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Endettement mondial : 286% du PIB

Endettement mondial : 286% du PIB

 

 

Pour schématiser à outrance la dette mondiale représente presque trois années de richesse annuelle produite. Impossible de rembourser rapidement  une telle dette sans tuer la croissance, du coup les préteurs d’une manière ou d’une autre seront remboursés en monnaie de singe (inflation le moment venu, dévaluation, abandon de créances, ré-étalement autrement dit recours à la planche à billets). On objectera que cet endettement n’est pas nouveau, ce qui est vrai mais ce qui est inquiétant c’est sa progression alors que la croissance de la richesse mondiale se tasse. Conclusion, on ne peut écarter le risque d’un krach.  En volume, l’endettement de tous les acteurs économiques (Etats, entreprises, ménages…) a progressé de 57.000 milliards de dollars entre 2007 et 2014 pour frôler les 200.000 milliards de dollars. Les dettes pesaient l’an dernier 286% du PIB mondial, contre 269% en 2007.   »Depuis la crise, la plupart des pays ont augmenté leur endettement, plutôt que l’inverse », constatent les auteurs. Le ratio de dette totale par rapport au PIB a ainsi progressé de plus de 50 points de pourcentage dans 14 pays sur les 22 économies avancées et 25 en développement examinées par le MGI.  Au premier rang des pays qui ont vu leur dette totale exploser se trouve l’Irlande, avec 172 points de pourcentage de hausse par rapport au PIB entre 2007 et 2014, suivie par Singapour (129%), la Grèce (103%) et le Portugal (100%).  L’endettement total de la France a bondi de 66%, tandis que celui de l’Allemagne n’a progressé que de 8%, reflétant d’une part l’augmentation des dettes publiques en France, mais aussi la faiblesse de l’investissement, notamment privé, en Allemagne.  La seule dette publique a elle progressé de 25.000 milliards de dollars à travers le monde et « va continuer à croître dans de nombreux pays, au vu des fondamentaux économiques actuels », assurent les économistes de McKinsey, alors que de nombreuses banques centrales dans le monde diminuent le loyer de l’argent pour tenter de relancer la croissance.  Selon leurs projections, celle du gouvernement au Japon, qui détient le record en la matière, va progresser pour passer de 234% à 258% du PIB entre 2014 et 2019. La France passera de 104% à 119% sur la même période, tandis que la dette publique allemande reculera de 80% à 68% du PIB. Pour les pays les plus endettés, « les efforts de réduction du déficit budgétaire pourraient être voués à l’échec en inhibant la croissance », craint le MGI. En Chine, la dette globale a explosé sous l’effet des prêts accordés hors du secteur bancaire réglementé (shadow banking) ainsi que de la spéculation immobilière, passant de 7.000 milliards de dollars à 28.000 milliards de dollars.

Handball : 5ème titre mondial contre une équipe internationale du Qatar

Handball : 5ème titre mondial contre une équipe internationale du Qatar

 

La France n’a pas vaincu une équipe du Qatar mais une équipe internationale de mercenaires puisque 16 joueurs ont été naturalisés pour ce mondial. Bref une très belle victoire des bleus; ceci étant le hand ne se grandit pas au plan de instances internationales en entrant de plein pied dans le sport business qu’affectionne en particulier le Qatar ( qui a déjà acheté la coupe du monde de foot). Il serait temps de faire le ménage et pas seulement dans le foot sauf à dénaturer complètement le concept d’équipe nationale.   Les Bleus ont remporté ce dimanche 1er janvier la finale du Mondial 2015 de handball en dominant le Qatar (25-22). Menée par Nikola Karabatic (5 buts), l’équipe de France décroche son 5ème titre mondial et se hisse seule au firmament du handball mondial, devant la Suède et la Roumanie (4 titres).Les hommes de Claude Onesta ont viré en tête dès les premières minutes de la rencontre. Après avoir été menés de 6 buts en milieu de première mi-temps, les Qataris sont revenus plusieurs fois à une longueur, profitant des performances de leur gardien Danijel Saric, auteur de 14 arrêts et de Zarko Markovic (7 buts). Les hommes de Valero Rivera, se sont finalement inclinés face à la puissance de feu française, symbolisée par un Valentin Porte décisif dans le deuxième acte. Le dernier rempart tricolore Thierry Omeyer a scellé le sort du match avec une dernière parade à une minute de la fin.

