Archive pour le Tag 'Moral'

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Moral des patrons en hausse

Moral des patrons en hausse

D’après un sondage d’Opinion Way pour CCI France/La Tribune/ Europe 1, les patrons sont 39% à se déclarer optimistes et 37% confiants (+10 points pour chacun de ces qualificatifs), quand, à l’inverse,  l’attentisme et l’inquiétude (27% chacun) sont respectivement en recul de 6 et 12 points par rapport au mois dernier. L’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République est une bonne chose à tous les niveaux: tant pour leur propre entreprise (80%), que pour l’économie française (80%) ou encore l’économie mondiale (82%).Notons une certaine prudence, toutefois. Certes, cet engouement est massif, mais seuls 1% à 2% des chefs d’entreprises interrogés considèrent qu’il s’agit d’une très bonne chose dans chacune de ces situations. La composition du gouvernement ne les enthousiasme pas autant. En cause ? La faible notoriété de la plupart des ministres fraichement nommés. De fait, 61% d’entre eux admettent ne pas connaître suffisamment Gérald Darmanin pour se réjouir ou non de sa nomination au ministère de l’Action et des Comptes publics. Même chose pour Muriel Pénicaud, la ministre du Travail (55%) et dans une moindre mesure pour Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie (30%). 63% des patrons voient d’un bon œil la promesse d’Emmanuel Macron le président de la République de gouverner par ordonnance pour accélérer la mise en place de sa réforme du code du travail. Ce pourcentage grimpe à 70% dans le secteur de la construction. « Plus globalement, les dirigeants font confiance au gouvernement d’Edouard Philippe pour qu’il mène l’ensemble des réformes promises par Emmanuel Macron lors de sa campagne (69%)« , observe le baromètre. Aujourd’hui 64% des interviewés apprécient le contexte actuel ou à venir soit un taux en hausse de 13 points, 27% jugeant que ‘c’est très bien en ce moment’ (+8 points), et 37% que demain offre la promesse de jours meilleurs (+5 points)« , poursuit le baromètre.

 

Moral des cadres : en hausse grâce la défaite de Le Pen

Moral des cadres : en hausse grâce la défaite de Le Pen

L’indice synthétique du moral des cadres réalisé par Viavoice pour BFM Business, L’Express et HEC fait état d’un bond de 12 points en mai. À -9, cet indice qui avait atteint son plus bas en 2013 (-56) revient à un niveau inégalé depuis septembre 2007, c’est-à-dire peu après l’élection de Nicolas Sarkozy et quelques mois avant le début de la crise financière de 2008. Depuis la création de cet indice en 2004, il n’avait été supérieur à aujourd’hui que deux fois (mi 2006 et début 2007). Pourquoi une telle embellie? D’abord le contexte économique. « L’amélioration de l’activité économique dans les entreprises, perceptible depuis plusieurs mois et amenée à se concrétiser au cours de l’année, portant en creux la promesse d’une sortie de crise progressive après des années d’activité en berne », note l’étude. La perception des cadres de l’évolution du niveau de vie en France est redevenue très largement positive. Alors qu’en avril, seuls 19% pensaient que le niveau de vie allait s’améliorer d’ici un an (contre 36% l’inverse), ils sont 37% à croire en une amélioration (contre 23% en une dégradation). Idem pour le nombre de chômeurs dont désormais 31% pensent qu’il diminuera (30% qu’il augmentera). Une inversion des courbes jamais vue depuis plusieurs années. Mais c’est le contexte politique qui semble aussi avoir joué un rôle dans ce retournement spectaculaire. « La levée d’une incertitude majeure après la lourde défaite de Marine Le Pen, relève l’étude Viavoice. La candidate du Front national et son programme économique étaient en effet perçus comme porteurs de risques systémiques pour les entreprises françaises comme pour les investisseurs étrangers. Avec son score décevant, s’éloigne dans le même temps la possibilité d’une arrivée aux affaires de l’extrême-droite, à court ou à long terme ». . Les cadres sont ainsi 57% à penser que l’élection d’Emmanuel Macron peut créer un « choc de confiance » encourageant les investissements, l’emploi ou la consommation. Ils sont également 61% à penser que le profil du nouveau Président est « un atout pour l’activité économique et l’attractivité de la France ».

