Archive pour le Tag 'mieux'

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Merkel à Valls : peut mieux faire !

Merkel à Valls : peut mieux faire !

 

Une réception polie de Valls par Merkel mais pas un vrai soutien  à la politique du Premier ministre français en visite en Allemagne. D’une certaine manière, Valls a opéré une sorte de détournement d’objectif pour ce voyage. A l’ assemblée nationale, Valls  avait fermement tancé l’Allemagne pour qu’elle relance sa croissance, c’était donc l’objet initial de ce voyage : demander à l’Allemagne d’aider la relance européenne ; réponse polie mats nette de Merkel « on peut faire de la croissance mais sans nécessairement dépenser de l’argent ». Du coup Valls s’et limité à souligner les efforts d la France tant en matière de dépenses publics que d’allégement de la fiscalité pour les entreprises. Finalement un voyage de type ‘ Hollande » qui part avec une volonté ferme de rappeler l’Allemagne à ses devoirs vis-à-vis de l’Europe et qui se termine en eau de boudin. Pour preuve Merkel n’a même pas voulu donné son accord sur le dérapage budgétaire français renvoyant la question à la responsabilité de la commison.  Angela Merkel a donc apporté lundi un soutien prudent à Manuel Valls, saluant un programme « ambitieux » pour raviver la compétitivité des entreprises françaises sans pour autant offrir un blanc-seing à une politique budgétaire jugée laxiste en Allemagne.  Saluant les « efforts très importants » de son homologue français, la chancelière n’a pas répondu à sa demande de voir l’Allemagne contribuer davantage à la relance économique de la zone euro via une politique d’investissement plus hardie. « Il existe de nombreuses possibilités de créer de la croissance, même sans injecter plus d’argent dans le système », a estimé Angela Merkel lors d’une conférence de presse pendant laquelle elle a rappelé son attachement à la stabilité à long terme de l’euro et au « respect » du pacte de stabilité.  Manuel Valls avait promis en avril dernier, lors de son premier déplacement à Berlin en tant que Premier ministre, que la France tiendrait ses engagements budgétaires.  Il a dû se dédire en septembre face à une croissance et une inflation atone, renvoyant de 2015 à 2017 l’objectif de faire passer les déficits publics sous la barre des 3% du PIB.  Invitée à dire si elle faisait toujours confiance à François Hollande et à son Premier ministre pour tenir leurs engagements, la chancelière a évité toute réponse directe et insisté sur le fait que ce serait à la Commission européenne, pas à l’Allemagne, de se prononcer sur le programme français. Comme pour faire un geste à l’égard de son hôte, la chancelière a néanmoins précisé que le pacte de stabilité devait être appliqué avec « flexibilité ». Lundi, la presse allemande faisait son miel des déboires de l’économie française, comme le tabloïd allemand Bild qui a rebaptisé la France « Krankreich » (« l’empire malade »). En clair la note de Meckel : c’est bien mais peut mieux faire et on attend surtout de voir !

 

Sondage Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !

Aubry : ferait mieux que François Hollande pour 56% ; pas trop difficile !  

 

D’après un sondage martine Aubry ferait mieux que Hollande, il n’ya pas de quoi manifester beaucoup de surprise tellement Hollande est nul.  Selon ce sondage Odoxa du  Parisien, 56% des Français pensent que Martine Aubry ferait mieux que François Hollande si elle était aujourd’hui présidente de la République, contre 42% qui pensent le contraire.  D’ailleurs, les adjectifs qui s’appliquent le mieux à la maire de Lille, selon les sondés, sont dans l’ordre : « autoritaire » (76%), « sérieuse » (75%) et « courageuse » (69%). Mais d’autres qualificatifs font franchement pencher la balance dans un sens négatif comme « jouant trop perso », « sectaire », « démagogique » ou bien encore « arrogante. » C’est pourquoi 54% des Français ont une mauvaise opinion de Martine Aubry, contre seulement 45% qui en ont une bonne. Pas étonnant alors que seuls 43% des Français souhaitent qu’elle joue un avenir sur la scène politique nationale contre 57% qui s’y opposent.  Si le bilan de Martine Aubry à la mairie de Lille est presque unanimement reconnu (75% d’opinions favorables), son mandat à la tête du PS est plus controversé, avec 55%, seulement, de bonnes opinions. Enfin ,son passage au gouvernement Jospin, entre 1997 et 2000 divise presque équitablement les Français avec 50% de bonnes et 49% de mauvaises opinions. C’est à gauche que la maire de Lille fait le plein d’opinion favorables (79%). Ce qui fait d’elle la personnalité préférée des sympathisants de gauche au même rang que Najat Vallaud-Belkacem.  Et c’est sans surprise que 75% des sympathisants de gauche souhaitent qu’elles jouent un rôle plus important à l’avenir sur la scène politique française.  Quant à savoir si Martine Aubry est bel et bien la cheffe des frondeurs ou « la plus à même de porter leurs idées » à gauche, seuls 57% des sympathisants le souhaitent. 

