Archive pour le Tag '« mensonges »'

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Les mensonges de Hollande « face aux Français »

Les mensonges de Hollande « face aux français »

 

Lors de sa prestation « devant les Français » outre le fait qu’il n’avait à peu rien à dire de nouveau a menti à plusieurs reprises ; Exemple quand devant une chômeuse de 60 ans en recherche d’emploi il a affirmé que la solution était le contrat de génération. Or le contrat de génération est un véritable fiasco (il consiste à employer un sénior et un jeune sur le même poste avec l’aide de l’Etat). Pourquoi tout simplement parce, faute de croissance,  l’heure n’est pas à l’embauche dans les entreprises mais aux licenciements. Complètement bousculé , Hollande  a sorti de sa poche un nouveau contrat aidé pour les personnes de plus de 60 ans  Même chose sur la fiscalité et la simplification devant une chef d’entreprise ; alors qu’il tentait de prouver que le choc de simplification était en marche, la chef entreprise lui a prouvé par exemple que c’était le contraire avec le compte pénibilité, véritable cathédrale administrative . Pour sen sortir Hollande a annoncé une mission d’un chef d’entreprise et d’un parlementaire pour étudier la simplification de cette nouvelle contrainte imposée aux entreprises (et qui devrait l’être par les caisse de retraites ). Interrogé en début d’émission sur les circonstances de la mort de Rémi Fraisse, manifestant tué dans la nuit du 25 au 26 octobre sur le site du barrage de Sivens (Tarn), François Hollande a annoncé la conclusion prochaine de deux enquêtes. L’une d’entre elles, diligentée par le ministère de l’intérieur, doit permettre selon lui de « savoir ce que sont ces grenades qui sont utilisées depuis 50 ans, et qui jusqu’ici n’ont pas tué ». François Hollande s’est trompé. Les grenades offensives, soupçonnées d’avoir causé la mort du manifestant Rémi Fraisse, avaient déjà causé la mort d’un autre manifestant, en 1977 : Vital Michalon, un professeur de physique de 31 ans, lors d’une manifestation sur le site nucléaire de Creys-Malville (Isère). Autre mensonge sur les impôts  François Hollande : « A partir de l’année prochaine, il n’y aura pas d’impôt supplémentaire sur qui que se soit. »

Gilles Bouleau : « Vous vous engagez à ce qu’il y ait un arrêt total, absolu, sans subtilité, de toutes les hausses d’impôts et de taxes jusqu’à la fin de votre quinquennat ? »

F. H. : « C’est ce que je viens d’annoncer : il n’y aura rien [...] »

G. B. : « [Les Français, ] on leur a déjà fait le coup ! »]

F. H. « Pas moi, je suis vierge de ce côté-là. »

Pourquoi c’est faux

Le présentateur de TF1 Gilles Bouleau a raison : le gouvernement avait déjà promis d’arrêter d’augmenter les impôts après 2013, avant que François Hollande admette que c’était impossible. L’exécutif avait alors repoussé l’objectif, hésitant entre 2015, 2016 et 2017. Jeudi soir, François Hollande a finalement choisi d’annoncer un arrêt des hausses d’impôts dès 2015.mensonge encore sur les jeunes. « Aujourd’hui, on est le premier pays à accueillir des étudiants étrangers et des jeunes entrepreneurs, créateurs de start-up. » La France n’est pas le premier, mais troisième pays d’accueil des étudiants étrangers, selon les chiffres de l’Unesco. Elle en a accueilli 288 544 en 2013, soit 7 % du total des étudiants étrangers en mobilité à travers le monde. Quant à l’accueil des « jeunes entrepreneurs créateurs de start ups », le moins qu’on puisse dire est qu’il est difficile de les mesurer, et encore plus de le comparer aux autres pays. On peut noter que dans un classement établi en 2013 par le Wall Street Journal, la France ne se plaçait qu’au septième rang des pays européens les plus accueillants pour les start-up. Mensonge enfin sur les comptes publics. « La dépense de l’Etat en 2015 sera plus faible qu’en 2014. », en faiat  en valeur absolue, la dépense publique va progresser de 14 milliards d’euros entre 2014 et 2015.

