Archive pour le Tag 'mieux'

Page 8 sur 10

Benzema viré de l’équipe de France, tant mieux !

Benzema viré de l’équipe de France, tant mieux !

 

en dépit des circonvolutions verbales de Noël le Graët,  Benzema est bien viré de l’équipe de France. Plus de 80 % des Français s’étaient prononcés pour cette exclusion. Une nouvelle fois Noël le Graët a adopté la posture du faux-cul pour annoncer cette sanction et  en même temps pour défendre Benzema. Une posture habituelle pour Noël le Graët qui de la même manière avait pris  la défense de Blatter  à la FIFA pour ensuite retourner sa veste. On peut regretter la tolérance coupable que manifeste la fédération française de football à l’égard du comportement de certains joueurs qui pourtant devraient être exemplaires puisqu’il représente la France. Un seul exemple,  l’incapacité des joueurs à chanter l’hymne national contrairement à leurs collègues d’autres sports, du rugby notamment. Cette attitude est intolérable. On se demande quand la fédération se décidera à donner des cours de chant et en même temps de civisme à ces jeunes joueurs certes talentueux mais complètement immatures. Certes il y a quelques brillantes exceptions mais globalement ces stars du foot ne brillent  guère par leur intelligence et leur maturité. Il faut espérer que Benzema à l’entourage douteux et au comportement sulfureux ne reviendra jamais en équipe de France. En raison de son comportement mais aussi il faut bien le dire de ces piètres résultats avec le maillot des Bleus. En effet si Benzema est performant au Real il en va tout autrement en équipe de France. Un reproche d’ailleurs être fait à d’autres joueurs. D’après France Info Karim Benzema n’est donc plus sélectionnable en équipe de France ; cela  tant que sa situation judiciaire n’aura pas évolué favorablement, a annoncé jeudi le président de la Fédération française de football (FFF), Noël Le Graët. Mis en examen dans l’enquête sur un chantage présumé aux dépens de Mathieu Valbuena, l’attaquant du Real Madrid a affirmé ne pas être coupable et dit espérer un dénouement heureux.   »Je respecte la décision et ai confiance en notre président Noël Le Graët », a-t-il réagi sur son compte Twitter. Cette affaire « est compliquée parce qu’elle n’est pas aboutie, elle est en cours d’instruction, elle n’est pas nette, elle n’est pas tout à fait claire », a dit Noël Le Graët lors d’une conférence de presse. Cependant, au vu des éléments révélés par la presse, « aujourd’hui, Benzema n’est plus sélectionnable », a-t-il ajouté. Evoquant les prochains matchs de l’équipe de France, en mars, et l’Euro 2016, en juin et juillet, le président de la FFF a ajouté : « il ne sera pas sélectionnable au mois de mars, en juin, juillet, si la situation n’évolue pas ». « Je laisse une porte d’espoir pour effectivement que ce dossier – gonflé – puisse éventuellement retrouver un équilibre normal », a poursuivi Noël Le Graët, toujours aussi faux-cul.

Investisseurs zone euro : du mieux

Investisseurs zone euro : du mieux

L’indice Sentix mesurant le sentiment des investisseurs et des analystes dans la zone euro est remonté en décembre à son meilleur niveau depuis le mois d’août, grâce à la politique ultra-accommodante de la Banque centrale européenne, montrent les résultats de l’enquête publiés lundi. L’indice calculé par l’institut allemand du même nom a atteint 15,7 contre 15,1 en novembre, en hausse pour le deuxième mois consécutif. Il est cependant inférieur aux attentes, les économistes interrogés par Reuters tablant en moyenne sur 17,0. »La perception de la situation économique s’est dégradée un peu partout dans le monde mais la zone euro est l’exception à la règle », commente Sentix dans un communiqué. « La BCE y a vraisemblablement contribué. Bien qu’ayant peu ‘délivré’ sur le court terme, elle a répété son engagement à agir si nécessaire ».

Sondage. Sarkozy ferait mieux que Hollande, quel exploit !

Sondage. Sarkozy ferait mieux que Hollande, quel exploit !

