Archive pour le Tag 'milliard'

Cryptomonnaies: Coinbase perd plus d’un milliard un trimestre !

Cryptomonnaies: Coinbase perd  plus d’un milliard un trimestre !

Nouvelle déconvenue avec les crytommonnaies et la principale bourse américaine spécialisée « Coinbase « qui accuse une perte de plus de 1 milliard sur un trimestre.

 La principale Bourse américaine de cryptos a réalisé une perte record de 1,1 milliard de dollars au deuxième trimestre. Il y a un an, elle affichait un bénéfice de 1,6 milliard. Le spectaculaire dégonflement de la bulle des actifs financiers 2.0 a fait chuter les valorisations et les volumes d’échanges.

Les revenus de la plateforme ont plongé de 61 % au dernier trimestre, à 808 millions de dollars, décevant les aQui accuse une perte de plus d’un milliard sur un trimestre.nalystes de marché qui tablaient sur une activité plus importante. Coinbase a également passé un montant record de dépréciations (446 millions de dollars) sur ses investissements dans le secteur des cryptos.

Le nombre d’utilisateurs a continué à se replier , à 9 millions par mois en moyenne au deuxième trimestre. En perte de vitesse par rapport à ses concurrentes, la société ne prévoit pas de retour à meilleure fortune dans l’immédiat. Elle estime que pour l’année complète, le nombre moyen d’utilisateurs mensuel devrait rester compris entre 7 et 9 millions.

Cryptos: Coinbase perd plus d’un milliard un trimestre !

Cryptos: Coinbase perd  plus d’un milliard un trimestre !

Nouvelle déconvenue avec les crytommonnaies et la principale bourse américaine spécialisée « Coinbase « qui accuse une perte de plus de 1 milliard sur un trimestre.

 La principale Bourse américaine de cryptos a réalisé une perte record de 1,1 milliard de dollars au deuxième trimestre. Il y a un an, elle affichait un bénéfice de 1,6 milliard. Le spectaculaire dégonflement de la bulle des actifs financiers 2.0 a fait chuter les valorisations et les volumes d’échanges.

Les revenus de la plateforme ont plongé de 61 % au dernier trimestre, à 808 millions de dollars, décevant les aQui accuse une perte de plus d’un milliard sur un trimestre.nalystes de marché qui tablaient sur une activité plus importante. Coinbase a également passé un montant record de dépréciations (446 millions de dollars) sur ses investissements dans le secteur des cryptos.

Le nombre d’utilisateurs a continué à se replier , à 9 millions par mois en moyenne au deuxième trimestre. En perte de vitesse par rapport à ses concurrentes, la société ne prévoit pas de retour à meilleure fortune dans l’immédiat. Elle estime que pour l’année complète, le nombre moyen d’utilisateurs mensuel devrait rester compris entre 7 et 9 millions.

Santé téléconsultation: une future économie d’un milliard ?

Santé téléconsultation: une future économie d’un milliard ?

Une étude de l’institut économique Molinari explique que le recours plus généralisé à la téléconsultation permettrait de générer une économie d’un milliard par an.

Aujourd’hui l’assurance-maladie  limite à à 20 % maximum la part de la téléconsultation dans l’activité des médecins. Pourquoi ? Personne ne le sait exactement. Peut-être pour des motifs médicaux  (nature des liens avec le patient) ou pour des motifs économiques.

Toujours est-il que cette évaluation est sans doute très approximative car il faudrait prendre en compte de façon plus massive le recours aux moyens de télé expertise qui vont se développer conjointement chez les médecins et chez les patients ( par le biais par exemple des applications de la 5G).. Aujourd’hui par exemple ,  des patients doivent presque systématiquement se rendre dans des cabinets de radiologie ou d’analyse qui se révèlent  très coûteux pour la sécurité sociale, pour les intéressés et pour l’ensemble de l’économie.

Ce sont sans doute des milliards qui sont en jeu bien avantagent que ce qu’indique l’institut économique Molinari d’autant que de nouvelles technologies utilisables à distance dont beaucoup aujourd’hui inconnu vont rendre possible les diagnostics.

Ainsi notamment le recours aux spécialistes pourrait être réduit d’autant si les généralistes pouvaient accéder à certains outils utilisables en télé consultation.

