Archive pour le Tag 'mérite »'

Foot–CAN- Un miracle mérité de la Côte d’Ivoire

Foot–CAN- Un miracle mérité de la Côte d’Ivoire

La victoire en finale de la CAN de l’équipe nationale ivoirienne relève un peu du miracle après un début catastrophique. Mais les « Eléphants » n’ont jamais perdu espoir. Au fil des matchs, ils ont même amélioré et solidifié leur jeu largement soutenu par une population qui adore le football. Un pays en plus qui fournit régulièrement à l’Europe les plus grands champions du ballon rond dans les grandes équipes internationales.

Sportivement, cette victoire est justifiée compte tenu du niveau moyen habituel de l’équipe nationale mais aussi de l’énorme remise en cause et du redressement au cours de cette coupe d’Afrique.

Politiquement, le pays qui a su surmonter ses divisions en 2004 et préserver son bien le plus précieux à savoir sa diversité, sa joie de vivre et son sens exceptionnel de l’accueil; un pays qui mérite aussi d’être récompensé par cette fête africaine du football.

Le pays demeure l’un des rares en Afrique à progresser économiquement avec une croissance exemplaire même s’il reste encore des catégories à sortir de la pauvreté. C’est aussi l’un des rares à respecter la démocratie dans une zone menacée par les dictatures à l’intérieur et les prises de contrôles russes et chinoises de l’extérieur.

L’équipe nationale de Côte d’Ivoire a gagné encore en popularité et le pays avec tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières. Certains objecteront qu’il s’agit quand même d’un miracle mais c’est oublier que le Dieu du football choisit souvent les plus passionnés.

Foot–CAN- un miracle mérité sportivement et politiquement pour la Côte d’Ivoire

Foot–CAN- un miracle mérité sportivement et politiquement pour la Côte d’Ivoire

La victoire pour la qualification en finale de la CAN de l’équipe nationale ivoirienne relève un peu du miracle après un début catastrophique. Mais les « Eléphants » n’ont jamais perdu espoir. Au fil des matchs, ils ont même amélioré et solidifié leur jeu largement soutenu par une population qui adore le football. Un pays en plus qui fournit régulièrement à l’Europe les plus grands champions du ballon rond dans les grandes équipes internationales.

Sportivement, cette qualification est justifiée compte tenu du niveau moyen habituel mais aussi de l’énorme remise en cause et du redressement de l’équipe nationale au cours de cette coupe d’Afrique.

Politiquement, le pays qui a su surmonter ses divisions en 2004 et préserver son bien le plus précieux à savoir sa diversité, sa joie de vivre et son sens exceptionnel de l’accueil; un pays qui mérite aussi d’être récompensé par cette fête africaine du football.

Le pays demeure l’un des rares en Afrique à progresser économiquement avec une croissance exemplaire même s’il reste encore des catégories à sortir de la pauvreté. C’est aussi l’un des rares à respecter la démocratie dans une zone menacée par les dictatures à l’intérieur et les prises de contrôles russes et chinoises de l’extérieur.

L’équipe nationale de Côte d’Ivoire a déjà gagné encore en popularité et le pays avec. Et le résultat de la finale forcément aléatoire n’y changera rien.

Arnaud Beltrame : Ce héros qui mérite un hommage annuel

 

 Arnaud Beltrame  : Ce héros qui mérite un hommage annuel

 

Arnaud Beltrame est ce gendarme  tué à Trèbes en mars 2018 par Redouane Lakdim après avoir pris la place d’otage d’une hôtesse de caisse d’un Super U. Un héros qui mériterait un hommage annuel.  

Grièvement blessé au couteau par Redouane Lakdim après l’assaut lancé par le GIGN de Toulouse en début d’après-midi, Arnaud Beltrame meurt le lendemain à l’hôpital. Quelques jours plus tard, il est élevé au grade de colonel à titre posthume et un hommage national est rendu aux Invalides à ce « héros » dont la « grandeur a sidéré la France », selon Emmanuel Macron.

