Archive pour le Tag 'ministre'

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Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Politique- Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Le renégat socialiste n’a pas d’état d’âme. C’est un professionnel de la politique. Actuellement ministre du travail de macron, il défend la réforme qu’il combattait avant.

Il a slalomé dans tous les courants du PS. IL a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, puis proche auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. Il a tété vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.

Il est réélu député de l’Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.

Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse.

Il est alors très proche de Martine Aubry.

Il est près d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, proche de Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment. .

En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20179.

017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !Aussitôt, il rejoint Macron .

Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Dussopt, ministre du travail, défend le contraire de ses anciens engagements

Le renégat socialiste n’a pas d’état d’âme. C’est un professionnel de la politique. Actuellement ministre du travail de macron, il défend la réforme qu’il combattait avant.

Il a slalomé dans tous les courants du PS. IL a été signataire de la motion C de Benoît Hamon, aux côtés de Jean-Luc Mélenchon et Marie-Noëlle Lienemann, puis proche auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. Il a tété vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande.

Il est réélu député de l’Ardèche le 17 juin 2012 en obtenant 53,35 % des voix2. Il est aussi désigné vice-président du groupe socialiste à l’Assemblée nationale, où il travaille plus particulièrement sur les questions relatives aux collectivités territoriales.

Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse.

Il est alors très proche de Martine Aubry.

Il est près d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, proche de Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment. .

En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte-parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20179.

017, candidat socialiste, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !Aussitôt, il rejoint Macron .

Éducation nationale :Le ministre reconnaît l’extrême faiblesse du niveau de l’école

Éducation nationale :Le ministre reconnaît l’extrême faiblesse du niveau de l’école

Jusque-là le ministre de l’éducation nationale s’est fait très discret. Cette fois, il sort un peu du bois pour annoncer des « exigences » qui en fait ressemblent davantage à des recommandations qu’à des orientations fermes.

En effet le propos du ministre de l’éducation nationale n’est pas nouveau. Il ne fait que rabâcher ce qui est connu à savoir le manque de niveau du primaire pour entrer en secondaire, la crise du recrutement. Quant à l’exigence de l’égalité des chances c’est évidemment un slogan qui ne pourra pas être résolu tant qu’une masse d’élèves en retard des connaissances de base viendront abaisser le niveau général dans le collège unique.

Bref pas vraiment une révolution, pas même une évolution juste des mots surtout quand on prévoit d’appliquer ce qu’on qualifie de nouvelles orientations à partir du 1er janvier. Pap Ndiaye,Le ministre de l’éducation nationale, reconnaît les difficultés « concernent la crise du recrutement des professeurs » mais aussi « le niveau des élèves, dont les comparaisons internationales révèlent les lacunes préoccupantes. il Regrette que près « d’un Français sur deux ne fasse pas confiance à l’institution scolaire », le ministre évoque « la défiance générale, marquée par la montée en puissance du secteur privé et par le scepticisme exprimé d’une partie des parents ».

Le ministre a donc annoncé trois types de mesures pour 2023 . D’abord concernant les enseignements fondamentaux du CM1 à la 6e pour « faciliter le passage de l’école primaire au collège ». Ensuite
Pour faciliter « l’égalité des chances ». La troisième et dernière exigence portée par le gouvernement stipule une amélioration du fonctionnement de l’école, aussi bien dans le système de recrutement des enseignants, que dans les conditions d’accueil des élèves. Pour répondre à ses problématiques, le ministre de l’Éducation a indiqué qu’un « changement structurel » allait avoir lieu afin que les professeurs puissent notamment « mieux accompagner chaque élève ». Enfin, Pap Ndiaye a conclu sa tribune par le rappel d’un principe essentiel dans le système éducatif français : la laïcité. Un énième rappel sans beaucoup d’effet !

Réforme des retraites : le ministre du travail responsable du report

Réforme des retraites : le ministre du travail responsable du report ?