 

Moral ménages et entreprises : hausse en Allemagne

Moral  ménages et entreprises : hausse en Allemagne

Selon le baromètre de l’institut GfK publié mercredi, les consommateurs en Allemagne voient toujours leur économie sur la pente ascendante à la fin du printemps malgré les risques sur la croissance économique mondiale. Le baromètre GfK est ainsi attendu à 10,4 points en juin, contre 10,2 points en mai, qui a suivi deux mois de recul (10,0 points en mars et 9,8 points en avril), par crainte à l’époque d’un regain de vigueur d’inflation. « L’humeur des consommateurs en Allemagne retrouve clairement une tendance à la hausse », juge l’institut. D’une manière qui tranche avec la dernière analyse, le baromètre GfK souligne néanmoins les risques de « chocs extérieurs de politique économique, comme les tendances protectionnistes aux États-Unis » promptes à miner le moral des consommateurs. Des barrières douanières ou autres mesures de rétorsion, si elles étaient dictées par l’administration Trump, pénaliseraient les entreprises allemandes exportatrices, constituant une menace pour l’emploi.« La conséquence serait une plus grande retenue en termes de prévisions d’achats » qui finirait par « peser directement sur le climat de la consommation », prévient l’institut. En mai, la composante du baromètre sur les intentions d’achat a d’ailleurs chuté de 4,5 points, à 55,7 points, effaçant presque la progression du mois précédent. Cela contraste avec les hausses des deux autres composantes de l’indicateur, les attentes en matière de conjoncture économique, portées à 34,8 points (30,5 points en avril), et les perspectives d’évolution des revenus des consommateurs, à 58,5 points (57,5 points en avril). « L’excellente santé sur le marché du travail nourrit cet optimisme », a relevé le GfK. Le nombre des chômeurs a reculé en avril à près de 2,6 millions de personnes, ou 5,8% de la population active. Le moral des entrepreneurs en Allemagne a bondi en mai à un record historique, a indiqué mardi l’institut IFO, son indicateur de référence ayant atteint le niveau le plus élevé mesuré depuis 1991.

Le moral des ménages : maintien relatif

Le moral des ménages :  maintien relatif

 

Un maintien trèsrelatif puisque les Franaçis sont encore un peu plus inquièts concernant luer situation finacière, qu’ils considèrenet qu’il  vaut mieux épargner que de faire des achats importants.  L’indicateur s’est cependant maintenu à 100 points, un niveau sous lequel il se trouvait depuis la crise financière, a indiqué l’Insee ce mercredi.  Le moral des ménages s’est maintenu en mars à son niveau de long terme, atteint en janvier pour la première fois depuis 2007, a annoncé ce mercredi l’Insee dans un communiqué. Calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), le moral des ménages est resté stable à 100 points, niveau sous lequel il se trouvait depuis la crise financière, a précisé l’organisme public. L’Insee établit cet indicateur à partir de questions divisées en deux grandes catégories: l’une portant sur la situation personnelle des ménages, l’autre sur leur perception de l’évolution économique en général. En mars, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est légèrement détériorée, perdant deux points, pour retourner sous son niveau moyen de longue période, précise l’Insee. La proportion de ménages jugeant opportun de faire des achats importants a par ailleurs nettement baissé (baisse de six points, après une hausse de quatre points en février). Malgré ce recul, le solde « demeure bien supérieur à sa moyenne de longue période », note l’Insee. Le solde d’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne future est de son côté resté quasiment identique, même si le nombre de ménages jugeant « opportun d’épargner » a légèrement augmenté, gagnant deux points par rapport à février. Concernant l’évolution de la situation économique en général, le solde d’opinion sur le niveau de vie futur en France est lui aussi quasi stable (-1 point). Il se situe sur « sa moyenne de longue période », note l’Insee. 

Moral des ménages : hausse

Moral des ménages : hausse

Les Français demeurent les plus pessimistes au monde mais le moral  s’améliore  pour retrouver en février  son niveau le plus élevé depuis 2007a annoncé vendredi l’Insee dans un communiqué. Le moral des ménages, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), est resté stable à 100 points, niveau sous lequel il se trouvait depuis la crise financière, a précisé l’organisme public.

Moral des Français : ça replonge en février

Moral des Français : ça replonge en février

.Le moral économique des Français se détériore à nouveau en février. En cause, la situation économique et sociale actuelle mais aussi les grandes incertitudes relatives à 2017. L’affaire Fillon a contribué notamment à plomber le moral des Français.  D’après le baromètre Odoxa pour Aviva, Challenges et BFM Business, 74% d’entre eux sont “plutôt moins confiants” en l’avenir de la situation économique du pays contre 26% “plutôt plus confiants” par rapport à janvier 2017. Soit une chute de sept points par rapport au mois dernier. Il faut dire que le mois de janvier a été marqué par l’annonce d’une nouvelle hausse du chômage après trois mois consécutifs de baisse. De quoi refroidir l’optimisme. La baisse du moral économique des Français trouverait également son explication dans la sphère politique avec, d’un côté, les sympathisants de droite qui ont été déçus de leur candidat François Fillon, empêtré dans « l’Affaire Penelope”. De l’autre, les sympathisants de gauche qui, eux, ont été gênés par le déroulement du premier tour de la primaire du Parti Socialiste, entaché d’approximations sur les chiffres de participation. D’ailleurs, si les Français de droite affichent un taux de confiance en l’avenir plus faible (23%) que les Français de gauche (37%), c’est bien chez ces derniers que la baisse du moral est la plus perceptible, avec une perte de 12 points par rapport à janvier 2017, contre 3 points chez les sympathisants de droite.

