Archive pour le Tag 'monter'

Pétrole-carburant- Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent était autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Carburant- Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent était autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

pétrole- Les risques géopolitiques font monter les prix

Au quotidien le prix du pétrole fait du yo-yo comme d’habitude mais il faut noter depuis le début de l’année une nette tendance haussière. Ainsi début 2024 le Brent est été autour de 75 $ le baril et aujourd’hui il atteint autour de 90 $. Un haut niveau qui évidemment a des conséquences sur le prix du carburant.
Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Compte tenu des bruits de bottes en Ukraine, en Palestine et en Iran notamment, la tendance est à la hausse pour les prix du carburant. Les carburants se rapprochent doncde nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole-Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Pétrole-Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Carburant – Les risques géopolitiques font monter les prix

Carburant - Les risques géopolitiques font monter les prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël , le Hamas et L’Iran. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter le prix

Pétrole- Les risques géopolitiques font monter le prix

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël et le Hamas. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Les risques géopolitiques font monter le prix du carburant

Les risques géopolitiques font monter le prix du carburant

Les carburants se rapprochent de nouveaux sommets dans les stations-service. En quatre mois, le prix du sans-plomb 98 a atteint 1,98 euro le litre, contre 1,85 début janvier. Le sans-plomb 95-E10, a atteint 1,90 euro, soit une hausse de 13 centimes. Le sans-plomb 95 a connu un rebond similaire, atteignant 1,93 euro. Quant au gazole, il s’affiche à 1,79 euro le litre, contre 1,73 au début de l’année.
Depuis janvier, le brent a augmenté de plus de 18%« . Ces fluctuations sont provoquées par l’actualité internationale, notamment les guerres entre l’Ukraine et la Russie et entre Israël et le Hamas. Par ailleurs  mars, l’Arabie saoudite, la Russie et plusieurs pays exportateurs regroupés dans le cadre de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) ont prolongé leurs coupes volontaires jusqu’à mi-2024 pour tenter de soutenir les cours.

Le ministère saoudien de l’Energie a ainsi annoncé le 3 mars une réduction de sa production d’un million de barils par jour pour la période d’avril à juin. Moscou a pour sa part averti d’une coupe de 471 000 barils quotidiens dans sa production.

Société-L’inflation fait monter l’extrême pauvreté

Société-L’inflation fait monter l’extrême pauvreté

D’après un rapport du Secours catholique qui se fonde sur les ménages aidés, le nombres de personnes en extrême pauvreté ne cessent de progresser. D’après d’autres rapports, le nombre de personnes en extrême difficulté atteindrait maintenant autour de 20 % en France. ( France Info)

D’après l’association, 69% des ménages rencontrés vivaient sous le seuil d’extrême pauvreté en France en 2021, contre deux ménages sur trois en 2020, environ 66%, soit une légère hausse. Concernant le seuil de pauvreté, en 2021, 93% des ménages rencontrés par le Secours catholique vivaient sous ce seuil contre 92% en 2020. A noter que pour mesurer l’évolution de la pauvreté, la statistique publique étudie les ressources des ménages. On considère comme pauvres, les personnes ayant un niveau de vie inférieur à 60% du niveau de vie médian, 1132 euros en 2020, et comme extrêmement pauvres, celles dont le niveau de vie n’atteint pas 40% du niveau de vie médian, soit 755 euros en 2020.

Le rapport 2022 confirme enfin certaines caractéristiques récurrentes de la pauvreté dans le pays mais pointe tout de même des évolutions. Parmi elles, le Secours catholique souligne tout d’abord le fait qu’il y a plus d’enfants vivant au sein de ménages extrêmement pauvres. L’association parle de 30% d’enfants de moins de 5 ans vivant dans des familles sans ressources. C’est deux points de plus en un an. Le Secours catholique note également une hausse de la précarisation des étrangers : 50% des personnes rencontrées par l’association en 2021 sont étrangères, un chiffre en hausse depuis 10 ans. Autre point marquant, le vieillissement des personnes rencontrées. Même si la majorité des adultes à qui elle a affaire restent jeunes, avec un âge médian de 41 ans, l’association précise que la part d’adultes français de plus de 60 ans est passée de 7% en 2011 à 12% en 2021.

