Archive pour le Tag 'menacés'

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Européennes : les écolos menacés de disparition

Européennes : les écolos menacés de disparition ?

 

Europe écologie les Verts pourraient bien disparaître du paysage politique européen. En effet ils ne cessent de dégringoler dans les sondages et ils pourraient bien même ne pas atteindre le seuil de 5 % nécessaires pour obtenir des députés européens. En cause la posture deux bobos gauchistes de trop de responsables type Sandrine Rousseau qui sans doute fait perdre un nombre de voix considérables à chacune de ses nombreuses et invraisemblables prises de position. Le problème est qu’elle n’est pas la seule à être anachronique chez EELV.

La dernière livraison du «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio, publiée ce mercredi, confirme l’effritement des intentions de vote pour la juriste internationale. Après avoir atteint un pic de 6,5% entre mercredi 29 et vendredi 31 mai, la candidate rechute au seuil fatidique des 5% (-0,5). Signe encore plus inquiétant dans la dernière ligne droite : la baisse continue de ses suffrages (-1,5 point depuis vendredi).

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Comme chaque jour il y a au moins un fait divers faisant état de violences envers des enseignants. Et comme chaque jour cela sera rangé dans la rubrique faits divers alors qu’il s’agit d’un fait de société surtout quand en plus la violence et le faite d’une adolescente fichée S !

 

Une mesure conservatoire a par ailleurs été prononcée par le chef d’établissement à l’encontre de l’élève mise en cause avant l’engagement prochain d’une procédure disciplinaire. Tout accès au lycée lui est désormais interdit. Un dispositif d’accompagnement et de suivi a été proposé à l’enseignante verbalement agressée, indique enfin le rectorat. La garde à vue de la lycéenne était toujours en cours ce mercredi soir.

La question est pour combien de temps?

 

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Carcassonne : encore des menaces de mort envers une enseignante

Comme chaque jour il y a au moins un fait divers faisant état de violences envers des enseignants. Et comme chaque jour cela sera rangé dans la rubrique faits divers alors qu’il s’agit d’un fait de société surtout quand en plus la violence et le faite d’une adolescente fichée S !

 

Une mesure conservatoire a par ailleurs été prononcée par le chef d’établissement à l’encontre de l’élève mise en cause avant l’engagement prochain d’une procédure disciplinaire. Tout accès au lycée lui est désormais interdit. Un dispositif d’accompagnement et de suivi a été proposé à l’enseignante verbalement agressée, indique enfin le rectorat. La garde à vue de la lycéenne était toujours en cours ce mercredi soir.

La question et pour combien de temps?

 

Les proviseurs d’écoles parisiennes dénoncent les menaces dont ils sont victimes

Les proviseurs d’écoles parisiennes dénoncent les menaces dont ils sont victimes

Des proviseurs de lycée et des principaux de collège à Paris lancent un cri d’alarme. Plus de 170 d’entre eux, sur 380 à Paris, se sont rassemblés place de la Sorbonne ce lundi 4 mars pour dénoncer leurs situations, rapporte Le Figaro et le JDD. Ils disent être de plus en plus menacés lorsqu’ils font face à des atteintes à la laïcité. Ces fonctionnaires sont nombreux à avoir fait les frais d’insultes, d’intimidations voire de harcèlement et de menaces de mort, notamment après avoir rappelé à un élève de respecter la laïcité à l’école.

Beaucoup ont déposé des mains courantes ou ont porté plainte. Ces proviseurs parisiens se sont également rendus place de la Sorbonne en soutien au directeur du lycée Ravel qui a été menacé de mort après avoir demandé à une élève de retirer son voile dans l’enceinte de l’école.

Le week-end dernier, des représentants syndicaux parisiens des chefs d’établissement, tels que SNPDEN-Unsa, ID-FO et Sgen-CFDT, ont lancé un appel à la solidarité, relate Le Figaro. « Une fois encore, des collègues chefs d’établissement sont menacés de mort dans le cadre de leur fonction pour avoir fait respecter les valeurs de l’école publique et en particulier, le principe de laïcité », ont-ils déploré dans un communiqué commun, rappelant que les informations se déforment et se propagent rapidement en ligne.

 

Des menaces devant les lieux juifs ?

Des menaces devant les lieux juifs ? 

Après l’attaque de l’Iran sur Israël, le ministre de l’Intérieur a demandé aux préfets de renforcer la sécurité devant les lieux de culte juifs et les écoles juives.

 

Le ministre demande aux préfets de prévoir une présence « statique et visible » des forces de l’ordre devant les lieux de culte et édifices « les plus sensibles ou emblématiques ».

A l’approche de Pessah, la pâque juive (22 au 30 avril), il leur demande de porter « attention » en particulier « sur les offices et rassemblements qui concentrent traditionnellement des publics nombreux ».

Le ministre de l’Intérieur demande aussi que soient mises en place, devant les écoles confessionnelles et dès lundi, « des gardes statiques systématiques aux heures d’entrée et sortie des élèves ».

Cette décision a été prise en raison du « niveau très élevé de la menace terroriste », du « maintien à un haut niveau des actes à caractère antisémite » et de « la persistance des tensions au plan international dont l’attaque de l’Iran sur Israël » dans la nuit de samedi à dimanche, détaille-t-il dans le télégramme.

Menaces de mort d’un proviseur du lycée : La faillite l’État !

Menaces de mort d’un proviseur du  lycée : La faillite  l’État !

Après les menaces de mort dont a été l’objet le proviseur du lycée Ravel à Paris, c’est  à une double démission à laquelle on assiste. La plus grave est d’abord celle de l’État incapable de faire prévaloir les valeurs de la république et la discipline dans les établissements dont il a la responsabilité. Le proviseur du lycée a décidé lui aussi de démissionner invoquant à juste titre des raisons de sécurité mais  considérées honteusement par le rectorat comme des « convenances personnelles ».

Le proviseur du lycée Maurice Ravel à Paris a quitté ses fonctions, a appris franceinfo mardi 26 mars. Depuis fin février, il était menacé de mort sur les réseaux sociaux, à la suite d’une altercation avec une élève pour lui avoir demandé d’enlever son voile. Dans un message transmis mardi aux parents d’élèves et aux personnels, son successeur évoque des « raisons de sécurité » pour justifier ce départ. Le rectorat de Paris parle quant à lui de « convenances personnelles ». Au lycée, la communauté éducative est sous le choc.

Selon une  enseignante, ce n’est pas le remplacement du proviseur qui apaisera ce climat délétère entre certains élèves et leurs professeurs :  »Qu’il faille, pour demander qu’une règle soit appliquée, rentrer dans un conflit qui ne devrait pas l’être… On se demande si on peut faire respecter la loi dans l’établissement ou si ça ne va se retourner contre nous avec des propos complètement inventés et complètement dingues. » Une référence à l’assassinat de Samuel Paty, en octobre 2020 : une collégienne de 13 ans avait alors accusé le professeur d’avoir fait sortir les musulmans du cours pour projeter les caricatures de Charlie Hebdo. Or, celle-ci n’était pas présente, ce jour-là, à l’établissement.

Et comme si cela ne suffisait pas, de nouvelles tensions sont apparues ces derniers jours après que plusieurs fausses alertes à la bombe ont visé le lycée Ravel.

 

Menaces pour les grandes villes face au changement climatique

Menaces pour les grandes villes face au changement climatique

La COP 28 a montré que le monde ne prend pas toute la mesure de l’impact futur du changement climatique, notamment sur les villes. À noter par exemple que les différences de température peuvent varier jusqu’à 5° entre la ville ( (Effet radiateur) et son environnement rural immédiat.Rien d’étonnant à cela puisque sur des hectares et des hectares le sol est recouvert de béton et de bitume  qui amplifient le changement climatique.

Par Yves Bamberger, Christian Deutsch, Laurent Gouzenes, Pierre Haren, Laurent Philonenko dans » La Tribune »(*)

Les villes concentrent progressivement une majorité croissante de la population mondiale, tandis que leur complexité et leur dépendance vis-à-vis de leur environnement les rendent plus particulièrement sensibles aux perturbations engendrées par le changement climatique. Notamment, la résilience face aux événements extrêmes exige une planification à plusieurs dizaines d’années de solutions d’ensemble.

L’impact sur les villes encore plus puissant que sur les campagnes

Quelle que soit la hausse des températures moyennes en 2100, elle engendrera la fonte des glaciers, une hausse du niveau de la mer et des perturbations climatiques nouvelles. Bien pire, la violence des phénomènes extrêmes, comme les très fortes canicules, les sécheresses sévères, les rivières atmosphériques et les inondations, est déjà observable et leur fréquence augmente.

Ces phénomènes impactent directement les écosystèmes naturels et les campagnes agricoles. Mais les villes qui concentrent 80% de la population des pays développés et largement plus de 50% dans les autres pays seront les plus touchées, directement et indirectement.

Quelques exemples
La ville de New York nous donne un exemple du danger. New York a subi en octobre 2012 une tempête extrême (Sandy), causant la mort de 43 personnes, et plus de 19 milliards de dollars de dégâts en seulement 3 jours. La hausse du niveau de la mer (4 m) fut bien au-delà des quelques centimètres attendus pour 2100, et la montée des eaux qui a suivi a inondé les réseaux souterrains (métro, électricité, etc.) et rendus inopérants les égouts et trop-pleins. Neuf ans plus tard, en 2021, les précipitations de l’ouragan Ida y firent 44 morts en paralysant la ville (transports, électricité, eaux, etc.). Un plan de protection de la ville de plus de 50 milliards de $ est toujours en cours de discussion.

Récemment, Acapulco a été quasi détruite en trois heures par l’ouragan Otis et ses vents atteignant 315km/h. Sa reconstruction prendra des années et coûtera plus de 16 milliards de dollars.

En Inde, la perturbation du régime des moussons engendre des séries de vagues de chaleur qui perturbent d’une part les récoltes, mais aussi rend les villes invivables (17.000 morts en 2023) par le niveau très élevé des températures de jour et de nuit. La climatisation ne fait que renforcer la pollution et le manque d’eau, du fait de la génération d’électricité par des centrales au charbon.

Bien d’autres villes comme Jakarta, Lagos, New Orleans, Haïti, Lagos, Oulan-Bator, Marrakech, sont toutes à des degrés divers impactées par la conjonction de phénomènes naturels et humains et voient dès aujourd’hui leur existence même fragilisée.

La France n’est pas épargnée. En 2023, les records de chaleur ont été battus partout, notamment à Carcassonne où la température a atteint 43°C à l’ombre. Les plans ‘canicule’ ont permis de sauver de nombreuses vies, alors qu’en 2003 plus de 15.000 décès ont été imputés aux chaleurs excessives. A l’opposé, des inondations répétées dans le Nord de la France ont récemment conduit les habitants de certaines agglomérations à les déserter.

Les villes : des systèmes hyperorganisés, mais vulnérables

La ville est l’innovation sociale la plus marquante du XXe siècle : le nombre de citadins est passé de moins de 1 milliard en 1950 à plus de 4 milliards aujourd’hui, et devrait atteindre 80% de la population en 2100. L’expansion des villes tient à leur capacité de créer une richesse toujours plus importante, en démultipliant l’efficacité des individus et de leurs échanges, mais aussi au mode de vie qu’elles soutiennent.

Leur fonctionnement repose sur plusieurs piliers vitaux :

L’interaction avec le territoire élargi, pour les échanges de nourriture et d’eau et l’évacuation des déchets non transformables localement
La disponibilité de l’énergie et, de plus en plus, de l’électricité, produite pour l’essentiel en dehors
Les transports des biens et des personnes
La sécurité, qui garantit la confiance et le commerce paisible des habitants
L’activité commerciale et industrielle
La ville est ainsi un système dynamique à la recherche permanente d’équilibre entre les innombrables flux de personnes, de matières et d’informations, afin d’assurer en permanence l’approvisionnement et le bien-être des habitants.

Les logiques d’optimisation budgétaire conduisent à la mutualisation des ressources au détriment de l’autonomie et de la résilience, par exemple pour les réseaux de télécommunications et réseaux électriques.

Nous tenons tous pour acquis l’ensemble des conditions et systèmes qui permettent la vie urbaine alors que son fonctionnement est un exploit quotidien des organisations privées et publiques.

Malgré leur succès, les villes n’ont jamais été aussi fragiles et dépendantes de conditions qui doivent persister pour que la conjoncture leur reste favorable. La montée des contraintes globales évoquées plus haut induit des déséquilibres qui se renforcent mutuellement et en cascade.

Par exemple un déséquilibre, même limité de quelques heures, sur l’un des systèmes, peut avoir des conséquences sur un ou plusieurs autres et créer une boucle d’amplification très sensible à la durée de la perturbation: une panne ou une grève des transports publics de métro a un effet direct immédiat sur le trafic automobile; une pluie majeure impacte le système d’égouts et de retraitement, qui se propage en amont (débordements) et en aval (pollution) ; une coupure d’électricité engendre perte de communications, pannes d’ascenseurs, de réfrigérateurs, etc.

Le retour à l’équilibre initial peut s’avérer laborieux en raison de la complexité des interactions, des conséquences imprévues, et de la disparité des systèmes de pilotage. Quand le retour à la normale est impossible, il s’agit alors de s’adapter, de parvenir à des équilibres nouveaux, acceptables en termes de qualité de vie, d’économie et de durabilité.

Or les évènements extrêmes dus au changement climatique et au dépassement probable des points de bascule créent un risque croissant d’instabilité voire d’effondrement des systèmes vitaux assurant le fonctionnement des villes.

Un défi immense
La probabilité croissante de ces évènements et surtout leurs possibles cascades d’interactions doivent nous interpeller : le défi de la résilience des villes doit être relevé dans sa globalité systémique.

La mise en place des solutions d’adaptation nécessaires va certainement demander de mobiliser de très importants moyens humains, technologiques et financiers. Il faudra gérer plusieurs échelles, spatiales, temporelles, organisationnelles et financières simultanément. En outre, il faudra coordonner les efforts publics et privés, et surmonter les silos décisionnels et les cycles électifs habituels pour construire des politiques stables.

Le défi est immense, d’autant plus que l’échelle de temps se raccourcit. Le long terme n’est plus 2050, mais 2035.

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(*) Signataires :
Pierre Haren, PDG de Causality Link et membre de l’Académie des Technologies.
Laurent Gouzenes, Docteur Ingénieur, expert en Gestion des Connaissances.
Laurent Philonenko, PDG Servion Global Solutions, et Conseiller du Commerce extérieur de la France.
Yves Bamberger, Vice-Président et membre fondateur de l’Académie des Technologies.
Christian Deutsch, Président de l’association Citoyennes, Citoyens Paris14.

Menaces géopolitiques : des conséquences sur la croissance et l’inflation

Economie et Menaces géopolitiques : des conséquences sur la croissance et l’inflation


Ngozi Okonjo-Iweala, de l’OMC a évoqué à davos « l’aggravation des tensions géopolitiques, les disruptions qu’on voit en mer rouge, sur le canal de Suez, le canal de Panama », comme facteurs de déception potentielle cette année concernant la croissance et l’inflation .

2024 pourrait donc finalement être plus morose qu’escompté pour l’économie mondiale. À l’occasion d’une réunion au Forum économique mondial de Davos, la secrétaire générale de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) s’est dite « moins optimiste » pour le commerce mondial cette année. Ngozi Okonjo-Iweala a notamment évoqué « l’aggravation des tensions géopolitiques, les disruptions qu’on voit en mer rouge, sur le canal de Suez, le canal de Panama », comme facteurs de déception potentielle cette année.

Parmi les conflits qui inquiètent le monde, celui touchant la mer rouge inquiète, en effet, particulièrement. Et pour cause, environ 12% du commerce mondial transite par cette zone. Mais, depuis la mi-novembre, les attaques Houthis ont contraint de nombreuses compagnies maritimes à éviter la zone, et à emprunter la route la plus longue autour de la pointe de l’Afrique, au prix d’un surcoût du transport et de délais plus longs d’acheminement.

Encore des professeurs menacés et encore le même profil

Encore des professeurs menacés et encore le même profil


Encore des Enseignant menacés par des islamistes est presque à chaque fois, on va rapidement trouver des circonstances psychiatriques pour expliquer la menace. Le problème c’est que la plupart des candidats criminels sont affectés de dérèglements psychologiques graves nourris par la drogue et-ou la propagande islamiste.

