Archive pour le Tag 'mi-temps'

Des polluants éternels dans les pesticides

Des polluants éternels dans les pesticides

Une partie des pesticides uitilisés appartiennent à la famille des PFAS (Polluants éternels) serait beaucoup plus problématique et nocive qu’imaginés jusqu’à présent. C’est la conclusion d’un rapport de l’association Générations Futures.

Dans son rapport, l’association Générations Futures met en lumière la présence de nombreux composés perfluoroalkylés et polyfluoroalkylés (PFAS), aussi connus sous le nom de « polluants éternels » dans les pesticides. Il s’agit d’une molécule très persistante que l’Europe cherche par ailleurs à bannir, sauf pour l’agriculture. Le PFAS est à la fois une substance courante pour la vie quotidienne, puisqu’elle permet de fabrique les poêles Tefal ou les emballages des burgers. Mais c’est aussi une molécule très problématique qui peut rester pendant des générations dans l’environnement.

Trente substances sont toujours autorisées et presque un tiers contient des molécules persistantes ou très persistantes. Pour Générations Futures, c’est une introduction, et donc une contamination délibérée des PFAS dans notre alimentation et dans l’environnement. Mais, toujours d’après l’association, cela reste un angle mort dans les efforts qui sont déployés par l’Europe pour tenter de sortir des PFAS.

FOO-PSG: NEYMAR , la star à mi-temps

PSG: NEYMAR , la star à mi-temps

 

Une nouvelle fois la star brésilienne est sortie blessée d’un match ( Contre Saint-Étienne). Ce n’est pas la première ni la dernière fois. En réalité depuis son arrivée au PSG, Neymar ne joue qu’à mi-temps et sa prestation n’est satisfaisante qu’une fois sur deux. En clair, le PSG utilise Neymar à 25 %.

Certes les joueurs blessés ne sont pas le plus souvent responsables des incidents qui les handicapent cependant il est clair que Neymar n’a plus du tout le physique à la hauteur de sa manière de jouer et de sa technique. L’intéressé a pour particularité de garder très souvent longtemps le ballon, de tenter des dribbles impossibles mais le physique ne tenant pas il est régulièrement dépossédé de la balle. En outre ,il est régulièrement blessé en cas de contact. En cause ,évidemment une hygiène de vie très discutable que les dirigeants parisiens n’osent même pas mettre en cause. Il est clair que si l’intéressé jouait dans une équipe britannique la place qu’il occuperait serait celle du banc des remplaçants. En France, la gestion est beaucoup plus laxiste vis-à-vis des footballeurs sénateurs certains de jouer en dépit de prestations très insuffisantes. C’est toute la différence entre le football britannique de club et le football français.

Temps partiel thérapeutique pour les malades à mi-temps !

Temps partiel thérapeutique pour les malades à mi-temps !

 

 

C’est à peu près tout ce qu’a trouvé le gouvernement pour tenter de réduire la facture de 10 milliards que représentent  les arrêts maladie. Pour caricaturer,  le salarié serait malade à mi-temps ! Certes dans certains cas cette solution peut être opérationnelle mais elle va poser de redoutables problèmes d’organisation du travail sans parler évidemment de son efficience concernant la santé. La vraie question est de savoir si ces arrêts de travail sont ou non justifiés. S’ils ne le sont pas à la il faut prendre les sanctions qui s’imposent. S’ils le sont,  et c’est le cas le plus fréquent, mieux vaut un arrêt total pour soigner réellement la pathologie qu’un bricolage thérapeutique temporel susceptible de détériorer encore la santé du patient. Mais la préoccupation du gouvernement est moins sanitaire que financière.  Les arrêts de plus de six mois représentent 7% du total des interruptions de travail mais engendrent 44% des dépenses. Les arrêts de moins de sept jours, ceux qui connaissent la plus forte hausse, représentaient à l’inverse 44% des interruptions, mais seulement 4% de la dépense globale. Au total, les dépenses liées aux indemnisations versées pour arrêts maladie s’élevaient à 10,3 milliards d’euros en 2017, selon le dernier rapport de la Commission des comptes de la Sécurité sociale. La dématérialisation des déclarations permet par ailleurs d’alléger les coûts et de simplifier les échanges, estiment les deux ministères. Seules 40% des déclarations se font en ligne. Actuellement, un patient dispose de 48 heures pour envoyer par courrier sa feuille d’arrêt à sa caisse d’Assurance maladie et à son employeur, un délai qui rend difficile les contrôles lors d’arrêts de moins d’une semaine. Pour les responsables de la mission mandatée par le gouvernement, le professeur en médecine générale Stéphane Oustric, le directeur des ressources humaines de Safran, Jean Luc Bérard, et le conseiller-maître à la cour des comptes Stéphane Seiller, la hausse des coûts est principalement due à l’augmentation de la masse salariale et à l’augmentation du taux d’activité des seniors. Ils jugent que les conditions de travail ont “certainement” un impact sur le nombre d’arrêts maladie et que l’intensification du travail peut “participer dans la longue durée à l’augmentation tendancielle des dépenses” mais n’expliquent pas “les causes des évolutions récentes”.