Encore un curieux sondage qui interroge pour savoir si  Sarkozy ferait mieux que Hollnde. Mais qui ne ferait pas mieux que Hollande ? Sans doute un sondage pour crédibiliser la candidature de Sarkozy. Enfin presque puisque, lucides, les Français sont seulement 20% à le trouver honnête ! Il est clair qu’on aurait pu poser la même question pour comparer Hollande à un millier d’autres personnalités politiques, avec des résultats identiques quant à  l’efficacité de l’actuel chef de l’Etat.  D’après un sondage Elabe pour BFMTV, Nicolas Sarkozy apparaît donc , aux yeux des sondés, plus compétent que Hollande pour gérer les questions de sécurité et de justice. Ainsi 58% considèrent qu’il ferait mieux que l’actuel locataire de l’Elysée pour les problématique de sécurité des biens et des personnes, et à 57% pour l’immigration. La place de la France en Europe et à l’international serait également mieux défendue par l’ex-président de la République pour 56% des sondés. Toutefois, lorsqu’il s’agit de problématiques d’avantage liées à une politique de gauche, l’écart se creuse entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. Ainsi 52% des Français estiment que le président des Républicains ferait mieux que l’actuel chef de l’Etat, qui lui recueille 46% des suffrages, en matière d’économie et d’emploi. Concernant la réduction des déficits publics, il obtient tout juste 50% contre 48% pour son rival socialiste. Evidemment, selon la couleur politique des sondés, l’appréciation de Nicolas Sarkozy évolue. Si du côté des sympathisants des Républicains, leur chef obtient quasiment 100% dans tous les domaines d’interventions, les résultats lui sont aussi favorables auprès des partisans de la droite et du centre mais aussi du Front national. A noter qu’un quart des sympathisants de gauche estiment eux-aussi que le leader de l’opposition ferait mieux que l’actuel président (27% pour la sécurité des biens et des personnes et 24% pour l’immigration). Ce sondage est toutefois à nuancer s’agissant des traits de personnalité attribués à Nicolas Sarkozy. Si 75% des sondés le trouvent « déterminé », 69% « dynamique » et 53% « courageux », seulement 47% considèrent qu’il a « la stature d’un président de la République ». Ce chiffre chute à 37% quant il s’agit de sa capacité à réformer le pays. Oubliées aussi les qualités humanistes: 28% des Français le trouvent sympathique, 26% à leur écoute et 20% honnête. Le poids des affaires pèse sur lui puisque, à l’inverse, 33% des personnes interrogées attribue cette qualité d’honnêteté à François Hollande. L’actuel président devance également son adversaire concernant la sympathie, d’après une enquête Elabe réalisée les 20 et 21 octobre dernier. Et ce malgré la couleur politique, les traits de caractère de proximité manquent à Nicolas Sarkozy: 40% des sympathisants de la droite et du centre le trouvent honnête, 19% au Front national et une petite majorité (57%) des partisans des Républicains. Que leur chef se rassure 97% le qualifient de « déterminé » et « dynamique ».

.

Télécoms-Orange : ça va mieux

Télécoms-Orange : ça va mieux

Ça va mieux pour Orange qui semble avoir digérer  la batille des prix lancé par ses concurrents.  Orange a en effet  fait état jeudi d’un chiffre d’affaires et d’un excédent brut d’exploitation (Ebitda) en hausse pour la première fois depuis 2009, notamment grâce à des résultats solides en France, ce qui permet à l’opérateur téléphonique de relever son objectif d’Ebitda sur l’année. Le groupe de télécoms français, le quatrième en Europe, a publié un chiffre d’affaires de 10,28 milliards d’euros au troisième trimestre, en hausse de 0,5% à base comparable, soutenu par la croissance des services mobiles à travers le monde, avec un Ebitda retraité de 3,56 milliards (+1,1%). Les résultats d’Orange sont légèrement supérieurs à ceux attendus par les analystes, à 10,22 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 3,5 milliards d’euros d’Ebitda selon un consensus fourni par l’entreprise. Comme ses principaux concurrents, Orange a été affecté dans le passé par la violente guerre des prix sur le marché français, commencée après l’arrivée en 2012 de l’opérateur à bas coûts Free Mobile, filiale d’Iliad.

L’Insee met des lunettes roses : ça va aller mieux !

