Archive pour le Tag 'ministre'

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Collège: le niveau est trop faible d’après le ministre de l’éducation

Collège: le niveau est trop faible d’après le ministre de l’éducation

Le ministre confirme les évaluations faites à l’occasion des classements internationaux : le niveau des collèges est trop faible en France. Surtout en langues vivantes et en mathématiques précise-t-il. Le problème est que la situation n’est pas meilleure en maîtrise du français support de base de toutes les connaissances. En cause sans doute- que n’avoue pas le ministre– ce concept de collège unique qui brasse tous les niveaux mais tire l’ensemble vers le bas. Paradoxalement, cette baisse de niveau de l’enseignement n’empêche pas un taux de réussite au bac qui atteindra bientôt les 100 % sur la tendance ( actuellement plus de 90 %) !

« Le niveau en anglais a baissé en fin de troisième. On va remettre ça en chantier », a promis Pap Ndiaye, qui avait déjà évoqué le sujet tout début septembre. Un « plan d’urgence » est en préparation, avec l’objectif de hisser 80 % des élèves au niveau A2 d’ici trois ans. Concernant les mathématiques, le ministre de l’Education nationale a estimé, dans son entretien avec les lecteurs de Midi libre, que « ce n’est pas une question d’heures de cours, qui sont déjà conséquentes du CP à la terminale, mais plutôt de méthode pédagogique ».

C’est donc un autre chantier qui s’annonce pour l’Education nationale, qui fait face à une crise des recrutements. Le président de la République a notamment voulu une refonte de la voie professionnelle, ainsi que la mise en place d’une « école du futur » basée sur des « innovations pédagogiques ».

Numérique : conseils un ministre qui n’y connaît rien

Numérique : conseils un ministre qui n’y connaît rien

 

Arrivé le 4 Juillet avec le remaniement ministériel, Jean-Noël Barrot est nommé « ministre délégué chargé de la transition numérique et des télécommunications ».

Autant le dire d’emblée, le nouveau Ministre du numérique a peu d’expérience du numérique. Tout au plus pourra-t-on noter sa proposition de plateforme des ateliers citoyens qui aurait un rôle d’ « ascenseur de revendications », et l’utilisation d’un analyseur de sentiment avec Twitter pour mesurer le bien-être des territoires.

Il devra donc se familiariser avec les dossiers en cours : reprise de contrôle sur les Big Tech (Digital Services Act, Digital Markets Act), souveraineté (identité, pass et data de santé, cyber-sécurité), protection des personnes (mineurs, harcèlement). Il devra surtout préciser la politique du numérique, en particulier pour le « métavers européen » promis dans le programme présidentiel. Les options sont grandes ouvertes. C’est le jardin de tous les possibles mais aussi de toutes les tentations.

 

La première tentation est de confondre innovation de rupture et technologie de rupture. Aucune des 12 Big Techs GAFA, BATX et NATU n’est fondée sur une technologie de rupture. Pourtant, cette confusion est à l’origine du Fonds pour l’Innovation et l’Industrie, doté de 10 milliards, dont les résultats sont sans surprise critiqués par France Stratégie.

La deuxième tentation est d’oublier la finalité de l’innovation : apporter du progrès pour tous. C’est l’erreur de la French Tech, qui a alimenté le ressentiment des gilets jaunes, et l’erreur de la Commission Villani sur l’intelligence artificielle, qui l’a opposée à l’intelligence humaine. Il faut mettre en avant la raison d’être de chaque initiative.

La troisième tentation est de vouloir combattre les Big Techs au titre de leurs monopoles. La concurrence monopolistique est le nouveau régime économique dominant, et il est inhérent à l’informatique. Il faut s’y faire. Ce qu’il faut combattre, c’est que trop de niches de monopoles soient dans les mêmes mains.

