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Commerce mondial : prévisions en baisse

Commerce mondial : prévisions en baisse

 Prévisions en baisse en 2014 mais aussi en 2015 d’après l’organisation mondiale du commerce ( OMC). Une prévision cohérente avec la baisse de croissance mondiale annoncée par le FMI (3.4% au lieu de 3.7% en 2014). En cause les difficultés de nombre de pays émergents et l’Europe qui s’approche dangereusement de la stagnation. L’indice Markit PMI pour l’Europe affiche  en effet  52.3 points soit 0.2 point en moins par rapport à août et surtout son plus bas niveau depuis 9 mois. L’Organisation mondiale du commerce annonce donc avoir révisé à la baisse, à 3,1% contre 4,6% en avril, sa prévision de croissance du commerce mondial pour 2014.  Dans le même communiqué, elle prévient qu’elle abaisse également sa prévision pour 2015, à 4%, contre 5,3% précédemment. Au cours des 20 dernières années, entre 1993 et 2013, le commerce mondial a progressé en moyenne tous les ans de 5,2%. L’Organisation explique cette révision par la croissance du commerce mondial, plus faible que prévue au premier semestre, notamment dans des régions exportatrices de ressources naturelles telles que l’Amérique centrale et du Sud. En outre, l’OMC relève que les tensions géopolitiques se sont aggravées. Elle pointe enfin l’apparition d’un risque nouveau, survenu en début d’année: l’épidémie Ebola, qui handicape largement les affaires dans les pays touchés.   »Les institutions internationales ont déjà fortement révisé à la baisse leur prévisions de croissance économique », a déclaré son directeur général, Roberto Azevedo. Selon lui, « réduire les coûts du commerce et élargir les possibilités commerciales seraient de bons moyens pour renverser cette tendance ». 

 

Croissance : tassement mondial

Croissance : tassement mondial

 

Contrairement à ce qui est prédit depuis des mois et des mois, la crise n’a pas disparu des radars économiques. Il se pourrait même qu’elle continue encore en 2015. Beaucoup de pays émergents connaisse nt des difficultés de différentes ampleurs et natures à commencer par la Chine. Ce qui démontre à l’évidence  la diminution de la demande mondiale. Aux Etats-Unis, la croissance est loi d’être auusi vigoureuse que prévu même si le redressement est sensible (comme en Grande Bretagne). . L’économie chinoise faiblit, celle de la zone euro est à l’arrêt, l’activité s’est fortement contractée au Japon, la déflation salariale menace en Grande-Bretagne et les Etats-Unis tournent au ralenti.Les préoccupations géopolitiques – crise ukrainienne, montée en puissance de l’Etat islamique en Irak et en Syrie, épidémie de fièvre Ebola en Afrique de l’Ouest – ont relégué la croissance mondiale au second plan. Elle montre pourtant de plus en plus de signes d’affaiblissement en dépit de liquidités toujours très abondantes et de taux d’intérêt à des plus bas record. « Nous pensons qu’il y a un fort risque que l’année 2015 ne soit pas meilleure pour l’économie mondiale que l’année 2014, la compréhension de cette absence d’amélioration conduit déjà et va conduire à une correction des marchés financiers : baisse de taux d’intérêt sur les dettes sans risque, hausse des primes de risque, baisse des cours boursiers », prévient Patrick Artus, économiste de Natixis. Si de nombreux responsables monétaires souhaiteraient prendre leur distance avec les politiques ultra-accommodantes mises en œuvre pour faire face aux conséquences de la crise financière, les économies n’ont pas eu le répondant espéré. Le marasme économique persistant a éloigné l’horizon d’une normalisation des politiques monétaires et de nombreuses banques centrales semblent plus proches de nouveaux assouplissements que d’un durcissement de leur politique. En Chine, la croissance de l’activité manufacturière a ralenti en août pour atteindre un plus bas de trois mois selon l’indice provisoire HSBC Markit alors que les financements à l’économie sont tombés en juillet à un plus bas de près de six ans. Le secteur du logement, qui représente près de 15% de l’économie chinoise, montre aussi des signes d’affaiblissement.  Les prévisions de croissance pour l’ensemble de l’année n’ont pas été remises en cause mais les dernières données économiques ont ouvert la voie à un assouplissement de la politique monétaire chinoise.

