Archive pour le Tag 'Mobilisation'

Manif retraite : encore une énorme mobilisation

Manif retraite : encore une énorme mobilisation


Encore une énorme mobilisation lors de la journée de protestation du 23 mars 2023 contre la réforme des retraites; une mobilisation qui sans doute a été renforcée du fait du passage en force du gouvernement via l’utilisation du 49–trois et surtout après l’intervention agressive de Macron à la télé. Notons que les médias aux mains des financiers commencent à instrumentaliser certaines violences des extrémistes afin de faire comprendre aux Français que la réforme est légale et doit être appliquée.

Comme d’habitude les chiffres diffèrent selon l’origine des compteurs mais on doit constater une nouvelle participation exceptionnelle avec3,5 millions selon les chiffres de la CGT (dont 800 000 à Paris) et près de 1,1 million selon le ministère de l’Intérieur (dont 119 000 dans la capitale). Des chiffres quasiment identiques à ceux de la plus forte journée de manifestations jusqu’à présent, le 7 mars.

Une participation souvent en forte hausse en province par exemple à Lyon (22 000 à 55 000 manifestants), Brest (20 000 à 40 000) ou Montpellier (18 000 à 40 000), où la mobilisation est toutefois restée en-deçà des sommets enregistrés lors des précédentes journées, surtout le 31 janvier et le 7 mars. Un regain par rapport à la précédente journée de mobilisation a également été observé dans des villes moyennes comme Agen (4 000 à 6 000), Laval (5 200 à 9 600) ou Valenciennes (3 100 d’après la police).

Si les chiffres varient le plus souvent du simple au double entre les comptages de la police et ceux des syndicats, certaines villes se sont distinguées par des écarts bien plus prononcés, notamment Saint-Etienne (6 200 à 35 000), Nice (5 200 à 40 000) et, comme à l’accoutumée, Marseille, où la préfecture a compté 16 000 manifestants, soit dix-sept fois moins que les 280 000 recensés par la CGT.

RETRAITES: NOUVELLE JOURNÉE DE MOBILISATION LE JEUDI 23 MARS

RETRAITES: NOUVELLE JOURNÉE DE MOBILISATION LE JEUDI 23 MARS

Suite au recours par le gouvernement de l’article 49.3 pour faire passer sa réforme des retraites sans vote, l’intersyndicale a appelé à la tenue le jeudi 23 mars d’une nouvelle journée de grève et de manifestations en France.

En attendant, l’intersyndicale invite les Français à « mener des actions calmes et déterminées ». Elle « appelle à des rassemblements syndicaux de proximité ce week-end ».

Elle réitère une nouvelle fois sa demande de retrait total de la réforme.

Dénonçant un passage « en force », l’intersyndicale « mesure avec gravité la responsabilité que porte l’exécutif dans la crise sociale et politique qui découle de cette décision, véritable déni de démocratie », écrit-elle dans un communiqué.

La dernière journée de mobilisation, mercredi, a réuni plus d’1,5 million de personnes dans toute la France selon l’intersyndicale, 480.000 selon le ministère de l’Intérieur.

« Aujourd’hui, c’est ce mouvement social exemplaire qui démontre que le président de la République et son gouvernement sont en échec devant l’Assemblée nationale », disent les huit principaux syndicats français dans leur communiqué.

Dans un communiqué distinct, le syndicat étudiant L’Alternative a appelé les étudiants à tenir des assemblées générales dès vendredi « pour bloquer leurs lieux d’études » et « à se rapprocher des secteurs en grève, à repérer et bloquer les axes routiers, les gares, les ports et aéroports à proximité pour soutenir les travailleurs ».

DOSSIER : RÉFORME DES RETRAITES

LAURENT BERGER VEUT CONTINUER LA MOBILISATION

LAURENT BERGER VEUT CONTINUER LA MOBILISATION

Le secrétaire général de la CFDT espèren encore que le gouvernement ne va pas recourir à l’article 49-3 et que certains députés y compris de la majorité vont faire capoter le projet de réforme à l’assemblée.

Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger estime ce dimanche sur « BFM Politique » que le combat n’est pas perdu pour l’intersyndicale et les opposants à la réforme des retraites, bien que le texte ait été voté samedi soir au Sénat.

