Archive pour le Tag 'Moral'

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Moral patrons : tassement

Moral patrons : tassement

Le moral des patrons se situe toujours au dessous de sa moyenne de longue durée mais se tasse encore un peu en février. . D’après l’INSEE, le climat des affaires continue de reculer après avoir atteint des sommets en décembre dernier. L’indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, perd deux points après un léger recul en janvier. À 109, il reste néanmoins bien au dessus de sa moyenne de long terme (100). La baisse de février a touché tous les secteurs, à l’exception du commerce de détail, dont l’indicateur est resté stable à 114. Pour Alex Gill, économiste chez IHS Markit, « la croissance ralentit en février dans le secteur privé français, les taux d’expansion de l’activité globale et des nouvelles affaires se repliant en effet chacun à un plus bas de quatre mois. » Les chefs d’entreprises dans l’industrie se montrent moins optimistes qu’en janvier dernier. Les soldes d’opinion des industriels sur leur production passée et sur leurs perspectives personnelles de production se replient en février. Ils sont également moins confiants sur les projections générales d’activité de production du secteur. L’indicateur de l’industrie manufacturière a perdu deux points à 112, son niveau de janvier ayant été révisé en hausse d’un point à 114, son niveau le plus haut depuis fin 2000. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 113. Du côté des services, les chefs d’entreprise interrogés ce mois-ci signalent que le climat des affaires est moins favorable que le mois précédent. L’indicateur qui le synthétise perd trois points après un premier recul de deux points le mois dernier. À 106, il reste cependant bien au-dessus de sa moyenne de long terme (100). Si la confiance des patrons dans le secteur des transports routiers de marchandises poursuit sa hausse, elle ralentit nettement (-3 points) dans le secteur de l’information-communication, ou dans le domaine des services administratifs et de soutien. Sur la majeure partie du mois de février, le climat de l’emploi est stable. L’indicateur s’élève à 109 pour le troisième mois consécutif, « bien au dessus de sa moyenne de 100 et au plus haut depuis août 2011. » Ce phénomène est également souligné par le cabinet Markit qui explique que « contrairement aux tendances observées pour l’activité et les nouvelles affaires, la croissance de l’emploi s’accélère en janvier ».

Moral patrons : tassement

Moral patrons : tassement

Le moral des patrons se situe toujours au dessous de sa moyenne de longue durée mais se tasse encore un peu en février. . D’après l’INSEE, le climat des affaires continue de reculer après avoir atteint des sommets en décembre dernier. L’indicateur qui le synthétise, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise des principaux secteurs d’activité, perd deux points après un léger recul en janvier. À 109, il reste néanmoins bien au dessus de sa moyenne de long terme (100). La baisse de février a touché tous les secteurs, à l’exception du commerce de détail, dont l’indicateur est resté stable à 114. Pour Alex Gill, économiste chez IHS Markit, « la croissance ralentit en février dans le secteur privé français, les taux d’expansion de l’activité globale et des nouvelles affaires se repliant en effet chacun à un plus bas de quatre mois. » Les chefs d’entreprises dans l’industrie se montrent moins optimistes qu’en janvier dernier. Les soldes d’opinion des industriels sur leur production passée et sur leurs perspectives personnelles de production se replient en février. Ils sont également moins confiants sur les projections générales d’activité de production du secteur. L’indicateur de l’industrie manufacturière a perdu deux points à 112, son niveau de janvier ayant été révisé en hausse d’un point à 114, son niveau le plus haut depuis fin 2000. Les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 113. Du côté des services, les chefs d’entreprise interrogés ce mois-ci signalent que le climat des affaires est moins favorable que le mois précédent. L’indicateur qui le synthétise perd trois points après un premier recul de deux points le mois dernier. À 106, il reste cependant bien au-dessus de sa moyenne de long terme (100). Si la confiance des patrons dans le secteur des transports routiers de marchandises poursuit sa hausse, elle ralentit nettement (-3 points) dans le secteur de l’information-communication, ou dans le domaine des services administratifs et de soutien. Sur la majeure partie du mois de février, le climat de l’emploi est stable. L’indicateur s’élève à 109 pour le troisième mois consécutif, « bien au dessus de sa moyenne de 100 et au plus haut depuis août 2011. » Ce phénomène est également souligné par le cabinet Markit qui explique que « contrairement aux tendances observées pour l’activité et les nouvelles affaires, la croissance de l’emploi s’accélère en janvier ».

