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Accueil des migrants reporté à Bruxelles dans un mois !

Accueil des migrants reporté à Bruxelles dans un mois !

 

Finalement on a décidé à Bruxelles de ne rien décider avant un mois concernant les conditions de répartitions des réfugiés à l’intérieur de l’Europe. La conséquence immédiate sera la restauration du contrôle des frontières des pays qui le des six de rond en gros la battent la pagaille va continuer chacun s’efforçant de refouler les réfugiés dans le pays voisin. Les conditions d’accueil des premiers pays destinataires de migrants seront toutefois encouragées à mieux formaliser les conditions d’accueil et d’enregistrement des réfugiés. Il est pour le moins surprenant que face à une crise sans précédent on est décidé de reporter à dans un mois l’épineuse question des quotas. Dans ce domaine comme dans la plupart des domaines de politique internationale l’Europe montre ainsi l’inconsistance de ces orientations voir l’absence totale de toute politique. Des contradictions qui vont sans doute se réapparaître lorsque l’union européenne se décidera enfin à traiter de la question des alliances internationales pour lutter contre l’État islamique. Les ministres de l’Intérieur d’une Union européenne fortement divisée n’ont pas réussi à se mettre d’accord lundi à Bruxelles sur un système de répartition des réfugiés, tandis que certains pays rétablissaient le contrôle à leurs frontières. A l’issue de six heures de réunion, les ministres ont trouvé un accord de principe a minima et à la majorité simple pour se répartir 120.000 demandeurs d’asile supplémentaires arrivés ces derniers mois en Italie, en Grèce et en Hongrie, comme l’a demandé mercredi dernier la Commission européenne, en plus des 40.000 acceptés en mai sur la base d’une répartition volontaire. L’annonce a été faite sur Twitter par le Luxembourg, qui assure la présidence tournante de l’UE. Mais l’adoption du détail de la répartition pays par pays a été renvoyée à la prochaine réunion des ministres de l’Intérieur, le 8 octobre. Plusieurs anciens pays communistes d’Europe centrale se sont montrés fermement opposés à un système de quotas contraignants pour organiser l’accueil des réfugiés. Au contraire, la Hongrie, l’un des trois principaux pays d’accès à l’espace européen avec l’Italie et la Grèce, a fermé lundi l’un des principaux points de passage utilisés par les migrants entre la Serbie et le territoire hongrois, à quelques heures de l’entrée en vigueur de nouvelles règles restreignant le franchissement de sa frontière. Et, dans la journée, l’Autriche et la Slovaquie, emboîtant le pas à l’Allemagne qui avait de même dimanche, ont annoncé le rétablissement des contrôles à leurs frontières. « Nous n’avons pas trouvé l’accord que nous voulions », a déclaré à la presse le commissaire européen aux Affaires intérieures, Dimitris Avramopoulos. « La majorité des Etats membres sont prêts à aller de l’avant, mais pas tous. » Les ministres se sont toutefois mis d’accord pour renforcer la protection des frontières extérieures de l’EU en hommes et en ressources ainsi que l’aide au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), à la Turquie et aux autres Etats qui accueillent en priorité les réfugiés (quatre millions) ayant ont fui la guerre civile en Syrie.

Consommation: il manque 500 euros par mois aux Français

Consommation:  il manque 500 euros par mois aux Français

Il faudrait que les Français disposent d’environ 500 € supplémentaires par mois pour se sentir à l’aise. C’est ce qui a été évalué par le du baromètre CSA pour Cofidis. En moyenne, ils estiment avoir besoin de 467 euros en plus mensuellement pour se sentir en situation plus confortable. Ce chiffre État mettre en perspective avec le revenu net par salarié qui se situe autour de 2100 € dans le privé. En majorité, les Français déclarent que cet argent servirait aux loisirs, à l’habillement et à l’alimentation. Interrogés par RTL, nombreux sont ceux qui confirment qu’un petit plus dans le porte-monnaie serait le bienvenue pour éviter les fins de mois difficiles.    »500 euros de plus ce serait idéal », déclare l’un, alors qu’une maman chiffre son besoin à 700 euros car « entre le lait et les couches ça part vite« . Une autre avoue que  »ce serait au moins pour partir en vacances avec les enfants, d’ailleurs cette année on n’est pas partis ».  Certaines catégories sont plus touchées et affichent donc un besoin quasi systématique. « Depuis que je suis à la retraite c’est de plus en plus difficile« , indique un retraité. « Il faut faire attention à tout. Obligé de trouver les endroits les moins chers pour s’alimenter », conclut-il. Et lorsque c’est compliqué financièrement, il reste le découvert bancaire.  43% des Français déclarent être à découvert au moins une fois dans l’année, et 16% tous les mois. Une solution parfois inévitable.  »Heureusement qu’on a ça, ça nous permet parfois de finir les courses du mois« , explique une femme qui y a parfois recours. À noter que la plupart des personnes préfèrent se serrer la ceinture plutôt que de recourir au crédit ou à un coup de pouce de la famille.

