Archive pour le Tag 'monarque'

Monarchie : le roi Macron reçoit Charles III

Monarchie : le roi Macron reçoit Charles III


En toute modestie, le roi Macron reçoit avec faste Charles III à Versailles et dans d’autres lieux symboliques. Un rituel complètement dépassé mais qui colle bien à la personnalité d’un président qui souvent confond démocratie et monarchie.

Certes il n’est pas incohérent de recevoir Charles III, chef d’État d’Angleterre mais il n’était sans doute pas nécessaire de le faire avec autant de faste. À moins que le cérémonial ne vise aussi à honorer celui qui reçoit.

Mercredi soir, Charles III et la reine Camilla seront accueillis à Versailles pour un dîner d’Etat. Le repas sera donné dans la galerie des Glaces, le lieu le plus emblématique du château, destiné à l’origine à célébrer la toute puissance de Louis XIV et à éblouir ses visiteurs. Entre 150 et 180 invités sont conviés à ce dîner.

Le choix de Versailles répond avant tout à une volonté de « faire rayonner la France » à travers un de ses sites les plus prestigieux et à un souhait de Charles III, « sensible à l’idée de marcher dans les pas de sa mère », avance l’Elysée auprès de l’AFP.

Président ou monarque ?

Président ou monarque ?

 

Un papier du « Monde » sur l’évolution du champ régalien

 

Dans le tumulte de la campagne électorale, et alors que la guerre a éclaté en Ukraine, se recentrer sur certains sujets permettrait aux candidats à la présidentielle de démontrer qu’ils ont la stature et le sérieux nécessaires pour occuper la plus haute magistrature. Il suffit pour eux de revenir au régalien, affirment les commentateurs. Mais de quoi s’agit-il ? On fait ici référence aux prérogatives qui formaient hier le cœur de la puissance royale : battre monnaie, faire la guerre, préserver l’ordre et rendre justice en dernier ressort. Dans un langage plus moderne, on dirait qu’il s’agit des pouvoirs les plus importants de l’Etat. La quadrature n’a pas vraiment changé, sauf pour ce qui a trait à la monnaie, on préfère désormais parler de la conduite de la politique économique en général.

Le terme « régalien » a une longue histoire. C’est au Moyen Âge qu’il faut remonter pour en retracer l’origine. « Alors que le pouvoir monarchique se met en place, l’ancien français emprunte au latin le vocabulaire attaché au roi. L’adjectif “regalis”, dérivé de “regis” (“roi”), sert de base pour former deux synonymes, “royal” et “régale” », rappelle Olivier Bertrand, linguiste, spécialiste de l’histoire du français. Le terme « regalia » apparaît également pour désigner l’ensemble des objets cérémoniaux propres au roi, le sceptre, le globe, la couronne. « Entre le XIIe et le XIVe siècle, certains de ces regalia vont se dématérialiser. La couronne vient ainsi à désigner aussi le pouvoir détenu par le roi. Cependant, la puissance de celui-ci est à cette époque encore limitée par le fait qu’il ne dispose pas des forces nécessaires pour soumettre militairement l’ensemble des seigneurs locaux. Des légistes vont donc chercher à fonder dans le droit l’autorité du roi par la définition de pouvoirs considérés vitaux pour la survie de l’Etat. Ces regalia, que l’on appellera par la suite droits régaliens, émergent peu à peu à la faveur de débats incessants sur les prérogatives de la couronne », relate François Saint-Bonnet, historien du droit.

Chacun de ces droits continue néanmoins d’être contesté, tout comme l’autorité du roi, particulièrement au cours des guerres de religion de la fin du XVIe siècle. Face à la faiblesse relative du monarque, et aux troubles qui agitent la France, le philosophe et magistrat Jean Bodin (1530-1596) cherche à fonder l’unité du principe politique. Il ne retient comme signe de la souveraineté du prince que la puissance à donner et à casser la loi. Pour certains, Bodin aurait présagé de l’essor de l’absolutisme qui triomphe au siècle suivant sous Louis XIV.

