Archive pour le Tag 'Morano'

« Renouveau » des Républicains : Hortefeux et Morano en bonne place sur la liste européenne

« Renouveau » des Républicains : Hortefeux et Morano en bonne place sur la liste européenne

 

Brice Hortefeux et Nadine Morano, symboles des années Sarkozy et eurodéputés sortants, figurent dans les cinq premières places de la liste des Républicains aux élections européennes du 26 mai, approuvée mercredi par la commission d’investiture. Pas étonnant si un récent sondage et la pour BFM indique que le parti les républicains n’incarnent pas vraiment le renouveau en termes d’idées comme de personnalité. Pour preuve Le président du parti Laurent Wauquiez, qui a la haute main sur les investitures, a réservé les quatrième et cinquième places respectivement à Nadine Morano et Brice Hortefeux, dont les profils ne font pas consensus en interne. Certains représentants de la génération montante voient en effet dans ces deux ex-ministres sarkozystes un frein au renouvellement dont Laurent Wauquiez a fait un credo. Le parti républicain a quand même échappé à la candidature de Rachida Dati, l’archétype de l’oligarque qui semblent vouloir se consacrer à la politique parisienne les municipales en 2020 Suivent, en position éligibles, des sortants, comme Geoffroy Didier, Franck Proust et Anne Sander, et des nouveaux venus, à l’image de Laurence Sailliet, porte-parole de LR. Les sarkozystes sont représentés notamment par Frédéric Péchenard, proche de l’ancien président, et les centristes d’Hervé Morin, alliés à LR, ont une place éligible réservée – celle apparemment laissée libre par Rachida Dati.

Républicains : avec Eric Ciotti, avec Nadine Morano, Roger Karoutchi le retour des crocodiles

 Républicains : avec Eric Ciotti, avec Nadine Morano, Roger Karoutchi le retour des crocodiles

Wauquiez devait tout changer, renouveler les cadres en particulier. En réalité, il reprend par exemple les vieux crocodiles dans la nouvelle commission nationale d’investiture. Même chose pour le bureau national ou sur 80 membres, il reprendra 50 députés qui ont déjà pas mal de kilomètres au compteur. En plus Wauquiez continue de nettoyer le parti de toute opposition. D’où la colère par exemple de Florence Portelli   »C’est inadmissible! C’est le contraire de tout ce qu’il avait promis sur les plateaux télé et c’est un mépris du vote des militants! » Mardi soir, Florence Portelli ne décolérait pas, après avoir découvert la composition de la nouvelle commission nationale d’investiture (CNI), qui sera désormais présidée par Eric Ciotti, avec Nadine Morano, Michèle Tabarot, Roger Karoutchi et Patrice Verchère en vice-présidents. « J’ai fait 16% (lors de l’élection à la présidence de LR fin novembre). Je demandais 16% du bureau politique (BP) et de la CNI », résume Mme Portelli. Mais mardi matin, Laurent Wauquiez lui a proposé seulement deux postes en CNI – dont un pour elle – et deux en bureau politique. Selon plusieurs sources, Maël de Calan, qui a recueilli 9,25% des suffrages en novembre, a eu une proposition équivalente. Colère des deux intéressés, qui ont tenté en vain de négocier dans l’après-midi avec le patron de LR. Pour la  composition du nouveau BP Laurent Wauquiez prévoit que, sur ses 80 membres, 50 seraient des parlementaires, 20 non parlementaires et 10 représentants des fédérations LR. Bref le centralisme, le nettoyage au service de sa future candidature en 2022

Morano : un programme, la haine !

Morano : un programme, la haine !

 

Sur BFM Nadine Morano a encore frappé dans toutes les directions avec une philosophie politique simple : la haine des autres. La haine d’abord contre tous les migrants qu’il faut tous renvoyer  chez eux et en masse, la haine évidemment contre le gouvernement socialiste mais aussi la haine contre ses concurrents à la  primaire, Juppé comme Sarkozy qui, pour elle, ne doivent pas se présenter à l’élection présidentielle pour avoir été condamnés ou mis en examen. Enfin la haine contre ceux qui sont différents puisque à nouveau elle a  justifié le concept de race blanche estimant même que Sarkozy avait commis une grave erreur politique à son égard. Un discours évidemment pathétique d’autant que l’intéressée ne mesure absolument le caractère outrancier et ridicule de son propos. On se demande par quel miracle le système politique a pu faire émerger une responsable aussi simpliste, aussi populiste et aussi vulgaire.  On sent bien toutes les limites d’une dialectique très primaire chez Morano en outre qui déclare ne pas appartenir à «  l’espèce bien-pensance » ! Un nouveau concept linguistique aussi ridicule que celui de race qui scientifiquement n’a jamais eu aucun fondement. Qu’on emploie certes dans le langage courant mais qui convient mieux aux chiens qu’aux hommes. Morano qui y innove  dans la pensée raciste se distingue aussi maintenant dans l’ingénierie sémantique douteuse. Nadine Morano, sanctionnée par son parti mais qui ne sen remet pas tellement la politique est son seul métier (elle n’est pas la seule !).  La député européenne Nadine Morano (Les Républicains) a donc affirmé dimanche sur BFMTV que si elle était « mise en examen » ou avait été « condamnée par la justice », elle ne serait « pas candidate à la primaire » pour désigner le candidat LR à la présidentielle, visant aussi bien Nicolas Sarkozy qu’Alain Juppé.  »Rien ne l’interdit. Il n’est pas condamné », a répondu Nadine Morano, interrogée sur l’éventuelle candidature de M. Sarkozy, après sa mise en examen mardi pour financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012. Avant d’ajouter immédiatement: « Mon éthique personnelle c’est que si j’étais mise en examen ou si j’avais été condamnée par la justice je ne serais pas candidate à la primaire ».