« J’en appellerai toujours à la raison jusqu’au bout », assure-t-il, à propos des parlementaires qui ont voté en faveur de la réforme cette semaine. Il assure que des décisions doivent être prises mercredi pour décider de la suite à donner au mouvement.

Après le Sénat, c’est désormais au tour de la commission mixte paritaire de parvenir à un compromis sur les mesures qu’Assemblée et Sénat n’ont pas votées dans les mêmes termes.
« Chaque élu est face à un choix de responsabilité »

« Je crois que les parlementaires ont une responsabilité, chaque élu est face à un choix de responsabilité », estime-t-il, assurant qu’il ne s’agit pas « d’une menace », mais que ses propos signent au contraire une « grande considération pour leur mission et leur responsabilité ».
Laurent Berger dénonce encore une fois une réforme du travail menée « sans les travailleurs » et qui suscite le rejet de nombreux Français.
Il s’est une nouvelle fois interrogé sur la perspective de l’adoption de la réforme des retraites via l’article 49.3, permettant de faire passer le texte sans vote. S’il assure qu’il s’agit bien d’un « outil légal », il constitue, selon lui, « un vice démocratique ».

Retraites : les Français souhaitent que la mobilisation continue

Retraites : les Français souhaitent que la mobilisation continue

57% des Français aimeraient que la protestation se poursuive, y compris après l’adoption du texte, d’aprèsle sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.

Après déjà six journées d’action en trois mois, 69% des sondés disent encore approuver le mouvement. Soit une légère hausse de +3 points par rapport au premier rendez-vous du 19 janvier.

«Les manifestions deviennent de plus en plus celle d’un fort mécontentement global, un sentiment que la vie est de plus en plus difficile et chère», analyse Véronique Reille-Soult, directrice de Backbone Consulting. Au point que même la menace d’une «mise à l’arrêt» du pays ne parviendrait plus à renverser la tendance. Six Français sur dix se disent toujours prêts à en assumer les conséquences, soit une légère baisse de -3 points seulement par rapport au 31 janvier. «L’opinion est remarquablement constante sur ce sujet. Depuis le 19 janvier, le niveau de soutien se situe entre 56% et 63%», souligne Gaël Sliman. D’autant qu’une nette majorité de sondés (64%) imputerait la responsabilité d’un blocage à l’exécutif, contre seulement 35% aux syndicats.

7 mars : une mobilisation historique (CFDT)

7 mars : une mobilisation historique (CFDT et CGT)

La police avance le chiffre ridicule de 80 000 manifestants à Paris. Le cabinet dit indépendant « occurence »( de la presse des financiers) en compte encore moins ! Mais la CFDT salue une « mobilisation historique » et la CGT revendique 700.000 manifestants à Paris.

Lors de la dernière journée de mobilisation, le 16 février, la CGT avait fait état de 300.000 manifestants dans la capitale, contre 37.000, selon la préfecture. Il en avait compté 500.000 le 11 février (93.000, selon la préfecture), comme le 31 janvier (87.000, selon la préfecture).

Avant même la publication des chiffres de participation, le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, a salué une « mobilisation historique (…) mieux que le 31 janvier ». Son homologue de la CGT, Philippe Martinez, avait lui assuré que cette journée « va être la plus forte journée de mobilisation depuis le début de ce conflit ».

L’économie française fait les frais de ce mouvement social. Les expéditions de carburants ont été bloquées à la sortie de « toutes les raffineries » mardi, a affirmé à l’AFP la CGT-Chimie.

La grève a affecté tous les secteurs de l’économie, chimie, énergie et transports notamment avec des proportions de grévistes très variables .

Moins de la moitié des salariés d’EDF (41,5%) avaient cessé le travail mardi à la mi-journée, selon la direction. Le taux de grévistes était de 44,5% le 19 janvier, au premier jour de la mobilisation, et de 40,3% le 31 janvier.

La CGT Pétrole a appelé à la grève reconductible. Plus globalement, dans l’énergie, le secrétaire général de la CGT Energie, Sébastien Ménesplier, a prévu une « semaine noire » dans le secteur, avec des baisses de production principalement dans le nucléaire.