 

Macron à la télé : 31 millions de Français pour l’audience président monarque

Macron à la télé : 31 millions de Français pour l’audience  président monarque

Conséquence du régime de monarchie républicaine que connaît la France, l’allocution du président a encore été suivie par 31 millions de Français. Il est vrai qu’en matière de crise sanitaire c’est le président qui décide à peu près de tout et seul. Le premier ministre, le ministre de la santé assurent  le service après-vente et le parlement joue les utilités. Une intervention de 24 minutes surtout consacrées à l’auto justification du pouvoir qui a pourtant changé de stratégie. Tout cela pour annoncer la fermeture des écoles et la limitation de la mobilité dans un rayon de 10 km. Dans le détail, près de 12,6 millions de téléspectateurs se sont massés devant TF1, ce qui représente une part d’audience de près de 38%. Sur France 2, quasiment 10 millions de personnes étaient aussi au rendez-vous, soit 29,2% du public. M6, qui retransmettait l’intervention, a fédéré de son côté 3,3 millions de Français. TMC en a attiré 1,3 million supplémentaire. Et Canal+, autour de 300 000. L’audience des chaînes d’information en continu, qui ont retransmis l’allocution du chef de l’État, est déjà comptabilisée. Mais le détail des chiffres pour chacune d’elles ne sera pas publié avant 11 heures.

Accueil princier pour le monarque Macron en Andorre

Accueil princier pour le monarque Macron en Andorre

Alors que la capitale du royaume était paralysée par les grèves de la RATP en raison des perspectives de réforme des retraites, le monarque Macron était reçu de manière princière en Andorre.
Normal, le président français, qui est « coprince » d’Andorre au nom d’une tradition qui remonte à Charlemagne, a visité ce vendredi matin successivement les paroisses (divisions administratives) de Canillo, Encamp, Sant Julia de Loria et Ordino.
Un accueil particulièrement apprécié par  Macron qui confond souvent la république avec une monarchie notamment en s’asseyant sur les corps intermédiaires y compris sur le Parlement. Cela pour substituer un pouvoir de nature théocratique qui veut privilégier le débat direct avec les Français. Une fiction évidemment pour mieux renforcer le pouvoir central. Témoin par exemple l’illusion de la démocratie directe dans un comité de citoyens choisis au hasard pour définir en quelques jours la politique de transition énergétique. Un comité qui sera forcément manipulé par les technos et les politiques sur fond de discussion de bistrot. En dernier ressort le monarque décidera ce qu’il veut.

Emmanuel Macron s’est donc adressé à la mi-journée aux membres du Conseil général, coiffés d’un bicorne traditionnel, déplorant un affaiblissement des liens économiques entre Andorre et la France et le « déclin » de la langue française dans ce petit Etat.

Le président, qui s’est décrit comme « un enfant des Pyrénées », les a aussi encouragés à mener à terme leurs difficiles négociations pour signer un accord d’association avec l’Union européenne. Pour Andorre, « le choix de l’Europe est celui d’une nouveau modèle, qui ne repose pas sur des exemptions et des facilités mais sur la beauté de ses paysages, la force de son tissu économique », a-t-il dit, en allusion au régime fiscal allégé d’Andorre.

Connue pour ses pistes de ski mais aussi les bas prix du tabac et de l’alcool, Andorre a quitté la liste « grise » de l’OCDE des paradis fiscaux en 2010, mis en place des taxations modérées et levé le secret bancaire pour les ressortissants de l’UE.

L’autre coprince d’Andorre est traditionnellement l’évêque d’Urgell, en Espagne. La situation d Andorre  constitue évidemment une bizarrerie juridique et politique mais qui n’est pas plus scandaleuse que celle de Monaco où se réfugient les grandes fortunes et les stars.

Macron : après le monarque le « concertateur »

Macron : après le monarque le « concertateur »

Sans doute macron envisage-t-il la politique comme une sorte de théâtre. Après avoir occupé la posture de monarque de l’acte de son mandat,  il ce propose maintenant de devenir le grand concertateur. Macon veut en effet désormais continuer ses réformes mais dans le cadre d’un débat, sans doute dans le style de celui qu’il avait lancé suite au mouvement des gilets jaunes. Autant dire un débat relativement virtuel et limité et dont de toute façon on ne tient pas compte des conclusions. Une espèce d’opération de grande communication ou de cirque électoral où Macron pourra encore se mettre en scène en multipliant les réunions soit dans les communes, soit avec certaines catégories sociales étant entendu que le public est soigneusement défini. Macron veut désormais faire aussi  dans la simplicité et la vigilance. Il promet même de ne plus provoquer par des paroles agressives. C’est en tout cas ce qu’il a déclaré lors du conseil des ministres. Une sorte d’autocritique voire de confession publique à laquelle on ne peut guère accorder de crédit quand on connaît la personnalité de l’intéressé qui confond évidemment la démocratie républicaine avec la monarchie.