 

Gérard Larcher : le Sénat est « un bateau en panne »….tant mieux qu’il coule

Gérard Larcher : le Sénat est « un bateau en panne »….tant mieux qu’il coule

 

Le Sant est en panne, comme un vieux rafiot, tant mieux qu’il coule. Ou comme le Concordia qu’on le destine à la ferraile.Tant qu’il y aura autant de députés autant de sénateurs ce sera autant de lois inutiles (plus de 10 000 lois) qui paralysent  initiative et tue la croissance. 577 députés et 343 sénateurs pour quoi faire sinon des textes législatifs la plupart inutiles qui ne servent qu’à justifier ces élus. Chaque député, chaque sénateur n’a qu’une ambition attacher son nom à une loi pour exister. C’est el problème central du pays : la bureaucratie partout, qui étouffe et plombe la compétitivité.  Gérard Larcher, sénateur UMP des Yvelines et candidat à la primaire UMP pour la présidence du Sénat, estime donc que celui-ci est « un bateau en panne » dans une interview au Journal du Dimanche (JDD). « Depuis l’alternance au Sénat, en octobre 2011, cette assemblée est comme un bateau en panne, sans majorité cohérente », déclare Gérard Larcher au JDD.  »Elle est simplement une majorité de rencontres, qui n’a jamais été consolidée et n’a servi qu’à se distribuer les postes. Le bicamérisme s’en est trouvé affaibli et le débat parlementaire appauvri », ajoute le sénateur UMP. Pour l’ancien ministre, « le vrai patron du législatif, c’est Claude Bartolone. C’est lui qui, depuis l’Assemblée, donne le tempo. Sa parole est d’autant plus forte que le Sénat est absent ».  »Pendant ces trois années, le Sénat s’est abaissé. Je veux maintenant, avec les sénateurs, le relever », dit-il.  Gérard Larcher entend concourir pour les primaires au sein du groupe UMP pour la présidence du Sénat à l’automne prochain, auxquelles devraient aussi participer Jean-Pierre Raffarin et Philippe Marini. Celui qui a déjà présidé le Sénat de 2008 à 2011 veut, pendant la seconde moitié du quinquennat de François Hollande, « un Sénat d’opposition, un Sénat constructif qui marque les textes de son empreinte ».  »Son président doit échanger régulièrement avec le président de l’Assemblée, jouer un rôle d’interpellateur du président de la République et du Premier ministre », explique-t-il.

 

 