 

L’Insee met des lunettes roses : ça va aller mieux !

L’INSEE ne sait plus trop quoi faire pour plaire pouvoir politique dont il dépend. Du coup l’institut ne cesse de prévoir le bout du tunnel pour l’économie. Pour résumer après avoir été très malade la France serait en train de sortir de convalescence. Ce qui est sûr c’est qu’elle ne risque pas la surchauffe puisqu’en réalité INSEE ne prévoit que 0,1 % en plus par rapport aux prévisions initiales du gouvernement. Cette reprise en pente douce s’explique par une accélération des exportations, à la faveur de la baisse de l’euro et des ventes d’aéronautique, tant militaires que civiles, réalisées au début de l’année. Le commerce mondial pâtit certes du ralentissement chinois, mais il reste vigoureux entre pays développés et la France en profite. L’INSEE n’a sommes pendant pas intégré dans ses prévisions le tassement récent et très spectaculaire des ses exportations allemandes victimes elles aussi de la chute de croissance en Chine. Du coup la convalescence pourrait se prolonger encore durant toute l’année 2016. L’INSEE estime aussi que les Français bénéficient d’une faible inflation, leur pouvoir d’achat est trois fois moins amputé qu’en 2013 par les hausses d’impôts. La consommation s’accroît, donc. Malheureusement cette argumentation se fonde sur un indice des prix obsolète qui  fausse la mesure de l’évolution du pouvoir d’achat en francs constants. L’INSEE par contre  sans doute pas tort quand il constate une légère amélioration des résultats financiers des entreprises Les entreprises parviennent ainsi à dégager des moyens financiers plus importants. Leur taux de marge se redresse, à la faveur de la baisse du pétrole (pour moitié) et du Crédit d’impôt compétitivité emploi (pour l’autre moitié), estime l’Insee. Il atteindrait 31,5% de la valeur ajoutée, au plus haut depuis début 2011, après une dégringolade à 29,1% mi-2014. Par contre  INSEE se trompe encore en prévoyant une stabilisation du chômage car les entreprises n’ont pas suffisamment de certitudes pour procéder à des embauches et font face au pic de carnet de commandes avec l’intérim. L’activité économique pourrait être bien plus tonique si le secteur du bâtiment, toujours amorphe, ne plombait pas l’ambiance. Le marasme de la construction coûte 0,4 point de PIB, a calculé l’Insee. Autrement dit, si cette branche connaissait une conjoncture normale, la croissance de la France serait supérieure à 1,5%, le seuil, donc, à partir duquel le chômage a de fortes chances de baisser. « La faiblesse de l’investissement en construction explique le différentiel de croissance avec la zone euro », soulignent les statisticiens.

 

Lien:

  • site poèmes-chansons-théâtre de l’auteur

Economie : léger mieux au Japon

Economie : du mieux au Japon

Même si les exportations demeurent toujours atones en raison de la situation internationale et notamment de la situation de la Chine on enregistre un petit mieux au Japon avec une augmentation des dépenses des ménages. Mais l’emploi, lui, reste toujours mauvais. Les dépenses des ménages japonais ont progressé en août pour la première fois en trois mois, tandis que l’offre de travail est revenue à un niveau sans précédent en plus de deux décennies, montrent des statistiques publiées vendredi. Les dépenses des ménages ont augmenté de 2,9% d’un an sur l’autre, alors que l’estimation médiane tablait sur une hausse limitée à 0,4%. Cette progression, imputable notamment aux achats de voitures, survient après un recul de 0,2% en juillet. Le rapport entre le nombre d’emplois et celui de demandeurs a augmenté à 1,23, un niveau qu’on l’on n’avant plus vu depuis janvier 1992. Le taux de chômage a très légèrement augmenté à 3,4% contre 3,3% attendu par les économistes.