Moral des industriels français: optimistes sur l’investissement en 2018

Moral des  industriels français:  optimistes sur l’investissement en 2018

 

Encore une bonne nouvelle pour l’économie avec la hausse du moral des industriels concernant les investissements qui représentent environ un quart des investissements productifs en France. Les industriels français anticipent désormais une hausse de 4% des investissements cette année par rapport à 2017, après une progression revue en baisse à 2%, contre 4% précédemment, sur l’année écoulée, selon l’enquête trimestrielle de l’Insee publiée mardi. A titre de comparaison, dans la précédente édition de cette enquête, publiée en novembre, ils anticipaient une stabilité de leurs investissements cette année et évoquaient une hausse de 4% en valeur l’an dernier. Il s’agit dans les deux cas de révisions conformes à celles constatées habituellement en janvier, souligne l’Insee. Pour 2018, la révision à la hausse par rapport aux premières prévisions de l’automne dernier se manifeste dans tous les secteurs, en particulier dans la fabrication des biens d’équipement, dont les investissements sont attendus en hausse de 18% cette année (+10% dans l’enquête de novembre). Dans les autres secteurs, la révision à la hausse des prévisions d’investissements reste significative, bien que de moindre ampleur, qu’il s’agisse de l’agroalimentaire (stabilité attendue, contre un recul de 5% précédemment), de la fabrication de matériel de transport (-7% prévu, contre -11% auparavant) ou des autres industries (+6% attendu contre +2% précédemment). Les résultats de cette enquête mettent également en évidence que les industriels sont plus nombreux à anticiper une hausse plutôt qu’une baisse de leurs investissements au premier semestre 2018.

 

Moral des patrons de l’Industrie manufacturière : hausse

Moral des patrons de l’Industrie manufacturière : hausse

Selon l’indice PMI Markit publié ce jeudi 1er février, la confiance des entreprises a atteint son plus haut niveau depuis le début de la collecte des données en 2012.  La forte croissance du secteur manufacturier s’est poursuivie en janvier, la  production et les nouvelles commandes ont enregistré des taux d’expansion « historiquement élevés ». La bonne santé du secteur repose en grande partie sur une forte augmentation de la demande. « Le volume global des nouvelles commandes enregistre en janvier l’une de ses plus fortes hausses depuis 2010, malgré un repli du taux d’expansion par rapport à décembre ». L’autre bonne nouvelle pour le commerce extérieur est que les personnes interrogées par Markit indiquent que la hausse de la demande concerne aussi bien le marché intérieur que les marchés à l’export, « les nouvelles commandes à l’export enregistrant l’une de leur plus fortes expansions depuis 7 ans ». D’après les derniers résultats de Markit, cette embellie s’accompagne d’une hausse des prix des achats qui « atteint un plus haut de 9 mois, tendance que les répondants attribuent au renchérissement des matières premières, notamment l’acier, le cuivre et le papier. » Cette hausse des coûts a été répercutée en partie sur les prix de vente, marquant ainsi une accélération de l’inflation. Malgré une conjoncture favorable, les récents chiffres de la direction générale des entreprises publiés en décembre rappellent que l’industrie demeure un secteur sinistré.  Entre 2000 et 2016, le poids de l’industrie dans l’économie française est passé de 16,5% à 12,5% du produit intérieur brut. Du côté de l’industrie manufacturière, l’évolution est quasi similaire à celle de l’industrie en général.