Subitement il y a une semaine, le président de la république a décidé de reporter la présentation du projet de réforme des retraites après la finale de la coupe du monde de football.
On voit difficilement les liens effectifs entre cet événement sportif et la question des retraites en France sinon la peur d’un chef de l’État qui constate l’incompétence de son gouvernement et notamment de son ministre du travail à engager un dialogue constructif avec les organisations syndicales.

Il faut dire que l’opportuniste Dussopt ( (Qui a changé en 24 heures d’étiquette politique en 2017) a un peu le culs entre deux chaises. Théoriquement ,il porte l’étiquette d’anciens socialiste mais la vérité c’est qui’il a slalomé entre tous les courants pour finalement se rallier brutalement à Macron.

En tant qu’ancien socialiste, on le soupçonne parfois d’entretenir encore quelques convictions gauchisantes. Du coup , il doit donner des gages à la politique libérale de Macro en en rajoutant un peu. Et c’est ainsi qu’il s’est montré très raide vis-à-vis des organisations syndicales pour la présentation du projet de réforme des retraites. En réalité, le ministre du travail n’a pas davantage de conviction que nombre de ministres macronistes surtout motivés par leur devenir politique.·

En fait, si l’on en croit une indiscrétion de Politico rapportée par La Tribune, ce report aurait été demandé (et remporté) par Elisabeth Borne très mécontente des discussions menées par Olivier Dussopt, le ministre du Travail, du « Plein emploi » et de l’Insertion, et son cabinet, avec les partenaires sociaux. Mais pas du tout répliqua l’entourage d’Olivier Dussopt dans Le Canard Enchaîné en confiant à la page 2 du palmipède que c’est le ministre qui avait en fait convaincu le président qu’il était « habile de donner encore du temps à la concertation ». Selon ces indiscrétions, Dussopt serait sur le point de convaincre la CFDT de ne pas s’opposer au texte si le gouvernement y intégrait des éléments sur la « pénibilité », comme le travail de nuit, le fait de devoir porter des charges, ou sur l’état de santé du salarié. Quoi qu’il en soit : c’est bien Borne, et non Dussopt, qui sera finalement chargée de finaliser les discussions avec les syndicats en janvier.

Conflit d’intérêts : La ministre de l’écologie avait oublié de signaler ses intérêts familiaux dans le pétrole

Conflit d’intérêts : La ministre de l’écologie avait oublié de signaler ses intérêts familiaux dans le pétrole

Curieusement, la ministre de l’écologie a été blanchi par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique pour n’avoir pas mentionné ses intérêts dans le pétrole. Et le gouvernement a sorti à la un décret au journal officiel pour protéger la ministre.Reste qu’il est pour le moins surprenant qu’on ait choisi comme ministre de l’écologie une responsable qui possède des intérêts financiers familiaux dans le pétrole et en plus dans les paradis fiscaux !

Dans la matinée, un décret paru au Journal Officiel stipulait qu’Agnès Pannier-Runacher ne pourrait plus s’occuper de sujets liés à trois entreprises, Défense conseil international, EP2C et le groupe pétrolier Perenco dont le père de la ministre a été l’un des dirigeants.

Selon la HATVP, ce décret par lequel la ministre n’interviendra en aucune façon dans les dossiers concernant cette société permettra «de prévenir les risques de conflits d’intérêts vis-à-vis de ce groupe». Ces dossiers, s’il y a lieu, seront désormais traités par la Première ministre Élisabeth Borne. En se mettant à l’écart de ces sujets, la ministre entendait «couper court à toute critique», a justifié son entourage auprès de l’AFP.

La HATVP avait lancé le 8 novembre des «vérifications» après des informations du média d’investigation Disclose, affimant que les enfants d’Agnès Pannier-Runacher détenaient des parts dans une société française, non mentionnée sur sa déclaration d’intérêts, et dont les fonds sont en partie domiciliés dans des paradis fiscaux.

