Archive pour le Tag 'minimise'

Ukraine: La Russie minimise ses pertes d’après Prigojine (Wagner)

Ukraine: La Russie minimise ses pertes d’après Prigojine (Wagner)

Alors que Poutine ne cesse de rassurer sa population en affirmant qu’en dépit de la contre-attaque ukrainienne l’armée tient solidement ses positions, le patron de Wagner lui dément le Kremlin en constatant les lourdes pertes russes. « L’ennemi occupe Piatykhaty, le nord de Robotyné, et Urojaïné, ce qui veut dire que de grands pans de territoire ont été perdus (au profit de) l’ennemi », a déploré Evgueni Prigojine dans un enregistrement audio publié sur Telegram. Après quelques semaines de contre-offensive des troupes de Kiev, « (celle-ci) engendre de notre côté de sérieuses pertes et des problèmes qui sont étouffés, que les Russes ne savent pas », a-t-il dénoncé, pointant du doigt la hiérarchie militaire avec qui il est en conflit ouvert depuis plusieurs mois.

« Tout cela est complètement caché à tout le monde. Un jour la Russie se réveillera et s’apercevra que la Crimée est ukrainienne. C’est une trahison directe des intérêts de la Fédération de Russie », a cinglé Evgueni Prigojine.

« Tout ce que fait le commandement de l »opération militaire spéciale’ aujourd’hui, c’est cacher les faits pour rendre à Moscou des beaux rapports » et « tromper le peuple russe », a encore raillé l’homme d’affaires dont les hommes de Wagner combattent en première ligne, notamment dans l’Est ukrainien, au prix de lourdes pertes.

Dans la zone de Sadové, juste au nord de Tokmak dans la région de Zaporijia (sud), « il n’y a pas de commandement, pas d’armes, pas de munitions », a-t-il appuyé dans cette nouvelle critique violente.
Kiev a fait état à ce stade de huit localités reprises aux mains des Russes, tandis que Moscou se borne à dire que son armée repousse inlassablement toutes les attaques ukrainiennes.

« Si l’ennemi atteint Molotchniï Lyman, alors tous les territoires pris pendant l »opération militaire spéciale’ retourneront à l’ennemi », a enfin averti Evgueni Prigojine, évoquant là un scénario catastrophe pour la Russie dont l’objectif affiché reste de conquérir l’ensemble du Donbass et de consolider ses territoires conquis dans le Sud.

La Russie minimise ses pertes d’après Prigojine (Wagner)

La Russie minimise ses pertes d’après Prigojine (Wagner)

Alors que Poutine ne cesse de rassurer sa population en affirmant qu’en dépit de la contre-attaque ukrainienne l’armée tient solidement ses positions, le patron de Wagner lui dément le Kremlin en constatant les lourdes pertes russes. « L’ennemi occupe Piatykhaty, le nord de Robotyné, et Urojaïné, ce qui veut dire que de grands pans de territoire ont été perdus (au profit de) l’ennemi », a déploré Evgueni Prigojine dans un enregistrement audio publié sur Telegram. Après quelques semaines de contre-offensive des troupes de Kiev, « (celle-ci) engendre de notre côté de sérieuses pertes et des problèmes qui sont étouffés, que les Russes ne savent pas », a-t-il dénoncé, pointant du doigt la hiérarchie militaire avec qui il est en conflit ouvert depuis plusieurs mois.

« Tout cela est complètement caché à tout le monde. Un jour la Russie se réveillera et s’apercevra que la Crimée est ukrainienne. C’est une trahison directe des intérêts de la Fédération de Russie », a cinglé Evgueni Prigojine.

« Tout ce que fait le commandement de l »opération militaire spéciale’ aujourd’hui, c’est cacher les faits pour rendre à Moscou des beaux rapports » et « tromper le peuple russe », a encore raillé l’homme d’affaires dont les hommes de Wagner combattent en première ligne, notamment dans l’Est ukrainien, au prix de lourdes pertes.

Dans la zone de Sadové, juste au nord de Tokmak dans la région de Zaporijia (sud), « il n’y a pas de commandement, pas d’armes, pas de munitions », a-t-il appuyé dans cette nouvelle critique violente.
Kiev a fait état à ce stade de huit localités reprises aux mains des Russes, tandis que Moscou se borne à dire que son armée repousse inlassablement toutes les attaques ukrainiennes.

« Si l’ennemi atteint Molotchniï Lyman, alors tous les territoires pris pendant l »opération militaire spéciale’ retourneront à l’ennemi », a enfin averti Evgueni Prigojine, évoquant là un scénario catastrophe pour la Russie dont l’objectif affiché reste de conquérir l’ensemble du Donbass et de consolider ses territoires conquis dans le Sud.

Sondage réforme des Retraites : le Figaro minimise l’opposition de l’opinion !

Sondage réforme des Retraites : le Figaro minimise l’opposition de l’opinion !

Contrairement aux récents sondages BFM qui constatent l’opposition croissante des Français qui sont 72 % contre le projet de réforme, le sondage au Doxa du Figaro constate au contraire une baisse du soutien. Au projet de réforme
Selon le dernier sondage Odoxa Backbone consulting, 63% des Français soutiennent la mobilisation, contre 66% la semaine dernière !

Exactement le contraire de la dynamique constatée par l’institut Elabe pour BFM.
Une différence qui s’explique facilement par le soutien de la plupart des papiers du Figaro à la réforme de

D’après le Figaro, le soutien apporté à la manifestation du 31 janvier s’effrite légèrement, pour atteindre 63% des sondés. Le niveau reste toutefois majoritaire, et même «très élevé», note quand même l’institut.