Chaque année, à partir de son enquête statistique annuelle et de ses milliers d’informations collectées, le Secours catholique propose une photographie de l’état de la pauvreté en France, à travers le prisme des personnes qu’il accueille : près d’un million en 2021, contre 770 000 en 2020, une année particulière à cause du Covid qui a contraint l’association à fermer ses locaux pendant un temps. Pour 2022, le Secours catholique se base donc sur ses statistiques d’accueil 2021 pour faire un nouveau bilan et met l’accent cette fois sur le budget des ménages face à l’inflation.
Pour faire face à la situation, l’association rappelle qu’elle « n’a pas pour projet de contribuer à gérer la pauvreté », elle vise « à ce que les personnes en sortent » et appelle donc « à une action publique déterminée pour combattre la pauvreté et ses causes. »

L’inflation fait monter l’extrême pauvreté

L’inflation fait monter l’extrême pauvreté

D’après un rapport du Secours catholique qui se fonde sur les ménages aidés, le nombres de personnes en extrême pauvreté ne cessent de progresser. D’après d’autres rapports, le nombre de personnes en extrême difficulté atteindrait maintenant autour de 20 % en France. ( France Info)

D’après l’association, 69% des ménages rencontrés vivaient sous le seuil d’extrême pauvreté en France en 2021, contre deux ménages sur trois en 2020, environ 66%, soit une légère hausse. Concernant le seuil de pauvreté, en 2021, 93% des ménages rencontrés par le Secours catholique vivaient sous ce seuil contre 92% en 2020. A noter que pour mesurer l’évolution de la pauvreté, la statistique publique étudie les ressources des ménages. On considère comme pauvres, les personnes ayant un niveau de vie inférieur à 60% du niveau de vie médian, 1132 euros en 2020, et comme extrêmement pauvres, celles dont le niveau de vie n’atteint pas 40% du niveau de vie médian, soit 755 euros en 2020.

Le rapport 2022 confirme enfin certaines caractéristiques récurrentes de la pauvreté dans le pays mais pointe tout de même des évolutions. Parmi elles, le Secours catholique souligne tout d’abord le fait qu’il y a plus d’enfants vivant au sein de ménages extrêmement pauvres. L’association parle de 30% d’enfants de moins de 5 ans vivant dans des familles sans ressources. C’est deux points de plus en un an. Le Secours catholique note également une hausse de la précarisation des étrangers : 50% des personnes rencontrées par l’association en 2021 sont étrangères, un chiffre en hausse depuis 10 ans. Autre point marquant, le vieillissement des personnes rencontrées. Même si la majorité des adultes à qui elle a affaire restent jeunes, avec un âge médian de 41 ans, l’association précise que la part d’adultes français de plus de 60 ans est passée de 7% en 2011 à 12% en 2021.

Chaque année, à partir de son enquête statistique annuelle et de ses milliers d’informations collectées, le Secours catholique propose une photographie de l’état de la pauvreté en France, à travers le prisme des personnes qu’il accueille : près d’un million en 2021, contre 770 000 en 2020, une année particulière à cause du Covid qui a contraint l’association à fermer ses locaux pendant un temps. Pour 2022, le Secours catholique se base donc sur ses statistiques d’accueil 2021 pour faire un nouveau bilan et met l’accent cette fois sur le budget des ménages face à l’inflation.
Pour faire face à la situation, l’association rappelle qu’elle « n’a pas pour projet de contribuer à gérer la pauvreté », elle vise « à ce que les personnes en sortent » et appelle donc « à une action publique déterminée pour combattre la pauvreté et ses causes. »

L’inquiétude fait monter en hausse le livret A

L’inquiétude fait monter en hausse le livret A

 

L’épargne sur les livrets A  augmenté de l’ordre de 50 % en mars. Ce que critique le ministre de l’économie Bruno Lemaire qui considère que l’économie n’a pas besoin d’épargne aujourd’hui. Aujourd’hui peut-être, mais demain sans doute. Il est clair que nombre de Français ont modifié la structure de la consommation en la concentrant sur tous les biens essentiels et en différents notamment nombre de dépenses d’équipement. Pour l’avenir,  il est possible que le comportement des Français soit encore influencé par les nombreuses incertitudes pas tellement sur la crise sanitaire mais surtout sur la crise économique qui va suivre. Ils savent bien entendu que le pays va enregistrer une énorme vague de défaillances et que globalement du fait de la montée du chômage le pouvoir d’achat moyen des Français va diminuer.