  Pour la hierachie, la décision d’Arnaud Beltrame « ne correspond pas à la doctrine » et « on pourra débattre sur le sujet à l’envi, mais ce geste, c’est un geste individuel, personnel et héroïque, incontestablement ».

Les proches d’Arnaud Beltrame, décédé lors des attentats de Trèbes et de Carcassonne, sont ce lundi 22 janvier 2024 à Paris pour l’ouverture du procès de ces attaques.

« Arnaud, c’était un battant ». C’est ce que Nicolle Beltrame, la mère d’Arnaud Beltrame décédé dans les attentats de Carcassonne et de Trèbes, voudrait que l’on retienne de son fils. . L’un des frères d’Arnaud Beltrame voudrait que « justice soit rendue pour tout le monde ». « J’attends que tous ceux qui, de près ou de loin, ont fait partie de l’organisation de cet attentat soient identifiés, entendus et jugés s’ils sont coupables. J’espère que la justice sera ferme pour envoyer un signal fort à tous ceux qui pourraient penser passer à l’acte ou aider ce genre de personne. Il n’y a pas de loup solitaire », a déclaré le frère du militaire. « C’est important pour le pays, pour les Français et pour beaucoup d’autres personnes. Il n’y a pas qu’Arnaud, il y a beaucoup de personnes qui attendent quelque chose du procès », a poursuivi son autre frère.

 

 

Rémunérer les fonctionnaires au mérite: la CGT s’oppose totalement à la proposition

Rémunérer les fonctionnaires au mérite: la CGT s’oppose totalement à la proposition

Macron a proposé qu’à l’avenit la rémunération des fonctionnaires tienne compte bien évidemment de l’ancienneté mais aussi du mérite. Un critère qui normalement devrait déjà être pris en compte.

Malheureusement conformément à sa stratégie d’opposition systématique, la CGT a tenu à s’opposer totalement à une telle orientation.

Une ligne politique dénoncée par Céline Verzeletti, secrétaire confédérale de la CGT. « Ce n’est pas entendable », lance-t-elle au micro de BFMTV.

Le pouvoir d’achat des fonctionnaires « ne cesse de s’effondrer »

« Ça voudrait dire que des agents de la fonction publique ne seraient pas méritants », souligne la syndicaliste, qui rappelle que la CGT et d’autres organisations réclament « depuis des années et des années plus de moyens et plus d’effectifs pour répondre aux besoins de la population ».

Une déclaration qui d’une part démontre l’archaïsme de l’organisation syndicale et qui mélangent des problèmes qui n’ont pas de lien entre. C’est une chose en effet de constater une insuffisance globale des effectifs et c’est une autre chose que d’évaluer la performance de chaque fonctionnaire en tenant compte évidemment du contexte.

En réalité c’est le concept même d’évaluation qui est combattue par la CGT qui considère que le fonctionnaire doit bénéficier d’un salaire de droit déconnecté de la qualité de ses services.

C’est aussi avec ce style de stratégie syndicale d’opposition qu’on discrédite en même temps l’avenir de la fonction publique et ses salariés.

Société: On a les politiques qu’on mérite ?

Société:  On a les politiques qu’on mérite ? 

La politologue Chloé Morin tente d’humaniser les politiques pour les disculper des exigences intenables auxquelles ils seraient désormais soumis. Un exercice limite.

 

Un point de vue qui n’est pas sans intérêt mais qui fait l’impasse sur la raison fondamentale à savoir l’obsolescence du système démocratique. NDLR

 

 

C’est un exercice périlleux auquel s’attelle Chloé Morin, politologue associée à la Fondation Jean Jaurès et spécialiste de l’opinion publique : nous faire toucher l’humanité d’hommes et de femmes politiques pour démontrer le danger qu’il y a à trop exiger d’eux. On a les politiques qu’on mérite est à mi-chemin entre le recueil d’entretiens et l’analyse. A l’occasion, il ne néglige pas la provocation.

