Archive pour le Tag 'ménage'

Conditions sociales femmes de ménage : La grande gueule de la ministre Aurore Bergé ne changera rien !

Conditions sociales femmes de ménage : La grande gueule de la ministre Aurore Bergé ne changera rien !

Aurore Bergé une des grandes gueules de la majorité excelle dans l’exercice qui consiste surtout à parler, à crier mais sans agir. C’est ainsi qu’elle vient de découvrir les tristes conditions de travail des femmes de ménage contraintes de se réveiller dans leur banlieue vers quatre heures du matin pour aller nettoyer les bureaux notamment. Et de proposer la journée continue ! Une mesure prise depuis longtemps quand c’est possible car certaines femmes de ménage ( et-ou hommes) sont aussi contraintes de revenir travailler le soir.

La journée continue n’est possible qu’en fonction de l’accessibilité des locaux et de la nature de l’activité.

Un papier de Libé revient sur cette question:

S’enflammer pour des problèmes que l’on redécouvre à intervalles réguliers ? En macronie, c’est presque ce qu’on sait faire de mieux. Dimanche 10 septembre, on a entendu une pointure du mouvement présidentiel, Aurore Bergé, se lancer dans un vibrant plaidoyer pour l’amélioration des conditions de travail des femmes de ménage. Car elle «voit bien, en tant que ministre des Familles et des Solidarités», combien les métiers dont on a tant vanté l’utilité au plus fort de la crise du Covid-19 sont à la fois majoritairement exercés par des femmes et «à des niveaux de rémunération qui ne sont pas suffisants». Ce qui n’a rien d’une nouveauté : ça a été parfaitement documenté en mars 2021, à la suite de l’épiphanie présidentielle qui avait vu Emmanuel Macron remercier quelque 5 millions de travailleurs de «la deuxième ligne» lors d’une allocution télévisée. Elle voit bien aussi, la ministre, combien il est anormal qu’«on demande à ces femmes de se lever souvent à 4h30 du matin pour venir dans nos bureaux les nettoyer à 6 heures du matin».

Forte de ces constats, Aurore Bergé pense qu’«on peut dire très clairement aux entreprises qui bénéficient du soutien de l’Etat […] qu’elles peuvent très concrètement changer la donne, par exemple en créant des journées continues.

Or la vraie question est celle de la passation des marché de nettoyage qui imposent ensuite des horaires et des cadences infernales.

Endettement public de la France : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage

Endettement public de la France : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage


Au 31 mars 2023 et selon l’Insee, la dette de la France dépasse les 3.000 milliards d’euros. À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se monte à 3.013,4 milliards d’euros (contre 2.950 milliards d’euros à fin 2022). Soit une augmentation de 63,4 milliards d’euros.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.( plus de 80 000 euros par ménage)

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période). Soit encore une dette de plus de 80 000 euros par ménage ( moyenne de 1.17 d’habitants par ménage) !

La dette implicite ou hors bilan, ? appelée « dette implicite » ou « hors bilan », comprend la masse des engagements, garanties et activités de financement ne figurant pas au bilan de l’État. Par exemple

la garantie de 40 milliards d’euros apportée par l’État à la dette de l’Unedic ;
la garantie apportée à la SNCF,
l’engagement de 2.400 milliards concernant les futures pensions des retraités de la fonction publique ;
les subventions d’équilibre aux régimes spéciaux ;
la garantie sur les dépôts sur les livrets réglementés…
Ce hors bilan était estimé en 2017 à 3.900 milliards.

Cette même année, la dette nationale globale était estimée à 270% du PIB (99% pour la dette officielle et 171% pour le hors bilan). En 2019, le hors bilan était passé à 4.000 milliards d’euros et sa croissance était estimée à 360 milliards d’euros par an.

En 2020, en consolidant les deux dettes, on parvient au chiffre de 2.668 + 4.480 = 7.148 milliards. Soit 324 % du PIB estimé à 2.200 milliards.

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage

Dette publique : l’équivalent d’une dette de plus de 80 000 € par ménage


Au 31 mars 2023 et selon l’Insee, la dette de la France dépasse les 3.000 milliards d’euros. À la fin du premier trimestre 2023, la dette publique de notre pays se monte à 3.013,4 milliards d’euros (contre 2.950 milliards d’euros à fin 2022). Soit une augmentation de 63,4 milliards d’euros.