(Avec AFP)

 

Morano : candidate pour 2017 contre « la race des lâches »

Nadine Morano se lâche à nouveau et se présente comme la candidate contre la race des lâches à l’occasion des primaires de la droite. Experte approximative en génétique, Nadine Morano invente donc le concept de race de lâches après l’avoir appliqué au blanc  (le terme race peut s’employer pour les chien, pas pour les hommes) Une confusion qu’on lui pardonnera en raison du caractère rudimentaire de son bagage intellectuel. Sa candidature serait surtout justifiée par sa grande « expérience de vie ». « Moi, je connais la vie » affirme-t-elle en se fondant sur sa vie personnelle, professionnelle et politique. La vérité est moins romantique car Nadine Morano a passé sa vie dans les milieux politiques et où administratifs liés à la politique. C’est une oligarque  comme les autres ;  ce qui la distingue c’est qu’elle n’a pas fait Sciences-po ou l’ENA. Une oligarque qui ne ce console pas d’avoir été écartée des mandats nationaux et même de la direction des républicains. Nadine Morano prépare donc  sa campagne en vue de la primaire de droite. Alors qu’elle assure avoir « pratiquement récupéré les 2.500 signatures de militants nécessaires », elle va publier un livre sur son « expérience d’élue » mais aussi son « expérience de vie ».  Nadine Morano est optimiste. Lundi matin, sur BFMTV, elle a rappelé qu’elle était candidate à la primaire avant de détailler quelques-unes de ses propositions, notamment sur l’immigration. Auprès du JDD, elle a fait un état des lieux : elle assure avoir « pratiquement récupéré les 2.500 signatures de militants nécessaires » à sa candidature à la primaire de droite. « Pour les élus, ça rentre bien aussi », précise-t-elle, après avoir démenti vouloir quitter Les Républicains pour rejoindre le CNIP.  L’ancienne ministre présentera un ensemble de propositions au travers d’un livre à paraître mi-avril. « Mais ce ne sera pas un programme », prévient-elle. Dans ce « livre-projet », elle compte fendre l’armure. Elle détaille pour le JDD : « Je parle de mon expérience d’élue mais aussi de mon expérience de vie. »  J’ai travaillé, j’ai dû gérer des budgets, je suis mère de famille et aujourd’hui grand-mère. Moi, je sais ce qu’est la vie », raconte-t-elle encore. Et de viser ses concurrents, « tous masculins » au passage : « Il y a un formatage chez eux. Ils ont tous toujours été dans la politique. » Comme elle pendant près de 20 ans, en commençant comme chargée de mission auprès du vice-président conseil régional de Lorraine.

Nadine Morano va quitter les Républicains ?

Nadine Morano va quitter les Républicains ?

 

Nadine Morano ne se remet pas d’avoir été écarté par Sarkozy (d’abord de la direction des républicains ensuite des listes régionales). Elle pourrait donc rejoindre le micro parti des paysans, plus exactement le centre national des indépendants et paysans (CNIP). Une formation à peu près inconnu du grand public qui compte seulement le député très controversé  de Cholet Gilles Bourdouleix, 2 conseiller régionaux, 2 conseillers départementaux et quelques maires. En fait, Nadine Morano tient absolument à se présenter aux primaires de droite pour affaiblir Sarkozy. Problème, elle n’est pas sûre de recevoir les soutiens nécessaires chez les républicains pour pouvoir participer à cette primaire. Elle espère donc que en rejoignant le micro parti des indépendants et paysans s’affranchir des parrainages indispensables pour être autorisée à concourir. Pas sûr cependant que les républicains acceptent cette candidature extérieure soutenue par un parti qui ne représente à peu près  rien. Si les Républicains ne veulent plus d’elle (même aux primaires), elle ira mener son combat politique ailleurs. C’est la stratégie que semble entreprendre Nadine Morano. D’après les informations collectées par nos confères de Libération, l’ancienne ministre et pasionaria depuis revenue du sarkozysme, pourrait intégrer les rangs du Centre national des indépendants et paysans (CNIP).  Le secrétaire général du parti, Bruno North, a confié qu’il y avait, avec Nadine Morano, des « contacts avancés » et « de très grands chances que cela se fasse ». Cette dernière, plus discrète pour l’heure, évoquait simplement des « négociations en cours ». En devenant une figure clef de ce parti, Nadine Morano obtiendrait plus facilement le statut de candidate à la primaire de la droite pour 2017 sans passer par la case « parrainages » des Républicains. Ces derniers imposent en effet que les candidats recueillent l’aval de 20 parlementaires nationaux ou européens, 250 élus locaux et 2500 adhérents.