Moral des entreprises : léger mieux mais pas sur l’emploi

Moral des entreprises : léger mieux mais pas sur l’emploi

Il semblerait que le moral des entreprises s’améliore légèrement pour autant on reste dans l’expectative concernant les perspectives de l’emploi. Ce que confirment les  résultats de la quatrième vague de résultats de la Grande consultation réalisée par Opinion Way pour CCI France/La Tribune/ Europe 1, le moral des dirigeants s’est nettement amélioré depuis juillet. En effet, l’indicateur mesurant leur optimisme a fait un bond de 22 unités depuis le dernier sondage de pour atteindre 130 points. Depuis février 2015, date de la première « Grande consultation », l’indicateur a gagné 30 points. Il pourrait encore progresser au cours des prochains mois, 45% des dirigeants interrogés considérant que les perspectives de leur entreprise sont favorables.  » Il est trop tôt pour prédire que c’est le début de la fin … de la crise ! Mais c’est le signe que les réformes qui ont été entreprises vont dans le bon sens. La France a besoin de ce vent de réformes et il faut encore aller plus loin, notamment pour simplifier le quotidien des entrepreneurs. Cette progression de la confiance est un bon signe car c’est de confiance dont les PME ont besoin. D’une confiance malmenée par des systèmes qui changent trop souvent. D’une confiance que de nouvelles normes ne viendront pas entraver le développement. D’une confiance en une solidarité et une équité de traitement au niveau européen « , avance André Marcon, le président de CCI France. Malheureusement, ce regain de confiance ne devrait pas se traduire par une reprise des embauches, du moins à court terme. En effet, 84% des chefs d’entreprises comptent maintenir le nombre de leurs salariés. Ils sont 7% à envisager de les réduire et 9% à prévoir de les augmenter. Une information intéressante concernant l’uberisation de l’économie: elle est désormais réelle pour 21% d’entre eux. Tous les secteurs sont concernés : l’industrie, la construction, le commerce et les services.

Equilibre financier des retraites : ça ira mieux dans 50 ans !

Equilibre financier des retraites : ça ira mieux dans 50 ans

Comme souvent les projections de l’INSEE sont optimistes, pas pour l’immédiat mais dans 50 ans, 45 exactement. En fait un travail de prospective tout à fait approximatif. Il est d’ailleurs plus facile de faire des projections pour les 50 ans qui viennent que pour les 25 ans à venir. Il ira il y aura en effet peu d’observateurs d’aujourd’hui pour vérifier ces hypothèses. La première incertitude concerne le niveau de la croissance, donc celui des rentrées financière. On peut par ailleurs difficilement prévoir l’augmentation de la productivité d’autant que la que les trois quarts de ce qui sera produit d’ici une cinquantaine d’années est encore inconnu. Mais il y aura de toute façon avec les nouvelles technologies une très forte augmentation de la productivité qui pourra affecter le niveau de l’emploi si la croissance n’est pas très forte. Difficile aussi d’hypothéquer sur la démographie. Certes on peut prendre en compte le niveau de fécondité mais ce dernier peut aussi évoluer. Surtout il faut intégrer les conséquences des mouvements migratoires qui peut pourront être bénéfiques( en Allemagne en particulier) pour rajeunir la démographie. Enfin il y a l’espérance de vie et de ce point de vue l’évolution considérable des progrès en matière de médecine pourrait participer à une augmentation sensible de la durée de vie. Du coup les prévisions de l’INSEE paraissent assez hypothétiques et mieux vaudraient déjà assurer l’équilibre financier des retraites pour les 20 ans qui viennent  Selon des projections réalisées par l’Insee et le Trésor pour le compte d’Eurostat, la France, en 2060, « se trouverait donc dans une position relativement favorable pour faire face au vieillissement de sa population par rapport à ses partenaires européens ».  Les auteurs de cette étude estiment que, dans 45 ans, les dépenses de retraites dans le PIB auront baissé « de manière marquée ». Elles passeraient ainsi de 13,8% en 2013 à 11,2% à 2060. Un niveau somme plus toute supportable qu’aujourd’hui. L’Insee décompose quatre phases sur la période 2013-2060. D’ici à 2020, les dépenses de retraites baisseraient d’abord un tout petit peu en pourcentage du PIB (-0,3%) avant toutefois de revenir à leur niveau de 2013 en 2025. Ce n’est qu’à partir de cette dernière année que le poids des retraites va s’infléchir durablement, baissant de 1% du PIB sur la période 2025-2040, puis encore de 1,6% sur 2040-2060.  Les causes de cette sensible amélioration sont multiples. Tout d’abord, les réformes des retraites de 2010 et 2013 vont produire leurs effets.  L’Insee explique par exemple que les mesures entrées progressivement en vigueur ces 5 dernières années se traduiront « toute chose égale par ailleurs à l’horizon 2022 par une baisse de la masse de prestations d’environ 2,7% ». De plus, l‘augmentation de la durée de cotisation permettant de bénéficier d’une retraite à taux plein (jusqu’à 43 ans pour les personnes nées en 1973) atteindra son plein effet en 2035 et « devrait limiter la croissance des pensions », explique l’institut.  Mais la projection de l’Insee table aussi sur une meilleure conjoncture économique. L’Insee a en effet construit ses prévisions en tablant sur un taux de chômage à long terme de seulement 7,5% ainsi que sur une accélération de la croissance de la productivité (+1,5% sur la période 2040-2060). Autant d’éléments qui, selon l’institut, vont alléger le poids

