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Vacances : moins de skis pour les français

Vacances : moins de skis pour les français

 

 

Un Français sur cinq a prévu de partir au ski sur l’ensemble de l’hiver, selon une étude du site voyagermoinscher.com, menée par OpinionWay sur 1.054 internautes majeurs, représentatifs de la population française en ligne.  Ceux qui partent affûtent leur matériel, mais aussi leur budget sport d’hiver. Trois quarts d’entre eux ne partiront qu’une semaine ou moins, et un quart prévoient de réduire leur budget, précise le sondage.  Ils seront également un quart à profiter des pistes avec un budget limité à 250 euros par personne, une somme qui restreint les destinations à quelques stations de moyenne altitude.  Bonne nouvelle pour ceux qui se serrent la ceinture sans renoncer à partir : les tarifs des vacances diminuent, selon une étude de liligo.com, qui a observé les consultations de ses internautes français.  Le prix moyen des billets d’avions a ainsi diminué de 7%, soit 87 euros par rapport à 2012, selon le moteur de recherche de voyages. Cette baisse affecte particulièrement les vols moyen-courrier (vers l’Europe ou le Maghreb depuis la France).  Les séjours consultés sur le site voient également leur prix moyen fondre de 7%, soit 68 euros par rapport à 2012. Cette baisse est particulièrement marquée pour les séjours à courte distance.  Avec des prix en baisse, les Français n’hésitent pas à rêver d’horizons lointains. L’envol vers New York est ainsi encore une fois le plus prisé sur liligo.com, et la ville se classe au troisième rang des séjours les plus consultés.  Les Français rêvent de grandes métropoles, de beaux bâtiments et ne renient pas le patrimoine culturel à Noël. Florence et Vienne enregistrent une forte progression de leurs réservations hôtelières par rapport à l’an passé, selon les chiffres communiqués par voyages-sncf.com.  La SNCF pointe également une autre tendance : au cœur de l’hiver, les Français veulent échapper à la grisaille. Ceux qui restent dans l’Hexagone privilégient le Sud-est, tandis que ceux qui partent à l’étranger visent l’autre rive de la Méditerranée.  Les réservations hôtelières pour le Maroc progressent ainsi de 21% sur son site, et celles pour Marrakech explosent (+160%). Autre manière de prendre un bain de soleil, les réservations de croisières sont en hausse également de 13%.

Noël : moins de cadeaux neufs

Noël : moins de cadeaux neufs

Avec un pouvoir d’achat « usagé », les français vont rechercher dans l’occasion les cadeaux pour Noël. Au total, 48% des Français pratiquent régulièrement la « consommation collaborative », c’est-à-dire d’autres façons de consommer comme la vente et l’achat de produits de deuxième main, sur internet ou dans les magasins physiques, ou l’achat directement au producteur, et ils sont encore 32% à être « sensibilisés » à ces pratiques.  Selon un  sondage commandé par un observatoire du groupe La Poste et réalisé par TNS Sofres, ils sont sensiblement le même nombre (47%) à se déclarer prêt à offrir des cadeaux d’occasion à Noël, et parmi ces derniers, 28% disent « ne pas être gênés » d’avoir recours à des objets d’occasion pour leurs présents. 34% des Français ont d’ailleurs l’intention d’offrir à un enfant un jouet ou un vêtement d’occasion. Par ailleurs, 31% des personnes sondées « ont l’intention de revendre sur Internet ou en dépôt-vente des cadeaux reçus à Noël ». Les motivations des adeptes de la « consommation collaborative » sont d’abord relatives au pouvoir d’achat : 62% estiment que c’est moins cher et 51% qu’on peut ainsi trouver de bonnes affaires. Viennent ensuite les motivations touchant au « caractère alternatif de ce mode de consommation ». Pour 35% des sondés cela permet de « faire durer les objets » et pour 25% d’entre eux, « c’est un modèle de consommation meilleur pour la société ». Selon cet observatoire, 51% des Français ont déjà revendu des objets sur internet ou lors de vide-greniers, et 40% ont déjà acheté d’occasion des produits courants.

