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Venezuela : Maduro augmente le salaire minimum de 50%

Venezuela : Maduro augmente le salaire minimum de 50%

En prise à une grave crise à la fois économique et démocratique, le président vénézuélien Nicolas Maduro promet une nouvelle augmentation de 50% du salaire minimum, à 97.351 bolivars (37 dollars au taux officiel, soit 32 euros). Une augmentation toutefois dérisoire dans la mesure où l’inflation devrait atteindre plus de 700 % en 2017. De quoi refroidir l’enthousiasme de Mélenchon qui avait fait de ce pays l’un de ses modèles politiques déclarant même : « c’est l’idéal inépuisable de l’espérance humaniste de la révolution». Une espérance qui a déjà fait plus de 80 mœurs chez les manifestants qui veulent le départ chef d’État du Venezuela.  La devise vénézuélienne a perdu 99,7% de sa valeur depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Maduro, en avril 2013, après la mort de son mentor, Hugo Chavez. Mille dollars achetés en bolivars à cette époque n’en vaudraient aujourd’hui que trois. La constante dépréciation du bolivar signifie que ce nouveau salaire minimum est en fait en recul de 17%, rapporté en devises étrangères, par rapport à la dernière hausse survenue en mai. En plein marasme économique, le Venezuela connait depuis avril des troubles et violences politiques qui ont fait plus de 80 morts. Le président Maduro, que l’opposition juge incompétent et autocratique, accuse les Etats-Unis de soutenir ses opposants dans l’objectif de contrôler les richesses pétrolières du pays. Pour Asdrubal Oliveros, économiste, cette nouvelle augmentation du salaire minimum pourrait même alimenter encore l’inflation, réduire le pouvoir d’achat effectif des Vénézuéliens et faire augmenter encore le chômage.

Soutien Fillon : comme Sarkozy, Juppé fait le service minimum

Soutien Fillon : comme Sarkozy, Juppé fait le service minimum

 

 

Juppé a accepté une photo Chez Deezer en présence de Fillon mais avec beaucoup de réticence (comme précédemment Sarkozy).et avec des conditions.  . «Je ne soutiendrai pas un gouvernement dont la ligne serait dictée par Sens commun. C’est simple, je serai dans l’opposition», aurait même lâché Alain Juppé, selon des propos rapportés le jour même dans Le Canard enchaîné. «Écoutez de la musique, ça vous apaisera», préfère éluder Alain Juppé, sans cesse invité à commenter cette phrase. Avant de sévir: «Si je répondais à tous les ragots qui circulent dans les médias, on ne serait pas couché!». Nathalie Kosciusko-Morizet, pas rancunière après avoir été sifflée au meeting de Fillon s’efforce de jouer l’unité de façade et  loue «ce message de rassemblement en cette fin de campagne». «Il y a eu un message de Nicolas Sarkozy (mardi soir, NDLR), aujourd’hui il y a cette visite conjointe avec Alain Juppé. C’est important», plaide l’ancienne candidate à la primaire. . Initialement, c’est dans son école de codeurs informatiques, «l’école 42» de Xavier Niel, le patron de Free  que la poignée de mains Fillon-Juppé aurait dû avoir lieu. Un déplacement annulé à la dernière minute. Quelques élèves auraient exprimé leur souhait de faire apparaître la photo de Penelope Fillon sur tous les écrans de l’établissement. «J’adorerais que nos élèves soient aussi révolutionnaires que les gens le disent. Donc continuez de propager cette info, mais je crois que c’est surtout un vrai problème de sécurité», nuance Xavier Niel. Des salariés de Deezer ont pris le relais: quelques ordinateurs affichent le message «Rends l’argent»… Cernés par les journalistes, les deux responsables politiques n’ont, semble-t-il, rien vu. Alors que François Fillon est persuadé d’accéder le second tour, Alain Juppé laisse entendre que ce n’est pas gagné. Devant un tableau qui précise l’organisation des équipes de Deezer, il observe haut et fort: «La colonne “to do” est plus longue que la colonne “done”. Il y a du boulot».

Présidentielle: Sarkozy, Juppé et Le Maire, service minimum pour Fillon

Présidentielle: Sarkozy, Juppé et Le Maire, service minimum pour Fillon  

 