« Il est impopulaire, voire sans doute un peu indécent, d’affirmer que la vie des élus et de leurs collaborateurs est une vie professionnelle qui peut s’avérer difficile. Psychologiquement, c’est incontestable, mais parfois aussi physiquement et financièrement », soutient l’autrice, en convoquant deux des figures les plus décriées de la vie politique française : Isabelle Balkany d’un côté, Manuel Valls de l’autre, auprès duquel elle a travaillé au ministère de l’intérieur pendant plusieurs années. « La confiance est le carburant des hommes et des femmes politiques. (…) Comment réagir lorsqu’elle est supplantée par l’indifférence, par la détestation ? » La politologue tente moins de formuler des solutions que de faire ressentir l’épuisement d’un système et de ses incarnations.

Ne pas voir ses enfants, vivre dans la peur des agressions, de la petite phrase sortie de son contexte… Chloé Morin fait la liste des nombreux désavantages de la vie d’élu. La parole politique est accueillie sans filtre. Ce qui amène des aveux intéressants, par exemple de la part de Myriam El Khomri : « J’ai été vue comme une incapable, une marionnette. C’est terrible. Ça me collait à la peau. » Mais permet aussi à certains de ses interlocuteurs de dérouler sans ambages un discours de campagne. Emmanuel Macron lui répond ainsi par écrit : « Si j’avais choisi la facilité, je n’aurais pas quitté mon métier, je n’aurais pas démissionné de la fonction publique et (…) créé mon propre mouvement pour rompre avec un système politique à bout de souffle. »

A gauche, si Yannick Jadot et Anne Hidalgo sont décrits comme étant aux prises avec une opinion publique toujours plus défiante, Jean-Luc Mélenchon, qui a décliné l’invitation à témoigner, se retrouve cantonné, avec Eric Zemmour et Marine Le Pen, au rôle d’agitateur du « rejet viscéral d’un système »« Ils s’appellent Le Pen, Zemmour, Mélenchon. Des monstres qui sont les nôtres », écrit la politologue, manifestement marquée par l’analyse des « gauches irréconciliables » faite par Manuel Valls. Critique du renforcement des exigences de transparence et d’exemplarité, la politologue se prononce contre la « jurisprudence Anne Sinclair », qui veut que les conjoints des politiques s’abstiennent de faire leur couverture médiatique… Vu comme une expérience personnelle, le mandat électif devient vite un supplice. Le corollaire de la thèse de l’autrice était intéressant – que valent ces citoyens qui exigent tout de leurs responsables sans rien s’imposer à eux-mêmes politiquement ? –, mais est en fin de compte tout juste effleuré, englouti sous l’abondance des discours d’élus.

 

 » Le mérite , justification des inégalités ? »

«  Le mérite ,  justification des inégalités ? »

Chevillée au système scolaire, la notion de « mérite » telle que nous l’envisageons aujourd’hui est à même de fragmenter la société, explique la sociologue Annabelle Allouch, spécialiste des politiques éducatives. (Dans le Monde, extrait)

 

En pleine écriture de Mérite, son essai paru le 2 septembre aux éditions Anamosa, Annabelle Allouch, maîtresse de conférence en sociologie à l’université de Picardie, a perdu son père malade d’un cancer. L’homme, immigré marocain, storiste de profession, croyait dur comme fer au travail et au mérite. « Il pensait qu’en redoublant d’efforts, il serait forcément récompensé », raconte-t-elle alors, au début de son second chapitre. Dans l’écho de cette histoire familiale, on lit la singularité du projet de cet essai : étudier non pas l’effectivité de l’idéal méritocratique, mais sa charge émotionnelle et la force des croyances qui l’entoure.

