Archive pour le Tag 'modérée ?'

Taxe foncière : hausse modérée mais à haut niveau

Taxe foncière : hausse modérée mais à haut niveau

L’augmentation devrait être modérée en 2024 mais va demeurer à haut niveau puisque sur les logements la moyenne devrait être de l’ordre de 1000 € dans les villes.


Ces dernières années la taxe foncière a beaucoup progressé. Plusieurs facteurs explicatifs d’abord la suppression de la taxe d’habitation, aussi l’inflation qui contribue à la hausse des dépenses.

Concrètement, pour 2024, les grandes villes (celles de plus de 100 000 habitants) ont décidé d’augmenter cet impôt d’1,2% en moyenne. Les communes sont plus nombreuses qu’en 2023 à laisser inchangé leur taux de prélèvement. C’est ce qui ressort du baromètre annuel publié fin mai 2024 par le cabinet Finances et Stratégies Locales.
La hausse modérée est due à la décision propre aux communes après la forte hausse imposée l’année dernière. Toutefois, quelles que soient les villes, les propriétaires de biens immobiliers subiront quand même, en 2024, une hausse de 4%, même dans les communes qui n’augmentent pas le foncier. Pourquoi ? Tout simplement parce que la taxe foncière est relevée du montant de l’inflation annuelle. Or, le calcul s’effectue au mois de novembre précédant l’année d’imposition. Manque de chance, en France l’inflation a commencé à baisser en 2024 et non en 2023. Pour la taxe foncière cette année, il faut donc ajouter 4% de hausse automatique, en plus de la hausse – aussi modérée soit-elle – décidée par les communes.

 

Inflation : Attaque modérée contre les marges indues (Bruno Le Maire)

Inflation :Attaque modérée contre les marges indues (Bruno Le Maire)

De manière implicite, le ministre de l’économie reconnaît que les industriels de l’alimentaire réalisent des marges indues. Ils menacent donc de les taxer si des prix ne diminuent pas. Et d’affirmer sans réel argumentation pertinente que ces prix vont baisser à partir de juillet. Le problème est que l’inflation va sans doute se tasser mais on n’est pas prêt de voir les prix reculer car une partie de l’inflation et structurelle( même si une partie est effectivement spéculative).

Le ministre de l’économie a cité sur le plateau de BFM TV les pâtes, la volaille, les céréales ou encore les huiles, à savoir ceux dont « les prix sur les marchés de gros baissent ». « C’est ce à quoi se sont engagés les industriels lors d’une réunion jeudi à Bercy », a-t-il ajouté, précisant que la liste lui sera transmise la semaine prochaine. Il y a urgence : la hausse des prix à la consommation s’est élevée à 5,1% en mai sur un an, mais celle des produits alimentaires atteint encore 14,1%.

Les grands industriels de l’agroalimentaire, tels que Coca-Cola, L’Oréal, Mondelez ou Nestlé, se sont également engagés à rouvrir les négociations commerciales avec les supermarchés sur les contrats conclus pour 2023, selon le ministre.

Il a aussi souligné que « le taux de marge des entreprises de l’agroalimentaire a fortement progressé au cours des premiers mois de l’année 2023 et plus que rattrapé les pertes qu’ils avaient faites lors des deux années passées, tant mieux pour elles » !!!

Royaume-Uni : une récession modérée ?

Royaume-Uni : une récession modérée ?

 

Suite au brexit Goldman Sachs prévoit une récession modérée pour la Grande-Bretagne et une diminution de 0,25 % du PIB tant pour les États-Unis que pour l’Europe. Une diminution en apparence assez faible mais dont le niveau serait susceptible d’affecter de façon notoire l’emploi. En clair pour l’Europe de chômage ce stabiliserait à son niveau actuel au lieu de se résorber. Ce n’est en effet qu’à partir d’un taux de croissance de 1,5 % que le solde des emplois redevient positif et que le chômage diminue. Le Royaume-Uni est susceptible d’entrer en récession dans l’année après s’être prononcée jeudi pour une sortie de l’Union européenne, décision qui va aussi limiter la croissance mondiale, selon les principaux économistes de Goldman Sachs.  »Nous nous attendons maintenant à ce que l’économie (britannique) connaisse une récession modérée d’ici à début 2017″, annoncent dans une note aux clients de la banque d’affaires les économistes Jan Hatzius et Sven Jari Stehn. Ces derniers prévoient que la victoire du « Leave » jeudi va entamer le produit intérieur brut (PIB) britannique d’un pourcentage cumulé de 2,75% dans les 18 prochains mois. Des retombées sur les économies européennes et américaine sont également attendues. La progression du PIB de la zone euro pour les deux prochaines années est attendue en moyenne à 1,25% par la banque, contre 1,5% dans sa précédente prévision, antérieure au scrutin britannique. Pour l’économie américaine, Goldman Sachs anticipe désormais une croissance au second semestre 2016 de 2%, un chiffre révisé à la baisse par rapport à sa prévision initiale de 2,25%.




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