Automobiles : Toyota toujours numéro 1 mondial

Automobiles : Toyota toujours  numéro 1 mondial
Toyota toujours en tête des producteurs automobiles mondiaux, suivi de Volkswagen et de GM. Une position qui tient surtout à la fiabilité de se modèles  plus adaptés que d’autres à tous les environnements climatiques.  Le fabricant de la citadine Yaris et de la voiture hybride Prius, champion du monde depuis 2012, a dépassé son objectif annuel en écoulant 3% d’automobiles de plus qu’en 2013, grâce à l’ensemble de ses marques (Toyota, luxe Lexus, mini-véhicules Daihatsu, poids lourds Hino).   En 2015, il vise toutefois un recul de 1% de ses ventes, à 10,15 millions, un total que Volkswagen a de fortes chances de dépasser. Comme son rival nippon, le groupe allemand a franchi l’an passé la barre des 10 millions (10,14 millions plus exactement) pour la première fois dans l’histoire de l’automobile, et affiche de grandes ambitions, notamment en Chine où il prévoit d’ouvrir de nouveaux sites de production.   Toyota a décidé pour sa part de ne pas construire de nouvelles usines pendant trois ans, jusqu’en mars 2016, dans le but de « renforcer sa compétitivité » plutôt que de se lancer dans une course à la quantité, a expliqué un porte-parole du groupe.

Mondial foot au Qatar : la pagaille continue

Mondial foot au Qatar : la pagaille continue

 

 

La comédie continue. La FIFA a d’abord « vendu » le mondial foot à un pays qui n’a pas de tradition de foot, ensuite envisagé de faire jouer les matchs avec une température de 50 degré. Maintenant on prend enfin conscience de cette absurdité, le sulfureux président de la FIFA décide de faire jouer la compétition en hiver. C’est mieux pour la température mais ce sera la pagaille complète pour le calendrier des autres compétitions nationales comme internationales. En clair 3 ou 4 mois  de compétitions  neutralisées ou-et reportées en été !  La Coupe du monde de football se jouera donc  pour la première fois de son histoire en hiver ? C’est en tout cas ce que pense le patron de la Fédération internationale de football (Fifa), Sepp Blatter, qui estime que l’édition 2022 au Qatar « ne peut pas se jouer en été ». « La date qui convient, c’est la fin de l’année », a-t-il ajouté, lundi 20 octobre, sur France Info. Si aucune décision n’a encore été officiellement arrêtée, de nombreuses voix s’élèvent pour critiquer le choix d’organiser la Coupe du monde au Qatar, où les températures peuvent atteindre 50°C l’été, et où il semble inenvisageable, financièrement et écologiquement, de climatiser tous les stades. « On peut baisser la température dans les stades, mais on ne peut pas mettre tout le pays sous un toit », observe Sepp Blatter. A ses yeux, la compétition devrait donc se tenir en novembre ou décembre 2022. Un calendrier inédit, qui pose de nombreux problèmes pour les championnats nationaux et les autres compétitions internationales. Dans un entretien accordé en mai à la télévision suisse RTS, Sepp Blatter avait déjà reconnu que confier au Qatar l’organisation de la Coupe du monde de football était « bien sûr » une erreur.

 

Croissance : tassement mondial notamment en France et en Allemagne (FMI)

Croissance : tassement mondial notamment en France et en Allemagne (FMI)