Littérature politique : après le livre de Sarkozy, celui de Morano

Littérature politique : après le livre de Sarkozy, celui de Morano

C’est évidemment la rentrée littéraire dans le monde politique notamment chez les candidats à la primaire à droite. Après le mea culpa de Sarkozy « la France pour la vie » c’est maintenant au tour de Nadine Morano d’annoncer son prochain bouquin. Un livre qui sera un peu à l’image de celui de Sarkozy, un livre d’ego, puisqu’elle entend surtout parler d’elle-même. De toute évidence cela risque de constituer l’événement littéraire de la rentrée tellement Morano est  la littérature ce que McDo est à la gastronomie.  Morano veut vraisemblablement copier Sarkozy qui prend le prétexte d’une fausse introspection pour surtout parler de lui-même. Le titre pourrait d’ailleurs être « moi, moi, moi » ! On attend évidemment avec impatience l’œuvre de Nadine, l’inénarrable créatrice du concept de la race blanche. Comme on le sait la plupart de ses livres politiques ne sont pas écrits par les intéressés mais par des nègres. Pour Morano il faudra surtout sans doute choisir un nègre blanc. Espérer aussi qu’elle lira son livre !  Morano déclare souvent ne pas appartenir à «  l’espèce bien-pensante » ! Un nouveau concept linguistique aussi ridicule que celui de race qui scientifiquement n’a jamais eu aucun fondement. Qu’on emploie certes dans le langage courant mais qui convient mieux aux chiens qu’aux hommes. Morano qui innove dans la pensée raciste se distingue aussi t dans l’ingénierie sémantique douteuse.  Nadine Morano, sanctionnée par son parti Les Républicains pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche ». « Je parle vrai, je dis les choses avec sincérité, je crois que les Français ne supportent plus cette espèce de bien-pensante qui consiste à nier ce que nous sommes et à ne pas apporter de solution », a-t-elle poursuivi. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a déclaré qu’elle maintenait sa candidature à la primaire de la droite et du centre en vue du scrutin présidentiel de 2017. « J’ai envie d’apporter aux Français un langage de sincérité, de vérité », a-t-elle expliqué. Au secours !

Morano : « une armée de jeunes hommes qui arrivent en France » !

Morano : «  une armée de jeunes hommes qui arrivent en France » !

Une nouvelle fois Morano se signale par des amalgames entre migration, terrorisme et islam. On espère qu’elle aura lu cette lettre d’un enseignant en histoire qui identifie la pathologie dont souffre Morano : l’ignorance  et préconise une thérapie : la connaissance.