De leur côté, la SNCF et les transports parisiens anticipaient un trafic très perturbé mardi. On sait déjà que le trafic sur le métro parisien s’améliorera mercredi mais restera « très perturbé ».

A la SNCF, 80% des TGV Inoui et Ouigo étaient annulés, ainsi que presque tous les Intercités. Le taux de grévistes atteignait 39% à midi, dont 76% de grévistes chez les conducteurs et 55% chez les contrôleurs, selon une source syndicale à l’AFP, soit moins que le 19 janvier (46,3%), première journée de mobilisation contre la réforme des retraites.

Pendant ce temps-là, de manière un peu surréaliste, le Sénat continu l’examen de la loi contestée. Il ignore évidemment la démocratie sociale comme il ignore la démocratie tout court puisque les sénateurs ne sont nullement représentatifs du pays. Ainsi le parti républicain est majoritaire au Sénat alors que lors des dernières élections présidentielles de 2022 ils représentaient de l’ordre de 5 %. ( Valérie Pécresse candidate LR est arrivée 5èeme au soir du premier tour, en arrivant en cinquième position, avec 4,78%)

La chambre haute reprendra la discussion mardi à 14h30 en examinant l’article 6 de la réforme, a annoncé le président Gérard Larcher. « Il nous reste 2.460 amendements à examiner » d’ici dimanche minuit.

Le ministre des Comptes publics Gabriel Attal s’est opposé à toutes les propositions de la gauche, assurant qu’elles mettaient en danger l’emploi. Il a notamment refusé de taxer des profits des entreprises qui servent à « investir, créer de l’emploi et dynamiser les territoires ».

Mobilisation sociale: vers une semaine noire à partir du 7 mars

Mobilisation sociale: vers une semaine noire à partir du 7 mars


La France pourrait bien être paralysée pour certaines fonctions essentielles pendant une semaine à partir du 7 mars. Les arrêts de travail ont d’ailleurs commencé très tôt. La branche énergie de la centrale syndicale a annoncé qu’elle débuterait « dès ce vendredi après-midi » des baisses de production d’électricité dans plusieurs centrales nucléaires.
Et le mouvement « a vocation à s’étendre », selon la CGT .

Le mouvement durera « a minima jusqu’au 7 et a maxima jusqu’à la gagne », a déclaré la CGT énergies. « Si Emmanuel Macron ne veut pas une France à l’arrêt et une semaine noire dans l’énergie, il vaudrait mieux qu’il retire sa réforme ».

L’examen par le Sénat, attendu dès vendredi soir, voire samedi, de l’article 1 du projet de réforme de retraites portant sur la suppression des régimes spéciaux, dont celui des électriciens et gaziers, a mis le feu aux poudres. Le secteur craint de voir disparaître ce régime et avec lui, à terme, son statut protecteur destiné à compenser notamment les contraintes horaires du métier.

Mi-février, après plusieurs mobilisations, les huit principaux syndicats français se sont dits prêts à « mettre la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars » si le gouvernement et le Parlement « restent sourds » à la mobilisation contre la réforme des retraites.

D’ores et déjà les services gouvernementaux ont mis en place une stratégie d’intox. Le porte-parole du gouvernement Olivier Ferrand prévoit même une grande crise écologique du faîte de cette mobilisation !Les services de police a non seulement une participation autour d’un million de personnes alors qu’il devrait y en avoir au moins le double.

Il est difficile de prévoir le niveau et les modalités de la réaction de la rue. Toutefois il est prévisible qu’on connaisse une participation record le 7 mars et qu’ensuite le pays soit largement paralysé par des secteurs stratégiques.

Le problème c’est que le gouvernement ne se rend pas compte qu’il s’agit non seulement d’une réaction des Français à une réforme qu’il conteste mais sans doute autant qu’il s’git une protestation contre la dégradation de leurs conditions de vie concernant surtout le pouvoir d’achat massacré par l’inflation.

Du coup au-delà de la réforme des retraites, pourrait pointer un sujet encore plus mobilisateur à savoir la demande de réajustement du pouvoir d’achat. Sujet autrement plus complexe, plus massif et politiquement plus dangereux.

Réforme des retraites: blocage du pays à partir du 7 mars

Mobilisation retraites-Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?

