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Le déficit commercial : du mieux… mais

Le déficit commercial : du mieux… mais

 

 

Certes il y a du mieux pour le déficit commercial de la France qui au mois d’août a eu tendance à diminuer. Reste que ce déficit est à comparer à l’énorme excédent de l’Allemagne.  Le déficit commercial de la France s’est nettement réduit en août, à 4,5 milliards d’euros, se rééquilibrant après des importations élevées le mois précédent dans l’industrie aéronautique et spatiale, ont annoncé vendredi les Douanes. Par rapport à juillet, le déficit commercial a diminué de 1,4 milliard d’euros. En revanche, sur douze mois, le déficit cumulé de la France s’affiche en hausse à 62,2 milliards d’euros, contre 48,1 milliards pour la même période un an plus tôt. Comme l’an passé, le déficit commercial de la France est toujours largement déficitaire et s’inscrit sur une tendance de 60 milliards par an alors que dans le même temps l’Allemagne, elle, va sans doute connaître un nouvel excédent d’environ 300 milliards en 2017.

 

Economie française : des indicateurs mieux orientés

Economie française : des indicateurs mieux orientés

La bonne nouvelle c’est évidemment une certaine reprise de l’activité qui pourrait conduire le PIB français à augmenter de 2% en 2017 avec une  légère baisse chômage et des créations nettes d’emplois Le chômage est revenu à son niveau de début 2012, juste avant que François ­Hollande s’installe à l’Élysée. Cependant  le taux de 9,1% reste près de deux fois supérieur à celui des meilleurs élèves européens dont l’Allemagne. Cette croissance provient surtout d’une bonne tenue de la consommation avec  toutefois un revers de la médaille : cela accroît le déficit commercial. Faute de compétitivité, chaque fois la croissance progresse grâce à la consommation, mécaniquement les importations progressent et la balance commerciale est encore plus déséquilibrée. La France est inscrite sur une tendance de 50 milliards de déficits tandis que l’Allemagne dégage un bénéfice de 300 milliards par an  pour les échanges extérieurs. Le bâtiment va retrouver en 2017 un niveau de mises en chantier plus en phase avec ses belles années. L’automobile affiche des taux de croissance significatifs. La meilleure tenue du tourisme profite à l’hôtellerie et à la restauration. À noter cependant encore une insuffisance du niveau des investissements qui traduit encore les incertitudes des chefs d’entreprise même si globalement le moral des patrons s’est notoirement amélioré y compris dans les petites. Reste que la France ne peut être à l’abri des soubresauts internationaux à particuliers de ce qui affecte les États-Unis. Des États-Unis de plus en plus dans le doute quant à l’efficacité de la politique de Trump et qui pourrait voir son PIB progresser seulement de  2%. ; . Autre inquiétude le ralentissement possible de la Chine. En attendant,  Macron  contribue à faire monter la confiance des acteurs économiques comme en témoigne les sondages concernant les patrons.

Croissance France : du mieux

Croissance France : du mieux

Pour la Banque de France, la plupart des indicateurs économiques sont désormais revenus au vert d’après  son enquête mensuelle de conjoncture auprès des chefs d’entreprise. On  observe un rebond de la production industrielle en juillet qui devrait se poursuivre en août. Ce rebond est particulièrement important dans les secteurs de l’automobile, du plastique-caoutchouc et de la métallurgie. «Les carnets de commandes sont bien garnis, les stocks de produits finis sont revenus à leur bas niveau de 2010», précise la Banque de France. Par ailleurs, indique l’institution monétaire, l’activité dans le secteur du bâtiment continue de croître et les services restent toujours «dynamiques». C’est sans aucun doute une bonne nouvelle pour le président Emmanuel Macron. Et pour cause, si la croissance progresse bel et bien de 1,6 % en 2017 et non de 1,4 % comme initialement envisagé, les efforts budgétaires que l’exécutif doit réaliser encore cette année pour respecter les règles budgétaires européennes d’un déficit public à 3% pourraient ainsi être moins importants. Une révision à la hausse de la croissance se traduit en effet par une augmentation des recettes fiscales.