Foot-Pays-Bas – France : les français à mi-temps

Foot-Pays-Bas – France : les français à mi-temps

D’une certaine manière les Français ont joué à mi-temps dans cette rencontre en réussissant cependant à engranger une victoire étroite mais capitale. La France a en effet  présenté deux visages, un visage très entreprenant et très technique en première mi-temps en s’assurant totalement de la maîtrise du jeu. Par contre en seconde mi-temps la France c’est trop recroquevillée sur ses bases arrière. Il faudra sans doute jouer plus d’une mi-temps pour continuer l’aventure de la qualification en coupe du monde. Des satisfactions à retenir celle de la défense en général relativement solide surtout en défense centrale. Le milieu a également été satisfaisant en particulier Pogba  qui a épuré son jeu, montré beaucoup de justesse et marqué un magnifique but. L’attaque par contre à été moins brillante et surtout moins opportuniste que lors du dernier match contre la Bulgarie. Paillet et Gameiro ont été un peu un ton un peu en dessous. Les notes de RTL.

Hugo Lloris : 7

Encore un match sans erreur pour le portier français, auteur d’une énorme parade en fin de rencontre, sur une frappe à bout portant de Depay. Une parade qui pourrait valoir beaucoup à l’heure des bilans.

Djibril Sidibé : 5,5

Il est impressionnant par sa vitesse et sa débauche d’énergie. Son apport offensif est indéniable, bien que terni par quelques mauvais choix. Si les Orange ont réussi à passer quelques fois de son côté, il a moins payé que Kurzawa sa volonté de se projeter vers l’avant. On en redemande.

Raphaël Varane : 7

Très bon contre la Biélorussie, Varane a confirmé face aux Pays-Bas, avec une prestation sans faille et quelques interventions de classe venues rappeler qu’il est de la trempe des très grands. En perte de vitesse avant l’Euro, le Madrilène revient en très grande forme, et c’est une excellente nouvelle pour les Bleus.

Laurent Koscielny : 6,5

Il s’en sort très bien sur une main non sifflée dans sa surface en première période, aussi flagrante qu’involontaire. Pour le reste, un match très propre, notamment après la pause, quand les Bleus ont beaucoup plus subi.

>> Riolo : « Les Bleus restent en tête »

Layvin Kurzawa : 5

Il a bien démarré, avec une belle participation au jeu quand l’équipe de France maîtrisait son sujet avant de finir dans le dur. L’homme qui a centré en coup du foulard en première période est redescendu de son nuage après la pause, avec beaucoup d’actions néerlandaises dans son couloir. Il n’en reste pas moins une belle promesse.

Paul Pogba : 7,5

Pour la première fois en équipe de France, Pogboum a fait honneur à son surnom made in Turin. Après 60 tentatives depuis ses débuts en Bleu, le milieu de terrain a finalement marqué depuis l’extérieur de la surface, d’une frappe à la trajectoire trop flottante pour un Stekelenburg légèrement fautif. Un but qu’il a célébré sans joie, avec une moue qui semblait dire « Eh oui, c’est ça Paul Pogba », mais qui lui a visiblement fait du bien, vu la qualité de ses ouvertures jusqu’à la fin du match.

>> La grosse frappe de Pogba qui trompe Stekelenburg

Blaise Matuidi : 6,5

Les Pays-Bas lui réussissent généralement très bien (deux buts et quatre passes décisives sur les deux derniers matches face aux Oranje). Et Blaise Matuidi, dans un registre plus discret, a une nouvelle fois été à la hauteur, avec notamment un sans-faute en première période, à 54 passes réussies sur 54 tentées. Dans ce système qui lui laisse un peu moins d’espace pour se projeter, il a tenu son rôle de travailleur de l’ombre avec sobriété et efficacité.

Moussa Sissoko : 6

Il a fait du mal avec son physique décidément au-dessus de la mêlée. Son association avec Sidibé semble pleine de promesses, même si on souhaiterait le voir un peu plus fin dans les trente derniers mètres.

Dimitri Payet : 4,5

Il a commencé tout feu tout flamme, avec notamment un petit pont somptueux réussi côté gauche. Mais la confiance n’a pas que du bon. Il a par la suite multiplié les approximations, dont une passe en retrait plein axe qui aurait pu coûter cher. Remplacé par Martial à la 67e : non noté, et heureusement pour lui, car ce n’était pas du tout ça pour lui non plus.

Antoine Griezmann : 5

Alors que les projecteurs étaient logiquement braqués sur son association avec Gameiro, étincelante face à la Biélorussie, c’est un petit Griezmann que l’on a vu à Amsterdam, avec notamment une contre-attaque très mal gérée en fin de rencontre. On attend plus de lui.

Kévin Gameiro : 5

Gameiro aura donc attendu ses 29 ans pour aligner deux titularisations de rang avec les Bleus. Avec moins de réussite que la précédente. Très rarement trouvé par ses coéquipiers, il perd son duel face à Stekelenburg, après un contrôle magnifique dans la surface, sur une longue ouverture de Pogba. A revoir, donc, mais le potentiel est là, c’est une certitude.

(Avec RTL)

Foot Euro 2016 : des Français encore à mi-temps seront éliminés en quart

Foot Euro 2016 : des Français encore à mi-temps seront éliminés en quart

Soyons lucides, la France n’a aucune chance de se qualifier en quart de finale si elle continue comme par exemple devant Irlande à ne jouer qu’une mi-temps. Quelle différence avec le rythme imposé dès le départ par exemple par les Allemands ou encore les Belges. En outre la défense devant les Irlandais a montré encore trop de fébrilité, surtout Rami, et Evra  toujours mal placés, trop lents et maladroits. Koscielny qui a été très bon ne pourra pas toujours boucher tous les trous. Evra comme d’habitude a été très moyen, Drogba a  joué encore de manière intermittente. En fait l’attaque n’a été très satisfaisante qu’en seconde mi-temps et surtout grâce à Griezmann. Il faudra aussi que l’entraîneur Didier Deschamps prenne un peu plus de risques et s’implique davantage cours de la partie au lieu d’attendre seulement la mi-temps. Sa place n’est pas d’être assis au niveau des spectateurs mais dans le carré des entraîneurs pour réajuster le plus tôt possible la stratégie. La France ne pourra pas gagner l’écart avec une défense aussi faible et une attaque qui ne joue que 45 minutes. De ce point de vue les Allemands comme les Belges ont montré que l’engagement devait être total des la premières minutes. En huitième de finale de l’Euro 2016, la France a su cependant  renverser la vapeur au Parc Olympique Lyonnais. Les Bleus ont battu les Irlandais 2-1. Ils accèdent aux quarts de finale. A la deuxième minute de jeu, l’Irlande marque le premier but. L’équipe de France est menée  sur un penalty concédé par Pogba. Penalty remporté par l’Irlandais Shane Long. Robbie Brady (République d’Irlande) transforme le penalty du pied gauche au ras du poteau droit.  A la 27e minute, carton jaune pour N’Golo Kanté pour jeu dangereux. A la 44e minute, le Français Adil Rami reçoit à son tour un carton jaune. A la mi-temps, la France est menée 1-0. A la 48e minute, Dimitri Payet se voit accorder un coup franc dans la moitié de terrain adverse. Début de la deuxième période : la course acharnée au but continue. De nombreuses occasions manquées pour les Bleus. La bataille est rude. A la 56e minute, Blaise Matuidi tente sa chance d’une frappe puissante du pied gauche aux 30 mètres. Le gardien de but irlandais, Darren Randolph repousse le ballon du bout du gant en corner. A la 57e minute, la France marque enfin et égalise. But marqué par Antoine Griezman, grâce à une passe décisive de Bacary Sagna suite à un centre. A peine quelques minutes plus tard, Antoine Griezmann marque à nouveau, à la 61e minute de jeu, grâce à une passe décisive d’Olivier Giroud de la tête. Explosion de joie. La France mène 2-1.  A la 66e minute, Antoine Griezmann se voit accorder un coup franc dans la moitié de terrain adverse. Côté irlandais, Shane Duffy reçoit un carton rouge. A la 83e minute, Antoine Griezmann est tout proche du triplé sur un centre de Dimitri Payet venu de la gauche. Pas de nouveau but, mais les Bleus sont bien qualifiés pour les quarts de finale après cette victoire 2-1 face à l’Irlande. Prochaine étape pour la France, dimanche prochain au Stade de France à 21h, les Bleus affronteront les vainqueurs d’Angleterre-Islande qui sera disputé lundi à Nice. Si c’est l’Angleterre le match sera d’un autre niveau que celui disputé contre l’Irlande.

Football – France-Danemark : une victoire mais une équipe à mi-temps

Football – France-Danemark : une victoire mais une équipe à mi-temps

Enfin du rythme et de la créativité mais une  mi-temps seulement ! Un score honorable, des satisfactions (Trémoulinas, Kondogbia, Payet  aussi Fekir) mais deux mi-temps inégales. Première mi-temps : , les Bleus ont affiché un visage extrêmement séduisant. Faciles techniquement, les Français ont mis le pied sur le ballon et se sont concrétisés de nombreuses occasions. Trémoulinas était omniprésent sur son côté gauche tandis que Dimitri Payet – en rôle de « meneur de jeu » dans le 4-2-3-1 aligné dimanche soir par Didier Deschamps – s’est montré particulièrement intéressant, orientant le jeu intelligemment et créant des brèches dans la défense adversaire. Antoine Griezmann, malgré certaines approximations techniques, a également semblé plus inspiré qu’au Stade de France jeudi soir. Ce très bon début de match se concrétise dès la 14e minute de jeu par l’intermédiaire d’Alexandre Lacazette. Au terme d’un très beau jeu à trois entre ce dernier, Griezmann et Payet, le gardien danois Schmeichel repousse dans l’axe la frappe du joueur de l’Atlético Madrid. Le ballon revient sur l’attaquant de l’OL qui inscrit son premier but en Bleu (en 7 sélections) et permet à la France de mener logiquement contre les Danois.  Bien que le Danemark rentre peu à peu dans son match, le rouleau compresseur tricolore ne faiblit pas et à la 39e minute, grâce à un remarquable travail de Geoffrey Kondogbia, venu apporter le surnombre à l’entrée de la surface de réparation, le milieu de terrain de l’AS Monaco sert Olivier Giroud, légèrement excentré sur la gauche, qui crucifie Schmeichel d’une frappe puissante à ras de terre.   u retour des vestiaires, les hommes de Didier Deschamps tentent, certes, de continuer sur leur lancée, mais tout en gérant leur avance. Un mélange indigeste qui, ajouté aux changements intervenus à l’heure de jeu (Griezmann par Fékir et Guilavogui par Kondogbia), dérègle la machine bleue. Du coup, les Français se mettent à laisser le contrôle du ballon aux Danois tout en reculant. Les occasions adverses, inexistantes en première période, à l’exception de la barre trouvée par Bendtner (44e), se multiplient

 




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