Une nouvelle fois, la France pourrait s’orienter vers une grève par délégation pour bloquer le pays si le gouvernement maintient une réforme à laquelle 70 % des Français sont opposés.

Le climat semble nettement se durcir entre d’une part un gouvernement droit dans ses bottes qui ne veut rien lâcher et des organisations syndicales qui menacent maintenant de bloquer le pays à partir du 7 mars. Pour l’instant rien n’est décidé mais le calendrier très serré de l’Assemblée nationale pourrait pousser les syndicats à la radicalité.

L’intersyndicale a décidé d’une journée d’action le 16 février, puis le 7 mars. À partir de cette date, certains militent pour un durcissement avec grève et actions illimitées. Les modalités de ce durcissement seront précisées prochainement

Électriciens, gaziers et éboueurs étaient rassemblés à Paris, jeudi 9 février pour protester contre la réforme des retraites. Tous sont bénéficiaires des régimes spéciaux et prêts à durcir le mouvement. « Si on ne fait que de manifs classiques (…) ça ne suffira pas pour s’opposer, pour faire retirer le projet », confie un manifestant. Pour Sud-Rail, l’objectif est de convaincre les autres organisations syndicales d’aller vers une grève reconductible.

Le problème est évidemment de conjuguer unité, radicalité et soutien massif. En outre , il faut tenir compte de l’environnement inflationniste qui pèse sur les journées de grève financièrement perdues. C’est pourquoi on pourrait peut-être s’orienter vers une autre forme de grève déléguée vers les secteurs traditionnels qui peuvent bloquer le pays ( transport, énergie, école notamment)

Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 février

Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 février


Après le 19 janvier, le 31 janvier, le 7 février et le 11 février, les syndicats opposés à la réforme des retraites appellent les Français à redescendre dans la rue une cinquième fois dans quelques jours seulement, le jeudi 16 février. «L’intersyndicale réunie ce jour a décidé d’une journée nationale d’action interprofessionnelle le 16 février», a déclaré à l’AFP Dominique Corona, secrétaire général adjoint de l’Unsa, au nom de l’intersyndicale.

La nouvelle date du 16 février permettra de maintenir la pression sur l’exécutif. Impossible en effet de passer trois semaines sans agir, le calendrier des débats au Parlement sur la réforme étant extrêmement serré, argumentent les syndicalistes. Les débats à l’Assemblée nationale doivent ainsi, en théorie, se terminer le 17 février, soit le lendemain de la nouvelle journée d’action. Au-delà, les centrales ont les yeux rivés sur la fin des congés, début mars, pour frapper un grand coup. Les parlementaires sont d’ailleurs au centre de l’attention de l’intersyndicale, qui «invite à interpeller les députés et sénateurs» pour empêcher le texte de passer.

Reste à voir la manière dont le mouvement social va évoluer, et notamment s’il continuera au-delà d’un éventuel vote de la réforme au Parlement. Mardi, peu avant le départ de la manifestation parisienne, le patron de la CGT, Philippe Martinez, appelait à des «grèves plus dures, plus nombreuses, plus massives, et reconductibles». Si le gouvernement continue de faire la sourde oreille, le mouvement social «passera à la vitesse supérieure», mettait-il en garde. «Nous voulons continuer à mobiliser», assurait quant à lui son homologue de la CFDT, Laurent Berger. Et d’ajouter que «rien n’est exclu» pour les suites à donner à la mobilisation.

Sondage-réforme des retraites: 41 % souhaitent un durcissement de la mobilisation

Sondage-réforme des retraites: 41 % souhaitent un durcissement de la mobilisation

En dépit de la légère baisse de la mobilisation leur de la dernière journée d’action, les Français sont toujours 72% à souhaiter que le mouvement de contestation autour de la réforme des retraites du gouvernement se poursuive, selon un nouveau sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et publié ce mercredi.

En outre, plus de 4 Français sur 10 (41% des personnes interrogées) souhaitent même que le mouvement se durcisse, sous la forme d’une mobilisation plus importante, de blocages, de grèves reconductibles… Une stratégie envisagée mardi par le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, qui a appelé à des grèves « plus dures, plus nombreuses, plus massives ».

A contrario, 31% des Français interrogés souhaitent que cette mobilisation se poursuive mais de la même façon qu’actuellement. Enfin 28% souhaitent que celle-ci s’arrête.