Top mondial des universités : la France toujours à la traîne

Top mondial des universités : la France toujours à la traîne

Une explication pour la secrétaire de l’enseignement supérieure, « ce classement ne prend pas en compte les sciences sociales » (qui mènent tout droit à pôle emploi ou qui fabriquent des fonctionnaires inutiles  NDLR) ;  les Anglo-saxons sont donc toujours devant. La liste publiée vendredi par l’université Jiaotong (communications) de Shanghaï des 500 meilleures universités au monde ne déroge pas à la règle : les prestigieuses américaines Harvard, Stanford, le MIT et Berkeley arrivent une nouvelle fois en tête, suivis de Cambridge la britannique. « C’est un classement comme un autre, les critères du classement de Shanghai sont davantage adaptés aux pays anglo-saxons qu’aux universités européennes », relativise auprès de l’AFP la secrétaire d’Etat chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche Geneviève Fioraso. En effet seul la recherche et les sciences de la vie sont pris en compte, occultant entre autres les sciences humaines et sociales, grande spécificité des universités européennes. Dans un communiqué, le ministère de l’Éducation « se félicite de la stabilité de la France, en dépit d’une méthodologie peu adaptée à la spécificité du modèle scientifique et universitaire français et d’un contexte mondial très compétitif avec la montée en puissance de la Chine ». En 2014, la France compte 21 établissements classés (20 en 2013), avec une relative stabilité des positions mondiales par rapport à 2013. La France confirme sa 6e place mondiale, avec de bons classements dans des disciplines comme les mathématiques, 3e derrière les États-Unis, la physique  5e, la chimie 7e et l’informatique 9e. Quatre établissements français se classent parmi les 100 premiers, les universités Pierre-et-Marie-Curie, Paris-Sud, l’École normale supérieure et l’Université de Strasbourg demeurent les quatre premiers établissements français aux 35e, 42e, 67e et 95e rangs (37e, 39e, 71e et 97e en 2013). La Chine confirme sa progression grâce à la hausse du nombre de ses publications mondiales, avec 44 universités dans le top 500, se plaçant ainsi derrière les Etats-Unis (146), en tête, et devant l’Allemagne (39). Sans surprises le top 5 se constitue des universités américaines de Harvard, Stanford, du MIT, Berkeley et une anglaise, Cambridge. Afin de contrer la subjectivité d’un tel classement, l’Union Européenne a constitué un classement, le u-multirank, pour la première fois publié au printemps dernier. Il y est possible de comparer les établissement du monde entier selon la discipline et les critères recherchés.

 

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

Croissance : un ralentissement chinois qui confirme le tassement mondial

 

La Chine constitue en quelque sorte un indicateur avancé de l’économie mondiale or « l’usine du monde » peine à atteindre ses objectifs témoignant du tassemenet mondial. Plusieurs indicateurs pour le mois de juillet confirment le ralentissement de l’économie chinoise et suggèrent que les mesures prises par le gouvernement pour soutenir l’activité ne vont pas assez loin. Si la production industrielle a été conforme aux attentes des marchés, il n’en va pas de même pour l’investissement ou les ventes de détail ni pour l’immobilier. Des chiffres publiés mercredi indiquent en outre que les flux de capitaux injectés dans la deuxième économie du monde ont atteint leur plus bas niveau depuis six ans, alimentant les craintes d’un ralentissement marqué de la croissance au deuxième semestre. « Les chiffres de l’activité sont dans l’ensemble inférieurs aux attentes des marchés, notamment en ce qui concerne l’investissement, ce qui s’explique en grande partie par la faiblesse du secteur de l’immobilier », explique Zhou Hao, économiste chez ANZ à Shanghaï. « Je dirais que le gouvernement doit assouplir davantage sa stratégie s’il veut atteindre un taux de croissance de 7,5% sur l’année », ajoute-t-il. La croissance du produit intérieur brut chinois s’est accélérée légèrement au deuxième trimestre, à 7,5%, soit l’objectif du gouvernement pour l’ensemble de l’année, après 7,4% au premier trimestre, la croissance la plus faible depuis un an et demi. Cette légère amélioration a été attribuée toutefois aux mesures de soutien à l’économie prises par le gouvernement et non à une tendance de fond.