 

Etats-Unis : moins de créations d’emplois que prévus

Etats-Unis : moins de créations d’emplois que prévus

 Le secteur non-agricole a créé moins d’emplois que prévu au mois de juillet sans empêcher le taux de chômage de reculer davantage que ce que prédisaient les économistes, ce qui pourrait inciter la Réserve fédérale à la prudence dans la mise au point du calendrier de la baisse de ses rachats d’actifs. Au total, 162.000 emplois ont été créés en dehors du secteur agricole, un chiffre bien inférieur aux 184.000 prévus. Qui plus est, les chiffres des créations de mai et juin, auparavant estimés à 195.000 chacun, ont été revus en baisse, respectivement à 176.000 et 188.000. Parallèlement, le taux de chômage a diminué davantage que ce qui était prévu, à 7,4%, contre 7,6% en juin, alors que les économistes anticipaient 7,5%. Cette amélioration doit toutefois être accueillie avec précaution. Si elle s’explique en partie par les embauches, elle est également imputable à une diminution de la population active. Ces chiffres accréditent l’hypothèse d’un marché de l’emploi sur le chemin de la reprise au côté d’une économie qui avance doucement, justifiant une poursuite du soutien de la Réserve fédérale. « Cette nouvelle ne préoccupe pas vraiment les marchés. A ce niveau, de manière quelque peu perverse, les mauvaises nouvelles sont un moteur pour les marchés parce que cela ne donne pas d’autre choix à la Fed que de continuer à faire tourner la planche à billets », commente Adam Sarhan, directeur général de Sarhan Capital à New York. « Si le chiffre avait été beaucoup plus fort, cela aurait tout de même alimenté la hausse des marchés parce que cela aurait reflété une amélioration de l’économie. Les partisans de la hausse sont dans une situation ‘gagnant-gagnant’. »

 

Medef : « pas un crédit dimpôts mais moins de charge »

Medef : « pas un crédit dimpôts mais moins de charges »

Sauf catastrophe, Pierre Gattaz sera élu président du Medef, le 3 juillet prochain. Le successeur de Laurence Parisot avait, au début de sa campagne, promis un « Medef de combat ». Mais qu’en est-il, maintenant que la victoire est acquise? Invité de BFMTV, mardi 18 juin, le dirigeant a répondu aux interrogations de Ruth Elkrief: « ce n’est pas un Medef de combat de rue. Je voudrais incarner un Medef d’action, de proposition, d’action, de dialogue, et de pédagogie. Car je crois que le pays ne comprend pas vraiment ce que l’on fait, ne comprend pas l’économie. Selon lui, « l’économie doit être mondialisée, peut être vertueuse et humaine. L’économie et l’entreprise créent des emplois. » Même s’il reconnaît que les relations entre l’Etat et les entreprises se sont améliorées ces derniers temps, le gouvernement en place en prend tout de même pour son grade. « Le Budget 2013 a été un scandale, dogmatique, punitif. C’était politique », a-t-il assené.  Pierre Gattaz, promet donc, après son élection, la création d’une « commission fiscale » pour être sûr que « la fiscalité permettra d’être incitative pour l’emploi et pour l’investissement. » « Nous avons besoin de vrais chocs, de compétitivité », a-t-il poursuivi, assurant que les marges des entreprises étaient « extrêmement faibles. On ne peut donc plus embaucher ni investir ». « Nous avons 28% de marges », a-t-il précisé,  » contre 40% en Allemagne. 12% de moins en France, c’est catastrophique! » Interrogé sur le Crédit d’impôt compétitivité (CICE), qui semble boudé par les PME, le futur patron des patrons a affirmé que les entreprises n’avaient « pas demandé un crédit d’impôt, mais une baisse du coût du travail. Il faut une baisse des charges.(…) Il faut désasphyxier l’entreprise française. »

 

Grève SNCF : moins de la moitié des trains en service

La SNCF a indiqué s’attendre à la circulation de 4 trains sur 10 en moyenne sur les lignes TGV et TER suite à un appel à la grève des syndicats de cheminots, hostiles au projet de réforme ferroviaire du gouvernement. Les syndicats représentatifs CGT, Unsa, Sud-Rail et CFDT ont appelé à faire grève de mercredi 19 heures à vendredi 8 heures.

TGV. Les TGV sud-est et province-province seront les lignes à grande vitesse les plus affectées avec 1 train sur 3 en moyenne, a indiqué la SNCF dans un communiqué. Pour le TGV nord, la prévision est de 4 trains sur 10 et de respectivement 1 train sur 2 et 2 trains sur 3 pour les lignes Atlantique et est.

Intercités. Sur les « Intercités », la prévision est de 3 trains sur 10.

TER. Au niveau régional, la SNCF prévoit « plus de 4 services TER sur 10″.