Le père de la ministre, Jean-Michel Runacher, avait créé en 2016 en France cette société civile, nommée Arjunem, dans le cadre d’une transmission de patrimoine. Quatre de ses petits-enfants en sont les associés, dont les trois enfants d’Agnès Pannier-Runacher qui étaient alors mineurs, et pour lesquels la ministre a signé en tant que représentante légale. Selon Disclose, ce patrimoine provient de fonds spéculatifs, installés dans le Delaware, en Irlande et à Guernesey et dans lesquels Perenco détenait aussi des intérêts financiers.
«cadre de ses fonctions au gouvernement».
À VOIR AUSSI – Conflit d’intérêts: Agnès Pannier-Runacher «est à son travail et pleinement impliquée dans ses dossiers», défend Olivier Véran

Politique: la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !

Politique: la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !


Comme ministre de la Transition énergétique, on fait mieux !. Non seulement Agnès Pannier-Runacher se caractérise par une grande incompétence mais en plus elle est impliquée dans une affaire de pétrole familial en plus localisée dans les paradis fiscaux.

On savait évidemment que la fameuse planification écologique du gouvernement était un véritable leurre car on ne constate ni planification ni véritable préoccupation environnementale significative. De là à confier le ministère de la transition énergétique a une personnalité compromise par ses intérêts pétroliers dans des paradis fiscaux, il y a un pas que Macron n’a pas hésité à franchir.

Le média d’investigation Disclose a rapporté, mardi 8 novembre, que les enfants de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, étaient propriétaires d’une société basée sur des fonds domiciliés en partie dans des paradis fiscaux.. Ce patrimoine proviendrait de fonds spéculatifs, installés dans le Delaware, en Irlande et à Guernesey. Des fonds dans lesquels la société pétrolière Perenco, dont Jean-Michel Runacher ( Le père de la ministre) était alors un des responsables, détenait aussi des investissements.
Quatre des petits-enfants de Jean-Michel Runacher sont désormais les associés d’Arjunem. Parmi eux figurent les trois enfants d’Agnès Pannier-Runacher, qui étaient alors mineurs, et pour lesquels la ministre a signé en tant que représente légale.

Sollicitée par Disclose, l’association anticorruption Anticor dénonce « une situation de conflit d’intérêts » touchant Agnès Pannier-Runacher après la révélation de l’existence d’Arjunem. La Haute autorité à la transparence de la vie publique rappelle, elle, de manière générale, que « l’absence d’obligation déclarative ne dispense pas le responsable public de veiller à prévenir et faire cesser les situations de conflits d’intérêts qui naîtraient d’autres intérêts indirects détenus, tels que l’activité des enfants ou d’autres membres de la famille ».

Affaires politico-financières : la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux

Affaires politico-financières : la ministre de l’écologie engluée dans le pétrole familial et les paradis fiscaux !

Comme ministre de la Transition énergétique, on fait mieux !. Non seulement Agnès Pannier-Runacher se caractérise par une grande incompétence mais en plus elle est impliquée dans une affaire de pétrole familial en plus localisée dans les paradis fiscaux.

On savait évidemment que la fameuse planification écologique du gouvernement était un véritable leurre car on ne constate ni planification ni véritable préoccupation environnementale significative. De là à confier le ministère de la transition énergétique a une personnalité compromise par ses intérêts pétroliers dans des paradis fiscaux, il y a un pas que Macron n’a pas hésité à franchir.

Le média d’investigation Disclose a rapporté, mardi 8 novembre, que les enfants de la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, étaient propriétaires d’une société basée sur des fonds domiciliés en partie dans des paradis fiscaux.. Ce patrimoine proviendrait de fonds spéculatifs, installés dans le Delaware, en Irlande et à Guernesey. Des fonds dans lesquels la société pétrolière Perenco, dont Jean-Michel Runacher ( Le père de la ministre) était alors un des responsables, détenait aussi des investissements.
Quatre des petits-enfants de Jean-Michel Runacher sont désormais les associés d’Arjunem. Parmi eux figurent les trois enfants d’Agnès Pannier-Runacher, qui étaient alors mineurs, et pour lesquels la ministre a signé en tant que représente légale.