À noter cependant que les chiffres pourraient évoluer en faveur des opposants à la réforme des retraites suite à la publication des profits hypersoniques des grandes sociétés qui constituent en quelque sorte une provocation vis à vis des pertes de pouvoir d’achat face à l’inflation.

Politique- Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat

Politique- Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat


Un récent sondage France télévision et France Info montre que la mobilisation se nourrit de l’opposition à la réforme des retraites mais aussi d’autres motifs de mécontentement en particulier vis-à-vis de l’inflation.

En effet selon le sondage Ipsos Sopra Steria environ sept personnes interrogées sur dix « soutiennent » les mobilisations (72%) et les grèves (69%). (Ce soutien augmente respectivement de sept points et de dix points par rapport à la dernière enquête réalisée en janvier). Pourtant le même sondage ne compte que 64% des Français à se dire « opposés » à la réforme des retraites, ( Un chiffre en hausse de trois points par rapport à la dernière enquête publiée le 19 janvier par Ipsos pour le magazine Le Point).

Cela prouve tout simplement qu’il y a d’autres motifs qui justifient le mécontentement des Français. Il y a surtout en plus de la réforme des retraites, le très grave problème de l’écroulement du pouvoir d’achat qui contraint les ménages à revoir totalement la distribution de leur budget. Exemple plus significatif des dépenses alimentaires qui sur un an ont vu les prix augmenter de 12% et qui en réaction ont diminué leurs achats de près de 5 %. Le mal social et donc plus profond qu’on peut le penser et la mobilisation pourrait bien être durable voire prendre des formes plus radicales comme le blocage du pays. En effet soutien à la mobilisation contre le projet du gouvernement bondit. Environ sept personnes interrogées sur dix « soutiennent » les mobilisations (72%, +7 points) et les grèves (69%, +10 points).

Interrogée sur cette opposition majoritaire sondage après sondage, la Première ministre Elisabeth Borne a déclaré jeudi sur France 2 « entendre les réticences » mais juge toujours sa réforme « indispensable pour préserver notre système de retraite » : « C’est un effort collectif qu’on demande aux Français. Je mesure ce que ça représente, mais ma responsabilité, c’est de dire la vérité aux Français. Si on ne fait pas cette réforme, notre système de retraite par répartition ne tiendra pas. »

Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat

Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat


Un récent sondage France télévision et France Info montre que la mobilisation se nourrit de l’opposition à la réforme des retraites mais aussi d’autres motifs de mécontentement en particulier vis-à-vis de l’inflation.

En effet selon le sondage Ipsos Sopra Steria environ sept personnes interrogées sur dix « soutiennent » les mobilisations (72%) et les grèves (69%). (Ce soutien augmente respectivement de sept points et de dix points par rapport à la dernière enquête réalisée en janvier). Pourtant le même sondage ne compte que 64% des Français à se dire « opposés » à la réforme des retraites, ( Un chiffre en hausse de trois points par rapport à la dernière enquête publiée le 19 janvier par Ipsos pour le magazine Le Point).

Cela prouve tout simplement qu’il y a d’autres motifs qui justifient le mécontentement des Français. Il y a surtout en plus de la réforme des retraites, le très grave problème de l’écroulement du pouvoir d’achat qui contraint les ménages à revoir totalement la distribution de leur budget. Exemple plus significatif des dépenses alimentaires qui sur un an ont vu les prix augmenter de 12% et qui en réaction ont diminué leurs achats de près de 5 %. Le mal social et donc plus profond qu’on peut le penser et la mobilisation pourrait bien être durable voire prendre des formes plus radicales comme le blocage du pays. En effet soutien à la mobilisation contre le projet du gouvernement bondit. Environ sept personnes interrogées sur dix « soutiennent » les mobilisations (72%, +7 points) et les grèves (69%, +10 points).

Interrogée sur cette opposition majoritaire sondage après sondage, la Première ministre Elisabeth Borne a déclaré jeudi sur France 2 « entendre les réticences » mais juge toujours sa réforme « indispensable pour préserver notre système de retraite » : « C’est un effort collectif qu’on demande aux Français. Je mesure ce que ça représente, mais ma responsabilité, c’est de dire la vérité aux Français. Si on ne fait pas cette réforme, notre système de retraite par répartition ne tiendra pas. »

Dans le détail, les ouvriers (73%), les 50-64 ans (29%) et les sympathisants de La France insoumise (88%) sont les plus opposés au projet de réforme des retraites. Les cadres (52%), les plus de 65 ans (49%), ainsi que les sympathisants de la majorité présidentielle (74%) et de LR (62%), y sont les plus favorables. Toutefois, le directeur du département opinion et politique d’Ipsos Stéphane Zumsteg explique jeudi sur franceinfo qu’il voit « le socle électoral qui fait le cœur de la Macronie commencer à douter ».
« Les cadres et les seniors, qui jusqu’à présent étaient très bienveillants à l’égard du principe-même de cette réforme, sont aujourd’hui beaucoup plus partagés »

Retraites-sondage mobilisation : les Français pour le blocage du pays

Retraites-sondage mobilisation : les Français pour le blocage du pays

D’après un sondage d’ELabe pour BFM, deux Français sur trois souhaitent Un durcissement du conflit pour faire plier le gouvernement.

60% des Français déclarent qu’ils comprendraient que les grévistes bloquent le pays car il s’agit du seul moyen pour que le gouvernement retire ou modifie sa réforme. Un chiffre qui fait un bond de cinq points en deux semaines.

Deux Français sur dix qui déclarent « manifester/faire grève ou en avoir l’intention », 32% des Français affirment qu’ils aimeraient pouvoir manifester et faire grève mais ne pas être en capacité de le faire. Cette attitude est encore plus marquée chez les femmes (36%), les employés et ouvriers (42%).

Manif retraites 31 janvier : une mobilisation exceptionnelle

Manif retraites 31 janvier : une mobilisation exceptionnelle

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire, plus il s’exprime et plus les opposants deviennent nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses, le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macron- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude, on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports du côté de la SNCF, le trafic sera «fortement perturbé» sur les TGV et très peu de trains circuleront sur les réseaux Transilien et TER. Le trafic sera «très perturbé» sur les réseaux RER et métro, pour la RATP. Sur le réseau TGV, seulement 1 train sur 3 circulera en moyenne. Sur l’axe Nord, 2 trains sur 5 circuleront. Sur les axes Est et Sud Est, 1 train sur 2 fonctionnera. Sur l’Axe Atlantique, 1 train sur 4. Du côté du réseau Ouigo, 2 trains sur 5 se déplaceront. Il n’y aura également que 2 TER sur 10. «Le détail des plans de transports régionaux est communiqué par SNCF Voyageurs dans chacune des régions», précise le communiqué de la SNCF. Sur les Intercités de jour, il n’y aura pas de circulation à l’exception d’un aller-retour Paris-Clermont, Paris-Limoges-Toulouse et Bordeaux-Marseille. I

- La circulation sera aussi très perturbée sur les lignes RER gérées par la SNCF, qui prévoit seulement un train sur 10 en moyenne. Il n’y aura ainsi aucun RER C aux heures creuses sur la ligne, et les RER D ne circuleront qu’aux heures de pointe «entre Goussainville et Châtelet et entre Paris gare de Lyon/Melun/ Corbeil Essonnes via Évry-Courcouronnes». Même constat pour le RER E, qui ne circulera qu’aux heures de pointe, entre Paris-Est et Meaux.

- Pour les bus Le trafic des bus sera «légèrement perturbé» avec une circulation en moyenne de 8 sur 10. En outre, «le service sera normal sur le Noctilien». Pour les tramways, le trafic sera normal sur les lignes T6, T4, T11, T3 et T8, et «quasi-normal» sur la ligne T3b.

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé, la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

Retraites-Manifestation 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Retraites-Manifestation 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire plus il s’exprime et plus les opposants devienne nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macon- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports, la CGT Cheminots et SUD-Rail encouragent même les cheminots à «agir massivement par la grève».

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé,la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Manif 31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation

Il est clair que le gouvernement a largement perdu la bataille de l’opinion. D’une certaine manière au contraire plus il s’exprime et plus les opposants devienne nombreux soutenant d’ailleurs aussi la mobilisation y compris ses conséquences comme le démontre la plupart des sondages. Du coup, on peut s’attendre à une mobilisation encore supérieure à celle du 21 janvier. La participation à la protestation pourrait même être exceptionnelle non seulement à Paris mais tout autant en province y compris dans les petites villes.