Moral des ménages : légère baisse en janvier

Moral des ménages : légère baisse en janvier

Alors que le moral des patrons continue de s’améliorer, on constate une certaine baisse morale des ménages affectés par les hausses de fiscalité de ce début d’année. La question du pouvoir d’achat vient désormais en tête des préoccupations devant le chômage. En effet d’après l’INSEE,  la confiance des ménages s’est légèrement dégradée sur le premier mois de l’année après deux mois de hausse, malgré un recul des craintes concernant l’évolution du chômage. Le moral des ménages, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), a diminué d’un point, pour s’établir à 104 points, selon l’organisme public de statistiques. L’indice se situe néanmoins nettement « au-dessus de sa moyenne de long terme », qui est de 100 points, souligne l’Insee. Dans le détail, l’opinion des ménages sur leur situation financière à venir s’est légèrement dégradée : le solde correspondant perd deux points et demeure au-dessous de sa moyenne de longue période, souligne l’Insee. La proportion de ménages jugeant opportun d’effectuer des achats importants est malgré tout restée stable (+1 point). Cette dernière se situe au-dessus de sa moyenne de longue période depuis janvier 2016, selon l’organisme public.  Concernant la situation économique en général, les ménages sont nettement plus optimistes concernant le chômage : le solde correspondant recule de cinq points, demeurant ainsi « bien inférieur à sa moyenne de longue période ». Les ménages sont par ailleurs largement plus nombreux qu’en décembre à estimer que les prix vont augmenter au cours des 12 prochains mois. Cet indicateur a gagné 16 points, pour atteindre « son plus haut niveau depuis janvier 2014 », d’après l’Insee.

Moral petits patrons : toujours en hausse

Moral petits patrons : toujours en hausse

Moral toujours en hausse chez les petits patrons, une hausse qui diverge de celle des salariés et des ménages moins optimistes. Mais cette progression laisse présager une très bonne tenue des investissements qui font l’emploi de demain. Selon l’observatoire OpinionWay en En janvier, la proportion de patrons de PME et ETI se déclarant confiants pour les perspectives d’activité à six mois de leur propre entreprise a progressé d’un point, à 88%, soit seulement un point de moins que son plus haut historique de septembre. Concernant l’économie française, le niveau de confiance des patrons interrogés s’adjuge quatre points, à 87%, un plus haut depuis la création du baromètre en 2010. Cet indicateur, qui ne s’élevait qu’à 56% en janvier 2017, a bondi dans le sillage des élections présidentielle et législatives et s’est consolidé à un haut niveau au cours du second semestre 2017. La confiance des dirigeants de PME et ETI dans les perspectives de l’économie mondiale, s’est nettement redressée : après un plongeon de quatre points en décembre, elle gagne neuf points, à 83%.

Moral Industrie : patrons optimistes

Moral Industrie : patrons  optimistes

 

Selon l’enquête d’opinion de la Banque de France  réalisée auprès des chefs d’entreprise, la production industrielle a fortement accéléré en décembre. Tous les secteurs sont concernés et en particulier l’automobile, les équipements électriques et les produits pharmaceutiques. Du côté des carnets de commande, le solde d’opinion ne cesse de se redresser depuis décembre 2015.  »Les livraisons et les prises de commandes, y compris étrangères, s’accroissent vivement. » Le taux d’utilisation de capacité des productions a progressé de 0,7 point par rapport à novembre pour s’inscrire à 81,7%, le niveau le plus haut depuis mai 2008. Pour le mois de janvier, les industriels s’attendent à une nouvelle hausse de leur production en janvier mais à un rythme moins prononcé. Les résultats de la Banque de France confirment ceux de l’Insee qui n’a pas encore publié de résultats pour décembre mais vient de confirmer une tendance favorable sur plusieurs mois. Si les économistes de l’institut de statistiques français ont noté que la production manufacturière s’était repliée en novembre, ils soulignent également que sur un an cette production est en forte hausse (+4,4 %). Elle est particulièrement dynamique dans les matériels de transport (+9%) et les biens d’équipement (+5,3%).

Moral des ménages hausse après quatre mois de baisse

Moral des ménages hausse après quatre mois de baisse

En novembre le moral des ménages sa meilleure d’après l’INSEE. Une hausse qui fait suite à quatre mois de baisse. . Les Français se montrent nettement plus optimistes sur leur situation financière future. L’indice a gagné deux points pour s’établir à 102 points, repassant au-dessus à sa moyenne de longue période (100). Selon l’institut national de statistiques, les ménages sont plus optimistes quant à leur situation financière future, avec un indice qui gagne cinq points et retrouve son niveau de septembre. Ainsi, la proportion de ménages estimant qu’il est opportun de faire des achats importants progresse de deux points. De même, le solde d’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne future augmente fortement, de sept points. « La part des ménages estimant qu’il est opportun d’épargner augmente fortement en novembre », de huit points, après en avoir perdu autant en octobre. « Le solde correspondant retrouve donc son niveau de septembre, mais demeure nettement inférieur à sa moyenne de longue période », souligne l’Insee.

 

Moral des Français : nette hausse

Moral des Français : nette hausse

 

Effet Macron, , meilleure conjoncture, banalisation du fait terroriste, en tout cas le moral des Français est en assez nette progression par rapport au début de l’année. Pour le long terme les Français demeurent cependant dubitatifs sur les capacités de Macron à moderniser  le pays. Au mois d’août, 45% des Français se déclarent optimistes pour leur avenir. C’est nettement plus que les 28% d’optimistes de janvier, selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest France. 45% des Français se déclarent optimistes pour leur avenir en août, nettement plus que les 28% d’optimistes de janvier, selon un sondage Ifop pour Dimanche Ouest France qui y voit un « effet Macron ». Parmi les causes de ce regain de confiance, l’Ifop cite la reprise économique, la pause estivale, la « probable accoutumance au fait terroriste », mais aussi un climat plus porteur que sous François Hollande. Au début du quinquennat Hollande, en août 2012, seuls 32% des Français se disaient optimistes, 13 points de moins qu’aujourd’hui. Ces résultats reflètent « les grands clivages qui structurent la société française » entre « gagnants et perdants de la mondialisation »« Ces fractures n’ont pas disparu et le gouvernement devra en tenir compte », commente l’Ifop. Par rapport à janvier 2017, davantage de Français – mais loin de la majorité -accordent leur confiance au gouvernement pour réussir, surtout en matière économique. Ainsi, 35% espèrent une réussite de la lutte contre le chômage (contre 22% en janvier), 25% une augmentation du pouvoir d’achat (15% en janvier) et 23% une baisse des impôts (contre 17%). Seuls 10% croient qu’Emmanuel Macron « aura transformé le pays en profondeur dans de très nombreux domaines », 38% s’attendent à « quelques réformes importantes », 32% à des changements « à la marge » et 20% à aucune transformation

Moral des industriels au plus haut depuis 2007

 

L’indice du climat des affaires, calculé chaque mois par l’Insee en interrogeant près de 10.000 entreprises, a gagné 1 point en août, à 109 points. Sa progression est largement tirée par l’embellie que connaît l’industrie. En effet, la confiance des industriels s’est établie à 111 points, alors que la moyenne de long terme de cet indice est à 100. En un mois, elle a fait un bond de 3 points et se situe désormais à son plus haut niveau depuis décembre 2007. Cette hausse annonce un bon chiffre de croissance au troisième trimestre. Les économistes, y compris ceux de la Banque de France et de l’Insee, tablent sur croissance qui pourrait approcher 2%.

 

Moral petits patrons des TPE en hausse

Moral petits patrons des TPE en hausse

 

 

Les petits patrons des TPE sont à nouveau optimistes pour l’économie française en général, mais également pour leur propre entreprise, selon un sondage Fiducial/Ifop publié lundi. Pour autant, ces dirigeants ne manquent pas de lucidité concernant les difficultés que va devoir affronter le gouvernement d’Emmanuel Macron dans la mise en œuvre de ces mesures qu’ils appellent de leurs voeux.  Pour la première fois depuis la crise financière de 2007, une majorité de patrons de TPE (très petites entreprises) se déclarent optimistes concernant l’économie française, guidés par un fort niveau de confiance dans le nouvel exécutif, selon un sondage Fiducial/Ifop publié lundi. Cela représente un gain de 24 points en trois mois, souligne le sondage. Et, remarque le Figaro, cette confiance des patrons de TPE (moins de 19 salariés) se maintient alors que la popularité du nouveau président a lourdement chuté en juillet. Les pronostics positifs sont également en nette hausse en ce qui concerne l’activité de leur propre entreprise (60%, +14 points), est-il également noté. Cette confiance est notamment portée par l’arrivée d’Emmanuel Macron à la présidence de la République et de son nouveau gouvernement: 66% des patrons interrogés estiment ainsi que le nouvel exécutif est apte à « améliorer la situation de la France », tandis que 61% le jugent capable « de favoriser le développement des petites et moyennes entreprises». Mais ce regain d’optimisme pourrait n’être que passager et fondre comme neige au soleil à la première occasion. En effet, il y a un effet conjoncturel, prévient Jean-Marc Jaumouillé, directeur des techniques professionnelles de Fiducial : Ainsi, 83% des petits patrons interrogés anticipent que les réformes envisagées par l’exécutif risquent de passer difficilement. 66% craignent également l’émergence de mouvements sociaux contre la politique gouvernementale d’ici la fin de l’année. Enfin, 78% reconnaissent connaître mal le programme du nouveau gouvernement pour les TPE-PME. Concernant la réforme du Travail, plus de la moitié des petits patrons l’accueillent favorablement, mais seulement un quart s’estiment suffisamment informés.

 

Moral des ménages : baisse

Moral des ménages : baisse

Conséquence peut-être des annonces relatives à la fiscalité, le moral baisse en juillet après deux mois de hausses consécutives. (Contrairement à celui des patrons)  En juillet, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future « se dégrade nettement » (-6 points) et retombe au-dessous de sa moyenne de long terme. La proportion de ménages jugeant opportun de faire des achats importants est restée stable, après une forte hausse en juin (+11 points). Le solde se situe cependant bien au-dessus de sa moyenne de longue période, souligne l’institut. Le solde d’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne future a perdu quatre points et retrouve son niveau de mars 2017. Concernant l’évolution de la situation économique en général, le solde d’opinion sur le niveau de vie futur en France se replie « fortement » (-11 points), après une vive hausse en mai et juin. Les craintes concernant le chômage sont « en légère augmentation »: elles progressent de deux points, après trois mois de baisse. Le solde reste toutefois « bien au-dessous de sa moyenne de long terme », note l’Insee. Le moral des ménages est un élément important pour évaluer le niveau à venir de la consommation, moteur important de la croissance en France avec l’investissement.

Moral des patrons : optimistes mais attentistes sur l’emploi

Moral des patrons : optimistes mais attentistes sur l’emploi

 

 

 

Les patrons sont plus confiants, même si on constate  un léger tassement ; c’est évidemment uen bonne nouvelle car une partie non négligeable de la croissance repose sur une vision plus optimiste des perspectives économiques. Pour autant cette évolution de l’état d’esprit ne se traduit pas encore en volonté nette d’embaucher. D’une certaine manière, dans ce domaine, les patrons sont attentistes. Ils attendent la concrétisation dans les textes et dans la pratique des orientations du nouveau gouvernement et en particulier des précisions concernant le budget 2018. D’après l’enquête d’Opinion Way pour CCI France/La Tribune/ Europe 1, les 604 dirigeants d’entreprises restent optimistes en juin. Certes, après le pic de confiance observé en mai, l’indicateur s’effrite un peu, de quatre points, pour s’élever à 112. Néanmoins, l’optimisme reste le premier qualificatif employé par les chefs d’entreprise pour caractériser leur situation (39%), devant la confiance (36%). «  Ces deux qualificatifs caractérisent plus particulièrement les chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus (respectivement 52% et 58%)  », Précise l’étude. Confiants et optimistes, les chefs d’entreprise sont toujours plus nombreux à estimer que la situation actuelle est correctement orientée (32%, + 5 points). Ils se montrent confiants pour l’avenir de leur entreprise dans les douze prochains mois (69%), notamment les chefs d’entreprises de 10 salariés ou plus (94%). «   Cet enthousiasme en constante progression est à mettre en perspective avec la satisfaction à l’égard du nouveau Président de la République. Près de deux mois après l’élection d’Emmanuel Macron, les trois quarts des dirigeants d’entreprise (75%) se montrent satisfaits de son action, notamment ceux évoluant dans le secteur du commerce (82%) et étant à la tête d’entreprises de 10 salariés ou plus (85%)  », Note l’enquête. Cependant cet optimisme ne semble pas assez fort pour faire progresser les embauches. Ainsi, seuls 6% des chefs d’entreprises – une proportion stable par rapport à mai – entend recruter. Seul point positif, ils ne sont plus que 2%, contre 4% en mai, à anticiper des suppressions de postes.