Le FMI a ainsi revu nettement à la hausse, de 0,5 point en 2014, les perspectives de croissance aux États-Unis, dont le PIB augmentera de 2,2% cette année et de 3,1% l’an prochain. Le Royaume-Uni continue quant à lui de faire la course en tête parmi les pays du G7, avec un taux de croissance de 3,2% en 2014 et de 2,7% en 2015. En revanche la zone euro ne tient pas ses promesses; la croissance reste globalement anémique, 0,8% cette année et 1,3% l’an prochain. Même l’Allemagne montre des signes d’essoufflement (1,4% de croissance pour 2014, malgré tout mais c’est 0,5 point de moins que ce qui était escompté en juillet dernier). Le FMI fait état d’un «tassement de la demande intérieure» outre-Rhin et recommande à l’Allemagne «d’augmenter ses investissements publics, notamment dans l’amélioration et l’entretien des infrastructures de transports». Pour sa part la France est «sans croissance» (0,4% cette année et 1% l’an prochain, ce qui correspond aux prévisions du gouvernement), et l’Italie aura connu une récession en 2014 (-0,2%). L’Espagne est le seul pays de la zone euro à voir sa croissance révisée en hausse à 1,3% cette année, et 1,7% en 2015, une performance meilleure que l’Allemagne!  En Asie, le Japon continue de décevoir, malgré les Abenomics et la baisse du yen censée soutenir les exportations et l’inflation. L’archipel devrait afficher une croissance inférieure à 1% en 2014 et 2015. «L’endettement public élevé, qui est le fruit du passé, cumulé à un potentiel de croissance faible pose de grands défis», avertit Olivier Blanchard. De son côté, le bloc des pays émergents est de moins en moins homogène. Certes, la Chine continue de progresser, à des taux un peu moins soutenus (7,4% en 2014 et 7,1% en 2015), du fait de la fin de son «boom» immobilier et du crédit. Mais le FMI considère «que le rééquilibrage de sa croissance qui est en cours peut-être jugé comme un développement sain». Pour sa part l’Inde est en train de se reprendre, «grâce à un regain de confiance et une politique économique adaptée permettant de retrouver une croissance supérieure à 5%».À l’inverse, la Russie se trouve très affaiblie économiquement du fait du conflit ukrainien (à peine 0,2% et 0,5% de croissance respectivement sur les deux années). En proie à un manque d’investissements, des conditions financières difficiles, et à une consommation qui s’essouffle, le Brésil a été en récession au premier semestre 2014, et son PIB progressera de 0,3% cette année. L’Afrique du Sud, qui subit des tensions sociales et industrielles préoccupantes, ne se porte guère mieux. C’est dire que les Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) constituent un club en voie d’éclatement. Au-delà des chiffres et des perspectives de croissance de plus en plus inégales, le FMI met trois facteurs de risques en avant. Tout d’abord la fin annoncée des taux d’intérêt très bas aux États-Unis pourrait avoir des conséquences défavorables pour le reste du monde. Ensuite les risques géopolitiques, en Ukraine et au Moyen-Orient, qui pour le moment n’ont eu que des répercussions locales en matière économique, restent une menace. Et last but not least, la zone euro, doit éviter que sa très faible inflation ne se transforme en déflation, même si Olivier Blanchard considère que ce scénario n’est pas le plus probable.

 

Climat : la France promet 1 milliard pour le fonds mondial

Climat : la France promet  1 milliard pour le fonds mondial

Dans le cadre d’une réunion à l’ONU, François Hollande  a annoncé que la France « contribuera à hauteur d’un milliard de dollars sur les prochaines années » au Fonds vert des Nations unies, destiné à aider les pays vulnérables à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à s’adapter aux effets du réchauffement. Ce fonds, dont les caisses sont restées jusqu’à présent désespérément vides, sera, selon François Hollande, « non seulement la marque de la solidarité mais aussi une capacité pour que l’économie mondiale puisse s’engager vers un nouveau modèle de développement ». Le chef de l’Etat français a ainsi répondu à l’appel de plusieurs ONG, comme Oxfam, qui l’avaient appelé en amont du sommet à annoncer une telle contribution. François Hollande a également rappelé sa volonté de parvenir « à un accord global et ambitieux » lors de la Conférence sur le climat que la France accueillera à Paris en décembre 2015, six ans après l’échec de celle de Copenhague. « Nous voulons qu’à la Conférence de Lima (fin 2014, Ndlr), les bases d’un futur accord puissent être posées et qu’ensuite, à Paris, nous puissions traduire ces engagements en actes juridiques », avec une « règle commune adaptée aux différents niveaux de développement », a déclaré le président français. « Tout doit être fait pour que nous puissions contenir l’augmentation de la température moyenne de la planète en-dessous de 2° C », a insisté François Hollande, pour qui le dérèglement climatique menace « la paix et de la sécurité du monde ». « Je souhaite que Paris, en 2015, soit le symbole du changement pour le climat », a ajouté le locataire de l’Elysée. Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a pour sa part appelé le monde à « changer de cap » devant la menace du réchauffement climatique, qui « menace la paix chèrement acquise, la prospérité et les chances de réussite de milliards de personnes ». « Nous devons réduire les émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement », a-t-il affirmé, alors qu’aucun accord contraignant n’avait été trouvé en 2009 à Copenhague. « Il faut fixer un prix pour le carbone », a encore déclaré le secrétaire général, qui souhaite que le Fonds vert soit abondé de 100 milliards de dollars. « Je demande à tous les gouvernements de s’engager à conclure un accord universel et significatif sur le climat à Paris en décembre 2015 et de faire tout ce qu’ils peuvent pour limiter la hausse de la température mondiale à moins de 2° C », l’objectif fixé à Copenhague, a déclaré Ban Ki-Moon à la tribune des Nations unies. Avant de conclure : « Nous ne sommes pas là pour parler, nous sommes là pour écrire l’Histoire. » Les dirigeants participant au sommet – dont François Hollande et Barack Obama – devaient ensuite se réunir en trois plénières parallèles pour prendre date en prévision de la Conférence de Paris. Mais deux des plus gros pollueurs de la planète, à savoir la Chine et l’Inde, ne sont pas représentés par leurs chefs d’Etat respectifs – mais respectivement par un vice-Premier ministre et le ministre de l’Environnement. Ce qui jette déjà une ombre sur la réussite de ce sommet.

