Archive pour le Tag 'ministre'

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Offre d’emploi: Un CDD de Premier ministre de courte durée

Offre d’emploi: Un CDD de Premier ministre de courte durée

 

La multiplication des candidatures pour le poste de Premier ministre peut légitimement surprendre. Juridiquement en effet,  il n’y a pas d’avis d’ouverture de poste. C’est le président qui nomme le ministre et non les candidats qui proposent voire veulent imposer leur nom. Pourtant le poste sera sans doute très temporaire une sorte de CDD de courte durée. Il y a malgré tout de nombreuses propositions dans le clergé politique qui ne manque pas de clercs désœuvrés et toujours à la recherche d’une petite pige comme par exemple Ségolène Royal qui aura été candidate à peu près à tout. Dès lors pourquoi ne pas ouvrir le poste de premier ministre à toute la population pour rajouter de la confusion au ridicule de la conjoncture politique.

On objectera juste titre que certains responsables nationaux au contraire fuient  leur responsabilité et ne veulent pas se griller dans une fonction dangereuse et très provisoire. C’est notamment le cas du Rassemblement national qui observe dans l’attente d’une nouvelle consultation nationale notamment celle des présidentielles. Même chose chez les Républicains où Vauquiez ne veut surtout pas se mouiller promettant seulement un soutien mou mais pas de participation.

En réalité c’est un peu la même chose dans la gauche incapable de faire émerger un responsable national et qui va chercher une énarque inexpérimentée et ésotérique pour faire semblant de réclamer le pouvoir. Bref, la France est plongée dans une sorte de farce politique à laquelle le président participe également en donnant l’impression, lui, de détenir un pouvoir qu’il a pourtant perdu dans les urnes et dans l’opinion. Du coup,  la solution pourrait bien une nouvelle fois se trouver dans le recrutement d’un technocrate issu de la haute administration d’autant plus que c’est cette dernière qui pour l’essentiel dirige déjà le pays. Les politiques actuelles comme les canards sans tête pourront continuer de s’agiter médiatiquement en promettant la lune.

Sarko veut un Premier ministre de droite !

Sarko veut un Premier ministre de droite

 

Sarkozy apporte aussi son grain de sel (… ou de sable) dans la crise qui secoue la France. D’une certaine manière, il complique encore un peu plus une situation déjà assez inextricable. Certes ce constat d’une triple crise financière, sociale et politique est assez juste mais la solution consistant à mettre en place un ministre de droite paraît curieuse quand on sait que les Républicains- auxquels il fait forcément allusion- n’ont qu’une quarantaine de députés. La question n’est pas tellement celle d’un premier ministre d’ailleurs mais de trois camps politiques  complètement irréconciliables, donc celle du programme et de l’introuvable majorité à l’assemblée.

LE FIGARO.- Cela fait 45 jours que la France n’a plus de gouvernement de plein exercice. Emmanuel Macron tarde-t-il à nommer un premier ministre ?

Nicolas SARKOZY.- A-t-on vraiment pris conscience de la gravité de la situation de notre pays ? La France est face à trois crises simultanées qui peuvent exploser soit en même temps, soit successivement. La première, c’est le risque d’une crise financière. Compte tenu de la dette de la France, de ses déficits et de ses dépenses trop importantes, je ne pense pas qu’il soit prudent de rester sans gouvernement ni ministre des Finances avec le risque en prime de ne pas avoir de budget ! Il y a ensuite une possibilité de crise sociale, qui est une tradition française. Il y a beaucoup d’exemples dans notre histoire récente de conflits sociaux qui ont dégénéré. Enfin, une crise politique. Un mois et demi sans gouvernement, après une dissolution dont je persiste à dire qu’elle a été une erreur, et une désintégration de tous les partis démocratiques qui n’ont jamais été aussi divisés. La France est vraiment au bord d’un précipice. De surcroît, l’extrême-gauche dans notre pays ne veut pas gouverner. Il s’agit bien davantage d’une tentative de coup d’État de La France insoumise que d’une volonté d’alternance démocratique face à une situation parlementaire impossible à dénouer. C’est peu de dire que les motifs d’inquiétude sont nombreux.