«Les encours bruts ont doublé entre mars et février 2020» : après avoir déposé 1,54 milliard d’euros sur les livrets A et de développement durable et solidaire (LDDS) en février, les Français ont remis de côté «3,8 milliards d’euros» en mars sur ces produits. Une hausse importante, de l’ordre de «50%» par rapport aux 2,52 milliards d’euros collectés le même mois, un an plus tôt indique Bercy.

Malgré la baisse du taux du livret A, ce produit a toujours les faveurs des épargnants. L’année 2019 avait été un excellent cru pour ces produits : en douze mois, la collecte nette – autrement dit, les dépôts soustraits des retraits – a progressé de 16,55 milliards d’euros, contre 12,69 milliards d’euros l’année précédente. Sur les trois premiers mois 2020, la collecte a été légèrement plus importante qu’en 2019, avec un peu moins de 10 milliards déposés contre 9,65 milliards un an plus tôt.

Cette épargne accrue inquiète le ministre de l’Économie, alors que la consommation des ménages reste l’un des boucliers de la croissance française. Bruno Le Maire a ainsi souligné un «risque de voir le taux d’épargne augmenter face aux incertitudes, au détriment du financement de notre économie». La frilosité des Français ainsi que l’arrêt d’un bon tiers de l’économie explique aisément cette chute. «L’épargne de précaution qui est en train d’être construite aujourd’hui [...] ne va pas se débloquer du jour au lendemain. Il est probable que les consommateurs auront des comportements attentistes et qu’il faudra donc inciter la demande», a mis en garde Bruno Lemaire. Pas sûr cependant que les consommateurs le suive  sur ce terrain car tout dépendra en faite de l’importance de la vague de défaillances d’entreprise et du chômage qui l’ accompagne.

Logement Paris : une aide de 100.000 euros à l’achat, pour encore faire monter les prix !

Logement Paris :  une aide de 100.000 euros à l’achat, pour encore faire monter les prix !

Il est clair que la proposition de Benjamin Griveaux constitue une ineptie totale. D’abord la somme est énorme puisqu’il s’agit d’accorder une sorte de prime de 100 000 € à l’achat pour les candidats à l’accession à Paris ensuite parce qu’il y a un déséquilibre notoire entre l’offre  et la demande au profit de l’offre puisqu’il faut  dépenser de l’ordre de 1 million d’euros pour un appartement correct. La proposition de Griveaux ne fera que renchérir encore des prix déjà inaccessibles pour nombre de couches moyennes. « Voilà une excellente façon de faire monter encore un peu plus les prix de l’immobilier à Paris. » Sur Twitter, Laurent Vimont, le président de Century 21, a raillé la proposition de Benjamin Griveaux, le candidat En marche à la mairie de Paris, de créer une aide à l’achat d’un logement pouvant aller jusqu’à 100.000 euros. Sur Twitter, Manuel Domergue, directeur des études de la fondation Abbé Pierre, a quant à lui qualifié ce « truc » d’inflationniste, inégalitaire et infinancable ». Pourquoi ce soutien financier est-il une fausse bonne idée?

Contactés par le JDD, les présidents des réseaux Orpi et Laforêt sont catégoriques : la proposition de Benjamin Griveaux, qu’il a faite dimanche dans Le Parisien, est mauvaise car il s’appuie sur un « faux diagnostic ».

« La tension du marché immobilier n’est pas due au manque d’acquéreurs, mais à la faible offre« , explique Yann Jéhanno, président de la franchise Laforêt. « Offrir un dispositif pour les classes moyennes va mettre encore plus de personnes en recherche sur le marché alors qu’il n’y a pas assez de logements disponibles », complète Christine Fumagalli, présidente du réseau Orpi.

Avec un effet pervers : plus d’acheteurs seront sur le marché, plus les vendeurs joueront de cette concurrence et augmenteront les prix. « Cela créera un effet inflationniste qui poussera encore plus le prix au mètre carré, qui a déjà dépassé les 10.000 euros cette année », s’alarme Yann Jéhanno pour qui ce n’est pas dans l’intérêt des agents immobilier que Paris se vide de ses habitants.

Les professionnels de l’immobilier ne sont pas les seuls à pointer ce risque. « L’idée de Benjamin Griveaux peut paraître extrêmement alléchante, note ainsi Michel Fréchet, président de la Confédération général du logement (CGL), une association qui soutient notamment les locataires qui veulent accéder à la propriété. Mais il peut y avoir un effet contreproductif évident : donner une somme d’argent à des acheteurs ne va qu’inciter les vendeurs à augmenter en proportion leur prix de vente. »

 

Macron fait encore monter l’euro


Macron fait encore monter l’euro

 

Le premier tour des élections présidentielles avait déjà provoqué un effet bénéfique sur le cours de l’euro. Cet effet se confirme encore après l’élection de macro. Du coup mécaniquement les Français auront gagné 2,50 % de pouvoir d’achat en une quinzaine de jours, c’est-à-dire sans doute beaucoup plus que ce qui sera accordé en moyenne par exemple aux salariés et  retraités en 2017. L’euro a franchi en effet dimanche le seuil de 1,10 dollar pour la première fois depuis l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis et a inscrit un plus haut d’un an contre le yen en réaction à la large victoire d’Emmanuel Macron à l’élection présidentielle française. Emmanuel Macron a été élu dimanche président de la République en s’imposant avec plus de 65% des voix face à la candidate d’extrême droite Marine Le Pen.  Dans les premières transactions en Asie, l’euro a progressé de 0,2% touchant un point haut à 1,1023 dollar, au plus haut depuis le 9 novembre. La devise européenne a gagné jusqu’à 0,5% contre le yen, qui jouit d’un statut de valeur refuge, pour inscrire un plus haut d’un an à 124,58 yens. Le dollar a aussi progressé contre la devise japonaise, atteignant un plus haut de sept semaines à 113,14 yens. La devise européenne avait déjà fortement progressé après le premier tour de l’élection présidentielle française qui avait vu le candidat pro-européen d’En Marche! arriver en tête devant Marine Le Pen, le 23 avril dernier. L’euro s’est apprécié de 2,50% contre le dollar entre le 21 avril et le 5 mai. Sur la même période les actifs financiers français ont aussi bénéficié de la disparition du risque d’une sortie de la France de l’Union européenne et de l’euro lié à l’éventualité d’une victoire de Marine Le Pen. Au fur et à mesure des sondages d’intentions de vote pour le second tour confirmant la large avance d’Emmanuel Macron, la Bourse de Paris a accru ses gains pour progresser de près de 7,4% entre les deux tours contre une progression de 6,35% de l’indice Eurostoxx 50 des valeurs de la zone euro. L’écart entre le taux de rendement des obligations françaises et allemandes à 10 ans, mesure de la prime de risque exigée par les investisseurs pour détenir la dette publique française, a été divisé par deux, passant d’un plus haut de près de 80 points à moins de 40 points de base vendredi.

Mélenchon en recul prêt à monter dans le corbillard du PS mais comme conducteur !

Mélenchon en recul prêt  à monter dans le corbillard du PS mais comme conducteur !

 