 

Commerce mondial : prévisions en baisse

Commerce mondial : prévisions en baisse

 Prévisions en baisse en 2014 mais aussi en 2015 d’après l’organisation mondiale du commerce ( OMC). Une prévision cohérente avec la baisse de croissance mondiale annoncée par le FMI (3.4% au lieu de 3.7% en 2014). En cause les difficultés de nombre de pays émergents et l’Europe qui s’approche dangereusement de la stagnation. L’indice Markit PMI pour l’Europe affiche  en effet  52.3 points soit 0.2 point en moins par rapport à août et surtout son plus bas niveau depuis 9 mois. L’Organisation mondiale du commerce annonce donc avoir révisé à la baisse, à 3,1% contre 4,6% en avril, sa prévision de croissance du commerce mondial pour 2014.  Dans le même communiqué, elle prévient qu’elle abaisse également sa prévision pour 2015, à 4%, contre 5,3% précédemment. Au cours des 20 dernières années, entre 1993 et 2013, le commerce mondial a progressé en moyenne tous les ans de 5,2%. L’Organisation explique cette révision par la croissance du commerce mondial, plus faible que prévue au premier semestre, notamment dans des régions exportatrices de ressources naturelles telles que l’Amérique centrale et du Sud. En outre, l’OMC relève que les tensions géopolitiques se sont aggravées. Elle pointe enfin l’apparition d’un risque nouveau, survenu en début d’année: l’épidémie Ebola, qui handicape largement les affaires dans les pays touchés.   »Les institutions internationales ont déjà fortement révisé à la baisse leur prévisions de croissance économique », a déclaré son directeur général, Roberto Azevedo. Selon lui, « réduire les coûts du commerce et élargir les possibilités commerciales seraient de bons moyens pour renverser cette tendance ». 

 

Croissance : tassement mondial

Croissance : tassement mondial

 

Contrairement à ce qui est prédit depuis des mois et des mois, la crise n’a pas disparu des radars économiques. Il se pourrait même qu’elle continue encore en 2015. Beaucoup de pays émergents connaisse nt des difficultés de différentes ampleurs et natures à commencer par la Chine. Ce qui démontre à l’évidence  la diminution de la demande mondiale. Aux Etats-Unis, la croissance est loi d’être auusi vigoureuse que prévu même si le redressement est sensible (comme en Grande Bretagne). . L’économie chinoise faiblit, celle de la zone euro est à l’arrêt, l’activité s’est fortement contractée au Japon, la déflation salariale menace en Grande-Bretagne et les Etats-Unis tournent au ralenti.Les préoccupations géopolitiques – crise ukrainienne, montée en puissance de l’Etat islamique en Irak et en Syrie, épidémie de fièvre Ebola en Afrique de l’Ouest – ont relégué la croissance mondiale au second plan. Elle montre pourtant de plus en plus de signes d’affaiblissement en dépit de liquidités toujours très abondantes et de taux d’intérêt à des plus bas record. « Nous pensons qu’il y a un fort risque que l’année 2015 ne soit pas meilleure pour l’économie mondiale que l’année 2014, la compréhension de cette absence d’amélioration conduit déjà et va conduire à une correction des marchés financiers : baisse de taux d’intérêt sur les dettes sans risque, hausse des primes de risque, baisse des cours boursiers », prévient Patrick Artus, économiste de Natixis. Si de nombreux responsables monétaires souhaiteraient prendre leur distance avec les politiques ultra-accommodantes mises en œuvre pour faire face aux conséquences de la crise financière, les économies n’ont pas eu le répondant espéré. Le marasme économique persistant a éloigné l’horizon d’une normalisation des politiques monétaires et de nombreuses banques centrales semblent plus proches de nouveaux assouplissements que d’un durcissement de leur politique. En Chine, la croissance de l’activité manufacturière a ralenti en août pour atteindre un plus bas de trois mois selon l’indice provisoire HSBC Markit alors que les financements à l’économie sont tombés en juillet à un plus bas de près de six ans. Le secteur du logement, qui représente près de 15% de l’économie chinoise, montre aussi des signes d’affaiblissement.  Les prévisions de croissance pour l’ensemble de l’année n’ont pas été remises en cause mais les dernières données économiques ont ouvert la voie à un assouplissement de la politique monétaire chinoise.

