Archive pour le Tag 'mesurée »'

Biens alimentaires : » inflation mesurée »

Biens alimentaires : » inflation mesurée »

Après les discussions de la grande distribution avec les  industriels, les prix des biens alimentaires devraient enregistrer une inflation assez mesurée et presque une quasi stagnation. Relevons quand même que depuis la crise il porte toujours une augmentation de l’ordre de 20 % en moyenne. Conclusion l’inflation ne recule pas mais maintient un niveau des prix relativement hauts qui d’ailleurs a modifié assez profondément le comportement des consommateurs quand à la nature et le volume des produits. Un phénomène qui devient désormais structurel concernant les produits les plus chers comme la viande ou les légumes.

 

. Bouclées le 1er mars à minuit, ces discussions ont abouti à « une quasi-stabilité » des tarifs, en moyenne. Elle « sera bénéfique aux consommateurs après les années d’inflation que nous avons connues », a affirmé Layla Rahhou, la déléguée générale de la Fédération du commerce et de la distribution (FCD), qui représente les grandes enseignes de l’alimentaire.

Certes, ces tarifs d’achat de produits de grande consommation ne correspondent pas aux prix affichés dans les rayons des magasins. Ils sont librement fixés par les enseignes alimentaires, selon les marges qu’ils appliquent. Mais, cette « quasi-stabilité » devrait globalement conduire à contenir l’inflation des étiquettes cette année.

Israël : réponse « mesurée » du Hezbollah et de l’Iran

 Israël : réponse  » mesurée »  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposée à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Dernier élément dont il faut tenir compte la fragilité du Premier ministre israélien qui ne se maintient au pouvoir que grâce à l’intensité et au développement de la guerre. Ce dernier ne serait pas opposé à une guerre totale qui menacerait l’existence du Liban et même le régime religieux de Téhéran. En effet en l’état du rapport de force, Israël a sans doute les moyens de détruire ses ennemis même si évidemment il faudra consentir de nombreux sacrifices notamment en termes de victimes.

Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

  Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposée à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Dernier élément dont il faut tenir compte la fragilité du Premier ministre israélien qui ne se maintient au pouvoir que grâce à l’intensité et au développement de la guerre. Ce dernier ne serait pas opposé à une guerre totale qui menacerait l’existence du Liban et même le régime religieux de Téhéran. En effet en l’état du rapport de force, Israël a sans doute les moyens de détruire ses ennemis mêmes si évidemment il faudra consentir de nombreux sacrifices.

Conflits et Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

Conflits et  Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposés à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Guerre Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

Guerre Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposés à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.
Reste l’hypothèse d’un conflit direct entre l’Iran et Israël. Hypothèse peu vraisemblable compte tenu de la seule supériorité manifeste d’Israël sur l’Iran. Israël pourrait profiter d’un conflit généralisé pour s’attaquer en outre aux installations nucléaires iraniennes et mettre en danger le régime des Mollahs. On peut donc faire l’hypothèse d’ une réponse directe ou indirecte de l’Iran mais qu’elle sera mesurée ou plus exactement « réfléchie » comme l’indiquent les communiqués du Hezbollah et de l’Iran.

 

Guerre Israël-Hamas : réponse « mesurée » du Hezbollah

Guerre Israël-Hamas : réponse « mesurée »  du Hezbollah 

 

Il y a toujours un énorme décalage entre la radicalité des propos de vengeance du Hezbollah et la réponse militaire. Encore une fois le Hezbollah en quelque sorte a fait le minimum suite à l’attaque mortelle d’un de ses chefs par Israël.

La vérité sans doute c’est que le souhaiterait bien une réponse autrement plus significative mais qui ne dispose pas des moyens militaires pour l’entreprendre. Une nouvelle guerre d’ampleur entre le et Israël pouvant conduire à l’élimination du parti terroriste libanais voir même à menacer l’existence même du Liban.

Le Hezbollah se contentera donc de discours enflammés mais d’attaques sporadiques notamment sur des cibles civiles

Le Hezbollah a en effet annoncé avoir lancé des dizaines de roquettes sur le nord d’Israël jeudi, en réponse à une frappe qui a tué quatre Syriens dans le sud du Liban, première attaque du groupe libanais depuis l’assassinat d’un de ses chefs militaires mardi soir.

 

Conflit Ukraine : aide très mesurée de la France

Conflit Ukraine : aide très mesurée de la France

Le principe du « en même temps » semble valoir aussi pour les relations entre la France et l’Ukraine. En effet la position de Macron a beaucoup évolué passant du bavardage inutile avec Poutine au soutien mesuré de l’Ukraine. Force est de constater que les fournitures de matériel sont assurées au compte-gouttes par la France en comparaison de l’aide américaine et de la Grande-Bretagne. À grand renfort de communication de gouvernement français tente de rééquilibrer la balance en annonçant la fourniture de 12 nouveaux canons Caesar. Une aide utile bien sûr mais bien loin des besoins et de la demande ukrainienne. En cause aussi sans doute l’insuffisance structurelle des moyens dont dispose l’armée française pour elle-même. Une armée complète mais une miniature d’armée

Douze canons Caesar supplémentaires. C’est ce que la France est disposée à financer pour l’Ukraine, a annoncé ce jeudi le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Ces douze Caesar représentent un investissement de 50 millions d’euros.

« J’ai décidé de débloquer une somme de 50 millions d’euros » – sur le fond de soutien français à l’Ukraine – « ce qui va permettre d’acheter douze canons Caesar » a déclaré le ministre français des Armées.

La France a la capacité d’en produire 60 autres, selon le ministre, soit quelque 250 millions d’euros, « une somme qui me semble-t-il est accessible pour les différents budgets des alliés » a-t-il poursuivi.

Au total, la France a déjà cédé ou vendu à l’Ukraine 30 Caesar depuis le début de la guerre en février 2022. Le Danemark a également fourni à l’Ukraine 19 exemplaires d’une version blindée à huit roues. Monté sur camion, le Caesar peut tirer des obus de 155 mm à 40 kilomètres de distance. Pour faire face à la demande, Nexter, branche française du groupe franco-allemand KNDS, a accéléré la production du Caesar, passant de trois ans à 18 mois pour sa fabrication et de deux exemplaires produits chaque mois à six mensuels.

Ukraine : aide très mesurée de la France

Ukraine : aide très mesurée de la France

Le principe du « en même temps » semble valoir aussi pour les relations entre la France et l’Ukraine. En effet la position de Macron a beaucoup évolué passant du bavardage inutile avec Poutine au soutien mesuré de l’Ukraine. Force est de constater que les fournitures de matériel sont assurées au compte-gouttes par la France en comparaison de l’aide américaine et de la Grande-Bretagne. À grand renfort de communication de gouvernement français tente de rééquilibrer la balance en annonçant la fourniture de 12 nouveaux canons Caesar. Une aide utile bien sûr mais bien loin des besoins et de la demande ukrainienne. En cause aussi sans doute l’insuffisance structurelle des moyens dont dispose l’armée française pour elle-même.

Douze canons Caesar supplémentaires. C’est ce que la France est disposée à financer pour l’Ukraine, a annoncé ce jeudi le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Ces douze Caesar représentent un investissement de 50 millions d’euros.

« J’ai décidé de débloquer une somme de 50 millions d’euros » – sur le fond de soutien français à l’Ukraine – « ce qui va permettre d’acheter douze canons Caesar » a déclaré le ministre français des Armées.

La France a la capacité d’en produire 60 autres, selon le ministre, soit quelque 250 millions d’euros, « une somme qui me semble-t-il est accessible pour les différents budgets des alliés » a-t-il poursuivi.

Au total, la France a déjà cédé ou vendu à l’Ukraine 30 Caesar depuis le début de la guerre en février 2022. Le Danemark a également fourni à l’Ukraine 19 exemplaires d’une version blindée à huit roues. Monté sur camion, le Caesar peut tirer des obus de 155 mm à 40 kilomètres de distance. Pour faire face à la demande, Nexter, branche française du groupe franco-allemand KNDS, a accéléré la production du Caesar, passant de trois ans à 18 mois pour sa fabrication et de deux exemplaires produits chaque mois à six mensuels.

Croissance de la zone euro : baisse « mesurée »

Croissance de la zone euro : baisse « mesurée »

  • Légère révision à al baisse des prévisions économiques européennes. 2% de croissance du PIB cette année et 1,8% l’an prochain, soit 0,1 point de moins. Elle prévoit toujours un taux d’inflation annuel de 1,7% d’ici à 2020. Sa politique monétaire accommodante va être graduellement arrêtée. En cause le tassement mondial et surtout l’avertissement que constitue la baisse da l’activité industrielle.  La croissance est en effet clairement menacée en zone euro par la baisse de la production industrielle pour le deuxième mois consécutif. Un indicateur amont de la croissance future pour le second semestre. À noter en particulier la baisse consommation de biens de consommation durables.  La production industrielle s’est en effet contractée de 0,8% par rapport à juin et de 0,1% sur un an, a précisé Eurostat. Eurostat a en outre revu à la baisse le chiffre de juin à -0,8% contre -0,7% annoncé initialement, et la hausse sur un an a été revue à 2,3% au lieu de 2,5%. L’Allemagne comme l’Italie, la troisième économie du bloc, ont fait état d’un recul de 1,8% de leur production industrielle que n’a que partiellement compensé la hausse de 0,7% de celle de la France. Par rapport à juin, la baisse a été de 1,9% pour la production de biens de consommation durables et de 1,3% pour les biens de consommation non durables, comme l’habillement. La production de biens intermédiaires a reculé de 0,8%.La production de biens d’équipement a augmenté en revanche de 0,8%, un signe encourageant pour l’investissement, et la production d’énergie a progressé de 0,7%.Du coup le commentaire du président de l BCE paraît assez énigmatique :   « Les risques entourant les perspectives de croissance de la zone euro peuvent toujours être évalués comme étant globalement équilibrés». Mais reconnaît des risques internationaux demeurent. Bref, rien n’est sûr pour cette perspective de croissance. Surtout avec la baisse de l’activité Par ailleurs,  la BCE n’a pas modifié sa politique monétaire, ses taux directeurs restant inchangés, à -0,40% pour les dépôts (les réserves excédentaires des banques sont « taxées » à 0,40%) et 0,25% pour le taux de prêt marginal. Le Conseil des gouverneurs prévoit que les taux d’intérêt directeurs de la BCE resteront à leurs niveaux actuels  »au moins jusqu’à l’été 2019. » Le programme d’achat de dettes sera maintenu au rythme actuel de 30 milliards d’euros par mois jusqu’à la fin du mois de septembre et sera réduit à 15 milliards par mois jusqu’à fin décembre, et s’arrêtera ensuite, comme annoncé en juin dernier. La politique accommodante (quantitative easing) ne cesse pas d’un coup : la BCE va réinvestir la dette arrivant à échéance « pendant une période prolongée » après la fin des achats nets, a-t-elle martelé avec la même formulation qu’en juin, « aussi longtemps que nécessaire pour maintenir des conditions de liquidité favorables et un degré élevé de soutien monétaire. »

 

Taxes américaines : riposte européenne « mesurée »

Taxes américaines : riposte européenne « mesurée »

 

Une riposte « mesurée et proportionnée » dès juillet pour marquer le mécontentement de l’Europe mais sans toutefois prendre trop de risques de guerre commerciale. La Commission, qui a saisi l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) vendredi dernier, a parallèlement dressé une liste d’importations américaines d’un montant total de 2,8 milliards d’euros sur lesquelles pourraient s’appliquer des droits de douane. “La Commission, en coordination avec les Etats membres, prévoit de conclure la procédure avant la fin juin afin que les nouveaux droits commencent à s’appliquer en juillet”, a déclaré lors d’une conférence de presse Maros Sefcovic, vice-président de la Commission chargé de l’énergie. “C’est une réponse mesurée et proportionnée à la décision unilatérale et illégale prise par les Etats-Unis d’imposer des droits de douane sur les exportations européennes d’acier et d’aluminium. Nous regrettons que les États-Unis ne nous aient laissé d’autre choix que de protéger les intérêts de l’UE”, a souligné Cecilia Malmström, commissaire européenne chargée du commerce. Le plan européen prévoit également d’imposer des droits de douane allant de 10 à 50% sur des importations américaines supplémentaires représentant 3,6 milliards d’euros en mars 2021, voire plus tôt si l’OMC juge les décisions américaines illégales. Parmi les produits américains visés figurent le jus d’orange, le bourbon, les jeans et les motos.




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