Les principaux responsables des Républicains font vraiment le service minimum pour soutenir Fillon. Sarko s’est seulement fendu d’un communiqué ambigu.  Aux yeux de l’ancien chef de l’Etat, « le rassemblement au service d’une alternance franche et crédible est donc « un devoir pour chacun de ceux qui partagent nos valeurs ». « Il n’y a plus de place pour les hésitations ou les états d’âme. François Fillon est le seul parmi les candidats à avoir l’expérience qui lui permettra d’incarner et de réussir l’alternance dont la France a tant besoin », insiste-t-il dans une allusion implicite à la mise en examen du candidat de la droite dans le cadre des emplois présumés fictifs de sa famille. Le maire de Bordeaux a de son coté apporté un soutien timide à la candidature de François Fillon. Il juge que l’ancien Premier ministre a « l’expérience » pour diriger la France. « Le monde est dans la tourmente, la France a besoin d’un Président expérimenté. François Fillon a cette expérience. Je lui confirme mon soutien », a écrit sur Twitter le finaliste malheureux de la primaire à droite.  Le maire de Bordeaux, qui vante la stature internationale de François Fillon, a pourtant de nombreuses divergences avec le député de Paris.   Après l’attaque chimique menée contre la ville syrienne de Khan Cheikhoun, Alain Juppé avait fustigé sur Twitter « les tenants de la ‘realpolitik’ », qui jugent Bachar el-Assad « fréquentable ».   Une allusion à peine voilée à Marine Le Pen et François Fillon, qui prônent un rapprochement avec la Russie, protecteur du régime syrien. Enfin Bruno Lemaire se rallie sans enthousiasme à Fillon et avec des réserves. . Bruno Le Maire «continue à croire» que le projet de François Fillon est «le mieux à même de redresser la France». «Il ne doit surtout pas être édulcoré!», demande-t-il. Selon lui, François Fillon est en mesure de se qualifier pour le second tour. Mais il met en garde contre le «risque de bunkerisation de la droite». «La droite doit parler à toute la société, pas à des clientèles. Elle doit être un espoir, pas une punition. Elle doit se tourner davantage vers les jeunes générations», préconise Bruno Le Maire, regrettant qu’«à peine plus de 10% des électeurs de 25 ans (veuillent) voter» pour son camp.

 

Le coût automobile : 15% du budget et un minimum d’environ 50 centimes du km

Le coût  automobile : 15% du budget et un minimum d’environ 50 centimes du km

 

 

 

 

Il est coutume de ne retenir souvent que le prix du carburant pour apprécier le coût d’un déplacement en automobile. Il faut évidemment prendre en compte tous les coûts notamment l’amortissement, l’entretien, assurance. Les sommes consacrées à automobile sont très importantes : 15% du budget des ménages, en moyenne c’est 3500 euros par an. Mais il y a beaucoup de dispersion autour de cette moyenne en fonction des types de véhicules. Une étude de l’Argus, qui compile ce que coûtent 1500 modèles vendus en France pour chaque kilomètre parcouru, peut se révéler précieuse pour choisir sa nouvelle voiture.  La Dacia Sandero reste championne toutes catégories des voitures les moins chères à l’usage. Son prix de revient kilométrique (PRK) passe de 0,53 €/km à 0,47 € en 2017. La Suzuki Celerio et sa grande sœur la Dacia Logan sont également en tête du classement. Un véhicule très compétitif qui s’explique, selon le magazine, par les crédits-auto très bas. En outre, ces véhicules consomment toujours moins de carburant et les prix à la pompe restent relativement bas en 2016.A l’inverse, le BMW Série 5 Gran Turismo est le véhicule le plus cher à l’utilisation. Pour 15.000 km parcourus, il coûte 5,02 euros par kilomètre durant la première année de sa détention. Cela s’explique par son prix d’achat élevé dans sa catégorie et son moteur à essence gourmand, combinés à sa faible valeur de revente. Autre enseignement de cette étude, les véhicules à essence reviennent en grâce aux yeux des acheteurs au détriment du diesel. Si les véhicules diesel représentent encore 52,1 % des ventes en 2016, les ventes sont en baisse de 5,1%. «Le scandale du diesel a provoqué une véritable prise de conscience des acheteurs. Mais pas seulement. Les nouvelles motorisations à essence ont aussi gagné en sobriété, réduisant ainsi l’écart avec les blocs diesels», expliquent les auteurs de l’étude. Enfin, les voitures d’occasion qui roulent au diesel ne se revendent plus aussi bien qu’avant. Si un diesel consomme toujours moins qu’un moteur à essence, sa rentabilité ne se calcule pas seulement en fonction du prix à la pompe. L’amortissement d’un diesel dépend surtout du kilométrage annuel parcouru. En deçà de 20.000 km annuels, il ne présente plus de véritable avantage financier par rapport à un véhicule équipé d’une motorisation à essence de dernière génération, moins énergivore. En revanche, la question est tout autre pour les gros véhicules et les automobilistes qui roulent plus de 25.000 km par an.