Rappelons que le budget de la Sécu tourne autour de 500 milliards, le plus gros budget de l’État. Une mine pour réaliser des économies et surtout pour permettre des diagnostics encore plus rapides et plus pertinents. De ce point de l’institut économique Molinari a raison de réclamer le déplafonnement du nombre de télés consultation.

«Plafonner les téléconsultations à 20 % de l’activité globale d’un médecin n’a pas de rationalité économique puisque la téléconsultation est un moyen qualitatif et économique de fournir des soins de santé», défend Cécile Philippe, présidente de l’Institut économique Molinari.

Le G7 et vaccin : une aumône d’un milliard de vaccins aux pauvres !

Le G7 et vaccin : une aumône d’un milliard de vaccins aux pauvres !

La démarche paraît particulièrement généreuse de la part des pays développés. En effet dans le cadre de l’organisation G7 qui réunit les pays riches, il a été décidé d’attribuer généreusement 1 milliard de vaccins aux pauvres quand il en faudrait 10 fois plus. En réalité une aumône. En effet il faut savoir que la population mondiale comprend 7,5 milliards d’habitants. Assez rapidement, il faudrait vacciner de l’ordre de 5 milliards d’habitants dans la plupart se trouve dans les pays pauvres. Cela nécessiterait de fournir 10 milliards de vaccins. Il faut en effet 2 doses pour assurer une certaine protection vaccinale. En outre va se poser des la rentrées le problème de la troisième dose pour ceux qui ont déjà été vaccinés. La plupart des laboratoires estime en effet que la vaccination va demeurer annuelle . Dernier élément et non des moindres la distribution de ces vaccins aux pauvres  sera étalée au moins jusqu’à l’été 2022.

Pourtant, alors que les pays européens allègent leurs restrictions, l’OMS les a appelé à ne pas baisser la garde. «La couverture vaccinale est loin d’être suffisante pour protéger la région d’une résurgence», a prévenu jeudi le directeur Europe de l’OMS, Hans Kluge. «Le chemin à parcourir pour atteindre une couverture d’au moins 80% de la population adulte est encore considérable», a-t-il souligné. «Nous sommes loin d’être hors de danger».

Gel : un milliard d’euros pour les agriculteurs

Gel :  un milliard d’euros pour les agriculteurs

 

 

Alors que le gel historique de ces derniers jours a provoqué de véritables catastrophes notamment chez les viticulteurs et les arboriculteurs, le gouvernement a décidé d’une enveloppe globale de l’ordre d’un milliard pour porter aux milieux agricoles. Les dégâts dans une première estimation ont été estimés à  3 milliards. En attendant il y aura des aides d’urgence et des report de cotisations

L’indemnisation des arboriculteurs au titre du dispositif des calamités agricoles sera portée jusqu’à 40% – le maximum autorisé par Bruxelles – pour les pertes les plus importantes, contre 35% actuellement. Pour les autres filières aujourd’hui non couvertes par ce régime de calamités agricoles, comme les viticulteurs ou les producteurs de grandes cultures (betterave, colza…), un soutien exceptionnel similaire sera mis en place.

 

Le gouvernement veut un fonds qui «indemnisera de façon rapide», a affirmé le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie sur France Inter. Une première réunion se tiendra lundi, en présence du ministre de l’Agriculture, à laquelle participeront la FNSEA et ses filières, pour que ces «annonces se traduisent concrètement par des mesures efficaces», a annoncé le syndicat agricole dans un communiqué. En outre l’enveloppe du plan de relance dédiée à «l’adaptation au changement», passera de 100 à 200 millions d’euros.

 

Interrogé par l’AFP, Bruno Darnaud, président de l’AOP pêche et abricots de France, s’est dit lui aussi «satisfait que l’État réagisse rapidement», avec un «catalogue d’aides qui paraît assez large». «Mais le diable se cache dans les détails: il faudra voir notamment si on trouve des solutions pour les arboriculteurs assurés qui seront moins bien indemnisés que ceux bénéficiant du régime des calamités». Selon Bruno Darnaud, la France peut s’attendre à perdre cette année la moitié de sa production de fruits, soit un manque à gagner d’un milliard et demi d’euros. Et au moins un tiers de la production viticole serait perdu, soit deux milliards d’euros de chiffre d’affaires, estime la FNSEA.