Tourisme en baisse : crise, météo et mondial foot

Tourisme en baisse : crise,  météo et mondial foot

Les recettes des professionnels de l’hôtellerie ont ainsi reculé de 3,4% par rapport à un médiocre mois de juillet 2013 selon le cabinet MKG Group, tandis que la fréquentation des restaurant a baissé de près de 1% au premier semestre d’après l‘étude NPD. Les professionnels français étaient pourtant optimistes en ce début d’été. Atout France, l’agence de développement touristique hexagonale, encouragée par un printemps qui avait tiré profit de la succession de ponts au mois de mai, tablait début juillet sur des perspectives ambitieuses, avec davantage de touristes que l’année dernière. Des espoirs rapidement douchés surtout par la crise mais auusi par une météo capricieuse, mais surtout par la Coupe du monde! Car si la conjoncture n’est pas étrangère à la baisse des dépenses des Français, le rendez-vous sportif est unanimement désigné par les professionnels du secteur comme le grand responsable de leurs résultats moroses. Laurent Salanié, directeur général de Weekendesk, spécialiste des courts séjours a pu chiffrer l’impact du phénomène. «L’équipe de France a joué son dernier match le vendredi 4 juillet (contre l’Allemagne, NDLR). Ce week end là, nous avons enregistré une chute de 29% des départs», affirme-t-il. Malgré le rebond enregistré après l’élimination des Bleus, la tendance reste plus faible que les autres années: «nous n’avons enregistré qu’une hausse de 88% à une période où nos réservations sont habituellement multipliées par deux ou trois», poursuit-il. Pour Jean-Pierre Nadir, fondateur du comparateur Easyvoyage.com, lorsque les Français «achètent 550.000 écrans plats et que 2 millions de foyers s’abonnent à BeIn sports, c’est pour rester chez eux et regarder la télé. Ils ont donc décalé leurs vacances, voire pris leurs congés pour regarder l’événement». Il ajoute qu’en temps de crise, l’achat d’un téléviseur pousse surtout les familles à arbitrer dans les dépenses. «Les quatre semaines les plus chères de l’année sont outre la période des fêtes de fin d’année, la deuxième quinzaine de juillet et la première d’août. Généralement les familles aux plus petits budgets essaient donc de partir avant. Cette année elles ne l’ont pas fait. Et ensuite il y a eu le mauvais temps», constate-t-il.  Chez Directours, l’effet Coupe du monde s’est également fait sentir. «Il y a quatre ans, la France avait été éliminée plus tôt, la baisse des réservations n’avait pas été aussi marquée que cette année», affirme Corinne Loison, directrice générale du voyagiste. Mais pour elle juillet 2014 est avant tout la confirmation d’une nouvelle tendance de consommation. «Avant lorsque l’on parlait de haute saison, on pensait à la période du 20 juillet au 23 août, et les réservations commençait en juin. Désormais elle se réduit au mois d’août». Elle estime que le mois de juillet est devenu le «mois des promos». «Les Français, même les foyers plutôt aisés qui composent notre clientèle, sont désormais à l’affut des bonnes affaires et partent de plus en plus à la dernière minute», précise la directrice générale. Une manière de s’assurer aussi que le soleil sera de la partie. «10 à 15 % des personnes qui comptent partir en vacances au mois d’août n’ont pas encore réservé», confirme Jean-Pierre Nadir.

Signe du tassement économique mondial, la Pub se tasse

Signe du tassement économique mondial, la Pub se tasse

 

Signe  de temps de crise la pub se tasse y compris chez Publicis numéro 3 mondial.  Publicis a prévenu mardi qu’il lui serait « très difficile » d’atteindre sa prévision de croissance du chiffre d’affaires pour 2014 après un coup de frein brutal au deuxième trimestre, conséquence notamment de la crise et du projet de fusion avorté avec Omnicom qui a accaparé ses équipes pendant plusieurs mois.  Sur la période d’avril à juin, le troisième groupe publicitaire mondial a enregistré des revenus de 1,76 milliard d’euros, en croissance organique de 0,5% contre une hausse de 3,3% au premier trimestre. Le marché tablait en moyenne sur un chiffre d’affaires de 1,875 milliard, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. « Nous pensions qu’il y aurait une petite baisse. Le ralentissement a été plus marqué », a déclaré à des journalistes le président du directoire, Maurice Lévy, qui a évoqué l’impact des changes, le retournement de l’activité en Europe mais aussi le temps perdu par ses équipes sur le projet de mariage avorté. « En ce qui concerne l’état-major (…), nous avons énormément travaillé et ceci a été au détriment de ce que nous pouvions faire par ailleurs ». Contraint désormais au cavalier seul, Publicis prépare pour la mi-septembre une révision de son plan stratégique à horizon 2018 afin d’accélérer sa transition vers le numérique, a-t-il dit.

 

Mondial foot : bilan économique mitigé pour le Brésil

Mondial foot : bilan économique mitigé pour le  Brésil

Trois questions se posent après le Mondial pour le Brésil, le retour économique sera-t-il à la hauteur des énormes dépenses engagées, la  croissance vat-elle en profiter  assez, enfin cela ne s’est il pas fait en accroissant les inégalités sociales ? Visiblement le Brésil aura du mal à rentrer dans ses frais  et du coup les dépenses pour le foot n’iront pas à la réduction d’inégalités sociales déjà dramatiques. L’édition 2014 du Mondial aura été la plus chère de tous les temps. Et la facture sera réglée par les Brésiliens, puisque 90% des dépenses seront essuyées avec de l’argent public. A titre de comparaison, la construction du CERN, l’accélérateur de particules n’a coûté (que) 4,9 milliards d’euros et la Coupe du Monde en Afrique du Sud 3,5 milliards d’euros. Alors qu’ils étaient plus de 79% à soutenir la compétition en 2009, moins de la moitié des Brésiliens y étaient favorables début 2014. Même avec la promesse d’une croissance de 0,4% pour les 5 prochaines années directement liée à l’événement et la création de 600.000 emplois, les Brésiliens ne seront pas les premiers bénéficiaires du Mondial.  La FIFA sort grande gagnante de la compétition. Avec plus de 3,3 milliards d’euros de chiffres d’affaires, principalement grâce à la vente des droits de retransmission des matchs à la télé, la fédération se place en tête des bénéficiaires du Mondial. Les grands chantiers de la Coupe du Monde et le manque d’infrastructures ont également permis à des multinationales telles que Siemens de profiter de l’ « effet Mondial »». D’après une enquête menée par Mastercard, les ventes d’articles sportifs au Brésil auraient également explosé depuis juin (+600%), faisant le bonheur de l’équipementier Adidas, sponsor officiel de l’événement, et des géants brésiliens du e-commerce Netshoes et Dafiti. Ce dernier aurait vendu sur la période 10 fois plus de tee-shirts de la Seleção et 5 fois plus de ballons qu’un mois normal. Le pays, qui accueille près de 300 congrès et salons internationaux par an et à peine 6 millions de touristes étrangers, présente un réel potentiel. Avec une image redorée, le Brésil devrait également voir les investissements étrangers augmenter. Seulement, le jeu en valait-il la chandelle par rapport notamment à la tension sociale mise entre parenthèses pendant la compétition ? Peut-on mettre un prix sur la disparition des enfants des rues en prévention de l’arrivée des touristes ? Des déplacements des populations des favelas pour la construction de stades ? Ou encore de l’abandon de projets sociaux ?