Top mondial des universités : la France toujours à la traîne

Top mondial des universités : la France toujours à la traîne

Une explication pour la secrétaire de l’enseignement supérieure, « ce classement ne prend pas en compte les sciences sociales » (qui mènent tout droit à pôle emploi ou qui fabriquent des fonctionnaires inutiles  NDLR) ;  les Anglo-saxons sont donc toujours devant. La liste publiée vendredi par l’université Jiaotong (communications) de Shanghaï des 500 meilleures universités au monde ne déroge pas à la règle : les prestigieuses américaines Harvard, Stanford, le MIT et Berkeley arrivent une nouvelle fois en tête, suivis de Cambridge la britannique. « C’est un classement comme un autre, les critères du classement de Shanghai sont davantage adaptés aux pays anglo-saxons qu’aux universités européennes », relativise auprès de l’AFP la secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Geneviève Fioraso. En effet seul la recherche et les sciences de la vie sont pris en compte, occultant entre autres les sciences humaines et sociales, grande spécificité des universités européennes. Dans un communiqué, le ministère de l’Éducation « se félicite de la stabilité de la France, en dépit d’une méthodologie peu adaptée à la spécificité du modèle scientifique et universitaire français et d’un contexte mondial très compétitif avec la montée en puissance de la Chine ». En 2014, la France compte 21 établissements classés (20 en 2013), avec une relative stabilité des positions mondiales par rapport à 2013. La France confirme sa 6e place mondiale, avec de bons classements dans des disciplines comme les mathématiques, 3e derrière les États-Unis, la physique  5e, la chimie 7e et l’informatique 9e. Quatre établissements français se classent parmi les 100 premiers, les universités Pierre-et-Marie-Curie, Paris-Sud, l’École normale supérieure et l’Université de Strasbourg demeurent les quatre premiers établissements français aux 35e, 42e, 67e et 95e rangs (37e, 39e, 71e et 97e en 2013). La Chine confirme sa progression grâce à la hausse du nombre de ses publications mondiales, avec 44 universités dans le top 500, se plaçant ainsi derrière les Etats-Unis (146), en tête, et devant l’Allemagne (39). Sans surprises le top 5 se constitue des universités américaines de Harvard, Stanford, du MIT, Berkeley et une anglaise, Cambridge. Afin de contrer la subjectivité d’un tel classement, l’Union Européenne a constitué un classement, le u-multirank, pour la première fois publié au printemps dernier. Il y est possible de comparer les établissement du monde entier selon la discipline et les critères recherchés.

 

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

 

La Chine constitue en quelque sorte un indicateur avancé de l’économie mondiale or « l’usine du monde » peine à atteindre ses objectifs témoignant du tassemenet mondial. Plusieurs indicateurs pour le mois de juillet confirment le ralentissement de l’économie chinoise et suggèrent que les mesures prises par le gouvernement pour soutenir l’activité ne vont pas assez loin. Si la production industrielle a été conforme aux attentes des marchés, il n’en va pas de même pour l’investissement ou les ventes de détail ni pour l’immobilier. Des chiffres publiés mercredi indiquent en outre que les flux de capitaux injectés dans la deuxième économie du monde ont atteint leur plus bas niveau depuis six ans, alimentant les craintes d’un ralentissement marqué de la croissance au deuxième semestre. « Les chiffres de l’activité sont dans l’ensemble inférieurs aux attentes des marchés, notamment en ce qui concerne l’investissement, ce qui s’explique en grande partie par la faiblesse du secteur de l’immobilier », explique Zhou Hao, économiste chez ANZ à Shanghaï. « Je dirais que le gouvernement doit assouplir davantage sa stratégie s’il veut atteindre un taux de croissance de 7,5% sur l’année », ajoute-t-il. La croissance du produit intérieur brut chinois s’est accélérée légèrement au deuxième trimestre, à 7,5%, soit l’objectif du gouvernement pour l’ensemble de l’année, après 7,4% au premier trimestre, la croissance la plus faible depuis un an et demi. Cette légère amélioration a été attribuée toutefois aux mesures de soutien à l’économie prises par le gouvernement et non à une tendance de fond.

