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Education scolaire– »Tout le système éducatif ment »

Education scolaire– »Tout le système éducatif ment »

Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste, à l’occasion de la sortie de son livre « La Fabrique du crétin » dénonce les mensonges sur le niveau réel de l’ensemble du système éducatif de la maternelle jusqu’au CAPES
ENTRETIEN – Pour l’enseignant et essayiste, l’abaissement de la valeur des diplômes est tel qu’il sera très difficile de revenir en arrière.( Le Figaro)

 

Enseignant dans le public, Jean-Paul Brighelli a alerté sur les dérives de l’Éducation nationale dès 2005, avec la publication du best-seller La Fabrique du crétin (Gawsewitch Éditeur).
LE FIGARO. - Gabriel Attal a annoncé vouloir mettre fin aux « correctifs académiques » qui consistent à gonfler les notes du brevet, pour atteindre un certain niveau de réussite. On a appris que la pratique était aussi courante pour le bac. Comment est-ce possible ?

Jean-paul BRIGHELLI. - Il y a trois niveaux dans le trucage, en amont et en aval. On commence par choisir des sujets très faciles, en dessous même du programme de l’année en cours. Puis on incite les enseignants à faire preuve de la plus grande mansuétude. Par exemple, au bac de français (l’épreuve anticipée de première), on ne peut enlever tout au plus que deux points pour l’orthographe, quel que soit le nombre de fautes.

Les élèves qui sont aujourd’hui au lycée sont mauvais en orthographe pour la bonne et simple raison que l’école ne leur a jamais appris l’orthographe avant. Même une réforme du collège n’y changerait rien: il a été prouvé qu’il est très difficile d’apprendre un mécanisme, une structure, après ses 12 ans. Si le ministre souhaite malgré tout imposer une sévérité face aux fautes d’orthographe, il faut en tout cas qu’il transmette un vrai barème aux enseignants puisque aujourd’hui les professeurs peuvent retirer seulement deux points aux élèves qui font des fautes d’orthographe.

 

Quelle serait la réforme idéale selon vous?

La priorité doit être l’entrée des élèves en primaire: c’est là que tout se joue et que les bases de la langue française peuvent être intégrées. Ces années clés doivent être l’occasion d’insister sur l’orthographe, mais en utilisant les bonnes méthodes, c’est-à-dire l’inverse de celles qui sont utilisées aujourd’hui. Dans le cas où l’école primaire serait ainsi réformée, il faudrait surtout être patient, puisque les effets d’une progression ne s’observent qu’après une quinzaine d’années.

Que reprochez-vous aux méthodes aujourd’hui utilisées?

Nous assistons depuis 1989 au naufrage de nos méthodes d’apprentissage de lecture et de l’écriture. La loi dite «Jospin» a intronisé ce qu’on appelle le constructivisme, un courant de pensée selon lequel l’élève construit lui-même ses propres savoirs. L’idée était de placer l’enfant au «centre du système», sans le contraindre à intégrer des savoirs qui lui seraient étrangers. Ce qui explique les graves lacunes en orthographe des enfants depuis le milieu des années 90. À mon sens, la seule méthode qui permette vraiment aux élèves d’apprendre à lire et écrire correctement est la méthode syllabique: celle qui permet d’apprendre les mots en identifiant chaque lettre présente afin d’en faire des syllabes.

 

Enseignement– »Tout le système éducatif ment »

Enseignement– »Tout le système éducatif ment »
Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste, à l’occasion de la sortie de son livre « La Fabrique du crétin » dénonce les mensonges sur le niveau réel de l’ensemble du système éducatif de la maternelle jusqu’au CAPES
ENTRETIEN – Pour l’enseignant et essayiste, l’abaissement de la valeur des diplômes est tel qu’il sera très difficile de revenir en arrière.( Le Figaro)

 

Enseignant dans le public, Jean-Paul Brighelli a alerté sur les dérives de l’Éducation nationale dès 2005, avec la publication du best-seller La Fabrique du crétin (Gawsewitch Éditeur).
LE FIGARO. – Gabriel Attal a annoncé vouloir mettre fin aux « correctifs académiques » qui consistent à gonfler les notes du brevet, pour atteindre un certain niveau de réussite. On a appris que la pratique était aussi courante pour le bac. Comment est-ce possible ?

