Archive pour le Tag 'merde'

EELV: Sandrine Rousseau joue les mouches à merde chez les écolos

EELV: Sandrine Rousseau joue les mouches à merde chez les écolos

 

Il est clair que Sandrine Rousseau a mal digéré d’avoir perdu les primaires chez les écolos. Sans doute pourquoi elle multiplie les peaux de banane sous les pieds de Yannick Jadot. Ce dernier s’est opposé à la proposition de Taubira pour organiser une « primaire populaire de la gauche ». L’occasion saisie par Sandrine Rousseau pour rejoindre l’idée de Taubira qui consiste en fait non pas à réunir la gauche mais la diviser encore davantage avec une candidature supplémentaire.

Sandrine Rousseau se moque  sans doute pas mal de l’union de la gauche voir même de l’avenir d’Europe écologie les Verts. Elle sert surtout les intérêts gauchistes du wokisme  tout autant que ses propres intérêts.

Yannick Jadot a maintes fois répété qu’il ne souhaitait pas participer à la primaire de la gauche proposée début décembre par la candidate socialiste, Anne Hidalgo. Chez les Verts, la pression continue malgré tout de monter pour un rassemblement de ce camp. «On ne peut pas continuer en ordre dispersé de cette manière-là, il nous faut une équipe», a considéré Sandrine Rousseau ce mardi matin sur France Inter.À matière de solidarité, cela ressemble surtout un joli croche-pied

ans cette primaire». Et de finir par un conseil particulièrement casse-gueule :«Je dis à Yannick : Vas-y, passe des coups de fil, et mettons-nous autour d’une table pour trouver la solution pour faire  équipe”».Sandrine Rousseau voudrait démontrer l’inutilité de la candidature de son leader qu’elle ne s’y prendrait pas autrement

 

Mali : là aussi, Poutine joue les mouches à merde

Mali : là aussi, Poutine joue les mouches à merde 

Il est clair que la Russie n’est plus la grande puissance que représentait l’union soviétique. Poutine cultive c ependant la nostalgie du passé avec une politique internationale qui multiplie des interventions un peu partout y compris de manière marginale mais toujours nuisible.

 C’est aussi le cas au Sahel ou Poutine est particulièrement heureux d’alimenter l’opinion anti française. Il y a de ce point de vue une grande différence entre la politique chinoise et la politique russe. Les Chinois s’intéressent essentiellement à l’économie et prennent des participations où s’attribunte purement et simplement les richesses de pays en voie de développement alors que les Russes ne sont là que pour ajouter du désordre au désordre sans vraiment de perspectives géostratégiques claires.

Bref le dictateur Poutine joue surtout les mouches à merde un peu partout.

Les mercenaires russes de la sulfureuse société paramilitaire Wagner ont entamé leur déploiement au Mali, avec l’aide de Moscou, dénoncent jeudi 23 décembre une quinzaine de puissances occidentales impliquées dans la lutte antidjihadiste dans ce pays, dans un communiqué commun.

«Nous (…) condamnons fermement le déploiement de mercenaires sur le territoire malien», soulignent d’une voix ces pays dont la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et le Canada, en dénonçant «l’implication du gouvernement de la Fédération de Russie dans la fourniture d’un soutien matériel au déploiement du groupe Wagner au Mali».

« Réseaux sociaux » : « Facebook, une merde ! « (Un ancien dirigeant de Facebook)

« Réseaux sociaux » : « Facebook, une merde ! «  (Un ancien dirigeant de Facebook)