La quatrième tentation est celle de dénigrer la propriété intellectuelle, aux motifs de l’open source, de l’open data ou de la recherche au bénéfice de la science mondiale. Pendant ce temps, les GAFA moissonnent nos data et la Chine contrôle les technologies de la blockchain avec ses brevets.

La cinquième tentation est de vouloir concurrencer les Big Techs avec des initiatives publiques. Penser à une crypto-monnaie, une carte d’identité numérique, un cloud ou un métavers souverains face à la puissance de l’innovation privée n’a pas de sens. Il faut plutôt penser en termes d’infrastructure publique ouverte à l’innovation.

La sixième tentation serait de vouloir résoudre les grands problèmes avec des grandes solutions. C’est l’erreur du Forum de Davos, qui réunit l’élite économique mondiale et milite pour un « monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste ». Pourtant les dix dernières années ont vu prospérer la manipulation des informations, la concentration des richesses, la concurrence déloyale, l’obsolescence programmée, le marketing de l’addiction et la surveillance de masse. Pour polliniser un champ, on n’a pas trouvé de machine plus efficace que le travail de milliers d’abeilles. Les grands problèmes ne peuvent se résoudre qu’avec une multitude de petites solutions.

La septième tentation est de vouloir imiter le modèle américain. Il est entendu que la forge de la Silicon Valley, la puissance du capital-risque, le contrôle des startups par les brevets et la capacité de rachat sans limite des Big Techs sont d’une efficacité redoutable. Mais il est illusoire de vouloir les rattraper sur leur terrain. Il faut plutôt cultiver le modèle européen, orienté vers la responsabilité sociale et environnementale, la coopération, la co-propriété, la gouvernance collective, la solidarité, la culture et la qualité de vie. Nos valeurs sont un avantage compétitif fondamental. Il suffit pour s’en convaincre de se rappeler la France de la deuxième révolution industrielle. Malgré son lourd retard dans les techniques, elle a développé un supplément d’âme dans les usages, ce qui l’a propulsée alors au faîte de sa prospérité et de son rayonnement dans le monde. Elle a apporté la mode aux tissages mécanisés, la cosmétique à la chimie fine, la mise en scène des grands magasins à la distribution de masse, l’esthétique à l’automobile, l’animation à la photographie.

Pour ne pas commettre ces 7 péchés capitaux, Jean-Noël Barrot devra développer un environnement favorable – subvention, allègement et stabilité réglementaire, défense de la propriété intellectuelle, labélisation – aux technologies et usages qui contribuent au modèle européen.

La blockchain permet par exemple de certifier la provenance du riz acheté en supermarché, de vérifier l’authenticité d’une information ou d’attester l’origine de chaque contribution dans un projet collectif. Les tokens mesurent les comptabilités extra-financières et garantissent la répartition équitable du prix dans la chaîne de sa production. Les contrats intelligents orientent les achats en fonction des notations des fournisseurs. Les crypto-monnaies font chuter les coûts de l’intermédiation financière, rendent solvable la vente d’une photo ou d’un micro-service à distance, favorisent une région sinistrée. La réalité virtuelle permet, grâce à un jumeau numérique en 3D, d’apprendre rapidement à réparer un moteur, de visiter un monument disparu ou de simuler l’esthétique d’une ville après rénovation. La réalité augmentée, qui superpose dans les lunettes des informations sur les objets réels, aide à gérer une panne dans une usine et à s’instruire pendant un voyage.

Aujourd’hui nous avons besoin d’un renouveau de notre vision collective, mieux enracinée dans les valeurs européennes. C’est le rôle du Ministre de fixer la politique du numérique pour impulser cette dynamique, soulever la vague française et la propager en Europe.