Hollande : une retraite de seulement 15 000 euros par mois, vite un « Hollandeton »

Hollande : une retraite de seulement 15 000 euros par mois, vite un  « Hollandeton »

 

 

Ce n’est donc pas 30 000 euros que toucherait Hollande en retraite mais la moitié notamment parce qu’il abandonne les 12 000 euros du Conseil constitutionnel dans lequel il ne siégera pas. Quand même une belle somme pour quelqu’un qui n’a pratiquement jamais travaillé. Pratiquement pas à la cour des comptes, peu comme parlementaire, et mal comme président de la République. Normalement dans une entreprise classique, il y a longtemps qu’il aurait été licencié, pout faute grave, donc sans indemnité !  François Hollande pourra prétendre, une fois à la retraite, à environ 15.000 euros net par mois, somme correspondant à l’addition de toutes les pensions auxquelles il a droit, selon des chiffres fournis jeudi par l’Élysée. « Au total, en supposant que François Hollande demande le moment venu la liquidation de toutes les pensions auxquelles il a droit », c’est « une dotation mensuelle de 15.114 euros net qu’il recevra », écrit la directrice de cabinet de Hollande, Sylvie Hubac, dans un droit de réponse adressé à l’hebdomadaire Marianne. L’hebdomadaire avait affirmé la semaine dernière que le chef de l’État toucherait près de 36.000 euros de retraite et indemnités par mois après son départ de l’Élysée. Pour arriver à cette somme, Marianne additionnait les pensions et revenus auxquels aurait droit, à terme, Hollande en calculant comme suit: 6.000 euros de retraite pour ses anciens mandats locaux, 6.800 euros comme ex-parlementaire, 6.000 euros comme ancien président de la République, 5.000 euros en tant qu’ancien haut fonctionnaire à la Cour des comptes et 12.000 euros d’indemnités comme membre à vie du Conseil constitutionnel. Dans sa réponse écrite, l’Élysée précise que Hollande devrait toucher :

- 3.473 euros net mensuels au titre de sa retraite de conseiller référendaire de la Cour des comptes.
- de l’ordre de 235 euros mensuels net comme ancien élu local.
- 6.208 euros net par mois comme parlementaire
- 5.184 euros net par mois lorsqu’il n’exercera plus les fonctions de président de la République.
- de l’ordre de 545 euros (en un versement unique) pour ses activités d’enseignement et une somme de 168 euros net annuels pour celles d’avocat. D’où au total 15.114 euros net par mois, récapitule l’Elysée. Par ailleurs, réaffirme la présidence, François Hollande ne siégera pas au Conseil constitutionnel comme c’est de droit pour tout ancien chef de l’État et ne percevra donc pas les 12.000 euros d’indemnités afférentes.

 

Hollande : une retraite de 36.000 euros par mois

Hollande : une retraite de 36.000 euros par mois

 

C’est le scandale da la politique française : des fonctionnaires qui confisquent la démocratie et cumulent  les avantages sociaux de la fonction publique et ceux de leur mandat politique. Ainsi Hollande touchera 36.000 euros par mois. C’est le fruit d’une longue carrière dans la fonction publique et dans la politique. Le montant peut choquer, mais il n’a rien d’illégal, sauf que le chef de l’État aurait pu renoncer à une partie de ce pactole. En effet, François Hollande garde un pied à la Cour des comptes. Il ne s’est pas mis en disponibilité, mais juste en détachement. C’est une nuance cruciale. D’un côté, il quitte la maison, mais de l’autre, il continue à cotiser tout en travaillant ailleurs. François Hollande a opté pour cette solution. Résultat : chaque mois, sa future pension augmente et cela dure depuis 32 ans. Elle représente 5.000 euros bruts par mois, selon Marianne. Cependant, cette pratique est devenue illégale depuis la loi sur la transparence de la vie publique, sauf pour le président de la République. Les ministres, eux, sont contraints de se mettre en disponibilité. Récemment, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a dû le faire. Aux 5.000 euros de la Cour des comptes, s’ajoutent 6.000 euros de la présidence de la République, 6.000 euros grâce à ses mandats de députés, ainsi que la retraite en tant qu’élu de Corrèze et ancien maire de Tulle. Il ne faut pas oublier le pactole de 12.000 euros bruts, comme membre de droit du Conseil constitutionnel, pour atteindre la somme globale de 36.000 par mois. Cette retraite est largement au-dessus de ses deux prédécesseurs : 31.000€ pour Jacques Chirac et 30.000€ pour Valéry Giscard d’Estaing. L’Élysée précise de son côté que « tout est en règle ».

 

578 euros par mois : ce qui manque pour les fins de mois

578 euros par mois : ce qui manque pour les fins de mois

 

 

En fait les Français estiment majoritairement que c’est la hausse des prix qui rogne leur pouvoir d’achat. Pourtant l’INSEE ne constate pratiquement pas d’inflation. Pas étonnant l’indice officiel ne tient pas compte de la profonde modification de la structure des dépenses (on consomme moins certains produits et services, on se reporte aussi sur d’autres). Du coup les Français estiment manquer en moyenne de 578 euros par mois pour vivre correctement et voient dans la hausse des prix et des charges le facteur qui les affecte le plus au quotidien, selon une étude publiée jeudi. La quatrième édition du baromètre annuel OpinionWay pour Sofinco, la filiale de crédit à la consommation du Crédit agricole, fait apparaître qu’ils rognent surtout sur leur budget loisirs mais aussi sur leur épargne pour s’adapter. Le manque à gagner pour vivre correctement est en hausse constante (+38 euros par rapport à 2013 et 53 euros par rapport à 2012), les fins de mois étant particulièrement difficiles pour les chômeurs (1.021 euros), les ouvriers (721 euros), les personnes aux revenus inférieurs à 1.000 euros (635 euros) et les habitants de la région parisienne (632 euros). Alors que l’inflation est au plus bas depuis cinq ans, la hausse des prix est invoquée par 58% (-8 points) des Français comme première explication à leur difficulté à boucler les fins de mois, à égalité avec le coût des charges (58%, -6 points).  La baisse des salaires (34%) vient loin derrière, même si elle progresse de six points d’un an sur l’autre. Ils sont encore une très large majorité (92%, -4 points) à estimer que les prix ne baissent pas depuis deux ans.  Côté dépenses, 50% des personnes interrogées, soit six points de plus qu’en 2012, ont le sentiment que celles liées au logement sont stables. Elles sont également 44% (+5 points) à penser que leurs dépenses liées aux nouvelles technologies n’ont pas bougé et 35% (+4 points) pour ce qui est du budget alimentaire. En revanche, les Français sont 58% à avoir revu en baisse leurs dépenses liées aux loisirs, soit deux points de moins qu’en 2013, et 62% (-1 point par rapport à 2012) disent avoir réduit leurs épargne.

 