Nullité, voyeurisme, égocentrisme caractérise Facebook.  En outre ce réseau social (qui comportent davantage d’amis inconnus que de véritables connaissances) comme les autres GAFA se livre à  un immense trafic de données et menace les libertés individuelles. Même si de très rares exemples  permettent une application intelligente globalement « Facebook est une merde » Ce qui résume assez bien l’évaluation de Facebook par un ancien dirigeant du réseau social. Un réseau social d’une grande nullité quant à son contenu ou s’échangent surtout  des banalités, des vulgarités voir de fausses informations. Bref,  le degré informatif, culturel et sociétal zéro ; En outre Facebook crée uen dépendance quasi maladive au réseau pour multiplier les échanges.  Des réseaux qui n’ont rien de sociaux mais plutôt à caractère commercial qui institutionnalise la bêtise humaine. Certes ici ou là on trouvera une information, une analyse, un objet artistique digne de ce nom mais il faudra pour cela fouiller dans une poubelle pleine de milliers et de milliers d’idioties et de nullités. C’est l’avis d’un expert,  Chamath Palihapitiya qui a travaillé comme vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook. Aujourd’hui, il a tiré un trait sur le réseau social, au point d’interdire à ses enfants de l’utiliser. Il utilise au minimum « cette merde », a-t-il expliqué lors d’un débat organisé à la Stanford Graduate School of Business, signale The Verge (en anglais). L’ancien cadre a rejoint le groupe Facebook en 2007, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, il critique, entre autres, les conséquences négatives de l’utilisation du bouton « J’aime » et recommande à tous de prendre  »une vraie pause » avec les réseaux sociaux. D’après lui, les réseaux sociaux « sapent les fondamentaux du comportement des gens ». « Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », juge-t-il aujourd’hui, en faisant part de « son immense culpabilité », selon des propos rapportés par le site Quartz (en anglais). Plus largement, il dénonce aujourd’hui l’écosystème des médias sociaux, basés sur les pouces, les cœurs et les goûts, lesquels créent « des boucles fonctionnant sur la dopamine ». « Dieu seul sait ce qu’ils font aux cerveaux de nos enfants », s’était déjà alarmé l’ancien président de Facebook, Sean Parker, sur le site Axios (en anglais). Selon, lui, le site exploite les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus pour obtenir des réponses et des mentions « J’aime » : « Les inventeurs et créateurs – moi, Mark[Zuckerberg], Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens – l’ont très bien compris. Et l’ont fait quand même, en connaissance de cause. »

« Facebook, une merde ! « (un ancien dirigeant de Facebook)

 « Facebook, une merde ! «  (un ancien dirigeant de Facebook)

Ce qui résume assez bien l’évaluation de Facebook par un ancien dirigeant du réseau social. Un réseau social d’une grande nullité quant à son contenu ou s’échangent surtout  des banalités, des vulgarités voir de fausses informations. Bref,  le degré informatif, culturel et sociétal zéro ; En outre Facebook crée uen dépendance quasi maladive au réseau pour multiplier les échanges.  Des réseaux qui n’ont rien de sociaux mais plutôt à caractère commercial qui institutionnalise la bêtise humaine. Certes ici ou là on trouvera une information, une analyse un objet artistique digne de ce nom mais il faudra pour cela fouiller dans une poubelle pleine de milliers et de milliers d’idioties et de nullités. C’est l’avis d’un expert,  Chamath Palihapitiya qui a travaillé comme vice-président en charge de la croissance de l’audience de Facebook. Aujourd’hui, il a tiré un trait sur le réseau social, au point d’interdire à ses enfants de l’utiliser. Il utilise au minimum « cette merde », a-t-il expliqué lors d’un débat organisé en novembre à la Stanford Graduate School of Business, signale The Verge (en anglais). L’ancien cadre a rejoint le groupe Facebook en 2007, avant de claquer la porte. Aujourd’hui, il critique, entre autres, les conséquences négatives de l’utilisation du bouton « J’aime » et recommande à tous de prendre  »une vraie pause » avec les réseaux sociaux. D’après lui, les réseaux sociaux « sapent les fondamentaux du comportement des gens »« Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social », juge-t-il aujourd’hui, en faisant part de « son immense culpabilité », selon des propos rapportés par le site Quartz (en anglais). Plus largement, il dénonce aujourd’hui l’écosystème des médias sociaux, basés sur les pouces, les cœurs et les goûts, lesquels créent « des boucles fonctionnant sur la dopamine ». Avant de se montrer plus nuancé, quelques minutes plus tard, en estimant que Facebook faisait  »majoritairement du bien dans le monde ». Ce revirement n’est pas un cas isolé. « Dieu seul sait ce qu’ils font aux cerveaux de nos enfants », s’était déjà alarmé l’ancien président de Facebook, Sean Parker, sur le site Axios (en anglais). Selon, lui, le site exploite les vulnérabilités psychologiques humaines pour pousser les utilisateurs à publier toujours plus de contenus pour obtenir des réponses et des mentions « J’aime » : « Les inventeurs et créateurs – moi, Mark[Zuckerberg], Kevin Systrom sur Instagram, tous ces gens – l’ont très bien compris. Et l’ont fait quand même, en connaissance de cause. »