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(*) Tribune co-signée par (mise à jour sur le site de l’institut de l’Iconomie):

Vincent Lorphelin, Entrepreneur, Auteur et Coprésident de l’Institut de l’Iconomie

Christian Saint-Etienne, Professeur émérite au Conservatoire National des Arts et Métiers, Coprésident de l’Institut de l’Iconomie

Michel Volle, Economiste et Coprésident de l’Institut de l’Iconomie

Jean-Paul Betbèze, Professeur émérite de l’Université de Paris-Panthéon-Assas

Boris Kesler Fasano, Fondateur de Mainbot

Jordan Ietri, Fondateur de Revomon

Nouredine Abboud, Directeur Général de Novaquark

Clément Tequi, co-Fondateur de Capsule Corp Labs

Alexis Arragon, Fondateur de Skinvaders

Diaa Elyaacoubi, Directrice Générale de Monnier Frères

Stéphanie Flacher, co-Fondatrice de Logion

Casey Joly, Avocate du cabinet ipSO

Jennifer Verney Dahan, Fondatrice de Vernsther

Emmanuel François, Fondateur de Smart Building Alliance

Raphaël Rossello, Partner de Invest Securities

Alain Garnier, co-Fondateur de Jamespot

À défaut du Nobel ,ROBERT MÉNARD voudrait bien être ministre de Macron !

À défaut du Nobel , ROBERT MÉNARD voudrait bien être ministre de Macron ! 

 

Le maire de Béziers n’aura sans doute jamais le prix Nobel  mais  peut-être deviendra-t-il ministre de Macron. En tout cas, c’est ce qu’il semble souhaiter maintenant.Une nouvelle étape dans le parcours très tourmenté de l’intéressé qui est passé par l’extrême gauche, la gauche, la droite et l’extrême droite et qui rêve maintenant d’être ministre néolibéral.De toute manière, les idéologies ne nourrissent guère l’intéressé qui a plutôt choisi régulièrement les provocations, les banalités populistes agrémentées souvent d’humour le plus douteux. Bref, il est clair que Robert Ménard n’aura jamais le prix Nobel. Mais il finira peut-être sa carrière avec un marocain. L’intéressé n’a vraiment pas inventé la poudre mais il pourrait devenir ministre des anciens combattants par exemple.

Invité ce dimanche soir sur LCI, le maire de Béziers soutenu par le Rassemblement national a assuré qu’il pourrait devenir ministre d’Emmanuel Macron si ce dernier, ou sa Première ministre Élisabeth Borne, lui en faisaient la demande. « Je vais vous raconter une anecdote, quand j’ai eu la Légion d’honneur, tout un tas de gens m’ont moqué », commence-t-il.

Le maire de Béziers l’a assuré, « on a tous envie de peser. » « Moi j’étais content d’être maire d’une ville de France, je suis tellement fière que ma femme soir députée de ce pays que j’aime tellement. Je ne ferme jamais une porte à l’avance. »Normal, c’est plutôt le champion des portes ouvertes de la démagogie.. plutôt très à droite.

 

Trahisons politiques …. pour un petit portefeuille de ministre

 Trahisons politiques …. pour un petit portefeuille de ministre

 

Nombre de responsables de gauche comme de droite n’hésitent pas à renier les convictions molles qui constituaient leur valeur pour  se vendre au pouvoir en place. Ces espèces de mercenaires- qui ont transformé la politique en métier -du jour au lendemain condamnent les propos qu’ils ont pu tenir pendant des années voir des dizaines d’années. Et tout cela pour un minable petit portefeuille de ministre que  l’histoire évidemment oubliera rapidement.

Ce mercato politique dirigé par Macron lui-même revêt un caractère aussi lamentable que pathétique. Il démontre à quel point la classe politique est en général discréditée par des comportements proches de ceux des voyous. Certes ce ne sont pas à mettre dans le même sac, loin s’en faut. Il suffit cependant d’une poignée d’arrivistes pour porter atteinte à ceux qui ont pour mission d’incarner la démocratie. De ce point de vue, les petites manœuvres de Macron relèvent davantage des pratiques de la IVe République que du XXIe siècle.