Moral chefs d’entreprises : attentisme

Moral chefs d’entreprises : attentisme

 

D’après le sondage Opinion Way pour CCI France/La Tribune/ Europe 1 les chefs d’entreprise sont 54% à penser que la situation économique de la France ne changera pas après l’élection présidentielle. Ils sont 9% à estimer qu’elle se détériorera et 32% à envisager une amélioration. En ce qui concerne leur entreprise, ils sont 61% à tabler sur le statu quo. Ils sont 26% seulement à envisager une amélioration et 9% à penser que la situation se dégradera. De fait, l’optimisme ne règne pas. C’est surtout le cas des dirigeants d’entreprises de moins de 10 salariés. Ils sont 37% à se déclarer inquiets. Ils ne sont « que » 22% dans les entreprises de 10 salariés et plus. La méfiance règne particulièrement chez les TPE. En effet, 32% de leurs dirigeants indiquent ne plus savoir sur quel pied danser actuellement. Ce pourcentage s’élève à 15% pour les dirigeants de structures de 10 salariés et plus. « De l’autre côté, les chefs d’entreprises de 10 salariés et plus avouent être plus optimistes (41% contre 34% pour les entreprises plus petites) mais aussi plus confiants (32% contre 23%) », indiquent les auteurs de la Grande consultation. Seuls 6% d’entre eux se considèrent actuellement comme « audacieux ». Résultat, les embauches sont à l’arrêt. Ainsi, 92% des chefs d’entreprises interrogés se contentent de vouloir maintenir leurs effectifs. Ils sont 4% à vouloir les réduire et 4% à les augmenter.

 

Moral patron : du mieux ?

Moral patron : du mieux ?

Un léger mieux pour l’économie en 2017 d’après une enquête réalisée auprès des patrons au plan international mais avec quand même des les incertitudes relatives à la politique de Trump et aux conséquences du brexit. Vingt-neuf pour cent des près de 1.400 chefs d’entreprise interrogés disent prévoir une accélération de la croissance mondiale cette année, alors qu’ils étaient 27% en 2016. Au plan international Ils sont 38% à se dire très confiants dans leur capacité à augmenter la croissance de leur chiffre d’affaires en 2017, contre 35% il y a un an — une proportion qui était la plus faible depuis six ans. Les perspectives l’an dernier à la même époque étaient assombries par la chute des cours du pétrole, les craintes d’atterrissage brutal de l’économie chinoise et les incertitudes autour de l’élection présidentielle américaine, a expliqué à Reuters Bob Moritz, le coordinateur de l’étude chez PwC. « Ils (les chefs d’entreprise) s’inquiètent de plus de choses car le monde est devenu plus difficile. Les risques dont ils se préoccupent sont des risques à plus long terme », a-t-il dit, ajoutant que l’étude ne portait que sur les 12 prochains mois, une période trop courte pour dégager toutes les conséquences d’une présidence Trump ou du Brexit. Mais à court terme, la résistance, par exemple, de l’économie britannique à la perspective de sortie de l’Union européenne, après le référendum du 23 juin, rend confiant. Pour ce qui est d’embaucher, plus de la moitié des patrons disent qu’ils comptent augmenter leurs effectifs cette année. Néanmoins, en dépit du léger mieux attendu pour cette année, la confiance des chefs d’entreprise reste un peu en deçà de ce qu’elle était en 2014 et en 2015 et très éloignée de ses niveaux antérieurs à la crise financière mondiale. La principale différence entre avant et après est que les craintes sont maintenant d’ordre politique et non économique. « D’un point de vue économique, la plupart des clients auxquels nous nous adressons sont moins inquiets et certains sont même optimistes », dit John Aurik, directeur général d’AT Kearney, un consultant concurrent de PwC. « Mais pour ce qui est du risque géopolitique, c’est la grande inconnue pour tout un chacun ».