Mensonges de Taubira : 71% des français condamnent

 

Mensonges de Taubira : 71% des français condamnent

Dans un sondage pour I télé,  60% des Français pensent qu’il n’est « pas grave » que la Ministre de la Justice ait été informée du dossier « Sarkozy ». Même les sympathisants de droite, pourtant à la fois très attachés à Nicolas Sarkozy et très hostiles à Christiane Taubira ne sont qu’une courte majorité de 55% à juger qu’il s’agit là de quelque chose de « grave ». En revanche qu’elle ait menti en prétendant ne pas être au courant est « grave » pour une écrasante majorité de 71% de Français. Tous, ou presque, sont unanimes à ce sujet, mais cette fois pour condamner le mensonge de la Ministre. Que 93% des sympathisants de droite soient de cet avis n’est pas surprenant, mais ce qui est plus préoccupant pour la ministre de la Justice, c’est que 41% des sympathisants de gauche partagent cette opinion.  S’agissant de la sanction à appliquer, les Français sont plus partagés : 50% pensent qu’elle devrait démissionner contre 48% qui ne le pensent pas. Ce souhait émanant des sympathisants de droite (84%) est souvent antérieur à cette affaire.  S’ils étaient justifiés, les reproches les plus graves dans cette affaire concerneraient bien davantage Nicolas Sarkozy (62%) que Christiane Taubira (34%). Les sympathisants de gauche en sont tous convaincus (87%), mais même ceux de droite sont près de quatre sur dix (38%) à le concéder. Ces derniers restent une majorité (58%), contrairement à l’ensemble de la population, à estimer que « l’affaire Taubira » serait plus grave que « l’affaire Sarkozy ».

Ecoutes Sarkozy: des mensonges d’Etat

Ecoutes Sarkozy: des mensonges d’Etat

 