Jean-paul BRIGHELLI. – Il y a trois niveaux dans le trucage, en amont et en aval. On commence par choisir des sujets très faciles, en dessous même du programme de l’année en cours. Puis on incite les enseignants à faire preuve de la plus grande mansuétude. Par exemple, au bac de français (l’épreuve anticipée de première), on ne peut enlever tout au plus que deux points pour l’orthographe, quel que soit le nombre de fautes.

Les élèves qui sont aujourd’hui au lycée sont mauvais en orthographe pour la bonne et simple raison que l’école ne leur a jamais appris l’orthographe avant. Même une réforme du collège n’y changerait rien: il a été prouvé qu’il est très difficile d’apprendre un mécanisme, une structure, après ses 12 ans. Si le ministre souhaite malgré tout imposer une sévérité face aux fautes d’orthographe, il faut en tout cas qu’il transmette un vrai barème aux enseignants puisque aujourd’hui les professeurs peuvent retirer seulement deux points aux élèves qui font des fautes d’orthographe.

 

Quelle serait la réforme idéale selon vous?

La priorité doit être l’entrée des élèves en primaire: c’est là que tout se joue et que les bases de la langue française peuvent être intégrées. Ces années clés doivent être l’occasion d’insister sur l’orthographe, mais en utilisant les bonnes méthodes, c’est-à-dire l’inverse de celles qui sont utilisées aujourd’hui. Dans le cas où l’école primaire serait ainsi réformée, il faudrait surtout être patient, puisque les effets d’une progression ne s’observent qu’après une quinzaine d’années.

Que reprochez-vous aux méthodes aujourd’hui utilisées?

Nous assistons depuis 1989 au naufrage de nos méthodes d’apprentissage de lecture et de l’écriture. La loi dite «Jospin» a intronisé ce qu’on appelle le constructivisme, un courant de pensée selon lequel l’élève construit lui-même ses propres savoirs. L’idée était de placer l’enfant au «centre du système», sans le contraindre à intégrer des savoirs qui lui seraient étrangers. Ce qui explique les graves lacunes en orthographe des enfants depuis le milieu des années 90. À mon sens, la seule méthode qui permette vraiment aux élèves d’apprendre à lire et écrire correctement est la méthode syllabique: celle qui permet d’apprendre les mots en identifiant chaque lettre présente afin d’en faire des syllabes.

 

Niveau de l’enseignement – « Tout le système éducatif ment »

Niveau de l’enseignement -  »Tout le système éducatif  ment »

Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste, à l’occasion de la sortie de son livre « La Fabrique du crétin » dénonce les mensonges sur le niveau réel de l’ensemble du système éducatif de la maternelle jusqu’au CAPES

ENTRETIEN - Pour l’enseignant et essayiste, l’abaissement de la valeur des diplômes est tel qu’il sera très difficile de revenir en arrière.

Enseignant dans le public, Jean-Paul Brighelli a alerté sur les dérives de l’Éducation nationale dès 2005, avec la publication du best-seller La Fabrique du crétin (Gawsewitch Éditeur).

LE FIGARO. - Gabriel Attal a annoncé vouloir mettre fin aux « correctifs académiques » qui consistent à gonfler les notes du brevet, pour atteindre un certain niveau de réussite. On a appris que la pratique était aussi courante pour le bac. Comment est-ce possible ?