 

Croissance zone euro: du mieux pour le FMI

Croissance zone euro: du mieux pour le FMI 

 

 

Alors que la croissance devrait se tasser  aux États-Unis et en Grande-Bretagne, l’activité devrait s’améliorer un peu pour la zone euro. «Les surprises positives de l’activité à la fin 2016 et au début 2017 laissent entrevoir une solide dynamique», souligne le FMI qui estime que le rebond conjoncturel devrait être plus fort en Europe où les risques politiques se sont atténués. En Allemagne (+1,8% en 2017), en Espagne (+3,1%), en France (+1,5%), dont le FMI a détaillé la situation la semaine dernière, et en Italie (+1,3%) où la croissance au premier trimestre a dépassé les attentes, la demande intérieure est plus vigoureuse que prévu. Enfin, l’Asie aussi est sur la bonne pente, notamment la Chine (+6,7%) et le Japon (+1,3%). Les prévisions pour la croissance chinoise ont été révisées à la hausse, en raison de la vigueur du premier trimestre 2017 et du maintien prévu de l’accompagnement budgétaire. Attention, nuance toutefois le FMI en pointant notamment les risques liés à la Bourse, aux politiques monétaires ou encore à la nature de la croissance chinoise, soutenue par une forte hausse du crédit. «La vigueur des valorisations sur les marchés et la très faible volatilité» dans un environnement incertain «augmentent les probabilités d’une correction des marchés», ce qui pèserait sur la croissance et sur la confiance. Aux États-Unis, la normalisation de la politique monétaire (c’est-à-dire la poursuite de la hausse des taux d’intérêt) pourrait provoquer un durcissement plus rapide que prévu des conditions financières mondiales, détaille l’institution, qui rappelle par ailleurs que ces taux de croissance mondiale se situent toujours «en dessous des moyennes d’avant-crise».

Emploi : un léger mieux

 

Emploi : un léger mieux

L’INSEE constate que le niveau de chômage est toujours élevé avec un taux de l’ordre de 10 % de la population active soit au moins 3 millions de personnes. L’institut statistique note cependant une légère amélioration en 2015 et 2017. À ce rythme il faudrait encore une quinzaine d’années pour résorber le stock de chômeurs. Après les 124.000 créations nettes enregistrées en 2015, la tendance se confirme en 2016, avec 255.000 créations nettes recensées par l’Insee dans l’édition 2017 de l’Insee Références Emploi, chômage, revenus du travail*. Cette amélioration ne relève que de l’emploi salarié pour ces deux années, alors que c’est l’emploi non-salarié qui avait surtout progressé sur les années 2010-2013, porté notamment par la montée en puissance du statut d’auto-entrepreneurs. Cette évolution est liée au fait que l’augmentation du coût du travail a ralenti, selon l’Insee. «Jusqu’en 2012, son évolution moyenne était proche de + 3 % par an. Le coût du travail n’augmente depuis 2013 que d’un peu plus de 1 % par an», en raison notamment du CICE, du Pacte de responsabilité et de solidarité (PRS) et de la prime à l’embauche dans les PME. Ces mesures ont «favorisé l’enrichissement de la croissance en emploi», selon l’Insee. Résultat, le chômage a baissé en 2016. C’est même la première baisse du taux de chômage annuel depuis 2009. Il s’établit à 10,1% de la population active au sens du BIT en France, après avoir augmenté de 2,1 points de 2007 à 2016. Cela représente 3,0 millions de personnes au chômage. Les chiffres de l’Insee varient de ceux de Pôle emploi, qui comptabilise différemment les demandeurs d’emploi, comme nous vous l’expliquons dans notre tableau de bord du chômage mis à jour chaque mois.

 

Économie : du mieux

Économie : du mieux

 

Ce n’est pas encore le Pérou mais il y a du mieux pour la conjoncture économique française ce qui se traduit par une amélioration du moral des ménages qui a progressé au mois de mai après quatre mois de stabilité. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis août 2007. Cet indicateur, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), s’établit à 102 points, soit deux points de plus que sa moyenne de longue période, selon l’organisme public de statistiques. En mai, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est nettement améliorée (+4 points) pour retrouver sa moyenne de longue période, un seuil auquel il était inférieur depuis septembre 2007, souligne l’Insee. L’Insee a ainsi révisé à la hausse la croissance pour le premier trimestre, relevant son chiffre de 0,1 point à +0,4%, dans sa deuxième estimation du Produit intérieur brut (PIB).Cette révision est due notamment à un investissement plus dynamique que constaté lors de la première estimation: il a progressé dans l’ensemble de 1,2%, alors que jusqu’alors sa hausse était estimée à +0,9%. En raison notamment de cette révision, l’acquis de croissance – c’est-à-dire le niveau que le PIB atteindrait si l’activité ne progressait pas sur les trois prochains trimestres – est revu à la hausse, à 0,9% contre 0,7% auparavant. Les dépenses de consommation des ménages français ont par ailleurs rebondi en avril, enregistrant une hausse de 0,5% après deux mois de recul. Cette dynamique s’explique par une hausse des dépenses en énergie, mais aussi par une nette accélération de la consommation de produits alimentaires, précise l’organisme public.