Vaccin de Novavax : bientôt plus d’un milliard de doses

Vaccin de Novavax : bientôt plus d’un milliard de doses

Dans le cadre du dispositif international Kovacs qui vise à assurer la fourniture de vaccin a 20 % de la population de 200 pays, l »entreprise de biotechnologie américaine Novavax s’est engagée à mettre à disposition du programme international de vaccination anti-Covid Covax 1,1 milliard de doses de son candidat vaccin, a indiqué vendredi Gavi.

L’objectif est donc de disposer d’un total de 1,1 milliard de doses de Novavax, produites par la société biotechnologique elle-même ou par le SII, a expliqué un porte-parole de Gavi. Ce vaccin américain en deux doses fait l’objet d’un examen continu par l’Agence européenne des médicaments (EMA), ce qui ouvre la voie à une demande prochaine d’autorisation dans l’UE. C’est un vaccin dit «sous-unitaire», à base de protéines qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Ses concepteurs affirment qu’il est efficace à 89,3%.

Sciences-Un plan quantique de 1,8 milliard

Sciences-Un plan quantique de 1,8 milliard

La France fixe un objectif très ambitieux de mettre au point le premier ordinateur quantique. Doté de 1,8 milliard d’euros sur cinq ans dont 1 milliard directement financé par l’Etat,. Des chiffres qui dépassent les attentes

. « J’ai rarement vu une stratégie d’Etat sur une technologie aussi précise, complète, bien ficelée et bien financée. Honnêtement, je suis aux anges« , confie à La Tribune Elie Girard, le directeur général du groupe d’informatique Atos, l’un des pionniers mondiaux du quantique.

En exploitant les propriétés de la matière à l’échelle de l’infiniment petit (atome, ion, photon, électron…), les technologies quantiques portent la promesse d’ordinateurs qui ridiculiseront les plus puissants des supercalculateurs actuels. Cela signifie que le quantique est promis à briser de nombreux verrous et devrait permettre de s’attaquer enfin à des défis aujourd’hui insolubles.

Coronavirus pays pauvres : 1 milliard pour les vaccins

Coronavirus pays pauvres : 1 milliard pour les vaccins

 

Une centaine de pays en développement devrait être bénéficiaire de la distribution d’environ 1 milliard de vaccins collectés à l’initiative du Royaume-Uni. Notons que dans le même temps la France, elle, organise une réunion internationale sur l’environnement. Une problématique sans doute essentielle pour l’avenir de la planète mais qui n’apparaît pas comme l’urgence du moment. D’autant que cette réunion internationale ne va pas porter grand chose de nouveau. De toute évidence, la France  a un problème pour hiérarchiser ses priorités.

 

Le Royaume-Uni a collecté auprès de ses alliés un milliard de dollars (820 millions d’euros) pour aider les « pays vulnérables » à accéder aux vaccins contre le Covid-19, a annoncé dimanche le ministère des Affaires étrangères en amont d’une visite virtuelle du chef de l’ONU à Londres.

Cette somme récoltée notamment auprès du Canada, de l’Allemagne et du Japon, ajoutée aux 548 millions de livres (608 millions d’euros) de Londres – qui avait promis de verser une livre tous les 4 dollars récoltés-, « permettra de distribuer cette année un milliard de doses de vaccins contre le coronavirus dans 92 pays en développement », a précisé le ministère dans un communiqué.

« Nous ne serons à l’abri de ce virus que lorsque nous serons tous à l’abri – c’est pourquoi nous nous concentrons sur une solution mondiale à un problème mondial », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Dominic Raab.

« Il est tout naturel qu’à l’occasion du 75e anniversaire des Nations unies, le Royaume-Uni ait pris l’initiative auprès de ses alliés pour mettre un milliard de doses de vaccin contre le coronavirus à la disposition des pays vulnérables », a-t-il ajouté.

Couvre-feu : 1 milliard supplémentaire pour les entreprises, insuffisant !

Couvre-feu : 1 milliard supplémentaire pour les entreprises, insuffisant !

 

Le gouvernement a décidé d’ajouter 1 milliard supplémentaire pour soutenir les entreprises suite à la décision de mise en place d’un couvre-feu. Mais quand on examine le contenu et l’ampleur de ce soutien, on peut vérifier qu’il est loin d’être à la hauteur des enjeux : 500 € par pour les très petites entreprises, 10 000 € par mois pour les grosses, une exonération des charges pour les entreprises complètement fermées ; la seule mesure un peu significative concerne le chômage partiel à plein temps. Rien que pour cette mesure en fonction de la dégradation économique prévisible l’enveloppe sera loin d’être suffisante. «Il est plus judicieux de renforcer le soutien économique aux entreprises plutôt que d’avoir à traiter des dizaines de milliers de faillites et une explosion du chômage», a estimé le ministre de l’Économie Bruno Le Maire.