Ce débauchage, un par un,va porter un nouveau coup terrible à la classe politique dont beaucoup n’affichent  en effet que des convictions très plastiques . Certes il n’est pas interdit de changer d’idée au cours d’une vie politique, voire de partis; mais à l’occasion d’un changement ministériel pour obtenir un maroquin , cela révèle les comportements de voyous et d’opportunistes ordinaires.

 

Mercato politique: Les lamentables trahisons pour un petit portefeuille de ministre

Mercato politique: Les lamentables trahisons pour un petit portefeuille de ministre

 

Nombre de responsables de gauche comme de droite n’hésitent pas à renier les convictions molles qui constituaient leur valeur pour  se vendre au pouvoir en place. Ces espèces de mercenaires- qui ont transformé la politique en métier -du jour au lendemain condamnent les propos qu’ils ont pu tenir pendant des années voir des dizaines d’années. Et tout cela pour un minable petit portefeuille de ministre que  l’histoire évidemment oubliera rapidement.

Ce mercato politique dirigé par Macron lui-même revêt un caractère aussi lamentable que pathétique. Il démontre à quel point la classe politique est en général discréditée par des comportements proches de ceux des voyous. Certes ce ne sont pas à mettre dans le même sac, loin s’en faut. Il suffit cependant d’une poignée d’arrivistes pour porter atteinte à ceux qui ont pour mission d’incarner la démocratie. De ce point de vue, les petites manœuvres de Macron relèvent davantage des pratiques de la IVe République que du XXIe siècle.

Ce débauchage, un par un,va porter un nouveau coup terrible à la classe politique dont beaucoup n’affichent  en effet que des convictions très plastiques . Certes il n’est pas interdit de changer d’idée au cours d’une vie politique, voire de partis; mais à l’occasion d’un changement ministériel pour obtenir un maroquin , cela révèle les comportements de voyous et d’opportunistes ordinaires.

 

 

Nom du prochain premier ministre…. Macron…ou Macron

Nom du prochain premier ministre…. Macron…ou Macron

 

La France avait sans doute oublié qu’elle avait un premier ministre dont la démission est annoncée pour .  Plusieurs fois interrogées sur le nom du successeur de Castex, Macron entretient un faux mystère. Il a déclaré » je connais son nom mais le moment n’est pas venu de le donner ». La vérité c’est que le premier ministre sera Macron lui-même et le Premier ministre jouera les utilités….comme Castex.

On connait le nom du prochain premier ministre….c’est Macron

On connait le nom du prochain premier ministre….c’est Macron

 

La France avait sans doute oublié qu’elle avait un premier ministre dont la démission est annoncée pour jeudi ou samedi. La démission de Jean Castex devrait avoir lieu jeudi ou samedi et son successeur devrait être annoncé dans la foulée.  Plusieurs fois interrogées sur le nom du successeur de Castex, Macron entretient un faux mystère. Il a déclaré » je connais son nom mais le moment n’est pas venu de le donner ». La vérité c’est que le premier ministre sera Macron lui-même et le Premier ministre jouera les utilités….comme Castex.

Je connais le nom du prochain premier ministre….c’est moi (Macron)

Je connais le nom du prochain premier ministre….c’est moi (Macron)

 

La France avait sans doute oublié qu’elle avait un premier ministre dont la démission est annoncée pour jeudi ou samedi. La démission de Jean Castex devrait avoir lieu jeudi ou samedi et son successeur devrait être annoncé dans la foulée.  Plusieurs fois interrogées sur le nom du successeur de Castex, Macron entretient un faux mystère. Il a déclaré » je connais son nom mais le moment n’est pas venu de le donner ». La vérité c’est que le premier ministre sera Macron lui-même et le Premier ministre jouera les utilités….comme Castex.

Sondage Législatives 2022 : 49% de Français veulent un premier ministre de gauche….Mais pas les électeurs !

Sondage Législatives 2022 : 49% de Français veulent un premier ministre de gauche….Mais pas les électeurs !