Isabelle Balkany : « Je n’aurais pas dû faire de politique», ……si pour s’enrichir, c’est mieux !

Isabelle Balkany : « Je n’aurais pas dû faire de politique», ……si, pour s’enrichir,  c’est mieux !

Le problème des Balkany c’est qu’ils vivent dans un monde virtuel en pensant avoir mérité leur fortune. En fait c’est la corruption et les pots de vin qui ont permis leur enrichissement. De ce point de vue les Balkany sont bien incapable de prouver l’origine des fonds ayant servi à la constitution de leur luxueux patrimoine foncier notamment. Du coup Isabelle Balkany politise les mises en accusation dont elle est  l’objet et regrette même d’avoir fait de la politique. Curieux car c’est précisément cette politique qui lui a permis de devenir riche.  Elle n’a pas complètement tort quand elle affirme que derrière tout cela c’est aussi Sarkozy qui est visé. Sarkozy dont l’avocat associé a été mouillé dans le montage sulfureux pour l’acquisition de la luxueuse villa du Maroc. D’où il est vrai la solidarité réciproque entre les Balkany et Sarkozy. Pourtant « Y a rien », pour Patrick Balkany. Les biens du couple ont beau avoir été saisis cette semaine, le maire de Levallois-Perret veut rester tranquille. Même un été privé de passeport, il jure que cela ne l’affecte pas : « J’ai déjà beaucoup voyagé dans ma vie, à chaque âge ses plaisirs », philosophe-t-il. Il passe justement le week-end dans le moulin de Giverny (Eure), dans le viseur des juges, pour fêter ses 67 ans. « On sera quatre amis, les enfants et les petits-enfants, et le menu, c’est salade de crudités, voyez qu’on n’est pas bling-bling », peste Isabelle Balkany au bout du fil depuis la Normandie. Une longue séance téléphonique qui commence par une diatribe ponctuée de refrains : sur « vous les journalistes qui dites n’importe quoi », « le secret de l’instruction bafoué en permanence on sait bien par qui », « tout cela pour atteindre Nicolas »… Comme une pluie de grêle de reproches, mais qui au bout du compte se terminera par une confidence : « Je n’aurais pas dû faire de politique. » On objectera que les Balkany ne sont sans doute pas les seuls politiques à avoir mis les doigts dans le pot de confiture. Certes la majorité de la classe politique n’est sans doute pas concernée pour autant des petits avantages s’ajoutant petits arrangements permettent  à nombre de politiques d’accumuler des fortunes suspectes eu égard à leurs revenus. Ce n’est d’ailleurs sans doute pas un hasard si la loi rend confidentiel l’état du patrimoine des députés ;  état qui ne peut être divulgué de manière publique. Une curieuse conception de la transparence. Tous pourris certainement pas, mais trop qui confondent  le mandat politique avec un métier et qui se laissent  enivrer par le parfum d’affaires.