 

 

Un premier ministre de gauche…. mais social-démocrate

Un  premier ministre de gauche…. mais social-démocrate

On comprend évidemment que les représentants de la droite républicaine soient ressortis particulièrement déçus de leur entretien avec le président de la république. En effet ce dernier à demi-mot leur a laissé entendre qu’il pourrait nommer un responsable de gauche comme premier ministre et en plus en leur demandant leur soutien.

D’où la colère de Laurent Wauquiez qui ne veut surtout pas faire du en même temps et préserver ses chances pour 2027 en évitant de se mouiller.

De toute manière par déduction,  il ne reste plus que le camp de gauche pour trouver un premier ministre. Le rassemblement national s’est mis à l’écart et observe avec l’objectif d’un un échec du gouvernement et surtout les prochaines élections. La droite classique vient de signifier une fin de non-recevoir au président.

Le nouveau Front populaire est maintenant mis en jeu par son incapacité à envisager la moindre majorité. Reste donc la gauche. Mais sans doute pas n’importe laquelle mais vraisemblablement un social démocrate qui par ailleurs aura l’expérience des responsabilités au plus haut niveau. Il n’est en effet pas question de prendre un socialiste qui défendrait encore le programme du NFP irresponsable  et inspiré par les insoumis.

Selon les informations de BFMTV, Emmanuel Macron a tenté de convaincre les représentants de la droite – Bruno Retailleau, Annie Genevard et Laurent Wauquiez – de se rallier à une coalition gouvernementale qui pourrait être dirigé par un social-démocrate qui devra surtout éviter une motion de censure à défaut de rassembler vraiment.

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

 

Premier ministre:  » et moi et moi et moi  » (Ségolène)

Premier ministre:  » et moi et moi et moi  » (Ségolène)

 

Il y a bien une semaine que Ségolène Royal n’avait pas sortie une énormité. Le vide est comblé avec cette déclaration de l’ancienne candidate battue aux présidentielles :  » moi aussi je suis candidate comme première ministre ».

Le seul problème pourra laisser qu’on ne lui a rien demandé ni du côté de la gauche marxiste ni de la gauche social-démocrate. En outre elle ne remplit sans doute pas les conditions nécessaires pour le consensus. Au contraire c’est plutôt une spécialiste des déclarations à l’emporte-pièce qui divise. En tout cas le casting se meuble de jour en jour pour Matignon. À se demander si Moreno ou Sandrine Rousseau ne vont pas rapidement se positionner aussi en raison de leur capacité également à faire le buzz.

Pour le programme, c’est le même qu’ il y a 17 ans.«Trois priorités : l’ordre juste dans les domaines économique, social, écologique et sécuritaire ; l’avenir des jeunes ; et le rétablissement des comptes publics», a développé Ségolène Royal.

 Et pour donner du crédit à sa candidature elle enfonce celle de Bernard Cazeneuve
  «Il s’est déjà positionné pour l’élection présidentielle. Tout candidat à Matignon ne doit pas être candidat parce que ça fait faire des erreurs. Parce qu’on passe du “je” au “nous” (à Matignon), alors que l’élection présidentielle, c’est le “je”», a-t-elle rétorqué. Et de prendre l’engagement, si elle arrive rue de Varenne, de ne pas briguer l’Élysée en 2027 «parce que c’est souvent cela qui nourrit les confrontations dans les partis politiques.»

 

Premier ministre : Attal préféré des Français !

 

 

Il y a en apparence quelque chose de contradictoire dans la posture des Français qui certes ont sanctionné sévèrement la majorité leur des dernières élections législatives mais qui considère après celle-ci que Gabriel Attal serait encore le meilleur premier ministre. C’est sans doute la confirmation qu’aucun des grands quand politique n’a vraiment gagné la dernière consultation électorale mais que les Français font aussi la différence entre l’image des partis et celle des responsables. Si Macon est détesté par contre jusque-là Gabriel Attal a laissé une image relativement bonne avec 40 % de soutien des Français. Sans doute les Français font-ils aussi la même différence entre les différents responsables des autres partis notamment ceux du parti socialiste ou du rassemblement national ( Bardella devance en effet nettement Le Pen).. Politiquement cela signifie que les Français d’une façon générale sont assez ouverts aux différentes idées des parties et des personnalités. Contrairement à l’image relativement clivée que donnent parfois les médias et les responsables de partis politiques surtout.