On observera que la plupart des grands dirigés par les grands financiers où le gouvernement sont globalement favorables à la réforme.

Or les prises de position des pseudos élites sont évidemment très sectaires et forcément sans nuance. En effet le vrai problème n’est pas celui de la nécessité ou non d’une réforme des retraites. Une grande partie de l’opinion est bien consciente que compte tenu des évolutions démographiques de nouveaux équilibres financiers doivent être trouvées pour assurer la pérennité du système. Or Macon contrairement à ses engagements à renoncer à une réforme universelle qui remettrait tout le système à plat. La fameuse retraite. Qui devait s’appliquer de la même manière à tous les retraités.( Réforme dite systémique). Par ce qu’on reproche surtout à la réforme actuelle c’est son caractère injuste puisque notamment il permet l’application de règles différentes entre le secteur privé et le secteur public et fait surtout pesait les efforts entreprendre sur les moins favorisés et ce dans les conditions de travail ont été les plus difficiles ou les plus pénibles.

La Banque de France minimise les conséquences de la crise économique

La Banque de France minimise les conséquences de la crise économique

 

 

Comme le plus souvent, la Banque de France minimise les conséquences de la crise en Ukraine et de l’envolée de l’inflation en France. Pour schématiser la Banque de France envisage une perte de croissance de 1 % seulement. Au lieu des 4 % espérés,on serait autour de 3% .

En fait,  il ne s’agit  pas vraiment de prévisions mais plutôt de scénarios qui pourraient être loin de la vérité. Le premier scénario, dit « conventionnel », qui prend pour hypothèse un prix du baril de brent à 93 dollars en moyenne sur l’année et un prix du mégawattheure de gaz de 102 euros, table sur une croissance du PIB en moyenne annuelle de 3,4 % en 2022. Le second, dit « dégradé », avec un prix moyen du baril de brent à 119 dollars et un prix du gaz à 181 euros, affiche une croissance de 2,8 % sur l’année.

La vérité sans doute c’est que la croissance va surtout être affectée par l’envol de l’inflation qui pourrait dépasser 5 %. Un scénario que minimise la Banque de France pour n’avoir pas à recommander une réévaluation des revenus notamment des salaires, des pensions et de l’épargne.Au-delà de la croissance, l’inflation va, elle, grimper en 2022. Dans le meilleur des cas, elle devrait avoisiner les 3,7 % en moyenne sur l’année et, dans le pire, 4,4 %.

Le seul problème c’est que ces perspectives d’inflation ne tiennent pas compte d’une part de la hausse des prix déjà enregistrés aussi bien pour les produits industriels que pour l’alimentation. Des perspectives qui ne tiennent pas compte du faite que les dépenses carburant et chauffage risque d’augmenter de près de 50 % !

 

Il ne s’agit donc pas de projections ou de prospective mais de scénarios qui régulièrement seront révisés à la hausse pour l’inflation et la croissance.

Grande Bretagne : Cameron minimise la perte du triple A

Grande Bretagne : Cameron minimise la perte du triple A

 

Le Premier ministre britannique, David Cameron, qui sait que son pays va perdre son triple A,  a déclaré que la crédibilité de sa politique de réduction des déficits était plus importante que le jugement des agences de notation. Ainsi après s’être glorifié de ce triple A, il en minimise désormais la portée. La Grande-Bretagne conserve pour l’instant la note suprême « triple A » auprès des trois grandes agences de notation alors que les Etats-Unis et la France ont subi des dégradations. Mais le statut de Londres semble de plus en plus fragile avec la détérioration des perspectives économiques, qui menace le Royaume-Uni de sa troisième récession depuis la crise financière. L’agence Fitch a annoncé le mois dernier qu’elle allait reconsidérer sa note en 2013 en soulignant que la remise en cause de l’objectif de réduction de la dette publique du gouvernement avait nui à la crédibilité de Londres. Signe de cette montée des tensions: vendredi, le coût de l’emprunt à dix ans britannique a brièvement dépassé celui de la France pour la première fois depuis 2011. Une perte du « triple A » constituerait un revers pour David Cameron et la coalition qu’il conduit, dont la réduction des déficits est l’un des chevaux de bataille. Sur la BBC dimanche, le chef du gouvernement a cependant déclaré que le jugement des marchés internationaux de la dette était plus important que celui des agences de notation. « Ce qui importe avant tout, c’est que l’on soit capable de payer ses dettes, de maintenir un taux d’intérêt bas sur ses dettes », a-t-il dit. « Les notes que l’on obtient sont extrêmement importantes mais d’une certaine manière, le véritable jugement, ce sont les taux d’intérêt que le reste du monde exige pour détenir votre dette. » David Cameron a ajouté que la politique de lutte contre les déficits de son gouvernement était capitale pour conserver la confiance des marchés. « On ne peut conserver des taux d’intérêt bas que si l’on dispose d’une stratégie crédible pour reprendre en main son déficit et reprendre en main sa dette », a-t-il dit. La faiblesse relative des coûts de financement de la Grande-Bretagne est due pour une bonne part à la politique menée par la Banque d’Angleterre (BoE), qui maintient son taux directeur à son plus bas historique et qui a surtout racheté pour 375 milliards de livres (305 milliards d’euros) de dettes sur les marchés.




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