BCE : ça ira mieux demain pour l’inflation

BCE : ça ira mieux demain pour l’inflation

Pour justifier son immobilisme (et le relatif échec de ses décisions récentes), la BCE compte sur une hypothétique reprise de l’inflation. Un pari surprenant car la croissance étant plus faible que les prévisions, les prix, faute de demande,  auront plutôt tendance à diminuer en tout cas à demeurer très sages. La Banque centrale européenne a  donc tenu sa conférence mensuelle à l’issue de laquelle elle a opté pour un statu quo au niveau de ses taux. Son président, Mario Draghi, n’a livré que deux nouvelles annonces: à partir de 2015, la BCE ne se réunira non plus tous les mois mais toutes les six semaines et elle publiera un compte-rendu de ses réunions à partir de janvier prochain. Ce qui, en fait, l’amène à se caler sur le fonctionnement d’autres banques centrales, comme la Fed. « La BCE ne doit pas être poussée à agir tous les mois », a expliqué Mario Draghi, ajoutant que le caractère mensuel des réunions « induit un certain comportement du marché » en ce sens. Mais Mario Draghi a surtout donné des détails sur les mesures annoncées le mois dernier, mesures qui selon lui « contribueront à faire revenir l’inflation à un taux proche de 2% », c’est-à-dire l’objectif de la BCE. A ce titre, Mario Draghi a d’ailleurs considéré qu’il y aura « une remontée graduelle » des taux d’inflation en 2015 et 2016.  Le président de la BCE est d’abord revenu sur les TLTRO (pour « Targeted Long Term Refinancing Operation »), ces fameux prêts exceptionnels aux banques conditionnés à des engagements sur le crédit aux entreprises et aux ménages. Cette mesure doit contribuer à redynamiser les prêts en zone euro. Mario Draghi a en outre indiqué que le montant de ces TLTRO pourrait atteindre 1.000 milliards d’euros. Il a précisé que les banques pourront souscrire à ces prêts « individuellement ou en groupe ». Il a ensuite livré un ensemble de modalités concernant cette mesure, reconnaissant qu’elles peuvent apparaître « à juste titre compliquées ». « Mais je suis convaincu que les banques, elles, vont vite comprendre, car tout cela est très séduisant », a-t-il ajouté. Un communiqué a été publié dans la foulée de la conférence précisant plusieurs détails. En clair, si les banques ont augmenté leur crédit aux ménages et aux entreprises, sur la période allant de mai 2013 à avril 2014, elles pourront souscrire ces prêts sans avoir d’obligations. Dans le cas contraire, elles devront respecter des engagements sur le crédit pour bénéficier de ces TLTRO. Par ailleurs, toutes les banques qui opteront pour ces TLTRO devront obligatoirement soumettre des rapports à la BCE.  Concernant l’autre grande mesure, l’intervention de la BCE sur le marché des ABS (Asset backed securities), c’est-à-dire les crédits au secteur privé transformé en titres financiers sur les marchés,  Mario Draghi a indiqué que les travaux préparatoires sont en train d’avance.  Le président de la BCE a également pris soin de laisser la porte ouverte à d’autres mesures, notamment aux rachats de dette sur les marchés, le fameux « assouplissement quantitatif » qualifié de « bazooka » par les observateurs. Mario Draghi a indiqué que cette arme pourrait être utilisée si « nos perspectives d’inflation à moyen terme venaient à changer ».   Enfin, en clin d’oeil à l’affaire BNP Paribas, Mario Draghi a affirmé que les banques doivent suffisamment provisionner les risques juridiques.

 

Valls: « le PS peut mourir « ….tant mieux !

Valls: « le PS peut mourir « ….tant mieux !

Le PS peut mourir adit Valls, tant mieux car le PS en réalité n’a jamais été un parti de gauche mais d’apparatchiks plutôt à droite. Pas un drame non plus si c’est la gauche qui meurt car le clivage gauche-droite est devenu complètement obsolète. C’est en fait un alibi pour permettre l’alternance entre des partis qui appliquent  à peu prés la même politique et qui se couchent  en fait devant les technocrates qui eux mêmes n’y entendent rien ( sauf la voix des multinationales).  La justice, la cohésion sociale, la solidarité, la démocratie sont des mots devenus vides de sens lorsqu’ils sont confrontés aux réalités socio culturelles et économiques. Hollande par plus que Valls ne savent ce que signifie réellement les valeurs dites de gauche, ce sont des apparatchiks qui ont pour seule ambition la conquête du pouvoir dont ils ne savent pas quoi faire ensuite. Valls peut faire ce qu’il veut Marine Lepen sera au second tour en 2017, c’est la seule chose qui inquiète Valls : la question du pouvoir ! Car Marine Le pen ne sera pas élus bien étendu et c’est heureux mai c’est le candidat de droite qui bénéficiera du reflex républicain.  Le Premier ministre, Manuel Valls, a donc  sonné l’alerte générale, trois ans avant la présidentielle, devant le conseil national du Parti socialiste. Il a averti qu’il existait un « risque de voir Marine Le Pen au second tour » en 2017. « Notre pays peut se défaire et se donner à Marine Le Pen », a ajouté samedi le Premier ministre selon un texte distribué à la presse. Selon lui, « nous pourrions basculer (…) dans une ère dans laquelle le risque de voir Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle existe. Une ère dans laquelle un des grands partis républicains et cette fois sans que cela soit une surprise… peut être absent de ce grand rendez-vous électoral. Et si rien n’est fait, ce peut être la droite, ce peut être nous, par conséquent une ère dans laquelle la gauche peut aussi disparaître ». Prévenant que « oui la gauche peut mourir » et qu’il n’existe « pas d’alternative à gauche », l’échec électoral du PS ne renforçant pas « la gauche de la gauche », Manuel Valls a estimé : « Nous sentons bien que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut être même d’un cycle historique pour notre parti. » « La gauche n’a jamais été aussi faible dans l’histoire de la Ve République », a-t-il également affirmé. Face à ce constat le chef de l’Etat a jugé que « la gauche doit être capable de se dépasser ». « Nous devons nous réinventer. Et nous réinventer dans un contexte particulier : l’exercice du pouvoir, faute de ne l’avoir pas fait dans l’opposition », selon lui. Manuel Valls a également envisagé samedi des baisses d’impôts pour les ménages : « Il nous faudra explorer d’autres chemins, sans tabou. Je pense à la baisse de la fiscalité des ménages et notamment des classes moyennes. Car je l’ai dit, les impôts sont trop lourds. Mais nous ne pourrons nous engager dans cette voie que si nous avons réduit la dépense publique », a prévenu le Premier ministre

