Foot- PSG-Montpellier : 6-0
Au Parc des Princes, deuxième succès d’affilée pour le PSG contre Montpellier 6-0 vendredi en ouverture de la 2e journée de Ligue 1.
informations économiques politiques société
Au Parc des Princes, deuxième succès d’affilée pour le PSG contre Montpellier 6-0 vendredi en ouverture de la 2e journée de Ligue 1.
Après la tentative deux meurtres sur la jeune élève de 13 ans à Montpellier, il ne faut guère s’attendre à des mesures disciplinaires très significatives. Les responsables de cette tentative de meurtre qui ont agi au nom de l’intégrisme musulman se verront sans doute sous le coup de mesures symboliques. Tout simplement parce que le dispositif juridique est complètement inadapté pour les mineurs et que de toute façon la justice est systématiquement complaisante en plus d’être encombrée.
Pour cette tentative de meurtre pour des motifs religieux il n’y a pourtant que la prison qui peut constituer une sanction à la hauteur de l’enjeu.
Samara, une adolescente de 13 ans frappée début avril devant son collège de Montpellier, va reprendre les cours à distance et les élèves mis en cause dans son agression vont eux passer devant un conseil disciplinaire, a indiqué dimanche le rectorat de cette académie.
La cellule d’écoute qui avait été mise en place le lendemain de l’agression, survenue le 2 avril, afin de recueillir la parole des élèves mais aussi des personnels va rester active «au moins la première semaine de la reprise des cours». Il en est de même pour les équipes mobiles académiques de sécurité (EMAS) qui resteront mobilisées au moins la première semaine de la reprise dans ce collège.
Après la tentative deux meurtres sur la jeune élève de 13 ans à Montpellier, il ne faut guère s’attendre à des mesures disciplinaires très significatives. Les responsables de cette tentative de meurtre qui ont agi au nom de l’intégrisme musulman se verront sans doute sous le coup de mesures symboliques. Tout simplement parce que le dispositif juridique est complètement inadapté pour les mineurs et que de toute façon la justice est systématiquement complaisante en plus d’être encombrée.
Pour cette tentative de meurtre pour des motifs religieux il n’y a pourtant que la prison qui peut constituer une sanction à la hauteur de l’enjeu.
Samara, une adolescente de 13 ans frappée début avril devant son collège de Montpellier, va reprendre les cours à distance et les élèves mis en cause dans son agression vont eux passer devant un conseil disciplinaire, a indiqué dimanche le rectorat de cette académie.
La cellule d’écoute qui avait été mise en place le lendemain de l’agression, survenue le 2 avril, afin de recueillir la parole des élèves mais aussi des personnels va rester active «au moins la première semaine de la reprise des cours». Il en est de même pour les équipes mobiles académiques de sécurité (EMAS) qui resteront mobilisées au moins la première semaine de la reprise dans ce collège.
Les trois agresseur mineur ont été mis en examen après la sauvage agression de Samara à Montpellier pour des questions de différends vestimentaires notamment religieuses. Une agression qui aurait pu conduire à la mort comme à Viry-Châtillon ou la société de type iranienne importée en France et défendue en France par des gardiens de la révolution en herbe. Bref des criminels le plus souvent idiots.
«Samara se maquille un peu. Et cette jeune fille (qui aurait agressé Samara, NDLR) est voilée. Toute la journée, elle la traitait de kouffar, qui veut dire mécréant en arabe (…). Ma fille, elle s’habille à l’européenne. Toute la journée, c’était des insultes, on la traitait de kahba, ça veut dire p*te en arabe. Ce n’était plus vivable physiquement et psychologiquement», a témoigné la mère.
L’adolescente de 14 ans avait été rouée de coups par trois mineurs âgés de 14 et 15 ans. Prise de convulsions, la victime était tombée dans le coma, avant d’en sortir jeudi.
De son côté, la rectrice de l’académie de Montpellier, Sophie Béjean, «a décidé d’engager immédiatement les procédures disciplinaires» à l’encontre de ces trois élèves, a indiqué l’académie dans un communiqué: «Les conseils disciplinaires seront réunis au plus vite» et, «par mesure conservatoire, l’accès à leur établissement respectif leur est strictement interdit» dès à présent.
Il n’est sans doute pas étonnant que 62 % des Français soient mécontents de la politique de sécurité des pouvoirs publics d’après un dernier sondage. Et l’agression d’un policier à Montpellier confirme les raisons de ce mécontentement. En effet l’intéressé qui a traîné en voiture un policier avait déjà été condamné 28 fois par la justice.
«Vendredi, l’homme ayant traîné un policier sur plusieurs mètres à bord d’une voiture volée a été interpellé à Montpellier. L’information a été rendue publique ce dimanche par le procureur de la République Fabrice Belargent, dans un communiqué transmis au Figaro. Ce dernier précise que l’homme a déjà été condamné 28 fois par la Justice.
1er février, en début de soirée, l’individu a subi un contrôle par un équipage de la brigade anti-criminalité, son véhicule étant signalé volé. Si son passager a été interpellé, l’homme a résisté et démarré en trombe en marche arrière, entraînant le policier qui s’occupait de lui sur plusieurs mètres. Le fonctionnaire s’est fait écraser contre une autre voiture en stationnement, se blessant grièvement avant que son agresseur ne prenne la suite.