« Madame,

Je n’ai pas regardé votre prestation télévisuelle hier soir. Je sortais d’un concert où de magnifiques artistes avaient interprété des œuvres de Liszt, de Brahms et de Chopin, et, après tant de beauté sonore, l’idée de vous entendre débiter vos âneries avec une voix de poissonnière lepénisée me répugnait légèrement. Non, complètement, en fait. Mais ce matin, j’ai quand même pris sur moi et j’ai regardé huit (longues) minutes de votre intervention. Et permettez-moi de vous dire, madame, que la maladie dont vous souffrez -dite « maladie de la bouillie de la tête »- vous fait dire n’importe quoi. Vous parlez de « race blanche » et de religion, en associant l’une et l’autre. Passons sur le fait que la « race blanche » n’existe pas, et que plus personne n’en parle depuis que les derniers théoriciens nationaux-socialistes ont été pendus à Nuremberg. Mais associer une religion à une couleur de peau, là, il fallait le faire ! Les Albanais sont blancs et musulmans. Desmond Tutu est noir et chrétien. Le pays musulman le plus peuplé du monde est l’Indonésie, habitée par… des jaunes. Ah, c’est compliqué, hein ! D’ailleurs, si on ne peut pas changer de couleur de peau, à part Mickael Jackson, on peut toujours sans modifier son teint abandonner une religion ou en changer. Tenez, moi j’ai renoncé à la mienne et je ne suis pas devenu transparent pour autant – sauf quand j’essaie de draguer un grand brun aux yeux bleus dans un bar gay, mais ceci est une autre histoire. Et, au passage, en affirmant que la France est « de race blanche », vous laissez entendre que la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane, la Réunion et Mayotte, ce n’est pas la France. C’est bien les patriotes en peau de lapin d’extrême-droite, ça ! Ça nous rebat les oreilles avec la France, mais ça raye de la carte cinq départements d’un coup. Vous expliquez ensuite que la France a une identité judéo-chrétienne. Et là, pour une fois, vous n’êtes pas allée assez loin -sans doute parce que vous ne connaissez pas mieux l’histoire de la France que sa géographie. Non, madame, la France n’est pas judéo-chrétienne. Elle est catholique. Et elle l’est parce que, pendant mille trois cents ans, on n’a pas permis aux Français d’être autre chose. Juifs, cathares, vaudois et protestants le savent bien. Entre 496, date à laquelle Clovis a (selon la formule célèbre) embrassé le culte de son épouse, et 1790-1791, date à laquelle on s’est résolu à considérer les juifs et les protestants comme des citoyens à part entière, la religion n’a pas été une affaire de choix personnel. Ni même collectif. Les Français n’ont pas voulu être catholiques. Ils ont été contraints de l’être. Ce que les libéraux appellent « la concurrence libre et non faussée » n’est appliquée, en matière de religion, que depuis deux siècles. Le chevalier de la Barre était déjà mort. Jean Calas aussi. Et tous ceux qu’on avait massacrés au nom de Dieu, avant eux; rançonnés par Philippe Auguste, marqués de la rouelle par Saint Louis, expulsés du royaume par Philippe le Bel, massacrés par toutes sortes de croisés, immolés par l’Inquisition, trucidés par Charles IX, pourchassés par les dragons de Louis XIV… Au passage, je trouve parfaitement dégueulasse votre tentative minable de récupérer les Juifs et les protestants pour alimenter votre petit commerce de la haine. Quand on sait ce qu’ils ont subi en France pendant des siècles… Il fallait une sacrée persévérance pour ne pas être catholique en France, alors. Heureusement, ce n’est plus le cas. Et moi, contrairement à vous, je m’en réjouis. En laissant les Français librement choisir leur religion, ou choisir de ne pas en avoir, on a des surprises. Et alors? Cela porte un beau nom, madame Morano. Cela s’appelle la liberté de conscience. Et c’est enfin la troisième et dernière remarque que je voulais vous faire, madame. Vous vous plaignez que, dans certains quartiers, on ne célèbre plus que 5 baptêmes, là où il s’en célébrait 250 il y a encore quelques décennies. Mais la faute à qui? Aux musulmans, qui « envahissent » nos villes, ou aux catholiques, qui renoncent à l’être et n’obligent plus leurs enfants à fréquenter le catéchisme? Et vous ne vous demandez pas pourquoi l’Église faisait fuir les fidèles? Non? Vraiment, vous n’avez pas une petite idée? Ne serait-ce pas, je ne sais pas, moi, par exemple, parce qu’elle condamne encore les femmes qui prennent la pilule, et les hommes qui emploient un préservatif? Ou parce qu’il est devenu insupportable d’affirmer, comme le font certains évêques, qu’une femme violée qui avorte est plus coupable que son violeur? Ou parce que ça commence à se savoir, que certains curés tripotent les enfants de choeur dans les sacristies? Ou parce que répéter que le mariage est un sacrement indissoluble, dans un pays où un tiers des couples divorcent, ça fait un peu « ringard »? Ou parce que le double discours d’une Église riche à milliards en faveur des pauvres n’est plus tout à fait pris au sérieux? Ou, tout simplement, parce que la foi, dans notre monde moderne, n’apporte plus de réponses suffisantes aux masses? Et d’ailleurs, rassurez-vous, les catholiques ne sont pas les seuls concernés. Tenez, je vous parie que, dans deux ou trois générations, les musulmans de France ne mettront pas plus souvent les pieds dans une mosquée que moi dans une église… ou que vous dans une bibliothèque. C’est dire… Déjà, un tiers d’entre eux ne fait plus le ramadan. Tout cela pour vous dire, madame, que votre vision d’une France réduite à ses seuls habitants « de souche » est non seulement insupportable moralement, mais aussi sacrément dépassée. Et que votre peur panique de tout changement, de toute modernité, est pathétique. Et presque risible. « Nous avons éteint dans le ciel des lumières qu’on ne rallumera plus », disait le député René Viviani en 1906. Et ce n’est pas en allumant les feux d’une guerre civile que vous ferez croire aux électeurs que vous brillez, madame. Tout le monde le sait: vous n’êtes pas une lumière. »