Fonds de solidarité renforcé, exonération de charges sociales, prêts garantis par l’État, débat autour des loyers… Voici les nouveaux dispositifs d’aides dont pourront bénéficier les entreprises concernées par le tour de vis qui entrera en vigueur samedi soir.

«Nous allons renforcer une nouvelle fois, simplifier et élargir le Fonds de solidarité », a indiqué le locataire de Bercy. En premier lieu, toutes les entreprises de moins de 50 salariés qui sont installées dans les zones de couvre-feu et qui ont perdu 50% de leur chiffre d’affaires par rapport à 2019 pourront bénéficier d’une aide allant jusqu’à 500 euros, et cela, pendant toute la durée de la mesure. Les hôtels, cafés, restaurants, sociétés de la culture, de l’événementiel ou encore du sport bénéficieront d’un accès au Fonds de solidarité allant jusqu’à 10.000 euros par mois, dès lors qu’ils subissent une perte de chiffre d’affaires de 50%. L’accès au fonds était auparavant conditionné à une baisse de 70%.

Pour les secteurs en difficulté, le chômage partiel à plein temps, c’est-à-dire pris en charge à 100% par l’État, va être réactivé : jusqu’à 4,5 fois le smic et 80% du net pour les salariés.

Sans surprise, les exonérations de charges sociales font également partie de l’arsenal conçu par le ministère de l’Économie. Jusqu’à la fin du couvre-feu, les entreprises fermées administrativement bénéficieront ainsi d’une exonération totale de leurs cotisations sociales patronales. Les entreprises du secteur de l’hôtellerie-restauration qui sont installées dans les zones de couvre-feu pourront aussi bénéficier d’une exonération totale de cotisations sociales et patronales dès qu’elles perdent 50% de leur chiffre d’affaires.

Par ailleurs, le dispositif des prêts garantis par l’État (PGE) est prolongé jusqu’au 30 juin 2021, au lieu de décembre 2020. Ce prêt de trésorerie accordé par les banques à un taux très bas pour aider les entreprises à absorber le choc de la crise sanitaire peut représenter jusqu’à 25% du chiffre d’affaires. 90 % de son montant est garanti par l’État. Les PGE sont remboursables à l’issue de la première année, mais ils peuvent être prolongés pendant cinq ans à des taux compris entre 1 et 2,5 %.

Google : 1 milliard de dollars sur trois ans à payer aux éditeurs de presse pour leurs contenus, une goutte d’eau !

Google : 1 milliard de dollars sur trois ans à payer aux éditeurs de presse pour leurs contenus, une goutte d’eau !

 

 

Une somme dérisoire sera versée aux principaux éditeurs de presse par Google, filiale du groupe Alphabet qui prévoit de verser un milliard . Une très petite manne qui concernera que quelques éditeurs peut-être 5 à 10 par pays. Cette somme est à mettre en relation avec le chiffre d’affaires global du groupe soit 200 milliards par an, une capitalisation boursière de 1000 milliards et un bénéfice annuel de 35 à 45 milliards. Alphabet recouvre différent services dont Google qui constitue l’axe principal.

Beaucoup d’éditeurs de certains pays vont se satisfaire de ce petit cadeau du fait des situations financières très fragiles. La presse écrite un peu partout dans le monde et particulièrement en France se situe en effet sur une pente très dangereuse perdant non seulement de l’audience mais surtout des recettes publicitaires.

À l’inverse les plates-formes numériques puissantes inondent les internautes de publicité du fait d’une audience croissante.

Le  nouvel outil d’info de Google News Showcase, sera d’abord disponible sur les plateformes Android puis sur celles d’Apple.

Initialement lancé en Allemagne – où des accords ont été signés avec de grands groupes de presse comme Der Spiegel, Stern, Die Zeit – et au Brésil, il permettra aux éditeurs de presse de déterminer la nature ainsi que le type de présentation de leur contenu lors de l’utilisation du moteur de recherche.

