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Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! C’est pas possible !

Sondage : Sarkozy moins bien que Hollande !! ‘C’est pas possible !

 

Ce n’est pourtant pas facile mais Sarkozy ferait moins bien que Hollande s’il était président. pour 50% des Français Autant dire alors qu’on serait alors  proche de la nullité totale. Mais  45% pense nt au contraire qu’il ferait « plutôt mieux », selon un sondage BVA publié ce dimanche dans Le Parisien- . En fait ce sondage traduit surtout le discrédit des responsables politiques ; Il donne auusi une image correcte  de Hollande globalement sympathique mais incompétent. Selon ce baromètre, seuls 24% des personnes interrogées ont une bonne opinion de François Hollande (contre 76% en ayant une mauvaise) et 22% trouvent qu’il est un bon président (contre 77%). A la veille de sa troisième interview du 14 juillet, le chef de l’Etat reste « un homme sympathique » pour 51% des Français et 42% le jugent « proche des gens » et « ayant des convictions profondes ». Mais ils ne sont que 31% à le trouver « courageux » et 26% « compétent », 22% à juger qu’il « dit la vérité aux Français », 20% à penser qu’il « sait où il va » et 19% qu’il est « capable de prendre les décisions qui s’imposent ». Seuls 12% jugent qu’il est « solide » et « ayant de l’autorité », 11% le trouvent « dynamique » et 9% « charismatique ». Deux Français sur trois (66%) considèrent que François Hollande ne va pas assez loin dans les réformes (contre 19%) et 71% (contre 26%) pensent qu’à la fin de son mandat en 2017, la situation de la France sera encore moins bonne qu’aujourd’hui. Pour autant, les Français pensent que la plupart des personnalités politiques, de droite comme de gauche, feraient « plutôt moins bien » que lui si elles étaient actuellement à l’Elysée à sa place. C’est le cas notamment de son prédécesseur Nicolas Sarkozy (50% contre 45% qui jugent qu’il ferait « plutôt mieux »), de François Bayrou (50% contre 44%), de François Fillon (53% contre 42%), de Martine Aubry (60% contre 33%), de Marine Le Pen (65% contre 30%), de Ségolène Royal (65% contre 28%), d’Arnaud Montebourg (71% contre 22%) et de Jean-Luc Mélenchon (76% contre 18%). Seuls Manuel Valls et Alain Juppé feraient « plutôt mieux » (respectivement 56% et 55%) que François Hollande, selon les personnes interrogées. Ce sondage a été réalisé par téléphone et internet les 10 et 11 juillet auprès d’un échantillon de 1.050 personnes représentatif de la population de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

Cigarettes : 25% venues au noir soit 3 milliards de recettes fiscales en moins

 

 

