Archive pour le Tag 'menteur'

Donald Trump: un « menteur et un tricheur  » d’après sa sœur

Donald Trump: un « menteur et un tricheur  » d’après sa sœur

Le président américain Donald Trump est un être «cruel», «menteur» et dépourvu de principes, selon sa soeur, dont des propos secrètement enregistrés sont rapportés samedi 22 août par le Washington Post.

Maryanne Trump Barry s’en est notamment prise à la politique migratoire mise en place par le président, qui a conduit à la séparation d’enfants et de leurs parents à la frontière et à leur envoi en centres de détention. «Tout ce qu’il veut c’est plaire à sa base» électorale, selon ces enregistrements, que s’est procurés le quotidien américain. «Il n’a aucun principe. Aucun». «Ses fichus tweets et ses mensonges, oh mon Dieu», a-t-elle ajouté.

Les enregistrements sont l’oeuvre de la nièce du président, Mary Trump, qui a par ailleurs récemment publié un livre dénonçant «la famille toxique» dont il est issu.

La fausseté et cette cruauté. Donald est cruel», déclare encore Maryanne Trump Barry à sa nièce dans l’enregistrement. Elle affirme en outre que le milliardaire a triché lors de concours universitaires, une allégation également présente dans le livre de Mary Trump. «Il est entré à l’université de Pennsylvanie parce qu’il a fait passer les examens à quelqu’un d’autre», dit-elle.

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Brexit: Boris Johnson joue au poker menteur

Brexit: Boris Johnson joue au poker menteur

 

Alors que les négociations sont pratiquement toujours au point mort entre Boris Johnson et l’union européenne, le Premier ministre britannique ne cesse de claironner qu’il est en capacité d’arracher un nouvel accord et qu’il ne demandera jamais un report de la date du Brexit. Il s’agit évidemment de la part de Boris Johnson d’un poker menteur pour se positionner favorablement dans l’électorat britannique. Il veut faire porter le chapeau de l’échec des négociations à l’union européenne, montrer qu’il est le meilleur défenseur des intérêts du Royaume-Uni et provoquer des élections internes qui lui permettent de disposer d’une majorité qui aujourd’hui lui fait défaut. Le problème c’est que juridiquement et politiquement Boris Johnson est ficelé par son parlement (actuellement mis en congé !).

Il ne peut pas décider d’un Brexit  dur sans accord et ne peut pas non plus pour l’instant décider de nouvelles élections. Bref pour l’instant Boris Johnson fait surtout du Trump avec des déclarations un peu surréalistes. Pourtant pour l’union économique estime Londres n’a pas encore proposé de solution satisfaisante pour un nouvel accord sur le Brexit, a annoncé lundi la Commission à l’issue d’une rencontre entre le président de l’exécutif européen Jean-Claude Juncker et le Premier ministre britannique Boris Johnson à Luxembourg.

« Le président Juncker a rappelé qu’il était de la responsabilité du Royaume-Uni d’apporter des solutions juridiquement opérationnelles qui soient compatibles avec l’accord de retrait », a indiqué la Commission dans un communiqué.

« Le président Juncker a souligné la disposition de la Commission à examiner si de telles propositions remplissent les objectifs du backstop (filet de sécurité irlandais, NDLR). De telles propositions n’ont pas encore été faites ».

De son côté, le Premier ministre britannique a à nouveau affirmé qu’il n’y aurait pas de report du Brexit et que son pays sortirait bien de l’Union européenne le 31 octobre prochain. 

« La journaliste britannique choquée » ou la dialectique du menteur Fillon

«  La journaliste britannique choquée » ou la dialectique du menteur Fillon

 

 