Des prix minimum pour les producteurs agricoles et les éleveurs

Des prix minimum pour les producteurs agricoles et les éleveurs

 

Un propos quit ranche avec celui très hypocrite de Leclerc, celui  de Serge Papin, président-directeur général de Système U. Alors que le parton de Leclerc renvoie la question à uen hypothétique réforme des pouvoirs publics, le patron de U lui propose de façon plus conquête assurer un prix minimum pour les productions.  Encore faudrait-il que les intermédiaires (les transformateurs) ne se sucrent pas au passage comme en ce moment. Et  d’une  certaine manière la concentration des centrales d’achat pèsent aussi sur les prix à la baisse compte tenu de leur puissance d’achat. Dans cette affaire l’hypocrisie n’est uniquement chez Leclerc mais dans le système même de la grande distribution qui a tué la qualité au détriment du prix. « On a trouvé moyen pour que [le] prix minimum garanti soit versé directement dans un espace facturable. Nous irons jusqu’au bout », a indiqué Serge Papin, le PDG du réseau d’enseignes au micro de France Inter ce jeudi matin. Prenant l’exemple du porc, il a précisé que le prix minimum serait de 1,40 euro le kilo, contre en moyenne 1,35 euro au prix actuel du marché. Lequel est fixé par un système d’enchères électroniques sur un écran appelé le « cadran » à Plérin (Cotes d’Armor). Il faudrait pouvoir leur verser la différence, soit environ 5 centimes d’euros par kilo.   »Nous n’achetons pas directement au producteur », a-t-il toutefois rappelé. Entre les deux, ceux qu’ils désigne sous le nom de « transformateurs » négocient les prix avec les centrales d’achat. Les rapprochement entre grandes enseignes au sein de quatre grandes centrales ont contribué à tendre encore plus les relations entre les acteurs de ces filières. « Nous sommes obligés de passer outre le prix des transformateurs pour que nous soyons surs que les agriculteurs touchent en effet » les sommes supplémentaires, a précisé Serge Papin tout en affirmant qu’il ne souhaitait pas désigner de « coupables » mais qu’il essayait de « trouver une solution ». Il a pourtant également pointé du doigt la concurrence de l’agriculture allemande et le contexte réglementaire européen qu’il juge défavorable aux productions françaises pour expliquer ces prix très bas qui affectent également producteurs de lait et de boeuf, Serge Papin. « 

Salaires minimum en Europe : de 184 à 1923 euros

Salaires minimum en Europe : de 184 à 1923 euros

 

L’harmonisation sociale en Europe ce n’est pas pour demain.Pour l’instanat l’Europe se limite à uen vaste zone de libre échange et dans cette compétitivité, le salaire ( ici le salaire minimum joue notamment  un rôle.  Le salaire minimum de tous les pays d’Europe a augmenté depuis 2008, à l’exception de celui de la Grèce, indique jeudi Eurostat. Après élimination des différences de niveau des prix, cette baisse est de 12%. Le salaire minimum est resté inchangé en Irlande, précise également l’office européen des statistiques.  Les hausses les plus importantes entre 2008 et 2015 ont été enregistrées en Roumanie (+95%), en Bulgarie (+64%), en Slovaquie (+58%) et en Lettonie (+57%), des pays où le salaire minimum est inférieur à 400 euros par mois.  La publication de ces statistiques survient alors que le débat sur le salaire minimum a été relancé en Europe, avec la volonté de la Grèce de le relever. Le gouvernement de gauche radicale d’Alexis Tsipras veut le reporter à 751 euros, le niveau qu’il avait atteint avant d’être réduit à 580 euros sous pression des créanciers du pays. Mais certains ministres des Finances de la zone euro sont contre, reprochant à la Grèce d’avoir un salaire minimum plus élevé que des pays n’étant pas sous perfusion financière.  Au sein de l’UE, le pays avec le salaire minimum le plus bas est la Bulgarie (184 euros). A l’opposé, le Luxembourg offre un salaire minimum de 1.923 euros, soit un ratio de 1 à 10. En France, le Smic est actuellement de 1.458 euros, contre 1.280 euros en 2008.  Toutefois, après ajustement des disparités de pouvoir d’achat, l’écart entre les États membres se réduit à 1 à 4, souligne Eurostat. (d’après  AFP- BFM)

 

 

 

 

Allemagne : un salaire très minimum

Allemagne : un salaire très minimum

 