Tourisme en baisse : crise, météo et mondial foot

Tourisme en baisse : crise,  météo et mondial foot

Les recettes des professionnels de l’hôtellerie ont ainsi reculé de 3,4% par rapport à un médiocre mois de juillet 2013 selon le cabinet MKG Group, tandis que la fréquentation des restaurant a baissé de près de 1% au premier semestre d’après l‘étude NPD. Les professionnels français étaient pourtant optimistes en ce début d’été. Atout France, l’agence de développement touristique hexagonale, encouragée par un printemps qui avait tiré profit de la succession de ponts au mois de mai, tablait début juillet sur des perspectives ambitieuses, avec davantage de touristes que l’année dernière. Des espoirs rapidement douchés surtout par la crise mais auusi par une météo capricieuse, mais surtout par la Coupe du monde! Car si la conjoncture n’est pas étrangère à la baisse des dépenses des Français, le rendez-vous sportif est unanimement désigné par les professionnels du secteur comme le grand responsable de leurs résultats moroses. Laurent Salanié, directeur général de Weekendesk, spécialiste des courts séjours a pu chiffrer l’impact du phénomène. «L’équipe de France a joué son dernier match le vendredi 4 juillet (contre l’Allemagne, NDLR). Ce week end là, nous avons enregistré une chute de 29% des départs», affirme-t-il. Malgré le rebond enregistré après l’élimination des Bleus, la tendance reste plus faible que les autres années: «nous n’avons enregistré qu’une hausse de 88% à une période où nos réservations sont habituellement multipliées par deux ou trois», poursuit-il. Pour Jean-Pierre Nadir, fondateur du comparateur Easyvoyage.com, lorsque les Français «achètent 550.000 écrans plats et que 2 millions de foyers s’abonnent à BeIn sports, c’est pour rester chez eux et regarder la télé. Ils ont donc décalé leurs vacances, voire pris leurs congés pour regarder l’événement». Il ajoute qu’en temps de crise, l’achat d’un téléviseur pousse surtout les familles à arbitrer dans les dépenses. «Les quatre semaines les plus chères de l’année sont outre la période des fêtes de fin d’année, la deuxième quinzaine de juillet et la première d’août. Généralement les familles aux plus petits budgets essaient donc de partir avant. Cette année elles ne l’ont pas fait. Et ensuite il y a eu le mauvais temps», constate-t-il.  Chez Directours, l’effet Coupe du monde s’est également fait sentir. «Il y a quatre ans, la France avait été éliminée plus tôt, la baisse des réservations n’avait pas été aussi marquée que cette année», affirme Corinne Loison, directrice générale du voyagiste. Mais pour elle juillet 2014 est avant tout la confirmation d’une nouvelle tendance de consommation. «Avant lorsque l’on parlait de haute saison, on pensait à la période du 20 juillet au 23 août, et les réservations commençait en juin. Désormais elle se réduit au mois d’août». Elle estime que le mois de juillet est devenu le «mois des promos». «Les Français, même les foyers plutôt aisés qui composent notre clientèle, sont désormais à l’affut des bonnes affaires et partent de plus en plus à la dernière minute», précise la directrice générale. Une manière de s’assurer aussi que le soleil sera de la partie. «10 à 15 % des personnes qui comptent partir en vacances au mois d’août n’ont pas encore réservé», confirme Jean-Pierre Nadir.