Le maire PS de Montpellier conditionner les aides aux associations au respect de la laïcité
Le maire de Montpellier, pourtant proche de Hamon, met les pieds dans le plat de la laïcité, un terrain où la gauche en général est plus qu’ambigüe. Raide sur les principes, la gauche est plus sulfureuse quant aux conditions de son application. En particulier pour ne pas heurter les sensibilités islamistes. Le maire de Montpellier a donc décidé d’imposer les règles de la laïcité aux associations qui sont financièrement soutenues par les pouvoirs publics.
: « Je mets de l’ordre là-dedans. Il y a eu par le passé trop de complaisance. Des équipements municipaux étaient utilisés pour des prières. » Dans la presse locale, il se félicite d’avoir obtenu des renforts policiers après un rendez-vous avec Gérald Darmanin. Sur les réseaux sociaux, il s’affiche en tournée de nuit avec les forces de l’ordre.
« Il s’éloigne d’une gauche qui promettait la tranquillité aux intégristes en échange de leur vote. Il s’est décalé du dogme PS. Il est jeune, il finira ministre »
Ses collègues socialistes, jeunes responsables locaux comme lui, ne sont pas surpris d’un tel discours. Maire de Nancy depuis juin dernier, Mathieu Klein le connaît depuis 25 ans : « Il incarne une gauche du réel, qui défend un espace public ouvert à tous, sans tabou. » « Il assume ce sujet de la sécurité du quotidien », se félicite la maire de Nantes, Johanna Rolland. « Nos grands anciens ont vécu une période dans laquelle l’idéologie était très forte avec Mai-68 ou la deuxième gauche. Michaël, comme nous, s’est formé au contact du terrain. Il est plus un élu d’action qu’un idéologue », analyse Olivier Bianchi, maire de Clermont-Ferrand. « Les grandes théories se confrontent au réel. Associée à un gros travail de prévention, la répression est nécessaire », complète la présidente de la région Occitanie, Carole Delga.
« Il s’éloigne d’une gauche qui promettait la tranquillité aux intégristes en échange de leur vote. Il s’est décalé du dogme PS. Il est jeune, il finira ministre, s’enthousiasme le député LREM (ex-PS), Patrick Vignal. Mais il vient de l’écurie Hamon. Va-t-il être capable de bosser avec nous, macronistes ? » Dans la préparation des élections municipales, les marcheurs qui le connaissent, dont la députée de l’Hérault Coralie Dubost, avaient passé le message à l’état-major de la majorité : « C’est quelqu’un d’intéressant. » Mais pour l’intéressé pas question d’être débauché surtout si c’est pour rejoindre le Titanic d’Emmanuel Macron », écarte le député de la Loire, Régis Juanico, membre de Génération.s, qui le connaît depuis 1994. Elle-même approchée à plusieurs reprises par En Marche, Carole Delga est catégorique : « C’est peine perdue pour un ralliement. » « Même à 8 % dans les sondages, j’ai gardé le logo du PS sur mes affiches. Je ne me laisserai pas débaucher », confirme Michaël Delafosse.
Insécurité : Après Marseille, Toulouse, Montpellier sur la voie de Chicago ?
De toute évidence il y a un problème majeur d’insécurité dans les villes du sud ou les assassinats deviennent un peu trop habituels. En cause évidemment surtout le trafic de stupéfiants et la lutte entre mafias qui se partagent les territoires. Après la fusillade qui a fait deux morts dans sa ville dimanche, Philippe Saurel, maire de Montpelier réclame plus de moyens de police. Pour le maire divers gauche, il faudrait une vingtaine de fonctionnaires supplémentaires dans les commissariats de quartier. Plus largement, il « tire la sonnette d’alarme » sur la sécurité dans les villes du Sud. Depuis la période Sarkozy, où nous avons été amputés d’un grand nombre de policiers, entre 50 et 80, nous n’avons pas retrouvé un niveau qui permettrait d’atteindre une sécurité parfaite. Le gouvernement en a remis quelques-uns mais les effectifs sont toujours très bas. Donc je demande à ce qu’on remette des policiers dans les commissariats de quartiers que la ville de Montpellier a déjà construits. C’est le rôle de l’Etat et c’est mon rôle de maire de le signaler. Il y a une police municipale que je suis en train d’augmenter conséquemment et un système de vidéosurveillance que je suis en train de revoir entièrement avec des investissements majeurs. Mais sans la police nationale, qui doit assurer la fonction régalienne de sécurité publique de l’Etat, nous sommes au pied du mur. Je n’ai pas envie que les événements que je vois dans les autres villes. Pour reprendre les mots du procureur de Toulouse il y a quelques jours : « je crains une radicalisation ». Les villes du Sud sont prises dans cette tenaille et il faut réagir très clairement. C’est un quartier populaire mais très calme, fait de commerces. Il y a un commissariat de quartier désaffecté faute de moyens policiers. Donc je demande à ce qu’il y ait des moyens supplémentaires pour que ce quartier soit sécurisé de façon normale. Aujourd’hui, deux jeunes hommes se sont fait abattre sur la commune de Montpellier, c’est la première fois que cela arrive. Comprenez mon émoi, lorsqu’en plus cela s’est reproduit à Marseille hier soir, un mois après la mort de deux autres jeunes par arme de guerre à Toulouse. Donc je demande au gouvernement de réagir.