Jusque là on estimait à environ 20% les cigarettes  vendues au noir, or nous avions indiqué que ce chiffre était plus proche de 25% compte tenu des difficultés statistiques à évaluer une activité par définition non déclarée. Ce que vient de confirmer une étude. Plus d’une cigarette sur quatre fumée en France en 2013 a été achetée au marché noir. Une étude du groupe de conseil et d’audit KPMG confirme l’essor des marchés parallèles de vente de tabac, contre lesquels majors et buralistes cherchent à lutter. L’étude note que les ventes en-dehors des bureaux de tabac ont représenté 25,2% des ventes totales l’an dernier, contre 22,6% en 2012. Soit une augmentation de plus de 11% en un an. «C’est un drame, a réagi Pascal Montredon, président de la confédération des buralistes. Nous le prévoyions depuis plusieurs mois et c’est arrivé: le marché parallèle a explosé et ce n’est pas fini puisqu’on enregistre encore un recul des ventes depuis le début de l’année. L’État de droit est complètement bafoué.»  Dans le collimateur des buralistes: les augmentations successives du prix du paquet de cigarettes, «trois en moins de quinze mois», rappelle Pascal Montredon. Les taxes sur le tabac ont rapporté l’an dernier à l’État 11,2 milliards d’euros, plus que prévu. Début juin, deux sénateurs proposaient même d’instaurer une nouvelle taxe, cette fois sur les mégots de cigarettes. Autant de coups de pouce pour les comptes publics qui incitent cependant les fumeurs à se fournir à l’étranger, où les paquets sont moins chers. L’étude de KPMG souligne que les ventes transfrontalières ont augmenté de 36% entre 2012 et 2013. En tête des pays où les consommateurs vont se fournir: la Belgique et l’Algérie. Les entrées en France de cigarettes à l’origine de ces deux pays ont grimpé respectivement de 99% et 85% entre 2012 et 2013, pour passer la barre des 2 milliards d’unités, juste derrière les ventes en duty free (2,62 milliards). Autre cheval de bataille des buralistes, les quotas de cigarettes importées de l’étranger qui avaient fait bondir Bruxelles. Dès 2009, l’Europe avait rappelé la France à l’ordre, jugeant les mesures en vigueur trop protectionnistes. Au 1er janvier, les seuils ont été relevés de cinq à dix cartouches par personne et de 50 à 1000 cigares. «L’Union européenne a puni la France, résultat: les ventes transfrontalières ont explosé, se désole Pascal Montredon. Les pays qui le veulent devraient avoir le droit d’imposer les seuils qu’ils souhaitent.» Selon la confédération des buralistes, l’essor des marchés parallèles a privé l’État de 3 milliards de recettes fiscales et a engendré la fermeture de nombreux tabac représentant environ 2500 emplois. Les buralistes, déjà échaudés par le succès de l’e-cigarette, demandent au gouvernement de se mobiliser contre les marchés parallèles. Reçu par le ministère de l’Intérieur ce mercredi soir, Pascal Montredon a notamment exigé le blocage des sites de vente de tabac en ligne et le renforcement des moyens de douanes et de gendarmerie pour lutter contre l’importation illégale de tabac. Prochain objectif: «obtenir un rendez-vous avec le Premier ministre, puis avec le président de la République». Mais pas question de céder à la «réunionite», les buralistes veulent avant tout «des actions concrètes, efficaces et mesurables».

 

Sécu : moins de recettes, plus de déficits

Sécu : moins de recettes, plus de déficits

Après les impôts, ce sont les recettes de la sécu qui sont auusi en baisse. Les recettes de la Sécurité sociale seront en effet moins bonnes que prévu cette année. C’est ce qu’observe le rapport de la Commission des comptes de la Sécurité sociale, qui se réunit ce matin. Les ressources du régime général et du Fonds de solidarité vieillesse «devraient être inférieures de près de 1,7 milliard d’euros au montant prévu dans la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2014», votée en décembre dernier, souligne le rapport. Pourtant, depuis l’arrivée de François Hollande au pouvoir, les prélèvements affectés à l’assurance-maladie, aux retraites ou à la branche famille ont été fortement relevés : hausse des cotisations vieillesse, baisse du plafond du quotient familial, augmentation des prélèvements sociaux sur les revenus du capital. Et la masse salariale, sur laquelle sont prélevées les cotisations sociales, reste relativement dynamique malgré la crise et le chômage. Elle devrait progresser de 2,2 % cette année, prévoit le rapport, un chiffre conforme aux prévisions. Si les recettes sont inférieures aux attentes, c’est dû en particulier «aux prélèvements sociaux sur le capital», qui rentrent moins bien que prévu, observe la Commission des comptes. Résultat, même avec des dépenses de santé inférieures aux prévisions, le déficit de la Sécurité sociale devrait être un peu plus élevé que prévu en 2014. Il s’établirait à 9,9 milliards d’euros au lieu des 9,6 milliards attendus, et à 13,4 milliards en incluant le Fonds de solidarité vieillesse. C’est en tout cas ce que prévoit la Commission à ce stade, mais le déficit sera en réalité inférieur grâce aux nouvelles mesures d’économies annoncées par le gouvernement, comme le gel des pensions de retraite et des aides au logement. Ces mesures seront votées le mois prochain dans le cadre d’une loi de financement de la Sécurité sociale rectificative.