 

Mondial foot 2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

Mondial foot  2014 : « Les Allemands plus forts »( Da Fonseca)

 

Il a sans doute raiosn Da Fonseca, les allemands sont théoriquement plus forts que les argentins et sur toutes les lignes. Sur un match évidemment tout peut basculer surtout si l’arbitrage y contribue comme c’est le cas depuis le début du Mondial. Un arbitrage complètement dépassé (y compris sur les hors jeux)  par la vitesse actuelle du football et qui aurait besoin de manière urgente de la vidéo. Tout va trop vite pour des arbitres au profil d’amateur face à des pros surentrainés et parfois truqueurs. Le plus Français des Argentins, Omar Da Fonseca, l’ancien attaquant du PSG et de Monaco dans les années 80, évoque le match de l’Argentine pour la finale de la Coupe du monde 2014 face à l’Allemagne. Le consultant de Bein Sports Omar Da Fonseca était l’invité de RTL ce dimanche 13 juillet, jour de la finale de la Coupe du monde 2014. L’ancien joueur du PSG a livré son pronostic sur le match Allemagne-Argentine. « La chance existe toujours, parce que c’est 90 minutes au départ. Il y a une dimension, un enjeu et tellement d’autres éléments, en dehors des caractéristiques des forces d’une équipe. Mais c’est vrai sur le papier, dans la logique, le rationnel, les Allemands sont plus forts, mieux organisés, meilleurs. Tout indique que l’Allemagne doit gagner. Encore une fois, on est devant l’élément d’une opportunité que l’Argentine fasse l’exploit, car c’est au Brésil et parce que Messi pourra encore une fois remplir un rôle admirable et important« .  Pour Omar Da Fonseca, « La Pulga » est « un joueur qui déroge à toute techniques et stratégies. C’est un joueur de grandes actions et pas du tout de grands matchs. Il ne va pas bonifier le collectif d’une équipe. Il a besoin de se faire oublier, de faire des accélérations« .

 

Mondial foot 2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

Mondial foot  2014 : seconde humiliation confirmée pour le Brésil

 

Comme nous l’indiquions vendredi, il fallait s’attendre à une deuxième humiliation du Brésil, c’est fait cette fois de la part de la Hollande vainqueur  trois à zéro ; pas de miracle donc pour cette équipe du Brésil sans âme et sans véritable leader (depuis la blessure de Neymar). Le Brésil qui n’a pas réussi un seul bon match dans ce mondial alors qu’il était donné favori. Toujours la même fébrilité en défense, un manque d’opportunisme en attaque et un milieu assez mollasson. Par parenthèse, il y a  lieu de s’ inquiéter pour la future défense du PSG puisque le Brésil alignait trois joueurs de la future défense parisienne. Il faut s’étonner en particulier de la méforme de Thiago Silva lui qui avait pourtant été si brillant pendant une grande partie de la saison  au PSG.  Finalemenet  - Les Pays-Bas ont battu très facilement le Brésil (3-0), samedi 12 juillet, dans la petite finale du Mondial 2014 et bouclent le tournoi à la troisième place. Le cauchemar aura duré longtemps. Quatre jour après son humiliation face à l’Allemagne en demi-finales (7-1), le Brésil n’a pas su se relever. La « Seleção » s’est inclinée lourdement face aux Pays-Bas lors de la petite finale (3-0), samedi 12 juillet à Brasilia, à la veille de la grande, Allemagne-Argentine (21 heures à Rio) Les « Auriverdes » ne terminent donc même pas sur le podium de « leur » Mondial et laisse cet honneur aux Néerlandais, qui prennent pour la première fois de leur histoire la troisième place de la compétition.  Dès le début, la rencontre s’est emballée. Le Brésil, dépassé dès la première occasion néerlandaise, a réalisé une entame catastrophique en concédant un penalty. Lancé côté droit, Robben a pris de vitesse Thiago Silva qui l’a accroché à la limite de la surface. Le défenseur du PSG, qui aurait dû écoper d’un carton rouge, est seulement averti et van Persie s’est chargé de transformer le penalty (3e). Les Brésiliens ont tenté de réagir dans la foulée mais les Bataves ont enfoncé le clou un peu plus de dix minutes plus tard. Sur un centre de Wijnaldum, David Luiz a remis le ballon de la tête plein axe sur Blind qui, après un double contrôle, a enchaîné en demi-volée (16e). Incapables de construire des actions tranchantes, les Brésiliens, parfois dangereux, s’en sont remis aux coups de pied arrêtés et au jeu long sans trouver véritablement la faille. Le score s’alourdit en fin de match Le jeu s’est considérablement durci au retour des vestiaires, avec des défenses plus rugueuses qui ont multiplié les fautes. Les coéquipiers de Julio César ont été beaucoup plus entreprenants en se créant quelques situations, mais ils ont butté sur une défense néerlandaise bien en place. En fin de rencontre, Wijnaldum a enfoncé définitivement la « Seleção », après un centre de Janmaat (90e+1). Les Pays-Bas terminent donc à la troisième place de la Coupe du monde 2014. De son côté, le Brésil n’avait jamais enchaîné deux défaites sur son sol dans son histoire. La déception sera difficile à oublier.

 

Mondial foot Brésil-Pays-Bas : Une nouvelle humiliation à prévoir pour le Brésil

Brésil-Pays-Bas : Une nouvelle humiliation à prévoir pour le Brésil

 

On voit mal comment le Brésil pourrait redresser la barre car il n’a jamais fait un seul bon match depuis le début de la coupe du monde. Attaque stérile, absence de milieu et défense complètement fébrile, voilà ce qui caractérise le Brésil qui possède un seul jouer de classe exceptionnelle : Neymar (blessé qui ne pourra jouer°) L’humiliation risque d’être encore au rendez-vous avec des Hollandais pas toujours brillants mais solides. Le match pour la troisième place du Mondial oppose ce samedi (21h) le Brésil aux Pays-Bas. Le pays hôte doit s’imposer pour évacuer un peu la douleur de l’humiliation subie en demies face à l’Allemagne. Les Oranje, eux, veulent remettre la marche avant après la déception face à l’Argentine, et prouver qu’ils sont bien au sommet du football européen. Il n’est jamais honteux de se battre pour la troisième place d’une compétition comme la Coupe du Monde. Mais, s’agissant du Brésil comme des Pays-Bas, les circonstances font que se retrouver 24 heures avant la « vraie » finale du Mondial, au stade de Brasilia sonne comme un échec douloureux. Mais, maintenant que les deux équipes y sont, autant jouer sa chance à fond. Ils étaient évidemment effondrés les Néerlandais mercredi soir, après leur défaite aux tirs aux buts contre les Argentins. Après une partie terne, marquée par un combat tactique entre deux équipes qui n’ont jamais voulu se découvrir, ils venaient de comprendre qu’ils ne retrouveraient pas l’Allemagne en finale. Pour tenter de remporter, enfin – après deux échecs en 1974 et 1978 -, un titre de champion du monde. Trois jours plus tard, il reste des points positifs à conserver en tête. Battue en finale par l’Espagne il y a quatre ans, l’équipe néerlandaise confirme qu’elle fait plus que tutoyer les cimes du football. Au niveau européen, les Oranje sont incontournables. Et malgré les craintes, ils se sont aussi trouvés une défense au Brésil : les jeunes Martins Indi, Blind et De Vrij, ainsi que l’expérimenté Ron Vlaar, ont vraiment assuré derrière. En attaque, cette « petite finale » est peut-être la dernière occasion de voir à l’oeuvre, ensemble, la génération de trentenaires Robben-Van Persie-Sneijder. Des adieux que ces trois-là souhaiteront forcément pétillants.  L’équation est très différente du côté brésilien. Encore marquée par sa défaite cuisante en demi-finale face à l’Allemagne (7-1), la Séleção est en pleine crise. Et personne, surtout pas le sélectionneur Luiz Felipe Scolari, n’y échappe pas. Depuis quatre jours, les Brésiliens sont partagés entre la déception de l’élimination de leur équipe nationale, et le désir de voir enfin finir ce Mondial auquel ils ne participent plus, du moins pour la gagne. Su le plan sportif, la déculottée face à la Mannschaft n’a pas manqué de nourrir le débat. Les choix de Scolari – Fred, Bernard en attaque, et un milieu souvent pas au niveau – sont sans cesse questionnés, et le Brésil n’échappera pas à une remise en cause. Sans Neymar, qui est venu saluer ses coéquipiers à l’entraînement cette semaine, cette Séleção n’a rien d’un adversaire redoutable. Alors, samedi soir, ils seront nombreux sur le terrain à vouloir répondre aux critiques, et à vouloir offrir une sortie digne à l’équipe et ses supporters. Sûrement la seule motivation possible dans ce contexte.