Sollicitée par Disclose, l’association anticorruption Anticor dénonce « une situation de conflit d’intérêts » touchant Agnès Pannier-Runacher après la révélation de l’existence d’Arjunem. La Haute autorité à la transparence de la vie publique rappelle, elle, de manière générale, que « l’absence d’obligation déclarative ne dispense pas le responsable public de veiller à prévenir et faire cesser les situations de conflits d’intérêts qui naîtraient d’autres intérêts indirects détenus, tels que l’activité des enfants ou d’autres membres de la famille ».

Réajustement des salaires sur l’inflation : le ministre des finances contre

Réajustement des salaires sur l’inflation : le ministre des finances contre

Le moins que l’on puisse dire c’est que le ministre des finances tient des propos relativement contradictoires en matière de salaire. D’un côté constatant la flambée de l’inflation, il invite les entreprises à engager des discussions pour revaloriser les salaires. Mais d’un autre côté le même ministre s’oppose à une indexation des salaires sur l’inflation.

Un double langage qui s’explique sans doute d’abord par le flou de la politique du gouvernement concernant le pouvoir d’achat. Non sans raison le ministre des finances renvoie la responsabilité aux entreprises qui en dernier ressort doivent discuter entre partenaires sociaux. De la même manière, le ministre s’était opposé à la taxation des superprofits et pour désamorcer la question brûlante il appelait donc à des négociations salariales.

D’un autre côté encore, le patron de Bercy doit donner des gages à Bruxelles et montrer son souci de ne pas laisser filer les dépenses comme les salaires pour assurer sur des orientations françaises souvent considérées par certains notamment les Allemands comme très laxiste.

Pour le ministre des finances, l’indexation générale des salaires sur l’inflation alimenterait la spirale inflationniste et générerait une perte de compétitivité et d’attractivité de l’économie française.

« C’est cette spirale inflationniste sans fin dans laquelle nous refusons en responsabilité de rentrer car nous serions perdants sur tous les tableaux », a-t-il ajouté, énumérant une « inflation hors de contrôle » et une perte de compétitivité et d’attractivité.

Le gouvernement demande régulièrement aux entreprises qui le peuvent d’augmenter les salaires et met en avant la revalorisation du Smic pour les plus modestes. Il défend par ailleurs les dispositifs d’intéressement salarié et de primes défiscalisées.

« Je souhaite qu’avec les partenaires sociaux, nous avancions plus rapidement sur notre proposition de dividende salarié, qui doit donner rapidement des résultats concrets. Une entreprise qui distribue des résultats à ses actionnaires doit aussi distribuer à ses employés », a ajouté Bruno Le Maire Qui reprend ainsi les propos du chef de l’État. Le problème c’est que n’a pas encore été réellement mis sur la table la question de la répartition de la richesse entre actionnaires d’entreprises, investissements et salariés. Et le discours de rigueur salariale du gouvernement perd en crédibilité avec l’annonce régulière de superprofits réalisés par les très grandes entreprises justement grâce à l’inflation et la spéculation.

Rishi Sunak, Premier ministre: La dernière chance pour sauver la Grande-Bretagne du naufrage ?

Rishi Sunak,Premier ministre: La dernière chance pour sauver la Grande-Bretagne du naufrage ?

D’une certaine manière ce sont les marchés financiers et non pas le parti conservateur qui ont décidé d’imposer le financier Rishi Sunak , ancien ministre des finances comme nouveau premier ministre en Grande-Bretagne.Il y avait urgence avec l’écroulement de la livre, de la croissance, l’inflation et le risque de crise financière.

Une belle revanche pour l’ancien ministre des finances .

L’incompétente Liz Truss a dû renoncer totalement à ses propositions initiales mais les marchés financiers ont contraint le parti conservateur à la limoger compte tenu des attaques contre la livre.