Croissance Japon: du mieux

Croissance Japon: du mieux

 

Une hausse de 0,5% au cours des trois premiers mois de l’année par rapport aux précédents. En rythme annualisé (c’est-à-dire si une telle croissance se poursuivait sur l’ensemble de l’année), la progression ressort à 2,2%. Ces données annoncées sont en phase avec les prévisions des économistes  mais une croissance qui reste fragile car  La production industrielle au Japon a reculé de 1,9% en mars sur un mois, un peu moins qu’annoncé en première approche (-2,1%), a indiqué mercredi le ministère de l’Industrie. Elle a subi un contrecoup après une hausse de 3,2% en février, mais les économistes espéraient qu’elle ne baisserait pas autant.  Le gouvernement de droite, mené par le Premier ministre Shinzo Abe, tend à voir dans cette reprise du premier trimestre qui dure depuis début 2016 les effets de la stratégie de relance « abenomics » initiée à son retour au pouvoir fin 2012. Les investissements non résidentiels des entreprises ont évolué positivement (contrairement à ce pensaient des économistes) de même que la demande publique, grâce aux dépenses du gouvernement central. Mais les analystes notent, à la lumière des indicateurs publiés chaque mois, que les facteurs extérieurs sur lesquels il n’a pas prise (conjoncture mondiale, changes) jouent dans cette embellie, tandis que la consommation des ménages, qui représente plus de la moitié du PIB, même si elle a affiché un petit rebond sur un trimestre, peine à décoller durablement et à être la locomotive.  »La lenteur de la hausse des salaires » est un facteur qui rend les foyers précautionneux, surtout à un moment où l’inflation est censée s’élever, souligne dans une note Marcel Thieliant de Capital Economics.

Du mieux pour les résultats des entreprises européennes.

Du mieux pour les résultats des entreprises européennes.

 

Les marchés européens sont un peu plus confiants.  Ce n’est pas encore l’euphorie mais les entreprises européennes améliorent leur situation financière au premier trimestre ; Une reconstitution des marges qui devrait conforter la reprise des investissements et  la légère reprise économique. A l’instar des publications des sociétés américaines, la saison des résultats trimestriels en Europe s’avère également positive. Les bénéfices des entreprises européennes au premier trimestre sont attendus en hausse de 13,9%, selon Thomson Reuters I/B/E/S. Les investisseurs gardent néanmoins un œil sur l’élection présidentielle française à cinq jours du scrutin et avant le débat prévu mercredi entre les deux finalistes. Selon les récents sondages, Emmanuel Macron l’emporterait au second tour contre Marine Le Pen mais l’écart dans les intentions de vote tend à se resserrer. Les actifs grecs ont par ailleurs réagi à l’accord conclu dans la nuit entre la Grèce et ses créanciers sur la réforme des retraites et de l’impôt sur le revenu, qui ouvre la voie à des négociations sur un allègement de la dette grecque. Outre-Atlantique, Wall Street évoluait sans grand changement à la clôture des marchés européens, la prudence dominant suite aux résultats décevants de la croissance au premier trimestre ( sur uen tendance annuelle de 0.7%) et  avant la décision de politique monétaire de la Réserve fédérale (Fed).Les cours du pétrole sont pour leur part repartis à la baisse, toujours pénalisés par les craintes sur une offre excédentaire même si un prolongement de l’accord de réduction de production des pays membres de l’Opep est attendu fin mai. Sur les marchés des changes, le dollar est stable face à un panier de devises de référence mais a touché un plus haut de six semaines face au yen alors que la demande pour les actifs refuges s’amenuise. Pour les mêmes raisons, l’or (-0,11%) a touché un plus bas de trois semaines.