 

Mondial foot 2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

Mondial foot  2014 : Suarez ne jouera pas avec une muselière

 

 

Pour écourter la durée de la sanction, certains avaient imaginé imposer une muselière à Suarez pour l’empêcher de morde les joueurs. Mais La Fifa a rejeté les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez, qui contestaient les sanctions infligées pour avoir à nouveau  mordu un joueur lors de la Coupe du monde au Brésil. La peine infligée au joueur uruguayen Luis Suarez pour avoir mordu un joueur lors de la Coupe du monde 2014 ne sera pas allégée. Il devra bien respecter ses neuf matches de suspension en sélection et quatre mois d’interdiction de toute activité liée au football. Les appels de la Fédération uruguayenne de football et de Luis Suarez lui-même ont été rejetés, a annoncé la Fifa ce jeudi 10 juillet.  La Fifa a précisé que la Fédération uruguayenne et le joueur pouvaient tout de même tenter un recours devant le Tribunal arbitral du sport (TAS) à Lausanne. Luis Suarez ne peut donc pas s’entraîner avec son club, Liverpool, pendant cette période. Il peut seulement être transféré dans un autre club et passer une visite médicale préalable à ce mouvement. Des discussions seraient d’ailleurs engagées entre Liverpool et Barcelone à ce sujet, ont indiqué certains médias début juillet. L’incident avait eu lieu le 24 juin à Natal. Les images télé avaient montré Suarez venir dans le dos du défenseur Giorgio Chiellini et le mordre à une épaule. Le joueur avait nié dans un premier temps, y compris devant la Fifa au moment de présenter sa défense. Puis l’Uruguayen, une fois lourdement sanctionné, avait fini par reconnaître sur sa page Facebook :  »Il est certain que mon confrère Giorgio Chiellini a subi dans son duel avec moi les effets physiques d’une morsure ». L’affaire avait suscité de nombreuses réactions indignées dans le monde mais Suarez avait bénéficié de nombreux soutiens dans son pays, dont celui du président de la République José Mujica. Le chef de l’Etat avait notamment taxé la Fifa de « bande de vieux fils de putes ». José Mujica, qui avait dit auparavant n’avoir vu Suarez « mordre personne », a aussi qualifié de « fasciste » la sanction infligée au joueur. Giorgio Chiellini avait réagi aux excuses de l’attaquant de Liverpool en assurant que l’affaire faisait partie du passé. « Tout est oublié. J’espère que la Fifa réduira ta suspension », avait écrit l’Italien, qui avait déjà jugé « excessive » la punition de Suarez.

Mondial foot : Brésil-Allemagne : plus qu’une humiliation, un drame

Mondial foot : Brésil-Allemagne : plus qu’une humiliation, un drame

 

Une déroute historique, une humiliation pour le Brésil ridiculisé par l’Allemagne. Le Brésil qui a fait illusion jusque là avec un jeu insipide, uniquement sauvé par l’extraordinaire Neymar (malheureusement blessé pour ce match).  L’avalanche de buts qui s’est abattue sur la Seleção en milieu de première période – quatre en six minutes – a déclenché la consternation dans le stade de Belo Horizonte, comme dans les zones réservées aux supporters, notamment à Rio, sur la plage de Copacabana, ou à travers ce pays de 200 millions d’habitants, grand comme 14 fois la France. En fait maintenant le Brésil pourrait bien connaitre de très graves difficultés économiques et sociales. Juste avant le dabut de la compétition, le Brésil avaiat connu une vive proptestaion sociaile remettant mê me en cause la coupe du Monde. Le Brésil a engagé environ 10 milliards pour cette coupe du monde mais les retombées économiues ne sont pas au rendez vous. Un investissement très critiqué. Les économistes indépendants prudents tablaient  sur une contribution d’environ 0,2 point au PIB, selon une enquête de Reuters. La croissance brésilienne ne devrait pas dépasser 1,6% cette année selon la dernière enquête hebdomadaire de la banque centrale, après 2,3% l’an dernier. Certes le Brésil fait partie des pays émergents dynamiques jusque là mais les écarts de riches n’ont jamais été auusi importants et la misère (et l’insécurité)  frapper les plus démunis. Le gouvernement comptait beaucoup sur la victoire du Brésil pour apaiser les tensions, cette humiliation pourrait bien provoquer le contraire.