Mais le financier a écarté le retour du fantasque Boris Johnson handicapé cependant encore par quelques gamelles judiciaires.

Rishi Sunak a contre lui, en pleine crise du coût de la vie, son image de richissime banquier passé par les écoles et universités d’élite puis Goldman Sachs.
Mais d’une certaine manière, c’est une des dernières chances de sauver les conservateurs et l’économie britannique. Rishi Sunak est un effet condamné à réussir sinon la Grande-Bretagne qui ne s’est jamais remise du Brexit risque une crise économique et même financière sans précédent

Compte tenu de la crise le pays a surtout besoin de crédibilité au plan intérieur comme au plan international. Or la situation interne est socialement et économiquement catastrophique avec une explosion notamment des coûts de l’énergie, de l’inflation en général qui induit une augmentation considérable de la pauvreté. Le prochain premier ministre aura besoin de rassurer et de rassembler mais aussi de donner des gages de sérieux au plan international.

Figure rassurante pour les marchés financiers, ce « British Indian », issue d’une famille émigrée d’Afrique de l’Est dans les années 1960, signe une spectaculaire revanche, comme rarement vue dans la politique britannique. Face à ses concurrents dans la course à Downing Street, il était l’un des rares à ne pas promettre de baisses d’impôts.

Inflation: Des objectifs hypothétiques du ministre des finances

Inflation: Des objectifs hypothétiques du ministre des finances

Bruno Le Maire, Le ministre des finances, fixe un objectif d’inflation de 4 % en France en 2023 et de 2 % en 2024. Des objectifs tout à fait hypothétiques en regard de l’environnement économique mondial. Il y a d’abord la crise énergétique qui va perdurer et même s’installer de façon structurelle en particulier en Europe qui avait l’habitude d’importer gaz et pétrole.

Par ailleurs,’inflation est aussi nourrie par la restructuration de l’appareil de production et la logistique. Un phénomène également structurel est sans doute souhaitable pour ne pas dépendre totalement de l’étranger mais qui renchérit les produits.

De fortes interrogations pèsent aussi désormais sur la structure économique en Chine où la croissance est en train de s’écrouler du fait du net ralentissement intérieur mais aussi de la demande extérieure ; celle-ci dépendant de la restructuration évoquée.

Il faudrait aussi prendre en compte les conséquences géo politiques difficilement prévisibles comme par exemple cette guerre de la Russie avec l’Ukraine qui a entraîné une grave crise sur toutes les énergies y comprit l’électricité.

Pour se dédouaner par avance de ces risques le ministre de l’économie a prit la précaution de relativiser ses objectifs.

. « Sur l’inflation, je vous donne des objectifs et ce ne sont que des objectifs, pas des prévisions, nos objectifs seraient de ramener l’inflation à 5 % au début de l’année 2023 puis 4 à la fin de l’année 2023, puis 2 dans le courant de l’année 2024 », a déclaré Bruno Le Maire, jeudi 20 septembre, à l’occasion d’un débat organisé par le cabinet ARC portant sur la protection des entreprises. Des propos rapportés par France 24.

« Je ne sais pas si nous les atteindrons, il suffit que la crise dégénère en Ukraine pour que tous ces chiffres volent en éclats, il suffit qu’il y ait une crise majeure en Chine pour que tous ces chiffres volent en éclats, j’en ai conscience, donc je les donne avec beaucoup de prudence », a-t-il néanmoins prévenu.

Cette prudence est d’autant plus nécessaire qu’on ne connaît pas encore les effets de la terrible angoisse concernant l’évolution du pouvoir d’achat par rapport à l’envol exceptionnel de l’inflation. La problématique socio-économique pourrait aussi s’articuler avec une problématique politique d’autant que le pouvoir ne tient pas la majorité au Parlement.

La première ministre britannique déjà éjectée !

La première ministre britannique déjà éjectée !

