Archive pour le Tag 'modèle'

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Thévenoud : un député PS modèle !

Thévenoud :  un  député PS modèle !

«  Des retards de déclaration et de paiement d’impôt », c’est ce qu’ a reconnu Thévenoud en utilisant la dialectique confuse de l’ENA, en fait il n’aurait pas payé (ni fait de déclaration) d’impôts pendant trois ans d’après France info. Il était pourtant considéré comme un député modèle du PS. Il avait même appelé à la « repentance fiscale » pour inciter les évadés fiscaux à revenir en France. Un vrai expert !  L’ex-secrétaire d’État au Commerce extérieur était l’une des étoiles montantes du parti socialiste avant d’être débarqué du gouvernement pour avoir dissimulé ses impôts à l’administration fiscale. Thévenoud c’est effectivement un député modèle du PS, un vrai oligarque, qui à faiat l’ENA et/ou sciences politiques (13 ministres sur 18 ont faiat l’ENA). Un copain de Fabius dont il a été conseiller technique)  et de Hollande. Un rai oligarque, sa femme est également chef de cabinet du groupe socialiste ( normal Thévenoud est auusi vice président du groupe !).  Pourtant Thomas Thévenoud a été contraint de quitter le gouvernement, jeudi 4 septembre, après 9 jours passé à la tête du secrétariat d’état au Commerce extérieur. Motif : le député socialiste s’était « soustrait au Fisc ».  Pourtant, l’ex-secrétaire au commissariat extérieur était plutôt l’élève modèle de l’école socialiste. Rappelez-vous, en 2013, Thomas Thévenoud avait même été nommé vice-président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac. Il était alors au-dessus de tout soupçon.   Thomas Thévenoud, c’est le député modèle, porte-parole du groupe socialiste, toujours souriant, blagueur et disponible. Proche d’Arnaud Montebourg, il était également très bien vu à Matignon.  Son entrée au gouvernement, Thomas Thévenoud la doit aussi à son action. Il était sur le point de trouver une issue à la guerre entre les taxis et les voitures de tourisme. En 2012, il s’était déjà fait remarquer en critiquant la TVA réduite dans la restauration. Souvent, le député de Saône-et-Loire raconte fièrement qu’il refuse et renvoie tous les cadeaux, les bouteilles de vin, de champagne, qu’il reçoit dans sa circonscription. En juin 2013, il répond aux questions de RTL midi en tant que vice-président de la commission d’enquête sur l’affaire Cahuzac. « C’est un ancien collègue, ça a été un ministre qui avait du savoir faire mais il nous a menti et c’est une trahison. » Un retournement de situation cruel pour celui qui a également été élu, en 2013, vice-président de la mission d’information sur la fraude fiscale. Bref, un vrai « faux-cul » type Hollande, de quoi en rire ou plutôt en pleurer pour la démocratie !

 

Le « nouveau modèle français » à l’allemande ?

Le « nouveau modèle français » à l’allemande ?

 

Pour Ayrault, c’est fait la France a choisi le modèle allemand, c’est le tournant social démocrate à l’allemande. Il y a pourtant encore du chemin à parcourir car le modèle français est encore très étatisé et les syndicats français demeurent à la fois très divisés et surtout peu représentatifs. Surtout les réformes structurelles sont loin d’être à la hauteur de l’enjeu. Avec le pacte de responsabilité, François Hollande, social-démocrate désormais assumé, voudrait cependant  rapprocher la France du modèle allemand en faisant du dialogue social une des pierres angulaires de sa politique économique. Après la réforme du marché du travail et celle de la formation professionnelle, un accord entre le patronat et les syndicats réformistes sur ce pacte, dont les jalons ont été posés mercredi, validerait sa stratégie de délégation aux « corps intermédiaires » décriés par Nicolas Sarkozy.   »Nous avons fait vivre le dialogue social », a dit jeudi sur RMC et BFMTV Jean-Marc Ayrault, qui a pris comme exemple l’Autriche, où des relations sociales pragmatiques sont selon lui à l’origine du quasi plein emploi. « C’est cela mon objectif, c’est d’arriver au même résultat », a expliqué le Premier ministre, qui a revendiqué un premier succès sur le front de l’emploi avec la baisse du chômage au quatrième trimestre 2013 au sens du Bureau international du travail (BIT). En réalité, le chômage a encore progressé en 2013.  Si l’accord sur le pacte de responsabilité permet au gouvernement d’éviter que la baisse du coût du travail apparaisse comme un chèque en blanc au patronat, il conforte aussi le virage social-démocrate du président.