S’il fallait une preuve, il suffirait de voir comment il s’entoure. Pour l’essentiel essentiellement des courtisans sans grande envergure et surtout pas de contre-pouvoir. pour s’en persuader il suffit de se rappeler avec quel mépris et quelle brutalité Macron a rejeté Borloo et son rapport sur les banlieues. Il en est de même concernant le rapport Delevoye  sur les retraites. Ce dernier qui ont pourtant mené une large concertation a du plier  devant l’exigence de Macon de modifier l’âge effectif de départ en retraite. Bien que réaffirmée ce  départ à 62 ans constitue une énorme fumisterie.

Macron a cependant engagé le gouvernement mercredi, lors du conseil des ministres de rentrée, sur le chemin de la « transformation du pays » via de « nouvelles méthodes » visant à répondre par la « concertation » aux « craintes » des Français.

Le  chef de l’Etat a appelé le gouvernement à un “devoir de vigilance” face aux inquiétudes des Français qui se sont exprimées lors de la crise des “Gilets jaunes”. Il a réaffirmé sa “détermination à mener les réformes” pour “transformer en profondeur notre pays avec le souci constant du respect des différentes parties prenantes, du dialogue et de la concertation”, a ajouté Sibeth Ndiaye. “Il a souhaité que ces nouvelles méthodes d’action soient emblématiques de la seconde partie de son quinquennat.”

Emmanuel Macron a demandé aux ministres de “se mettre en capacité de répondre aux craintes qui s’expriment” dans certains secteurs, a-t-elle poursuivi, citant les services des urgences dans La porte-parole a confirmé la concertation programmée sur les retraites évoquée plus tôt dans la journée par la ministre de la Santé, Agnès Buzyn.“L’objectif est à la fois de présenter les principes de cette réforme aux Français et les faire réagir”, a-t-elle dit.

Le monarque Macron refuse de se rendre au congrès des maires

Le monarque Macron refuse de se rendre au congrès des maires

Sur Franceinfo André Laignel, le premier vice-président de l’Association des maires de France (AMF) dénonce l’injure faite au congrès des maires par le refus de Macron d’y participer

 

Franceinfo : Emmanuel Macron ne viendra pas au congrès des maires de France. Comment le prenez-vous ?

André Laignel : Si c’est confirmé, puisqu’officiellement nous n’avons pas reçu de courrier répondant à notre invitation, ce serait une bien mauvaise manière. Mais ce n’est pas la première. Nous avons entendu expliquer en permanence que les élus locaux étaient trop nombreux, dépensiers, inefficaces et même, c’est une antienne du président de la République, clientélistes. Ce qui est reçu par les élus comme une véritable injure. Il y a ce mépris qui touche au plus profond d’eux-mêmes les élus. Ils sont à 90% totalement bénévoles, dévoué à leur commune.

Emmanuel Macron invitera les maires à l’Élysée. C’est symbolique ?

C’est un extraordinaire pied de nez à la décentralisation. Voilà que le lieu de la décentralisation serait l’Élysée, c’est à dire le lieu de l’hyper concentration. C’est un non-sens et cela sera ressenti très durement, très négativement, par l’ensemble des maires de France.

Un maire sur deux ne souhaite pas se représenter aux municipales de 2020. Vous comprenez pourquoi ?

Il y a de nombreuses raisons. Il y a la baisse de moyens considérable pour les communes. Il y a les exigences de nos concitoyens, souvent légitimes, mais auxquelles les élus ne sont plus capables de répondre. Il y a une forme de dédain, parfois de mépris à l’égard des élus locaux qui les blessent profondément. Et il y a la difficulté de la tâche qui s’est accrue. L’administration est de plus en plus complexe et prégnante.

Est-ce que le mouvement des gilets jaunes n’est pas poussé par les maires des petites communes ?

Qu’il y ait des maires qui s’engagent dans ce mouvement, c’est la réalité, comme s’engagent de nombreux citoyens. Mais ce n’est pas un mouvement des maires, bien évidemment. Mais c’est le signe d’un ras le bol général, d’une démocratie qui entre en déliquescence. Il est urgent de réagir, de redonner à la proximité, c’est-à-dire aux communes, la capacité de répondre aux attentes des citoyens. La démocratie locale, c’est ce qui permet le vivre ensemble. Battons-nous pour que ce vivre ensemble continue à être au cœur de la République. C’est à cela que nous nous engageons.