 

Il est considéré comme un «bon premier ministre» par 40% des Français, selon un sondage Harris Interactive pour le magazine Challenges. Il se place devant Jordan Bardella et Xavier Bertrand.
Dans le sondage de « challenges » Gabriel Attal se place en tête du classement, devant 34 autres personnalités testées par l’institut. La force de l’actuel chef du gouvernement réside dans sa capacité à recueillir l’assentiment de sympathisants d’autres forces politiques.

En seconde position, Jordan Bardella talonne de très près Gabriel Attal avec 39% d’opinions favorables.  Les Français placent en troisième position  le président de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand avec 32% d’approbation.

Candidate désignée par les forces du Nouveau front populaire (NFP), Lucie Castets souffre d’un cruel déficit de popularité. La haute fonctionnaire n’est créditée que de 17 % d’opinions positives et pointe en 21e position du classement.  La Directrice financière de ville de Paris se classe derrière 10 personnalités de gauche. Notamment Raphaël Glucksmann (première personnalité à gauche en 6e position avec 27% d’opinions favorables), François Hollande (7e avec 26%) ou encore Martine Aubry (9e avec 24%).

 

Les petits patrons veulent un premier ministre à profil social

 Ce lundi, Michel Picon, président de l’Union des entreprises de proximité (U2P), lui, a plaidé pour une nomination à Matignon d’un « patron social ». Au micro de RMC ce lundi, il a explicitement proposé Jean-Dominique Senard, président de Renault, comme une figure capable de rassembler, alors qu’en ce moment c’est, selon lui, « le festival de Cannes des nominations, tous les matins il y a un nouveau ».

Selon Michel Picon, les politiques « s’écharpent » trop souvent au détriment des réels intérêts du pays. Pour sortir de cette impasse, il prône un retour aux fondamentaux du dialogue social, incarné par des figures du monde syndical ou entrepreneurial. Jean-Dominique Senard, souvent qualifié de « patron social », est, à ses yeux, le candidat idéal. Ce dernier, qui a fait ses preuves chez Michelin, Total et aujourd’hui Renault, est reconnu pour sa capacité à trouver des compromis dans des environnements difficiles.

Michel Picon a également mentionné Sophie Thiéry, présidente de la Commission Travail Emploi du Cese, comme autre personnalité capable de jouer un rôle clé dans la politique actuelle. Elle pourrait, selon lui, apporter un regard neuf, notamment sur les questions de qualité de vie au travail. Cette dernière, également directrice RSE chez Aésio mutuelle, a déjà travaillé Jean-Dominique Senard lors de leur pilotage commun du rapport « Re-considérer le travail » remis en avril 2023 dans le cadre des Assises du travail du Conseil National de la Refondation, qui proposait notamment de renforcer les moyens de la médecine du travail.

 

Renvoi d’ascenseur : Trump promet un poste de ministre à Elon Musk !

Renvoi d’ascenseur : Trump promet un poste de ministre à Elon Musk !

En voilà deux qui au moins ne font pas dans la dentelle. Ainsi après avoir obtenu une interview interminable  sur le réseau Twitter, Trump promet un poste de ministre à son propriétaire à savoir Elon Musk. Rappelons que Trump avait été exclu de Twitter pour propos injurieux et mensongers avant que Elon Musk ne rachète le réseau.

Le mois dernier, le propriétaire de X et Tesla a publiquement soutenu Donald Trump dans la course à la présidence des États-Unis. Il a également interviewé l’homme politique sur X, en direct début août. Lors de l’entretien – qui a d’ailleurs été victime d’une cyberattaque «massive» -, les deux hommes ont évoqué le changement climatique, la question migratoire, mais aussi le conflit ukrainien. Dans la foulée, Donald Trump est revenu sur X, quatre ans après son éviction de Twitter.

Selon le Wall Street Journal,  les deux hommes se sont rencontrés en mars et se parlent depuis régulièrement au téléphone. «Je respecte beaucoup Elon Musk, et il me respecte», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse. «Comme moi, il pense que ce pays a de gros problèmes et est en grand danger.»

 

Pour un Premier ministre d’expérience et consensuel

Pour un Premier ministre d’expérience et consensuel

L’ancien député européen Daniel Cohn-Bendit et le politiste Zaki Laïdi estiment, dans une tribune au « Monde », que le futur premier ministre devra, pour éviter la censure, ne pas apparaître comme l’homme du président ou un futur candidat à la présidentielle, et faire voter le passage à la proportionnelle.