 

Plus de soleil, moins de télé

Plus de soleil, moins de télé

 

On constate une baisse anormale de la durée d’écoute de la télévision depuis le début de l’année : 8 minutes en moins à fin avril, par rapport à la même période de l’an dernier. Du jamais vu. Sur les quatre premiers mois de 2014, les Français ont passé 3h45 par jour devant leur petit écran. Déjà, sur l’ensemble de l’année 2013, ils avaient moins regardé la télévision  : 4 minutes de moins qu’en 2012. Une telle baisse était une première depuis cinq ans et le plus fort recul enregistré depuis vingt ans sur une année. A relativiser cependant, car la télévision avait réalisé sa meilleure performance historique en 2012 (3 h 50) grâce à l’élection présidentielle, aux Jeux Olympiques et à l’Euro de football.  Ce qui est plus inquiétant aujourd’hui, c’est que non seulement la baisse constatée en 2013 se poursuit en 2014, mais qu’elle s’accélère. « Il faut remonter à l’arrêt de la 5, en 1992, pour trouver un tel recul. Depuis, l’audience n’a cesser d’augmenter, à part des reculs ponctuels en 2006, 2008 et 2013 », explique Philippe Nouchi, directeur de l’expertise média de VivaKi Exchange. C’est d’autant plus étonnant que six nouvelles chaînes ont été lancées sur la TNT en décembre 2012 et que l’institut Médiamétrie ajoute depuis 2011 dans sa mesure d’audience la part réalisée en différé par les chaînes de télévision (les programmes enregistrés et donc regardés en décalé par le téléspectateur).

Un milliard d’euros d’impôts en moins pour acheter les votes aux européennes

Un milliard d’euros d’impôts en moins pour acheter les votes aux européennes

 

 

Après avoir augmenté les impôts directs et indirects, Valls vient de lâcher 1 milliard sur l’impôt sur les revenus. Une manœuvre évidemment démagogique (mais non négligeable pour les revenus modestes) mais qui vient trop tard pour empêcher la déroute du PS aux européennes et menacer la légitimité du gouvernement. Manuel Valls a annoncé vendredi un milliard d’euros de pouvoir d’achat supplémentaire pour les ménages français modestes sous la forme d’une réduction d’impôt sur le revenu (IR) qui profitera à 3,2 millions d’entre eux dès cette année. Son financement ne remettra pas en cause les équilibres du budget 2014 et proviendra « majoritairement » des recettes de la lutte contre la fraude fiscale, qui sont supérieures aux prévisions, a-t-on indiqué au ministère des Finances. « La mesure va bénéficier à plus de trois millions de ménages. Elle va faire sortir de l’impôt sur le revenu 1,8 million de ménages », a dit le Premier ministre sur Europe 1. « C’est un milliard d’impôt en moins, un milliard d’euros de pouvoir d’achat en plus pour les Français, notamment les plus modestes. » La réduction d’impôt et le nombre de ses bénéficiaires vont bien plus loin que ce que Manuel Valls avait lui-même annoncé dimanche, en évoquant une revalorisation du bas du barème de l’impôt sur le revenu qui profiterait à 650.000 ménages. A moins de dix jours d’élections européennes qui se présentent mal pour le Parti socialiste au pouvoir, le gouvernement a pris connaissance entre-temps des très médiocres chiffres de l’économie française, qui a connu une croissance nulle au premier trimestre du fait notamment d’un recul de la consommation des ménages.   »Il faut sortir de cette logique de l’impôt (…) qui empêche les ménages de consommer et qui empêche notre économie de retrouver la compétitivité », a dit le chef du gouvernement.