Sondage : France insoumise mieux représentative de la gauche

Sondage : France insoumise mieux représentative de la gauche  

Selon un sondage Odoxa pour franceinfo, 35% des personnes interrogées placent La France insoumise devant le Parti socialiste (14%) et le mouvement En Marche d’Emmanuel Macron (11%). Quant à Europe-Écologie-Les-Verts, le parti arrive loin derrière (2%) tout comme les formations d’extrême-gauche (1% pour Lutte ouvrière et le Nouveau Parti anticapitaliste). « Logiquement, Jean-Luc Mélenchon domine aussi le palmarès des personnalités qui incarnent le mieux la gauche », note le président d’Odoxa, Gaël Sliman. 45% des Français le préfèrent à Benoît Hamon (14%), Emmanuel Macron (13%), Manuel Valls (12%) ou encore… François Hollande, qui ne récolte que 8%. Cependant Jean-Luc Mélenchon est « déjà en train d’abîmer le socle sur lequel il pourrait ériger sa statue », avertit Gaël Sliman. Entre jeudi 20 avril et lundi 24 avril, c’est-à-dire avant et après le premier tour, il a perdu trois points auprès des Français, six auprès des sympathisants de gauche, et 17 auprès des sympathisants du PS. Jean-Luc Mélenchon paie lourdement son attitude du soir du premier tour où il a sans doute donné aux Français et aux sympathisants de gauche l’image d’un mauvais perdant. Surtout, il a choqué le peuple de gauche en refusant d’appeler clairement à voter contre Marine Le Pen.

*Enquête réalisée en ligne, les 26 et 27 avril 2017, auprès d’un échantillon de 1 003 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Détails par proximité partisane : 231 sympathisants de gauche, 73 sympathisants En Marche !, 166 sympathisants de droite hors FN et 192 du FN.

 

Croissance Chine : du mieux

Croissance Chine : du mieux  

Un léger mieux pour l’économie chinoise cependant hypothéquée par la modeste reprise de la demande internationale et par la bulle financière chinoise L’économie chinoise a progressé de 6,9% au premier trimestre sur un an, un rythme légèrement supérieur aux attentes, montrent les chiffres publiés lundi par le Bureau national de la statistique. Les analystes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne une croissance de 6,8% au premier trimestre, comme au dernier trimestre de l’année dernière. C’est le rythme de croissance le plus soutenu enregistré par l’économie chinoise depuis le troisième trimestre de l’année 2015. Le gouvernement chinois vise une croissance de 6,5% en 2017, légèrement en deçà de l’objectif de l’année dernière, de 6,5-7%, et du taux de croissance de 6,7% enregistré en 2016, le plus faible depuis 26 ans. En rythme trimestriel, la croissance au premier trimestre 2017 est de 1,3%, à comparer avec une progression de 1,7% pour la période octobre-décembre 2016. Les économistes anticipaient un progrès trimestriel de 1,6%. Les ventes au détail, la production industrielle et les exportations ont enregistré une progression supérieure aux attentes au mars. La production industrielle a augmenté de 7,6% le mois dernier et la production d’acier a atteint un niveau sans précédent, selon des calculs de Reuters, signe d’une reprise industrielle globale qui soutient les prix du minerai de fer et du charbon à coke. Ces bons indicateurs sont susceptibles de soutenir les marchés financiers mondiaux, mais ils nourrissent cependant les craintes que Pékin ne s’appuie sur des leviers de croissance peu soutenables et n’accumule les risques liés à la dette. De nombreux analystes anticipent un ralentissement de l’économie chinoise au cours de l’année, à mesure que l’effet des politiques de relance s’atténue et que les autorités locales durcissent leurs politiques de contrôle des prix immobiliers.  La Chine, moteur important de l’économie mondiale, a enregistré l’an passé une performance de 6,9%, au plus bas depuis un quart de siècle. Pékin, qui visait en 2015 une croissance « d’environ 7% », tente de rééquilibrer l’économie chinoise vers la consommation intérieure, l’innovation et les services, en diminuant la dépendance à l’égard des exportations et des investissements, mais la transition s’avère difficile, et le ralentissement de la croissance inquiète les investisseurs.  Le record des nouveaux prêts bancaires et une augmentation de la dépense publique, ont alimenté les craintes des responsables chinois quant à un surendettement et une surchauffe du marché immobilier. La Chine vise une croissance de sa masse monétaire M2 autour de 12% cette année, un objectif inférieur à celui de 2016, autour de 13%. L’objectif de déficit budgétaire est maintenu à 3% du produit intérieur brut (PIB) pour 2017, inchangé par rapport à l’an dernier. Sur l’ensemble de l’année 2016, le produit intérieur brut (PIB) de la deuxième économie mondiale a augmenté de 6,7%, au milieu à peu près de l’objectif du gouvernement qui était compris entre 6,5% et 7%. La croissance de 2016 est la plus faible depuis 26 ans. La Chine va continuer à appliquer une politique budgétaire proactive et une politique monétaire prudente, a déclaré dimanche le Premier ministre, ajoutant que le gouvernement mettrait en oeuvre des réformes axées sur l’offre et prendrait des mesures pour garantir la sécurité du secteur financier. « En général, la position de politique de la Chine s’est tournée vers le ‘contrôle des risques’ et le ‘dégonflement des bulles’. Cela veut dire que la politique monétaire va graduellement se resserrer », estime Zhou Hao, économiste spécialiste des marchés émergents pour Commerzbank AG à Singapour.

La Russie qui attaque Macron ferait mieux de s’occuper d’elle-même

La Russie qui attaque Macron ferait mieux de s’occuper d’elle-même

 

De nombreux médias notamment des sites Internet ne cessent d’attaquer la France et Macron en particulier. Des médias clairement identifiés comme russes ou des médias avec des faux-nez financés par les services secrets russes. Deux médias financés par le Kremlin, Sputnik et RT, ont publié dans leurs colonnes des rumeurs portant sur la « double vie » de l’ex-locataire Bercy, colportées par le député LR pro-Assad et pro-russe Nicolas Dhuicq. Le candidat y est présenté comme « le ‘chouchou’ ou le ‘chéri’ des médias français », soutenu par un « très riche lobby gay ». Évoquant aussi les liens du candidat avec des banques américaines, Nicolas Dhuicq estime que des « détails controversés sur la vie privée et des relations [d'Emmanuel Macron] vont être rendus publics ». Si le principal concerné s’est aussitôt amusé de ces rumeurs, les médias américains observent avec inquiétude ce qui se trame du côté de Moscou. « Les médias russes sautent sur un candidat à la présidentielle française avec des rumeurs et des insinuations », titre le Washington Post. Poutine qui utilise toujours les méthodes du KGB ferait mieux de s’occuper de la Russie  en plein désastre économique. Une Russie comparable à un pays sous développé où la croissance est nulle, où le pouvoir d’achat s’écroule et ou l’inflation galope. Un pays ou en moyenne le salaire sert de l’ordre de 500 euros, où 12 millions de russes vivent avec environ 100 euros et où les retraites sont de 200 euros.  Après deux ans de crise, la Russie attend toujours la reprise: son économie a confirmé pendant l’été sa progressive stabilisation sans renouer avec la croissance, espérée pour cette fin d’année mais prévue faible pour longtemps. Selon une première estimation publiée lundi par l’agence des statistiques Rosstat, le produit intérieur brut s’est contracté de 0,4% sur un an au troisième trimestre. Ce recul, conforme à l’estimation du ministère de l’Economie, est moins fort que ceux observés aux premier (-1,2%) et deuxième (-0,6%) trimestres. Il confirme l’essoufflement progressif de la plus longue crise frappant la Russie depuis l’arrivée au Kremlin de Vladimir Poutine il y a 16 ans, provoquée fin 2014 par l’effondrement des cours du pétrole et les sanctions imposées par les Occidentaux en raison de la crise ukrainienne. Cette récession, accompagnée d’une envolée des prix, a porté un coup dur au pouvoir d’achat des Russes, notamment les plus modestes. Le ministre de l’Economie Alexeï Oulioukaïev a estimé la semaine dernière que le chiffre du quatrième trimestre serait positif. Son ministère prévoit une contraction de 0,6% du PIB sur l’ensemble de 2016, après une chute de 3,7% en 2015, et une croissance d’environ 1% en 2017.

 

Croissance Chine : du mieux en janvier

Croissance Chine : du mieux en janvier

 

Les exportations chinoises ont progressé en janvier à un rythme supérieur aux attentes, comme les importations qui ont elles aussi dépassé les anticipations des analystes, montrent les chiffres préliminaires officiels. Les exportations ont progressé de 7,9% le mois dernier (+3,3% attendus), tandis que les importations ont augmenté de 16,7% (+10% attendus), faisant ressortir un excédent commercial de 51,35 milliards de dollars. La croissance des services a conservé un rythme élevé en janvier en Chine, malgré un léger tassement par rapport à décembre, montre l’enquête Caixin/Markit auprès des directeurs d’achats publiée lundi. L’indice PMI des services s’établit à 53,1 en janvier sur une base ajustée des variations saisonnières, contre 53,4 en décembre.  L’activité manufacturière a continué de se développer en janvier pour le septième mois consécutif, mais à un rythme inférieur aux attentes, montre l’enquête Caixin/Markit publiée vendredi. L’indice PMI manufacturier mesuré par cette étude privée s’est établi à 51,0 le mois dernier, sur une base ajustée des variations saisonnières, en baisse après 51,9 en décembre. Les économistes anticipaient un indice à 51,8. Avec sept mois de progrès, la production manufacturière chinoise connaît sa plus longue période d’expansion depuis 2011.

Moral patron : du mieux ?

Moral patron : du mieux ?

Un léger mieux pour l’économie en 2017 d’après une enquête réalisée auprès des patrons au plan international mais avec quand même des les incertitudes relatives à la politique de Trump et aux conséquences du brexit. Vingt-neuf pour cent des près de 1.400 chefs d’entreprise interrogés disent prévoir une accélération de la croissance mondiale cette année, alors qu’ils étaient 27% en 2016. Au plan international Ils sont 38% à se dire très confiants dans leur capacité à augmenter la croissance de leur chiffre d’affaires en 2017, contre 35% il y a un an — une proportion qui était la plus faible depuis six ans. Les perspectives l’an dernier à la même époque étaient assombries par la chute des cours du pétrole, les craintes d’atterrissage brutal de l’économie chinoise et les incertitudes autour de l’élection présidentielle américaine, a expliqué à Reuters Bob Moritz, le coordinateur de l’étude chez PwC. « Ils (les chefs d’entreprise) s’inquiètent de plus de choses car le monde est devenu plus difficile. Les risques dont ils se préoccupent sont des risques à plus long terme », a-t-il dit, ajoutant que l’étude ne portait que sur les 12 prochains mois, une période trop courte pour dégager toutes les conséquences d’une présidence Trump ou du Brexit. Mais à court terme, la résistance, par exemple, de l’économie britannique à la perspective de sortie de l’Union européenne, après le référendum du 23 juin, rend confiant. Pour ce qui est d’embaucher, plus de la moitié des patrons disent qu’ils comptent augmenter leurs effectifs cette année. Néanmoins, en dépit du léger mieux attendu pour cette année, la confiance des chefs d’entreprise reste un peu en deçà de ce qu’elle était en 2014 et en 2015 et très éloignée de ses niveaux antérieurs à la crise financière mondiale. La principale différence entre avant et après est que les craintes sont maintenant d’ordre politique et non économique. « D’un point de vue économique, la plupart des clients auxquels nous nous adressons sont moins inquiets et certains sont même optimistes », dit John Aurik, directeur général d’AT Kearney, un consultant concurrent de PwC. « Mais pour ce qui est du risque géopolitique, c’est la grande inconnue pour tout un chacun ».

Croissance Chine: du mieux avec l’activité manufacturière

Croissance Chine: du mieux avec l’activité manufacturière

 

La croissance de la Chine semble se stabiliser avec une petite hausse de l’activité manufacturière en novembre. Cette activité a continué d’accélérer en novembre, confortant son net rebond des deux mois précédents et à son rythme de progression le plus rapide depuis plus de deux ans, selon un indicateur officiel confirmant la stabilisation de la deuxième économie mondiale. L’indice des directeurs d’achat (PMI) publié jeudi par le Bureau national des statistiques (BNS) s’est établi à 51,7 le mois dernier, au plus haut depuis juillet 2014, contre 51,2 en octobre et 50,4 en septembre. Un chiffre supérieur à 50 marque une expansion de l’activité manufacturière du géant asiatique.

 

Moral économique : un petit mieux dans la zone euro

Moral économique : un petit mieux dans la zone euro

Pour le moral économique, c’est comme pour la température, il y a la température réelle et la température ressentie. D’après une enquête de la commission européenne cette température ressentie concernant la situation économique s’améliore un tout petit peu dans la zone euro. Un tout petit peu  petit peu qui pourrait d’ailleurs correspondre à la marge d’erreur de l’enquête. Le sentiment économique dans la zone euro a bénéficié en octobre d’une amélioration inattendue, montrent donc vendredi les résultats mensuels de l’enquête de la Commission européenne. L’indice du sentiment économique a progressé à 106,3 après 104,9 en septembre, alors que les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un chiffre en baisse à 104,8. L’indice du climat des affaires est quant à lui remonté à 0,55 après 0,44, alors qu’il était attendu inchangé.

(Reuters)

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