Sondage confiance des patrons : du mieux mais encore des doutes

Sondage confiance des patrons : du mieux mais encore des doutes

 

Il y a du mieux en matière de confiance chez les patrons mais c’est loin encore être l’euphorie. Cette confiance s’améliore un peu pour autant il ne semble pas que les patrons soient encore décidés à s’engager de manière significative dans le développement de l’investissement. Pour l’emploi les prévisions sont aussi modestes  seulement 14 % des patrons envisagent d’augmenter le nombre de salariés. Cela dans un environnement plutôt favorable avec la dépréciation de l’euro de plus de 15 % depuis le début de l’année, des taux d’intérêt très bas et la baisse des prix du pétrole. Cet environnement devrait toutefois permettre d’améliorer les marges. C’est un préalable pour envisager ensuite l’augmentation des  investissements et seulement après croissance de l’emploi. En fait l’avenir sera surtout conditionné par l’évolution des carnets de commandes ;  une évolution en très légère augmentation mais hésitante. D’après les chiffres semestriels de l’Observatoire Banque Palatine des PME-ETI, publiés ce mardi 28 juillet, 39% des dirigeants d’entreprise se disent confiants dans les perspectives de l’économie française pour les six prochains mois. A l’été 2014, ils n’étaient que 17% à se montrer aussi optimistes, une proportion qui avait ensuite chuté à 12% en décembre dernier, l’un des plus bas niveaux jamais enregistrés depuis la création de cet observatoire, en 2010. Surtout, à 39%, la confiance des patrons de PME et d’ETI revient à son niveau de juin 2011, avant l’éclatement de la crise des dettes souveraines dans la zone euro. Certes, leur confiance dans l’économie du pays avait bondi de 15 points au cours du seul mois de janvier 2015, en raison sans doute d’un « effet Charlie », de la même façon que les manifestations contre les attentats terroristes avaient eu un impact important sur la confiance des ménages. Mais cette embellie s’est poursuivie, puisque la confiance des dirigeants d’entreprise dans l’économie française a encore grimpé de 12 points, de janvier à juin. 2015 année qui devrait s’achever sur un chiffre d’affaires en hausse, pour 37% des patrons de PME et d’ETI interrogés dans le cadre de l’Observatoire Banque Palatine, contre 16% « seulement » anticipant une baisse de leur activité et 47% pronostiquant une stagnation. « Depuis la fin de l’année 2014, les prévisions sont de plus en plus optimistes, avec davantage de déclarations de croissance que de décroissance », souligne l’étude. Sur le front de l’emploi également, les courbes d’augmentation et de réduction des effectifs ont enfin commencé à s’inverser, depuis janvier. Ainsi, 14% des dirigeants de PME et d’ETI interrogés prévoient d’accroître le nombre de leurs salariés au cours des six prochains mois, alors qu’ils ne sont « que » 11% à envisager au contraire de le baisser. Une tendance qui « devra être confirmée au second semestre pour que l’on puisse parler de réelle reprise de l’emploi », prévient l’Observatoire. L’indice d’investissement incite, lui aussi, à la prudence : à 108 points, un niveau certes qualifié de « correct » par l’Observatoire, il stagne cependant depuis le début de l’année.

Croissance Japon : très léger mieux

Croissance Japon : très léger mieux

Une petite amélioration constatée au Japon concernant la production industrielle. Ces résultats de juin sont toutefois à relativiser compte tenu du recul constaté en mai. La production industrielle japonaise a progressé de 0,8% au mois de juin, amorçant ainsi un léger rebond après la forte baisse enregistrée le mois précédent, montrent des statistiques publiées jeudi par le gouvernement. D’un mois sur l’autre, la hausse est supérieure à celle de 0,3% que prédisaient les économistes et elle fait suite à un recul de 2,1% en mai. Les groupes manufacturiers interrogés par le ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie disent s’attendre à une hausse de 0,5% en juillet suivie d’une progression de 2,7% en août. Ces perspectives seront toutefois à confirmer qu’on peut tenu d’une part du ralentissement de la consommation et des commandes extérieures. Des commandes extérieures qui dépendent notamment de l’évolution de la situation en Chine. Une Chine pour l’instant empêtré dans ses problèmes d’endettement et de chute boursière et dont la croissance est hypothéquée par l’atonie de la production industrielle et des carnets de commandes extérieures relativement à plat

Croissance : du mieux mais pas le Pérou

Croissance : du mieux mais pas le Pérou

 