 

Eau du robinet : plus écolo, plus sain et 200 fois moins

Eau du robinet : plus écolo, plus sain et  200 fois moins

Contrairement à certaines idées reçues l’eau du robinet et très consommable et souvent moins dangereuse que certaines eaux minérales. Un verre d’eau du robinet coûte 200 fois moins cher qu’un verre d’eau en bouteille, soit 0,1 centime le verre. Pour l’eau en bouteille, c’est plutôt 20 centimes en moyenne.  Autre avantage cité : c’est pratique – pas besoin de transporter des packs de bouteilles de 6 kilos. Et seulement 14% des personnes interrogées disent qu’elle a un goût désagréable et déclarent ne jamais boire d’eau du robinet. Cela fait donc 86% de satisfaits.  Cette étude a été réalisée par l’institut TNS SOFRES pour le compte des entreprises de distribution de l’eau, mais elle confirme d’autres enquêtes qui montrent qu’avec la crise, certaines familles ont changé leur façon de consommer et boivent plus d’eau du robinet. D’autant que cette eau ne fait pas peur : malgré des études sur la présence de résidus de médicaments, sachant que les chercheurs en ont aussi trouvés dans les eaux en bouteilles et que ces quantités sont infimes, les consommateurs gardent confiance. On peut donc boire l’eau du robinet, avec toutefois quelques précautions à prendre. D’abord la faire couler un peu, surtout si on rentre d’un long week-end : les germes peuvent s’accumuler dans les canalisations. Ne pas non plus boire de l’eau chaude du robinet : certains font leur thé avec, mauvaise idée, car la chaleur peut décoller de minuscules particules de métal dans les tuyaux et elle développe aussi les bactéries. Et puis toujours la conserver au frigo : ça atténue le gout de chlore, et ça évite le développement des bactéries. Enfin, mettre un bouchon, sinon votre eau va prendre le gout du frigo.

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

 

 

D’après  une étude menée par le cabinet Protourisme, l’an dernier, seuls 29,5 millions de Français (adultes et enfants) ont passé au moins une nuit en hébergement marchand soit 41% de la population contre 45% en 2012. Selon les calculs du cabinet spécialisé, ce seraient 3,5 millions d’habitants de l’Hexagone qui auraient renoncé à ce genre de sortie depuis 2010. Le camping affiche un recul de 3 millions de nuitées, tout comme les locations meublées tandis que l’hôtellerie perd 2 millions de nuitées. Seuls les villages de vacances et les résidences de tourisme tirent à peu près leur épingle du jeu dans une quasi stabilité. «C’est un niveau de départ extrêmement faible et le recul affecte toutes les catégories de clientèle», souligne Didier Arino, directeur de Protourisme. Même les vacances subventionnées dans les villages de vacances associatifs sont en recul. Néanmoins, le niveau de vie reste déterminant pour continuer à s’offrir des vacances. Si les trois quarts des foyers disposant de revenus mensuels nets supérieurs à 3500 euros partent toujours, ils ne sont plus que 56% chez ceux gagnant entre 2500 et 3499 euros et 38% dans les classes moyennes pouvant compter sur 1500 à 2499 euros mensuels. Quant aux foyers avec un revenu inférieur à 1500 euros, la proportion de ceux qui se permettent de s’offrir ce genre de séjour ne dépasse pas 23%. De mauvais chiffres qui rendent Didier Arino pessimiste pour l’avenir. «Si les clientèles étrangères progressent un peu et les catégories socioprofessionnelles supérieures se maintiennent, le cœur du marché se réduit, explique-t-il. Il sera de plus en plus compliqué et coûteux de toucher une nouvelle clientèle. Avec la hausse de la TVA et des charges, la seule manière de s’en sortir pour les plus fragiles sera de se regrouper vers les marques les plus fortes du secteur.»  Un mouvement qui ne se fera pas sans quelques victimes, selon lui, du côté des clubs de vacances ou de l’hôtellerie. Ces professionnels ont d’ailleurs d’autant plus de mal à maintenir leurs marges que le poids des intermédiaires en ligne ne cesse de progresser. L’an dernier 84% des acheteurs d’hébergements marchands se sont renseignés sur le Web, et 72% de ces internautes ont au moins acheté une prestation touristique payante au cours de l’année 2013.