« Je m’excuse mais merde » (Fillon parodiant Coluche)

« Je m’excuse mais merde » (Fillon parodiant Coluche)

 

 

 

C’est en substance ce qu’a dit François Fillon pour tenter d’expliquer le contexte de ces malversations financières. L’excuse mise en dérision par Coluche avec sa célèbre phrase : « je m’excuse mais merde » convient parfaitement à l’ancien premier ministre. Un Premier ministre bien contraint de faire semblant de s’amender mais qui a tout de suite réaffirmée que les détournements d’argent public étaient légaux ce qui évidemment est faux  puisque le salaire de Pénélope Fillon concernait un emploi fictif. D’ailleurs Fillon n’a apporté aucune autre preuve matérielle du travail réel de son épouse sinon qu’elle le soutenait, qu’elle lisait ses discours ou encore qu’elle lui transmettait les doléances des « sujets » sarthois. Pas vraiment de quoi convaincre qu’elle avait un rôle d’assistante parlementaire, aucune trace écrite ne le prouve, il ne reste rien de l’activité de Pénélope Fillon. Au-delà de l’aspect juridique reste la dimension morale. François Fillon a donc présenté lundi ses « excuses » aux Français pour avoir salarié des membres de sa famille  mais en ajoutant immédiatement « Tout cela était légal », et en accusant la presse, toute la presse, d’être responsable du scandale diffusé. Dans sa conférence de presse, l’ancien Premier ministre a reconnu avoir donné des réponses « imprécises » lorsqu’il a été interrogé ces derniers jours sur les détails des travaux effectués et a mis ces erreurs sur le compte de l’émotion. Hélas les réponses restent encore bien imprécises voir complètement absente. D’abord il n’a pas apporté de preuve convaincante de la réalité du travail de collaboratrice de son épouse. Il n’a pas non plus expliqué pourquoi il avait payé autant ses enfants bien plus que la moyenne d’un véritable assistant parlementaire. Il n’a pas dit un mot du salaire fictif par son épouse dans la revue « des deux mondes » dirigée par son ami milliardaire. Il n’a pas dit un mot convaincant concernant la récupération de sommes normalement destinées aux assistants parlementaires et qu’il a mis directement dans sa poche. Il n’a pas parlé non plus du dernier scandale celui concernant les conditions d’attribution du grade suprême de la Légion d’honneur : la grand-croix, attribuée au même ami milliardaire. Il n’a pas évoqué la sous-estimation ridicule de son patrimoine. Il n’a pas dit un mot de la récupération du bénéfice réalisé lors des primaires de la droite. Des primaires qui ont rapporté 10 millions de bénéfices et qui sont allés tout droit dans son micro parti au lieu de rejoindre la caisse des Républicains. Il n’a pas évoqué bien sûr son train de vie lorsqu’il était premier ministre. Il a aussi fait complètement l’impasse sur l’activité sulfureuse de sa société de conseil, une société qui aurait été en partie financée par le milliardaire propriétaire de la revue « des deux mondes ». Bref il a survolé ses affaires, en a ignoré une grande partie. Il a surtout eu le culot de mettre en accusation la presse. Bref la formule de Coluche : « je m’excuse mais merde » résume bien la tentative pathétique d’explications de François Fillon.