Il n’aura fallu que quelques semaines à la nouvelle première ministre britannique pour se discréditer aussi bien dans l’opinion que dans la classe politique. Finalement, elle a fait du Boris Johnson en annonçant une chose mais en faisant le contraire. Grâce à ses discours particulièrement irresponsables et démagogiques, elle est parvenue à arracher ce poste à Boris Johnson que certains regrettent déjà ! On objectera évidemment que c’est la pratique habituelle pour se faire élire dans nombre de pays mais le revirement aussi brutal que ridicule de la première ministre la rend encore plus détestable que Boris Johnson lui-même.

La vérité c’est que la Grande-Bretagne ne cesse de s’enfoncer dans la crise et que le prétexte du brexit est illusoire. La première ministre avait promis l’allégement de la fiscalité mais elle est contrainte de la renforcer devant la pression des marchés financiers . Du coup le ministre des finances a été évincé.L’objectif pour la première ministre était de sauver son poste. Peine perdue, le parti conservateur en pleine dérive lui a intimé de démissionner.

Un parti conservateur lui aussi idéologiquement en pleine perdition est sous l’emprise d’arriviste qui n’ont en réalité aucune conviction. Après le brexit , la Grande-Bretagne qui se voyait déjà comme le Singapour de l’Europe se retrouve complètement isolé non seulement de cette Europe mais du reste du monde qui ne considère désormais la péninsule britannique que comme un territoire secondaire. La Grande-Bretagne connaît évidemment une crise énergétique mais dont le coût est particulier puisqu’il atteint en moyenne 5500 € par ménage. La dérive des prix dépasse les 10 %, les perspectives de croissance pour 2023 sont catastrophiques et la livre est soumise à de très fortes pressions de la part des marchés financiers.

Des objectifs hypothétiques du ministre des finances

Des objectifs hypothétiques du ministre des finances

Bruno Le Maire, Le ministre des finances, fixe un objectif d’inflation de 4 % en France en 2023 et de 2 % en 2024. Des objectifs tout à fait hypothétiques en regard de l’environnement économique mondial. Il y a d’abord la crise énergétique qui va perdurer et même s’installer de façon structurelle en particulier en Europe qui avait l’habitude d’importer gaz et pétrole.

Par ailleurs,’inflation est aussi nourrie par la restructuration de l’appareil de production et la logistique. Un phénomène également structurel est sans doute souhaitable pour ne pas dépendre totalement de l’étranger mais qui renchérit les produits.

De fortes interrogations pèsent aussi désormais sur la structure économique en Chine où la croissance est en train de s’écrouler du fait du net ralentissement intérieur mais aussi de la demande extérieure ; celle-ci dépendant de la restructuration évoquée.

Il faudrait aussi prendre en compte les conséquences géo politiques difficilement prévisibles comme par exemple cette guerre de la Russie avec l’Ukraine qui a entraîné une grave crise sur toutes les énergies y comprit l’électricité.

Pour se dédouaner par avance de ces risques le ministre de l’économie a prit la précaution de relativiser ses objectifs.

. « Sur l’inflation, je vous donne des objectifs et ce ne sont que des objectifs, pas des prévisions, nos objectifs seraient de ramener l’inflation à 5 % au début de l’année 2023 puis 4 à la fin de l’année 2023, puis 2 dans le courant de l’année 2024 », a déclaré Bruno Le Maire, jeudi 20 septembre, à l’occasion d’un débat organisé par le cabinet ARC portant sur la protection des entreprises. Des propos rapportés par France 24.

« Je ne sais pas si nous les atteindrons, il suffit que la crise dégénère en Ukraine pour que tous ces chiffres volent en éclats, il suffit qu’il y ait une crise majeure en Chine pour que tous ces chiffres volent en éclats, j’en ai conscience, donc je les donne avec beaucoup de prudence », a-t-il néanmoins prévenu.

