuré de propos extrémistes mais aussi du populisme le plus vulgaire Les propos de Nadine Morano dans «On n’est pas couché», samedi soir sur France 2, suscitent de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. La candidate à la primaire des Républicains a répété plusieurs fois que la France était «un pays judéo-chrétien de race blanche». «Et je n’ai pas envie que la France devienne musulmane, car dans ce cas ce ne serait plus la France», a-t-elle également assuré. Interrogée par la chroniqueuse Léa Salamé sur les Antillais, Nadine Morano a reconnu qu’ils étaient français mais insisté encore pour dire que «la France était à majorité de race blanche». L’animateur de l’émission lui a répondu que «c’était incroyable d’entendre ça ! Le problème c’est qu’aujourd’hui en 2015 vous fassiez encore cette distinction, il y a des gens qui ne sont pas de peau blanche et qui sont autant Français que vous et moi !»

Nadine Morano candidate aux primaires à droite

Nadine Morano candidate aux primaires à droite

Une sorte de petite revanche de la part de Nadine Morano pas très contente que Nicolas Sarkozy les mis un peu à l’écart dans le nouvel organigramme du parti. Pas vraiment une candidature pour une première chance mais pour l’instant une candidature de nuisance à l’égard de Sarkozy. Il se pourrait que Nadine Morano retire sa candidature au profit de Sarkozy en échange d’ une promotion dans la direction du parti et de la campagne électorale de 2017. La députée européenne Nadine Morano a annoncé vendredi qu’elle se présenterait à la primaire pour désigner le candidat de la droite et du centre pour la présidentielle de 2017.  L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a assuré sur BFM TV qu’elle voulait faire entendre sa voix. « Je serai candidate dans ce dispositif », a dit Nadine Morano, qui avait déjà évoqué dans plusieurs médias la possibilité de se présenter. Elle a indiqué qu’elle comptait défendre ses positions sur la question des migrants alors que son parti apparaît divisé sur les solutions à apporter à cette crise humanitaire.  L’eurodéputée les Républicains a notamment plaidé pour la création d’un service public de reconduite à la frontière mutualisé avec l’Union européenne. Elle s’est attiré des critiques dans son propre camp en invoquant la Seconde guerre mondiale pour inviter les migrants à « se battre plutôt que de fuir ». Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon, Bruno Le Maire et Xavier Bertrand étaient déjà sur la ligne de départ des primaires à droite, dont le premier tour se déroulera le 20 novembre 2016.

 

« Les migrants, il faut faire quelque chose » (Morano) !

« Les migrants, il faut faire quelque chose » (Morano) !