Emmanuelle Cosse à propos de son cumul de mandat : « merde à la fin »

Emmanuelle Cosse à propos de son cumul de mandat : « merde à la fin »

 

Emmanuelle Cosse commence à être sérieusement agacée à propos de la critique concernant son double mandat d’élus régionaux et de ministres. La ministre écolo a notamment été mis en cause dans le petit journal. L’émission de Canal+ qui a diffusé vendredi une séquence où l’un de ses journalistes questionne la nouvelle ministre du Logement entre deux séances au conseil régional d’Ile-de-France, où elle est toujours élue. Le sujet rappelait ses promesses de campagne (« des élus uniquement engagés dans leur mandat, des élus garantis sans cumul ») et celles de François Hollande (« Moi président de la République, les ministres ne pourront pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local ») et interrogeait l’ex-EELV sur ses contradictions.  D’abord les explications : « cumuler, c’est avoir deux mandats. « Etre ministre, est-ce un mandat? Non! Alors où est le problème », se défend-elle. Le journaliste, face à elle, ne se démonte pas, persiste et lui dit qu’elle joue sur les mots. Puis arrive l’exaspération : « Merde à la fin », suivi ensuite par « Vous contribuez à dénigrer le travail des élus locaux […], le FN est très content de tout ça. » La ministre-conseillère régionale a souhaité répondre samedi à la polémique. « Un mandat d’élu d’opposition n’est pas une fonction exécutive », ajoute-t-elle sur sa page Facebook. « Ma situation n’est en rien en contradiction avec la loi sur le cumul qui entrera en vigueur en 2017; je respecte la charte du gouvernement et l’engagement du Président de la République, qui veut que les ministres ne cumulent pas leur fonction avec un mandat dans un exécutif local (maire, maire-adjoint, président ou vice-président de Conseil départemental ou de Conseil régional) », précise-t-elle encore, même si, dans sa tirade « Moi président », jamais François Hollande n’a signifié qu’il ne parlait que des fonctions de membre d’un exécutif local. Et de proposer un « statut de l’élu local » qui permettrait, comme c’est le cas pour les parlementaires, que les élus locaux soient assurés de retrouver leur mandat après un passage dans un ministère. « On peut être en désaccord avec mon choix mais je n’accepte pas qu’il soit caricaturé de manière outrancière et malhonnête », poursuit-elle. Le Petit journal démontrait également que la ministre ne prenait pas part aux votes régionaux traitant des sujets de son ministère, le logement. Emmanuelle Cosse se défendait en expliquant qu’il s’agit du règlement intérieur du conseil régional

Myriam El Khomri : « j’ai merdé » mais non, mais non !

Myriam El Khomri : « j’ai merdé » mais non, mais  non  !

Après  de sa lamentable prestation sur RTL et pas seulement à propos des CDD (dont elle ignore le fonctionnement), la ministre du travail s’est interrogée sur rôle ; « je ne sui pas là seulement pour la photo » aurait elle dit. Malheureusement, si. D’autant que l’emploi n’est pas vraiment la préoccupation de ce gouvernement  et de Hollande. Hollnde, lui,  s’intéresse essentiellement  à la inversion de la courbe du chômage, c’est à dire un phénomène statistique qui ne changera rien vis-à-vis des 7 à 8 millions de sans emploi mais qui donnera une légitimité à sa candidature.  Myriam El Khomri, femme, jeune et beur n’a donc pas été choisie pour ses compétences (mais ni plus ni moins que les autres ministres) mais pour son image justement. En fait elle ne sert strictement à rien. Témoin le fameux débat sur le code du travail qui accouche d’une souris pour permettre à Hollande de rassurer la gauche de la gauche et ainsi  pour éviter  d’avoir dans les pattes un candidat de cette gauche ou un écolo. En outre toute intelligentsia médiatique s’est empressée de minimiser les faits pour en fait légitimer en même temps leur propre incompétence. On va tourner la page. Passer à  COP 21, autre fumisterie destinée à renforcer le crédit de Hollande. Pauvre minsitre du travil qui s’est illustrée jeudi matin par son incapacité à répondre à une question pourtant basique sur le nombre de renouvellements possibles d’un CDD, assurait en début d’après-midi être «sereine». Une image de façade qu’a cherché à s’imposer la ministre, pourtant loin de refléter la vérité, si l’on en croit RTL et LCP qui relatent les doutes que celle-ci aurait confié en off à une amie. «On n’est pas toujours sur nos gardes, ça a merdé, ça a merdé…», aurait-elle ainsi lâché, selon la chaîne parlementaire. Quand la radio se contente de rapporter un plus direct: «J’ai merdé». «Je ne suis pas là que pour la photo», aurait-elle encore poursuivi, expliquant son «bad buzz» de la veille par le fait d’être, selon ses propres termes, «femme, beur et jeune». Ainsi la jeune élue, propulsée rue de Grenelle en septembre, aurait-elle également décidé de faire une pause avec Twitter et Facebook. «Surtout, ne pas regarder les réseaux sociaux aujourd’hui!», se serait-elle imposé. Quant à la comparaison avec les déboires de sa collègue de la Culture, Fleur Pellerin, qui n’a pas su citer un seul livre du Prix Nobel de littérature Patrick Modiano, elle souffle: «J’espère que ça durera moins longtemps».