Macron : entre une posture de monarque et d’ado prolongé

Macron : entre une  posture de monarque et d’ado prolongé

 

On imagine mal les conseillers de com. De l’Elysée tenter de recentrer un peu la posture de Macron . L’homme n’est pas un familier de la remise en cause. Mais force est de constater que Macron ne parvient pas à adapter une attitude d’adulte contemporain à l’image par exemple de Theresa May, d’Angela Merkel ou encore d’Obama. Il en fait trop dans tous les domaines. Quand il veut redonner sa majesté à la fonction présidentielle, il choisit un rituel démodé de monarque truffant ses discours de « je » jusqu’à la nausée et donnant l’impression que sa légitimité relève du droit divin. Cette manière aussi de tuer toute contestation autour de lui, chez ses conseillers, au gouvernemenet ou dans le part EN Marche  témoigne de cette pathologie au parfum autocratique quand même. Inversement quand il verse dans des effusions d’amabilités en embrassant ses interlocuteurs, il ne parait pas très crédible non plus. D’une certaine manière on pourraiat dire que Macron, qui a fait du théâtre dans sa jeunesse, tombe dans le travers classique des débutants en surlouant ses rôles. Monarque républicain qui veut  marquer histoire d’un coté et de l’autre,  ado prolongé ou adulte pas tout à fait fini psychologiquement. Bref une  sorte d’enfant gâté qui  ne veut pas que d’autres lui prennent ses jouets et qui s’obligent à des postures extrêmes et contradictoires pour bien faire comprendre à tous et à d’éventuels concurrents que c’est lui l’enfant préféré. D’où sans doute ce qui manque à Macron un peu de simplicité vraie, un peu de compassion, tout simplement de considération et d’amour pour l’autre. L’homme ne manque pas de qualités, il en déborde m^me,  mais il est trop froid, trop égocentrique, trop condescendant. Bref le courant passe difficilement avec les Français.

 

Congrès Versailles : le monarque boycotté par LFI

Congrès Versailles : le monarque boycotté par LFI

 

 

La réunion en congrès du parlement est bien entendu une énième opération de com. pour mettre Macron dans la lumière. Première remarque pourquoi à Versailles symbole d’une  monarchie qui ne change pas grand-chose quand elle devient républicaine (les énarques ont remplacé les anciens courtisans et la haute finance la bourgeoisie). Seconde observation, ces symboles de monarchie réhabilitée commence à souler nombre de citoyens qui attendaient un chef d’Etat ouvert et moderne et hérite en fait d’un dirigeant  finalement assez rétro, arrogant et qui s’enivre de son propre parfum. Tout ce cérémonial est complètement désuet ; d’abord la réunion d’un congrès n’est pas utile ; ensuite il pourra t se tenir à Paris et non dans le temple de la monarchie. Il sera surement encore question de la réforme de la constitution comme si c’était la préoccupation majeure dans un environnement où la croissance est menacée notamment par l’environnement géopolitique.  “Le monarque Emmanuel Macron recevra de nouveau les représentants du peuple à Versailles. Ils auront le droit d’écouter sa majesté et de lui répondre une fois qu’il sera parti. Ce nouveau monde a tout de l’ancien régime et rien de la République. Ce sera sans nous”, peut-on lire sur le compte Twitter du député LFI Eric Coquerel. Le discours présidentiel de Versailles sera suivi, après le départ du chef de l’Etat, d’un débat sans vote du Parlement.

Castaner patron d’en Marche : le choix du monarque.

Castaner patron d’en Marche : le choix du monarque. 

Macron avait bien manifesté l’intention de révolutionner la vie démocratique mais finalement il reprend d les méthodes de la politique à l’ancienne en désignant les oligarques les plus fidèles au poste de responsabilité y compris dans le parti en marche, davantage un mouvement ou un club de fans qu’une véritable organisation démocratique. La nomination de Castaner à la tête de la république en marche découle incontestablement du choix du monarque. Il est vraisemblable que Castaner obtiendra un score à la chinoise lors de son élection comme responsable de la république en marche. À moins de trouver des  candidatures de témoignages pour donner l’illusion démocratique. Sûrement pas un candidat de la base puisque la base est absente de l’organisme de direction. 25 % seulement des adhérents seront présents dans l’organisme de direction est encore tirés  au sort,  comme au  loto. Le pire ennemi de Macon ce ne sont sans doute pas les formations politiques d’opposition toute plus ou moins en voie de recomposition voire pour certaines d’extinction. Le pire ennemi pour Macron c’est sans doute lui-même et le centralisme démocratique qu’il impose à tous les étages. Certes les Français se réjouissent qu’Emmanuel Macon fasse preuve d’une autorité qui a grandement manqué notamment à Hollande. Par contre,  ils risquent  de moins supporter cette espèce d’attitude monarchique qui touche parfois d’ailleurs au ridicule comme sa longue marche lors de la  cérémonie relative à son investiture ou encore lors de la signature des ordonnances. Il faudra que le jeune Macon ne s’enivre pas trop de son propre parfum d’autant qu’il n’est entouré que de courtisans qui n’osent pas émettre la moindre critique. Malgré la promesse de «renouveau», certaines pratiques ont la vie dure… Comme en témoignent les derniers rebondissements au sein de La République en marche. Alors que le parti peine à exister et se cherche un nouveau chef depuis l’élection présidentielle, Christophe Castaner a accepté de faire acte de candidature ce mercredi matin. Sauf que, comme l’a révélé le journal Les Échos, le porte-parole du gouvernement ne s’est pas décidé tout seul: c’est Emmanuel Macron qui l’a choisi, après de longues tractations, et qui a exigé de lui qu’il se lance. Il le lui a annoncé lors d’un dîner privé qui s’est tenu à l’Élysée lundi soir. Au sein de l’opposition, plusieurs voix se sont immédiatement élevées cette «désignation» élyséenne, qui illustrerait le cruel manque de démocratie qui frappe le parti de la majorité. «Donc le nouveau monde de Macron, c’est choisir seul dans son bureau élyséen Castaner patron de LREM. Euh… et le vote des militants?», a interrogé le député PS du Val-de-Marne, Luc Carvounas, sur Twitter. «Pas de vote, pas de consultation, l’Élysée décide!! Il est beau ce nouveau monde!», avait déjà asséné le député FN du Nord, Sébastien Chenu, toujours sur le même réseau social. «Désigné candidat unique par le président, Christophe Castaner bientôt élu par une base unanime… LREM devient LRMAP: La République marche au pas», a quant à elle ajouté la sénatrice EELV de Paris, Esther Benbassa.

 

 

Julie Gayet : nouvelle favorite officielle du monarque Hollande

Julie Gayet :  nouvelle favorite officielle du monarque Hollande

En étant autorisée à se montre à la cour Julie gayet devient (après Trierweiler) la favorite officielle de Hollande. Le monarque républicain se comporte d’un certain point de vue comme sous l’ancien régime, comme Louis XV par exemple avec la du Barry. (après la Pompadour). C’est le privilège royal ( avec bien d’autres). La France est en crise, la croissance insignifiante, le chômage dramatique, les déficits alarmants mais le roi s’amuse. Il a bien le droit comme les autres Français d’avoir des maitresses  mais il n’est pas obligé de les imposer à l’Elysée. La preuve s’il en était que pour Hollande tout est  permis .  Pourtant il avait bien dit «  moi président….exemplaire » oui mais ça c’était avant ! Julie Gayet et François Hollande ont donc  assisté tous les deux à la commémoration de l’appel du 18 juin sur le Mont Valérien. Officiellement, elle était présente en tant que petite-fille d’Alain Gayet, connu pour être Compagnon de la Libération. La relation de Julie Gayet et du chef d’État avait été révélée par Closer en janvier 2014. Une opération de communication concertée et pensée pour définir le nouveau rôle de Julie Gayet, selon le président de MCBG Conseil. « Son nouveau rôle, ça ne peut pas être autre chose que celui de première dame« , explique-t-il.   Pourquoi cette communication ? Deux causes possibles, selon Philippe Moreau Chevrolet : « Soit pour répondre à la polémique sur le fait que Ségolène Royal s’est affichée au côté de François Hollande à la place de Julie Gayet pour accueillir le Premier ministre espagnol, soit pour essayer de préparer 2017« . Il le rappelle par ailleurs sur son compte Twitter.