Cette prudence est d’autant plus nécessaire qu’on ne connaît pas encore les effets de la terrible angoisse concernant l’évolution du pouvoir d’achat par rapport à l’envol exceptionnel de l’inflation. La problématique socio-économique pourrait aussi s’articuler avec une problématique politique d’autant que le pouvoir ne tient pas la majorité au Parlement.

La première ministre britannique déjà en sursis !

La première ministre britannique déjà en sursis !

Il n’aura fallu que quelques semaines à la nouvelle première ministre britannique pour se discréditer aussi bien dans l’opinion que dans la classe politique. Finalement, elle a fait du Boris Johnson en annonçant une chose mais en faisant le contraire. Grâce à ses discours particulièrement irresponsables et démagogiques, elle est parvenue à arracher ce poste à Boris Johnson que certains regrettent déjà ! On objectera évidemment que c’est la pratique habituelle pour se faire élire dans nombre de pays mais le revirement aussi brutal que ridicule de la première ministre la rend encore plus détestable que Boris Johnson lui-même.

La vérité c’est que la Grande-Bretagne ne cesse de s’enfoncer dans la crise et que le prétexte du brexit est illusoire. La première ministre avait promis l’allégement de la fiscalité mais elle est contrainte de la renforcer devant la pression des marchés financiers . Du coup le ministre des finances a été évincé.

Pour The Times, le constat est clair : « Truss se bat pour sa survie ».

L’édition du week-end du FT se concentre, elle, sur le sacrifice de Kwarteng, avec le titre : « Truss limoge Kwarteng dans le but de sauver le poste de premier ministre ». Le commentateur politique Robert Shrimsley demande ostensiblement « à quoi sert Liz Truss maintenant » compte tenu des revirements politiques, ajoutant que ses députés ne lui font plus confiance.

Liz Truss, Première ministre britannique championne de l’impopularité internationale

Liz Truss, Première ministre britannique championne de l’impopularité internationale

D’aprèsl’enquête d’opinion réalisée par la firme américaine Morning Consult, Liz Truss, Première ministre britannique est championne de l’impopularité internationale.

Il est vrai qu’elle a réussi l’exploit de se contredire à peu près sur tous les sujets en quelques jours dépassant en cela les contradictions de Boris Johnson lui-même. Notons que cette première place pourrait lui être disputée par Poutine mais ce dernier n’a pas été sondé.
.
Avec un taux d’approbation de seulement 19% et un solde négatif de 47 points entre les appréciations favorables et défavorables dans l’enquête d’opinion réalisée par la firme américaine Morning Consult, elle figure en queue de peloton du hit-parade des grands dirigeants étrangers. Elle est devancée par le chancelier autrichien Karl Nehammer (22%, -46 points) et son homologue tchèque Petr Fiala (26% , -42 points). Emmanuel Macron (31%, -31 points) figure au treizième rang d’un hit-parade mené par l’Indien Narendra Modi (75%, +55 points), le Mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador (66%, +39 points) et l’Australien Anthony Albanese (58%, +29 points). Vladimir Poutine ne figure pas dans le tableau alors que le président des Etats-Unis, Joe Biden, est septième avec 43% d’appréciations positives et un solde négatif de 7 points.

