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SONDAGE- Molenbeek : 87% pensent qu’il y a de nombreux en France

SONDAGE- Molenbeek : 87% pensent qu’il y a de nombreux en France

Dans un sondage Odoxa 87% des sondés pensent que nombreuses viles françaises ressemble à  Molenbeek. Une opinion aussi bien partagée par les sympathisants de droite (96%) que par les sympathisants de gauche (81%).Patrick Kanner, ministre des sports,  avait  déclenché une belle polémique en déclarant qu’il y avait en France une centaine de quartiers français de type Molenbeek. Il y a sans doute une centaine de quartiers français de type Molenbeek en France, c’est-à-dire de quartiers susceptibles d’alimenter le réservoir de terroristes. En cause l’intégrisme radical qui y règne. Malheureusement ce chiffre est sans doute sous-estimé car cela représente un quartier par département et il y a sans doute 10 fois plus de quartiers infectés par l’intégrisme. Pas forcément des quartiers de recrutement pour le terrorisme mais des quartiers communautarisés où sont niées les valeurs républicaines et où se développe un environnement sociétal de non-droit. Pour le ministre des sports, « c’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultracommunautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras ». Une analyse aussitôt contestée par les oligarques du parti socialiste et notamment par l’ancien marxiste de la ligne communiste révolutionnaire Julien Dray reconverti dans la langue de bois  par les délices du pouvoir. Le conseiller régional socialiste d’Ile-de-France Julien Dray a en effet  récusé l’expression de « Molenbeek français ». « On croit que par les formules on résout les problèmes. On cède à la facilité de la communication et ça ne livre aucune information réelle », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Il a pourtant dressé un constat comparable à la situation décrite par le ministre de la Ville, déclarant que la « ghettoïsation urbaine » sociale et ethnique de la société française ces vingt dernières années avait donné naissance à des « ghettos sociaux (confrontés) à une montée de la délinquance, à des noyaux islamistes qui essayent d’utiliser ces problèmes sociaux, de les instrumentaliser. ». « Nous aussi, en France, nous avons des quartiers qui sont sous l’emprise à la fois des trafiquants de drogue et des réseaux islamistes et salafistes », avait indiqué le Premier ministre sur Europe 1.

 

SONDAGE. 87% pensent qu’il y a de nombreux Molenbeek en France

SONDAGE. 87% pensent qu’il y a de nombreux Molenbeek en France

Dans un sondage Odoxa 87% des sondés pensent que nombreuses viles françaises ressemble à  Molenbeek. Une opinion aussi bien partagée par les sympathisants de droite (96%) que par les sympathisants de gauche (81%).Patrick Kanner, ministre des sports,  avait  déclenché une belle polémique en déclarant qu’il y avait en France une centaine de quartiers français de type Molenbeek. Il y a sans doute une centaine de quartiers français de type Molenbeek en France, c’est-à-dire de quartiers susceptibles d’alimenter le réservoir de terroristes. En cause l’intégrisme radical qui y règne. Malheureusement ce chiffre est sans doute sous-estimé car cela représente un quartier par département et il y a sans doute 10 fois plus de quartiers infectés par l’intégrisme. Pas forcément des quartiers de recrutement pour le terrorisme mais des quartiers communautarisés où sont niées les valeurs républicaines et où se développe un environnement sociétal de non-droit. Pour le ministre des sports, « c’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultracommunautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras ». Une analyse aussitôt contestée par les oligarques du parti socialiste et notamment par l’ancien marxiste de la ligne communiste révolutionnaire Julien Dray reconverti dans la langue de bois  par les délices du pouvoir. Le conseiller régional socialiste d’Ile-de-France Julien Dray a en effet  récusé l’expression de « Molenbeek français ». « On croit que par les formules on résout les problèmes. On cède à la facilité de la communication et ça ne livre aucune information réelle », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Il a pourtant dressé un constat comparable à la situation décrite par le ministre de la Ville, déclarant que la « ghettoïsation urbaine » sociale et ethnique de la société française ces vingt dernières années avait donné naissance à des « ghettos sociaux (confrontés) à une montée de la délinquance, à des noyaux islamistes qui essayent d’utiliser ces problèmes sociaux, de les instrumentaliser. ». « Nous aussi, en France, nous avons des quartiers qui sont sous l’emprise à la fois des trafiquants de drogue et des réseaux islamistes et salafistes », avait indiqué le Premier ministre sur Europe 1.

 

Une centaine de Molenbeek : « beaucoup de responsables n’ont pas compris ce qui se passe dans les quartiers » (maire de Sarcelles)

Une centaine de Molenbeek : « beaucoup de responsables n’ont pas compris ce qui se passe dans les quartiers » (maire de Sarcelles)

 

 

 

Interview dans challenges du Député socialiste, maire de Sarcelles et président de l’Agence Nationale pour la rénovation Urbaine,

Patrick Kanner, le ministre de la ville, a déclaré qu’une centaine de quartiers présentaient des similitudes avec Molenbeek. A-t-il raison?

