Archive pour le Tag 'Météo'

Prévisions météo : encore un hiver doux ?

Prévisions météo : encore un hiver doux

Météo France prévoit une fin d’année avec des températures relativement au-dessus de la moyenne et un hiver conforme aux normes de saison. Traduction un hiver comme les années précédentes sans longue période de froid. Des précisions toutefois hypothétiques car si on peut établir des scénarios , on peut difficilement faire des prévisions sérieuses Pour Météo-France, « le scénario le plus probable pour le trimestre novembre – décembre 2022 – janvier 2023 est la prédominance de conditions anticycloniques, avec un temps calme et sec, sur le continent européen. Les perturbations auront tendance à être rejetées plus au nord de l’Europe ou au sud-ouest de la Méditerranée ».

L’institut s’est penché sur trois scénarios: un avec des températures plus froides qu’à l’accoutumé, un avec des températures plus chaudes, et un où les températures seraient en adéquation avec les normales. C’est ce dernier scénario qui est le plus à même de se produire, affirme Météo-France, avec une probabilité de 50%. Des températures plus chaudes ont, elles, 30% de chance de se manifester, 20% pour des températures plus froides.

Mais malgré un hiver qui s’annonce en adéquation avec les normales saisonnières, Météo-France « n’exclut pas des épisodes ponctuels avec des températures pouvant être localement inférieures aux normales ».

Météo-France s’est également penchée sur les précipitations envisagées en France cet hiver. Selon l’institut de prévisions, il y a 50% de chances que les mois de novembre, décembre et janvier s’annoncent plus secs que la normale dans le Nord-Est de la France, 50% de chances qu’ils soient plus humides sur la Méditerrannée occidentale.

« Un scénario plus sec que la normale est probable de la Méditerranée orientale à l’Europe centrale et au Nord-Est de la France, tandis qu’un scénario humide est plus probable sur le nord de l’Europe et la Méditerranée occidentale », écrit Météo-France, précisant que pour le reste de l’Hexagone, aucun scénario ne se distingue.

Météo: Bientôt le retour de l’été ?

Météo : Bientôt le retour de l’été ?

On peut se demander si le dérèglement climatique ne va pas précipiter le retour de l’été avec des températures proches de 30° à quelques jours de novembre. De toute manière à défaut de retour de l’été, on peut s’attendre à un nouvel hiver sans réel grand froid. Dans nombre de régions la neige n’est plus qu’un souvenir et même dans les stations de montagne il faut solliciter les machines à neige ! Pour les jours qui viennent Météo-France attend en effet de 20 à 25°C au nord de la Loire et de 23 à 29°C en général plus au sud.

Jeudi et vendredi « s’annoncent comme les journées les plus chaudes de la semaine », selon Météo-France. L’organisme prévoit des températures maximales de 20 à 25°C au nord de la Loire et de 23 à 29°C en général plus au sud.

Elles atteindront 29 à 31°C sur les Pyrénées-Atlantiques, les Landes et les Hautes-Pyrénées.
« Des températures jamais vues après un 25 octobre depuis le début des mesures sont susceptibles d’être atteintes dans certaines villes, comme à Bordeaux ou Clermont-Ferrand », souligne Météo France sur son site. Météo-France jeudi des températures maximales de 22°C à Lille, 24°C à Paris, 31°C à Mont-de-Marsan et 27°C à Marseille.
« Vendredi, on pourrait approcher voire atteindre localement les 30°C en Auvergne, dans l’Allier et le Puy-de-Dôme », ajoute l’organisme. Il explique ce phénomène par « le flux de sud-ouest en altitude, déjà bien établi depuis une dizaine de jours sur l’Europe de l’Ouest », qui « va continuer cette semaine à ramener de l’air particulièrement doux pour la saison sur notre pays ».

Ce début d’automne est marqué en France par une douceur, voire une chaleur dans le Sud-Ouest notamment, remarquables pour un mois d’octobre. Plusieurs records ont été battus.
Dimanche 23 octobre, la ville de Figari, en Corse, a ainsi atteint un record mensuel avec 32,5°C: il n’y avait jamais fait aussi chaud en octobre, depuis l’ouverture de la station Météo France sur place en 1979. Le précédent record mensuel de chaleur était de 31,6 °C le 3 octobre 2006.
Entre le 15 et le 24 octobre, la France a enregistré une série de neuf jours consécutifs avec des températures supérieures d’environ 4°C par rapport à la température moyenne de référence. Il s’agit d’une « série jamais relevée pour un mois d’octobre » depuis 1947, selon Météo-France. Le pays connaît des écarts à cette moyenne tous les jours depuis le 2 octobre.

« On sait déjà que les vagues de chaleur, en plus d’être plus fréquentes et plus intenses. Reste que ces températures ,toujours bonnes à prendre , viennent bouleverser la bio diversité.

L’intox de la météo politique : une pluie de sondages pro Macron

L’intox de la météo politique : une pluie de sondages pro Macron

 

 

Jusqu’au dernier moment, on risque de subir une pluie de sondages pro Macron. La plupart des grands médias détenus par les financiers et l’Etat  pronostiquent  en effet une victoire de plus en plus large de Macron sur Le Pen. Le problème évidemment est que ces sondages sont assez approximatifs. Pour preuve , on n’avait pas prévu le niveau de marine Le Pen au premier tour pas davantage que le score important de Mélenchon. Une erreur de près de 10 points pour ce dernier .

Comme l’écart entre les deux candidats risque d’être assez réduit en réalité, les grands médias instrumentalisent les sondages pour  influencer les quelques pour cent d’électeurs qui feront pencher la balance.

La vérité sans doute c’est que les deux protagonistes sont aujourd’hui très près l’un de l’autre mais les grands médias veulent imprimer la tendance comme d’habitude.

Ainsi le média d’État France Info apporte sa contribution à cette petite manipulation.

« Emmanuel Macron devance Marine Le Pen de dix points dans les intentions de vote pour le second tour de l’élection présidentielle, selon le baromètre réalisé par Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et « Le Parisien-Aujourd’hui en France ». Titre France Info

et d’affirmer aussi que les électeurs des candidats éliminés ont davantage de chances de voter pour Macon que pour Le Pen. Une étude tout à fête approximative puisque dans le même temps on reconnaît que 40 % des futurs votants peuvent encore changer d’avis.

Méthodologie approximative

Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France jusqu’au second tour de la présidentielle et s’appuie sur la méthodologie du « rolling poll », ou sondage roulant. Chaque jour, environ 500 personnes inscrites sur les listes électorales sont interrogées. Les résultats publiés au jour le jour font systématiquement état des trois derniers échantillons interrogés, pour obtenir un échantillon reconstitué d’environ 1 500 personnes.

Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié le 13 avril s’appuie sur un échantillon total de 1 693 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les résultats présentés font état du cumul des interviews réalisées ces trois derniers jours. L’échantillon a été interrogé par internet et a été constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région).

Météo politique et intox : une pluie de sondages pro Macron

 

Météo politique  et intox : une pluie de sondages pro Macron

 

 

Jusqu’au dernier moment, on risque de subir une pluie de sondages pro Macron. La plupart des grands médias détenus par les financiers et l’Etat  pronostiquent  en effet une victoire de plus en plus large de Macron sur Le Pen. Le problème évidemment est que ces sondages sont assez approximatifs. Pour preuve , on n’avait pas prévu le niveau de marine Le Pen au premier tour pas davantage que le score important de Mélenchon. Une erreur de près de 10 points pour ce dernier .

Comme l’écart entre les deux candidats risque d’être assez réduit en réalité, les grands médias instrumentalisent les sondages influencés les quelques pour cent d’électeurs qui feront pencher la balance.

La vérité sans doute c’est que les deux protagonistes sont aujourd’hui très près l’un de l’autre mais les grands médias veulent imprimer la tendance comme d’habitude.

Ainsi le média d’État France Info apporte sa contribution à cette petite manipulation.

« Emmanuel Macron devance Marine Le Pen de dix points dans les intentions de vote pour le second tour de l’élection présidentielle, selon le baromètre réalisé par Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et « Le Parisien-Aujourd’hui en France ». Titre France Info

et d’affirmer aussi que les électeurs des candidats éliminés ont davantage de chances de voter pour Macon que pour Le Pen. Une étude tout à fête approximative puisque dans le même temps on reconnaît que 40 % des futurs votants peuvent encore changer d’avis.

Méthodologie approximative

Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France jusqu’au second tour de la présidentielle et s’appuie sur la méthodologie du « rolling poll », ou sondage roulant. Chaque jour, environ 500 personnes inscrites sur les listes électorales sont interrogées. Les résultats publiés au jour le jour font systématiquement état des trois derniers échantillons interrogés, pour obtenir un échantillon reconstitué d’environ 1 500 personnes.

Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié le 13 avril s’appuie sur un échantillon total de 1 693 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les résultats présentés font état du cumul des interviews réalisées ces trois derniers jours. L’échantillon a été interrogé par internet et a été constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région).

Intox et Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

Intox et Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

 

 

Alors qu’environ 40 % des futurs votants ne sont pas encore certains  de leur vote, on assiste à une avalanche de sondages nettement favorables à Macron. Il est possible que ce dernier emporte  la victoire mais en l’état des interrogations des électeurs rien ne permet statistiquement de faire des pronostics qui se veulent scientifiques. Jusque au dernier moment, on risque de subir une pluie de sondages pro Macron. La plupart des grands médias détenus par les financiers et l’Etat  pronostiquent  en effet une victoire de plus en plus large de Macron sur Le Pen. Le problème évidemment est que ces sondages sont assez approximatifs. Pour preuve , on n’avait pas prévu le niveau de marine Le Pen au premier tour pas davantage que le score important de Mélenchon. Une erreur de près de 10 points pour ce dernier .

Comme l’écart entre les deux candidats risque d’être assez réduit en réalité, les grands médias instrumentalisent les sondages influencés les quelques pour cent d’électeurs qui feront pencher la balance.

La vérité sans doute c’est que les deux protagonistes sont aujourd’hui très près l’un de l’autre mais les grands médias veulent imprimer la tendance comme d’habitude.

Ainsi le média d’État France Info apporte sa contribution à cette petite manipulation.

« Emmanuel Macron devance Marine Le Pen de dix points dans les intentions de vote pour le second tour de l’élection présidentielle, selon le baromètre réalisé par Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et « Le Parisien-Aujourd’hui en France ». Titre France Info

et d’affirmer aussi que les électeurs des candidats éliminés ont davantage de chances de voter pour Macon que pour Le Pen. Une étude tout à fête approximative puisque dans le même temps on reconnaît que 40 % des futurs votants peuvent encore changer d’avis.

Méthodologie approximative

Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France jusqu’au second tour de la présidentielle et s’appuie sur la méthodologie du « rolling poll », ou sondage roulant. Chaque jour, environ 500 personnes inscrites sur les listes électorales sont interrogées. Les résultats publiés au jour le jour font systématiquement état des trois derniers échantillons interrogés, pour obtenir un échantillon reconstitué d’environ 1 500 personnes.

Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié le 13 avril s’appuie sur un échantillon total de 1 693 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les résultats présentés font état du cumul des interviews réalisées ces trois derniers jours. L’échantillon a été interrogé par internet et a été constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région).

Intox et Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

Intox et Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

 

 

Alors qu’environ 40 % des futurs votants ne sont pas encore certains  de leur vote, on assiste à une avalanche de sondages nettement favorables à Macron. Il est possible que ce dernier emporte  la victoire mais en l’état des interrogations des électeurs rien ne permet statistiquement de faire des pronostics qui se veulent scientifiques.Jusqu’au dernier moment, on risque de subir une pluie de sondages pro Macron. La plupart des grands médias détenus par les financiers et l’Etat  pronostiquent  en effet une victoire de plus en plus large de Macron sur Le Pen. Le problème évidemment est que ces sondages sont assez approximatifs. Pour preuve , on n’avait pas prévu le niveau de marine Le Pen au premier tour pas davantage que le score important de Mélenchon. Une erreur de près de 10 points pour ce dernier .

Comme l’écart entre les deux candidats risque d’être assez réduit en réalité, les grands médias instrumentalisent les sondages influencés les quelques pour cent d’électeurs qui feront pencher la balance.

La vérité sans doute c’est que les deux protagonistes sont aujourd’hui très près l’un de l’autre mais les grands médias veulent imprimer la tendance comme d’habitude.

Ainsi le média d’État France Info apporte sa contribution à cette petite manipulation.

« Emmanuel Macron devance Marine Le Pen de dix points dans les intentions de vote pour le second tour de l’élection présidentielle, selon le baromètre réalisé par Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et « Le Parisien-Aujourd’hui en France ». Titre France Info

et d’affirmer aussi que les électeurs des candidats éliminés ont davantage de chances de voter pour Macon que pour Le Pen. Une étude tout à fête approximative puisque dans le même temps on reconnaît que 40 % des futurs votants peuvent encore changer d’avis.

Méthodologie approximative

Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France jusqu’au second tour de la présidentielle et s’appuie sur la méthodologie du « rolling poll », ou sondage roulant. Chaque jour, environ 500 personnes inscrites sur les listes électorales sont interrogées. Les résultats publiés au jour le jour font systématiquement état des trois derniers échantillons interrogés, pour obtenir un échantillon reconstitué d’environ 1 500 personnes.

Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié le 13 avril s’appuie sur un échantillon total de 1 693 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les résultats présentés font état du cumul des interviews réalisées ces trois derniers jours. L’échantillon a été interrogé par internet et a été constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région).

Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

Météo politique : une pluie de sondages pro Macron

 

 

Jusqu’au dernier moment, on risque de subir une pluie de sondages pro Macron. La plupart des grands médias détenus par les financiers et l’Etat  pronostiquent  en effet une victoire de plus en plus large de Macron sur Le Pen. Le problème évidemment est que ces sondages sont assez approximatifs. Pour preuve , on n’avait pas prévu le niveau de marine Le Pen au premier tour pas davantage que le score important de Mélenchon. Une erreur de près de 10 points pour ce dernier .

Comme l’écart entre les deux candidats risque d’être assez réduit en réalité, les grands médias instrumentalisent les sondages influencés les quelques pour cent d’électeurs qui feront pencher la balance.

La vérité sans doute c’est que les deux protagonistes sont aujourd’hui très près l’un de l’autre mais les grands médias veulent imprimer la tendance comme d’habitude.

Ainsi le média d’État France Info apporte sa contribution à cette petite manipulation.

« Emmanuel Macron devance Marine Le Pen de dix points dans les intentions de vote pour le second tour de l’élection présidentielle, selon le baromètre réalisé par Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et « Le Parisien-Aujourd’hui en France ». Titre France Info

et d’affirmer aussi que les électeurs des candidats éliminés ont davantage de chances de voter pour Macon que pour Le Pen. Une étude tout à fête approximative puisque dans le même temps on reconnaît que 40 % des futurs votants peuvent encore changer d’avis.

Méthodologie approximative

Ce baromètre est réalisé pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France jusqu’au second tour de la présidentielle et s’appuie sur la méthodologie du « rolling poll », ou sondage roulant. Chaque jour, environ 500 personnes inscrites sur les listes électorales sont interrogées. Les résultats publiés au jour le jour font systématiquement état des trois derniers échantillons interrogés, pour obtenir un échantillon reconstitué d’environ 1 500 personnes.

Ce sondage Ipsos-Sopra Steria pour franceinfo et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié le 13 avril s’appuie sur un échantillon total de 1 693 personnes inscrites sur les listes électorales, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Les résultats présentés font état du cumul des interviews réalisées ces trois derniers jours. L’échantillon a été interrogé par internet et a été constitué selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée, catégorie d’agglomération, région).

Météo : un mois d’octobre comme en juillet

Météo : un mois d’octobre comme en juillet

 

En juillet le pull-over était de rigueur, fin septembre, on  se baignait  encore un peu partout et en octobre le T-shirt était permis jusqu’à ces derniers jours.

Les températures ont continué à grimper dans la journée, oscillant entre 19 °C et 26 °C selon les régions. Face assez des règlements les météorologistes sont aussi déboussolés et disent un peu n’importe quoi pour faire semblant d’expliquer ce qui semble quand même découler du nouveau général des températures. Témoins les déclarations du météorologue Patrick Galois sur France Info qui déclare à peu près : les périodes de chaud se succèdent les périodes de froid…. et inversement.

Ces températures élevées sont-elles hors du commun ? 

Patrick Galois : Ces températures n’ont rien d’exceptionnel. Ce qui rend ce pic de douceur plus remarquable est que nous sortons d’une séquence de températures fraîches. Mais en soi, cette douceur n’a rien d’extraordinaire pour la saison. Ce type de variations de températures est même tout à fait dans la logique de notre climat hexagonal.

Comment expliquer ces températures quasiment estivales en plein automne ?

Cette situation s’explique par le passage d’un flux de vents venant du sud. Nous avons eu, pendant quelque temps, une dépression sur l’Atlantique qui a fait remonter l’air chaud du sud de l’Europe voire de l’Afrique du Nord. Et cette masse d’air chaud se déplace progressivement vers l’est et le nord du pays.

A la mi-octobre, la température peut encore dépasser les 30 °C dans le Sud-Ouest, dans des villes comme Biarritz. Actuellement, nous sommes autour de 28 °C dans cette région. Alors que du côté de la Méditerranée, les températures sont à peine au-dessus des normales saisonnières. Et dans la capitale, la température est de 23 °C mardi. Les 15 et 16 octobre 2018, le mercure était monté à 26 °C.

Est-ce que cela présage d’un hiver avec des températures plus douces que la normale ?

Nous n’avons pas encore assez d’éléments pour nous prononcer sur les températures hivernales à venir. Nous avions projeté un automne plus doux mais il a commencé en fraîcheur pour atteindre les températures que nous connaissons actuellement.

Bref pour résumer, il fera sans doute plus frais en hiver que l’été dernier ! Et après la pluie le beau temps.

Météo août: pourrie tout le mois

Météo août:  pourrie tout le mois 

 

 

 

Les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Météo pourrie : jusqu’à fin août

Météo pourrie :  jusqu’à fin août

 

 

 

Pour des questions touristiques , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Météo : l’été pourri va continuer jusqu’à fin août

Météo : l’été pourri va continuer jusqu’à fin août

 

 

 

Pour des questions touristiques , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de la météo de cet été. Une période avec des épisodes particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

 Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire. 

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

L e temps ne devrait pas s’améliorer au mois d’août malgré quelques embellies la semaine prochaine. Il n’y aura pas de tendances de beau temps durable. Un pic de chaleur pourrait être atteint pour le 15 août.

Prévision Météo : l’été pourri va continuer

Prévision Météo : l’été pourri va continuer

 

 

 

Pour des questions touristiques et peut-être aussi  politiciennes , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de cet été. Une période avec des épisodes météo particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers et les agriculteurs eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France.

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire.

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

« Jusqu’à la moitié du mois d’août au moins, il faut s’attendre à un temps assez maussade, prévient Christian Viel. Les conditions vont rester relativement fraîches, et le temps sera assez humide. » 

Météo : l’été pourri va continuer

 Météo : l’été pourri va continuer

 

 

 

Pour des questions touristiques et peut-être aussi de politiciennes , les grands médias ont tendance à nettement sous-estimer le caractère particulièrement pourri de cet été. Une période avec des épisodes météo particulièrement inhabituels  concernant aussi bien les précipitations que les températures. Les jardiniers eux-mêmes constatent que la saison est catastrophique pour les fruits et légumes.

Une grande partie du pays a entamé l’été sous de nombreuses précipitations, non sans conséquences sur les cultures, à l’opposé de ce que prévoyait Météo France

En mai, l’institut de prévision tablait ainsi sur trois mois chauds et secs, plus que la normale, excepté pour la Bretagne et les régions proches de la Manche. Météo France une nouvelle fois s’est encore complètement planté.

 Dans nombre de régions la température est inférieure à celle du mois de mai qui il est vrai a été plus proche de celle d’un mois de juillet que d’un mois de printemps ! À noter qu’il est aussi tombé environ 10 fois plus de pluie que d’ordinaire. 

A l’échelle de la France métropolitaine du 16 juin au 15 juillet, il est tombé 144 mm de pluie, un record sur cette période depuis le début de ce type de mesure (1959). Sur cette même période, les années les plus sèches sont 2015 avec 15 mm et 2019 avec 25 mm. Et Météo-France d’annoncer encore du mauvais temps pour le mois d’août.

« Jusqu’à la moitié du mois d’août au moins, il faut s’attendre à un temps assez maussade, prévient Christian Viel. Les conditions vont rester relativement fraîches, et le temps sera assez humide. » 

Météo– Dôme de chaleur : Scénario catastrophe

Météo– Dôme de chaleur : Scénario catastrophe

Des températures jusqu’à 50°,événement climatique, qui met à l’arrêt ces régions et a déjà provoqué des centaines de morts, est amené à se répéter, selon les experts. Il n’épargnerait pas la France « dans un futur proche », a averti en début de semaine sur les réseaux sociaux le climatologue du CNRS Christophe Cassou.

Outre les conséquences déjà bien visibles de ce « dôme de chaleur » sur les populations et l’environnement, des retombées socio-économiques sont à craindre.

 Les autorités canadiennes et américaines déplorent déjà des centaines de mort depuis l’arrivée de la vague de chaleur vendredi dernier. Près de 500 personnes ont ainsi été victimes de « mort subite » au Canada, et 16 aux Etats-Unis, selon le dernier décompte, même si le lien avec les chaleurs extrêmes endurées reste encore à prouver formellement. Un bilan qui devrait s’alourdir, exposant particulièrement les personnes les plus fragiles.

« Ces températures extrêmes constituent une menace majeure pour la santé des personnes, l’agriculture et l’environnement, car la région n’est pas habituée à une telle chaleur et de nombreuses personnes ne disposent pas de climatisation », avait déclaré lors d’un point de presse, mardi à Genève, Clare Nullis, porte-parole de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).

Ces chaleurs extrêmes impactent aussi sur la pollution au sol, qui est beaucoup plus importante que d’habitude. L’ozone troposphérique atteint des niveaux très élevés et l’oxyde d’azote présent dans l’air peut être plus irritant, tout en renforçant l’effet de serre. Les températures ne baissant pas la nuit, la faune et la flore subissent un « stress thermique » qui pourrait être irréversible pour certaines espèces.

 

 

Au sud de la Colombie-Britannique, plusieurs quartiers de la petite ville de Pemberton ont été évacués cette semaine pour le phénomène inverse : la crainte des inondations causées par la fonte des glaciers environnants.

Les impacts sur le service public et les activités économiques sont également considérables.

Climat-Météo : un temps détraqué, des pluies et inondations exceptionnelles

Climat-Météo : un temps détraqué, des pluies et inondations exceptionnelles

 

 

Ce qui caractérise le climat depuis déjà plusieurs mois c’est d’abord des variations de température inhabituelle souvent entrecoupées de pluies exceptionnelles pour la saison. Un climat dont le dérèglement est accentué dans certaines régions dont certaines connaissent des dômes de chaleur tandis que d’autres n’ont pas encore vraiment connu l’été. S’ajoutent à cela des épisodes pluvieux allant jusqu’à des inondations  inhabituelles pour la saison et souvent d’ampleur inconnue

« Cela fait deux mois et demi qu’il y a des orages ou des pluies qui se succèdent sur une grande partie nord et est de la France, c’est inhabituel », a observé mercredi 14 juillet sur franceinfo Alix Roumagnac, président de Predict Services, la filiale « risques » de Météo France alors que les vigilances orange aux phénomènes de pluie-inondation et d’orages se succèdent depuis le début de l’été en France.

« Normalement, ce type de situation se produit un peu plus tôt », a indiqué Alix Roumagnac, « quand on sort de l’hiver, au printemps, avant de passer à l’été ».

« On devrait avoir une fin de juillet qui ressemble un peu plus à un été classique », a estimé Alix Roumagnac qui pointe du doigt les conséquences d’un « dérèglement climatique ».

« Le changement climatique génère une augmentation des extrêmes et notamment une augmentation des grosses chaleurs et des sécheresses, ce qu’on a vu sur l’Espagne le week-end dernier, là on est face à une anomalie c’est pour cela que l’on parle plutôt de dérèglement climatique plutôt que de réchauffement climatique », a analysé le président de Predict Services.

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