Mélenchon continue d’entretenir le flou quant à une éventuelle alliance avec Benoît Hamon. La dialectique je t’aime moi non plus continue entre le leader de la France insoumise et le frondeur Hamon. Si Jean-Luc Mélenchon entrouvre à nouveau la porte d’une discussion avec les socialistes, c’est sans doute en raison de son net affaiblissement dans les sondages puisque désormais il stagne à 10 %. Hamon de son côté, ne décolle pas vraiment non plus avec autour de 13 %. Mélenchon veut donner l’impression qu’il n’est pas le responsable de la désunion à gauche. Du coup, celui qui avait déclaré ne pas vouloir monter dans le corbillard du PS se déclare prêt cependant à monter dans le véhicule mais à condition de le conduire. Depuis le début, on sait très bien que Mélenchon ne renoncera jamais à sa candidature non seulement pour des questions d’ego mais aussi parce qu’il a trop peur d’être à nouveau trahi par les promesses électorales du PS.  Le candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, s’est donc déclaré jeudi ouvert au dialogue avec le socialiste Benoît Hamon, affirmant ne « fermer aucune porte » à deux mois du premier tour de l’élection présidentielle. A la question de savoir s’il pourrait retirer sa candidature après avoir obtenu des garanties de Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon a répondu : « Pourquoi il ne la retirerait pas, lui ? » « J’ai 65 ans, vous croyez que je commence une carrière de candidat ? Ce n’est pas mon sujet. Mon sujet, c’est le triomphe d’un ordre d’idées et d’une capacité à rassembler. Je ne veux pas dilapider ça », a-t-il ajouté. « Je dois convaincre, je suis obligé de le faire. Eh bien, lui aussi, il doit en faire autant, M. Benoît Hamon ». Jean-Luc Mélenchon a aussi opposé une fin de non recevoir à l’appel lancé jeudi par l’écologiste Yannick Jadot l’invitant à se retirer, comme lui, de la course à l’Elysée et à rejoindre Benoît Hamon pour barrer la route à l’extrême droite. « Je l’entends dire ‘c’est un pari, je me lance dans la grande aventure ». Moi je ne fais aucun pari et je ne suis pas un aventurier », a-t-il déclaré. De toute manière, ni à mon nid Mélenchon ne se place dans une perspective de gouvernance. La conquête du pouvoir étend hors de portée il préfère s’enfermer dans leur posture d’opposants.

« Sarkozy fait monter le FN » (Estrosi)

« Sarkozy fait monter le FN »  (Estrosi)

 

Nombre de responsables chez les républicains estiment  que la position du ni-ni imposée par Sarkozy constitue une ligne politique qui mène à l’impasse.  Première observation,  c’est grâce au front républicain et au  report massif des voix de la gauche sur le candidat de droite que Sarkozy peut se prévaloir d’avoir emporté au moins trois régions qui sinon serait tombées  dans les mains du FN. Un argument sur lequel s’assoit Sarkozy ;  second élément,  avancé celui-là par Estrosi qui a largement bénéficié des voix de gauche : en adoptant des propos très marqués à droite Sarkozy ne fait que donner une légitimité supplémentaire aux thèses du front national. En clair Sarkozy court après le front national.  Dernier élément et non le moindre cette stratégie du ni ni ne pourra pas tenir dans le cadre des élections présidentielles de 2017. Sarkozy sera contraint de composer non seulement avec les libéraux et le centre mais aussi lors  du deuxième tour avec la gauche. L’attitude de Sarkozy est donc particulièrement hypocrite et contradictoire. De ce point de vue le clivage entre certains de la droite classique et Sarkozy ne fait que s’agrandir et Sarkozy ne dispose plus de la crédibilité politique nécessaire pour imposer réellement sa ligne. Où alors il le fait de façon brutale « Au soir du premier tour, j’ai décidé de faire campagne sur le thème de la +résistance+ face au Front national. Je n’ai pas adopté, comme le voulait Nicolas Sarkozy, la ligne du +ni-ni+ », indique  Estrosi précisant   »faire une différence entre le Parti socialiste et le Front national, qui est un mouvement sectaire et nauséabond », alors que des élus PS « m’ont, ici, apporté un soutien sans faille et sans contrepartie ». Mais contrairement à lui, je ne pense pas que nous, élus Républicains, devions tenir un discours toujours plus à droite. Plus on va à droite, plus on fait monter le FN », poursuit Christian Estrosi qui, « plutôt que chasser sur le terrain du Front national préfère chasser le Front national du terrain ». Le député-maire de Nice, qui regrette que Les Républicains « n’aient pas su collectivement donner une bonne image », s’est abstenu de participer au bureau politique de LR lundi et à la réunion du groupe LR à l’Assemblée nationale mardi « pour ne pas participer à un débat à chaud, rentrer dans les jeux des petites phrases ». Christian Estrosi est également critique sur l’éviction de Nathalie Kosciusko-Morizet de la direction du parti. « J’attendais de Nicolas Sarkozy un message d’unité et de rassemblement et des mots qui apaisent. Ces décisions sur l’organisation interne du parti sont prématurées. Ne pouvions-nous attendre le conseil national de février? », se demande-t-il en proposant d’avancer la primaire à droite au printemps.

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