Oui, surtout quand je vois les réactions que cela suscite. Beaucoup de responsables politiques n’ont pas compris ce qui se passe dans ces quartiers. Ils sont incapables de conceptualiser la ghettoïsation. Dans ces cités déstructurées, il y des individus qui peuvent basculer de la délinquance au terrorisme. C’est ce qui s’est passé pour la quasi-totalité des terroristes en France.

En tant que maire de Sarcelles, comment vivez-vous cette radicalisation. Et comment réagir?

Notre plus grande difficulté, c’est que les islamistes ont identifié nos quartiers difficiles comme un terreau pour y recruter de potentiels terroristes. Nous sommes confrontés à une véritable entreprise de déstabilisation. L’Etat doit réagir mais il ne doit pas le faire seul. Il faut créer une task force associant les administrations centrales et les élus locaux afin d’échanger les informations de façon systématique. Par exemple, à Sarcelles, deux écoles coraniques viennent d’ouvrir, en toute légalité. Il faut que toutes les informations sur ces écoles, que certains soupçonnent d’abriter des réseaux salafistes, soient partagées. Les échanges existent mais ils sont liés aux relations amicales entre élus et responsables d’administrations. Il faut les systématiser.

Manuel Valls avait dénoncé l’apartheid « territorial, social et ethnique », il y a plus d’un an. Depuis, qu’est ce qui a changé?

Le premier ministre a défini une stratégie très offensive pour lutter contre les cités ghettos. Mais elle tarde à se mettre en place. Le Premier ministre a bien compris qu’il faut arrêter de concentrer les ménages les plus pauvres dans les villes en difficulté. Mais les préfets appliquent encore le Dalo, le droit au logement, et ils affectent les ménages les plus modestes dans les cités qui ont le plus de logements sociaux. La politique de peuplement, qui visait à casser les ghettos, n’est pas encore visible. On ne change pas des habitudes prises pendant 30 à 40 ans aussi vite.

Manuel Valls voulait aussi obliger les communes riches à construire des logements sociaux…

Oui, la pression est montée. Les préfets ont même réquisitionnés 70 terrains dans les communes qui refusaient d’appliquer la loi qui leur impose 25% de logements sociaux. Mais il faut faire très attention au type de logement social que vont construire les communes riches. Si ce sont des logements pour classes moyennes, cela risque de siphonner ces populations qui restent encore dans nos banlieues difficiles. Il faut imposer aux villes riches d’accueillir les ménages les plus en difficulté.

Molenbeek : révélateur du déni général d’intégrisme en France

Molenbeek : révélateur du  déni général d’intégrisme en France

 

 

Jusque-là pratiquement inconnu Patrick Kanner, le ministre des sports, est sorti de l’anonymat avec sa phrase choc « Il y a aujourd’hui, on le sait, une centaine de quartiers en France qui présentent des similitudes potentielles avec ce qui s’est passé à Molenbeek ». Une évidence mais qui a mis en émoi toute la classe politique à droite comme à gauche. À droite parce que nombreux d’élus locaux se sentent un peu concerné par l’immobilisme dont ils sont coupables voir leur complicité ; à gauche ; parce qu’un tel  constat constitue un aveu d’échec de la politique des banlieues. Une  émotion toutefois un peu suspect dans la mesure où le phénomène d’intégrisme n’est pas nouveau,  qu’il a pris naissance il y a 30 ou 40 ans et qu’il n’a cessé de s’amplifier.  la réticence à faire un constat objectif de ce phénomène tient aussi à la peur de tutoyer les valeurs de l’extrême droite du coup un peu partout on relativise dans la plus parfaite hypocrisie. À droite par exemple si on conteste à peine la pertinence du propos on critique le ministre des sports considérant qu’une telle déclaration est inopportune dans d’une période où les Français ont besoin d’être rassurés. À gauche on ergote ;  non, ce ne sont pas des quartiers, peut-être des immeubles peut-être des porches. Bref globalement dans la classe politique ça vasouille sérieusement. Difficile pourtant de nier l’existence de zones de non-droit où notamment le trafic de drogue fait office de moyen de régulation économique et sociale. Des quartiers abandonnés par tous les services publics, écoles exceptées où  le gardiennage fait souvent office de programme scolaire. Les facteurs explicatifs sont nombreux les responsabilités aussi et les débats dans les grands médias montrent qu’expert, politiques, responsables locaux sont bien incapables de faire une analyse un peu complète et pertinente. La petite phrase prononcée dans le creux du dimanche de Pâques par Patrick Kanner, n’en donc  finit pas de faire réagir. Dimanche soir, c’est Jean-Christophe Cambadélis, à l’unisson d’autres personnalités de gauche, qui a repris de volée le ministre des Sports, parlant de formule « discriminatoire » et estimant qu’il peut y avoir en France « des poches », « des immeubles » qui présentent des « problèmes » similaires à Molenbeek, épicentre du djihadisme belge, mais pas « des quartiers » entiers. Ce dimanche, c’est la droite qui s’est saisie de la polémique, avec des avis divers. Sur France info, le député Les Républicains Hervé Mariton a jugé que le ministre posait un « diagnostic lucide sur une situation réellement dangereuse ». « La politique de la ville a été d’une très coupable naïveté. On a donné beaucoup d’argent pour des » grands frères « qui ont en réalité déstructuré le civisme davantage qu’ils ne l’ont structuré ». « Il ne faut pas faire d’amalgame » mais « les quartiers sortis de tout contrôle existent », a-t-il conclu, rappelant que gauche et droite partagent les responsabilités. Mais Jean-Christophe Lagarde, président du parti centriste UDI, s’est dit lui « agacé » par la sortie du ministre, « parce que c’est le genre de formule qui débilise, qui mutile le débat politique français ». « Je ne crois pas du tout qu’il y ait des centaines de Molenbeek en France. (…) La vérité, c’est qu’on a des quartiers qui sont ghettoïsés ». Pour lui, Patrick Kanner a dit cela « sans doute pour faire parler de lui… Un ministre inconnu qui arrive ainsi à la Une de l’actualité ». Raphaël Logier, sociologue du fait religieux interrogé par France info ce lundi juge que cette déclaration n’est « pas crédible ». « Ce n’est pas crédible d’annoncer des chiffres de ce genre, qui relèvent plus d’une politique de l’emblème que du sérieux que l’on attendrait des déclarations d’un représentant de l’Etat. D’un côté, on parle de communautarisme, d’un autre côté on parle de chômage, de problèmes économiques », explique Raphaël Liogier. Amar Lasfar, le président de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France), dit lui être « d’accord » avec Patrick Kanner. « Il y a des phénomènes de radicalisation partout, pas uniquement dans un certain nombre de quartiers », a-t-il précisé, tout en regrettant une déclaration de nature à « stigmatiser », parce qu’

Polémique sur les nombreux quartiers français de type « Molenbeek français »

Polémique sur les nombreux quartiers français  de type   »Molenbeek français »

 

 

Patrick Kanner a déclenché une belle polémique en déclarant qu’il y avait en France une centaine de quartiers français de type Molenbeek. Une déclaration qui surprend dans la mesure où le ministre des transports sort de son champ de compétence. Il faut dire que dans ce gouvernement complètement éclaté chaque membre ne se prive pas d’intervenir sur des sujets dont il n’a pas la charge. Macron, Sapin, Ségolène Royal et bien d’autres interviennent à tort et à travers sur des thèmes dont ils n’ont pas la responsabilité. Patrick Kanner est, comme Roselyne Bachelot, un ministre nommé au sport au hasard des combinaisons politiciennes. Il ne connaît évidemment rien au portefeuille qui lui a été confié (il n’est pas le seul !) et tente donc d’exister en sortant de son champ de compétence. Pourtant cette déclaration intempestive ne manque pourtant pas de pertinence. Il y a sans doute une centaine de quartiers français de type Molenbeek en France, c’est-à-dire de quartiers susceptibles d’alimenter le réservoir de terroristes. En cause l’intégrisme radical qui y règne. Malheureusement ce chiffre est sans doute sous-estimé car cela représente un quartier par département et il y a sans doute 10 fois plus de quartiers infectés par l’intégrisme. Pas forcément des quartiers de recrutement pour le terrorisme mais des quartiers communautarisés où sont niés les valeurs républicaines et où se développe un environnement sociétal de non-droit. Pour le ministre des sports, « c’est une concentration énorme de pauvreté et de chômage, c’est un système ultracommunautariste, c’est un système mafieux avec une économie souterraine, c’est un système où les services publics ont quasiment disparu, c’est un système où les élus ont baissé les bras ». Une analyse aussitôt contestée par les oligarques du parti socialiste et notamment par l’ancien marxiste de la ligne communiste révolutionnaire Julien Dray reconvertie par les délices du pouvoir. Le conseiller régional socialiste d’Ile-de-France Julien Dray a récusé l’expression de « Molenbeek français ». « On croit que par les formules on résout les problèmes. On cède à la facilité de la communication et ça ne livre aucune information réelle », a-t-il déclaré lors du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro. Il a pourtant dressé un constat comparable à la situation décrite par le ministre de la Ville, déclarant que la « ghettoïsation urbaine » sociale et ethnique de la société française ces vingt dernières années avait donné naissance à des « ghettos sociaux (confrontés) à une montée de la délinquance, à des noyaux islamistes qui essayent d’utiliser ces problèmes sociaux, de les instrumentaliser. » Pour Patrick Kanner, cette situation trouverait notamment ses racines dans les émeutes urbaines de 2005, qui ont contribué au développement du salafisme dans certains quartiers, en fragilisant la jeunesse devenue par la suite une cible pour des « prédateurs ». « Nous avons tous une part de responsabilité », a-t-il observé en mettant cependant en cause la baisse des moyens alloués à la police, à l’Education nationale et au monde associatif par la majorité précédente. « Il y a eu un problème de mauvaise gestion de ces quartiers pendant les années « , a dit Patrick Kanner. « Nous aussi, en France, nous avons des quartiers qui sont sous l’emprise à la fois des trafiquants de drogue et des réseaux islamistes et salafistes », avait indiqué le Premier ministre sur Europe 1.




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