Rappelons qu’en 2000 la dette ne représentait que 60% du PIB. Elle représente maintenant 112,5% du PIB, ce qui représente 44.300 euros par Français.( plus de 80 000 euros par ménage)

À titre indicatif, à fin 2022, la dette française représentait une charge de 43.060 euros par habitant (+ 1.843 euros pour la seule année 2022, soit nettement supérieur à l’endettement moyen du citoyen européen qui a augmenté de 1.191 euros sur la même période). Soit encore une dette de plus de 80 000 euros par ménage ( moyenne de 1.17 d’habitants par ménage) !

La dette implicite ou hors bilan, ? appelée « dette implicite » ou « hors bilan », comprend la masse des engagements, garanties et activités de financement ne figurant pas au bilan de l’État. Par exemple

la garantie de 40 milliards d’euros apportée par l’État à la dette de l’Unedic ;
la garantie apportée à la SNCF,
l’engagement de 2.400 milliards concernant les futures pensions des retraités de la fonction publique ;
les subventions d’équilibre aux régimes spéciaux ;
la garantie sur les dépôts sur les livrets réglementés…
Ce hors bilan était estimé en 2017 à 3.900 milliards.

Cette même année, la dette nationale globale était estimée à 270% du PIB (99% pour la dette officielle et 171% pour le hors bilan). En 2019, le hors bilan était passé à 4.000 milliards d’euros et sa croissance était estimée à 360 milliards d’euros par an.

En 2020, en consolidant les deux dettes, on parvient au chiffre de 2.668 + 4.480 = 7.148 milliards. Soit 324 % du PIB estimé à 2.200 milliards.

Politique et corruption institutions européennes: Faire le ménage

Politique et corruption institutions européennes: Faire le ménage

Raphaël Glucksmann, Député européen, estime que suite à la corruption découverte au Parlement européen qu’il convient de faire le ménage vis-à-vis des pays étrangers.
L’intéressé est chargé de diriger une commission sur l’ingérence étrangère. Dommage que la même commission n’ait pas élargi son champ d’activité en intégrant en fait l’influence grandissante des milliers et des milliers d’organisations de lobbying au service d’intérêts particuliers. Certes, la corruption de la part d’États est inadmissible mais elle n’est pas davantage acceptable de la part d’organisations professionnelles ou d’intérêts particuliers.

Les institutions européennes compteraient 25 000 lobbyistes qui paraît-il seraient utiles pour aider à la rédaction les textes européens. On se demande bien alors à quoi servent les dizaines de milliers de fonctionnaires européens!

On connaît évidemment le processus de corruption qui commence par une rencontre classique, puis une invitation au restaurant ensuite dans un établissement de luxe avant l’octroi de cadeaux et d’enveloppes financières. Les élus européens ne sont en réalité contrôlés par personne. En France, ils sont élus sur des listes bloquées et un peu près inconnus des électeurs.

Le contrôle est à peu près inconsistant tant dans les pays d’origine des élus qu’au niveau européen. Tout ce qu’on a trouvé jusqu’alors c’est que certains assistants parlementaires européens travaillaient aussi pour leur pays d’origine comme si on pouvait distinguer les deux natures d’activité. Un vrai constat d’hypocrisie.

«Il faut faire le ménage dans nos institutions», a estimé mercredi 21 décembre Raphaël Glucksmann, président de la commission spéciale sur l’ingérence étrangère au Parlement européen, au cœur d’un scandale de corruption impliquant le Qatar.

«Nos institutions ont été bien trop ouvertes aux intérêts de régimes étrangers qui sont en plus richissimes et corrupteurs», a dénoncé le député européen sur France 2 en citant comme exemples «le Qatar, la Russie, la Chine, l’Azerbaïdjan». Raphaël Glucksmann a vivement critiqué «une sorte de Far-West où des régimes étrangers peuvent venir faire leur shopping».

Début décembre, plusieurs centaines de milliers d’euros en liquide ont été retrouvées au domicile de Éva Kaïlí, ancienne vice-présidente du Parlement européen qui a été écrouée dans cette affaire. La justice belge la soupçonne d’avoir agi, en échange, en faveur des intérêts qatari au sein de l’instance européenne.