Dan cette affaire judicaire à forte connotation politicienne, difficile de comprendre quelque chose. Le gouvernement dit avoir bien été informé des écoutes concernant Sarkozy mais déclare n’avoir pas été informé de leur contenu. Difficilement croyable. Il est clair  que Sarkozy- qui n’est pas l’innocent qu’on croit- est visé par le gouvernement qui encourage les procédures, les fait déclencher parfois et autorise aussi la violation du secret de l’instruction. Qui donc en effet transmet les informations de l’instruction à la presse ? Pour les grandes affaires politico-judiciaires c’est le mensonge d’Etat permanent. A commencer par Hollande qui suit au jour le jour les affaires qui pourraient plomber son principal concurrent en 2017.  Le Canard enchaîné, dans son édition de mercredi, dévoile que la ministre de la Justice Christiane Taubira avait été mise au courant, en février dernier, des écoutes téléphoniques visant Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog. Christiane Taubira a pourtant affirmé lundi sur France Info qu’elle n’était pas au courant, avant les révélations du journal Le Monde vendredi dernier. Mardi soir, Jean-Marc Ayrault a réagi à son tour, sur France 2, affirmant que « l’exécutif n’a pas appris le contenu des écoutes« . Le Canard enchaîné vient de mettre à mal les affirmations de Christiane Taubira. Lundi sur France Info, la ministre de la Justice refusait l’immunité pour les avocats, choqués qu’un des leurs, Maître Thierry Herzog, ait été écouté en raison des affaires entourant l’ancien président Nicolas Sarkozy. Mais elle disait aussi n’avoir eu connaissance de ces écoutes téléphoniques ordonnées par les juges qu’à la lecture du quotidien Le Monde, vendredi dernier. Dans son édition à paraître ce mercredi, l’hebdomadaire satirique affirme tout autre chose. Le parquet général aurait transmis, le 26 février dernier, une synthèse des écoutes à la ministre de la Justice. Ces dernières heures, l’affaire a suscité une levée de boucliers du côté de l’UMP. Des ténors de l’opposition ont clamé haut et fort leurs doutes quant au fait que le gouvernement et le président de la République aient pu ne pas être au courant de ces écoutes.  Jean-Marc Ayrault a refusé une enquête parlementaire, tandis que François Hollande s’est dit prêt à recevoir le bâtonnier de Paris et le président de l’Union syndicale des magistrats (USM), qui lui ont tous deux adressé une lettre en début de semaine. La chancellerie était donc au courant, mais c’est l’inverse qui aurait été étonnant. Si on remonte le fil de l’histoire : en avril dernier, les juges qui enquêtent sur un possible financement libyen de l’UMP décident de placer Nicolas Sarkozy sur écoute.  Les magistrats découvrent des échanges entre l’ancien président et son avocat, qui pourraient laisser penser que les deux hommes tentent d’influer sur le cours d’une autre affaire, l’affaire Bettencourt. Les juges transmettent ce qu’ils ont découvert incidemment au tout nouveau parquet financier. C’est la 2e étape.  La procureure Eliane Houlette décide alors d’ouvrir une information judicaire visant Nicolas Sarkozy. Le 26 février dernier, elle en avise sa hiérarchie, le parquet général de Paris. L’information remonte ensuite place Vendôme, à la direction des affaires criminelles et des grâces ; c’est le cas pour toutes les affaires jugées sensibles. Ainsi, depuis le 26 février, la chancellerie savait que Nicolas Sarkozy avait été écouté, sans connaître forcément le contenu précis des écoutes. C’est ce qu’a affirmé mardi soir sur France 2 le Premier ministre Jean-Marc Ayrault : « L’exécutif n’a pas appris le contenu des écoutes« .

 

Peyrelevade dénonce les « mensonges » de Tapie

Peyrelevade dénonce les « mensonges » de Tapie

L’ancien patron du Crédit Lyonnais a contesté les déclarations de Bernard Tapie hier soir sur France 2. Il a parlé de « mensonges » en s’appuyant notamment sur l’arrêt rendu par la Cour de cassation en 2006.  Jean Peyrelevade était le patron du Crédit Lyonnais de 1993 à 2003, il a donc suivi de près tous les épisodes d’une affaire commencée avant son arrivée à la tête de ce groupe. Et ce lundi soir, il a trouvé Bernard Tapie « peu convaincant« . Et il s’explique : « Je ne pense pas que les cris, la fureur, les emportements puissent tenir lieu d’argumentation, l’histoire qu’il raconte est toujours la même ». « Il n’avait pas la capacité de payer ses dettes » Et Jean Peyrelevade de parler d’une « très belle légende », et de « mensonges » dont le premier est à l’origine de l’affaire. « A-t-il été volé ? La réponse est non » assure l’ancien patron du Crédit Lyonnais qui s’appuie sur l’arrêt rendu en 2006 par la Cour de cassation : « C’est un mensonge. Je n’arrête pas de le répéter et la légende est là. Au moment de la session d’Adidas, monsieur Tapie est incapable de rembourser ses dettes. En fait, il est en état de cessation de paiement. Il se sert de la politique dans une situation où il n’avait pas la capacité de payer ses dettes ». « On a habillé la vente d’Adidas pour sauver le soldat Tapie » Et l’ancien patron du Crédit Lyonnais d’exprimer un regret. Celui que la banque dans cette situation n’ait pas suivi la procédure normale, c’est-à-dire saisir le tribunal de commerce : »On aurait dû faire cela dés le début 1993. Au lieu de cela, on a habillé la vente d’Adidas pour sauver le soldat Tapie et dans des conditions telles que le Crédit Lyonnais gardait tous les risques. »

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