Signe du tassement économique mondial, la Pub se tasse

Signe du tassement économique mondial, la Pub se tasse

 

Signe  de temps de crise la pub se tasse y compris chez Publicis numéro 3 mondial.  Publicis a prévenu mardi qu’il lui serait « très difficile » d’atteindre sa prévision de croissance du chiffre d’affaires pour 2014 après un coup de frein brutal au deuxième trimestre, conséquence notamment de la crise et du projet de fusion avorté avec Omnicom qui a accaparé ses équipes pendant plusieurs mois.  Sur la période d’avril à juin, le troisième groupe publicitaire mondial a enregistré des revenus de 1,76 milliard d’euros, en croissance organique de 0,5% contre une hausse de 3,3% au premier trimestre. Le marché tablait en moyenne sur un chiffre d’affaires de 1,875 milliard, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. « Nous pensions qu’il y aurait une petite baisse. Le ralentissement a été plus marqué », a déclaré à des journalistes le président du directoire, Maurice Lévy, qui a évoqué l’impact des changes, le retournement de l’activité en Europe mais aussi le temps perdu par ses équipes sur le projet de mariage avorté. « En ce qui concerne l’état-major (…), nous avons énormément travaillé et ceci a été au détriment de ce que nous pouvions faire par ailleurs ». Contraint désormais au cavalier seul, Publicis prépare pour la mi-septembre une révision de son plan stratégique à horizon 2018 afin d’accélérer sa transition vers le numérique, a-t-il dit.

 

Mondial foot : bilan économique mitigé pour le Brésil

Mondial foot : bilan économique mitigé pour le  Brésil

Trois questions se posent après le Mondial pour le Brésil, le retour économique sera-t-il à la hauteur des énormes dépenses engagées, la  croissance vat-elle en profiter  assez, enfin cela ne s’est il pas fait en accroissant les inégalités sociales ? Visiblement le Brésil aura du mal à rentrer dans ses frais  et du coup les dépenses pour le foot n’iront pas à la réduction d’inégalités sociales déjà dramatiques. L’édition 2014 du Mondial aura été la plus chère de tous les temps. Et la facture sera réglée par les Brésiliens, puisque 90% des dépenses seront essuyées avec de l’argent public. A titre de comparaison, la construction du CERN, l’accélérateur de particules n’a coûté (que) 4,9 milliards d’euros et la Coupe du Monde en Afrique du Sud 3,5 milliards d’euros. Alors qu’ils étaient plus de 79% à soutenir la compétition en 2009, moins de la moitié des Brésiliens y étaient favorables début 2014. Même avec la promesse d’une croissance de 0,4% pour les 5 prochaines années directement liée à l’événement et la création de 600.000 emplois, les Brésiliens ne seront pas les premiers bénéficiaires du Mondial.  La FIFA sort grande gagnante de la compétition. Avec plus de 3,3 milliards d’euros de chiffres d’affaires, principalement grâce à la vente des droits de retransmission des matchs à la télé, la fédération se place en tête des bénéficiaires du Mondial. Les grands chantiers de la Coupe du Monde et le manque d’infrastructures ont également permis à des multinationales telles que Siemens de profiter de l’ « effet Mondial »». D’après une enquête menée par Mastercard, les ventes d’articles sportifs au Brésil auraient également explosé depuis juin (+600%), faisant le bonheur de l’équipementier Adidas, sponsor officiel de l’événement, et des géants brésiliens du e-commerce Netshoes et Dafiti. Ce dernier aurait vendu sur la période 10 fois plus de tee-shirts de la Seleção et 5 fois plus de ballons qu’un mois normal. Le pays, qui accueille près de 300 congrès et salons internationaux par an et à peine 6 millions de touristes étrangers, présente un réel potentiel. Avec une image redorée, le Brésil devrait également voir les investissements étrangers augmenter. Seulement, le jeu en valait-il la chandelle par rapport notamment à la tension sociale mise entre parenthèses pendant la compétition ? Peut-on mettre un prix sur la disparition des enfants des rues en prévention de l’arrivée des touristes ? Des déplacements des populations des favelas pour la construction de stades ? Ou encore de l’abandon de projets sociaux ?

 

Mondial foot 2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

Mondial foot  2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

 