Moral des Français : les jeunes les plus pessimistes d’Europe

Moral des Français : les jeunes  les plus pessimistes d’Europe

 

 

Un sondage qui démontre que les jeunes Français sont aussi un peu moins pessimistes que l’ensemble de la population. Selon une  étude mondiale réalisée par le Pew Research Center des Etats-Unis, les Français sont les plus pessimistes quand il s’agit de savoir si la génération des enfants vivra mieux que celle des parents. Il n’y a que 14% des Français à être optimistes sur ce point, record mondial, juste devant les Italiens (15%), et pas loin des Japonais (18%). A l’opposé, c’est évidemment dans les pays émergents, tirés par des croissances fortes ces dernières années et une logique de « rattrapage » par rapport aux pays industrialisés, que l’on trouve les plus forts taux d’optimisme :

  • 91% chez les Vietnamiens,
  • 88% chez les Chinois malgré le ralentissement de la croissance et quelques autres soucis,
  • et même 84% chez les Nigérians pourtant en proie aux horreurs des djihadistes de Boko Haram.

Le différentiel entre la France et ses partenaires est spectaculaire : 21 points de pessimisme en plus par rapport au taux médian de ce groupe de pays, près de 30 points de plus par rapport à l’Allemagne, et 20 par rapport à l’Italie. Chez les jeunes français de moins de 25 ans, le pessimisme est moins important mais cependant en tête du palmarès européen. Ce que démontre le baromètre d’opinion de la Drees. 44% des moins de 25 ans estiment que leur situation est moins bonne que celles de leurs parents au même âge. Un taux assez élevé mais qui reste plus faible que celui des 25-49 ans. Pour cette tranche d’âge, le sentiment de « déclassement intergénérationnel » est en effet partagé par plus de la moitié des personnes. Et comment les jeunes adultes Français perçoivent-ils leur avenir? Les moins de 30 ans se déclarent à 66% optimistes pour l’avenir selon le baromètre d’opinion de la Drees. C’est plus que les 30 à 59 ans qui, eux, ne sont que 52% à se déclarer optimistes. Mais cette perception de l’avenir diffère chez les jeunes selon le niveau de formation: les élèves ou étudiants, ainsi que les jeunes en emploi possédant un diplôme du supérieur se montrent plus optimistes sur leur avenir que les moins diplômés ou que les jeunes au chômage. Reste que si les jeunes Français sont plus optimistes que leurs aînés, les 18-29 ans français sont les moins optimistes en Europe.

(Avec Challenges)

Moral consommateur en hausse

Moral  consommateur en hausse

La confiance du consommateur s’est améliorée bien plus que prévu en décembre, montrent les chiffres estimatifs publiés mercredi par la Commission européenne. L’indice la mesurant a gagné 1,1 point à -5,1 points en première estimation contre -6,0 points en novembre (chiffre révisé). Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un indice de -6,0 points. Dans l’Union européenne dans son ensemble, cet indice a augmenté de 1,2 point à -4,6 points.

Moral ménages : stable en novembre

Moral  ménages : stable en novembre

 « En novembre, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle passée se détériore légèrement », perdant deux points, tandis que celle sur leur situation future en perd un, indique l’Insee. Leur opinion sur leur capacité d’épargne, actuelle et future, est stable. Concernant l’évolution économique en général, les ménages sont plus optimistes sur leur niveau de vie futur, le solde augmentant pour le cinquième mois consécutif. Les craintes sur le chômage sont en très nette baisse, le solde correspondant perdant 11 points.  Selon les chiffres de Pôle Emploi publiés jeudi, le chômage a poursuivi sa décrue en octobre, après avoir enregistré un repli historique en septembre. Concernant l’inflation, les ménages « sont un peu moins nombreux à anticiper que les prix augmenteront au cours des douze prochains mois ».

 

Etats-Unis : Le moral des ménages américains en hausse

Etats Unis : Le moral des ménages américains en hausse

 