Jean-paul BRIGHELLI. - Il y a trois niveaux dans le trucage, en amont et en aval. On commence par choisir des sujets très faciles, en dessous même du programme de l’année en cours. Puis on incite les enseignants à faire preuve de la plus grande mansuétude. Par exemple, au bac de français (l’épreuve anticipée de première), on ne peut enlever tout au plus que deux points pour l’orthographe, quel que soit le nombre de fautes.

Les élèves qui sont aujourd’hui au lycée sont mauvais en orthographe pour la bonne et simple raison que l’école ne leur a jamais appris l’orthographe avant. Même une réforme du collège n’y changerait rien: il a été prouvé qu’il est très difficile d’apprendre un mécanisme, une structure, après ses 12 ans. Si le ministre souhaite malgré tout imposer une sévérité face aux fautes d’orthographe, il faut en tout cas qu’il transmette un vrai barème aux enseignants puisque aujourd’hui les professeurs peuvent retirer seulement deux points aux élèves qui font des fautes d’orthographe.

 

Quelle serait la réforme idéale selon vous?

La priorité doit être l’entrée des élèves en primaire: c’est là que tout se joue et que les bases de la langue française peuvent être intégrées. Ces années clés doivent être l’occasion d’insister sur l’orthographe, mais en utilisant les bonnes méthodes, c’est-à-dire l’inverse de celles qui sont utilisées aujourd’hui. Dans le cas où l’école primaire serait ainsi réformée, il faudrait surtout être patient, puisque les effets d’une progression ne s’observent qu’après une quinzaine d’années.

Que reprochez-vous aux méthodes aujourd’hui utilisées?

Nous assistons depuis 1989 au naufrage de nos méthodes d’apprentissage de lecture et de l’écriture. La loi dite «Jospin» a intronisé ce qu’on appelle le constructivisme, un courant de pensée selon lequel l’élève construit lui-même ses propres savoirs. L’idée était de placer l’enfant au «centre du système», sans le contraindre à intégrer des savoirs qui lui seraient étrangers. Ce qui explique les graves lacunes en orthographe des enfants depuis le milieu des années 90. À mon sens, la seule méthode qui permette vraiment aux élèves d’apprendre à lire et écrire correctement est la méthode syllabique: celle qui permet d’apprendre les mots en identifiant chaque lettre présente afin d’en faire des syllabes.

 

 

« Tout le système éducatif ment »

  »Tout le système éducatif  ment »

Jean-Paul Brighelli, enseignant et essayiste, à l’occasion de la sortie de son livre « La Fabrique du crétin » dénonce les mensonges sur le niveau réel de l’ensemble du système éducatif de la maternelle jusqu’au CAPES

ENTRETIEN - Pour l’enseignant et essayiste, l’abaissement de la valeur des diplômes est tel qu’il sera très difficile de revenir en arrière.

Enseignant dans le public, Jean-Paul Brighelli a alerté sur les dérives de l’Éducation nationale dès 2005, avec la publication du best-seller La Fabrique du crétin (Gawsewitch Éditeur).

LE FIGARO. – Gabriel Attal a annoncé vouloir mettre fin aux « correctifs académiques » qui consistent à gonfler les notes du brevet, pour atteindre un certain niveau de réussite. On a appris que la pratique était aussi courante pour le bac. Comment est-ce possible ?

Jean-paul BRIGHELLI. - Il y a trois niveaux dans le trucage, en amont et en aval. On commence par choisir des sujets très faciles, en dessous même du programme de l’année en cours. Puis on incite les enseignants à faire preuve de la plus grande mansuétude. Par exemple, au bac de français (l’épreuve anticipée de première), on ne peut enlever tout au plus que deux points pour l’orthographe, quel que soit le nombre de fautes.

Les élèves qui sont aujourd’hui au lycée sont mauvais en orthographe pour la bonne et simple raison que l’école ne leur a jamais appris l’orthographe avant. Même une réforme du collège n’y changerait rien: il a été prouvé qu’il est très difficile d’apprendre un mécanisme, une structure, après ses 12 ans. Si le ministre souhaite malgré tout imposer une sévérité face aux fautes d’orthographe, il faut en tout cas qu’il transmette un vrai barème aux enseignants puisque aujourd’hui les professeurs peuvent retirer seulement deux points aux élèves qui font des fautes d’orthographe.

 

Quelle serait la réforme idéale selon vous?

La priorité doit être l’entrée des élèves en primaire: c’est là que tout se joue et que les bases de la langue française peuvent être intégrées. Ces années clés doivent être l’occasion d’insister sur l’orthographe, mais en utilisant les bonnes méthodes, c’est-à-dire l’inverse de celles qui sont utilisées aujourd’hui. Dans le cas où l’école primaire serait ainsi réformée, il faudrait surtout être patient, puisque les effets d’une progression ne s’observent qu’après une quinzaine d’années.

Que reprochez-vous aux méthodes aujourd’hui utilisées?

Nous assistons depuis 1989 au naufrage de nos méthodes d’apprentissage de lecture et de l’écriture. La loi dite «Jospin» a intronisé ce qu’on appelle le constructivisme, un courant de pensée selon lequel l’élève construit lui-même ses propres savoirs. L’idée était de placer l’enfant au «centre du système», sans le contraindre à intégrer des savoirs qui lui seraient étrangers. Ce qui explique les graves lacunes en orthographe des enfants depuis le milieu des années 90. À mon sens, la seule méthode qui permette vraiment aux élèves d’apprendre à lire et écrire correctement est la méthode syllabique: celle qui permet d’apprendre les mots en identifiant chaque lettre présente afin d’en faire des syllabes.

 

 

Inflation : la banque de France ment

Inflation : la banque de France ment

Une nouvelle fois la Banque de France se fait le porte-parole du pouvoir et des intérêts financiers. Ainsi le gouverneur de la Banque de France vient -il d’annoncer que l’inflation va revenir à 2 % d’ici alors que les augmentations affectent tous les produits et tous les secteurs. L’objectif est bien entendu de refroidir les ardeurs en matière de revalorisation des revenus et particulièrement des salaires. En outre, les prospectives économiques en matière de croissance de la Banque France apparaissent particulièrement volontaristes. La fin de l’année. Un véritable mensonge au moment où les consommateurs et les ménages prennent connaissance de la flambée« L’inflation reviendra à 2 % dans un an au plus tard » (François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France).

Les prévisions dans le marc de café du gouverneur de la Banque de France dans » la Tribune ».

L’inflation recule, la plupart des pays de la zone euro ont échappé à la récession en 2023. Quel regard portez-vous sur l’économie européenne en ce début d’année ?

FRANÇOIS VILLEROY DE GALHAU- Sur la seule conjoncture économique, les incertitudes ont plutôt tendance à un peu diminuer. Nous avons d’ailleurs très peu modifié nos prévisions entre septembre et décembre. Il y a un ralentissement de l’activité, en France comme en Europe. Et, plus positivement, un net recul de l’inflation.

Quel niveau de croissance attendez-vous pour cette année ?

Nous prévoyons un rythme de croissance d’environ 0,2 % par trimestre, à l’image de celle attendue au dernier trimestre de 2023 : cela conduirait à 0,9 % sur l’ensemble de 2024. Ce rythme traduit évidemment un ralentissement. Mais ce ne serait pas un retournement de la conjoncture, ni une récession, en France comme en Europe.

À court terme, la désinflation : elle entraînera une hausse en moyenne du pouvoir d’achat, car les prix augmenteront dorénavant moins vite que les salaires !!!. Par conséquent, le moteur de notre croissance change : celui de 2023 était les exportations, celui de 2024 sera la consommation. C’est un moteur plus régulier et plus sûr, d’autant plus que l’investissement des entreprises nous paraît résister relativement bien.

Trafic de drogue : Darmanin ment !

Trafic de drogue : Darmanin ment !

 

Le ministre de l’intérieur prend sûrement ses rêves pour des réalités. Ainsi il affirme que lors de sa nomination comme ministre de l’intérieur la France comptait 4000 points de deal et qu’aujourd’hui 1000 ont été supprimés. En réalité, ce serait plutôt l’inverse. Même s’il est difficile de procéder à une évaluation exacte des points de deal, le commerce de la drogue s’est considérablement développé.

Il n’y a sûrement pas 4000 points de deal seulement; malheureusement en France dans chaque département, on n’en compte 10 à 20 , ce qui ferait jusqu’à 20 000 points de deal. Toutes les villes mêmes les plus petites sont concernées. Les grandes métropoles bien sûr avec la souvent un phénomène de violence y compris meurtrière comme à Marseille. Mais les villes moyennes sont impliquées et jusqu’aux villes de l’ordre de 10 000 habitants.

Dans ce domaine, comme dans bien d’autres malheureusement, le pouvoir se saoule de mots. Certes des actions sont entreprises mais elles ne sont nullement à la hauteur des enjeux. La France proportionnellement est l’un des pays les plus consommateurs de drogues et un centre stratégique pour l’Europe.

Le trafic de drogue représentée de l’ordre de 3 milliards de chiffre d’affaires par an dont la moitié pour le cannabis. On note par ailleurs un développement inquiétant des drogues de synthèse. Les opérations coup de points du pouvoir sont surtout à effet médiatique. Pendant 24 heures ou quelques jours le trafic est en quelque sorte gelé par la police, on procède à quelques arrestations et après le départ des forces de l’ordre tout reprend comme avant.
Darmanin comme les autres ce satisfait de mots car les moyens et la volonté ne sont pas à la hauteur des enjeux

Gérald Darmanin a également expliqué qu’il y a trois ans, lorsqu’il est devenu ministre de l’Intérieur, « 4.000 points de deal étaient recensés » et que 1.000 parmi eux ont été supprimés « et ne se sont pas reconstitués ».

Alors que les saisies sont en augmentation, de « très nombreux trafiquants ont été arrêtés ». Selon le ministre, 2023 a été une « année record » avec 36.329 interpellés sur le territoire.

Enfin, le ministre de l’Intérieur a pointé du doigt « la responsabilité des consommateurs, notamment les plus bourgeois » et a assuré mettre la même intensité dans la lutte contre la drogue partout. « Les quartiers populaires subissent la consommation des quartiers bourgeois », a-t-il conclu de manière très démagogique.

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix. Pire, il y a même une TVA qui s’applique sur la taxe sur les produits intérieurs (TICPE). Une taxe anti constitutionnelle que n’a même pas relevé le conseil d’État où le conseil ad hoc. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

Prix de l’essence : Bruno Lemaire ment !

Prix de l’essence : Bruno Lemaire ment !

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix.Pire, il y a même une TVA qui s’applique sur la taxe sur les produits intérieurs (TICPE). Une taxe anti constitutionnelle que n’a même pas relevé le conseil d’État où le conseil ad hoc. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Prix du carburant : Bruno Lemaire ment !

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix.Pire, il y a même une TVA qui s’applique sur la taxe sur les produits intérieurs (TICPE). Une taxe anti constitutionnelle que n’a même pas relevé le conseil d’État où le conseil ad hoc. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

Hausse des prix des carburants : Bruno Lemaire le ministre de l’économie ment

Hausse des prix des carburants : Bruno Lemaire le ministre de l’économie ment

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !». Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022. Or Actuellement en 2023 le baril est à 95 $ le 16 septembre et le prix de l’essence à deux euros

Prix du carburant : Bruno Lemaire, le ministre de l’économie, ment

Prix du carburant : Bruno Lemaire le ministre de l’économie ment

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

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Ristourne sur le carburant: Bruno Le Maire ment