Publié il y a 48 jours par Cécilia sur internet

Delon : race blanche, OK avec Morano

 

Delon : race blanche, OK avec Morano

 

Le naufrage de la vieillesse se confirme avec cette nouvelle sortie du Philosophe Delon qui approuve les propos de Morano. La pathologie réactionnaire affecte nombre de vieux du showbiz Delon, Bardot, Sardou,  bien d’autres. Malheureusement une maladie difficile à soigner, transmissible parfois  en plus aux plus jeunes, souvent pas les plus évolués. Comme Morano il y a longtemps qu’il a du lire un livre pour confondre race et pigmentation de la peau. A part TV magazine. Pathétique quand la vieillesse rend crétin à ce point. . Dans une interview accordée à TV Magazine, Alain Delon prend la défense de l’eurodéputée concernant ses propos tenus fin septembre sur la France « pays de race blanche ». « Juste une question: le Kenya est un pays de quelle race? Les gens sont noirs. C’est une polémique ridicule, grotesque, qui n’a aucun sens », estime l’acteur qui s’apprête à fêter ses 80 ans.   Pour lui, l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy « a des c… de tenir comme elle tient et de dire: ‘Je vous emmerde tous, je dis ce que je pense et je continuerai à le dire’. Chapeau! ».  Egalement interrogé sur le Front National, Alain Delon affirme ne pas être proche de ce parti: « Et, si je l’étais, pourquoi n’en aurais-je pas le droit? L’extrême gauche et Mélenchon, c’est valable, mais l’extrême droite, non? », s’interroge-t-il. « Le Front national représente quand même six millions de personnes. C’est six millions de cons? On a le droit de ne pas aimer, mais on doit le respecter. »  L’acteur ne nie pas en revanche sa proximité avec le fondateur du Front national avec qui il est « ami depuis cinquante ans ». les gens ne savent plus où ils en sont, alors pourquoi pas le Front national… » Et oui, c’est ce qu’ont dans les bistrots auusi !

Ménard tend un piège à Morano

Ménard tend un piège à Morano

L’inénarrable Ménard, maire de Béziers saisit toues les occasions pour faire parer de lui. Cette fois il propose une alliance avec Nadine Morano, une alliance piège !  Nadine Morano est en effet attendue jeudi à Béziers, pour une réunion publique avec des militants et des sympathisants de son parti, Les Républicains. Le maire de la ville, Robert Ménard, en a profité pour proposer une rencontre, voire une alliance.  « Elle m’a appelé pour me prévenir qu’elle serait là. Je lui ai dit que j’étais très content qu’elle vienne, que c’était une bonne idée a expliqué le maire apparenté FN. Nadine Morano, à qui Les Républicains ont retiré son investiture pour mener la liste du parti en Moselle pour les régionales, se rend dans la ville de Robert Ménard quelques semaines après Nicolas Sarkozy. Le président du parti était alors revenu sur la polémique suscitée par la députée européenne avec ses commentaires sur la « race blanche » supposée des Français, se distanciant de nouveau de la position de son ancienne protégée.  Robert Ménard estime, lui, que ces propos sont « encore plus pertinents et justifiés aujourd’hui qu’ils ne l’étaient il y a 50 ans », rapporte le Figaro. Il revient sur sa proposition d’alliance : « Je lui ai dit qu’il serait temps de regrouper tous les gens qui pensent comme nous que la France est grande, et surpasser les postures qui interdisent de parler à tel ou tel ». L’ancienne ministre du gouvernement Fillon pour l’instant pas confirmé qu’elle rencontrerait le maire de Béziers.

 » Nadine Morano : l’absence de reconnaissance » de Nadine Morano (Sarkosy)

 » Nadine Morano : l’absence de reconnaissance » de Nadine Morano (Sarkosy)