 

La magie des Jeux olympiques a opéré. Elle a enchanté la France et son peuple. La débauche d’énergie, de talent et de créativité les a galvanisés au-delà de toute espérance. Autant de ressources qui ne seront pas inutiles pour aborder la crise politique, dont il nous semble possible de sortir à condition d’en avoir la bonne lecture.

La situation est fort délicate. Mais il serait dommageable de vouloir l’enjamber dans l’attente d’une présidentielle anticipée. Car rien ne serait plus faux que de voir dans cette crise le seul résultat de la décision de dissoudre l’Assemblée nationale. Elle n’a bien sûr rien arrangé. Mais le mal était déjà là. Il résulte de l’incapacité d’une bipolarité électorale à s’accommoder d’une tripartition politique que seule une logique de compromis peut surmonter. Mais l’hyperprésidentialisation du système rend cet exercice impraticable.

Pour sortir de l’impasse actuelle, le choix du nouveau premier ministre est donc essentiel. Mais la couleur de son plumage politique importe moins que son ramage. …

Bangladesh : Muhammad Yunus premier ministre intérimaire

Bangladesh : Muhammad Yunus  premier ministre intérimaire

Officiellement, les fonctions de cet économiste âgé de 84 ans, seront celles de « conseiller en chef » du gouvernement. Etaient présents à ses côtés des responsables politiques, des personnalités de la société civile, des généraux et des diplomates. Une douzaine de membres du nouveau gouvernement, qui sont officiellement des « conseillers » et non des ministres, ont également prêté serment.

Parmi eux, Nahid Islam et Asif Mahmud, les principaux dirigeants du mouvement estudiantin qui a déclenché les manifestations. Touhid Hossain, un ancien ministre des Affaires étrangères, et Hassan Ariff, un ex-procureur général, ainsi que Syeda Rizwana Hasan, une avocate spécialisée dans les questions environnementales, et Asif Nazrul, un éminent professeur de droit et écrivain, ont eux aussi prêté serment. De même Adilur Rahman Khan, un militant des droits de l’homme condamné à deux ans de prison sous le long règne de la Première ministre destituée.

Le chef de l’armée, le général Waker-Uz-Zaman, s’est, de son côté, dit « certain », dans un discours télévisé à la nation, que Muhammad Yunus serait « capable de mener un beau processus démocratique » en faveur de la population. Le Premier ministre indien Modi adresse, lui, ses « meilleurs voeux » à Yunus.

Dès son arrivée, il a aussi promis de rétablir « la loi et l’ordre »« Nous ne pouvons pas avancer si nous ne réglons pas la situation en matière de loi et d’ordre », a martelé l’économiste. « Si vous me faites confiance, veillez à ce qu’il n’y ait aucune attaque contre qui que ce soit, où que ce soit dans le pays », a-t-il ajouté. Muhammad Yunus a promis, cette semaine, dans le magazine britannique The Economist, qu’il ferait tout pour que des « élections libres et équitables soient organisées dans les prochains mois », mais qu’il fallait que les jeunes « ne soient pas obsédés par les règlements de comptes, comme l’ont été trop de nos gouvernements précédents ».

 

Bangladesh : la Première ministre prend la fuite

 

Pour avoir voulu réserver certains emplois publics aux partisans de son parti, la première ministre du Bangladesh a mis le feu aux pays. Une révolution qui a fait plus de 300 morts et qui se termine par la fuite de la Première ministre.

La Première ministre du Bangladesh a pris la fuite ce lundi, juste avant que son palais soit pris d’assaut par des manifestants antigouvernementaux. Le chef de l’armée a annoncé peu de temps après son intention de former un gouvernement intérimaire alors que le pays fait face à des manifestations sanglantes depuis plusieurs semaines.

Le Bangladesh est traversé par de violentes manifestations depuis un mois, à l’encontre du gouvernement et de la Première ministre, Sheikh Hasina. Ce lundi, cette dernière a même dû prendre la fuite avant l’assaut de son palais. La situation a même provoqué l’émoi à l’intention, la diplomatie américaine appelant « au calme et à la retenue » ce lundi, tandis que l’Union européenne a jugé « essentiel qu’une transition ordonnée et pacifique vers un gouvernement démocratiquement élu soit assurée ».