Taux d’approbation

Narendra Modi (India)
75%

Andrés Manuel López Obrador (Mexico)
66%

Anthony Albanese (Australia)
58%

Magdalena Andersson (Sweden)
54%

Mario Draghi (Italy)
54%

Ignazio Cassis (Switzerland)
49%

Joe Biden (United States)
43%

Micheál Martin (Ireland)
40%

Jair Bolsonaro (Brazil)
42%

Justin Trudeau (Canada)
40%

Alexander De Croo (Belgium)
34%

Pedro Sánchez (Spain)
32%

Emmanuel Macron (France)
31%

Fumio Kishida (Japan)
28%

Olaf Scholz (Germany)
28%

Jonas Gahr Støre (Norway)
27%

Mateusz Morawiecki (Poland)
26%

Petr Fiala (Czech Republic)
26%

Karl Nehammer (Austria)
22%

Liz Truss (United Kingdom)
19%

Christophe Béchu, un ministre écologique transparent

Christophe Béchu, un ministre écologique transparent

Christophe bechu , officiellement ministre de l’écologie se caractérise par une transparence et une discrétion sans doute à la hauteur de la sensibilité du gouvernement aux questions environnementales. L’intéressé d’ailleurs avant d’être nommé ministre n’avait pas marqué le moindre intérêt pour la problématique environnementale. Le « M. Environnement » du gouvernement a brillé par sa discrétion cet été. S’il reconnaît en privé avoir raté son entrée, l’ancien maire d’Angers assure qu’il étudie les dossiers ! ( Angers, Ville autrefois de la douceur de vivre mais qui se transforme progressivement en grands centre national de drogue et de violence du fait notamment de l’inaction de Béchu davantage préoccupé de ses ambitions politiques que de l’intérêt général)

( portait dans un papier du « Monde ») .

Il a cessé de compter les jours. Voilà un peu plus de deux mois que Christophe Béchu occupe son grand bureau de l’hôtel de Roquelaure, avec pour seule fantaisie au milieu d’un décor suranné un tableau blanc dessinant la baisse, espérée, des émissions de CO2. Etre ministre, il en rêvait. Mais les jours s’égrainent et le doute persiste. Est-il à sa place au ministère de la transition écologique ? La planète brûle et tout le monde le regarde. Lui, l’homme de droite dont ses confrères saluent l’élégance, mais ignorent tout des convictions écologiques.

L’ancien maire d’Angers, pas encore quinquagénaire, a, il est vrai, été projeté dans l’environnement un peu par accident. D’abord nommé en mai ministre délégué chargé des collectivités territoriales, le secrétaire général du parti d’Edouard Philippe, Horizons, prend, le 4 juillet, la place échue à Amélie de Montchalin, défaite lors des législatives.
Les philippistes avaient ronchonné, estimant leur parti à l’étroit dans un petit ministère. Ils allaient être servis avec ce poste titanesque, chapeautant les collectivités territoriales, les transports, le logement, la ruralité et la biodiversité. Christophe Béchu, l’ambitieux qui, au dire de ses proches, trépignait depuis 2017 pour en être, entrait dans le cœur du réacteur avec pour seule légitimité son habileté politique et la gestion de sa ville, « où il fait bon vivre » et parmi les plus vertes de France.
Absent, « aux fraises », les quolibets fusent

Face à l’ampleur de la tâche, le vertige l’avait saisi, nous avait-il confié au milieu de l’été. Le voici plus serein. Lorsque nous le rencontrons, en ce week-end de mi-septembre, l’ex-sénateur assure « regarder devant ». Lundi 26 septembre a été présenté en conseil des ministres le projet de loi sur les énergies renouvelables, que gérera la ministre de la transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher. Puis viendront les dossiers du logement, des transports… Son heure arrive, comme une seconde chance. L’ancien élu local l’admet. Il a raté son entrée.
Devant les cinq ministres et secrétaires d’Etat dont il a la tutelle, il aurait confié lors d’une de leurs réunions hebdomadaires, résigné : « Vous avez vu ? On dit que “je n’imprime pas.” » Absent, « aux fraises », les quolibets fusent, y compris au sein du gouvernement, où l’on évoque un « sujet Béchu ».
Tout est allé trop vite. Sa prise de fonctions coïncide avec une prise de conscience généralisée. Les canicules se répètent, une sécheresse historique tarit les cours d’eau, les mégafeux dévorent les forêts de Gironde, d’Ardèche et même du Finistère. Presque une aubaine pour un « M. Environnement ». « Le ¬climatoscepticisme est beaucoup moins présent qu’il ne l’était il y a quelques années sur les plateaux de télévision. Mais le sentiment d’urgence n’était peut-être pas aussi partagé avant cet été », constate-t-il. Pourtant, rien. Ou si peu.

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