 

Grandes surfaces: Leclerc , l’enseigne la moins chère

Grandes surfaces: Leclerc ,  l’enseigne la moins chère

L’étude annuelle de l’UFC-Que Choisir, publiée ce 25 février, met en lumière de grandes disparités des prix pratiqués selon les enseignes de grande distribution mais aussi selon les régions.  Pour établir un palmarès, les prix de 78 articles alimentaires, constituant un panier type, ont été relevés en septembre dernier dans plus de 3.000 magasins, hors hard discount. C’est Leclerc, par ailleurs plus gros distributeur en France, qui décroche le titre de l’enseigne alimentaire la moins chère, avec une facture moyenne de 295 euros. Si l’on a la possibilité d’aller faire ses achats dans son magasin de Lanester, près de Lorient, la facture tombera même à 273 euros, le record national ! Globalement, l’ouest de la France profite de prix plus doux qu’ailleurs. Et cela n’est pas corrélé aux revenus des foyers, note l’association de consommateurs. Mais plutôt à la concurrence que se livrent Leclerc et Système U dans ces régions.  A l’opposé du classement, Monoprix se distingue par ses prix très élevés. Il faut compter 362 euros pour le panier type. Et si l’on se rend dans l’enseigne de Sceaux, ville aisée des Hauts-de-Seine, la note grimpe alors à 394 euros, soit 121 euros de plus qu’à Lancester. Pourtant l’enseigne de centre-ville appartient au groupe Géant Casino qui, lui, affiche des prix attractifs. Grâce à « un changement radical de politique » note l’UFC-Que Choisir, elle a gagné neuf places cette année dans le palmarès, au point de talonner désormais Leclerc. Mais le groupe invoque le coût des loyers urbains et des frais de personnel plus élevés. « Les salariés sont effectivement plus nombreux chez Monoprix rapporté au mètre linéaire », reconnaît l’UFC-Que Choisir. Mais il y a aussi tout simplement des choix stratégiques différents au sein des enseignes du groupe Casino. L’association relève en effet que la marge opérationnelle de Monoprix est plus élevée : 6,1% en 2012 contre 2% dans la grande distribution en général. L’enseigne entend ainsi tirer parti de sa situation de quasi-monopole en centre-ville.  Une attitude qu’il ne faut pourtant pas généraliser. Car au terme de son étude, l’UFC-Que choisir souligne les efforts effectués par la grande distribution pour surveiller les étiquettes qui n’ont augmenté que de 0,2% par rapport aux relevés effectués en 2012. Quand les clients désertent, les enseignes se montrent réactives, en serrant les prix mais aussi en offrant de nouveaux services, comme les drive. Mais au final, c’est le hard discount qui fait triste mine. Sa part de marché est recul, avec 12% en 2013 contre 14% trois ans plus tôt.

 

Moins de fonctionnaires mais en maintenant les départements (Baroin)

Moins de fonctionnaires mais en maintenant les départements (Baroin)

 

 