 

Détournement de fonds publics : Dumas encore en correctionnelle ou de la merde dans un bas de soie

Détournement de fonds publics : Dumas encore   en correctionnelle ou de la merde dans un bas de soie

Une nouvelle affaire Dumas renvoyé en correctionnel pour détournement de fonds publics. Lui, pourtant l’ancien président du conseil constitutionnel la plus haute instance de la république, garante des lois ! Dumas l’archétype de l’entourage de Mitterrand ( sauf quelques  exception comme Badinter). Dumas impliqué dans différentes affaires et condamné , mondain, méprisant , voleur au surplus. Qui ajoute la muflerie à ses pratiques de truand. Roland Dumas et l’ancien maire de Pont-Saint-Esprit (Gard), Gilbert Beaumet, ont en effet été renvoyé en correctionnel vendredi par le parquet de Nîmes pour une affaire de détournement de fonds publics.  L’avocat et ex-ministre Roland Dumas a été renvoyé vendredi en correctionnelle pour « recel de détournement de fonds publics » par le parquet de Nîmes. Même chose pour Gilbert Beaumet, l’ancien maire socialiste de Pont-Saint-Esprit (Gard), lui aussi ancien ministre de François Mitterrand, renvoyé en correctionnelle dans la même affaire pour « détournement de fonds publics ». La justice suspecte Gilbert Beaumet d’avoir commandé une étude à Roland Dumas sur la vidéosurveillance alors qu’il était maire de Pont-Saint-Esprit. Cette étude d’un montant de 8.300 euros aurait servi à payer une partie des honoraires d’avocats de Roland Dumas qui avait défendu le maire de Pont-Saint-Esprit en 2006 dans une affaire de malversations. BHL avait  trouvé la formule pour le sulfureux  et gâteux Roland Dumas qui a déclaré que Valls était sous influence juive « .De la merde dans un bas de soie »,  cette formule employée par Napoléon à l’égard de Talleyrand convient pour celui qui s’est toujours caractérisé par des paroles et des actes indignes de la république. Sa dernière saillie concernait la certification ( par lui-même alors qu’il était président du conseil constitutionnel) des comptes de campagne de Chirac «  faux mais certifiés pour sauver la république » ! . On attribue une bonne définition de Dumas par  Mitterrand «  pour le droit , j’ai Badinter, pour le tordu, j’ai Dumas ». Effectivement impliqué ( et condamné ) dans des affaires tordues, Dumas avait persisté en déclarant récemment  que Valls était sous influence juive !  Il faut dire que les propos de Dumas ont été largement sollicités par Bourdin, le journaliste de RTL dont le populisme caricatural ne sert pas la cause de la démocratie. Bourdin est un peu au journalisme ce que le FN est à la politique, un provocateur,  un diffuseur de vulgarité  et un défonceur de portes ouvertes qui aime patauger dans les eaux troubles du caniveau.