. « La reconnaissance est une maladie du chien non transmissible à l’homme (Sarkozy). En privé, l’ancien président de la république n’est pas tendre vis-à-vis de Nadine Morano. Il faut dire que cette dernière ne cesse de multiplier les provocations réitérant ses propos racistes et ses critiques à l’égard de Sarkozy. Le président du parti les républicains n’a pas complètement tort  de critiquer Nadine Morano pour ses propos approximatifs sur le plan philosophique et complètement infondées scientifiquement. Il a encore raison quand il considère que Morano oublie la manière dont elle a pu accéder à des responsabilités nationales y compris ministérielles. Morano est en effet un pur produit de l’oligarchie. Elle n’a pratiquement jamais travaillé, doté d’un vague diplôme de vente elle n’a du son ascension qu’à la protection de Sarkozy. Sa légitimité est donc largement discutable d’autant que ses compétences sont plus que douteuses. Son seul mérite est de s’être montrée comme une supportrice  ultra démago de Sarkozy. Aujourd’hui dépitée  d’avoir était écarté de l’organigramme de la direction du parti républicain elle en rajoute encore en matière de populisme autant par idéologie simpliste que par dépit. L’ancien président de la République n’a pas de mots assez forts pour critiquer son ancienne ministre dont les déclarations sur la France, pays de « race blanche », ont parasité pendant près de deux semaines son agenda politique et médiatique. « La reconnaissance est une maladie du chien non transmissible à l’homme », a-t-il confié à un proche à son propos, reprenant à son compte une phrase du banquier d’affaire, aujourd’hui décédé, Antoine Berheim. En privé, Nicolas Sarkozy est beaucoup plus sévère que dans ses interviews. Nadine Morano « n’est pas une proche, c’est une fidèle », a-t-il récemment lancé. En répondant à L’Est Républicain dimanche 11 octobre, Nicolas Sarkozy espérait clore la polémique. Sauf que l’après-midi même l’eurodéputée tenait un meeting dans son fief au cours duquel elle s’est à nouveau insurgée contre le sort que lui fait subir le président des Républicains. Lundi matin, lors d’une réunion avec les secrétaires départementaux du parti, Nicolas Sarkozy a de nouveau justifié sa décision de la priver de la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales. Quant à la participation de Nadine Morano à la primaire, il s’en est moqué : « Ils sont beaucoup à faire un petit tour de piste. Mais à la fin de la fête foraine, les lampions s’éteignent ».

Morano : une épine dans le pied de Sarkozy

Morano : une épine dans le pied de Sarkozy

Si Sarkozy a effectivement nettement clarifié ses propositions par rapport aux déclarations à caractère raciste de Morano, il n’a pas réussi pour autant à gommer le trouble qui s’est  s’installé au sein du parti les républicains. Au sein même de ce parti les sensibilités sont en effet assez différentes quant à l’attitude à avoir vis-à-vis des migrants et des étrangers en général. La bataille entre Nadine Morano et Nicolas Sarkozy n’en finit donc pas de prolonger la polémique sur les déclarations de l’eurodéputée concernant la France « pays de race blanche ». L’ancien chef de l’État serait exaspéré par les propos de l’ancienne ministre déléguée au journal de 20h de TF1, donnant des leçons au leader de sa formation politique. Samedi 10 octobre, le chef des Républicains est revenu à la charge au siège même du parti. « Je n’accepterai jamais que les républicains que nous sommes tombions dans la caricature, parce que la caricature rend service à M. Hollande et à Mme Le Pen« , a tenu à préciser Nicolas Sarkozy. Lançant une pique non voilée à Nadine Morano, il a même précisé : « Vous êtes les bienvenus chez les Républicains, vous êtes les bienvenus quelle que soit votre couleur de peau ». Un discours d’ouverture, modéré, qui pourrait avoir comme contrecoup de le couper d’une base radicale. Une visite en Meurthe-et-Moselle, le fief de Nadine Morano, serait envisagée avec pour but d’avoir le dernier mot dans cette bataille des déclarations. 

Morano sait écrire : elle a adressé une lettre aux sympathisants UMP

Morano sait écrire : elle a adressé une lettre aux sympathisants UMP

 

Certains mauvais esprits avaient considéré que Nadine Morano n’avait pu s’excuser auprès de Sarkozy considérant qu’elle ne savait pas écrire. Une calomnie odieuse évidemment car l’intéressé semble maîtriser l’écriture, en tout cas aussi mal que l’oral. Elle vient en effet d’adresser un mail aux adhérents de l’UMP avec les mêmes souffrances les mêmes s’approximations et la même vision raciste. Des militants mais aussi des sympathisants des Républicains ont donc eu la surprise de recevoir un mail de Nadine Morano, mardi 6 octobre. Selon nos informations, l’eurodéputée a utilisé un fichier du parti, alors UMP, datant de 2012. D’après un cadre des Républicains, Nadine Morano se l’est procurée via l’un de ses collaborateurs qui avait travaillé sur la dernière campagne de Nicolas Sarkozy. Dans ce message, l’ancienne ministre au cœur de la polémique se défend et renvoie à deux vidéos : l’émission On n’est pas couché du 26 septembre où elle a tenu ses propos sur la France de « race blanche » et une interview du matin même sur France 2 dans Les 4 Vérités. 48 heures plus tard, la Commission des investitures des Républicains lui retirait la tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les prochaines régionales dans le Grand Est.
     
