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Mesures Covid pour les non vaccinés en Allemagne et en Autriche

Mesures Covid  pour les non vaccinés en Allemagne et en Autriche

Après l’Autriche qui vient de prendre des mesures de confinement pour les non vaccinés l’Allemagne a également décidé de renforcer très sérieusement les restrictions pour la même population.

En Allemagne les non vaccinés seront interdits de certains lieux publics, afin de combattre la flambée des infections de Covid-19, a annoncé jeudi la chancelière sortante Angela Merkel à l’issue d’une réunion de crise. La règle dite du «2G», qui autorise seulement les vaccinés («geimpfte») et les guéris («genesene») à accéder à des lieux publics comme des restaurants ou salles de concert sera appliquée dès que le seuil d’hospitalisation dépasse trois malades du Covid pour 100.000 habitant, a-t-elle déclaré, ce qui est le cas dans la majorité des régions du pays.

L’Allemagne va aussi rendre la vaccination obligatoire pour le personnel des hôpitaux et maisons de retraite.

 

Covid Europe : un retour incontournable de mesures restrictives

Covid Europe : un retour incontournable de mesures restrictives

D’après l’organisation mondiale de la santé l’Europe est redevenue l’épicentre de la pandémie.. En Allemagne, au Royaume-Uni, en France, en Espagne, ou encore en Italie, aux Pays-Bas et en Belgique, le nombre de nouveaux cas poursuit sa progression. Il tend au contraire à refluer à l’est du continent, où la nouvelle vague avait démarré plus tôt .

En France, le taux d’incidence « progresse très rapidement, de l’ordre de 40 à 50 % par semaine » depuis début novembre, a souligné mercredi le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal. Le secrétaire d’Etat a insisté sur la « situation d’alerte dans notre pays

Partout en Europe,  on commence à prendre de nouvelles mesures restrictives en Autriche par exemple avec le retour du confinement pour les non vaccinés des mesures du même ordre devrait être pris en Allemagne, aussi en Belgique.

On devrait aussi assister  à un retour du télétravail aussi à des mesures plus contraignantes dans les lieux fréquentés par le public.

Les autorités publiques notamment françaises hésitent cependant renforcer la politique sanitaire avant les fêtes de fin d’année. Ce n’est sans doute qu’une fois cette échéance passée et malheureusement avec l’envolée des statistiques de la pandémie que des mesures plus strictes seront prises en début d’année. Bref, risque d’affronter la cinquième vague avec un mois de retard.

Covid: qu’attend le gouvernement pour le renforcement des mesures sanitaires ?

Covid: qu’attend le gouvernement pour le renforcement des mesures sanitaires ?

 

 

C’est un peu la question que pose le professeur Elie Azoulay, réanimateur, chef du service de réanimation à l’hôpital Saint-Louis à Paris.

La cinquième vague de Covid-19 « est là », a confirmé mercredi 17 novembre sur franceinfo le professeur Elie Azoulay, réanimateur, chef du service de réanimation à l’hôpital Saint-Louis, après que Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement a affirmé que « la cinquième vague est là, elle arrive mais nous avons de bonnes raisons de penser qu’elle n’emportera pas tout sur son passage ». Le problème c’est qu’il y a autant de raisons de penser qu’elle pourrait être encore dramatique d’autant qu’on constate nettement que les cas graves concernent surtout les noms vaccinés principaux propagateurs du virus.

 

cette cinquième vague est-elle arrivée à l’hôpital Saint-Louis ?

Elie Azoulay : Elle est là. Je ne pourrais pas dire que c’est une cinquième vague puisque nous ne partons pas de zéro. Nous ne sommes jamais redescendus à zéro tous ces derniers temps. Ces dernières semaines, ces derniers mois, nous avions en permanence un certain nombre de nos patients infectés par le Covid. Et là, il y en a tout simplement plus. Je travaille en réanimation, c’est-à-dire qu’il a plus de malades qui sont détectés positifs par la PCR, plus de malades qui sont hospitalisés, mais dans une proportion qui est moindre par rapport aux vagues précédentes, et plus de malades en réanimation, mais dans une proportion encore bien moindre.

 

Est-ce que ces malades qui arrivent ont été vaccinés ?

Pour l’essentiel, non. Pour la grande majorité des patients que nous avons, ce sont des malades qui n’ont pas été vaccinés. Nous avons aussi un groupe de malades qui sont des malades immunodéprimés et qui n’ont pas les défenses immunitaires nécessaires pour développer des anticorps suite à la vaccination. Donc ce sont des malades pour lesquels l’absence d’immunisation est attendue. Il y a tout un ensemble de protocoles qui sont faits pour limiter la gravité chez ces malades là, mais ils peuvent être en réanimation. Et puis nous avons des malades qui ont été vaccinés, qui ont reçu deux injections de vaccin et qui ont perdu leur immunité avec le temps et qui sont donc éligibles maintenant à la troisième injection.

Vue la situation, faut-il, selon vous, renforcer les mesures sanitaires, comme c’est le cas chez nos voisins ? La Belgique a décidé par exemple de généraliser à nouveau le port du masque et de rendre obligatoire le télétravail. Faut-il faire la même chose ?

Ce sont des décisions qui sont éminemment politiques. Nous sommes dans un pays où le taux de vaccination est quand même très impressionnant. Le problème est surtout auprès des populations non vaccinées pour des raisons différentes. Chez ces personnes-là, la vulnérabilité est immense. Et le risque de faire une forme grave est majeur. Il est même suffisamment important pour que ces gens-là aient à considérer la possibilité d’être vaccinés de toute façon. Néanmoins, les mesures sanitaires dépendent beaucoup aussi de la façon avec laquelle les vagues précédentes ont été absorbées. Aujourd’hui, on ne peut pas dire que l’on soit dans la même situation qu’il y a un an, et encore moins qu’en mars-avril 2020.

Pour les personnes vaccinées, est-ce que c’est important de faire la troisième dose ?

Oui, surtout si l’injection date de six mois. Avec le temps, la protection contre une PCR positive, mais aussi contre une hospitalisation, diminue. Et donc, quand on est à six mois, il faut se refaire revacciner. Ce « booster », cette troisième injection, permettra à nouveau l’efficacité qu’on attendait des vaccins précédents. Avec la troisième injection, on revient à une efficacité contre la positivité, l’hospitalisation et l’hospitalisation en réanimation.

Est-ce que cette troisième dose est efficace très rapidement, contrairement aux deux premières doses ?

Absolument. Elle est efficace en quelques jours. Et il est recommandé, y compris pour les gens qui ont entre 50 et 65 ans, quand la deuxième injection date de cinq à six mois, de prendre son rendez-vous et d’organiser des choses pour que ce soit fait, en particulier avant les fêtes de fin d’année ou les regroupements familiaux vont à nouveau exposer les uns et des autres à de nouvelles contaminations.

Mesures contre l’immigration de Biélorussie

Mesures contre l’immigration de Biélorussie

De plus en plus de migrants en provenance de Biélorussie se rendentdans l’union européenne en particulier en Allemagne et en Pologne. Une politique voulue par le régime biélorusse pour déstabiliser ses voisins et l’union européenne.

Voisine de la Pologne, l’Allemagne a vu une forte augmentation du nombre des migrants en provenance du Bélarus. Rien qu’en octobre, ils étaient près de 5.000, selon les autorités allemandes. Berlin a réagi en renforçant les contrôles aux frontières et en y déployant des policiers supplémentaires. «L’Allemagne pourrait très rapidement envoyer des forces de police pour aider la Pologne, si celle-ci le souhaite», a en outre dit à Bild Stephan Mayer, un haut responsable du ministère allemand de l’intérieur.

«La Pologne ou l’Allemagne ne peuvent faire face à ceci toutes seules», a déclaré le ministre de l’Intérieur Horst Seehofer au journal Bild. «Nous devons aider le gouvernement polonais à sécuriser sa frontière extérieure. Cela devrait être l’affaire de la Commission européenne. Je l’appelle maintenant à prendre des mesures», a-t-il déclaré.

Présidentielle : La grande absence du financement des mesures de campagne

Présidentielle : La grande absence du financement des mesures de campagne

 

 

Aucun des postulants à l’élection d’avril 2022 ne semble prêt à évaluer le coût des promesses qu’il fait, note Audrey Tonnelier, journaliste au « Monde », dans sa chronique. (Extrait)

 

Chronique.

 

 « Aujourd’hui, les équipes de campagne sont très faibles sur cette thématique » de financement des mesures de campagne juge Xavier Ragot, le président de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). « En comparaison, il y a cinq ans, l’économie était plus présente : le sujet de l’austérité agitait les débats, François Hollande faisait de la courbe du chômage un argument politique et la position du Front national nourrissait les polémiques sur une sortie ou non de la zone euro », rappelle celui qui fut conseiller au cabinet d’Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif.

 

Rien de tel aujourd’hui. Le « quoi qu’il en coûte » du gouvernement, permis par une politique monétaire très accommodante et par la volonté farouche de ne pas reproduire les erreurs de 2008, a évité qu’une crise économique ne succède à la pandémie. Mais il a aussi rebattu les cartes du « budgétairement correct ». Comment expliquer qu’il n’y a plus d’« argent magique » alors que la dette est passée, de manière quasi indolore pour les Français, de moins de 100 % à près de 120 % du PIB ?

La surenchère est partout

Résultat : le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, a beau avoir sifflé la fin de partie, en août, en appelant à refermer le « quoi qu’il en coûte », le président multiplie les annonces sonnantes et trébuchantes depuis la rentrée. Au gré de ses déplacements, il annonce des rallonges pour les policiers, les agriculteurs, les indépendants, la ville de Marseille ou encore la formation des salariés et des chômeurs de longue durée. Et qu’importe que les crédits utilisés soient souvent des réallocations de sommes non dépensées en mesures d’urgence, ou que les budgets soient étalés sur plusieurs années. Ses opposants de droite ne se privent pas de l’épingler sur le sujet : Valérie Pécresse l’accuse de « cramer la caisse » et Xavier Bertrand lui reproche de « faire campagne avec le chéquier de la France ».

Les mesures barrières ont volé en éclats avec la levée des restrictions ( conseil scientifique)

 

  • Les mesures barrières ont volé en éclats avec  la levée des restrictions ( conseil scientifique)

     

     

    Jean-François Delfraissy, entendu au Sénat, considère que la levée des restrictions ont fait voler en éclats les mesures barrières et son l’un des facteurs explicatifs de l’accélération des contaminations

    « La réponse à la quatrième vague, elle va s’appuyer sur une augmentation de la vaccination et elle va s’appuyer sur l’utilisation du pass sanitaire, mais elle va s’appuyer aussi sur ‘où est-ce qu’on se contamine?’, sur revenir aux gestes barrières simples, individuels, qui ont totalement explosé », a déclaré le président du Conseil scientifique devant des sénateurs.

    « Dans les semaines qui viennent, notre capacité non pas à arrêter la vague mais à limiter l’impact sur le système de soins, il est entre les mains de nos concitoyens. Et ce n’est pas seulement de dire ‘c’est le pass sanitaire c’est le vaccin’, c’est aussi les petites mesures! »

     « On a affaire à un variant qui a une capacité de transmission qui change la donne [...] on va avoir à vivre avec le variant Delta pendant plusieurs mois. »

NOUVELLES MESURES SANITAIRES : les préfets « sollicités » par Darmanin

NOUVELLES MESURES SANITAIRES : les préfets « sollicités » par Darmanin

 

Gérald Darmanin a écrit dimanche aux préfets pour leur demander de la fermeté dans l’application des nouvelles mesures anti-Covid,

 

Le ministre demande également aux préfets de veiller à ce que les Français puissent avoir une « offre vaccinale adaptée pendant l’ensemble de la période estivale ».

Le ministre réclame aussi un « renforcement des dispositifs d’accompagnement et d’isolement » des cas positifs et cas contacts, avec notamment des « offres de relogement » pour les personnes ne pouvant pas s’isoler à domicile.

Des incitations très générales qui ne mangent pas de pain mais qui ne feront pas augmenter la capacité de vaccination qui dépend des doses disponibles. Sans parler des modalités de contrôle !

Sondage nouvelles mesures sanitaires : 67 % pour

Sondage nouvelles mesures sanitaires : 67 % pour

Selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, plus de deux tiers des Français (67%) soutiennent les quatre principales mesures contraignantes annoncées hier soir.

 

Les trois quarts des Français (75%) soutiennent par exemple la vaccination obligatoire pour les personnels des établissements de santé et six sur dix approuvent l’extension du pass sanitaire obligatoire (61%) et le fait de rendre payants les tests PCR sans prescription médicale (59%).

Par ailleurs, une majorité des sondés estime également que ces mesures sont efficaces sur le plan sanitaire (62%) sans être pour autant trop contraignantes (52%).

 

Avion dérouté par la Biélorussie: les Européens prennent des mesures symboliques

Avion dérouté par la Biélorussie: les Européens prennent des mesures symboliques

Les Vingt-Sept ont une nouvelle fois décidé de mesures individuelles assez symboliques contre la piraterie aérienne de la Biélorussie qui ont dérouté un avion de ligne pour arrêter un opposant. C’est la quatrième fois que l’Union économique prend des sanctions à l’égard de la Biélorussie. Avec à peu près toujours le même résultat.

Les nouvelles sanctions pourraient frapper le commerce ou encore les investissements en veillant à ne pas pénaliser la société civile et… les États membres. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a par ailleurs agité cette masse d’argent -3 milliards d’euros- promise dans le cadre du partenariat oriental et que l’UE avait décidé de bloquer en 2010. près de 2 000 vols commerciaux passent chaque semaine dans l’espace aérien de la Biélorussie, les compagnies aériennes basées en Europe sont priées d’éviter son survol. Certains pays et compagnies avaient d’ores et déjà pris les devants pour d’évidentes questions de sécurité.

Les Vingt-Sept ont demandé au Conseil de prendre des mesures pour éviter le survol de son espace aérien par la compagnie aérienne biélorusse et l’impossibilité pour cette entreprise d’atterrir dans un aéroport de l’UE. Il s’agit bien évidemment d’isoler la Biélorussie. Un pays ne tient que grâce au soutien de Poutine ! Or précisément l’union économique européenne s’interroge actuellement sur ses futures relations avec la Russie.

Climat: la Chine craint les mesures de rétorsion

Climat: la Chine craint les mesures de rétorsion

On peut s’étonner que la Chine, très vindicative sur le plan politique, se montre aussi coopérative avec la France et l’Allemagne pour engager une lutte contre le dérèglement climatique. En réalité ,la Chine craint surtout des mesures de rétorsion de l’Occident pour le cas où elle ne respecterait pas les nouvelles mesures qui seront décidées à cet égard par les pays développés. En fait, la Chine est en retard et craint que la question climatique n’affecte son développement économique. Le président Xi a annoncé l’année dernière que la Chine, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre, atteindrait un pic d’émissions de dioxyde de carbone avant 2030 et de neutralité carbone d’ici 2060.

« La réponse au changement climatique est une cause commune à toute l’humanité et elle ne doit pas devenir une monnaie d’échange géopolitique, une cible d’attaques contre d’autres pays ou une excuse pour des barrières commerciales », a déclaré Xi lors d’un sommet vidéo. avec les dirigeants européens.

Le département d’État américain, alors sous l’administration Trump, a déclaré en septembre que la Chine avait fait preuve d’un «mépris délibéré» pour la qualité de l’air, des terres et de l’eau, et mettait la santé mondiale en danger avec ses gaz à effet de serre, suscitant une vive réprimande de Pékin.

Nouvelles mesures Covid-: les Français pour mais pas pour les appliquer

Nouvelles mesures Covid-: les Français pour mais pas pour les appliquer

Plus de 7 Français sur 10 approuvent les mesures annoncées mercredi par le chef de l’État, dont la limitation des déplacements (71%), selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro et France Info. Mais près de la moitié (46%) pensent s’autoriser quelques écarts (39%), voire bafouer ces règles ou s’y opposer (7%).

 

«La lassitude d’une année de crise sanitaire, conjuguée au sentiment général que les nouvelles contraintes annoncées sont à la fois trop pénibles et inefficaces, conduit de plus en plus de Français à vouloir s’affranchir des règles», relève le président d’Odoxa, Gaël Sliman. Les jeunes sont les plus nombreux à ne pas vouloir s’y plier (63% des 18-24 ans et des 25-34 ans, contre 26% des 65 ans et plus).

La  fermeture des crèches, écoles, collèges et lycées, pour trois à quatre semaines selon les établissements, est soutenue par 72% des Français. Les parents d’élèves se montrent beaucoup plus critiques devant cette mesure, qui devrait de nouveau freiner l’économie. Astreints, dans certains cas, à une nouvelle organisation pour garder leurs enfants, 60% d’entre eux jugent cette fermeture «trop contraignante». Quelque 40% doutent même de son efficacité sanitaire.

 

Malgré le nouveau tour de vis opéré, une majorité de Français jugent «insuffisantes» les nouvelles contraintes, compte tenu de la situation épidémique.

Covid: Les nouvelles mesures d’Emmanuel Macron ?

Covid:  Les nouvelles mesures d’Emmanuel Macron ?

 

 

  • Quatre semaines de déplacements limités dans toute la France. Les règles déjà appliquées dans 19 départements s’étendent. Elles comportent la fermeture de certains commerces et l’interdiction de se déplacer à plus de 10 km, sauf dans certaines conditions permettant d’aller jusqu’à 30 km de chez soi. Le couvre-feu à 19 heures est maintenu.
  • Une tolérance pour Pâques.  »Qui souhaite changer de région pour aller s’isoler pourra le faire durant ce week-end de Pâques », a assuré Emmanuel Macron. Cette tolérance « s’achève lundi soir », a ensuite précisé le ministère de l’Intérieur, ajoutant qu’elle « ne concerne que les déplacements en journée ».
  • Le calendrier vaccinal précisé. La vaccination contre le Covid-19 sera élargie à toutes les personnes âgées de plus de 60 ans le 16 avril, puis à toutes celles de plus de 50 ans le 15 mai. « Un numéro spécial sera mis à disposition pour prendre un rendez-vous », a-t-il précisé. « A partir de la mi-juin, les rendez-vous seront ouverts à l’ensemble des Françaises et des Français de moins de 50 ans », a ajouté le chef de l’État.

COVID-19: les drenières mesures sans effet

 

COVID-19: les drenières mesures sans effet

D’après les experts les dernière mesures sont à peu près sans effet sur la situation sanitaire . la troisième vague risque même d’être aussi forte que la première.  Le Pr Rémi Salomon a lui aussi fait part de sa vive « inquiétude » ce dimanche soir sur BFMTV alors que l’épidémie poursuit sa progression sur le territoire national et notamment en région francilienne.
« Le sentiment général est celui d’une très grande inquiétude, d’une très grande anxiété sur ce qui va arriver », a déclaré Rémi Salomon au sujet de la situation hospitalière en Île-de-France, « une anxiété de voir cette troisième vague plus violente que les deux premières ».

Le président de la commission médicale d’établissement a également évoqué le « sentiment de colère de se retrouver dans une situation qui va nous obliger à faire de la médecine de catastrophe » alors que 41 directeurs médicaux de crise de l’AP-HP estiment dans le Journal du Dimanche que les capacités de prise en charge pour les patients Covid seront dépassées d’ici une quinzaine de jours.

  »Nous risquons de nous retrouver dans 10 jours, 15 jours, 3 semaines dans une situation de débordement », a expliqué le pédiatre sur BFMTV.

Si tous les départements de la région Ile-de-France mais aussi d’autres ont été soumis à de nouvelles mesures de freinage, le Pr Rémi Salomon estime que celles-ci n’auront que « peu d’effets » sur la circulation du virus et donc la progression de l’épidémie. »Nous n’allons pas avoir d’autre choix que celui d’un confinement », a assuré le président de la commission médicale d’établissement de l’AP-HP. Une mesure qui aura déjà des effets d’ici deux à quatre semaines « si c’est bien appliqué.

 

États-Unis : mesures de protection contre le pillage de la recherche par les Chinois

États-Unis : mesures de protection contre le pillage de la recherche par les Chinois

 

Le pillage des technologies par la Chine est une pratique courante et les lieux de recherche sont particulièrement visés notamment aux États-Unis. Il est désormais recommandé aux organismes de recherche notamment universitaire de renforcer la lutte contre le pillage chinois.

 

La Commission américaine de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle (NSCAI), dirigée par l’ancien président de Google, Eric Schmidt, doit voter lundi sur son rapport final au Congrès. Une nouvelle section sur la recherche universitaire a été ajoutée à un projet final récemment publié, qui contient également de nombreuses recommandations dans des domaines tels que la concurrence dans l’intelligence artificielle et la chaîne d’approvisionnement des semi-conducteurs.

Plusieurs affaires témoignent que des scientifiques chinois liés à l’armée détournent des informations stratégiques dans de nombreux domaines.

La Chine a nié les allégations selon lesquelles elle tentait de voler des recherches américaines.

Ces affaires font partie de la soi-disant «initiative chinoise» du département américain de la Justice, lancée en 2018 pour contrer les menaces à la sécurité nationale de la Chine.

Les recommandations de la NSCAI exigeraient davantage de divulgation sur le financement de la recherche et les partenariats dans les universités. Il propose également de créer une base de données d’individus et d’entités pour signaler les risques à l’avance.

Gilman Louie, un investisseur en capital-risque de la Silicon Valley et commissaire de la NSCAI, a déclaré qu’une base de données pourrait aider à éviter les interdictions unilatérales fondées sur des affiliations et permettre à la place aux États-Unis de juger des cas individuels. Louie a déclaré que la commission voulait éviter une «approche de masse».

Le manque d’orientation jusqu’à présent signifie que certains présidents d’université nerveux ont tenu les ressortissants chinois à l’écart de tout projet de recherche, a déclaré Louie. «Que quelqu’un vous regarde simplement et détermine, parce que vous êtes d’origine chinoise, qu’on ne peut plus faire confiance aux programmes aux États-Unis, c’est un gros problème avec moi.»

Tobin Smith, vice-président de la politique scientifique et des affaires mondiales à l’Association of American Universities, a déclaré que les universités avaient du mal à évaluer les risques et ont accueilli favorablement le plan directeur.

Crise sanitaire : « pour des mesures territorialisées et graduées

Crise sanitaire : « pour des mesures territorialisées et graduées »

Une vingtaine de médecins, scientifiques, enseignants et chercheurs, regroupés au sein du collectif Du côté de la science, recommandent, dans une tribune au « Monde «, des « mesures territorialisées et graduées » allant « jusqu’à un confinement local ».

 « Je perdrai peut-être mais je ne veux pas abandonner. Il en va de la santé des Dunkerquois », a déclaré le maire de Dunkerque, Patrice Vergriete, le 12 février, devant le refus des autorités nationales de fermer les collèges et lycées, alors que plusieurs clusters ont été identifiés dans la ville et que 68 % des contaminations proviennent de virus mutants.

Même déconvenue en Moselle. François Grosdidier, maire de Metz, avait demandé la veille un confinement strict et la fermeture anticipée des écoles pour ce département où 300 cas de Covid-19 liés aux variants apparus en Afrique du Sud et au Brésil ont été identifiés. Le préfet de Moselle annonçait le lendemain qu’« il n’y aura pas de nouvelle mesure », tandis que le ministère de l’éducation nationale allégeait à nouveau son protocole sanitaire.

La question de nouvelles mesures pour freiner la circulation du virus et de ses variants n’est-elle à l’ordre du jour que pour ces deux territoires ? Non, et c’est le débat de l’heure, au moment où le nombre de contaminations continue d’être élevé et que l’on compte quotidiennement 400 décès dus au Covid-19.

Le président de la République fait la sourde oreille aux alertes que lui adressent les élus et les scientifiques. C’est un choix politique qui revient à attendre que la situation ait dérapé pour appliquer des mesures drastiques. L’exact opposé de la stratégie globale adoptée par nos voisins allemands, danois et d’autres, qui combinent campagne de vaccination intensive et pression maximale visant à limiter fortement la circulation du virus. De ce point de vue, l’image du chef de l’Etat, pourtant grand défenseur de l’agilité et de la disruption, pâlit en comparaison de la manière dont la chancelière allemande, Angela Merkel, combine ces deux attitudes.

Cette stratégie de nos voisins n’est pas justifiée par une situation plus grave que celle que nous connaissons chez nous. Pas plus que par une indifférence de leur part aux risques sociaux liés à un reconfinement, qui ferait de la France un modèle en la matière. Ni Dunkerque ni la Moselle ne sont masochistes. En Moselle, la première vague de Covid-19 a été particulièrement dure. Rien de surprenant à ce que les habitants et leurs représentants ne souhaitent connaître à nouveau cette épreuve.

La demande d’une stratégie rigoureuse de suppression du virus est fondée sur ce que nous avons appris de la pandémie au cours de l’année passée. A présent que la vaccination est lancée – non sans difficultés – et que la circulation du virus persiste « à un niveau très élevé dans le contexte d’augmentation de la prévalence des variants plus transmissibles » (bulletin de Santé publique France du 11 février), la menace accrue impose de durcir la riposte.

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