Selon un sondage Ifop pour Le JDD 49% d’entre eux espèrent ainsi que le prochain locataire de Matignon soit une personnalité de gauche.

 

Dans le détail, ce sont les jeunes, potentiellement ceux ayant le plus voté pour Jean-Luc Mélenchon, qui souhaitent un chef du gouvernement de cette tendance-là. D’autant que le chef de l’Etat lui-même avait dressé après sa victoire un premier portrait-robot : une personne «attaché à la question sociale, à la question environnementale et à la question productive». Autre élément à prendre en compte, cette même volonté chez les sympathisants du RN et ceux du parti présidentiel. Car si bien évidemment 92% des électeurs de gauche veulent que leurs idées arrivent au pouvoir, un tiers des soutiens d’Emmanuel Macron et 25% des partisans de Marine Le Pen y aspirent également. Une part non négligeable qui s’explique en partie par l’expression des catégories populaires de vouloir bénéficier de mesures plus sociales.

Les électeurs contredisent les Français

Paradoxe, selon un sondage OpinionWay-Kéa Partners, pour  Les Échos et Radio classique , Il y aurait entre 310 et 350 sièges à l’Assemblée à l’issue des législatives des 12 et 19 juin prochain pour la majorité présidentielle. Selon ce sondage, l’union de la gauche pourrait aussi investir entre 135 et 165 députés et devenir, devant la droite, la première force d’opposition du pays. Selon ce même sondage, Les Républicains passeraient de 101 députés actuellement à entre 50 et 70 dans la prochaine législature.Et le Rassemblement national pourrait obtenir entre 20 et 40 sièges et ainsi constituer un groupe parlementaire. C’est une avancée pour le parti, mais un faible score au vu de son nombre de voix récoltées au second tour de la présidentielle.

 

 

Un procès pour le ministre de la justice !

Un procès pour le ministre de la justice !

 

Le ministre actuel de la justice est renvoyé devant la cour de justice de la république. Autant dire qu’il ne risque pas grand-chose puisque cette cour a la particularité d’être composée surtout de politiques et de montrer la plus extrême bienveillance vis-à-vis des inculpés ( exemple 400 millions accordés indûment d’après la justice par Christine Lagarde à Tapie ; on a seulement reproché à Christine Lagarde sa « légèreté « ; et on a viré le président d’Orange alors  directeur de cabinet de Christine Lagarde, bref, un lampiste !) .

L e ministère public a jugé qu’il existait des «charges suffisantes» contre le garde des Sceaux pour le renvoyer devant la formation de jugement de la CJR, seule juridiction habilitée à poursuivre et juger des ministres pour des infractions commises dans l’exercice de leurs fonctions.

La décision finale sur un éventuel renvoi du ministre devant la formation de jugement de la CJR appartient désormais à la commission d’instruction de la CJR. Éric Dupond-Moretti, nommé au gouvernement à l’été 2020, est mis en examen pour des faits de prises illégales d’intérêt depuis juillet 2021.

Des plaintes de syndicats de magistrats et de l’association anticorruption Anticor, dénonçant deux situations de conflit d’intérêts depuis son arrivée à la Chancellerie, avaient donné lieu à l’ouverture d’une information judiciaire.

Convoqué en mars et en avril par les magistrats de la CJR sur les deux dossiers, il a refusé de répondre à leurs questions. Le premier dossier concerne l’enquête administrative qu’il a ordonnée en septembre 2020 contre trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses factures téléphoniques détaillées («fadettes») quand il était encore une star du barreau.

Dans l’autre, il lui est reproché d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction détaché à Monaco, Édouard Levrault, qui avait mis en examen un de ses ex-clients et dont il avait critiqué les méthodes de «cow-boy». Éric Dupond-Moretti a toujours martelé qu’il n’avait fait que «suivre les recommandations» de son administration.

Mélenchon Premier ministre : une hypothèse ?

Mélenchon Premier ministre : une hypothèse ?

Mélenchon , ministre : une hypothèse probable mais qu’on ne peut exclure estime  Bernard Sananès Président de l’institut Elabe. (Sur BFM)

Les grandes manœuvres continuent à gauche en vue des élections législatives. Même s’il n’est pas encore scellé, l’accord est déjà qualifié d’historique. « Il pourrait y avoir une triple dynamique, explique Bernard Sananès. L’accord peut d’abord permettre de mobiliser l’électorat de gauche en enrayant la démobilisation qui suit la défaite à la présidentielle. Il peut ensuite augmenter mécaniquement la présence de la gauche au second tour – qui pourrait être présente dans 400-450 circonscriptions, selon les simulations. Enfin, l’alliance à gauche peut menacer la majorité absolue que vise La République en marche.

Jean-Luc Mélenchon peut-il devenir Premier ministre de cohabitation ? « Dans les dynamiques que l’on a, cela semble complexe, estime Bernard Sananès. Mais cette dynamique existe. Il a déjà, en quelque sorte, imposé son leadership de premier opposant, aux dépens de Marine Le Pen. On voit bien que les autres formations de gauche sont obligées d’accepter les conditions programmatiques et politiques qui sont nées du rapport de force du premier tour de l’élection présidentielle. »

Des voix socialistes s’élèvent contre cet accord. Mais que pèsent encore les éléphants du PS ? « Dans leurs territoires locaux, ils peuvent avoir un impact, mais ça ne représente pas une force politique, selon Bernard Sananès. Il y a une distance vis-à-vis de l’accord, notamment sur des questions programmatiques comme l’Europe ou la radicalité. De la même façon que la question du nucléaire sera extrêmement sensible pour le Parti communiste. »

Face à ce bloc de gauche en préparation, il n’y a pas d’état de grâce pour Emmanuel Macron. « Quand on rapporte les résultats du premier tour au nombre d’inscrits, il y a eu plus d’électeurs qui ont voté contre Emmanuel Macron que pour lui, rappelle le président de l’institut d’études Elabe. Après, on va voir ce qui va se passer dans les premières annonces. Il va sans doute faire campagne, apporter des priorités. Il y aussi une question très importante : quelle sera la mobilisation face à la perspective de cohabitation (…) On sent bien que l’équation politique dans le pays rend moins automatique l’obtention d’une majorité présidentielle. »

Enfin, l’annonce du prochain Premier ministre pourrait-elle avoir un impact sur l’électorat ? « On a l’impression d’être dans une phase de faux-plat, constate Bernard Sananès. Il n’y a pas de Premier ministre, pas de premières mesures, pas de déclaration du président de la République. Emmanuel Macron a donc besoin de dire quelles seront les priorités de ce quinquennat, notamment sur le plan économique. »

Mélenchon: Premier Ministre ?

Mélenchon: Premier Ministre ?

 

L’information a évidemment de quoi surprendre car les médias en général s’attendent  à ce que Macron choisisse un Premier ministre très transparent type Élisabeth Borne. En en tout cas quelqu’un sans grande personnalité, pas très innovant et sans grand charisme. Le problème c’est qu’il y aura un match retour pour les élections. Un match qui va se dérouler lors des élections législatives que Macron n’est pas certain de remporter. On pourrait en effet se retrouver dans une situation avec une opposition hétéroclite devenue majoritaire composée d’extrême droite, d’extrême gauche et des » républicains ».

Du coup, l’hypothèse Mélenchon comme Premier ministre n’est pas totalement à exclure. Il est évident que la situation serait alors très tendue entre le très libéral Macon et le communiste nationaliste Mélenchon. De quoi sans doute rapidement dissoudre l’assemblée et recommencer les élections.