Ristourne sur le carburant: Bruno Le Maire ment


D’après Xavier Bertrand qui propose une ristourne de 15 à 0,20 € sur le prix de l’essence, le ministre de l’économie ment en considérant que cette mesure coûterait 12 milliards d’euros au budget. Des chiffres effectivement complètement fantaisistes de la part d’un ministre de l’économie le cul entre deux chaises qui doit d’une part faire semblant de répondre à l’amputation du pouvoir d’achat mais d’un autre côté n’entend pas ni relever les salaires, ni imposer des négociations sur l’alimentaire pour faire baisser les prix. Très clairement le ministre de l’économie est donc complice de la hausse des prix dont en fait le budget profite d’autant plus que le prix de l’essence augmente.( Autour de 60 % de taxes sur l’essence)

Bruno Le Maire avait estimé un coût financier à «12 milliards d’euros.» la proposition de Xavier Bertrand. « «C’est n’importe quoi ce chiffre, c’est un mensonge. C’est à se demander si ceux qui nous gouvernent savent compter.» «L’an dernier, la ristourne avait atteint de la part de l’État 30 centimes. Moi, je propose 15 centimes. 30 centimes, ça avait coûté pour le budget de l’État 8 milliards d’euros. Moi, je propose la moitié comme ristourne et ça va coûter 50% de plus ? Mais il se moque de qui, là ?», s’est emporté Xavier Bertrand. Et de tancer un peu plus l’exécutif : «S’ils n’ont pas envie de le faire, qu’ils l’assument, mais qu’ils ne nous racontent pas des bobards!»

Russie: comme d’habitude , Poutine ment à son peuple

Russie: comme d’habitude , Poutine ment à son peuple


Poutine veut faire croire que l’incident est clos et qu’il maîtrise totalement la situation. Pourtant samedi matin il a dramatisé la situation considérant qu’il y avait trahison et putsch contre le pouvoir. Par contre samedi soir, il a mis la pédale douce et a assuré que les traîtres du matin étaient pardonnés, mieux qu’il devait être remerciés pour leur engagement contre l’Ukraine. Un discours invraisemblable et complètement contradictoire qui cache en réalité les tensions entre des mouvances qui se posent au Kremlin.

Je n’ai pas l’habitude de Poutine de plier et de se montrer conciliant. Mais cette fois il a bien été contraint de passer l’éponge sur ses actes qualifiés de criminels samedi matin et de contre-révolution.

Dans son allocution samedi soir, le président russe a ménagé chaque partie impliquée, en louant à la fois la société russe, les soldats de Wagner « patriotes », et son allié le président biélorusse. Plus tôt ce lundi, il s’escrimait à mettre en scène un fonctionnement de l’armée et de l’Etat en apparence inchangé. Une stratégie qui semble vouloir ramener cette remise en cause inédite de son autorité à un épisode anecdotique dans l’histoire du pays.

« Quasiment toute la société russe a été unie par la responsabilité, pour la patrie. Toutes les décisions ont été prises pour neutraliser le danger, protéger l’ordre constitutionnel et la vie de nos concitoyens. La rébellion armée aurait été maîtrisée », a-t-il insisté.

Alors qu’il les qualifiait encore récemment de « traîtres », il s’est montré clément envers les mercenaires impliqués, assurant que « la plupart des combattants des Wagner sont des patriotes fidèles à leur peuple », qui auraient « été utilisés contre leurs frères d’armes ».

« Je remercie les soldats et les combattants de Wagner qui ont pris la décision d’arrêter, qui ont permis d’arrêter le bain de sang », est-il allé jusqu’à déclarer.
Le chef de l’Etat russe a offert un choix aux membres de la milice : « Vous avez la possibilité de continuer à servir la Russie, en signant le contrat avec le ministère de la Défense », à savoir signer un contrat avec l’armée régulière, de « rentrer dans vos familles et chez vos proches » ou de « partir en Biélorussie ». Il a également pris la peine de remercier son allié le président biélorusse Alexandre Loukachenko.

Plus tôt lundi, Vladimir Poutine s’était gardé de mentionner la mutinerie, dans une allocution vidéo diffusée par le Kremlin à l’occasion d’un forum consacré à l’industrie et la jeunesse.

« Le fait qu’il fasse cette apparition inopinée sur un forum qui n’a rien à voir avec la situation stratégique laisse penser qu’il veut donner l’impression d’un retour à la normale et que c’était un accident de l’actualité: mais ce n’est évidemment pas le cas », analysait David Rigoulet-Roze, chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), interrogé sur BFMTV.
Moscou est aussi revenu sur les termes de l’accord passé avec Evguéni Prigojine sous l’égide du président biélorusse. Le Kremlin avait dans un premier temps annoncé un accord prévoyant l’abandon des poursuites contre le patron de Wagner.

Vladimir Poutine « utilise toujours les mêmes méthodes de propagande (…): il essaye d’ignorer l’évènement, comme s’il n’avait jamais existé », affirme de son côté Zaline Steve, membre de l’association Russie-Libertés au micro de BFMTV.

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Politique-Baisse de la fiscalité des couches moyennes : Macron ment !

Macron en peine dans les sondages a décidé d’inonder les médias de promesses. Ainsi il met notamment le par sur la diminution de la fiscalité des couches moyennes. Un double mensonge. D’une part parce que les institutions financières françaises ou européennes considèrent que cet exercice est impossible compte tenu de l’état dramatique des finances du pays. D’autre part parce que Macon hypocritement indique que ces diminutions interviendront » dès que les conditions budgétaires du pays le permettront », c’est-à-dire sans doute aux calendes grecques. Cela d’autant plus que les agences de notation internationales vont bientôt encore procéder un nouvel abaissement de la note de la France. Une décision sur laquelle pourra s’appuyer le gouvernement pour décaler sa promesse de réduction d’impôt. Notons enfin que l’État risque de prendre d’une main ce qu’il donne de l’autre. En effet grâce à l’inflation, les recettes de l’État augmentent alors que le pouvoir d’achat diminue

La Commission européenne note En effet que l’endettement baisse quasiment partout: il devrait passer en-dessous de 83% du PIB dans l’Union, rester à 91,6 % dans la zone euro. Forcément, le quoi qu’il en coute pèse encore sur les économies. Et notamment la France.

Le Commissaire à l’Économie, Paolo Gentiloni, se félicite que la plupart des pays se soit inscrit dans une tendance à la baisse de la dette publique, mais en la matière, il note des trajectoires très disparates entre les pays. Et l’Hexagone fait office de mauvais élève, avec une dette devrait atteindre près de 112% du PIB.

Entre fin 2021 et fin 2022, la France a, certes, réduit sa dette de 1,3% du PIB, mais nos voisins ont fait mieux : -3,3% dans la zone euro, -3% en Allemagne, ou même 5% de moins en Espagne, 5,5 % de moins en Italie. Des pays où l’inflation était pourtant plus forte que dans l’Hexagone.

Et la France a de quoi s’inquiéter car la dette lui coûte de plus en plus cher du fait de la hausse des taux. Sa charge augmente. Il y aurait donc urgence à réduire encore plus les dépenses publiques. Le chef de l’État l’a redit dans une interview au quotidien l’Opinion, ce dimanche 14 mai, il entend baisser les impôts des classes moyennes (pour ceux qui gagnent entre 1.500 et 2.500 euros par mois) cet été.

Une politique publique qui étonne Bruxelles et ne manque pas de faire débat en interne en France. Ainsi, dans sa lettre au Président de la République, le gouverneur de la banque de France, François Villeroy de Galhau exhorte-t-il le gouvernement à mettre fin aux baisses d’impôts non financées. Car cela revient à creuser la dette.