Jusque-là à droite le titre de Super menteur été détenu par Jacques Chirac impliqué dans plusieurs affaires mais jamais condamné et qui a même réussi à faire porter le chapeau des emplois fictifs du RPR à Alain Juppé. Ce titre devrait revenir sans conteste désormais à François Fillon qui a encore outrageusement menti leur de sa conférence de presse en indiquant que la journaliste anglaise avait été choquée par la déformation des propos qu’elle avait recueillis auprès de Pénélope Fillon, pire qu’elle en avait informé l’épouse de l’ancien premier ministre. Tout est complètement faux ;  la journaliste anglaise confirme totalement ce qu’elle avait recueilli auprès de Pénélope Fillon à savoir que cette dernière avait bien déclaré qu’elle ne s’était jamais mêlée de la politique et du travail de François Fillon. La dite journaliste confirme les propos recueillis. Elle a seulement adressé un tweet pour dire qu’elle était désolée mais a confirmé : « les faits sont les faits ». Fillon a menti une nouvelle fois et en plus devant 200 journalistes venus écouter ses explications concernant ses malversations financières. , François Fillon est en effet revenu sur l’émission Envoyé Spécial, qui a diffusé jeudi 2 février une enquête sur les soupçons d’emploi fictif de Pénélope Fillon. Dans une vidéo inédite tournée en 2007, on y voyait Penelope Fillon affirmer n’avoir «jamais été l’assistante» de son mari. Aujourd’hui, Fillon a assuré que «la journaliste qui a accompli cette interview s’est manifesté personnellement auprès de [son] épouse pour dire à quel point elle était choquée par l’utilisation qui avait été faite des morceaux de cette interview»Contactée par Libération, la journaliste Kim Willsher, qui a réalisé l’interview, dément «fermement» ces propos. «Je tiens à le dire très nettement : je n’ai jamais dénoncé l’enquête d’Envoyé Spécial. Ils ont fait leur boulot. Il y a une fausse rumeur, qui part de faux tweets. Si je suis choquée, c’est par cette fausse rumeur», explique la journaliste, en référence à une rumeur diffusée par Midi Libre et Eric Ciotti. Willsher reconnait simplement avoir envoyé un mail à Pénélope Filllon pour lui expliquer être «désolée» que l’interview qu’elle a réalisée ait des conséquences aujourd’hui. «Mais les faits sont les faits», insiste Willsher.

Grèce : toujours le poker menteur

Grèce : toujours le poker menteur

 

On affirme aujourd’hui que l’Eurogroupe ne serait pas encore prêt à un accord avec la Grèc, de son coté,  la Grèce, elle,  affirme le contraire. Toujours le poker menteur en fait pour faire pression sur la Grèce avant un accord inévitable. L’Europe est coincée et les grecs le savent. La dette grecque représente environ  350 milliards et un défaut grec serait catastrophique pour les créanciers mais aussi pour la crédibilité de la zone euro. Sans parler de importance des dettes due par la Grèce à  l’Allemane ( environ 60 milliards) et à la France ( environ 40 milliards). Finalement il y aura un accord dans quelques jours. Athènes assure qu’un accord avec ses créanciers serait très proche pour le déblocage d’une partie de la dernière tranche des prêts du deuxième plan d’aide dont la Grèce bénéficie.  « Après des semaines de douloureuses négociations, si l’autre partie le souhaite, nous allons voir que (…) un accord est très proche et sera conclu prochainement« , a déclaré au quotidien Avgi M. Tsakalotos, nommé récemment coordinateur des négociations avec les créanciers. Ministre adjoint des Affaires étrangères chargé des questions économiques, M. Tsakalotos reconnaît toutefois que la Grèce et ses créanciers restent « politiquement éloignés » sur les questions de réformes du travail et des retraites et que certains sujets « resteront ouverts jusqu’à la dernière minute« . La Grèce attend de l’Eurogroupe de lundi à Bruxelles « un communiqué positif » sur les négociations avec ses créanciers, et espère le déblocage d’une partie de la dernière tranche des prêts UE et FMI provenant du deuxième plan d’aide de 2012, soit un montant de 7,2 milliards d’euros. Toutefois, selon le président de l’Eurogroupe Jeroen Dijsselbloem, la réunion des ministres des Finances des pays de la zone euro ne sera « pas décisive » sur la Grèce, même si des progrès ont été accomplis.  »Lundi à l’Eurogroupe, ce ne sera pas une réunion décisive, il faut plus de temps« , avait expliqué vendredi M. Dijsselbloem, ministre des Finances des Pays-Bas.  »Je ne pense pas que tout se débloque d’ici là« , a également considéré samedi son homologue allemand Wolfgang Schäuble, dans un entretien au journal Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS). Les créanciers ont retardé le versement de cette tranche depuis septembre 2014 pour faire pression sur le gouvernement grec et lui faire adopter une série de réformes visant à augmenter les recettes publiques. Ce sont ces « réformes » qu’Athènes et les créanciers sont en train de discuter depuis le 20 février, lors de l’accord passé entre le nouveau gouvernement de gauche radicale et les créanciers, et qui a prolongé le plan d’aide au pays jusqu’à la fin juin. Selon un sondage publié dimanche par le magazine Real News, 71,9% des Grecs souhaitent un compromis pour maintenir le pays dans la zone euro. Et si la question était soumise à référendum, 49,2% d’entre eux affirment qu’ils accepteraient de nouvelles coupes dans les salaires et les retraites si cela permettait au pays de rester dans l’euro.