 

Antisémitisme- « Dumas : de la merde dans un bas de soie » (BHL )

Antisémitisme-  « Dumas : de la merde dans un bas de soie » (BHL )

BHL a trouvé la formule pour le sulfureux  et gâteux Roland Dumas qui a déclaré que Valls était sous influence juive. Cette formule employée par Napoléon à l’égard de Talleyrand convient pour celui qui s’est toujours caractérisé par des paroles et des actes indignes de la république. Sa dernière saillie concernait la certification ( par lui-même alors qu’il était président du conseil constitutionnel) des comptes de campagne de Chirac «  faux mais certifiés pour sauver la république » ! . On attribue une bonne définition de Dumas par  Mitterrand «  pour le droit , j’ai Badinter, pour le tordu, j’ai Dumas ». Effectivement impliqué ( et condamné ) dans des affaires tordues, Dumas persiste et signe avec cette provocation ignoble. Il faut dire que les propos de Dumas ont été largement sollicités par Bourdin, le journaliste de RTL dont le populisme caricatural ne sert pas la cause de la démocratie. Bourdin est un peu au journalisme ce que le FN est à la politique, un provocateur,  un diffuseur de vulgarité  et un défonceur de portes ouvertes qui aime patauger dans les eaux troubles du caniveau.  Certes Valls n’est pas sans défaut, il se nourrit davantage de propos martiaux que d’action pour autant le procès qui lui est fait par Dumas est scandaleux.  Le CSA se saisit de l’affaire. Ce lundi, le Conseil supérieur de l’audiovisuel annonce qu’il « instruit un dossier » sur les propos tenus par Roland Dumas sur Manuel Valls. Dans la matinée, l’ancien ministre des Affaires étrangères avait estimé sur BFM-TV et RMC que le Premier ministre « était probablement » sous influence juive. Le porte-parole du CSA n’a pas précisé ce qui était visé dans cette enquête, à savoir la chaîne où le journaliste qui a eu cet échange controversé, Jean-Jacques Bourdin. Jean-Jacques Bourdin l’a relancé plusieurs fois sur le fait que Manuel Valls était marié avec une juive. « Qu’est ce que vous voulez dire Roland Dumas? », l’a relancé Jean-Jacques Bourdin avant de lui demander: « Il est sous influence juive ?« . Sur Twitter, Jean-Jacques Bourdin s’est défendu. « J’aime mon métier. Faire dire à mes interlocuteurs ce qu’ils pensent vraiment. Recherche de la vérité contre toutes les langues de bois ». Un belle profession de foi, en apparence honorable mais la méthode Bourdin relève davantage du cirque médiatique que du journalisme. A l’évidence Bourdin s’intéresse  peu au fond, c’est d’obtenir la petite scandaleuse qui fera le buzz.  Manuel Valls a dénoncé ces propos qui « ne font pas honneur à la République« , selon lui. « Aucun mot, aucun acte » à caractère antisémite « ne peut être accepté par un responsable politique, associatif (…), l’antisémitisme n’est pas une opinion, ce n’est pas une petite plaisanterie », a dit le Premier ministre devant des élus du Conseil régional d’Ile-de-France Le CSA annonce ce lundi qu’il « instruit un dossier » sur les propos de Roland Dumas. Sur BFM-TV et RMC, l’ancien ministre avait déclaré que Manuel Valls était « probablement » sous influence juive.  Le CSA se saisit de l’affaire. Ce lundi, le Conseil supérieur de l’audiovisuel annonce qu’il « instruit un dossier » sur les propos tenus par Roland Dumas sur Manuel Valls. Dans la matinée, l’ancien ministre des Affaires étrangères avait estimé sur BFM-TV et RMC que le Premier ministre « était probablement » sous influence juive. Le porte-parole du CSA n’a pas précisé ce qui était visé dans cette enquête, à savoir la chaîne où le journaliste qui a eu cet échange controversé, Jean-Jacques Bourdin.




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