Il a sans doute raiosn Da Fonseca, les allemands sont théoriquement plus forts que les argentins et sur toutes les lignes. Sur un match évidemment tout peut basculer surtout si l’arbitrage y contribue comme c’est le cas depuis le début du Mondial. Un arbitrage complètement dépassé (y compris sur les hors jeux)  par la vitesse actuelle du football et qui aurait besoin de manière urgente de la vidéo. Tout va trop vite pour des arbitres au profil d’amateur face à des pros surentrainés et parfois truqueurs. Le plus Français des Argentins, Omar Da Fonseca, l’ancien attaquant du PSG et de Monaco dans les années 80, évoque le match de l’Argentine pour la finale de la Coupe du monde 2014 face à l’Allemagne. Le consultant de Bein Sports Omar Da Fonseca était l’invité de RTL ce dimanche 13 juillet, jour de la finale de la Coupe du monde 2014. L’ancien joueur du PSG a livré son pronostic sur le match Allemagne-Argentine. « La chance existe toujours, parce que c’est 90 minutes au départ. Il y a une dimension, un enjeu et tellement d’autres éléments, en dehors des caractéristiques des forces d’une équipe. Mais c’est vrai sur le papier, dans la logique, le rationnel, les Allemands sont plus forts, mieux organisés, meilleurs. Tout indique que l’Allemagne doit gagner. Encore une fois, on est devant l’élément d’une opportunité que l’Argentine fasse l’exploit, car c’est au Brésil et parce que Messi pourra encore une fois remplir un rôle admirable et important« .  Pour Omar Da Fonseca, « La Pulga » est « un joueur qui déroge à toute techniques et stratégies. C’est un joueur de grandes actions et pas du tout de grands matchs. Il ne va pas bonifier le collectif d’une équipe. Il a besoin de se faire oublier, de faire des accélérations« .

 

Mondial foot 2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

Mondial foot  2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

 

Comme nous l’indiquions vendredi, il fallait s’attendre à une deuxième humiliation du Brésil, c’est fait cette fois de la part de la Hollande vainqueur  trois à zéro ; pas de miracle donc pour cette équipe du Brésil sans âme et sans véritable leader (depuis la blessure de Neymar). Le Brésil qui n’a pas réussi un seul bon match dans ce mondial alors qu’il était donné favori. Toujours la même fébrilité en défense, un manque d’opportunisme en attaque et un milieu assez mollasson. Par parenthèse, il y a  lieu de s’ inquiéter pour la future défense du PSG puisque le Brésil alignait trois joueurs de la future défense parisienne. Il faut s’étonner en particulier de la méforme de Thiago Silva lui qui avait pourtant été si brillant pendant une grande partie de la saison  au PSG.  Finalemenet  - Les Pays-Bas ont battu très facilement le Brésil (3-0), samedi 12 juillet, dans la petite finale du Mondial 2014 et bouclent le tournoi à la troisième place. Le cauchemar aura duré longtemps. Quatre jour après son humiliation face à l’Allemagne en demi-finales (7-1), le Brésil n’a pas su se relever. La « Seleção » s’est inclinée lourdement face aux Pays-Bas lors de la petite finale (3-0), samedi 12 juillet à Brasilia, à la veille de la grande, Allemagne-Argentine (21 heures à Rio) Les « Auriverdes » ne terminent donc même pas sur le podium de « leur » Mondial et laisse cet honneur aux Néerlandais, qui prennent pour la première fois de leur histoire la troisième place de la compétition.  Dès le début, la rencontre s’est emballée. Le Brésil, dépassé dès la première occasion néerlandaise, a réalisé une entame catastrophique en concédant un penalty. Lancé côté droit, Robben a pris de vitesse Thiago Silva qui l’a accroché à la limite de la surface. Le défenseur du PSG, qui aurait dû écoper d’un carton rouge, est seulement averti et van Persie s’est chargé de transformer le penalty (3e). Les Brésiliens ont tenté de réagir dans la foulée mais les Bataves ont enfoncé le clou un peu plus de dix minutes plus tard. Sur un centre de Wijnaldum, David Luiz a remis le ballon de la tête plein axe sur Blind qui, après un double contrôle, a enchaîné en demi-volée (16e). Incapables de construire des actions tranchantes, les Brésiliens, parfois dangereux, s’en sont remis aux coups de pied arrêtés et au jeu long sans trouver véritablement la faille. Le score s’alourdit en fin de match Le jeu s’est considérablement durci au retour des vestiaires, avec des défenses plus rugueuses qui ont multiplié les fautes. Les coéquipiers de Julio César ont été beaucoup plus entreprenants en se créant quelques situations, mais ils ont butté sur une défense néerlandaise bien en place. En fin de rencontre, Wijnaldum a enfoncé définitivement la « Seleção », après un centre de Janmaat (90e+1). Les Pays-Bas terminent donc à la troisième place de la Coupe du monde 2014. De son côté, le Brésil n’avait jamais enchaîné deux défaites sur son sol dans son histoire. La déception sera difficile à oublier.

 

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