Sondage Hollande : effet Mondial foot +2 points

Sondage Hollande : effet Mondial foot +2 points

 

C’est l’effet attendu du Mondial foot, Hollande remonte de 2 points mais toujours à u niveau très bas 22%. Comme la France n’ira pas au-delà des quarts de finale, Hollande va demeurer à ce niveau voire dégringoler . Hollande comptait beaucoup sur ce dérivatif sportif pour remonter. Il envisageait d’ailleurs se rendre à la finale et décaler les cérémonies du 14 juillet ! Là aussi l’inversion de la courbe d’impopularité aura été de courte durée. Si elle reste faible, à moins d’un quart des Français satisfaits, la cote de satisfaction de l’action de François Hollande connaît donc une légère hausse (+2) selon le baromètre CLAI/Metronews/LCI réalisé par OpinionWay publié ce dimanche 6 juillet. L’IFOP avait noté un rebond de +5 jeudi. A la question « êtes-vous satisfait de l’action de François Hollande ? », 22% des personnes interrogées répondent oui, contre 77% non (-2). Quelque 3% des sondés sont « très satisfaits », 19% « assez satisfaits », 34% « assez mécontents » et 43% « très mécontents ». 1% ne se prononcent pas (NSP). La moitié des électeurs ayant glissé un bulletin « François Hollande » au premier tour en 2012 se disent satisfaits, contre 48% de mécontents (2% NSP). 19% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon expriment leur satisfaction, contre 81% leur déception. La proportion est sensiblement identique parmi les électeurs de François Bayrou (18% de satisfaits, 79% de mécontents). Le chef de l’Etat avait atteint dans ce baromètre son pic d’impopularité en mai avec 81% de sondés mécontents de son action (18% de satisfaits). Le Premier ministre Manuel Valls compte, lui, 37% de satisfaits (-1), contre 58% de mécontents. Chez les électeurs de François Hollande, Manuel Valls obtient 61% de satisfaits, contre 31% chez ceux de Jean-Luc Mélenchon, 51% parmi les électeurs de François Bayrou et 22% chez ceux de Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen. Parmi les sondés, 31% estiment que « les choses changent en France » depuis l’élection de François Hollande (=), contre 68% (-1) qui pensent le contraire. Chez ses électeurs, ils ne sont que 27% à penser que les choses évoluent, contre 72% non. Au sein du gouvernement, Laurent Fabius (Affaires étrangères) est toujours en tête avec 51% de satisfaits (-3), devant Jean-Yves Le Drian (Défense) et ses 49% (-2), Najat Vallaud-Belkacem (Ville, Jeunesse) à 49% (-5), Aurélie Filippetti (Culture) à 44% (-1) et Ségolène Royal (Ecologie) à 43% (=). Parmi les autres personnalités, Alain Juppé (UMP) enregistre encore la plus forte cote de satisfaction (52%, =). Il devance le président du MoDem François Bayrou (46%, +1). Au sein de l’UMP, Alain Juppé est devant François Fillon (39%, =), Laurent Wauquiez (36%, +1) et Nathalie Kosciusko-Morizet (34%, +1).  De son côté Marine Le Pen, avec 33% de satisfaits (+1), arrive en 8e position.

 

Mondial foot France Allemagne : petit match, équipe de France très moyenne

Mondial France Allemagne : petit match, équipe de France très moyenne

 

Encore dans l’euphorie du parcours de l’équipe d e France, les commentateurs se risquent peu à critiquer la prestation des joueurs de Deschamps. Pourtant l’Equipe de France a été très moyenne (comme l’équipe d’Allemagne), pour tout dire son jeu a déçu. E cela dure depuis 2 ou 3 matchs. Moins de rythmes moins d’engagement, des approximations, une attaque improductive. Benzema est  trop irrégulier, la défense trop fébrile, les jeunes joueurs encore un peu tendre face aux vieux briscards de l’Allemagne. Deschamps aurait  dû redresser  la barre depuis le match contre l’Equateur, un match aussi très moyen come celui contre le Nigéria. En clair la France avait perdu son rythme. En dépit de quelques éclairs contre l’Allemagne, la France ne s’est pas mise en position de concrétiser. Tous les joueurs ont fait une petite prestation (excepté le gardien). Pourtant l’Allemagne n’était pas particulièrement brillante surtout en défense, sur l’ensemble du match la qualité de son jeu n’a pas été supérieure à celui de la France. On le sait l’équipe de France a besoin d’être boostée sinon elle tendance à s’endormir.  C’est aculée et critiquée que l’équipe joue le mieux, les lauriers l’assoupissent. Deschamps devra en tirer les leçons pour l’avenir, les ressorts psychologiques français ne sont pas ceux de l’Allemagne. Au Total un beau parcours, c’est vrai, inespéré sans doute mais gâché au moment où la victoire set largement possible.

Mondial télé : le foot, le foot, le foot !

Mondial télé : le foot, le foot, le foot !