Moral : le soufflet retombe ?

Moral : le soufflet retombe ?

 

 

 

Difficile de comprendre la brutale chute de moral des français en juin que révélerait un sondage IFOP commandé par un cabinet de com et d’audit de l’ancien conseiller de Sarkozy. Au mois un moyen de faire parler de cette boite de com. En effet ce sondage constaterait que seules 44% des personnes interrogées se déclarent optimistes pour la France fin juin, contre 52% un mois auparavant, au lendemain de l’élection présidentielle. Un sondage contradictoire avec celui de l’INSEE qui au contraire constatait que le moral des ménages s’est de nouveau amélioré en juin pour atteindre son plus haut niveau depuis juin 2007, la crainte du chômage reculant à son niveau le plus bas depuis la crise financière, a annoncé mercredi l’Insee dans un communiqué. D’ après l’Insee  en juin, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est améliorée pour le deuxième mois consécutif (+ 2 points), basculant au-dessus de sa moyenne de long terme, soulignait  l’Insee. Concernant l’évolution de la situation économique en général, le solde d’opinion sur le niveau de vie futur en France a continué de grimper, gagnant 15 points après 7 points en mai. Il retrouve ainsi « un niveau inédit depuis mai 2007″, souligne l’Insee. A l’inverse dans le  sondage du cabinet no com   une majorité de Français se dit en outre pessimiste (53%) sur son avenir personnel et celui de ses proches, contre seulement 45% un mois plus tôt, selon cette enquête pour le cabinet No Com publiée dans le Journal du Dimanche. Un quart seulement des personnes interrogées (26%) pensent qu’elles vivront mieux dans une dizaine d’années, contre 44% d’un avis contraire et 30% pour qui ce sera « pareil qu’aujourd’hui ». A la question « croyez-vous que la France va réussir à se transformer dans les prochaines années ? », 47% répondent désormais positivement, contre 53% d’un avis contraire. Le rapport s’est inversé en un mois, avec 53% qui croyaient à la transformation de la France fin mai et 47% qui n’y croyaient pas. Si 58% des Français interrogés pensent que la transformation de la France aura des effets positifs pour le pays (contre 42%), ils sont aussi nombreux (50%) à penser que ces effets seront positifs ou négatifs pour eux et leurs proches. On objectera sans doute que des différences de méthodologie expliquent ces résultats. Des différences qui ne sont cependant peut-être pas dénuées de quelque arrière-pensée politique et économique. Dommage que les grands médias publient sans analyse, sans commentaire des sondages aussi contradictoires

Moral des ménages : forte hausse

Moral des ménages : forte hausse

Une forte hausse qui pourrait laisser penser que la consommation des ménages, composante importante de la croissance, pourrait augmenter ces prochains mois. Le moral des ménages  atteint en mai à un niveau inégalé depuis août 2007 (103 points). Il a cette fois-ci progressé de cinq points pour s’établir à 108 points, soit huit points de plus que sa moyenne de longue période, précise l’organisme public de statistiques, qui fait état d’un « pic d’optimisme » lors « des élections présidentielles ». L’Insee établit cet indicateur à partir de questions divisées en deux grandes catégories: l’une portant sur la situation personnelle des ménages, l’autre sur leur perception de l’évolution économique en général. En juin, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est améliorée pour le deuxième mois consécutif (+ 2 points), basculant au-dessus de sa moyenne de long terme, souligne l’Insee. La proportion de ménages jugeant opportun de faire des achats importants s’est ainsi redressée: le solde correspondant a gagné 11 points pour retrouver son niveau de février 2017, nettement au-dessus de sa moyenne de longue période. Concernant l’évolution de la situation économique en général, le solde d’opinion sur le niveau de vie futur en France a continué de grimper, gagnant 15 points après 7 points en mai. Il retrouve ainsi « un niveau inédit depuis mai 2007″, souligne l’Insee. Les craintes concernant le chômage, enfin, ont diminué pour le troisième mois consécutif, baissant même de 9 points. Le solde correspondant « se situe à son plus bas niveau depuis début 2008, bien au-dessous de sa moyenne de long terme », rappelle l’institut statistique.

 

 

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