 

Portugal : chômage à 15%, ca va mieux ! (FMI)

Portugal : chômage à 15%, ca va mieux ! (FMI)

 

 Les perspectives économiques immédiates du Portugal s’améliorent alors même que son programme d’aide internationale touche à sa fin mais il doit maintenir le rythme des réformes, en particulier sur le marché du travail, pour éviter de voir sa dette gonfler à nouveau, estime le FMI. Le Fonds monétaire international s’émeut dans un rapport d’un taux de chômage qui dépasse encore les 15% mais il n’en remarque pas moins que « l’activité et l’emploi continuent de dépasser les attentes ». Lisbonne a dépassé son propre objectif de déficit budgétaire l’an passé, en atteignant 4,9% du PIB au lieu des 5,5% visés, ce qui ne peut que aider à atteindre l’objectif de 4% du PIB cette année et de 2,5% l’an prochain, poursuit le FMI. Le programme d’aide élaboré par le FMI et l’Union européenne (UE) se termine officiellement le 17 mai mais l’analyse de la dernière évaluation, qui se fera en mai, et les derniers versements se poursuivront jusqu’à la fin juin. Le gouvernement doit décider début mai s’il sollicite un crédit-relais pour faciliter son retour sur le marché de la dette après la fin du programme d’assistance international.  Le FMI estime que les perspectives concernant la dette portugaise restent « fragiles » mais il ne signale nulle part qu’un crédit de précaution s’imposerait.

 

600 hauts fonctionnaires mieux payés que Hollande

600 hauts fonctionnaires mieux payés que Hollande

 

Sur RMC, la ministre de la fonction publique a appelé « à un geste de solidarité des plus hauts salaires des fonctionnaires » envers les moins bien payés, afin de compenser le gel de leur rémunération jusqu’en 2017. Une injonction destinée à ceux d’entre eux « qui gagnent plus qu’un ministre », a ajouté Marylise Lebranchu. 9.940,20 euros bruts par mois, c’est ce que gagne un membre du gouvernement, depuis que François Hollande a réduit leur traitement brut de 30% au lendemain de son élection à la présidence. S’il a également un mandat local, il peut toucher au maximum la moitié de son indemnité parlementaire, et donc percevoir au total jusqu’à 12.700 euros par mois.  En dépit de ces montants alléchants, les ministres ne sont pas les mieux lotis. Certains fonctionnaires touchent le jackpot. Lesquels? Il n’est pas aisé de le savoir. Si l’on regarde le rapport 2014 de Bercy sur l’Etat de la fonction publique, les moyennes sont relativement raisonnables. Le net moyen s’établissait à 2.918 euros bruts en 2011 dans les trois branches de la corporation : la fonction publique d’Etat (FPE), la fonction publique territoriale (FPT) et le secteur hospitalier public (SHP). Toujours selon le rapport rédigé par les agents du ministère de l’Economie et des Finances, les fonctionnaires les mieux payés sont les officiers généraux dans l’armée. Ils gagnent, en moyenne, 111.044 euros bruts par an, soit 9.253 euros bruts par mois. Soit toujours pas mieux qu’un ministre.  Mais ce ne sont que des moyennes, qui peuvent recouvrir de fortes disparités. Et elles ne tiennent pas compte des primes et autre « garantie individuelle de pouvoir d’achat ». Surtout, si le rapport cite trois paliers de rémunération (A, B et C, du mieux au moins bien payé), il y a une catégorie qu’il omet de mentionner: la A+. C’est là que se trouvent les privilégiés dont parle Marylise Lebranchu. En son sein, 656 fonctionnaires gagnaient plus que Hollande et Ayrault en 2012, donc plus de 12.696 euros nets par mois, selon des chiffres fournis par les services de Matignon à la demande de Challenges en septembre 2012. Ces chanceux font majoritairement partie des ministères des Affaires étrangères et des finances. Ils sont ambassadeurs, consuls, chefs de services économiques, ou encore administrateurs généraux des finances publiques.

 

Chômage : « pas de pronostic» estime Rebsamen…..c’est mieux !

Chômage : « pas de pronostic» estime Rebsamen…..c’est mieux !

Prudent,  le nouveau  ministre du Travail ne veut pas se ridiculiser comme Sapin ; il assure qu’il croit en une inversion de la courbe du chômage, sans pour autant avancer une quelconque date. (Un jour….peut-être !  NDLR) »L’emploi, c’est la priorité des priorités », a martelé François Rebsamen sur RTL, mardi matin. Le nouveau ministre du Travail a rappelé les engagements de François Hollande concernant son ministère : « Il faut aller aller plus vite, plus fort, ce sont les consignes du président de la République ». Si je n’y croyais pas je n’aurais pas accepté ce poste François Rebsamen, ministre du Travail « Il peut y avoir une croissance forte en emplois, j’y crois », a insisté celui qui a été réélu maire de Dijon en mars dernier. Si je n’y croyais pas je n’aurais pas accepté ce poste« , a-t-il ajouté. Mais il faut, selon lui, « faire des efforts sur l’apprentissage et en matière de formation professionnelle. »  François Rebsamen a tenu à « saluer la stabilisation du chômage en 2013, et la légère baisse du chômage des jeunes ». Mais si son prédécesseur, Michel Sapin, et l’ancien premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avaient promis une inversion de la courbe du chômage avant la fin 2013, le nouveau ministre ne veut pas se  »hasarder à un concours de pronostics ».

 

Sondage popularité Sarkozy : moins 5 points mais mieux que Hollande

Sondage  popularité Sarkozy : moins  5 points mais mieux que Hollande

Dans un sondage BVA 12% des personnes interrogées ont un très bon avis sur Nicolas Sarkozy, 33% plutôt un bon avis, tandis que 54% (+4) ont une mauvaise opinion de lui (31% une très mauvaise opinion, 23% plutôt une mauvaise opinion). 1% ne se prononce pas.  Près de la moitié des sondés (49%) estiment que dans les affaires de justice le concernant, Nicolas Sarkozy est traité de façon particulièrement dure pour des raisons politiques. 48% pensent qu’il est traité comme n’importe quel justiciable, 3% ne se prononcent pas.  Si Nicolas Sarkozy avait été réélu en mai 2012, il aurait fait plutôt mieux que François Hollande pour 55% (+4 points par rapport à la précédente enquête de mars 2013), et plutôt moins bien pour 39% (- 6 points). 6% ne se prononcent pas.  Pour représenter l’UMP à l’élection présidentielle de 2017, 32% (+ 6 par rapport à octobre 2013) des personnes interrogées préféreraient Alain Juppé, devant Nicolas Sarkozy (28%, + 4), François Fillon (11%, -5), Bruno Le Maire (8%, -2), Nathalie Kosciusko-Morizet (6%, -2), Xavier Bertrand et Jean-François Copé (2% chacun).

Embauche: Leboncoin mieux que Pôle emploi !

Embauche: Leboncoin mieux que Pôle emploi !

Leboncoin, mieux que Pôle emploi (et ses 55 000 salariés !), pas étonnant quand on connait la bureaucratie du service national de l’emploi. Le marché du travail, très concurrentiel, a permis au site Leboncoin de devenir le numéro un français des offres d’emploi en moins de sept ans. Plus fort que Pôle emploi? Antoine Jouteau, Directeur Général adjoint du site, s’en défendait sur BFM Business, ce lundi 27 janvier. « Pôle emploi a d’autres fonctions », explique-t-il. « Nous sommes le premier site d’emploi privé français car nous avons la capacité de fournir des offres à 20.000 entreprises, 20.000 PME, qui utilisent notre site. » Selon lui, l’atout principal de son site est sa simplicité et sa rapidité. Contrairement à Pôle emploi, une offre déposée sur Leboncoin prend « une demie-minute à remplir, et le lendemain, on peut recevoir une trentaine de réponses », se félicite-t-il.  Et selon Antoine Jouteau, cette rapidité est particulièrement adaptée au rythme actuel du marché du travail: « 70% de nos offres sont à pourvoir immédiatement. Une entreprise qui a besoin de commerciaux ne peut pas attendre des semaines pour pourvoir ses postes. » Résultat, le directeur adjoint estime que le site propose 1,5 million d’offres d’emploi. Leboncoin est aujourd’hui un des plus grands sites internet en France, « juste derrière Google et Facebook », précise Antoine Jouteau. En plus d’être le plus grand site d’offres d’emploi, Leboncoin est devenu le plus grand site de vente de voitures d’occasion, et le premier site immobilier. Un secteur sur lequel le site veut se renforcer. Depuis peu, il propose aux agents immobilier de déposer directement leurs annonces sur le site et leurs proposent des services payants.

 

« La croissance repart », (Ayrault) il vaudrait mieux qu’elle revienne !

« La croissance repart », (Ayrault) il vaudrait mieux qu’elle revienne !

 Chez Ayrault on fait dans l’approximation sémantique et économique. Pour lui, la croissance repart, ailleurs !  Oui. En 2013 le PIB connaîtra peut-être une hausse d’environ 0.2% et en 2013 0.5%. Interrogé sur une éventuelle reprise économique en 2014, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a estimé qu’ »il y a des signes positifs. La croissance repart« , dans un entretien accordé au quotidien Presse-Océan ce samedi 14 septembre.  Au sujet de l’inversion de la courbe du chômage d’ici la fin de l’année, le Premier ministre réaffirme que « la priorité, c’est l’emploi », et ajoute : « c’est l’objectif, tout comme un meilleur rythme de croissance. Les actions en profondeur de redressement et les efforts demandés aux Français, dont je suis conscient, vont porter leurs fruits« . Par ailleurs, l’ancien maire de Nantes est optimiste quant à la réalisation du projet contesté d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes près de Nantes. « Tous les grands projets donnent lieu à débat. Sur ce dossier que l’État soutient et que pilote le ministre des Transports, je suis confiant« , explique Jean-Marc Ayrault. Il affirme n’avoir aucun doute sur la réussite du projet. Le Premier ministre s’est beaucoup engagé en faveur de ce projet de transfert de l’aéroport de Nantes, actuellement situé au sud de l’agglomération, à Notre-Dame-des-Landes à une quinzaine de kilomètres au nord, lorsqu’il était maire de la ville, jusqu’en 2012 et sa nomination à Matignon.C’est comme pour la croissance, il rêve !

Croissance: Merkel et Hollande font un vœu ; ils feraient mieux de faire une politique

Croissance : Merkel et Hollande font un vœu ; ils feraient mieux de faire une politique

 

Des vœux pour la croissance de la part de Hollande et Merkel , c’est un peu court comme volonté politique ; On en reparlera en juin lors d’un sommet, autant dire que ce n’est pas en 2013 qu’on verra un vrai plan de relance. En 2014, peut-être quand on sera dans le mur et le chômage à 15%.Relancer la croissance en Europe, tel était le thème du dîner qui a réuni lundi à Berlin François Hollande, Angela Merkel, José Manuel Barroso et des chefs d’entreprises invités à réfléchir sur la compétitivité dans l’Union européenne. Malgré une actualité centrée sur la crise chypriote, le chef de l’Etat français, la chancelière allemande, et le président de la Commission européenne ont choisi de s’en tenir au sujet prévu, ne faisant qu’une légère allusion aux problèmes de l’île méditerranéenne dans une déclaration à la presse. Quatre thèmes étaient au menu du dîner entre les dirigeants européens et une quinzaine de patrons de l’European round table (ERT, table ronde européenne d’industriels), club influent présidé par Leif Johansson, patron du groupe suédois Ericsson: politique de concurrence, politique énergétique, flexibilité du marché du travail et innovation. Pour favoriser la croissance qu’il ne cesse d’appeler de ses voeux depuis son arrivée au pouvoir en mai dernier, « nous devons tout faire pour que la compétitivité de l’économie européenne soit la plus haute possible », a dit François Hollande devant les journalistes. Angela Merkel lui a fait écho en affirmant qu’une Europe compétitive était « la clé du succès », citant la transition énergétique comme l’un des domaines dans lequel France et Allemagne devaient travailler de concert. José Manuel Barroso a souligné l’importance de relancer l’emploi pour redonner de « l’espoir aux jeunes », à l’heure où le chômage des jeunes salariés atteint des sommets en Europe. Ce dîner devait nourrir la réflexion sur la relance de la croissance en Europe initiée lors du Conseil européen de juin 2012 appelée à déboucher sur une feuille de route examinée lors du sommet de juin prochain.  

 

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