Corruption institutions européennes: Faire le ménage

Corruption institutions européennes: Faire le ménage

Raphaël Glucksmann, Député européen, estime que suite à la corruption découverte au Parlement européen qu’il convient de faire le ménage vis-à-vis des pays étrangers.
L’intéressé est chargé de diriger une commission sur l’ingérence étrangère. Dommage que la même commission n’ait pas élargi son champ d’activité en intégrant en fait l’influence grandissante des milliers et des milliers d’organisations de lobbying au service d’intérêts particuliers. Certes, la corruption de la part d’États est inadmissible mais elle n’est pas plus acceptable de la part d’organisations professionnelles ou d’intérêts particuliers.

Les institutions européennes compteraient 25 000 lobbyistes qui paraît-il seraient utiles pour aider à la rédaction les textes européens. On se demande bien alors à quoi servent les dizaines de milliers de fonctionnaires européens!

On connaît évidemment le processus de corruption qui commence par une rencontre classique, puis une invitation au restaurant ensuite dans un établissement de luxe avant l’octroi de cadeaux et d’enveloppes financières. Les élus européens ne sont en réalité contrôlés par personne. En France, ils sont élus sur des listes bloquées et un peu près inconnus des électeurs.

Le contrôle est à peu près inconsistant tant dans les pays d’origine des élus qu’au niveau européen. Tout ce qu’on a trouvé jusqu’alors c’est que certains assistants parlementaires européens travaillaient aussi pour leur pays d’origine comme si on pouvait distinguer les deux natures d’activité. Un vrai constat d’hypocrisie.

«Il faut faire le ménage dans nos institutions», a estimé mercredi 21 décembre Raphaël Glucksmann, président de la commission spéciale sur l’ingérence étrangère au Parlement européen, au cœur d’un scandale de corruption impliquant le Qatar.

«Nos institutions ont été bien trop ouvertes aux intérêts de régimes étrangers qui sont en plus richissimes et corrupteurs», a dénoncé le député européen sur France 2 en citant comme exemples «le Qatar, la Russie, la Chine, l’Azerbaïdjan». Raphaël Glucksmann a vivement critiqué «une sorte de Far-West où des régimes étrangers peuvent venir faire leur shopping».

Début décembre, plusieurs centaines de milliers d’euros en liquide ont été retrouvées au domicile de Éva Kaïlí, ancienne vice-présidente du Parlement européen qui a été écrouée dans cette affaire. La justice belge la soupçonne d’avoir agi, en échange, en faveur des intérêts qatari au sein de l’instance européenne.

Prix de l’énergie :Un coût supplémentaire d’environ 1000 € par ménage

Prix de l’énergie :Un coût supplémentaire d’environ 1000 € par ménage

Des calculs assez alambiqués de l’INSEE tentent de minimiser l’envol des prix de l’énergie sur les ménages. D’après une récente étude, l’INSEE affirme que la perte serait comprise entre 500 et presque 1000 € en fonction de la localisation des ménages. Une segmentation pas forcément pertinente . On se demande bien aussi pourquoi on a pris la période de janvier 21 à juin 2022 au lieu de calculer sur un an. En outre, la segmentation entre ville et ruralité ne rend pas compte des situations concrètes. En effet, les situations à l’intérieur de ces zones sont très différentes selon l’ampleur et la nature des parcours travail domicile, selon la nature du chauffage, selon la nature et l’isolation des bâtiments, selon la composition du ménage notamment.

En fait,il est possible de se livrer à un calcul très simple : en moyenne les Français dépensent 1000 € pour le chauffage et 1000 € pour le déplacement soit 2000 €. Or les prix de l’énergie ont augmenté de 50 % en moyenne sur l’année. Résultat une perte de 1000 € en moyenne évidemment avec des dispersions autour de cette moyenne.

En modélisant les dépenses supplémentaires liées à la hausse des prix de l’énergie et des carburants et les aides apportées par l’Etat, l’Insee calcule que les ménages ont perdu en moyenne « 720 euros » entre janvier 2021 et juin 2022, à consommation égale.(On se demande bien pourquoi l’INSEE ne calcule pas tout simplement sur un an !). Mais tous ne sont pas touchés de la même manière. La baisse de pouvoir d’achat des ménages ruraux vivant hors unité urbaine « est plus grande que celle des autres ménages », note l’institut statistique, puisqu’ils ont perdu en moyenne « 910 euros » sur la période. Ceux résidant dans des communes de moins de 20 000 habitants ont perdu en moyenne « 780 euros », contre « 650 euros » pour ceux habitant dans des communes de 200 000 à deux millions d’habitants. Ceux qui perdent le moins sont les ménages vivant en agglomération parisienne, puisqu’en moyenne ils n’ont « que » « 580 euros » en moins, note l’Insee. En cause : la moindre utilisation, à Paris, de la voiture, pour des trajets en outre beaucoup plus courts. Par ailleurs, le mode de chauffage est plus souvent le gaz ou l’électricité en ville, tandis que le fioul et le bois sont plus répandus hors agglomération. Or, ces deux modes de chauffage ont fait l’objet d’aides beaucoup plus tardives, non prises en compte dans cette étude.

Mais en dépit de ce soutien accru, les 30% de ménages les plus modestes accusent une perte de leur revenu disponible deux fois supérieure à celle des 30% des ménages les plus favorisés. Et ce car les dépenses d’énergie et de carburants « représentent pour les ménages les plus modestes une plus grosse part de leur revenu disponible que pour les autres ménages ». En clair : quand bien même ils ont été davantage aidés, le budget dédié au chauffage et aux déplacements est tel que la perte de pouvoir d’achat est, au regard de leurs revenus, plus importante.
Enfin, l’Insee note que les effets défavorables peuvent se conjuguer : dans les communes les plus rurales, « les 30% les plus pauvres perdent en moyenne 2,7% de leur revenu disponible malgré les aides perçues, alors que dans l’agglomération de Paris, le revenu disponible des 10% les plus aisés ne diminue au total que de 0,7% en moyenne ».

Pouvoir d’achat et Inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

Pouvoir d’achat et Inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

 

 

 

 

Le surcoût lié à l’inflation sans réévaluation des revenus devrait générer une perte d’environ 1000 € sur l’année. Un calcul qui paraît peut-être un peu approximatif mais qui donne un ordre de grandeur. En effet le revenu médian se situe autour de 1800 €, ce qui avec une inflation de 5 % effectivement aboutit  à une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 90 € par mois.

Deux observations il s’agit d’abord des moyennes qui ne rendent pas compte de l’impact de l’inflation sur chaque catégorie sociale. Deuxième observation, la hausse mesurée par l’INSEE est à prendre avec des pincettes que par exemple le coût de l’acquisition d’un logement n’est pas intégré dans l’indice.

L’Observatoire de l’inflation du magazine 60 millions de consommateurs estime qu’il faudra débourser «en moyenne 90 euros de plus» chaque mois pour «absorber la hausse générale des prix». Ce chiffre a été établi à partir du poids réel des dépenses en carburants, en énergie et en produits de grande consommation dans le budget des ménages, précise le magazine sur son site internet mercredi. «Avec 20% de hausses, les carburants contraignent déjà à acquitter en moyenne 27 euros de plus par mois», tandis que les factures d’énergie, en hausse de 25%, «provoquent des prélèvements supplémentaires d’un montant moyen de 32 euros par mois».

 

Enfin, la «hausse générale de 7% des produits de consommation courante, attendue cet été, entraînera une dépense supplémentaire de 30 euros par ménage chaque mois». Ce dernier poste de dépense varie forcément en fonction de la composition du foyer, une famille payant en moyenne 38 euros de plus chaque mois, contre 21 euros pour un couple sans enfant, détaille le magazine. L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation publiée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’était établie à 4,8% en avril, atteignant déjà un plus haut en près de 37 ans.

Coût de l’inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

Coût de l’inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

 

 

 

 

Le surcoût lié à l’inflation sans réévaluation des revenus devrait générer une perte d’environ 1000 € sur l’année. Un calcul qui paraît peut-être un peu approximatif mais qui donne un ordre de grandeur. En effet le revenu médian se situe autour de 1800 €, ce qui avec une inflation de 5 % effectivement à une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 90 € par mois.

Deux observations il s’agit d’abord des moyennes qui ne rendent pas compte de l’impact de l’inflation sur chaque catégorie sociale. Deuxième observation, la hausse mesurée par l’INSEE est à prendre avec des pincettes que par exemple le coût de l’acquisition d’un logement n’est pas intégré dans l’indice.

L’Observatoire de l’inflation du magazine 60 millions de consommateurs estime qu’il faudra débourser «en moyenne 90 euros de plus» chaque mois pour «absorber la hausse générale des prix». Ce chiffre a été établi à partir du poids réel des dépenses en carburants, en énergie et en produits de grande consommation dans le budget des ménages, précise le magazine sur son site internet mercredi. «Avec 20% de hausses, les carburants contraignent déjà à acquitter en moyenne 27 euros de plus par mois», tandis que les factures d’énergie, en hausse de 25%, «provoquent des prélèvements supplémentaires d’un montant moyen de 32 euros par mois».

 

Enfin, la «hausse générale de 7% des produits de consommation courante, attendue cet été, entraînera une dépense supplémentaire de 30 euros par ménage chaque mois». Ce dernier poste de dépense varie forcément en fonction de la composition du foyer, une famille payant en moyenne 38 euros de plus chaque mois, contre 21 euros pour un couple sans enfant, détaille le magazine. L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation publiée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’était établie à 4,8% en avril, atteignant déjà un plus haut en près de 37 ans.

Inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

Inflation: Un surcoût de 1000 € par ménage ?

 

 

 

 

Le surcoût lié à l’inflation sans réévaluation des revenus devrait générer une perte d’environ 1000 € sur l’année. Un calcul qui paraît peut-être un peu approximatif mais qui donne un ordre de grandeur. En effet le revenu médian se situe autour de 1800 €, ce qui avec une inflation de 5 % effectivement à une perte de pouvoir d’achat de l’ordre de 90 € par mois.

Deux observations il s’agit d’abord des moyennes qui ne rendent pas compte de l’impact de l’inflation sur chaque catégorie sociale. Deuxième observation, la hausse mesurée par l’INSEE est à prendre avec des pincettes que par exemple le coût de l’acquisition d’un logement n’est pas intégré dans l’indice.

L’Observatoire de l’inflation du magazine 60 millions de consommateurs estime qu’il faudra débourser «en moyenne 90 euros de plus» chaque mois pour «absorber la hausse générale des prix». Ce chiffre a été établi à partir du poids réel des dépenses en carburants, en énergie et en produits de grande consommation dans le budget des ménages, précise le magazine sur son site internet mercredi. «Avec 20% de hausses, les carburants contraignent déjà à acquitter en moyenne 27 euros de plus par mois», tandis que les factures d’énergie, en hausse de 25%, «provoquent des prélèvements supplémentaires d’un montant moyen de 32 euros par mois».

 

Enfin, la «hausse générale de 7% des produits de consommation courante, attendue cet été, entraînera une dépense supplémentaire de 30 euros par ménage chaque mois». Ce dernier poste de dépense varie forcément en fonction de la composition du foyer, une famille payant en moyenne 38 euros de plus chaque mois, contre 21 euros pour un couple sans enfant, détaille le magazine. L’inflation a connu une nouvelle accélération en France au mois de mai, à 5,2% sur un an, dépassant la barre des 5% pour la première fois depuis septembre 1985, selon une première estimation publiée mardi par l’Insee. La hausse des prix sur un an s’était établie à 4,8% en avril, atteignant déjà un plus haut en près de 37 ans.


Bitcoin et cryptomonnaies: La Chine fait le ménage

Bitcoin et cryptomonnaies: La Chine fait le ménage

Après avoir largement favoriser le développement des cryptomonnaies  notamment Bitcoin  la Chine change complètement de stratégie et fait le ménage pour contrôler complètement les monnaies virtuelles . La banque centrale chinoise envisage en outre de créer une cryptomonnaie  chinoise officielle qui ne peut donc être concurrencée par d’autres. La conséquence directe sur l’ensemble des marchés pourrait être un nouveau plongeon de ces valeurs très spéculatives.

Opération «cartes coupées» accomplie! C’est un vaste coup de filet que vient de réaliser la police chinoise en arrêtant simultanément plus de 1 100 personnes accusées d’avoir utilisé des cryptodevises pour blanchir de l’argent provenant d’escroqueries sur internet.

Grâce à ces arrestations, le ministère de la Sécurité publique a annoncé mercredi avoir démantelé 170 «gangs» qui facturaient aux criminels une commission de 1,5 % à 5 % pour

Cette campagne de lutte contre le blanchiment d’argent et la fuite de capitaux n’est qu’une facette de la reprise en main des autorités chinoises à l’encontre des cryptomonnaies. Jusqu’à hier encore, l’empire du Milieu aurait pu être surnommé l’«empire des cryptos». Fin 2016, 99 % des transactions mondiales en bitcoins provenaient de Chine! C’était avant que Pékin ne décide de bannir toute plateforme d’échange sur son territoire, en 2017.

Engie : Catherine McGregor, directrice générale, pour faire le ménage

Engie : Catherine McGregor, directrice générale, pour faire le ménage

 

La nomination de la nouvelle directric McGregor , qui a une très forte expérience industrielle, a constitué une certaine surprise. En fait elle aura surtout pour mission de recadrer une activité d’Engie très disparate. Officiellement une entreprise recentrée sur l’environnement mais qui en réalité exploite aussi des centrales nucléaires et nombre de services. En clair, l’axe stratégique d’Engie  manque sérieusement de lisibilité. Pour l’instant,  la solution semble consister à se séparer de certains actifs pour rétablir des comptes qui ne sont pas merveilleux. Ce qui explique largement la volonté de l’entreprise de se débarrasser des actions qu’elle possède dans Suez.

Pour tout dire Engie,   c’est un peu l’auberge espagnole . Y compris dans le domaine de l’environnement nombre d’investissements peuvent paraître douteux comme ceux par exemple des fameuses éoliennes contresens économiques et énergétiques qui du jour au lendemain pourront s’écouler si l’État décide de ne plus porter à bout de bras cette activité. Ce que l’État d’ailleurs vient  de faire vis-à-vis du phot voltaïque en révisant encore nettement à la baisse les tarifs. Pour peu, ce qui est vraisemblable, que l’hydrogène constitue une perspective crédible d’avenir, Engie risque de passer à côté de la révolution énergétique. Pas sûr que son désengagement des services soit aussi une mesure très pertinente.

Bref énergie est un peu partout mais en même temps et nul part, en tout cas pas suffisamment pour prendre une part significative. La nouvelle directrice a devancé trois autres candidats: Gwenaelle Avice-Huet, directrice générale adjointe d’Engie, Catherine Guillouard, PDG de la RATP, et Laurent Guillot, directeur général adjoint de Saint-Gobain.

«C’est une dirigeante à l’aise avec la raison d’être d’Engie, d’être une entreprise de la transition énergétique, a commenté le président d’Engie, Jean-Pierre Clamadieu. Elle a l’obsession de l’exécution, de la transformation d’une stratégie en actes.» Comme si l’actuel président voulait rappeler que c’est lui le patron et non la nouvelle directrice ! ( pas vraiment bien commencer une cohabitation)

Le choix de Catherine MacGregor n’est pas sans rappeler les nominations de Ben Smith chez Air France KLM ou de Luca de Meo chez Renault: ces entreprises, dont l’État est un actionnaire majeur, ont rompu avec les habitudes et sont allées chercher leur nouveau patron hors du sérail parisien, chez les professionnels de leur industrie. Mais, contrairement à ces deux dirigeants étrangers, cette fille de professeurs est française.

Scène de ménage chez Boris Johnson

Scène de ménage chez Boris Johnson 

 

Une scène de ménage serait intervenue entre Boris Johnson et sa compagne Carrie Symonds. À tel point qu’un des voisins a cru bon d’appeler la police qui s’est rendue sur les lieux. On sait que Boris Johnson est assez colérique et fantasque mais de la à se livrer à des querelles conjugales il y a un pas qui s’il était avéré pourrait bien lui coûter le poste de premier ministre qu’il convoite depuis longtemps. La police a confirmé de manière très diplomatique son intervention. Un porte-parole de la police londonienne a confirmé qu’un appel avait été passé par un voisin à 00h24 vendredi. «Le requérant était inquiet pour la sécurité d’une voisine», a-t-il expliqué. «La police s’est rendue sur place et a parlé à tous les occupants de l’adresse, qui se portaient tous bien. Les agents n’ont relevé aucune infraction ni source d’inquiétude, et il n’y avait aucune raison pour que la police agisse», a ajouté ce porte-parole. La question se pose de savoir si Boris Johnson est responsable de ce qui ressemble à une scène de ménage. Ce qui est sûr c’est que l’intéressé est expert en bruitages. Il n’a pas son pareil pour faire du bruit même inutilement qui a dire des contrevérités et les mensonges comme par exemple tout ce qu’il a raconté à propos des conséquences du break site. Bref Marie Johnson serait un peu fou que cela n’étonnerait pas la classe politique voir médiatique. Il ne serait pas le premier fou à diriger un pays. On peut même convenir que c’est un peu la mode en ce moment avec les facéties parfois dangereuses d’ailleurs de Trump,  Poutine, du dictateur coréen, du dictateur chinois ou encore vénézuélien. Le populisme offre une brèche immense pour permettre aux plus cinglés et au plus irresponsables d’accéder au pouvoir en promettant tout et n’importe quoi. C’est le cas de Boris Johnson tout aussi capable de quitter l’union européenne avec fracas puis une fois pouvoir de passer un accord commercial contraire aux arguments qu’ils avaient utilisé pour se faire élire premier ministre.

Boris Johnson s’est refusé ce samedi à répondre aux questions sur ce sujet durant la première étape d’une tournée nationale à Birmingham (centre de l’Angleterre) avec son rival Jeremy Hunt devant des militants tories, qui auront le dernier mot sur la désignation de leur prochain leader. «Je ne crois pas que les gens aient envie d’entendre parler de ce genre de chose», a-t-il répondu à un journaliste, préférant se cantonner aux questions politiques. «Nous devons réaliser le Brexit», a-t-il dit, promettant de préparer le pays à une sortie de l’UE sans accord.

Le voisin, qui a dit avoir enregistré l’altercation depuis son domicile, a raconté au Guardian qu’il avait frappé trois fois à la porte de Boris Johnson et de Carrie Symonds mais que personne n’avait répondu. Il a assuré avoir entendu «deux cris très forts» et un «gros claquement» qui a fait trembler l’immeuble.

 

Paritarisme : Le Medef va faire le ménage

Paritarisme : Le Medef va faire le ménage

 

 

Après les violentes critiques de macron sur les l’inefficacité des partenaires sociaux, le Medef ne veut plus ni servir de caution, ni servir de bouc émissaire à l’état. L’organisation patronale envisage donc de faire le ménage dans ses représentations et de se retirer d’un certain nombre d’institutions ou son champ de responsabilité n’est pas défini de manière claire“. Il est évident que le système paritaire français présente une particularité caractérisée par la tutelle de fête de l’État. Aucune négociation même réussie ne peut aboutir à des décisions sans l’aval de l’État. Le contraire de ce qui se passe sur de nombreux sujets en Allemagne où la concertation est autrement approfondie. Je ne veux pas que l’on tombe dans un système où l’on sert de caution, comme à l’Assurance maladie. Si tel était le cas, alors oui, nous quitterions l’Unedic (association chargée de la gestion de l’assurance chômage, NDLR) !”, assure Geoffroy Roux de Bézieux dans un entretien au JDD. “Cet échec va, je l’espère, pousser les partenaires sociaux à une remise en question forte de leur train-train paritaire. Des postures, des habitudes ont été prises. Ce monde ne bouge pas à la même vitesse que le monde de l’entreprise. Au Medef, nous allons réexaminer notre présence dans tous les organismes paritaires”, ajoute-t-il. Outre l’Unedic, le Medef siège à la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam), la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav), la Caisse nationale d’allocations familiales (Caf) ou encore à l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss). Revenant sur l’échec des négociations, il réfute le procès en irresponsabilité dressé cette semaine par Emmanuel Macron au patronat et aux syndicats. “Nous étions dans un faux paritarisme : l’État dictait les règles et faisait semblant de laisser les partenaires sociaux négocier. Il faut sortir de l’ambiguïté. Cette catharsis le permet”, dit-il. Il présage en outre d’une route difficile pour l’exécutif. “Ce sera aussi dur pour le gouvernement ! S’il réalise moins de 1  milliard d’euros d’économies par an comme il nous l’a demandé, cette notion de responsabilité se retournera contre lui”, estime-t-il. Par ailleurs il n’est pas certain que l’État se montre un meilleur gestionnaire que les partenaires sociaux pour l’assurance chômage si l’on en juge par les résultats de sa gestion dans d’autres champs sociaux.

Marseille : Mélenchon veut faire le ménage

Marseille : Mélenchon veut faire le ménage

 

Comme d’habitude Mélenchon ne fait pas dans la nuance ni dans la modestie quand il se considère comme l’homme de la situation pour nettoyer la ville du fond en comble. En plus,  il se voit comme le seul stratège pour conquérir Marseille, le plus malin aussi est le plus patient. Bref la dentelle n’est pas sa spécialité, ni la retenue. Sur d’autres objectifs,  la grenouille Mélenchon s’est déjà faite plus grosse que le bœuf. Pour Marseille,  il a cependant des chances car  cette ville est traversée depuis longtemps par des courants politico-financier qui s’auto-entretiennent. Pour parler clair, la consanguinité entre réseaux politiques et réseaux économiques et financiers n’est plus à démontrer. Le pari de Jean-Luc Mélenchon peut peut-être se gagner tellement la situation politique et démocratique est dégradée. Le handicap du leader des insoumis c’est qu’il veut gagner seul  cette bataille sans aucune alliance, ni au centre, ni à droite bien sûr et ni même à gauche. Une stratégie peut-être illusoire qui pour l’instant au plan national a conduit à l’échec hormis quelques opérations médiatiques et coups de gueule de l’intéressé “Je ferais ce qu‘il faut pour que les listes de la France insoumise gagnent à Marseille”, a-t-il dit en marge d‘une visite aux salariés du site Gemalto de La Ciotat.

Hollande –Valls – Bartolone : scène de ménage pathétique

Hollande –Valls - Bartolone : scène de ménage pathétique

 

Depuis plusieurs semaines et surtout ces derniers jours les conflits au sommet de l’État témoignent à l’évidence du manque d’étoffe et de responsabilité des intéressés. Jamais sans doute sous la Ve République on a connu de telles oppositions entre le président de la république, le Premier ministre et le président de l’assemblée nationale. Une situation qui découle évidemment de la gestion catastrophique de la gauche aussi de sa désinvolture. Celle de Hollande en particulier qui a livré des confidences condamnables à des journalistes auxquels il a accordé plus de 50 entretiens. Celle aussi du Premier ministre qui a mis en doute la légitimité de François Hollande comme candidat en 2017 voire  même comme président de la république. Celle aussi de Bartolone vexé d’avoir était qualifié par Hollande de personnage  sans envergure et sans charisme et qui se venge en voulant que le premier ministre et le président de la république s’oppose publiquement. Bartolone un président de l’assemblée nationale, troisième personnage de l’État qui refuse de prendre au téléphone le président de la république. Une situation évidemment surréaliste à laquelle Hollande a bien été contraint de mettre fin  pour ne pas ajouter du ridicule à l’inconsistance. Du coup Valls a été obligé de manger son chapeau et sans gloire puisque le dimanche il affirme dans une interview au JDD qu’il va annoncer sa candidature contre Hollande et que le lundi il déclare qu’une opposition entre un premier ministre et un président de la république est inenvisageable François Hollande et Manuel Valls ont bien été contraints de faire baisser la tension née la veille des propos du Premier ministre évoquant sa candidature à l’élection présidentielle. Pour Manuel Valls, cité par son entourage, « il ne peut pas y avoir de crise institutionnelle » dans un pays où règne la menace terroriste. « Il a expliqué qu’il ne pouvait pas y avoir, dans ce moment très précis pour la France, de confrontation politique entre un président de la République et un Premier ministre », a-t-on ajouté. « Et ce, encore moins entre deux personnalités dont les rapports sont basés sur la confiance. » Aux dires d’un membre de l’entourage de François Hollande, l’ »explication claire et franche » réclamée en début de journée par le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, s’est transformée en discussion « cordiale et studieuse » ! Qualificatif cordial assez surréaliste entre un président et un Premier ministre en exercice.

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