Baroin qui faat partie des jeunes loups à droite préconise légitimement le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux pour gérer la dette publique mais tout aussitôt se prononce pour le maintien des départements ; de quoi vraiment s’interroger sur la cohérence de nos politiques qui ne veulent surtout pas s’attaquer à l’oligarchie qui les a fait prince. Dommage car Baroin n’est pas le plus mauvais à droite. Interrogé, ce dimanche 9 février, lors du « Grand Rendez-vous » Europe 1, i>télé, Le Monde sur les sources d’économies (l’objectif fixé par le président François Hollande étant de 50 milliards), François Baroin a cité « les dépenses de l’État ». Selon lui, il faut restaurer la révision générale des politiques publiques », pour profiter de « la bosse démographique » qui provoque des départs de fonctionnaires. Au contraire, a déploré le député-maire de Troyes, la France a « été le seul pays à offrir comme réponse à la crise de la dette la création d’emplois publics ». Faut-il geler primes et avancements de fonctionnaires comme l’aurait suggéré Vincent Peillon qui l’a démenti ? François Baroin a défendu le gel du point d’indice, « élément constitutif d’une non-augmentation des dépenses ». »Je n’arrive plus à lire précisément la stratégie du gouvernement, je ne sais pas si ce sont des Tartuffe, des hypocrites, des maladroits ou si c’est une improvisation permanente », a soupiré le responsable d’opposition. « Vous n’allez pas faire payer aux fonctionnaires le poids de l’effort de la réduction de la dette et des déficits publics », a-t-il observé. « Lorsque nous avions fait le ‘un sur deux’, nous avons offert 50% de bonification indiciaire ». L’ex-hôte de Bercy a également proposé, pour les collectivités locales, un contrat inspiré par la RGPP. La « troisième source » d’économies, pour lui, « c’est le volet social, plus de 540 milliards de dépenses », dont « 30% liés au financement des retraites ». « La première erreur de François Hollande a été de modifier notre réforme des retraites ». Il doit « corriger cette erreur » (ndlr : retour à un départ à 60 ans pour certaines catégories). En revanche, il est opposé à une suppression des départements mais souhaite le retour au conseiller territorial (départements-régions) aboli par l’exécutif.

 

 

Moins d’un sympathisant PS sur deux ne fait plus confianceà Hollande

Moins d’un sympathisant PS sur deux ne fait plus confiance àHollande

, la perte de confiance est particulièrement nette chez les sympathisants socialistes, qui sont désormais moins de la moitié (49%) à lui faire confiance, en recul de sept points. « Il s’agit du niveau le plus bas enregistré par le président depuis son élection », écrit l’institut. « Dans l’histoire de notre baromètre, seul Jacques Chirac a atteint des niveaux plus bas » avec 16% en juillet 2006, après 11 années au pouvoir, précise-t-il. Et comme Jean-Marc Ayrault n’a que 20% de cote de confiance, l’institut estime que « ces faibles niveaux continuent (…) de témoigner de la difficulté du couple exécutif à convaincre les Français – et même les sympathisants de gauche -, de l’efficacité de leur action, à quelques mois d’échéances municipales qui pourraient s’avérer délicates pour le Parti socialiste ». L’observatoire politique CSA pour Les Echos et Radio classique, publié jeudi, ne va pas réconforter le chef de l’Etat. Dans cette étude, François Hollande enregistre en effet un nouveau record d’impopularité avec 23% des Français qui lui font confiance. Selon CSA, « le chef de l’Etat dévisse parmi les CSP+ (cadres, professions libérales et intermédiaires) », qui ne lui font plus confiance qu’à 19% (-13 points en un mois).

Moscovici : le sphinx, de la LCR au libéralisme « peut être moins de fiscalité sur les entreprises »

Moscovici : le sphinx, de la LCR au libéralisme «  peut être moins de fiscalité sur les entreprises »

 

 

Moscovici est sans doute l’archétype  du responsable du PS, très à gauche dans sa jeunesse, et progressivement happé par le libéralisme (il est passé de la ligue communiste révolutionnaire au PS, courant de droite), Enarque, le parti n’est pour lui, comme pour les autres qu’un tremplin pour une carrière. Pas très à l’aise dans le gouvernement de Hollande, il brigue un poste de commissaire européen où la il pourra se libérer de ses dernières convictions socialisantes et se délecter du libéralisme bruxellois. . Invité du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro ce dimanche 2 février, le ministre de l’Economie et des Finances est ainsi revenu à la fois sur la fiscalité des ménages et des entreprises mais comme d’habitude, il a plutôt joué au techno pour ne pas dévoiler des cartes qui sont exclusivement dans les mains de Hollande.  Il a également évoqué les contreparties du pacte de responsabilité.  « Nous avons un taux d’impôt sur les sociétés (IS, ndlr) qui n’est pas le plus performant au monde », a affirmé Pierre Moscovici, ajoutant que cet impôt est également handicapé par « une assiette limitée ». En conséquence, le ministre a déclaré vouloir « améliorer ce qui doit être amélioré ». « Je souhaite pour ma part que nous ayons des taux faciaux moins élevés avec une assiette moins mitée ».   Il a également reconnu qu’en terme de rendement « nous ne sommes pas les champions du monde » avec l’IS. Par ailleurs, Pierre Moscovici a confirmé que l’exécutif veut se pencher sur « les petites taxes sur les entreprises » dont « toutes ne sont pas utiles ». Enfin, il a indiqué que le gouvernement compte « établir une relation de confiance entre les entreprises et l’administration fiscale », avec une loi « le plus tôt possible, d’ici 2015″.

Moins de services publics pour payer moins d’impôts ; 63% des français pour (sondage BVA)

Moins de services publics pour payer moins d’impôts ; 63% des français pour (sondage BVA)

Finalement l’opinion avance beaucoup plus vite que la doctrine gouvernementale sur les économies à réaliser en matière de dépenses publiques. Sur la réformes des régions et des départements près de 70% sont pour quand le gouvernement, lui, propose simplement des regroupements sur la  base du volontariat (autant dire que ce n’est  pas pour demain)°. Sur les services publics aussi les français sont prêts à envisager leur réduction quand Ayrault, lui vient hier d’annoncer que les économies ne devaient pas se faire sur le dos de fonctionnaires. Selon une enquête BVA publiée ce vendredi 24 janvier, les Français sont disposés à payer moins d’impôts, quitte à bénéficier de moins de services publics. Mais ils veulent des économies ciblées. Les Français restent attachés à leurs services publics mais ils trouvent que les prestations se dégradent. C’est la conclusion d’une enquête BVA-Institut Paul Delouvrier pour RTL et Les Echos publiée ce vendredi 24 janvier. Les sondés sont moins satisfaits qu’avant en matière d’emploi et d’éducation. Et surtout, deux tiers d’entre eux (63%) sont maintenant prêts à moins de services publics pour payer moins d’impôts. Et ça c’est une première, car jusqu’ici, les Français étaient partagés sur cette question, plutôt à hauteur de 50/50. Mais les économies ne concernent pas tous les domaines. Pas question de toucher à la santé, service public préféré des Français. L’emploi et l’éducation sont également plébiscités par les sondés, qui considèrent ces secteurs comme des priorités. En cas de coupes budgétaires, la culture, la défense ou l’environnement pourraient en faire les frais.

 

Hollande : moins de régions ? oui une dizaine au plus !

Hollande : moins  de régions ?  oui une dizaine au plus ! 

C’est très timidement que Hollande s’est dit prêt à envisager la réduction du nombre de régions. En fait il marche sur des œufs pour ne pas fâcher les barons de régions qui restent des découpages administratifs et politiques. Pour rivaliser avec les régions allemandes, italiennes ou espagnoles, il faudrait diviser au moins par deux ces régions très artificielles et qui n’ont pas le poids économique suffisant pour constituer des entités pertinentes. Si l’on examine la structure des flux de biens à travers la logistique et les transports, on s’aperçoit qu’il n’existe en fait qu’une dizaine de véritables  régions autours des grands nœuds logistiques qui rendent compte de la réalité économique. Sans parler des réalités culturelles inexistantes pour nombre de régions. Dans son discours liminaire, mardi, à l’occasion de sa troisième conférence de presse, François Hollande s’est donc dit prêt « à faire évoluer le nombre de régions » pour réaliser des économies. « Notre organisation territoriale devra également être revue. Cette année en 2014, nous devons en terminer avec les enchevêtrements et doublons.  » Les régions auront de nouvelles responsabilités dans le cadre d’une nouvelle loi de décentralisation qui donnera plus de libertés aux élus », a déclaré François Hollande. « Les collectivités seront incitées à se rapprocher, tant au niveau des régions que des départements ». « Les dotations de l’Etat varieront selon les rapprochements », a-t-il conclu. Le président de la République a affirmé que « les régions se verront confier un pouvoir réglementaire local d’adaptation », ce qu’avait déjà annoncé le Premier ministre Jean-Marc Ayrault lors de l’adoption du Pacte d’avenir pour la Bretagne, en décembre à Rennes. Il s’agit de « donner encore plus de libertés aux élus pour travailler », selon lui. Le chef de l’Etat a aussi confirmé que les régions auront « de nouvelles responsabilités ». Et de manière générale, les collectivités territoriales « seront incitées et invitées à se rapprocher ».

 

Emplois -Etats-Unis : moins d’emplois, moins de chômeurs en novembre

Emplois -Etats-Unis : moins d’emplois, moins de chômeurs en novembre

 

La baisse des créations d’emplois au Etats-Unis serait surtout accidentelle et liée aux intempéries Curieusement le chômage baisse parallèlement. Comme en France on sait quand même faire baisser les statistiques du chômage ; en France on radie, aux Etats –Unis on favorise les désinscriptions (d’autant pus facilement que les indemnités sont faibles). Les créations d’emploi aux Etats-Unis sont tombées en décembre à leur plus bas niveau depuis trois ans mais cette rechute devrait être passagère dans la mesure où elle semble s’expliquer en partie au moins par l’impact du froid glacial qui s’est abattu sur une partie du pays. Les créations d’emplois ont chuté à 74.000, leur plus bas niveau depuis janvier 2011, après 241.000 embauches en novembre, montrent les statistiques officielles publiées vendredi. Le taux de chômage, calculé selon une méthode distincte, a reculé de 0,3 point le mois dernier, à 6,7%, son niveau le plus faible depuis octobre 2008, entre autres à cause de la sortie de certains Américains du marché du travail. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne 196.000 créations de postes après les 203.000 annoncées initialement pour novembre et un taux de chômage de 7,0%. Mais ils avaient été nombreux à relever leurs prévisions ces derniers jours en réaction à la publication d’indicateurs sur l’emploi et sur l’activité suggérant une nette amélioration en fin d’année. Pour le mois de novembre, le département du Travail a revu en forte hausse, de 38.000, le nombre des créations d’emplois. Wall Street a débuté dans le vert après le rapport mensuel sur l’emploi mais l’indice Dow Jones et le Standard & Poor’s-500 cédaient du terrain après une heure d’échanges, tandis que les cours des obligations du Trésor progressaient. « On dirait que c’est une question de météo, avec une forte baisse dans la construction et un recul de 1.000 emplois dans le transport. Les investisseurs vont focaliser leur attention sur le taux de chômage et la révision en hausse du mois dernier », estime John Canally, économiste chez LPL Financial à Boston.  

 

Sondage- une majorité pour moins de fiscalité et de fonctionnaires

Sondage- une majorité pour moins  de fiscalité et de fonctionnaires

 

Le vrai changement, c’est maintenant mais pas celui de Hollande. Celui que souhaitent les français pour redonner de la compétitivité, relancer croissance et emploi. Hollande lui coure en faiat après l’opinion car les français n’ont pas besoin d’être convaincu par lui de la nécessité de baisser la fiscalité, de simplifier les procédures, de réduire le nombre de fonctionnaires. Ainsi, Selon le dernier baromètre BVA-BFM-Axys publié ce jeudi 9 janvier  les Français souhaitent à 74% la simplification des procédures de création d’entreprises qui ont un impact positif sur l’emploi. De même, 66% sont pour une diminution de la pression fiscale des entreprises. Et 56% réclament de réduire la dépense publique en limitant le nombre de fonctionnaires (23% seulement sont contre).  Ils sont également favorables à 51% (contre 24%) à « l’assouplissement des règles sur le marché du travail pour que les entreprises puissent embaucher et licencier plus facilement ». En revanche, 49% seulement se déclarent pour interdire le licenciement dans les entreprises qui font des bénéfices, une mesure longtemps prônée par les socialistes.

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