Grèce : le poker menteur continue

Grèce : le poker menteur continue

Bruxelles continue de défendre uen ligne dure en affirmant qu’il est hors de question d’annuler la dette Grecque. De son coté le gouvernement grec considère qu’il y a des lignes rouges à ne pas franchir comme la baisse des salaires et des pensions ; En réalité l’Europe est coincée et devra composer avec un étalement de la dette. Si la Grèce devait faire défaut c’est 320 milliards qui s’envoleraient dont par exemple 40 milliards pour la France et 60 milliards pour l’Allemagne. Le combat de coqs entre Bruxelles et la Grèce relève donc du poker menteur car finalement il y aura nécessairement un accord car chacune des deux parties aurait plus à perdre ( surtoutl(‘Europe) d’un désaccord que d’un compromis. De ce point de vue,  la dernière prise de pistions de Bruxelles est significative du bluff actuel.  Le chef de file des ministres des Finances de la zone euro a indiqué dans une interview au journal Le Monde qu’il serait « impossible politiquement » d’effacer la valeur nominale de la dette grecque, même s’il est possible d’aménager les créances.  »La discussion sur l’allègement de la dette n’est pas taboue. La seule chose impossible politiquement c’est un effacement de sa valeur nominale (320 milliards d’euros environ », a dit Jeroen Dijsselbloem, qui en tant que président de l’Eurogroupe joue un rôle clef dans les discussions en cours avec Athènes. Le Néerlandais a rappelé qu’un tel « allègement » avait été évoqué dès novembre 2012 au niveau européen, à condition que le gouvernement grec remplisse les conditions posées par ses partenaires. Un « allègement » de la dette grecque pourrait par exemple passer par un rééchelonnement, ou des échanges de titres. Un « effacement » serait une initiative plus radicale, forçant les créanciers de la Grèce, parmi lesquels les Etats européens, le Fonds monétaire international et la banque centrale européenne, à inscrire des pertes dans leurs comptes. La gauche radicale Syriza au pouvoir à Athènes avait fait campagne sur un effacement pur et simple d’au moins une partie de la dette de la Grèce, qui représente plus de 175% de son produit intérieur brut, c’est-à-dire de la valeur créée par son économie en une année. Le sujet est ensuite passé à l’arrière-plan des négociations du pays avec ses créanciers, qui portent davantage sur les liquidités dont Athènes a besoin à très court terme sous peine d’asphyxie financière. Mais la question de la dette grecque est revenue sur le tapis ces derniers jours. Elle suscite des tensions entre les créanciers d’Athènes, plus précisément entre le FMI, qui plaide pour un effacement partiel, et les Européens, pour lesquels il s’agit d’une ligne rouge. Que Jeroen Djisselbloem s’est donc chargé de rappeler.

 

Hollande le menteur

Hollande le menteur

Quel lien entre le discours du Bourget qui a largement participé à sa victoire sur Sarko et sa politique actuel le : aucun. C’est cela la tromperie et le drame de Hollande ; Un seul exemple, le plus significatif : « l’ennemi c’est la finance ». Phrase grandiloquente s’il en est. Il devait faire plier la finance, la mettre au service de l’économie, contrôler ses dérives. Résultats rien, strictement rien ( à part l’insignifiante BPI qui soutient surtout les projets qui n’en ont pas besoin). . Une fausse réforme bancaire imposée par le lobby des finances qui permet toujours spéculation et évasion fiscale (une bricole quelques 50 à 80 milliards par an !). Cerise sur le gâteau Moscovici vient juste annoncer la réhabilitation de certains paradis fiscaux comme Jersey par exemple. La spéculation continue, la preuve le FMI s’inquiète de la solvabilité des banques françaises. Certes les actionnaires se gavent mais la solvabilité n’est pas pour autant assurée au contraire ; ainsi avec l’argent des dépôts (celui aussi de la BCE) les banques possèdent des sommes astronomiques de produits dérivés à risque (Environ 50 milliards pour la BNB, 20 milliards pour la société génale ; près de 20 milliards aussi pou le Crédit agricole). Hollande a menti, il a plié devant la fiance, il a cocufié ses électeurs.




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