RER. En Ile-de-France, le trafic sera également très perturbé sur les lignes B et D du RER avec 1 train sur 3 et les interconnexions nord-sud ne seront pas assurées Gare du Nord et Gare de Lyon. Un RER C et E sur 2 devrait rouler en moyenne et sur le RER A, le service sera « proche de la normale« .

Eurostar & co. A l’international, le trafic sera en revanche normal sur les lignes Eurostar (Londres), Thalys (Bruxelles, Amsterdam) et Alléo (Allemagne). Des perturbations sont cependant annoncées en direction de la Suisse (1 sur 2) et de l’Italie (1 sur 3). La SNCF souligne avoir prévu « un plan massif d’information », notamment via son site internet et un affichage en gare. En outre, un million de mails doivent être envoyés aux clients abonnés et 500.000 tracts distribués pour faire état du trafic. Des « gilets rouges » doivent également être mobilisés en nombre pour « aller au contact des clients » dans les gares. La SNCF fait également un suivi en direct de l’état du trafic via Twitter.

Etats-Unis : moins d’emplois que prévu en mai

 

Etats-Unis :  moins d’emplois que prévu en mai

Le secteur privé américain a créé 135.000 emplois au mois de mai, un chiffre nettement inférieur aux attentes, montre mercredi l’enquête mensuelle du cabinet de conseil ADP. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne 165.000 créations de postes dans le privé. Le chiffre d’avril a été revu en baisse à 113.000 contre 119.000 annoncé initialement, un chiffre qui était déjà nettement inférieur aux attentes, précise ADP. Le gouvernement américain publiera vendredi les chiffres des créations d’emplois pour le mois de mai, qui devraient, selon les économistes, s’élever à 170.000.

 

Sopmmet G7: moins d’austérité

G7: moins d’austérité

Les Etats-Unis vont encourager les dirigeants de la zone euro à « changer de cap » sur l’austérité et à « recalibrer » le rythme de la réduction des déficits lors du sommet des ministres des Finances du G7 vendredi et samedi à Londres, a indiqué mercredi un haut responsable du Trésor.  « Il est important de recalibrer le rythme de la consolidation budgétaire (dans la zone euro, ndlr). Une consolidation budgétaire brutale risque d’entraver la demande. Un changement de cap maintenant peut faire une grande différence », a indiqué ce responsable sous couvert de l’anonymat lors d’un point de presse.  Deux jours avant le début de la réunion du G7-Finances dans la capitale britannique, ce responsable « a salué » les délais supplémentaires accordés par l’Union européenne à la France, l’Espagne et aux Pays-Bas pour atteindre leurs objectifs de réduction des déficits.  « Mais il y a encore une marge de manoeuvre pour en faire davantage à court terme », a ajouté le responsable sans donner plus de précisions.  Mardi, le secrétaire américain au Trésor Jacob Lew, qui sera présent à Londres, avait assuré que la réduction des déficits ne saurait être « la seule boussole » de l’action publique aux Etats-Unis à l’heure où le débat sur l’austérité continue d’agiter l’Europe.  A Londres, la délégation américaine devrait une nouvelle fois encourager les économies en excédent, notamment l’Allemagne, à « accroître » leur demande intérieure afin de soulager leurs partenaires de la zone euro en créant un débouché pour leurs produits.  Les ministres des sept pays les plus industrialisés devraient également évoquer la question de « l’évasion et de l’optimisation fiscales », dans le sillage du G20 Finances de Washington le 19 avril, a assuré le responsable américain sous couvert d’anonymat.   »Nous nous réjouissons de l’intérêt porté à la démarche américaine de faciliter la transparence sur les comptes bancaires à l’étranger », a-t-il précisé.  Les Etats-Unis ont voté en 2010 une loi obligeant les établissements financiers à l’étranger à les informer de tout dépôt d’un ressortissant imposable dans leur pays.