Cette notion est plus que jamais visible, au centre de plusieurs publications ces derniers mois, comme La Tyrannie du mérite (Albin Michel), de Michael Sandel, ou Héritocratie : les élites, les grandes écoles et les mésaventures du mérite. 1870-2020 (La Découverte), de Paul Pasquali. Alors que le mérite s’est imposé comme l’un des principes centraux d’évaluation et d’organisation du monde social, l’ouvrage d’Annabelle Allouch, spécialiste des politiques éducatives, montre comment ce concept est diversement investi selon les milieux sociaux. Loin du principe de justice consensuel qu’on semble y voir, le mérite apparaît comme un facteur de fragmentation de nos sociétés, favorisant l’émergence de tensions et d’un mal-être à l’école, et au-delà.

En quoi la notion de « mérite » relève-t-elle de la croyance, ou même de « l’acte de foi », comme vous l’écrivez ?

L’expression provient d’un entretien avec un étudiant de Sciences Po admis à l’ENA. A une question sur le caractère méritocratique du concours de l’ENA, il me répond : « J’y crois, mais c’est plus un acte de foi qu’autre chose. » Dans la vie des individus, le mérite est investi comme une croyance – c’est une « fiction nécessaire », selon les mots de François Dubet, pour participer à la compétition scolaire en ayant le sentiment de tenir les rênes. Mais cette croyance est aussi maniée avec une certaine distance, car on ne peut plus tellement croire en ce mythe. C’est très vrai pour ces élèves de grandes écoles. Formés aux sciences sociales, ils connaissent les paramètres qui, au-delà de la seule volonté, viennent influer sur une trajectoire. Mais ils veulent toujours un peu croire à cette idée qui légitime leur position sociale.

L’enseignement supérieur : une reforme sans sélection mais au mérite !

L’enseignement supérieur : une reforme sans sélection mais au mérite !

 

Du côté de certains enseignants, on  ensemble plutôt satisfait de la réforme universitaire  et surtout de l’affectation d’une enveloppe d’un milliard d’euros sur cinq ans. Une réforme qui a soigneusement évité le piège du mot sélection qui constituait un chiffon rouge pour les lycéens et les étudiants. Officiellement il n’y aura donc pas de sélection, les étudiants pourront toujours choisir leur filière mais l’acceptation de la candidature sera soumise à leur capacité. Autant dire qu’il y aura quand même une sélection mais au mérite. Cependant si les bacheliers pourront toujours choisir librement leur filière,  l‘accès pourra être conditionné au suivi d‘enseignements de rattrapage. Si la filière est saturée, un examen individuel des dossiers remplacera le tirage au sort. Les formations sélectives comme les classes préparatoires aux grandes écoles ou les BTS le resteront. “C’est une victoire culturelle idéologique d‘une réforme qui n‘ira pas dans le sens de la sélection”, s’est félicité le président de la Fage, premier syndicat étudiant, Jimmy Losfeld, sur BFMTV. “Il y aura des parcours d‘accompagnement mais, au final, le bachelier ira dans le parcours de son choix”, a-t-il ajouté. Le président de la Conférence des présidents d‘université (CPU), Gilles Roussel, abonde dans le même sens. “Au lieu d‘avoir un tirage au sort, qui est à notre sens complètement injuste, il va y avoir une sorte de choix qui va être plus au mérite. On va expliquer aux jeunes pourquoi ils ont été acceptés en filières en tension et pourquoi ils ne l‘ont pas été”, a-t-il dit sur RTL. En réalité la sélection se fera de manière individuelle sur dossier. En cause le fait que seuls 30% des étudiants obtiennent leur licence en trois ans et seulement 10% de plus en quatre ans, a souligné le chef du gouvernement en présentant le plan étudiants aux journalistes. Pour l‘UNEF, deuxième plus important syndicat étudiant, le gouvernement compte “sans l’assumer, imposer une filière aux lycéens”. Selon l‘UNEF, les parcours d‘accompagnement pourraient se traduire par “une année de remise à niveau, un rallongement de cursus universitaire, l’inscription dans un parcours spécifique”. Il aurait sans doute été plus simple mais aussi plus dangereux politiquement de décider que le choix des filières n’appartient pas aux étudiants mais à l’université seule capable de vérifier les aptitudes des candidats. Le risque c’est évidemment de multiplier des diplômes peu qualifiants sans déboucher professionnel. Cette réforme aurait dû par ailleurs être liée avec l’évolution du bac dont chacun s’accorde à constater que le niveau a considérablement baissé dans beaucoup de filières. Un bac qui pour ces filières ne peut plus constituer un droit d’entrée automatique dans l’université.

Les fonctionnaires doivent être payés au mérite (Macron) : une révolution !

 

 

Macron propose une révolution : la rémunération, la sélection et la promotion des fonctionnaires au mérite y compris pour les énarques qui sortant de l’école accèdent directement un poste de direction dans l’administration. Une orientation qui serait susceptible de générer de nombreux mouvements sociaux de la part des syndicats corpos très satisfaits de la sclérose du management de la fonction publique. On entend ici déjà les cris d’orfraie « : on veut gérer le service public comme une entreprise privée ! »  Macron,  s’il est élu, veut donc  la rémunération au mérite des fonctionnaires, au nom de la responsabilisation. « Je suis favorable au développement de la rémunération au mérite car le système de revalorisation uniforme par le point d’indice est injuste et démotivant pour les fonctionnaires », déclare l’ancien ministre de l’Economie. Il précise que la proportion de la rémunération liée à l’implication des agents de la fonction publique serait différente selon leur place dans la hiérarchie. « Elle doit être plus importante chez les cadres supérieurs et dirigeants, sur lesquels il est légitime de faire peser une incitation », explique le candidat d’En Marche ! Emmanuel Macron est aussi favorable au rétablissement d’un jour de carence dans la fonction publique. Il estime que sa suppression est source d’inéquité en raison d’un système de contrôle plus laxiste des absences dans la fonction publique. « C’est à cette différence que je souhaite m’attaquer. Ma proposition est la suivante : restaurer le jour de carence dans le public tant qu’un dispositif de contrôle équivalent à celui du privé n’aura pas été mis en place », explique-t-il. L’ancien élève de l’Ecole nationale d’administration qu’il est prône par ailleurs la suppression de l’accès direct aux grands corps de la fonction publique à la sortie de l’ENA. « Pour savoir correctement évaluer, contrôler, auditer l’État, pour rendre la justice, il faut avoir une expérience professionnelle suffisante », dit-il. « Je ne veux pas que l’État fabrique des ‘castes’ administratives (…) Je veux renforcer la méritocratie au sein même de l’État. » Cette évolution concernera également les grandes écoles d’ingénieurs, précise Emmanuel Macron. De même, sans remettre en cause le statut de la fonction publique, il souhaite ouvrir le recrutement de cadres supérieurs de l’administration à « des talents venus du secteur privé », sous contrat.

Décès de Margerie Total : un hommage mérité qui ne doit pas faire oublier l’affaire ELF

De Margerie Total : un hommage mérité qui ne doit pas faire oublier l’affaire ELF

 

Il est normal que le Président Margerie de Total reçoive cet hommage de la part des personnalités politiques et économiques. C’était effectivement un grand capitaine d’industrie mais qui aurait été encore pus honorable si Total avait  régulièrement payé des impôts sur les sociétés en France. C’était donc un bon manager, celui du plus grand groupe français. Pour autant il faut se rappeler les conditions dans lesquelles a été constitué ce grande groupe. Surtout parce que le petit Total absorbé  le Grand Elf dans des conditions pour le moins sulfureuses ? Or c’était l’inverse qui était prévu, c’est Elf qui devait absorber Total, Elf environ dix fois plus puissant. En fait Elf a été victime du lâchage du gouvernement, de son pacte dictionnaires et des chefs d’Etats africains. Elf est descendu aux enfers notamment du fait du plus  grand scandale politico financier du pays qui a révélé des financements occultes des partis, des détournements de fonds, des rémunérations occultes d’intermédiaires et des cadeaux en Afrique. Complètement discrédité Elf s’est fait acheter par Total parce qu’il fallait définitivement tourner la page ELF trop mouillé dans des scandales politico financiers.

Bourses au mérite : rétablies

Bourses au mérite : rétablies

 

O se demande ce qui pu passer par la tête d’un gouvernement dit de gauche supprimer les bourses au mérite. En tout cas le conseil d’Etat vient en quelque sorte de le rétablir par son avis. Les bacheliers mention très bien continueront de recevoir l’aide au mérite. La suppression de cette bourse, prévue par une circulaire de juillet 2014, a été annulée par le Conseil d’État ce vendredi 17 octobre. Ces étudiants pourront donc bénéficier de ces bourses en attendant que la plus haute juridiction administrative française se prononce sur la légalité d’un passage de la circulaire.  « Le juge des référés a estimé qu’il y avait un doute sérieux sur la légalité de cette partie de la circulaire attaquée et que son exécution, privant des étudiants d’une part substantielle de leur ressources, créait une situation d’urgence », explique le Conseil d’Etat dans un communiqué. La fin progressive des aides au mérite a fait l’objet d’une requête déposée par huit étudiants et l’association « Touche pas à ma bourse, je la mérite ». En jeu, une aide complémentaire aux bourses sur critères sociaux de 1.800 euros par an, attribuée à des bacheliers mention très bien, renouvelable pendant deux ans, ainsi que des aides accordées aux meilleurs étudiants de master. Environ 7.000 nouveaux bacheliers étaient concernés chaque année. Le gouvernement avait annoncé la fin de cette bourse au mérite en 2013 dans le cadre d’un redéploiement des aides étudiantes, mais elle avait été maintenue une année supplémentaire. 

 

On a les hommes politiques que l’on mérite » (André Comte-Sponville)

On a les hommes politiques que l’on mérite » (André Comte-Sponville)

Il a raison le philosophe  André Comte Sponville, si les politiques ont leurs responsabilité dans notre triste situation  les français aussi. Des français qui votent quand même toujours pour ceux qui leur promettent la lune et qui déçus votent ensuite pour le camp opposé avec la même lune pour persepctive. L’une des inconnues des élections municipales de dimanche 30 mars est l’abstention. Le taux record atteint au premier tour (36,45%), pour un scrutin normalement très mobilisateur, laisse craindre une faible participation pour le second tour. Cette abstention est surtout vue comme un signe de défiance, de mécontentement contre les politiques voire la politique en général. Mais pour le philosophe André Comte-Sponville, invité du Journal inattendu ce samedi 29 mars, on a trop tendance à taper sur les dirigeants et à être compréhensif avec les abstentionnistes. Je crois que les Français ont leur responsabilité dans la situation qui est la leur André Comte-Sponville, philosophe « Il faut rappeler que le vote est un droit mais aussi un devoir. Et aussi que dans une démocratie on a les hommes politiques que l’on mérite », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « Arrêtons de laisser croire qu’il y a 60 millions de Français formidables qui sont dirigés par un quarteron d’imbéciles. Je crois que les Français ont leur responsabilité dans la situation qui est la leur. » Le philosophe souligne que les Français ont élu ceux qui les gouvernent et estime aussi que le métier de ces derniers est tellement difficile que les citoyens « devraient peut-être arrêter de leur cracher systématiquement dessus et essayer plutôt de les soutenir ». « La France est un des pays les plus difficiles à gouverner en général et à réformer en particulier », ajoute-t-il parce que les Français « voudraient que tout s’améliore dans le pays à condition qu’on ne change rien pour eux, en tout cas rien qui ne représente un sacrifice ».

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol