À Mayotte, ce territoire français meurtri par le cyclone Chido, nos trois ministères, de l’Intérieur, des Outre-mer et des Armées, comme tous les autres, sont entièrement mobilisés pour venir en aide aux populations éprouvées. Militaires, policiers, personnels de la sécurité civile ou de l’administration préfectorale : tous ont immédiatement été engagés pour répondre à l’urgence humanitaire. Mais tous, aussi, ont constaté cette terrible réalité, qu’il nous faut regarder en face : dans cette tragédie, les désordres migratoires ont tout aggravé. Car les « bangas », ces bidonvilles de tôles où s’est concentrée l’immigration clandestine, ont été littéralement soufflés par le cyclone. »
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Politique et Gaspillage : 42 ministres, 577 députés pour quoi faire et quel coût ?
D’une manière générale, le gouvernement et certaines forces politiques militent pour un rétablissement des comptes publics caractérisés par un endettement record en même temps qu’un autre record celui de la pression fiscale (prélèvements obligatoires). D’une certaine manière, une curieuse contradiction bien française d’autant que le service public n’est pas toujours à la hauteur en termes de qualité.
En cause souvent des superstructures partout, du sommet jusqu’au plan local, devenues complètement incontrôlables, qui génèrent elles-mêmes la demande de finances publiques et que les élus ne contrôlent absolument plus. Il faut dire que les responsables nationaux ne donnent pas l’exemple.
Ainsi pourquoi un gouvernement comprenant 42 ministres dont d’ailleurs la plupart n’ont pas la main sur la moindre administration mais dont l’objet est de satisfaire les équilibres politiques, de mixité et de sensibilité. Bref du potage politique. On pourrait aussi citer comme exemple celui de l’Assemblée nationale avec ce chiffre fou de 577 députés dont la plupart ne servent à rien. À peine une centaine travaillent effectivement. Une moitié serait grandement suffisante. Pour preuve de ce gaspillage l’ancien président François Hollande qui n’a voté qu’une seule fois quand d’autres ont voté une centaine de fois ! Il n’est pas le seul à se limiter à faire acte de présence de temps en temps.
Au-delà des aspects quantitatifs se posent est encore davantage la légitimité de ces députés dont beaucoup n’ont jamais exercé le moindre mandat local ou de responsable d’association. Ils doivent leur mandat au copinage entre technocrates et amitiés particulières avec certains grands leaders.
Le grand gaspillage commence au plus haut niveau y compris à l’Élysée mais aussi au Parlement. Comment pourrait-on convaincre les Français d’une nécessaire austérité quand dans le même temps des élus nationaux se montrent aussi illégitimes et aussi nuls.
Ce n’est pas seulement le coût de fonctionnement des institutions visées qu’il faut prendre en compte mais toute la machine procédurière générée par ces élus qui compliquent la vie du pays en générant réglementations, budgets et structures inutiles.
Gouvernement : encore deux ministres, soit 41 !
En dépit du nombre imposant de ministres, on a jugé bon d’en ajouter deux soit maintenant au total 41 . En cause le fait qu’on avait oubliée de couvrir le champ du handicap et des anciens combattants.
L’Élysée a annoncé vendredi 27 septembre la nomination de deux nouveaux ministres délégués au gouvernement, la députée Horizons Charlotte Parmentier-Lecocq aux Personnes en situation de handicap et le député Les Républicains Jean-Louis Thiériot auprès du ministre des Armées et des Anciens combattants Sébastien Lecornu.
Notons que tout le fonctionnement démocratique de la république (institutions, élus et autres représentent environ 1 milliard d’euros)
Politique : Un Gouvernement de ministres millionnaires
D’après le journal « l’Humanité », le gouvernement compte au moins 17 millionnaires sur 34 membres. Notons notons qu’en plus la plupart sont parisiens. On ne s’étonnera pas que nos représentants nationaux éprouvent quelques difficultés à comprendre les dégâts de l’inflation surtout dans les couches les moins favorisées. Notons que le journal l’Humanité se fonde sur des chiffres officiels mais que la plupart des responsables politiques fortunés ont pris la précaution de solliciter les vertus de l’optimisation fiscale. En clair de dissimuler une partie de leur fortune. Notons que Macron lui-même ne fait pas dans la clairvoyance dans ce domaine puisque sa fortune accumulée comme banquier a disparu comme par enchantement ; L’intéressé refuse d’ailleurs formellement de s’expliquer à ce sujet.