 

Les sages moins optimistes que Moscovici

Les sages moins optimistes que Moscovici

 

Le Haut conseil des finances publiques crée par la loi organique de 2012 vient, en effet, de rendre son verdict, ce mardi 16 avril, à propos des prévisions économiques gouvernementales. Et il doute des nouvelles hypothèses de celui-ci. Pierre Moscovici avait évoqué pour 2013 une croissance de 0,1% et avançait pour 2014 le chiffre de 1,2%, tout comme Bruxelles. Visiblement encore trop optimiste selon le Haut conseil. Les sages n’excluent pas un recul du PIB en 2013. Le Haut conseil reconnait toutefois qu’ »un certain nombre d’aléas pourraient cependant avoir un impact positif sur la prévision« .  Mais ce sont surtout les prévisions pour l’après 2014 qui interpellent le Haut conseil. Pierre Moscovici évoquait 2% en 2015 voici quelques jours.  « L’hypothèse de redressement de la croissance potentielle, sans être exagérement optimiste, est entourée d’un certain nombre de risques baissiers« , écrivent les sages. « La prévision effective de 2% dès 2015 paraît incertaine« , ajoutent-ils.  Désormais, le gouvernement -ou plus exactement Bercy- n’est plus habilité seul à déterminer les prévisions économiques qui sont ensuite votées à l’occasion du Budget. Il devra prendre l’avis du Haut conseil présidé par le premier président de la Cour des comptes, actuellement Didier Migaud. Ses avis ne sont que consultatifs mais ils doivent être obligatoirement transmis au Parlement. Et on ne voit pas un gouvernement ne pas les suivre. Outre quatre autres membres de la Cour des comptes, cinq économistes de renom en font partie : Michel Aglietta, Jean Pisani-Ferry, Mathilde Lemoine, Philippe Dessertine, Marguerite Bérard-Andrieu, ainsi que le patron de l’Insee, Jean-Luc Tavernier.

 

Etats-Unis: moins de déficit extérieur

Etats-Unis: moins de déficit extérieur

L’effet dollar commence à jouer sur les exportations des Etats-Unis ; Chroniquement déficitaire, le solde des échanges du pays avec le reste du monde est certes resté dans le rouge en décembre mais il s’est considérablement réduit, dégringolant de 20,7% pour atteindre 38,5 milliards de dollars, selon les chiffres publiés vendredi par le ministère du Commerce.  Le recul n’avait pas été aussi fort depuis près de quatre ans.  Fait rarissime, le déficit sur un mois a même fondu de 15,5% vis-à-vis de la Chine, principal partenaire commercial des Etats-Unis et régulièrement mis à l’index par Washington pour ses pratiques jugées déloyales.  Le déficit s’est également considérablement réduit avec l’Union européenne, chutant de 28,4% à 8,7 milliards de dollars.  Sur l’ensemble de l’année passée, l’embellie est moins spectaculaire mais elle reste tangible avec un resserrement du déficit commercial de 3,4%, à 540,4 milliards de dollars, et un record absolu en termes d’exportations dont le gouvernement américain s’est aussitôt félicité.  Les efforts de l’administration pour promouvoir les exportations américaines portent leurs fruits », a souligné la ministre adjointe du Commerce Rebecca Blank, saluant l’ouverture de « nouveaux marchés ».  La route s’annonce toutefois encore longue avant d’atteindre l’objectif du président Barack Obama de doubler les exportations en cinq ans. Elles s’élevaient en décembre à 186,3 milliards de dollars contre 143,7 en janvier 2010 au moment où cet engagement a été pris.  En décembre, les exportations ont certes fait bonne figure (+2,1%), portées notamment pas les ventes d’équipements industriels qui ont bondi de 9,5%.  Mais la belle tenue du commerce extérieur tient principalement à un affaissement des importations (-2,7%), notamment de voitures et de pétrole (-13,0% en un mois) dont les Américains sont les premiers consommateurs au monde.   »On pourrait en conclure que la demande intérieure est faible mais ce serait aller vite en besogne », assure Jennifer Lee de BMO Capital Markets, soulignant que les importations hors automobiles ont légèrement progressé, témoignant du dynamisme du marché intérieur.  Plus important encore, l’embellie surprise du déficit commercial pourrait bien conduire à une révision à la hausse de la croissance américaine au quatrième trimestre de 2012.  Publiée fin janvier, une première estimation avait révélé une contraction surprise de 0,1% du Produit intérieur brut de la première puissance économique du globe.   »Le déficit commercial s’est bien plus réduit (…) que ce que le BEA (l’office gouvernemental des statistiques, ndlr) avait intégré dans ses estimations du PIB au quatrième trimestre », relèvent les économistes de Nomura. Dans ses estimations, le BEA (Bureau of Economic Analysis) avait ainsi tablé sur un recul des exportations plus fort que celui des importations, rappelle Julien Thomas de Natixis.   »On peut désormais s’attendre à une révision à la hausse des chiffres du PIB pour le dernier trimestre » de l’année précédente, a-t-il souligné. Une deuxième estimation du PIB américain sera publiée le 28 février.

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