« Chers amis,

Après mon intervention dans l’émission « On n’est pas couché » le 26 septembre dernier, où j’ai précisé mon engagement total à lutter contre l’islamisme radical, j’ai rappelé en me référant aux écrits du Général de Gaulle que « la France est un pays de race blanche aux racines chrétiennes ». Mes propos ont ensuite été instrumentalisés, manipulés pour susciter des sous-entendus qui ne reflètent en rien ma conviction profonde. Je ne suis pas dupe de la cabale politique qui a engendré ce lynchage médiatique inacceptable. J’étais ce matin l’invitée politique de Roland Sicard dans l’émission « Les 4 Vérités » sur France 2 où j’ai fait une mise au point qui vous permettra de juger par vous-même la réalité de mes propos. Je partage avec vous la vidéo de mon intervention et me tiens comme toujours à l’écoute de vos commentaires.

Morano : jugement de Salomon pour Sarkozy

Morano : jugement de Salomon pour Sarkozy

 

Sarkozy a tranché vis-à-vis de Morano en l’écartant des listes des élections régionales. Une décision forte mais qui demeure cependant ambigüe car Morano qui exprime des positions encore plus extrêmes que le Front national va demeurer au sein du parti républicain. Un parti républicain en fait assez partagé entre des positions humanistes et les positions populistes. Du coup rien n’est vraiment réglé concernant Morano qui de plus va se présenter à la primaire du parti des républicains justement pour faire tomber Sarkozy. Au-delà de la querelle des personnes, très forte en l’occurrence – pour Morano c’est une forme de dépit amoureux après son éviction de l’organigramme de la direction- il s’agit d’une question idéologique et d’un positionnement du parti des républicains qui jusque-là est loin d’être très clair. Le verdict qui s’est imposé à Nicolas Sarkozy pour désamorcer, sans la clore, la polémique Morano souligne crûment les contradictions de sa stratégie pour 2017, un mariage forcé et incertain entre centristes et « droitistes » des Républicains. « Mieux vaut une crise passagère et investir à long terme. On a la responsabilité de porter l’alternance », a résumé mercredi l’ancien chef de l’Etat pour justifier la destitution de Nadine Morano après ses propos sur la France, pays « de race blanche ». L’UDI et le MoDem ayant menacé de faire défection dans la région Grand Est (Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine), le président des Républicains n’avait d’autre choix que de retirer la tête de liste en Meurthe-et-Moselle à l’égérie de la frange la plus radicale des militants. L’ex-ministre de Nicolas Sarkozy est allée jusqu’à dénoncer « une cabale centriste », une opinion que partagent des administrés de plusieurs députés LR, à en croire ces derniers. Nicolas Sarkozy s’est engagé mercredi à se rendre prochainement dans le Grand Est pour « expliquer » sa décision. « La sanction envers Nadine Morano est un jugement de Salomon: d’un côté elle n’a plus d’investiture aux régionales, mais de l’autre elle n’est pas exclue du parti. Cela traduit la fracture profonde entre ceux qui adhèrent au ‘lepénisme light’, et ceux qui le rejettent au nom des valeurs de la droite républicaine », estime le politologue Thomas Guénolé.

Nadine Morano : les excuses approximatives de « l’intello »

Nadine Morano : les excuses approximatives de « l’intello »

 

 

Nadine Morano qui avait refusé de faire des excuses par écrit qu’on s’en un enfer par oral mais de manière toujours aussi contradictoire, confuse et approximative sur le fond comme sur la forme. Elle prétend que ses propos ont été manipulés par Sarkozy alors que il n’y a aucune ambiguïté sur le caractère raciste de ce qu’elle a dit dans l’émission de On n’est pas couché sur la de. Propos réitérés notamment à Moscou. On sent bien toutes les limites d’une dialectique très primaire chez Morano en outre qui déclare ne pas appartenir à «  l’espèce bien-pensance » ! Un nouveau concept linguistique aussi ridicule que celui de race qui scientifiquement n’a jamais eu aucun fondement. Qu’on emploie certes dans le langage courant mais qui convient mieux aux chiens qu’aux hommes. Morano qui y neuve dans la pensée raciste se distingue aussi maintenant dans l’ingénierie sémantique douteuse Nadine Morano, sanctionnée par son parti Les Républicains pour avoir parlé de la France comme d’un pays « de race blanche », a donc présenté jeudi soir ses excuses aux Français qui ont pu se sentir « blessés ». La députée européenne, qui s’est vu retirer mercredi son investiture en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales de décembre, a accusé Nicolas Sarkozy d’avoir « manipulé » ses propos – « une faute politique majeure » à ses yeux. »J’ai été profondément choquée parce que ma phrase a été manipulée. Quand j’entends Nicolas Sarkozy dire ‘la France n’est pas une race’, je n’ai jamais dit ça », a-t-elle plaidé sur TF1 ! « Lui qui avait pourtant une liberté d’expression, je crois qu’il fait une faute politique majeure de dire ça et de ne pas laisser vivre le débat », a-t-elle ajouté, s’avouant « très triste » de sa décision. Le président des Républicains avait laissé mardi soir une dernière chance à l’élue, lui demandant d’exprimer des regrets dans une lettre à son intention, mais elle s’y est refusée. « Je n’ai pas fait de lettre, mais si des Français ont été blessés je m’en excuse auprès d’eux, avec la manipulation de phrase qui a été faite », a-t-elle dit. « Je parle vrai, je dis les choses avec sincérité, je crois que les Français ne supportent plus cette espèce de bien-pensance qui consiste à nier ce que nous sommes et à ne pas apporter de solution », a-t-elle poursuivi. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a déclaré qu’elle maintenait sa candidature à la primaire de la droite et du centre en vue du scrutin présidentiel de 2017. « J’ai envie d’apporter aux Français un langage de sincérité, de vérité », a-t-elle expliqué. Au secours !