Curieux,  plus il y a de chaines (25 gratuites) moins il y a de programmes. Normal, le public se disperse et les chaines classiques perdent des parts d’audience. Donc moins de moyens, moins de vrais programmes (des rediffusions, des séries américaines, des émissions bal-bla en studio). TFI résiste bien grâce au foot. . On se demande bien à quoi sera maintenant le service public pas même capable de diffuser les  matchs du mondial. Un service public qui compte de l’ordre de 10 000 personnes et des gabegies lancières dénoncées par la Cour des comptes. Difficile de faire la différence avec les autres chaines. Bien qu’un peu en perte de vitesse au printemps, TF1, lui,  s’est refait, sur le mois de juin, une santé grâce au Mondial, avec une part d’audience de 24,6 %, selon Médiamétrie. Les scores explosifs obtenus pendant les matchs (70 % de part d’audience pour France-Nigeria) et après (41 % de part d’audience pour le magazine qui a suivi France-Suisse) ont permis à la Une de totaliser, de janvier à juin, une part d’audience de 22,9 %, stable par rapport à l’année dernière. De son côté, M6 est restée sur une mauvaise séquence, d’autant plus marquée que la chaîne n’a pas profité des deux grands rendez-vous sur la période, les Jeux olympiques d’hiver (diffusés sur France Télévisions) et la Coupe du monde de football. Avec une part d’audience de 9,4 % en juin, M6 a enchaîné un troisième mois en dessous de la barre symbolique des 10 %. Une situation sanctionnée sur l’ensemble du semestre par une part d’audience de 9,9 %, historiquement très basse. Pour TF1, ces bonnes performances sont à mettre sur le compte d’un «travail éditorial entamé depuis trois ans qui vise à fédérer le public le plus large possible», souligne une porte-parole. La chaîne met en avant ses pics d’audience dans plusieurs catégories de programmes: le cinéma (deuxième diffusion de Bienvenue chez les Ch’tis avec 11,5 millions de téléspectateurs), le divertissement (concert des Enfoirés, 13 millions, ou «The Voice», plus de 10 millions) et l’information, avec notamment le journal de 20 heures de Gilles Bouleau (avant le match France-Nigeria), qui a réuni lundi dernier 10,8 millions de téléspectateurs. «Nous sommes les seuls capables de fédérer plus de 8 millions de téléspectateurs et à proposer des programmes qui en rassemblent plus de 10 millions», fait valoir TF1. Les «petites fragilités» rencontrées dans la fiction française, où certaines séries peinent à séduire (Taxi Brooklyn et Résistance), sont compensées par des «événements fédérateurs», explique la Une, qui n’hésite pas à dire que les autres grandes chaînes «dévissent». La guerre des mots est un art bien connu des patrons de chaîne… Thomas Valentin, vice-président du directoire du groupe M6 et patron des antennes, relativise la situation. «En réalité, toutes les chaînes historiques baissent, souligne-t-il. Sans le Mondial, TF1 aurait baissé aussi.» L’explication est simple: la fragmentation des audiences. «La France compte vingt-cinq chaînes gratuites, dont six nouvelles qui ont pris deux points de part d’audience en un an», poursuit Thomas Valentin. La multiplication des offres a pour conséquence mécanique une baisse de l’audience des chaînes historiques. Le patron fait aussi valoir que sur la cible très recherchée des ménagères de moins de 50 ans «TF1 a reculé trois fois plus que M6, qui a donc mieux résisté». La chaîne croit pouvoir repasser la barre des 10 % de part d’audience au second semestre. Elle mise sur son nouveau programme, «Rising Star», à la rentrée, et sur quelques émissions phares comme «L’amour est dans le pré», bien rodée, ou «Cauchemar en cuisine/à l’hôtel» et «Patron incognito», qui ont bien démarré. Pour France Télévisions, le premier semestre s’est soldé par une bonne performance de France 3, seule grande chaîne à progresser sur un an, à 9,5 % de part d’audience (+ 0,2 point), soutenue notamment par les soirées électorales du printemps. France 2 a, de son côté, profité des 70 ans du Débarquement avec une journée spéciale le 6 juin qui a rassemblé 16 millions de téléspectateurs. Le groupe audiovisuel public se félicite par ailleurs de sa progression en soirée sur France 2 et France 3, grâce à la fiction française, notamment les séries Alex Hugo et Lanester, qui ont dépassé 17 % de part d’audience. Lancée fin 2012 par le groupe Canal +, qui avait racheté Direct 8 à Bolloré, D8 s’est imposée en un temps record comme la première chaîne  de la TNT, devant W9 (groupe M6) et TMC (groupe TF1), et la cinquième chaîne nationale. Avec 3,3 %  de part d’audience au premier semestre, «la nouvelle grande chaîne» a montré sa «capacité à progresser dans un contexte concurrentiel intense (JO et Mondial)  en s’appuyant sur une grille de chaîne généraliste», explique Ara Aprikian,  son président. D8 a installé deux «talks» – «Touche pas à mon poste!» avec Cyril Hanouna et «Le Grand 8» animé par Laurence  Ferrari – et des programmes variés en prime (films, divertissements, magazines), réunissant jusqu’à 1,5 à 2 millions de téléspectateurs. La chaîne ajoutera la brique  des jeux à la rentrée  avec «Le Maillon faible»  et «À prendre ou à laisser» présentées par Julien  Courbet.

 

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