Dernier bilan de l’INSEE. Et une prévision confirmée de 1.2% pour le PIB en 2015.  Au premier trimestre 2015, la contribution de la demande intérieure finale a été positive de 0,6 point (+0,5 point dans les premiers résultats) et celle de la variation des stocks de 0,5 point (inchangé). Le commerce extérieur y a en revanche contribué négativement à hauteur de 0,5 point (inchangé). Les dépenses de consommation des ménages ont progressé de 0,9% (+0,8% dans les premiers résultats) et l’investissement s’est contracté de 0,1% (-0,2%) même si celui des entreprises a augmenté de 0,3 point (+0,2%). Le pouvoir d’achat des ménages s’est redressé, avec un revenu disponible brut en hausse de 1,2% au premier trimestre. Les prix à la consommation ont légèrement diminué de 0,1%, si bien que le pouvoir d’achat du revenu des ménages a augmenté de 1,3% (après -0,1% fin 2014). Au niveau individuel, il progresse de 1,2% (après -0,2% fin 2014). Le taux d’épargne des ménages a légèrement progressé à 15,3% contre 15% à fin 2014 et 15,2% à la fin du premier trimestre 2014. La masse salariale a augmenté de 0,7% après +0,3% sur les trois derniers mois de 2014. Le taux de marge des entreprises non financières a augmenté de 29,8% à 31,1%, atteignant son plus haut niveau depuis le premier trimestre 2011. Le déficit des administrations publiques s’élevait à 4,0% du PIB au premier trimestre. L’Insee a annoncé la semaine dernière prévoir une croissance de 0,3% au deuxième et au troisième trimestres 2015 puis de 0,4% au quatrième, qui porterait la croissance annuelle à 1,2%.Le gouvernement, qui continue de tabler sur une croissance de 1,0% cette année, a estimé que cette prévision de l’Insee confirmait que la France était « clairement rentrée dans une phase de reprise de l’activité ».

Chômage : ça ira mieux demain » , en 2016 ( Unedic)

Chômage : ça ira mieux demain » , en 2016 ( Unedic)

 

Le chômage va encore augmenter en 2015 mais moins que prévu, en gros ce sera « moins grave que si c’était pire ». Du coup pour masquer la triste vérité l’Unedic annonce que ça ira mieux demain…en 2016. Evidemment l’Unedic n’en sait strictement rien car tout dépendra de la croissance ;L’Unedic ferait mieux de faire des prévisions sur les conditions d’amortissement de sa dette car le déficit sera encore record en 2015 : plus 5 milliards ! Soit une dette de l’ordre de 30 milliards .  L’Unedic prévoit doncque le chômage progressera encore cette année avec une hausse du nombre de demandeurs d’emploi de 12.000 sans aucune activité (catégorie A) et de 146.000 au cumul des catégories A, B et C. Mais une baisse débuterait au second semestre pour les premières.  Ces prévisions corrigent fortement celles de janvier, qui tablaient sur 104.000 chômeurs supplémentaires en catégorie A cette année. Selon l’organisme gestionnaire de l’assurance-chômage, le nombre total de demandeurs d’emploi en catégorie A serait de 3.513.000 fin 2015, après 3.501.000 l’an dernier. En ajoutant les catégories B et C, celles des chômeurs exerçant une activité réduite, ce nombre atteindrait 5.362.000 après 5.216.000. En 2016, le nombre de chômeurs sans activité devrait baisser de 68.000 pour atteindre 3.445.000.  En incluant les catégories B et C, leur nombre total reculerait de 30.000 à 5.333.000. Le taux de chômage au sens du BIT repasserait en deçà de la barre des 10% en 2015 à 9,9%, puis baisserait à 9,7% en 2016. L’organisme gestionnaire de l’assurance chômage prévoit que le déficit de cette dernière augmentera cette année pour atteindre 4,6 milliards d’euros, après 3,8 milliards en 2014, dans ses nouvelles prévisions financières présentées mardi.