Nicolas Sarkozy :  » la stupide Nadine Morano « 

Nicolas Sarkozy :  » la stupide Nadine Morano « 

« Que dire de la stupide Nadine Morano ? » s’interroge à voix haute Nicolas Sarkozy, agacé par le parasitage de la campagne des régionales. Morano dont les pieds ne touchent plus terre depuis qu’elle est sous le feu des médias. Entre elle et Sarkozy c’est aussi une sorte de dépit amoureux. Nadine Morano a très mal ressenti sa mise à l’écart dans l’organigramme du nouveau parti les républicains ;  du coup elle a décidé d’affronter Sarkozy lors des primaires moins sans doute pour gagner ses élections que pour faire perdre Sarkozy. Une stratégie toutefois suicidaire car on voit mal un courant du parti de Sarkozy l’accueillir avec enthousiasme même si elle dit tout haut et maladroitement ce que d’autres pensent tout bas de toute évidence elle a du mal à maîtriser la forme de sa pensée. « Ne lui donnons pas de l’importance, car c’est exactement ce qu’elle cherche, poursuit le président des Républicains. Je ne veux pas lui parler, car elle irait immédiatement s’en prévaloir dans la presse », tranche Nicolas Sarkozy, qui délègue ainsi à son fidèle Brice Hortefeux le soin de contacter la députée européenne. Le brave Hortefeux décroche son téléphone et tente de ramener Morano à la raison. « Il m’a dit : Je ne te demande pas de retirer tes propos, mais de les apaiser« , confirme au Point la blonde incendiaire. Nicolas Sarkozy ne veut pas non plus être en première ligne sur ce dossier, préférant attendre que Philippe Richert, la tête de liste LR des régionales dans la région Grand Est, lui demande d’évincer Morano.  Lorsque Brice Hortefeux rend compte à Nicolas Sarkozy de sa conversation à Nadine Morano, il pense que le message est passé. Sarkozy s’attend donc à ce que son ancienne ministre, invitée mercredi matin sur Europe 1, replie un peu la voilure à travers une formule diplomatique. Pas vraiment un retrait, mais un demi-rétropédalage qui permette à la famille républicaine, en émoi depuis dimanche, de retrouver sa sérénité en vue du combat des régionales. Nadine Morano a-t-elle joué avec les nerfs de l’ancien président ? Toujours est-il que ce n’est pas sans inquiétude que, mercredi matin, Nicolas Sarkozy se tient aux aguets, l’oreille collée au transistor. Las ! Nadine Morano maintient ses propos et évoque la référence du général de Gaulle. À la réunion du mercredi matin, au siège du parti, rue de Vaugirard, Nicolas Sarkozy lâche : « Je ne peux pas tenir. Il faut qu’on bouge sur Morano. »  Pendant ce temps, Nadine Morano ne voit pas le danger venir. Elle ne croit pas à une sanction. Elle pense que ceux qui, à droite, se déchaînent contre elle poursuivent une arrière-pensée politicienne : flinguer, non pas le propos, mais la candidate à la primaire, celle qui, par son franc-parler et son rapport direct aux électeurs, dérange ces messieurs. « Je ne suis pas dans la courtisanerie vis-à-vis de Sarkozy. S’il me vire, ça clashera très fort ! » Confie-t-elle au Point, mais elle n’envisage pas sérieusement cette option : « Sarkozy sait que je suis un homme politique avec un grand H et, en même temps, une femme. Il ne sait pas comment s’y prendre et évite la confrontation directe. » De fait, c’est Hortefeux qui joue les tampons… . Je viens de Lorraine, je viens de la terre de Jeanne d’Arc. Ils sous-estiment ma force de résistance. Philippe Richert aurait dû me protéger. Jacques Lamblin, le président de la fédération des Républicains de Meurthe-et-Moselle, lui, me soutient et trouve cette polémique grotesque ! »

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