Mistral: contrat est suspendu avec la Russie ….deux mois

Mistral: contrat est suspendu avec la Russie  ….deux mois  

Ce n’est pas vraiment une position très brillante et très courageuse, puisque la France a en fait reculé de deux mois la livraison des porte-hélicoptère à la Russie en raison de la situation en Ukraine ; En fait on a un peu  forcé la main à la France qui dans un premier temps avait demandé que cette affaire des « Mistral » ne soit pas comprise dans le vague de sanctions à légard de Poutine. La France a donc cédé aux pressions. L’Elysée  a indiqué, ce mercredi 3 septembre, que les conditions pour livrer le premier porte-hélicoptères Mistral à la Russie, ne sont pas réunies.   »Le contrat est suspendu jusqu’en novembre », indique une source diplomatique française. Et elle ajoute: « la France a entendu la pression de la communauté internationale ».  Cette décision fait suite à un Conseil restreint de défense réuni par François Hollande, ce même mercredi. Ce conseil a « examiné la situation en Ukraine », explique un communiqué émanant de la présidence de la République.   »Elle est grave. Les actions menées récemment par la Russie dans l’est de l’Ukraine contreviennent aux fondements de la sécurité en Europe », poursuit le document.  Ainsi, «le Président de la République a constaté que, malgré la perspective d’un cessez-le-feu qui reste à confirmer et à être mis en œuvre, les conditions pour que la France autorise la livraison du premier BPC (bâtiment de projection et de commandement, ndlr) ne sont pas à ce jour réunies ». Des pressions de part et d’autres avaient été exercées au niveau diplomatique pour que la France annule ses livraisons à la Russie. Le Premier ministre britannique David Cameron avait notamment déclaré qu’il était « impensable de mener à bien cette commande ». François Hollande avait notamment indiqué, fin juillet, que l’annulation de la livraison du premier Mistral à la Russie pourrait entraîner un remboursement de 1,1 milliard d’euros. La décision de la France de suspendre la livraison du premier navire de guerre Mistral à la Russie en raison de la crise en Ukraine ne représente « pas une tragédie » pour Moscou, a assuré mercredi le ministère russe de la Défense « Le refus à ce contrat ne sera pas une tragédie pour nous en matière de plan de réarmement », a déclaré un vice-ministre russe de la Défense, Iouri Borissov, à l’agence officielle Itar-Tass. « Même si c’est bien évidemment désagréable et apporte certaines tensions dans les relations avec nos collègues français », a-t-il ajouté.

 

Foot Suarez : une proposition pour jouer au Kossovo pour 1500 euros par mois !

Foot Suarez : une proposition pour jouer au Kossovo pour 1500 euros par mois !

 

Une équipe du championnat de première division du Kosovo, Hajvalia, a offert à l’Uruguayen Luis Suarez, exclu du Mondial 2014 pour avoir mordu un adversaire, de jouer en toute légalité pour elle durant sa suspension pour neuf matches par la Fifa, car le Kosovo n’en est pas membre.  La proposition a été faite par Xhavit Pacolli, le président de Hajvalia, petite équipe d’un quartier de la capitale kosovare de Pristina qui occupe la 6e place dans la première division locale.  M. Pacolli a indiqué à l’AFP qu’il offrait une rétribution de 1.500 euros par mois à la star uruguayenne jusqu’au mois de novembre, lorsque sa suspension arrive à terme. M. Pacolli serait prêt à débourser 30.000 euros sur les quatre prochains mois, montant qui sera versé dans les caisses de Liverpool si l’équipe anglaise, pour laquelle il joue, autorise Suarez à fouler les pelouses du championnat kosovar.  « Le montant peut faire sourire (Suarez) mais c’est tout ce que nous pouvons lui offrir », a dit M. Pacolli. Le Kosovo, qui a proclamé son indépendance de la Serbie en 2008, n’est pas membre de l’Uefa (instance dirigeante du foot européen) ni de la Fédération internationale de football en raison de l’opposition de Belgrade. L’indépendance du Kosovo a été reconnue par les États-Unis et une majorité de pays de l’Union européenne. Elle est farouchement rejetée par la Serbie, appuyée par la Russie et… l’Uruguay.  La commission de discipline de la Fifa a infligé à Suarez une suspension de neuf matches et quatre mois d’interdiction de toutes activités liées au football après avoir mordu le joueur italien Giorgio Chiellini pendant de la Coupe du monde de football au Brésil.

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

EDF : pas de hausse des tarifs au 1er août ….mais quelques mois plus tard

Ce ne sera pas en Aout mais peut être en septembre –octobre ou en janvier. Mais Il n’y aura finalement pas de hausse des tarifs de l’électricité cet été, alors que 5% d’augmentation étaient prévus. L’annonce a été faite ce matin par la ministre de l’Energie Ségolène Royal.  Un gel des tarifs de l’électricité : c’est ce qu’annonce la ministre du secteur, Ségolène Royal. « Il y avait une augmentation des tarifs de l’électricité qui était prévue au 1er août, 5%. Ces factures n’augmenteront pas ». Pourquoi ? Parce que le mode de calcul va changer, tout simplement.   »Je vais procéder à ce calcul avec la Commission de régulation de l’énergie, une autorité indépendante, qui va, à partir de la réforme que j’ai mise en place, calculer cette hausse, ou peut-être une baisse », explique la ministre. Décision à venir, d’ici la fin de l’année. En clair : y aura-t-il une hausse ultérieurement, au 1er janvier 2015 ? On le saura au 1er octobre prochain. En attendant, ce jeudi matin, à la Bourse de Paris, l’action EDF a chuté de 4,54% à 25,44 euros. Le titre de l’exploitant était même lanterne rouge du CAC 40.  L’an dernier, le gouvernement avait annoncé une hausse des tarifs de 5% à l’été 2013, puis 2014, pour mieux refléter les coûts d’EDF.

 

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

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Pour le seul mois de mai de cette année, il est possible de bénéficier de 12 jours chômés pour seulement trois jours de posés. Un avantage pour les salariés, qui n’est pas sans conséquences sur l’économie française.  Les trois jeudis fériés chômés coûtent 500 millions d’euros à l’économie française, selon l’Insee. En ajoutant à cela le prix des trois ponts possibles, le chiffre peut atteindre le milliard d’euros perdu. Mais ces jours de vacances ont tout de même quelques côtés positifs. À commencer par le repos des salariés, difficilement chiffrable mais bénéfique pour la productivité et donc pour la croissance. Certains secteurs, comme le tourisme, l’hôtellerie, les loisirs, ou encore les transports se frottent les mains. Pour eux : les 1er, 8 et 29 mai sont synonymes de bénéfices.

 

Valls- petites pensions : une mesure « forte » … 5 à 10 euros par mois ?

Valls- petites  pensions : une mesure forte … 5 à 10 euros par mois ?

 

 

L’annonce du gel des pensions a secoué l’opinion publique très majoritaire contre. Pour se dédouaner,  Valls annonce une mesure forte pour les pensions autour de 800 euros et moins  ; sans une une augmentation qui pourrait varier de 5 à 10 euros. Une annonce ‘forte’ pour des mesures dérisoires !  Manuel Valls assure le service après-vente. Ce jeudi 24 avril, le Premier ministre a, à l’occasion d’un déplacement en Eure-et-Loir, déclaré que le gouvernement prendra « une mesure forte » pour les retraités les plus modestes, au lendemain de la présentation du programme de stabilité. Il a affirmé vouloir répondre « à une demande du groupe socialiste », mais aussi de « tous les parlementaires ». « Nous voulons répondre aux inquiétudes des Français dans ce domaine ». La veille, le ministre des Finances et des Comptes publics, Michel Sapin avait indiqué que cette option était « sur la table ». Ce qu’a également laissé entendre, ce jeudi matin, la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine. Concernant les fonctionnaires il a rappelé que les mesures de revalorisation des salaires profitant aux petits fonctionnaires concerneront « 1,6 million d’agents soit 30% de la fonction publique ». Manuel Valls a aussi indiqué qu’une « clause de revoyure » serait introduite pour revenir éventuellement dans les prochaines années, en fonction de la croissance économique, sur le gel du point d’indice des fonctionnaires.  Manuel Valls a par ailleurs indiqué miser sur le pacte de responsabilité  pour redresser la France. « Le pacte de responsabilité c’est du concret pour les entreprises mais aussi pour les salariés », a ainsi déclaré le Premier ministre, rappelant les mesures fiscales déjà prises par le gouvernement. « Nous serons très exigeants et vigilants dans la mise en oeuvre du pacte », a-t-il ajouté. Le Premier ministre s’est exprimé après avoir visité, ce jeudi, l’entreprise Sacred, spécialisée dans le caoutchouc, et bénéficiaire du Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE). Il a, à ce titre, indiqué que le montant du crédit d’impôt pour cette entreprise a été de 280.000 euros en 2013 et sera de 400.000 euros pour 2014. Accompagné du ministre du Travail François Rebsamen, il a effectué ce déplacement au lendemain de la présentation du programme de stabilité, et, surtout, à la veille de la publication des premiers chiffres du chômage pour le gouvernement Valls.  Mercredi, le ministre des Finances et des Comptes publics Michel Sapin a indiqué que le gouvernement s’attend à ce que les nouvelles baisses de charges de 10 milliards d’euros inscrites dans le pacte de responsabilité, génèrent 0,6 point de PIB et créent 200.000 emplois supplémentaires. Ces créations de postes s’ajouteraient ainsi au 300.000 emplois que le CICE est censé créer.

 

Enquête détournement de fonds : Guéant reconnait 4000 euros par mois

Enquête détournement de fonds :  Guéant reconnait 4000 euros par mois

 

L’affaire des 10 000 euros mensuels reçus de fonds secrets par Guéant n’est toujours pas très claire (pas plus que la vente de la vente par Guéant  de deux tableaux  à 500  000 euros à un intermédiaire malaisien !)   Les policiers, agissant dans le cadre d’une enquête préliminaire du parquet de Paris pour détournement de fonds publics, veulent savoir pourquoi Claude Guéant a perçu des primes de cabinet en espèces alors qu’il dirigeait le cabinet de Nicolas Sarkozy place Beauvau. »Il s’est expliqué longuement sur ce système qui existait depuis 1926, et qui concernait au ministère de l’Intérieur jusqu’à 400 personnes », explique son avocat. Selon lui, Claude Guéant a détaillé aux enquêteurs comment, lorsque Lionel Jospin avait mis fin à l’utilisation des fonds spéciaux pour les primes de collaborateur de cabinet, le ministère de l’Intérieur « a maintenu l’exception ». « À l’Intérieur, il a fallu trois ans pour mettre les choses à niveau. On ne pouvait pas dire aux gens, du jour au lendemain, que leur traitement était amputé. Les dotations de l’État pour compenser ces pertes de revenus sont passées de 434.000 euros en 2002 à une somme de l’ordre d’1,3 million d’euros en 2005. Entre-temps, le ministère de l’Intérieur, privé de fonds spéciaux, a assuré la transition par ses frais d’enquête et de surveillance (FES) », confie l’avocat. Interrogé sur le rôle de Nicolas Sarkozy, s’il avait validé, approuvé, ou décidé ces décisions, Claude Guéant a « pris sur lui », s’employant à mettre hors de cause l’ancien ministre de l’Intérieur. « M. Guéant a expliqué aux enquêteurs que M. Sarkozy ne s’était pas occupé de ces questions qui s’étaient réglées à son niveau à lui », indique Me Bouchez El Ghozi. Concrètement, alors directeur de cabinet, Claude Guéant recevait tous les mois une enveloppe de l’ordre de 10.000 euros en espèces puisés des FES de la police et versée par Michel Gaudin, alors directeur général de la police nationale. Ce dernier a confirmé le montant lors de sa garde à vue simultanée de mardi. Selon nos sources, Claude Guéant a admis avoir conservé pour lui environ 4.000 euros mensuels au titre des compléments de salaires, de 2002 à 2004. Il a également déclaré avoir « redistribué » les 6.000 euros restants entre plusieurs autres membres du cabinet dont le directeur de cabinet adjoint, le délégué police et le chef de cabinet. Interrogés par les enquêteurs préalablement à la garde à vue de Claude Guéant, Daniel Canepa, ancien directeur adjoint, Jacques Lamotte, ancien contrôleur général des services actifs de la police nationale, et Michel Camux, ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy, auraient bel et bien confirmé avoir reçu des espèces. « Chantal Jouanno, Roselyne Bachelot ou Valérie Pécresse ont dit qu’elles n’avaient pas reçu d’espèces, mais c’est normal parce qu’elles n’étaient pas fonctionnaires du ministère de l’Intérieur », plaide Me Bouchez El Ghozi. Ces explications ont-elles convaincu le parquet de Paris? « Le dossier est en cours d’analyse », confie-t-on chez le procureur Molins. Le parquet peut désormais soit classer l’affaire, soit la confier à un juge d’instruction, soit la renvoyer directement devant un tribunal correctionnel. Quoi qu’il en soit, Claude Guéant n’en aura pas fini avec les auditions judiciaires. Deux juges, Serge Tournaire et René Gourman, enquêtent sur sa vente suspecte de tableaux, cédés 500.000 euros en 2008 à un avocat de Malaisie, quelques semaines avant l’achat d’un appartement parisien. Les juges, qui ont demandé l’audition de l’avocat malais, attendent le retour d’une commission rogatoire en Malaisie pour entendre l’ancien ministre. Selon plusieurs experts, les deux tableaux d’un peintre flamand du XVIIe ont été largement surévalués. « Nous avons remis aux enquêteurs une expertise qui démontre que la vente de ces deux toiles s’est faite à un prix raisonnable », réplique l’avocat du ministre. Enfin, autre dossier, celui de l’arbitrage de Bernard Tapie dans le volet Adidas. Persuadés que les 403 millions d’euros donnés à Tapie ont été le résultat d’un « simulacre d’arbitrage », les juges Serge Tournaire et Guillaume Daïeff devraient à leur tour convoquer l’ancien homme fort des années Sarkozy.

 

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