 

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

Michel Rocard pense à juste titre que l’union européenne pourrait se passer du Royaume Uni  .Il a sans doute raison car les négociations qu’entame Cameron avec l’Union seront sans doute désastreuses  pour l’Europe.  En fait Cameron est en train de négocier une  nouvelle série d’exceptions . d’abord il veut tirer encore davantage d’ argent de l’union  alors qu’il a déjà  un régime d’exceptions (comme sur le reste). Ensuite, il va demander que Bruxelles  ne puisse prendre des orientations qui  s’imposent  au  Royaume uni.  Du coup nombre de pays vont s’engager dans la brèche  : en gros moins de programmes européens et moins d’intégration alors qu’il y a un urgent besoin  d’intégration en matière de politique étrangère, de politique industrielle, d’investissement ou encore d’immigration. ? Ce sera un encouragement tous les nationalismes.  L’Europe n’ est certes pas  sans défaut mais elle risque d’être  encore un peu plus paralysé..

 

L’ancien Premier ministre affirme

« La Grande-Bretagne est un très grand pays qui a toujours refusé que l’Europe s’immisce dans ses affaires. Elle a bloqué tout approfondissement de l’intégration (…) S’ils s’en vont, il devient possible de répondre au besoin de commandement dans l’Europe. Même l’Allemagne s’en rend compte et le demande. » Il a même insisté, affirmant à propose de ce départ hypothétique: « je l’espère bien car depuis le temps qu’ils empêchent [L'Union européenne] de se développer, ils l’ont tuée ». Et de pointer les sondages outre-Rhin qui « montrent que le peuple anglais veut en finir avec l’Europe« . A ce sujet, les sondages signalent de fortes fluctuations dans l’opinion. Début 2013, la moitié des Britanniques se déclaraient ainsi favorables à un départ selon une enquête réalisée pour le Financial Times. Plus récemment, un sondage YouGov pour le Sunday Times  signael que si un référendum sur le sujet avait lieu, 40% des électeurs d’outre-Manche voteraient « non » et 34% « oui ».  L’ex-chef du gouvernement français se montre particulièrement critique vis-à-vis du monde de la finance britannique qu’il juge responsable des blocages:  « Les élites anglaises ont peur de l’isolement qui en résulterait, susceptible d’affaiblir la City. Mais la banque anglaise fait partie des facteurs paralysants aujourd’hui, elle est hautement plus spéculative que les autres. C’est une paralysie pour l’économie réelle ».  Le Premier ministre David Cameron a promis de consulter les Britanniques sur ce sujet en cas de victoire des conservateurs lors des prochaines élections législatives en 2015. .  Dans l’opposition, Ed Miliband, le chef de file des travaillistes a réaffirmé sa position europhile dans les colonnes du Financial Times.  »Nous croyons fermement que le futur du Royaume-Uni est dans l’Union  », a-t-il affirmé. Le socialiste Michel Rocard, lui y croit beaucoup moins…

Croissance France :secteur manufacturier toujours dans le rouge mais du mieux

Croissance France :secteur manufacturier   toujours dans le rouge mais du mieux

 

Le secteur manufacturier est toujours dans le rouge mais il ya quand même un léger mieux. En avril. l’activité dans le secteur privé français a crû pour le quatrième mois consécutif en mai grâce au secteur des services, la contraction du secteur manufacturier étant la plus faible depuis un an, selon la première version « flash » des indicateurs PMI de Markit publiés jeudi. L’indice du secteur manufacturier a progressé à 49,3 contre 48,0 en avril, atteignant son plus haut niveau depuis mai 2014 mais restant sous la barre de 50 qui sépare croissance et contraction de l’activité. L’indice du secteur des services a quant à lui progressé à 51,6 contre 51,4 en avril, se maintenant au-dessus de la barre de 50 pour le quatrième mois d’affilée. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un indice manufacturier en hausse à 48,5 et un indice des services en hausse à 51,9. L’indice composite, qui regroupe des éléments des deux indices sectoriels, a progressé à 51,0 contre 50,6 en avril, restant dans la zone d’expansion pour le quatrième mois consécutif. L’indicateur d’emploi signale quant à lui une croissance pour le troisième mois de suite, grâce aux services. Selon Jack Kennedy, économiste chez Markit, « l’activité du secteur privé français a à nouveau crû modestement en mai, suggérant que l’expansion économique se poursuit au deuxième trimestre ». Dans les services, qui demeurent le moteur de cette croissance, l’optimisme des dirigeants progresse à nouveau, souligne-t-il.

 

1...678910



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol