Archive pour le Tag 'Moral des ménages'

Croissance –Etats-Unis : moral des ménages américains en hausse

Croissance –Etats-Unis : moral des ménages américains en hausse

Hausse mais moins forte qu’attendu sans doute la conséquence de chiffres de l’emploi eux aussi mois dynamiques que prévus comme la production manufacturière. La confiance du consommateur américain s’est cependant améliorée en avril mais un peu moins que prévu, montre l’enquête mensuelle de l’université du Michigan publiée vendredi. L’indice définitif de l’université du Michigan s’est élevé à 95,9  le mois dernier, confirmant une première estimation, après avait estimé  que la croissance économique des Etats-Unis, si elle a ralenti au début de l’année, devrait afficher un taux de 2,7% en 2015. , M. Lew a reconnu que la croissance américaine avait ralenti au début de l’année, « en partie à cause de facteurs temporaires comme l’hiver rigoureux ». « Les perspectives à court terme demeurent favorables », a-t-il ajouté, citant une prévision de croissance de 2,7% pour l’ensemble de l’année, ce qui est en dessous de la récente projection du Fonds Monétaire International (3,1%). Le responsable américain a déploré une nouvelle fois que « de nombreux pays comptaient sur leurs exportations plutôt que sur leur demande intérieure pour atteindre la croissance ». Il a particulièrement cité l’Allemagne qui devrait afficher, selon lui, un excédent des comptes courants de 8,5% du Produit intérieur brut (PIB) cette année. Mais il a aussi désigné la Corée du Sud, la Chine et le Japon.

Moral des ménages : baisse en Allemagne

Moral des ménages : baisse en Allemagne

Le moral du consommateur allemand est légèrement retombé après avoir atteint un pic de près de six ans, selon l’enquête mensuelle de l’institut d’études GfK. Son indice de confiance censé mesurer les perspectives de la consommation en septembre recule à 6,9 contre 7,0 (confirmé) en août, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une légère progression à 7,1. Les perspectives financières personnelles et les anticipations économiques ont baissé mais la propension à acheter a progressé, a précisé GfK. Un indice supérieur à zéro signale une croissance de la consommation privée.

 

Moral des ménages avril : en berne à cause du chômage

Moral des ménages avril : en berne à cause du chômage

 

Le moral des ménages français est resté très bas en avril, a annoncé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).  L’indicateur qui synthétise leur confiance s’est établi à 84 points, stable par rapport à mars et donc toujours loin de sa moyenne (100) sur ces 25 dernières années.  Mais au-delà, c’est l’opinion des ménages sur leur pouvoir d’achat dans les douze prochains mois qui se dégrade encore (-1 point, à -62) après avoir déjà atteint un minimum historique en mars (-61).   »Cela traduit un niveau de confiance qui est faible, une anticipation d’appauvrissement », commente pour l’AFP Michel Martinez, économiste à la Société générale. Citant la « hausse des prélèvements obligatoires » et l’ »augmentation rapide du chômage », il rappelle que « cela se traduit concrètement par des pertes de pouvoir d’achat ».   »On ne voit pas pourquoi le moral des ménages s’améliorerait », tranche Eric Heyer, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques.   »Le chômage continue à augmenter (…) et les perspectives, en tout cas sur la prochaine année, ne sont pas bonnes », détaille-t-il, rappelant que le gouvernement lui-même tablait « sur une hypothèse optimiste » de 0,1% de croissance en 2013.   »Et en plus, on nous dit qu’il va falloir faire des efforts pour réduire les déficits, c’est-à-dire soit des augmentations d’impôts soit des baisses de dépenses publiques », ajoute cet économiste. « Il n’y a pas beaucoup de raisons d’être optimiste », reconnaît-il.  Comme c’est souvent le cas en France, dans ce climat de morosité ambiante, les ménages semblent toutefois ne pas avoir complètement renoncé à consommer. Ils sont en effet légèrement plus nombreux qu’en mars à estimer opportun d’effectuer maintenant des achats importants.  Selon la même tendance, ils envisagent moins qu’en mars de privilégier l’épargne dans la conduite de leur budget (-4 points sur un mois).  Si les Français se montrent un tout petit peu moins pessimistes sur l’évolution du marché de l’emploi en avril (-2 par rapport à mars), ils continuent néanmoins massivement d’anticiper une augmentation du chômage, avec un indicateur de 76 à comparer à une moyenne de 32 sur 25 ans.  Pour Michel Martinez, « on voit bien qu’il y a un décalage entre la perception de la situation courante et la perception de la situation future ». « Cela traduit deux choses: une réalité et un climat de manque de confiance, ou de défiance, pour reprendre le mot qui figurait dans le débat de la présidentielle il y a un an », estime-t-il.  Il recommande au gouvernement d’expliquer davantage ses projets et d’accélérer les prises de décisions. « C’est toute la difficulté d’une politique de communication que de restaurer la confiance et de dire +mais non ça va s’arrêter parce que j’ai trouvé des solutions+ », commente-t-il.  Pour M. Heyer également, le pessimisme des ménages s’explique par la difficulté du gouvernement à leur donner de la visibilité sur l’avenir alors que lui-même semble sonné par une conjoncture récessive qu’il n’avait pas prévu et qui annihile l’effet de nombre de ses réformes.   »On ne nous dit pas que c’est un mauvais moment à passer et que ça ira mieux dans six ou douze mois », remarque l’économiste. « On nous dit: +il y aura de l’austérité jusqu’à la fin du quinquennat+ », afin de ramener le déficit le plus proche possible de zéro, regrette-t-il.