Crise : Montebourg vante le modèle japonais

Crise : Montebourg vante le modèle japonais

Montebourg a sans doute raison de vanter le modèle japonais mais il est impuissant, d’une part il ne compte guère en France au gouvernement, ensuite il oublie qu’il compte encore moins dans la zone euro (qui gère notre monnaie), enfin il n’est pas crédible pour avoir top parlé, et s’être trop contredit… « D’abord, c’est un pays qui est endetté et qui fait une relance budgétaire de 100 milliards de yens », lance-t-il au micro d’Europe 1. « Et ça n’est pas un gouvernement bolchévique qui fait ça, c’est un gouvernement de droite », précise-t-il. « Deuxièmement, ils ont une banque centrale qu’ils ont soumis aux intérêts du gouvernement, donc ils n’ont plus une banque centrale indépendante qui n’en fait qu’à sa tête. Et troisièmement, c’est une banque centrale qui a décidé de soulager la population japonaise des hausses d’impôts et des coupes budgétaires. Ca, ça pourrait intéresser les Européens », ajoute-t-il. . Le parallèle est certes séduisant. La troisième puissance économique mondiale est sortie au dernier trimestre 2012 de six mois de récession sur fond de conjoncture mondiale déprimée. La croissance s’est accélérée ensuite et plusieurs clignotants se sont mis au vert, même si l’investissement privé (hors immobilier) a continué de reculer au premier trimestre, un signe que les entreprises restent encore prudentes face aux « Abenomics ». Mais le remède japonais n’est pas applicable en France, car le Japon a sa propre monnaie et détient sa dette. Mais à Tokyo Arnaud Montebourg entend bien plaider sa cause. Et pour le dîner donné par l’empereur, jeudi, il confie avoir dû débourser 1.000 euros pour un smoking. Un investissement qu’il considère comme pérenne.

 

Peugeot : un nouveau modèle à air comprimé

peugeot : un nouveau modèle à air comprimé

 

Peugeot va utiliser la technique de l’air comprimé (qui existe déjà dans le transport) et qui permet d’économiser de l’ordre de 50% de carburant.  PSA a présenté à la presse un projet d’une nouvelle chaîne de traction hybride essence fonctionnant grâce à de l’air comprimé et qui pourrait équiper des véhicules commercialisés à partir de 2016.   »C’est une étape clé vers la voiture aux 2 litres aux 100″ kilomètres, s’est félicité le président du directoire Philippe Varin lors de la présentation de ce qu’il a présenté comme une première mondiale.  Cette innovation repose sur l’utilisation d’un moteur essence, d’un stockeur d’énergie sous forme d’air comprimé, d’un ensemble moteur-pompe hydraulique et d’une transmission automatique via une boîte de vitesses développée spécialement, explique PSA.  Ceci permet « une récupération de l’énergie au freinage et à la décélération », a expliqué le chef de projet Karim Mokaddem.  En ville, ce type de véhicule fonctionne à l’air comprimé sur de courtes distances, avant que la propulsion thermique ne se réenclenche.  Comme le moteur électrique, le moteur pneumatique a été développé bien avant le moteur à essence. Mais à part quelques applications dans le domaines des transports en communs (tramways), cette technologie n’a pas prospéré, en raison notamment de la faible autonomie qu’elle permet.  Le projet de PSA a été développé dans le cadre d’une coentreprise avec l’Etat, qui détient une part minoritaire. « C’est un partenariat exemplaire », s’est félicité Philippe Bouyoux, commissaire général adjoint à l’investissement car « c’est une innovation de rupture ».  Les équipementiers allemand Bosch et français Faurecia sont associés au projet, qui permet une économie de carburant de 45% en ville et qui doit permettre à PSA de « maintenir son leadership en terme d’émission de CO2″, selon M. Varin. Le premier constructeur automobile français est déjà présent dans l’hybride diesel-électique.  L’objectif de ce projet est de faire baisser à environ 70 grammes par kilomètre les émissions de CO2, contre environ 125 généralement.  Le constructeur présentera cette nouvelle technologie plus en détail au salon automobile de Genève en mars. Les véhicules qui en seront équipés coûteront plus chers que les classiques, mais PSA n’a pas voulu chiffrer ce surcoût. Ce sera « une voiture accessible au plus grand nombre », a promis son directeur de la recherche et développement Guillaume Faury.  Elle présente l’avantage d’être facilement adaptable sur des voitures et des utilitaires, d’être « indépendante des conditions climatiques et du maillage du réseau de maintenance » ou de recharge, contrairement aux véhicules électriques, a vanté M. Mokaddem.  Les promoteurs de la propulsion pneumatiques font valoir que la fabrication du réservoir d’air comprimé est bien inférieure à celui d’une batterie électrique. Son poids est également bien moins élevé. Cette technologie est toutefois bruyante, contrairement au moteur électrique.  PSA a aussi présenté sa nouvelle plate-forme dénommée « EMP2″ sur laquelle seront construits ses futurs modèles type berline, coupé, break, monospace et SUV. Elle équipe déjà les usines de Sochaux en France et de Vigo en Espagne, puis Wuhan en Chine à partir de 2014.

 

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