Gayet- Hollande : le monarque installe ses courtisanes

Gayet- Hollande : le monarque installe ses courtisanes  

Les médias s’interrogent sur la manière dont ont été prises les photos de Julie gayet en compagnie de Hollande à l’Elysée. Or ce n’est pas vraiment la question. Le problème est en effet de savoir  si Hollande est un président de la république ou un monarque. Il a déjà installé Trierweiler officiellement alors qu’elle n’avait rien à faire à Elysée. Maintenant c’est Julie Gayet ; Au moins les précédents présidents de la république avaient la décence de cacher leurs frasques à l’extérieur. Bien entendu un président est un homme, il peut avoir une vie affective et/ou sexuelle mais faute de liens du mariage, il  n‘a pas à utiliser les palais de la république pour satisfaire son vide affectif ou sa libido (même avec les liens du mariage le statut de la Première Dame est déjà discutable).  Le magazine Voici a publié  trois nouvelles photographies de François Hollande en compagnie de Julie Gayet, cette fois côté jardin de l’Elysée. Ces photos ont été visiblement très agrandies, ce qui altère la qualité de l’image. L’actrice, dont on devine les traits, apparaît de dos ou de trois quarts, faisant face à François Hollande.  Le journal précise que Julie Gayet passerait par ailleurs de plus en plus de temps au palais présidentiel, où elle dormirait même plusieurs fois par semaine. D’une certaine manière Julie Gayet faiat parie des meubles de l’Elysée. Curieuse conception du respect de la fonction présidentielle. Mais Hollande se caractérise par une absence totale de scrupules tant dans le domaine privé qua dans le domaine public. C’est le petit bourgeois dans toute sa splendeur, égoïste, jouisseur et hautain. Hollande, le président décadent investi par Dieu (en occurrence le PS) et qui installe ses courtisanes dans le palais présidentiel sans aucun état d’âme comme sous l’ancien régime avec la majesté en moins. L’oligarchie a simplement remplacé la monarchie !

 

Hollande, le dernier monarque républicain décadent ?

Hollande le dernier  monarque décadent ?

 

Hollande y croit, c’est lui le monarque républicain, il est le patron, le chef, le grand ordonnateur. Et il se complait dans la pompe républicaine  avec ses rituels désuets. Bref,  Il est hors sol et hors du temps ; Un seul exemple significatif quand il fait attendre les quelques centaines de journalistes (et je gouvernement tout entier) pendant 10 minutes pour rien avant de commencer sa conférence de presse. Pour bien marquer sa superbe et sa condescendance à l’égard de ses sujets. Ridicule en effet et pathétique de faire aussi attendre les téléspectateurs pendant 10 minutes alors que cette conférence de presse est prévue depuis des mois, que c’est un événement majeur pour lui (mais complètement raté cette fois) et en plus sur place à  l’Elysée. Cette pompe est pathétique. Hollande est hors du temps, hors sol, il se vautre dans les oripeaux du pouvoir et les ors de la république comme un ivrogne dans sa vinasse abandonnant  en même temps toute dignité et même tout respect d’autrui. Hollande risque d’être l’un des derniers monarques républicains décadents. Le système politique est t condamnés à exploser car les Français ne croient plus les bonimenteurs, leurs tours de magie et leur mise en scéne désuète. Et cette manière de s’exprimer, ridicule, emphatique, hautaine même. Bref la culture de l’énarchie( et de ses petits marquis)  qui s  ‘est appropriée le pouvoir partout. Ce ne sera pas nécessairement la révolution mais c’est déjà le dégout, le désintérêt total des Français pour ces politiques déphasés. Pour 2017,  l’abstention risque atteindre un record car il y a désormais deux mondes celui des clercs de système   politique et le peuple des non croyants.

Hollande : une posture de monarque

Hollande : posture  de monarque

 

Changement de ton, changement de débit, changement de la gestuelle ; Hollande en posture monarque. Ses conseillers en com. lui avaient recommandé d’’apparaître beaucoup plus tranchant, plus décidé, plus autoritaire. Bref de se monter en vrai chef puisqu’il est surtout ressenti comme quelqu’un qui hésite, qui slalome et finalemenet ne sait pas décider. Du coup c’est vraiment le monarque qui s’est exprimé, « Je, je, je ». Pas un instant il n’a été fait la moindre référence ni au gouvernement, ni au Premier Ministre, ni aux institutions ; Hollande est le seul chef, c’est l’Elysée qui commande y compris sur le contrôle des économies publiques, » j’y veillerai personnellement ». Du coup on se demande si on a vraimenet besoin d’un gouvernement avec un tel monarque.  Surement pas d’ailleurs puisqu’il y a environ 1000 collaborateurs à l’Elysée pour à peine la moitié à Matignon, une misère !  Hollande et ses conseillers entretiennent un rapport ambigu avec la démocratie et ils confondent sans doute république et monarchie. Du coup le président mou qui se déguise en dur le soir du réveillon apparait encore plus pathétique comme finalemenet sa conception de la démocratie : poussiéreuse.

 




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