 

Moral des ménages : stable mais bas

Moral des ménages : stable mais bas

Le moral des ménages français est resté stable en février par rapport aux deux mois précédents mais demeure à un niveau bas, a annoncé mercredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L’indicateur qui synthétise la confiance des ménages s’est établi à 86 points comme en décembre ( 100 étant le niveau normal).

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Confiance des ménages : en baisse

Confiance des ménages : en baisse 

La confiance des ménages st  en baisse ; en cause, surtout le  pouvoir d’achat, le  matraquage fiscal, le  chômage  La confiance des Français a continué de se détériorer en octobre. Une lente érosion, constatée depuis mai dernier, qui se traduit aujourd’hui par un niveau d’inquiétude rarement atteint: les ménages sont de plus en plus nombreux à voir leur «situation financière personnelle future» s’assombrir, selon l’enquête mensuelle publiée hier par l’Insee. Ils considèrent même que leur niveau de vie va encore se dégrader dans les mois à venir.  La séquence budgétaire – qui a marqué tout le début du quinquennat et vient de se terminer – a laissé des traces. Et les Français en ont surtout retenu l’idée qu’un matraquage fiscal les attendait. «Sur ce front-là, nous avons perdu la bataille de la communication», reconnaît-on à l’Élysée, en admettant «des erreurs». Celle d’avoir voulu s’attaquer à des corporations «qui parlent très fort et qui manipulent les symboles». Mais aussi d’avoir sous-estimé que «les Français ont mal, y compris aux impôts qu’ils ne paient pas», concède un proche du chef de l’Etat. Ces erreurs de communication politique, l’exécutif voudrait éviter de les commettre à nouveau. Et vite faire oublier le mauvais départ de l’autre grande séquence qui s’ouvre maintenant, celle de la compétitivité. Histoire de ne pas donner de nouvelles raisons d’inquiétudes aux Français, qui ne savent pas à quoi s’attendre dans ce domaine et entendent parler de hausse de TVA ou de CSG depuis plusieurs semaines. François Hollande a repris la main jeudi soir sur le sujet: devant un parterre de chefs d’entreprise, le président de la République a indiqué qu’il mettrait en œuvre un «pacte de compétitivité» sur le quinquennat, comprenant très certainement un allégement de charges pour les entreprises afin de baisser le coût du travail – mais pas les 30 milliards réclamés par le patronat -, ainsi que des mesures en faveur de l’innovation, la formation, le marché du travail et une réforme de l’impôt sur les sociétés qui devrait davantage favoriser les PME. Réunis vendredi en séminaire à Matignon, les membres du gouvernement, qui n’hésitaient pas, jusqu’à présent, à donner individuellement leurs idées sur la question, sont désormais au clair sur le message qu’ils doivent faire passer: l’objectif du gouvernement est «de conforter l’économie française, de la redresser, pas de la choquer, pas de la brutaliser», a indiqué Pierre Moscovici, à l’issue de la réunion

 

 




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