Jusque-là les grands médias ont complètement ignoré cette hypothèse qui n’est pas totalement impossible

En attendant Mélenchon nourrit l’espoir d’une revanche aux législatives , prévues les 12 et 19 juin prochains. Un «troisième tour» selon lui. «La stratégie de l’Union populaire, ce n’est pas juste un sigle. Ma campagne n’est pas un coup de com’. La stratégie, c’est rassembler par la base (…). sur un programme», analyse d’abord l’élu des Bouches-du-Rhône, qui enjoint les Français «à l’élire premier ministre» et d’«élire une majorité de députés insoumis et Union populaire.»

«Tout sera sacrifié de ma part, toutes les satisfactions que je pouvais attendre de la tranquillité de cette sortie d’élection, sera sacrifié à cet objectif», indique l’élu insoumis, qui demande à la gauche de se «rassembler» et à venir grossir ses rangs.

Covid : un rebond de l’épidémie ( ministre de la santé)

Covid : un rebond de l’épidémie ( ministre de la santé)

«La Covid ne baisse plus, elle  augmente même», a dit le ministre de la santé.

Le nombre de nouveaux cas positifs s’élevait jeudi soir à 74.818 et à  72 399 vendredi selon Santé publique France, contre 60.225 il y a une semaine.

L’Allemagne a enregistré vendredi plus de 250.000 nouveaux cas de Covid-19 et le taux d’incidence sur sept jours dépasse les 1400. «Le nombre de cas et l’incidence augmentent à nouveau (…). Dans de nombreux districts, l’incidence est toujours supérieure à 2000, voire à 2500», a abondé Lothar Wieler, directeur de l’institut de veille sanitaire Robert Koch.

La Chine, elle,  a dû se résoudre vendredi à confiner la grande ville de Changchun, dans le nord-est du pays.

Anne Cabana anime un débat sur son compagnon le ministre-Blanquer sur i24News

Anne Cabana anime un débat sur son compagnon -le ministre-Blanquer- sur i24News

 

 

 

Il est bien connu que certains entretiennent des relations assez ésotériques avec la déontologie journalistique.

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Cette fois , c’est  Anne Cabana ( par ailleurs bonne journaliste) qui a animé un débat sur son époux, le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer, dans la tourmente entre les grèves des enseignants et les dernières révélations de Mediapart . Il n’en fallait pas plus pour affoler le petit monde jounalistico-médiatique. Certains se demandant au départ si ce n’était pas une «fake news» qui circulait. Après vérification, il est confirmé que cette émission s’est bel et bien tenue sur l’antenne d’information francophone de la télévision israélienne la veille.

Royaume-Uni: Contesté Boris Johnson doit changer de ministre des affaires étrangères

Royaume-Uni: Contesté Boris Johnson doit changer de ministre des affaires étrangères

 

Un triple échec pour Boris Johnson dont la politique sanitaire est considérée comme une catastrophe par une majorité de Britanniques. Sur le plan économique, les promesses du brexit ne sont pas non plus tenues et les mécontents sont de plus en plus nombreux. Enfin Boris Johnson est contesté au sein même de sa majorité et même de son gouvernement. C

ertains proches envisagent même son éviction. Du coup Bori,s Johnson pour masquer les échecs du brexit  change de ministre. La ministre britannique des Affaires étrangères, Liz Truss, va donc  devenir la négociatrice en chef de la Grande-Bretagne avec l’Union européenne concernant le protocole nord-irlandais à la suite de la démission du ministre du Brexit David Frost, a annoncé le cabinet du Premier ministre Boris Johnson, dimanche 19 décembre.

La Grande-Bretagne a officiellement quitté l’UE au début de l’année mais les deux parties mènent des discussions pour résoudre des difficultés sur les relations commerciales entre la Grande-Bretagne et l’Irlande du Nord, province britannique qui partage une frontière terrestre avec l’Irlande, pays membre de l’Union. David Frost, l’un des principaux architectes de la politique de Boris Johnson sur le Brexit, a démissionné samedi en raison de désaccords sur la stratégie du gouvernement.

Celle qui va lui succéder a d’abord été contre le brexit avant de s’y rallier !

 

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