Une recommandation qui a également été faite par la Cour des Comptes en France inquiète de la dérive des comptes et du non financement des baisses d’impôts

Alimentaire « TRIMESTRE ANTI-INFLATION »: le gouvernement ment et manipule

Alimentaire « TRIMESTRE ANTI-INFLATION »: le gouvernement ment et manipule

Contrairement aux affirmations du gouvernement qui affirme une baisse dans l’alimentaire du » panier bas prix » selon une étude de l’association UFC-Que Choisir, les prix des produits étiquetés « trimestre anti-inflation » de trois des cinq enseignes ont « légèrement augmenté » entre le 23 mars et le 10 mai.

Le différend porte surtout sur la composition du panier bas prix anti inflation. L’organisation UFC – Que Choisir considère en effet que les produits choisis par le gouvernement ne sont pas représentatifs de la consommation courante.

L’association indique avoir « passé en revue les évolutions de prix d’un large échantillon de produits des paniers anti-inflation (entre 50 et 150 références selon l’enseigne), entre le 23 mars et le 10 mai » participant à ce trimestre anti-inflation.

Elle affirme qu’ »en moyenne, les prix ont légèrement augmenté chez Intermarché (hausse moyenne de 1,5%), Casino (hausse de 1,4%) et Système U (hausse de 1%), et ils sont restés stables chez Carrefour. La seule enseigne qui enregistre un recul ténu est Auchan (baisse de 0,3%) – mais c’est elle qui avait auparavant accusé la plus forte hausse. On est loin d’une baisse des prix de 13% », déplore l’UFC.

Le 10 mai, la ministre déléguée au Commerce Olivia Grégoire a affirmé que, « en moyenne depuis sept semaines, les prix des produits du trimestre anti-inflation ont baissé de 13% dans le panier, s’il est composé à 100% de produits issus du trimestre anti-inflation », s’appuyant sur des chiffres de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF).

« Si cette information se vérifiait, il s’agirait d’une bonne nouvelle – même si elle se cantonne aux produits de consommation courante (alimentation, hygiène) choisis par les enseignes. Malheureusement, cette déclaration est fausse », affirme l’UFC-Que Choisir sur son site internet.

« Tous les mois nous calculons l’inflation sur un panier représentatif des achats en grande surface. En mai 2023, les prix ont augmenté de 8,5% (par rapport aux prix de décembre). La mise en place des paniers anti-inflation n’a en rien permis de juguler l’inflation qui a débuté début 2022″, ajoute l’association.

Interrogé sur BFMTV ce lundi, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie juge l’approche de l’UFC-Que Choisir « malhonnête ».

« Elle est malhonnête parce que le trimestre anti-inflation commence le 15 mars, je n’aime pas qu’on trompe le consommateur. L’UFC-Que Choisir compare à partir du 23 mars, après le début de l’opération. Vous trouvez ça honnête? », interroge le ministre.

« Donc il faut comparer les prix avant le 15 mars et les prix après le 15 mars. Si vous prenez ces dates-là, les prix des produits qui sont dans ce trimestre anti-inflation ont effectivement baissé de 13% en moyenne, certains un peu plus, certains un peu moins » explique-t-il. Et d’ajouter prévoir sa prolongation au-delà du 15 juin compte tenu de son efficacité.

Interrogé par BFMTV, Grégory Caret, Directeur de l’observatoire de la consommation au sein de l’UFC Que Choisir souligne que « notre étude est objective, il n’y a pas eu d’effondrement des prix entre le 1er et le 23 mars ».

Sur le décalage de date pointé par le ministre, « on a choisi la date du 23 mars en réaction au propos de la ministre du commerce qui expliquait que les prix avaient diminué sur 7 semaines, alors nous très bêtement, on est revenu 7 semaines en arrière mais on peut tout à fait faire l’étude à partir du 1er mars ». Et de répéter que les consommateurs ne profitent pas de ce panier car il ne correspond pas à leurs besoins.

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