Morano qui ne se console pas d’avoir été écartée de la direction des Républicains par Sarkozy reprend l’initiative médiatique en déclarant qu’il fallait faire quelque chose concernant les migrants qui tentent de rallier l’Angleterre. Au passage elle encourage la fibre nationaliste et reporte une bonne partie de la responsabilité de la situation sur l’Angleterre,  aussi sur Hollande bien entendu. Certes elle n’a pas complètement peur de critiquer la déstabilisation politique  dont a été victime la Libye mais la faute à qui ?. Pour autant les candidats à l’immigration en Grande-Bretagne viennent  non seulement de Libye mais de bien d’autres zones actuellement en conflit ou dans une situation économique désespérée. Pour résumer Morano dans son style particulier n’apporte guère de solutions nouvelles par rapport à un problème ingérable. « Prendre des mesures qui s’imposent et non des mesures d’urgence ». C’est la demande que formule Nadine Morano alors que 10 migrants sont morts en tentant de traverser la Manche pour passer en Angleterre. Si Bernard Cazeneuve a annoncé le déploiement de 120 CRS et gendarmes supplémentaires, la députée européenne Les Républicains réclame plus. « Il faut convoquer d’urgence, même en plein été, une réunion bilatérale avec l’Angleterre. Il faut prendre des mesures car là, c’est tellement grave qu’il faut faire quelque chose. »  Mais l’ancienne ministre sous Nicolas Sarkozy attend surtout des gestes du côté anglais : « Je le dis très sincèrement, il y a des mesures très ferme à prendre de leur côté. Il n’est pas juste que la France ait à supporter cette situation« . Et si elle attend des mesures, Nadine Morano souhaite avant tout « empêcher ces vagues migratoires ». « Quand nous sommes intervenus en Libye, nous sommes intervenus avec un mandat des Nations unies. À l’époque, il y avait un comité de transition, il y a eu des élections organisées alors que depuis que nous avons quitté le pouvoir plus rien n’a été fait pour accompagner la transition démocratique« , a-t-elle critiqué jugeant que les migrants était « la faute de la gauche ».  François Hollande est totalement absent et impuissant, voire nuisible sur la scène internationale. En première ligne de ces critiques ? François Hollande. « On a un président de la République qui n’est pas très efficace en politique intérieure. Il est totalement absent et impuissant, voire nuisible sur la scène internationale. Il n’a pris aucune initiative sur ce sujet que ce soit en Libye ou en Syrie », a-t-elle lancé. La députée européenne rejette notamment la politique du gouvernement. « La politique d’immigration choisie que nous avions mis en place n’est pas une politique imposée et subie que nous vivons aujourd’hui. Regardez les quotas qui ont été proposés par la commission européenne. C’est une folie furieuse », a-t-elle protesté réclamant un sommet international. « Il faut que l’Europe prenne ses responsabilités pour éviter ses vagues migratoires. Il faut régler les problèmes là-bas », a-t-elle conclu. Comme ont  dit  yaka !

 

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

Au moins une qui ne cache ses ambitions  « elle veut être élue ». C’est pour cela qu’elle avait rejoint le FN (via un micro parti extrême droite affilié au rassemblement bleu marine de Marine Lepen). Du coup elle revient au bercail à la place que Morano a refusée.  Nicolas Sarkozy avait promis à sa famille politique le rassemblement, il avait visiblement vu très large. Dans son équipe, le nouveau président de l’UMP a ainsi nommé vendredi Fatima Allaoui, une conseillère régionale du Languedoc-Roussillon transfuge… d’un micro-parti d’extrême droite, révèle Libération. L’élue a hérité du poste de secrétaire nationale à la formation professionnelle, raconte le quotidien ce dimanche. A l’origine, ce poste devait revenir à Nadine Morano, à qui Nicolas Sarkozy l’avait proposé. Devant le refus de l’ancienne ministre, l’ancien chef de l’Etat s’est tourné vers Nathalie Kosciusko-Morizet, qui lui a suggéré un nom: celui de Fatima Allaoui, jusqu’alors membre du Siel (Souveraineté, indépendance et liberté), affilié au Rassemblement Bleu Marine, une sous-formation politique liée au Front national. Ancienne de l’UMP, Allaoui avait claqué la porte du parti il y a quelques mois, déçue de ne pas obtenir l’investiture aux élections départementales. Après avoir rejoint le Siel, elle s’était alors tournée vers Robert Ménard, le maire de Béziers, pour qu’il la soutienne. En vain. Interrogée par Libération, la nouvelle sarkozyste explique avoir «fait une crise d’adolescence politique» et avoir sollicité l’extrême droite «par désespoir de cause et pour augmenter (ses) chances d’être élue». Proche de NKM, elle assure qu’elle a quitté le Siel et qu’elle a repris sa carte à l’UMP.

