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France: De moins en moins de couples

France: De moins en moins de couples

Selon l’Insee, en 2019 en France, 31 millions de personnes vivent en couple dans le même logement, soit 59% de la population âgée de 18 ans ou plus. Un chiffre en légère, mais constante, diminution depuis les années 1980. Cette proportion était de 62% en 1999, 64% en 1990 et 62% entre 1962 et 1982.

Cette diminution est légère mais constante depuis les années 1980, révèle l’Insee. La part des couples mariés diminue drastiquement notamment chez les 20-24 ans avec seulement 4% des femmes et 2% des hommes de cette tranche d’âge vivant en couple marié en 2019.

Chez les plus jeunes, 25% des femmes et 14% des hommes de 20 à 24 ans vivent en couple, contre 54% des femmes et 32% des hommes en 1975, presque toujours en couple marié, souligne l’Insee. La part des couples mariés diminue drastiquement chez les 20-24 ans avec seulement 4% des femmes et 2% des hommes de cette tranche d’âge vivant en couple marié en 2019. Ces proportions connaissent une baisse depuis les années 2010, qui peut être liée à la hausse des taux de scolarisation à ces âges et à la hausse du chômage des jeunes, précise l’Insee.

Bartolone : moins de députés et de départements

Bartolone : moins de députés et de départements

On avance, certes au pas d’escargot mais on avance en matière de réformes de structures. Bartolone veut bien qu’on envisage de supprimer une bonne centaine de députés, (il en resterait bien assez plus de 450 pour inonder le pays de textes réglementaires inutiles). Il aurait pu aussi parler du sénat, au nombre de 358 quand les Etats Unis n’en compte que 100 ! Bartolone est aussi favorable à la suppresion de certains départements contrairement à Hollande qui est pour le maintien. Les avancées de Bartolone sont très modestes mais elles vont dans le bons sens car c’est le nombre d’élus et de fonctionnaires qui en découlent qui plombent compétitivité et initiative. Ce n’est pas encore le grand soir, dommage car que 50 milliards d’euros d’économies devront être trouvées avant la fin du quinquennat.  Ce dimanche 17 janvier, Claude Bartolone a ouvert la porte à une réduction du nombre de députés. Invité de BFM Politique, le président de l’Assemblée nationale a toutefois souligné qu’aujourd’hui, « le nombre de députés (577, Ndlr) est inscrit dans la Constitution. Mais moi je dis: « pas de tabou! » On peut revenir au nombre de 1981, c’est-à-dire 453 députés. » Tout en précisant que « l’argent que l’on pourrait économiser sur le nombre de députés, nous en aurons besoin pour des administrateurs, pour des services d’évaluation, pour être encore plus efficaces. »  Certains parlementaires pourraient pourtant être réfractaires à l’idée d’abandonner les bancs de l’hémicycle. Interrogé sur ce point, Claude Bartolone a balayé l’idée: « on n’est pas là pour protéger la rente de tel ou tel élu. On est là pour déterminer comment gérer des territoires solides et solidaires. » L’élu de Seine-Saint-Denis, l’un des départements qui pourraient être « avalés » par Paris, a également donné son avis sur la question. Pour lui, certains départements peuvent être supprimés, mais « pas en territoire rural. Par contre, chaque fois qu’il y a des métropoles, on peut l’envisager. Mais que l’on soit clair: ce n’est pas pour les économies que cela représentera en tant que tel, mais pour l’efficacité de la décision publique. »

 

Mory Ducros: moins de 2.000 emplois sur 7000 repris ?

Mory Ducros: moins de 2.000 emplois  sur 7000 repris ?

2000 salariés pourraient être repris par l’actuel actionnaire sur 7000 (5000 chez Mory et 2000 chez les sous-traitants). Une agence sur deux serait condamnée (85 actuellement). C’est la plus grosse faillite depuis Moulinex. Une reprise sans doute satisfaisante sur le plan social (en partie évidemment) mais hypothétique sur le plan économique. L’actionnaire principal n’est pas vraiment du métier et n’a pas fait preuve jusque là d’une grande pertinence de gestion, par ailleurs le secteur est particulièrement concurrencé et globalement l’offre est structurellement surabondante. Sans parler des prix de dumping de certaines entreprises pour conquérir (ou maintenir) des parts de marché. De toute évidence, si la conjoncture ne s’améliore  pas rapidement (ce n’est pas prévu en 2014), il y aura encore des dégâts dans le  secteur.  L’offre d’Arcole Industries, actionnaire principal de Mory Ducros, est désormais connue. Et elle devrait laisser un goût amer aux salariés, suspendus à la décision du tribunal de commerce de Pontoise, le 31 janvier prochain. Arcole Industries propose en effet de reprendre moins de 2.000 salariés sur les 5.000 de l’entreprise en redressement, ont annoncé deux syndicats, mercredi 8 janvier. « L’offre globale déposée par Arcole Industries aura un volume d’emploi inférieur à 2.000 salariés sur les 5.000 de l’entreprise, sans compter les 2.000 salariés issus de la sous-traitance qui ne font pas partie de l’offre d’Arcole Industries », écrit dans un communiqué la fédération CFDT des transports. Outre cette offre, trois offres de reprises partielles ont été déposées, confirme le syndicat. La direction, elle, informera précisément les représentants du personnel sur les offres de reprise déposées jeudi. Selon Force Ouvrière, joint par l’AFP, Arcole propose de reprendre 43 agences sur 85, soit 1.900 emplois au total. Si les offres complémentaires portent sur des agences différentes de celles que propose de reprendre Arcole, davantage d’emplois pourraient être préservés, selon la CFDT.  Le syndicat souligne qu’il « examinera si les trois offres partielles peuvent être complémentaires de l’offre globale permettant d’améliorer ainsi le nombre d’emplois sauvegardés ».

 

Sondage : moins de dépenses des ménages en 2014

Sondage : moins de dépenses des ménages en 2014

mMuvaise nouvelle pour la croissance, les français vont reduire leurs dépenses en 2014 .  91% des personnes interrogées veulent être « plus responsables financièrement », selon un sondage Ipsos réalisé pour ING Direct dans onze pays européens et en Turquie. Pour les Français, les résolutions financières se concentrent principalement sur la réduction de leurs dépenses (38%) et l’épargne (38%).  Diminuer leur endettement est un enjeu moins central (21%) pour eux. En effet, celui-ci étant traditionnellement plus faible que dans d’autres pays européens, précisent les auteurs de l’étude. Plus de la moitié des Français interrogés estiment que la crise a eu des conséquences négatives sur leurs finances personnelles au cours des trois derniers mois. A l’inverse, les personnes interrogées dans les autres pays sont moins nombreuses que l’année dernière à estimer que la crise a affecté leur épargne (41% cette année contre 44% fin 2012). Enfin, plus du tiers des personnes interrogées en France (41%) estiment que le montant de leur épargne a diminué en 2013, alors que les Allemands ne sont que 30% à faire la même déclaration.

Sondage : moins de fonctionnaires, 61% pour

Sondage : moins de fonctionnaires, 61% pour

Une majorité de Français (61%) estime « nécessaire de faire des économies » sur les dépenses publiques « quitte à fermer certains services publics », selon un sondage Ifop pour Le Figaro à paraître mardi 3 décembre. A la proposition « il est nécessaire de faire des économies budgétaires compte tenu de l’ampleur des déficits publics et de la dette, quitte à fermer certains services publics« , 61% des personnes interrogées répondent oui, tandis que 39% jugent « nécessaire de garder les services publics à proximité des usagers sur l’ensemble du territoire quitte à augmenter les impôts ». Six Français sur dix estiment aussi que l’État peut faire aussi bien avec moins d’agents et qu’ »il serait possible d’avoir des services publics de qualité tout en réduisant le nombre de fonctionnaires ». 32% des Français répondent non et 8% ne se prononcent pas. Pour 54% des personnes interrogées, « le non-remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite » est une « bonne mesure », 46% pensent le contraire. Interrogés sur le « montant des impôts et taxes », 45% des Français le qualifient d’ »excessif », 43% d’ »élevé », 10% de « plutôt acceptable » et 2% de « très acceptable ». Invités à juger la France dans la compétition économique mondiale, 73% d’entre eux jugent qu’elle est « mal placée », 27% pensant l’inverse.

 

Armée : moins de Rafales

Armée :  moins de Rafales

Alors que Dassault Aviation avait obtenu de livrer 11 Rafale par an pour garantir une cadence minimale de la chaîne de production en attendant les premiers contrats à l’export, le projet de loi présenté en Conseil des ministres ne prévoit plus que l’acquisition de 26 appareils au total sur les six ans à venir.  Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait déjà indiqué le 11 juin qu’à partir de 2016, Dassault devrait compter sur les exportations pour soutenir la production de l’avion multirôle.  Paris considère que les négociations avec l’Inde pour l’achat de 126 Rafale sont suffisamment avancées pour être conclues rapidement, explique-t-on dans l’entourage du ministre. « Je suis très confiant », avait dit Jean-Yves Le Drian en visite il y a une semaine en Inde. Et la loi, ajoute-t-on dans son entourage, est bâtie sur l’hypothèse qu’un second au moins des autres prospects – Malaisie, Qatar, Emirats Arabes Unis et Brésil – qui se sera décidé pour l’appareil français avant la fin 2019.  L’Etat ne remet pas en question les commandes totales de 180 Rafale déjà passées (120 auront été livrés cet été) ni une éventuelle cinquième tranche de commandes, a précisé un conseiller de M. Le Drian. Il a fait valoir que les bureaux d’étude de Dassault recevraient pendant cette période des centaines de millions d’euros pour concevoir un drone de combat à l’horizon 2030, en coopération avec le britannique BAE Systems, et pour faire évoluer le Rafale au prochain standard, baptisé F3-R.  Car l’objectif du ministère est de préserver neuf secteurs industriels majeurs, qui vont de l’aéronautique aux communications en passant par les sous-marins. Mais pour ce faire toutes les commandes seront étalées dans le temps.  Ainsi, la LPM prévoit l’acquisition d’une douzaine d’avions ravitailleurs multirôles (MRTT) fabriqués par Airbus Military, mais seuls deux seront livrés sur cette période, en 2017 et 2018, a-t-on précisé au ministère.  Les besoins en avions de transport militaire A400M semblent plus pressants puisque 15 appareils seront livrés pendant la LPM, sur la cinquantaine qui devrait être commandée.  Le projet de loi prévoit le renouvellement du parc de blindés de l’armée de terre (programme Scorpion). Mais sur les 2.080 véhicules blindés multirôles qui doivent être commandés, seuls une centaine sera livrée avant la fin de la période, précise-t-on au ministère. 248 blindés de reconnaissance sont toujours prévus pour remplacer les Sagaie et les AMX-10RC de la cavalerie.  Le renforcement des moyens de renseignement étant une priorité, « nous n’avons pas l’intention de retarder » l’entrée en service des nouveaux satellites, indique-t-on au ministère. Les satellites de surveillance optique du programme MUSIS sont attendus à l’horizon 2017, et trois satellites CERES d’interception électronique doivent être mis en orbite en 2020.  Les drones sont tout aussi prioritaires. La LPM prévoit l’acquisition de 14 drones tactiques, pour l’observation du théâtre d’opération, et de 12 drones MALE (moyenne altitude, longue endurance) qui permettent de surveiller de vastes zones pendant 24 heures. M. Le Drian a déjà annoncé qu’il achèterait des drones Reaper à l’américain General Atomics. Mais les industriels européens pourront « adapter les instruments de navigation et de liaison satellite aux moyens français » et d’autre part fournir « les capteurs optiques et d’écoute électronique », souligne-t-on au ministère.  A plus long terme, les industriels du secteur, qui se sont dits prêts à travailler ensemble sur un programme de drone MALE européen, pourront faire des propositions pour un drone livrable à partir de 2023, ajoute-t-on.

 




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