Dans les deux hypothèses le gouvernement a perdu la bataille. Si par hypothèse le gouvernement devait maintenir son texte à peu près en état, il créerait alors dans l’opinion un mouvement d’hostilité sans précédent qui annulerait toute velléité de réforme jusqu’à la fin du mandat du président de la république. Inversement, s’il retire sa réforme- ce qui n’est pas totalement exclu compte tenu des reculs déjà opérés par Macon- alors il y aurait sans doute une crise politique avec un changement de gouvernement et plus certainement le recours à des élections législatives.

Comme d’habitude on peut prévoir des mouvements sociaux dans de nombreux secteurs économiques. Restera à vérifier l’implication dans le secteur privé st aussi dans la jeunesse. Le risque étant que le mouvement dérive vers des mouvements plus radicaux et incontrôlés si le gouvernement continue de s’entêter.

Des mobilisations prévisibles:

-La branche énergie : la CGT (FNME-CGT) appelle ses agents à se mettre en grève et à manifester le 31 janvier. «On construit un 31 janvier encore plus fort que le 19», a d’ores et déjà annoncé le secrétaire fédéral de la FNME-CGT, Fabrice Coudour. Avant cette journée, les salariés de l’énergie se sont mobilisés jeudi dans les centrales électriques, les raffineries, les ports et les docks, pour une sorte de tour de chauffe. Des baisses de production électrique ont notamment été enregistrées, ainsi que de nombreuses actions dites «Robin des Bois», permettant à certains de bénéficier d’énergie gratuite.

- Dans les transports, la CGT Cheminots et SUD-Rail encouragent même les cheminots à «agir massivement par la grève».

- A la RATP l’intersyndicale da aussi appelé ce mercredi «tous les agents de l’entreprise à exprimer leur refus de cette contre-réforme des retraites en participant à la grève et à la manifestation du mardi 31 janvier». .

-Dans branche carburant : les salariés de TotalEnergies, qui avaient posé un préavis pour deux jours, ont finalement suspendu leur mouvement jeudi soir, afin de préparer le terrain pour la journée du 31. Après le 31 janvier, la CGT énergie a déjà prévu de nouvelles journées de grèves les 6, 7 et 8 février.

-Dans la santé,la fédération CGT Santé et Action Sociale a déposé un préavis de grève pour le 31 janvier, qui concerne notamment «les établissements sanitaires et sociaux, médico-sociaux de la fonction publique hospitalière». Un autre préavis spécifique a par ailleurs déjà été déposé pour le 2 février. Aucun autre syndicat du secteur sanitaire n’a pour l’heure fait de même.

- Dans la Poste , l’intersyndicale des postiers (CFDT, CFE-CGC, CGT, CFTC, UNSA, SUD) a de nouveau appelé à la grève le 31 janvier. La distribution des courriers et des colis, ainsi que l’accueil dans les bureaux de Poste, pourraient s’en retrouver perturbés.

- Les stations de ski devraient elles aussi être affectées par le mouvement de grève du 31 janvier. Les deux principaux syndicats de salariés de remontées mécaniques, Force ouvrière (FO) et la CGT, ont déposé un préavis de grève pour le 31 janvier.

- Dans le secteur aérien, l’USACcgt, un syndicat important de l’aviation civile, «a décidé de s’inscrire pleinement dans la journée unitaire de mobilisation du 31 janvier prochain», écrit-il dans un communiqué. En conséquence, il appelle l’ensemble des personnels de l’aviation civile «à se mettre massivement en grève et à participer aux manifestations».

- Dans l’Éducation nationale, les syndicats appellent également à poursuivre le 31 janvier le mouvement engagé le 19 janvier dernier. Les fédérations syndicales de l’éducation, de l’enseignement supérieur et la recherche «appellent les personnels à amplifier la grève le 31 janvier pour obtenir le retrait» de la réforme, lit-on dans un communiqué commun de l’intersyndicale. «La date du 31 janvier doit être encore plus forte que le 19 janvier», ajoute-t-elle.

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