C’est vraiment pour faire plaisir aux socio démocrates que Merkel a consenti à créer un salaire minimum. Mais un salaire très minimum de 8.50 euros  brut (9.61 en France au premier janvier) mais aussi parce qu’il ne s’appliquera pas à tous les salariés. Il faut en effet observer que si globalement certains salaires ont augmenté en Allemagne parallèlement des salaires de 3 ou 4 euros par heures demeurent dans certains postes occupés surtout par des travailleurs de l’Est (exemple Bulgares et roumains dans les abattoirs ou lagriculture).  Le salaire minimum  l ne vaudra toutefois vraiment pour tous qu’à partir de 2017 et exclura certaines catégories d’actifs.  La loi votée début juillet par le Parlement allemand fixe son entrée en vigueur au 1er janvier 2015. Une période de transition est prévue pour les secteurs qui sont encore sous le coup d’un accord salarial négocié entre partenaires sociaux. Au 1er janvier 2017, le salaire minimum sera étendu à tous.  Le ministère du Travail assure qu’il gonflera la paie de quelque 3,7 millions de personnes au 1er janvier 2015, et un million de plus au 1er janvier 2017 -sur quelque 39 millions de salariés et une population active de 42 millions de personnes (incluant indépendants et professions libérales).  Le gouvernement a opté pour un même montant sur tout le territoire, qui correspond à un salaire mensuel de 1.473 euros brut pour une personne travaillant 40 heures par semaine.  Au terme d’un âpre marchandage politique, il a toutefois introduit plusieurs exceptions. Les moins de 18 ans sans qualification sont exclus, pour ne pas créer d’incitation à entrer sur le marché du travail au lieu de commencer un apprentissage ou des études. Les apprentis en formation ne peuvent également pas y prétendre. Les stagiaires non plus, si leur stage est inférieur à trois mois et s’il est obligatoire dans le cadre d’une formation professionnelle ou universitaire. La ministre de l’Emploi Andrea Nahles veut mettre fin à l’enchaînement de stages pas ou mal payés, lot de beaucoup de débutants sur le marché du travail. Les chômeurs de longue durée (au chômage depuis plus d’un an) pendant les six mois suivant leur embauche n’y ont pas droit non plus, pour favoriser leur réinsertion sur le marché du travail. Les saisonniers percevront le salaire minimum, mais les agriculteurs ont obtenu sur la dernière ligne droite de pouvoir en déduire le gîte et le couvert. Les livreurs de journaux pourront percevoir en 2015 jusqu’à 25% de moins que le salaire minimum, en 2016 15% de moins, et toucheront 8,50 euros en 2017, même si le salaire plancher légal est supérieur à cette date.  Une commission de neuf personnes (représentants du patronat, des syndicats, économistes), examinera tous les deux ans une éventuelle réévaluation. Le premier examen aura lieu en 2016, pour un ajustement possible au 1er janvier 2017. Les effectifs des douanes, en charge des contrôles sur le marché du travail, seront étoffés, avec la création de 1.600 nouveaux postes. La loi prévoit aussi que soit engagée la responsabilité des entreprises qui font appel à des sous-traitants qui eux-mêmes enfreignent les règles du salaire minimum. « Un entrepreneur ne pourra pas dire ça m’est égal ce que font mes sous-traitants », a dit la ministre.

 

Climat : un accord vraiment au minimum

Climat :  un accord vraiment au minimum

 

L’accord est tellement flou que les médias ont du mal à en rendre compte. En réalité il n’ya pas eu vraiment accord sur les engagements mais seulement sur une méthodologie, une nuance de taille. En cause toujours l’ affrontement entre pays du sud qui refusent trop effort demandés par les pays du nord qui ne se ont pas privés de polluer pendant des dizaines d’années, auusi les compensations financières ( exemple reboisement). Les pays négociant sous l’égide de l’ONU en vue d’un pacte multilatéral en 2015 pour limiter le réchauffement climatique ont conclu ce dimanche à Lima un accord sur leurs futurs engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre, a annoncé le ministre péruvien de l’Environnement Manuel Pulgar-Vidal.  Un projet de texte, qui servira de document de base aux négociations préalables au sommet de Paris sur le climat fin 2015, a également été adopté à l’issue de deux semaines de pourparlers intenses, a-t-il précisé. La conférence de l’Onu sur le climat, 20e conférence des parties ou COP20, qui aurait dû s’achever vendredi, a été prolongée de plus de 30 heures en raison d’un clivage entre pays du Nord et du Sud. Aboutir à un accord sur le format des engagements, ou contributions nationales, que les pays prendront courant 2015 pour réduire leurs émissions était l’un des objectifs du rendez-vous de Lima. Le format des contributions concerne notamment l’année de référence, la période d’engagement, le plan d’action, les secteurs concernés, la méthodologie retenue. Les engagements doivent permettre une baisse globale des émissions de 40 à 70 % d’ici à 2050 : une nécessité absolue pour parvenir à limiter à 2°C la hausse de la température de la planète. Le secrétariat de la Convention de l’Onu sur le climat sera chargé de préparer pour le 1er novembre 2015 une synthèse de l’ensemble des contributions, afin de vérifier qu’elles permettront de tenir l’objectif des 2°C.

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\n\u00c0 la une du Point.fr\n\n

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Serge Lazarevic sur France 2 : ce qu'il faut retenir\n\n