 

Duralex: Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

Duralex:  Lucie Castets payée par la mairie de Paris en visite de Première ministre…potentielle

 

En voilà une au moins qui ne manque pas de culot d’abord en inversant les rôles et en demandant d’être nommé Première ministre par le président de la république, ensuite en effectuant un petit tour de France aux frais de la princesse alors qu’elle est  payée par la mairie de Paris.( Une visite d’autant plus curieuse qu’une solution a été trouvée pour l’usine de Duralex à Orléans avec le projet de coopérative). La visite de Lucie Castets a comme un parfum de récupération un peu tardive.
« Mais que vient faire la directrice des finances de la ville de Paris, madame Castets chez Duralex? Personne n’est dupe. Elle, qui s’est quasiment auto-proclamée Première ministre, vient faire un ‘coup de com’, une petite récupération politicienne. C’est cela la nouvelle gauche? », a-t-il tancé sur Twitter (ex-Twitter).

« Lamentable », a-t-il ajouté avant de prier: « Arrêtez vos petites manœuvres et laissez les salariés de Duralex travailler dans la sérénité, loin de la médiocrité politique, pour réussir ce beau projet de Scop pour lequel je me suis tant battu ».

Le 26 juillet dernier, lorsque le site industriel avait reçu le feu vert du tribunal de commerce pour sa reprise en coopérative, Serge Grouard avait loué avec soulagement « un projet industriel que nous avons dès le début trouvé très robuste, permettant de maintenir la totalité des emplois actuels ».

Un apport important d’argent publique est notamment prévu pour maintenir l’activité de l’usine. Ainsi la collectivité locale compte racheter le site de la verrerie pour une somme estimée entre 5 et 8 millions d’euros, tandis que la région a promis de doubler l’apport au capital des salariés, d’apporter une avance remboursable d’un million d’euros et de participer avec la Banque publique d’investissement (BPI) « à garantir les prêts bancaire ».

Xavier Bertrand : un bon Premier ministre pour Darmanin

 Xavier Bertrand : un bon Premier ministre pour Darmanin 

 Gérald Darmanin  trouve « une grande compétence » à Xavier Bertrand mais rappelle que c’est au président de la République et à lui seul de nommer son futur Premier ministre.

Un grand ami de Gérald Darmanin pour devenir Premier ministre? Le ministre de l’Intérieur démissionnaire a loué ce lundi 29 juillet les qualités du républicain, Xavier Bertrand.

« C’est un homme politique avec une très grande compétence et qui peut servir grandement la France » a ainsi déclaré Gérald Darmanin dans la matinale de France 2.

« C’est au président de choisir son Premier ministre, c’est pas aux partis, on n’est pas sous la quatrième République. Le président choisira qui il souhaite comme Premier ministre ».

 

Politique : Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Politique :P ourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. La dernière proposition de la gauche et celle d’une  » haute fonctionnaire » chargée des finances et  des achats à la mairie de Paris (on a discrètement effacé son CV de Wikipédia pour en faire une éventuelle première ministre présentable !).  Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe, Vauquiez voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Coquerel (LFI) ministre de l’Économie !

 Coquerel (LFI)  ministre de l’Économie  !

Éric Coquerel, Sur LCI a déclaré qu’il serait prêt à assumer la responsabilité du poste de ministre de l’économie. Une idée qu’il met «met ça comme ça sur la table» !

La première objection c’est que l’intéressé n’a jamais fait montre d’une grande compétence c’est le moins qu’on puisse dire en matière financière y compris comme président de la commission des finances de l’assemblée. On objectera que la première ministre sollicitée par le NFP ancienne conseillère financière de la maire de Paris a bien réussi l’exploit de faire monter le déficit du budget parisien après de 10 milliards et que Macron lui-même est aussi largement responsable du dramatique dérapage de la dette.  La seconde objection c’est que la candidature de Coquerel ne serait jamais acceptée par Macron et à peu près tout le reste de l’assemblée, NFP excepté.

On peut alors être sur qu’un gouvernement comprenant un insoumis comme ministre des finances aurait sans doute une durée de vie maximale de 48 heures !

 

 

 

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