Google News Showcase sera ensuite disponible en Belgique, en Inde, aux Pays-Bas et dans d’autres pays. Quelque 200 éditeurs en Argentine, en Australie, au Royaume-Uni, au Brésil, au Canada et en Allemagne ont déjà signé des accords de ce type avec le géant américain.

Les discussions se poursuivent en revanche en France, où les éditeurs s’appuient pour négocier sur une nouvelle loi française sur “les droits voisins”, entrée en vigueur en octobre 2019, ainsi qu’en Australie où il est demandé à Google de partager les recettes publicitaires avec les médias locaux.

En juin dernier, l’Autorité de la concurrence française a enjoint à Google de négocier avec les éditeurs et agences de presse “la rémunération qui leur est due” au titre de la loi relative aux droits voisins pour la reprise de leurs contenus protégés.

Dépendance et un plan de plus de 1 milliard annoncé par Olivier Véran

Dépendance et un plan de plus de 1 milliard annoncé par Olivier Véran

 

 

 

On devait de manière urgente ouvrir grand débat sur l’avenir de la dépendance, son organisation et son financement. Mais le ministre de la santé Olivier Véran  qui occupe l’espace médiatique de façon quotidienne a coupé sans doute l’herbe sous le pied au ministre de l’économie et au premier ministre ( il espère peut-être secrètement le remplacer en cas de besoin) ? Le ministre de la Santé Olivier ainsi conformément aux méthodologies bien françaises , annonce le montant d’une dépense avant même d’avoir déterminé son objet, ses modalités et son financement. Un plan d’un milliard qui va ajouter aux nombreux autres plans bénéficiaires de cette pluie ( relative) de  milliards qui tombe sur la France depuis quelques semaines. La vérité c’est que la campagne électorale a déjà commencé il y a celle des municipales ou LREM va enregistrer une défaite magistrale  mais il y a aussi les suivantes à savoir les départementales et les régionales. Justement = des régionales que le président de la république voudrait bien repousser pour ne pas essuyer une seconde défaite locale.

 

On aura compris qu’on est entré maintenant dans l’univers électoral et qu’il ne s’agit plus de compter les milliards mais d’en rajouter ou faire plaisir à la plupart des catégories socioprofessionnelles, aux jeunes, aux anciens, bref à tout ceux détiennent une carte d’électeur et sont susceptibles de s’en servir. Olivier Véran s’exprimait lors d’un projet de loi qui acte un alourdissement conséquent de 136 milliards d’euros du « trou » de la Sécurité, après le coronavirus, et pose le principe de la création d’une 5e branche de la Sécurité sociale dédiée à l’autonomie, « première pierre » de la future réforme de la dépendance selon la majorité.

  • Pour l’heure, les modalités et le financement de cette 5e branche sont renvoyés à un rapport mi-septembre. Si elle est instaurée, cette 5e branche viendrait couvrir les risques de la vie liées à la perte d’autonomie et au handicap et s’ajouter aux quatre existantes (maladie, vieillesse, famille, accidents du travail).
  • L’opposition a dénoncé à plusieurs reprises une  »coquille vide » et un « affichage » sans piste de financement.
  • Il n’y a pas « un euro prévu avant 2024″, a d’abord fustigé le LR Xavier Breton, alors que 2,3 milliards d’euros par an doivent être récupérés à partir de 2024 pour financer l’autonomie. Et l’UDI Pascal Brindeau a mis en garde contre un « effet d’annonce », quand « nos concitoyens ne croient plus à la parole publique tant qu’elle n’a pas un effet concret sur leur vie quotidienne ».

Un plan milliard d’euros pour l’ aéronautique surtout pour les sous-traitants

Un plan  milliard d’euros pour l’ aéronautique surtout pour les sous-traitants

 

 

Un fonds d’environ 1 milliard destiné à la filière aéronautique et qui va bénéficier en particulier aux nombreux équipementiers qui participent au processus de production. Sollicités à hauteur de 200 millions, les grands noms français du secteur aideraient à soulager une industrie durement touchée par la crise du coronavirus, qui a quasiment stoppé la production d’avions.

L’enjeu est grand pour Airbus et une myriade d’équipementiers, souvent de petite taille, qui emploient quelque 200.000 personnes. S’il est adopté, le plan “Aerofund 4” succédera aux plans similaires lancés depuis 2004 pour soutenir un secteur essentiel aux exportations tricolores. Selon des sources interrogées par Reuters, Airbus, Dassault Aviation, le motoriste Safran et l’équipementier Thales contribueraient ensemble à un cinquième du milliard d’euros prévu.

Les différents acteurs ne se sont toutefois pas encore mis d’accord et aucun montant n’a été décidé. “C’est en cours de discussion, ce n’est pas encore fait”, a dit une source. Selon un parlementaire français au fait du dossier, le fonds pourrait “potentiellement” contenir un milliard d’euros. BPI n’a pas fait de commentaire dans l’immédiat. L’argent serait utilisé pour investir dans des PME et consolider de petits fournisseurs.

“L’idée est d’aider la ‘supply chain’ à tenir le choc durant les 18 prochains mois. C’est une course contre la montre jusqu’à ce qu’il y ait des perspectives meilleures”, a dit à Reuters la députée socialiste Valérie Rabault.

Merkel et Macron pour un plan encore flou de 500 milliards

Merkel et Macron pour un plan encore flou de 500 milliards d’euros en dépenses budgétaires

La proposition de Merkel et de Macron concernant un fond de 500 milliards d’euros pour des dépenses budgétaires  européennes constitue indéniablement un fait politique et médiatique indiscutable. Remarquons évidemment qu’il ne s’agit que d’une proposition et qu’il faudra se mettre d’accord avec les 27 constituants de  l’union européenne. La partie n’est pas gagnée d’avance

. Ensuite il faudra aussi préciser les conditions d’attribution et de financement de cette enveloppe. De ce point de vue, les commentaires d’Emmanuel Macon sont relativement encore flous sur ces deux questions. L’enjeu va notamment tourner autour de ce qui est remboursable et ce qui ne l’est pas (pour simplifier prêts ou subventions).

Cette initiative commune, qui doit encore être endossée par la Commission européenne et l’ensemble des Vingt-sept, constitue une “étape majeure” et un “changement de philosophie”, s’est félicité Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse à l’issue d’une visioconférence avec la chancelière allemande Angela Merkel.

“Pour la première fois, ce que nous proposons ensemble, Allemagne et France, c’est de décider tous ensemble d’aller lever une dette commune sur les marchés et d’utiliser ces 500 milliards d’euros, dette qui aura vocation à être remboursée, pour apporter des financements qui seront fléchés en priorité sur les secteurs les plus touchés et pour les régions les plus impactées et donc d’accepter de vrais transferts, une vraie stratégie commune”, a-t-il souligné.

“Ces 500 milliards ne seront pas remboursés par les bénéficiaires de ceux qui utiliseront cet argent, ils pourront soit être remboursés par les Etats membres par une clef de répartition qui dépend de votre poids dans le budget, par des contributions que nous aurons vocation à décider ensuite ou par d’autres mécanismes”, a-t-il précisé.

Invité en début de soirée sur LCI, le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a indiqué que la France pourrait recourir à ce plan pour “rénover” l’hôpital.

“La Commission va emprunter à un taux d’intérêt faible et ensuite payer des dépenses dans les Etats qui en auront le plus besoin. Quand nous aurons besoin par exemple de rénover notre hôpital, nous pourrons nous appuyer sur ce soutien de la Commission européenne et sur un financement de la Commission européenne”, a-t-il souligné, ajoutant que ce financement direct de la Commission européenne financé par de la dette commune pourrait aussi être mobilisé pour soutenir le tourisme, l’automobile ou le secteur de l’aéronautique.

De Berlin, lors de la conférence de presse commune, la chancelière allemande a parlé d’un “pas en avant” important à dix jours de la présentation par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen des détails du programme de relance économique.

“Au départ, nous avions des conceptions extrêmement différentes autant en terme de volume des aides à apporter que sur les moyens techniques”, a déclaré Angela Merkel. “Nous avons réussi à trouver une ébauche de solution entre la France et l’Allemagne et nous avons rapproché nos positions. Nous pensons que nous avons fait un pas en avant très important pour pouvoir arriver à une proposition de la Commission qui satisfera les 27.”

A Bruxelles, Ursula von der Leyen a salué cette proposition qu’elle a jugée “constructive”, estimant qu’elle reconnaissait “l’ampleur du défi économique auquel l’Europe est confrontée, et met à juste titre l’accent sur la nécessité de trouver une solution qui maintienne le budget au coeur de ses priorités”.