Les données officielles et stabilisées ne seront pas connues avant plusieurs longs mois, le temps que les responsables politiques fassent leur déclaration d’intérêts et de patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie politique (HATVP). Et que celle-ci, dans la foulée, procède à leur examen avant de demander, si nécessaire, des précisions ou des modifications.
Mais, rien qu’à partir des éléments archivés et exhumés par l’Humanité – après la désignation à une fonction ministérielle ou élective au Parlement, les documents précédents sont, en effet, retirés du site de la HATVP –, il est déjà possible de décompter 17 millionnaires, soit un ministre sur deux.
Politique– Moins de ministres mais une armée de secrétaires d’Etat le 30 janvier
C’est le 30 janvier jour de la déclaration générale du Premier ministre qu’on connaîtra les noms de l’armée de secrétaires d’État. Très provisoirement, le président de la république a limité sa liste de ministres à 14. Du coup, il a dû étendre le champ du portefeuille de beaucoup. Justement des champs d’intervention beaucoup trop larges pour être gouvernés de manière sérieuse comme par exemple l’éducation nationale, la santé, le travail sans parler du logement en pleine crise et complètement oublié.
Et pour bien faire comprendre aux Français sa volonté de resserrement ministériel, Macron a a réuni ses ministres la première fois dans un tout petit salon où les ministres étaient serrés comme des sardines.
Mais il est clair que dans les jours qui viennent on va nommer une armée de secrétaires d’État pour réellement mieux se partager les responsabilités et suivre les nombreux dossiers chauds en cours. Les secrétaires d’État seront au moins aussi nombreux et même davantage que les ministres. Peu importe, le symbole du resserrement aura été affiché pendant quelques jours !
L’opinion publique évidemment ne peut pas être dupe de ce petit jeu de construction politique.
Pourtant l’Élysée insiste lourdement auprès des gogos qui n’auraient pas compris le geste historique du resserrement:
« L’endroit est beaucoup plus exigu, et la table présente des dimensions bien moins grandes que celle autour de laquelle les ministres se retrouvent habituellement. Il s’agit d’une première en salon vert qui est rendue possible par la composition historiquement resserrée de ce gouvernement », communique la présidence de la République.
De quoi se demander si véritablement Macron n’est pas complètement hors sol. Peu de Français auront en effet observé cette révolution du « salon vert ».
École : ministres et enfants de ministre choisissent le privé
À peine nommée la nouvelle ministre de l’éducation nationale est prise elle aussi la main dans le sac des contradictions concernant l’éducation de ses enfants. Comme la plupart des ministres aujourd’hui et hier, elle a en effet convenu qu’elle avait choisi des établissements catholiques privés en raison des défaillances de l’enseignement public. Une manière aussi de critiquer ce qui a été fait par le gouvernement depuis 2017.
Cette information ne constitue pas un scoop on sait d’abord que les ministres eux-mêmes ont souvent évité l’enseignement public ( c’est le cas pour le Premier ministre en particulier mais aussi pour Darmanin, Pour Le Maire ou pour Macron lui-même) considérant les graves défaillances du système d’enseignement public. Des défaillances d’ailleurs confirmées par la dégringolade de la France dans les classements internationaux.
Moins de ministres mais une armée de secrétaires d’Etat
Très provisoirement, le président de la république a limité sa liste de ministres à 14. Du coup, il a dû étendre le champ du portefeuille de beaucoup. Justement des champs d’intervention beaucoup trop larges pour être gouvernés de manière sérieuse comme par exemple l’éducation nationale, la santé, le travail sans parler du logement en pleine crise et complètement oublié.
Et pour bien faire comprendre aux Français sa volonté de resserrement ministériel, Macron a a réuni ses ministres la première fois dans un tout petit salon où les ministres étaient serrés comme des sardines.
Mais il est clair que dans les jours qui viennent on va nommer une armée de secrétaires d’État pour réellement mieux se partager les responsabilités et suivre les nombreux dossiers chauds en cours. Les secrétaires d’État seront au moins aussi nombreux et même davantage que les ministres. Peu importe, le symbole du resserrement aura été affiché pendant quelques jours !
L’opinion publique évidemment ne peut pas être dupe de ce petit jeu de construction politique.
Pourtant l’Élysée insiste lourdement auprès des gogos qui n’auraient pas compris le geste historique du resserrement:
« L’endroit est beaucoup plus exigu, et la table présente des dimensions bien moins grandes que celle autour de laquelle les ministres se retrouvent habituellement. Il s’agit d’une première en salon vert qui est rendue possible par la composition historiquement resserrée de ce gouvernement », communique la présidence de la République.
De quoi se demander si véritablement Macron n’est pas complètement hors sol. Peu de Français auront en effet observé cette révolution du « salon vert ».
Moins de ministres mais davantage de secrétaires d’État
Très provisoirement, le président de la république a limité sa liste de ministres à 14. Du coup, il a dû étendre le champ du portefeuille de beaucoup. Justement des champs d’intervention beaucoup trop larges pour être gouvernés de manière sérieuse comme par exemple l’éducation nationale, la santé, le travail sans parler du logement en pleine crise et complètement oublié.
Et pour bien faire comprendre aux Français sa volonté de resserrement ministériel, Macron a a réuni ses ministres la première fois dans un tout petit salon où les ministres étaient serrés comme des sardines.
Mais il est clair que dans les jours qui viennent on va nommer une armée de secrétaires d’État pour réellement mieux se partager les responsabilités et suivre les nombreux dossiers chauds en cours. Les secrétaires d’État seront au moins aussi nombreux et même davantage que les ministres. Peu importe, le symbole du resserrement aura été affiché pendant quelques jours !
L’opinion publique évidemment ne peut pas être dupe de ce petit jeu de construction politique.
Pourtant l’Élysée insiste lourdement auprès des gogos qui n’auraient pas compris le geste historique du resserrement:
« L’endroit est beaucoup plus exigu, et la table présente des dimensions bien moins grandes que celle autour de laquelle les ministres se retrouvent habituellement. Il s’agit d’une première en salon vert qui est rendue possible par la composition historiquement resserrée de ce gouvernement », communique la présidence de la République.
De quoi se demander si véritablement Macron n’est pas complètement hors sol. Peu de Français auront en effet observé cette révolution du « salon vert ».
École : les enfants des ministres dans le privé
À peine nommée la nouvelle ministre de l’éducation nationale est prise elle aussi la main dans le sac des contradictions concernant l’éducation de ses enfants. Comme la plupart des ministres aujourd’hui et hier, elle a en effet convenu qu’elle avait choisi des établissements catholiques privés en raison des défaillances de l’enseignement public. Une manière aussi de critiquer ce qui a été fait par le gouvernement depuis 2017.
Cette information ne constitue pas un scoop on sait d’abord que les ministres eux-mêmes ont souvent évité l’enseignement public ( c’est le cas pour le Premier ministre en particulier) considérant les graves défaillances du système d’enseignement public. Des défaillances d’ailleurs confirmées par la dégringolade de la France dans les classements internationaux.
Sciences: Des ministres ignorants ?
« Il faut encourager les ministres à agir dans le respect de l’état des savoirs scientifiques » ou dit de manière claire, les ministres sont trop ignorants de l’état d’avancée de la science. Alors qu’Emmanuel Macron doit annoncer, jeudi 7 décembre, la création d’un conseil scientifique auprès de la présidence, le Collège des sociétés savantes académiques de France estime, dans une tribune au « Monde », que la première mission d’un conseiller scientifique du gouvernement devrait être d’établir une relation de confiance.
La simultanéité des crises économiques, sociales, environnementales et sanitaires qui frappent le monde interpelle et force à la réflexion. Pas seulement sur notre impréparation, notre amnésie ou la lenteur de nos réponses collectives. Certainement pas en montrant du doigt les pilotes aux manettes pendant les périodes les plus compliquées.
Car ces crises se sont construites sur des décennies, malgré les alertes. Elles nous obligent à repenser les déterminants de l’action publique pour que le long terme cesse d’être sacrifié sur l’autel du court terme. Comprendre la succession des vagues de SARS-CoV-2, établir le rôle de l’humanité dans les dérèglements climatiques et l’effondrement de la biodiversité ou documenter le creusement des inégalités sociales, voilà quelques sujets sur lesquels les sciences humaines, sociales, expérimentales ou technologiques établissent des constats objectifs et donnent des outils pour l’avenir. Si la sphère scientifique n’a pas vocation à se substituer à la sphère politique, elle peut néanmoins fournir une lanterne lorsque la société avance à tâtons.
Encore faut-il pour cela que ces deux sphères, traditionnellement plus éloignées que les sphères politique et économique, se rencontrent. Les gouvernements de certains pays se sont ainsi dotés d’un « conseiller scientifique en chef », un ou une scientifique de haut niveau dont la mission à plein temps est d’établir une proximité quotidienne entre les milieux académique et politique, et de créer entre eux une relation de confiance exigeante.
Cette personnalité s’appuie sur la communauté académique pour définir un champ des actions possibles compatibles avec l’état des connaissances scientifiques et en expliquer la pertinence aux responsables politiques et au public. Pour garantir l’indépendance de sa parole, elle n’est pas intégrée à l’exécutif et ne prend pas part aux décisions, qui reviennent aux responsables politiques.
Borne humiliée par Macron au conseil des Ministres
Un nouveau recadrage très condescendant de la part de Macron vis-à-vis de laPpremière ministre. Le problème n’est pas tellement dans les reproches qu’il fait à Élisabeth Borne mais dans le lieu et la manière toujours aussi méprisante de Macron. Pour faire simple, disons qu’il prend un plaisir encore une fois à jouer au maître d’école. De quoi affaiblir encore un peu plus une Première ministre qui ne jouit déjà pas d’une grande autorité. Ce recadrage constitue en tout cas une preuve de la grande fébrilité actuelle du président de la république et de sa majorité. Alors que la première ministre avait qualifié dimanche le parti nationaliste d’«héritier de Pétain», le président de la République a exhorté ce mardi à ne pas le combattre par «des arguments moraux».
Par la gauche d’abord, dont la lutte contre la droite nationaliste et le FN (ex-RN) reste un ciment politique puissant, et qui avait approuvé la pique initiale de la première ministre, dimanche. Les propos d’Emmanuel Macron ayant été rendus publics, elle a vu rouge. Et a brocardé cette ligne divergente au sommet de l’État. «Comment le président ose recadrer Élisabeth Borne, fille de rescapé des camps, parce qu’elle a rappelé la filiation idéologique de l’extrême droite», a vitupéré le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur Twitter. «Si il y a décivilisation, c’est celle du président», a grincé le député de Seine-et-Marne, qui fait ici référence aux paroles lâchées par le chef de l’État…lors du précédent Conseil des ministres. Lesquelles avaient déjà hérissé la gauche, y voyant une mansuétude envers les thèses nationalistes.
«Si Monsieur Macron recadre Madame Borne, il aurait pu le faire le jour où Madame Borne a dit publiquement qu’elle considérerait que LFI, la Nupes, l’opposition républicaine, était plus dangereux que le RN, là franchement ça aurait été bien de la recadrer, mais je ne l’ai pas entendu le faire», a par ailleurs tancé le coordinateur de la France Insoumise Manuel Bompard. «Pour le reste, je combats le RN, je le combats par tous les moyens.» Quant à sa collègue écologiste Sandrine Rousseau, elle a vanté l’époque des «années 90». «En 1998, les partis expulsaient de leurs rangs, les présidents de région, qui donnaient des vice-présidences au RN contre accord électoral. En 2022, votre groupe Renaissance votait pour que le RN ait des vice-présidences à l’Assemblée Nationale», a protesté l’élue EELV de Paris en s’adressant aux députés macronistes.
«À mon avis, ça sent un peu la fin (d’une) relation, la fin (d’un) couple. Je pense que c’est une dame sur le départ, elle a un peu craqué», a-t-elle également ironisé. «Je suis ravi de voir qu’Emmanuel Macron a enfin compris qu’il fallait parler des vraies idées (…) Que tout le monde se mette au travail pour les Français et qu’on mette fin aux task forces anti-RN qui, au lieu de travailler pour les Français, travaillent pour la politique», a indiqué, pour sa part, le député RN de l’Eure Kévin Mauvieux, à France Info.
Bras d’honneur de Dupont Moretti: des ministres indignes de leur fonction
Il est clair que dans cette période tendu, les nerfs sont à vif aussi bien côté majorité que côté opposition. Reste que la fonction de hauts responsables implique au minimum une maîtrise.
Or ces derniers temps, on assiste à une série d’injures, de provocations, de propos mensongers ( l’affaire du minimum de pension à1200 euros ) quitransforme le débat démocratique en foire d’empoigne.
On imagine le scandale provoqué si ce bras d’honneur du ministre de la justice avait été effectué dans une assemblée locale. Mais cette fois il s’agit de la plus haute assemblée du pays qui démontre à l’évidence que certains au gouvernement n’ont vraiment pas le profil pour exercer les plus hautes fonctions du pays.
Les provocations, les mensonges ne sont pas le seule faite des ministres mais y compris du président de la république dans par exemple il faut se rappeler qu’il indiquait un pauvre chômeur que pour trouver du travail il suffisait de traverser la rue! La pire des insultes pour un pauvre garçon déjà affecté par la perte traumatisante de son travail.
Éric Dupond-Moretti, s’est encore emporté, adressant deux bras d’honneur au président du groupe LR Olivier Marleix.
Initialement à la tribune pour déterminer la position de son groupe sur le texte macroniste, le patron des députés de droite venait d’évoquer la situation judiciaire du garde des Sceaux. «Votre majorité aurait gagné à s’offrir une séance d’introspection sur le thème de “celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre”. (…) Je vous rafraîchis la mémoire», avait-il lancé. Avant de rappeler la «mise en examen pour prise illégale d’intérêts» du locataire de la Chancellerie. Ce que n’a pas supporté l’intéressé, y voyant en substance un «bras d’honneur fait à la présomption d’innocence» – joignant le geste à la parole pour appuyer son propos. Emmenés par le député LR Patrick Hetzel, les élus des Républicains ont alors réclamé et obtenu plusieurs suspensions de séance, regrettant «quelque chose d’assez inqualifiable.» Le tout, sur fond de protestations et de huées dans leurs rangs, ainsi que sur les bancs de la gauche.
Un député centriste souffle : «C’était vraiment pas le geste qu’il fallait faire à l’examen de ce texte…»
Défaite Russie: la faute aux ministres d’après Poutine
Devant la faillite de l’armée russe Poutine met en scène la responsabilité de ses ministres en les traitant d’imbéciles !
«Vous avez tout de prêt mais pas de contrats. Je vous le dis : mettons un terme à cette réunion, pourquoi nous prenons-nous la tête ?», se demande-t-il, dans des propos traduits par BFMTV. «Je sais qu’il n’y a pas de contrats pour les entreprises et les directeurs me l’ont dit. Pourquoi jouez-vous l’imbécile ?» a-t-il ajouté. Et de conclure : «Quand aurons-nous les contrats ? Les chefs d’entreprise me disent qu’il n’y a pas de contrat et vous me dites que tout est prêt».
Quoi qu’il en soit, cette séquence a immédiatement déchaîné les passions sur les plateaux de télévision et les réseaux sociaux. Certains ont vu dans la colère du président russe de la «nervosité» vis-à-vis de la situation militaire en Ukraine, et même une perte de contrôle. Mais Vladimir Poutine est un habitué de ce genre de scène, et l’a prouvé à de multiples reprises.
C’est aussi une manière de sse défausser de toute responsabilité devant sa propre opinion.