 

Morano humiliée par Sarkozy

Morano humiliée par  Sarkozy

Morano s’estime humiliée pour  avoir été écartée des principaux poste de l’appareil UMP. Du coup elle a refusé un poste anecdotique proposé par Sarkozy et se livre à une critique sévère sur la manière dont est composée la direction de l’UMP. Après Rachida Dati, c’est la deuxième sarkosyste historique à critiquer l’actuel président de l’UMP. Sans doute du fait de déceptions personnelles mais aussi à cause du flou et des contradictions de l’ancien président de la république. Après ses confidences à Paris Match, c’est dans le Républicain lorrain que Nadine Morano se lâche. Dans un entretien publié jeudi, l’eurodéputée, fervente sarkosyste jusqu’à l’été dernier, explique avoir décliné mardi la proposition du nouveau président de l’UMP d’un poste de secrétaire nationale « à la formation professionnelle et à l’apprentissage », jugeant qu’il s’agirait d’un « déclassement » immérité pour elle au sein du parti. « Nicolas Sarkozy était d’humeur massacrante », du fait de « l’ambiance survoltée » entre les dirigeants qu’il a nommés, dit Nadine Morano au sujet de leur entretien. Et d’ajouter : « Nicolas Sarkozy était excédé, je lui ai demandé de se calmer. » L’ancienne ministre assure préférer « rester à l’extérieur de cette foire d’empoigne où [Sarkozy] lui-même finit par faire le contraire de ce qu’il dit, comme de nommer des représentants selon le poids de tel ou tel ». « L’UMP court un risque de claquage », juge Nadine Morano, du fait du « grand écart » entre Laurent Wauquiez, son nouveau secrétaire général, et sa vice-présidente Nathalie Kosciusko-Morizet. Selon Morano, si Sarkozy avait « annoncé par avance le ticket Wauquiez-NKM à la tête du parti, il n’aurait pas obtenu 64 % et pas même 50 % » lors de l’élection du président de l’UMP. Quant à la prestation de l’ancien chef de l’État sur France 2 : elle n’est « pas convaincue ».

« Si Sarkozy recommence ses conneries , je ferai campagne contre lui  » (Morano)

« Si Sarkozy recommence ses conneries , je ferai campagne contre lui  » (Morano)

 

Nadine Morano menace Nicolas Sarkozy de faire campagne contre lui pour la présidence de l’UMP. Elle reproche à l’ancien président les choix qu’il pourrait faire pour former sa garde rapprochée. En cette fin du mois d’août, Nadine Morano avance sa rentrée sous les feux de l’actualité par ses déclarations fracassantes. L’ancienne ministre fustige Nicolas Sarkozy dans les colonnes du magazine Marianne de ce jeudi 21 août.  Après ces propos sur la femme voilée sur une plage, Nadine Morano s’interroge sur la stratégie de l’ancien locataire de l’Elysée dans la perspective de son retour en politique. Nadine Morano menace de prendre ses distances avec Sarkozy, alors qu’elle est considérée comme une ultra-sarkozyste, si l’ancien président ne s’appuie pas sur sa vieille garde.  Nadine Morano veut faire partie de l’équipe que constitue Nicolas Sarkozy en vue de son retour en politique. Elle ne souhaite rester sur le bord de la route. Alors elle fait entendre sa voix. Dans Le quotidien Le Monde du 7 août, elle exhortait Sarkozy de bien s’entourer.  Elle poursuivait convaincue et conseillait Nicolas Sarkozy à la plus grande vigilance. »C’est à lui de choisir les bons. Il ne peut pas s’entourer que d’énarques ou d’héritiers ». Et pour être sûr que son message soit entendu, elle en rajoute maintenant une couche bien dans son style.  Dans les colonnes de Marianne, la députée européenne UMP semble exprimer tout haut ce que certains pensent peut-être en sourdine. En outre, le retour de l’ex-président de la République suscite des convoitises de tous bords au sein de l’UMP et il y a ceux qui espèrent faire partie du bateau de la reconquête. Nadine Morano lance dans Marianne ce jeudi 21 août un avertissement qui sonne comme un ultimatum à Nicolas Sarkozy.   Elle espère qu’il ne va pas reproduire ses choix d’équipe qui, selon elle, ont finalement conduit au résultat décevant de la présidentielle de 2012. Elle tonne, « qu’il recommence ces conneries là et je ferai campagne contre lui ». C’est du Nadine Morano dans le texte, mais il parait difficile que cette fidèle parmi les fidèles se mette en travers de la route de Nicolas Sarkozy.

 

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