“Cette proposition va dans le sens de celle préparée par la Commission, laquelle tiendra également compte des points de vue de tous les États membres et du Parlement européen”, a déclaré la présidente de la Commission européenne dans un communiqué.

Un accord franco-allemand ne veut pas dire pour autant accord des Vingt-Sept, et si le président du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, s’est félicité de l’initiative franco-allemande – “C’est un premier pas dans la bonne direction”, a-t-il commenté -, opter pour des subventions ou transfert budgétaires (non remboursables) au lieu de prêts (remboursables) ne sera pas facile à faire accepter par certains Etats membres comme les Pays-Bas, la Finlande ou l’Autriche.

“Notre position demeure inchangée”, a ainsi prévenu le chancelier autrichien Sebastian Kurz. “Nous sommes prêts à aider les pays les plus touchés par des prêts. Nous attendons que le prochain (cadre budgétaire pluriannuel de l’UE) reflète les nouvelles priorités et non qu’il relève le plafond.”

Sur  le plan de l’environnement, les deux pays appellent à accélérer le “pacte vert” (“Green Deal”) -encore très flou- pour l’Europe en vue de la neutralité carbone d’ici à 2050.

France: Google dispensé de payer 1,115 milliard au fisc (tribunal)

France: Google dispensé de payer 1,115 milliard au fisc (tribunal)

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Un jugement évidemment incompréhensible que celui de la justice française qui vient de considérer que le redressement de plus d’un milliard d’euros demandés par le fisc français était illégal au motif que l’entreprise Google ne possède pas « d’établissement stable en France ».-Juridiquement, le verdict peut se défendre, il  est conforme aux textes européens et plus largement internationaux mais, c’est complètement incohérent. Il est vrai que la justice, dans sa grande sagesse, ignore tout de l’économie alors qu’elle juge un problème précisément de nature économique. Ce type de jugement, s’il était confirmé, constituerait une sorte d’autorisation au commerce clandestin sur le territoire français pour n’importe quel opérateur du moment qu’il possède une boîte aux lettres dans un des pays de l’union. Pourtant Google comme nombre d’autres Gafa fait du commerce en France : il vend, il achète, il reçoit des recettes de publicité ; bref, il fait du business. Le plus grave c’est que cette  décision de justice pourrait mettre à mal la proposition française d’imposer les Gafa pour leur activité dans le pays. Les magistrats ont donc suivi le même raisonnement que celui du tribunal administratif de Paris dans sa décision de juillet 2017, contre laquelle le ministère de l’Action et des Comptes publics avait fait appel.

Un demi milliard d’euros défiscalisé pour Vuitton

 

 

 Un demi milliard d’euros défiscalisé pour Vuitton

C’est la grande mode aujourd’hui pour les grandes sociétés internationales : se lancer dans le mécénat à vocation culturelle voir social. Cela avec un double objectif d’une part redorer leur image alors que souvent elle exploite la main-d’œuvre, les matières premières de pays tiers et les petits producteurs sous-traitants. Accessoirement aussi elles déduisent les sommes consacrées au mécénat de leurs impôts. Ainsi par exemple Les entreprises du groupe LVMH ont réduit leurs impôts de 518,1 millions d’euros entre 2007 et 2017 au titre de sommes versées à la Fondation Louis Vuitton, a relevé mercredi la Cour des comptes dans un rapport sur le mécénat. Cette somme « représenterait environ 8,1% de la dépense fiscale totale pour l’État au titre du mécénat des entreprises sur la période », selon la Cour qui relève aussi que de 2007 à 2014, la construction d’un bâtiment dans le bois de Boulogne à Paris « a constitué la principale activité de la Fondation ». »Les ressources de la Fondation Louis Vuitton sont d’un montant exceptionnel par rapport à celles couramment observées dans le secteur des fondations », relève la Cour. La France s’est dotée en 2003 d’un dispositif fiscal en faveur du mécénat des entreprises « parmi les plus généreux sur le plan international », selon un communiqué de la Cour, qui appelle à « mieux encadrer » ce dispositif. L’utilisation de cet avantage fiscal, qui permet de déduire directement 60% des dons de l’impôt sur les sociétés, est très concentrée puisque 24 entreprises ont représenté 44% de la dépense fiscale en 2016. Outre la Fondation Louis Vuitton, la Cour des comptes a également contrôlé la Fondation du patrimoine et la Fondation agir contre l’exclusion, créée en 1993 par 13 grands groupes français.

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