Conséquences des relatifs bons résultats économiques en particulier en matière d’emploi, le moral des américains améliore.  Le moral des ménages américains s’est nettement amélioré en novembre et il est au plus haut depuis juin, montrent vendredi les résultats provisoires de l’enquête mensuelle de l’Université du Michigan. Son indice de confiance est monté à 91,6 contre 87,2 en octobre, dépassant largement le consensus qui le donnait à 87,5. L’Université du Michigan précise que les données ayant permis d’établir son indice provisoire ont été collectées avant l’annonce de la victoire du républicain Donald Trump à la présidentielle des Etats-Unis. La remontée du moral tient surtout à l’emploi.  Le nombre de créations d’emplois non-agricoles a atteint 161.000 le mois dernier et les chiffres  d’août et de septembre ont été révisés en hausse de 44.000 au total, a annoncé vendredi le département du Travail. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à 175.000 créations de postes en octobre, sur la base d’une première estimation à 156.000 pour le mois de septembre. Le taux de chômage a baissé d’un dixième de point, à 4,9%. L’économie américaine a créé en moyenne 181.000 emplois par mois depuis le début de cette année contre 229.000 par mois en moyenne en 2015. Les créations de postes sont toutefois encore largement suffisantes pour absorber les nouveaux entrants sur le marché du travail. La présidente de la Fed, Janet Yellen, a dit qu’un peu moins de 100.000 créations de postes mensuelles étaient nécessaires pour faire face à la croissance de la population en âge de travailler. Le scénario d’une hausse de taux directeurs le mois prochain est aussi conforté par la croissance des salaires. Le salaire horaire moyen a augmenté de 10 cents, soit 0,4% après 0,3% en septembre. Sur un an, sa progression ressort à 2,8%, le rythme le plus élevé depuis juin 2009, après 2,6% en septembre, l’accélération s’expliquant en partie par un effet calendaire. Une situation qui pèse favorablement sur l’opinion des ménages.  La composante du jugement des consommateurs sur leur situation actuelle a remonte à 105,9 en novembre après 103,2 le mois précédent et contre 103,4 attendu. Celle des anticipations des consommateurs a également progressé, à 82,5 contre 76,8 en octobre et 77,3 attendu.

Moral des cadres : en baisse

Moral des cadres : en baisse

 

D’après enquête Viavoice, c’est la déprime chez les cadres en ce mois d’octobre.  Le moral des cadres baisse de 6 points en octobre alors qu’il était en progression depuis le mois de juin, selon le baromètre Viavoice pour HEC et BFM Business. Les cadres, qui avaient repris espoir en début d’année, sont tout simplement déçus, explique François Miquet-Marty, le président de Viavoice. Les cadres ont pris « trois douches froides » successives, explique-t-il ce jeudi sur BFM Business. La première concerne « les oscillations sur le chômage qui induisent des doutes: 56% des cadres sont pessimistes sur l’évolution du chômage au cours des mois qui viennent », souligne François Miquet-Marty. Deuxièmement, les cadres sont inquiets à moyen terme « avec des taux de croissance anticipés (1,3%) relativement faibles pour la France », rappelle le électorale qui, pour le moment, ne convainc pas les cadres, et en particulier les cadres dirigeants ». Les sondés attendent de « vraies solutions de fond », détaille François Miquet-Marty. Et les mesures qu’ils attendent pour relancer la croissance sont étonnantes, selon lui. Celles qu’ils désirent majoritairement et en premier lieu: la « simplification administrative et la simplification du code du travail ». Ce qui montre, pour François Miquet-Marty, « à quel point ce qui a été fait jusqu’ici est loin d’être suffisant ».  La deuxième mesure qu’ils appellent de leurs vœux est aussi étonnante parce que moins libérale qu’on aurait pu s’y attendre: les cadres réclament de quoi assurer la relance. Par exemple de diminuer la fiscalité des ménages, et surtout d’ »encourager les entreprises à augmenter les salaires pour relancer la consommation ».

(Avec agences)

Moral économique : un petit mieux dans la zone euro

Moral économique : un petit mieux dans la zone euro

Pour le moral économique, c’est comme pour la température, il y a la température réelle et la température ressentie. D’après une enquête de la commission européenne cette température ressentie concernant la situation économique s’améliore un tout petit peu dans la zone euro. Un tout petit peu  petit peu qui pourrait d’ailleurs correspondre à la marge d’erreur de l’enquête. Le sentiment économique dans la zone euro a bénéficié en octobre d’une amélioration inattendue, montrent donc vendredi les résultats mensuels de l’enquête de la Commission européenne. L’indice du sentiment économique a progressé à 106,3 après 104,9 en septembre, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en baisse à 104,8. L’indice du climat des affaires est quant à lui remonté à 0,55 après 0,44, alors qu’il était attendu inchangé.

(Reuters)

Le moral des ménages : stable à bas niveau

Le moral des ménages : stable à bas niveau

L’INSEE enregistre une hausse d’un petit point en septembre c’est-à-dire compte-tenu de la marge d’erreur une relative stabilité à un bas niveau e( la moyenne de longue tendance se situant à 100).L’indicateur mesurant le moral des ménages en France a légèrement augmenté en octobre, ceux-ci étant plus confiants sur leur situation financière personnelle et leur niveau de vie futur, a annoncé mercredi l’Insee. Le moral des ménages, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), s’établit à 98 points contre 97 points en septembre, indique l’institut statistique dans un communiqué.

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