Deux mois jour pour jour après l’assassinat du professeur Dominique Bernard, un grave incident s’est produit ce mercredi 13 décembre au collège des Hautes-Ourmes à Rennes. Une élève de 12 ans a menacé sa professeur d’anglais avec un couteau avant d’être maîtrisée, a appris Le Figaro auprès d’une source policière, confirmant les informations de Ouest-France
Cette fois encore on va assister un déni de réalité. La plupart de ces attentats sont en effet le fait d’étrangers déréglés. Dans le cas présent il s’agit d’une fillette de 12 ans d’origine mongole. Autant de pays où les règles de civilisation moderne ont du mal à pénétrer et qui plongeait dans des sociétés contemporaines ne parviennent pas à gérer les limites de la liberté notamment matière de laïcité.

François Kraus , directeur du Pôle Politique et Actualités de l’Ifop, publie une étude Ifop-Elmaniya.tv sur le sens que les Français musulmans donnent à la laïcité et la place qu’ils accordent aujourd’hui à la religion à l’école et dans la société.

Quels sont les principaux enseignements à tirer de cette étude ?

François KRAUS. – La principale conclusion de l’étude est que dans leur grande majorité, les musulmans échappent au mouvement de sécularisation qui affecte depuis des siècles le reste de la société française. Or, leur haut degré de religiosité s’accompagne non seulement d’un niveau d’orthopraxie très marqué – spécialement sur le plan alimentaire et vestimentaire – mais aussi de tout un ensemble des revendications d’expression religieuse dans la vie quotidienne (école, rue, sport…) qui rentrent en opposition frontale avec l’arsenal législatif ou réglementaire actuel.

Encore une professeure Victime de menaces par des islamistes

Encore une professeure victime de menaces par des islamistes

L’affaire est grave car le ministre lui-même a été contraint de se déplacer suite à des menaces par des islamistes d’une professeure. À destination des parents islamistes contestataires le ministre a clairement déclaré « à l’école on ne conteste pas l’autorité ».Encore une atteinte à la laïcité cette fois également largement imputable à l’ignorance et à l’aveuglement religieux. L’équipe pédagogique d’un collège des Yvelines exerce son droit de retrait depuis vendredi, après qu’une professeure de français a été la cible d’accusations de racisme et d’islamophobie, a appris lundi France Inter auprès de l’académie de Versailles. Motif : La veille, dans le cadre de l’étude d’un texte avec une classe de 6e de l’établissement, cette professeure a montré Diane et Actéon, un tableau du XVIIe siècle du peintre italien Giuseppe Cesari, sur lequel cinq muses sont représentées nues.

Selon l’académie de Versailles, à la vue de ce tableau, « une poignée d’élèves » ont détourné ostensiblement le regard. C’est à partir de ce cours que des rumeurs ont commencé à circuler attribuant des propos racistes et islamophobes à cette professeure de français.

Le soir même, des parents d’élèves se sont présentés devant l’établissement pour avoir des explications sur les propos qu’a pu tenir cette professeure. Après cet événement, la professeure principale de cette classe a fait remonter l’incident au principal de l’établissement, qui l’a lui-même remonté à l’académie. Puis, les enseignants se sont mis en droit de retrait depuis vendredi matin et le sont toujours lundi.

La professeure concernée a porté plainte pour dénonciation calomnieuse.

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

Mort de Thomas à Crépol: un premier auteur des menaces à la maire de Romans condamné

La maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, annonce ce mercredi 6 novembre la condamnation « de l’auteur des appels pour l’intimider » à 8 mois de prison ferme. L’homme âgé d’une trentaine d’années et originaire du Pas-de-Calais, d’après le procureur de Valence, a déjà été condamné à « plus de 20 reprises ». On ignore les motifs de ces précédentes condamnations mais on s’en doute compte tenu du profil récurrent de ces délinquants. Il a été interpellé à Marseille en début de semaine. En plus des huit mois de prison ferme, l’individu a été condamné à verser 500 euros de dommages et intérêts à la maire de Romans-sur-Isère.

Marie-Hélène Thoraval se réjouit ce mercredi 6 décembre sur X (ex-Twitter) de l’interpellation « de l’auteur des appels pour l’intimider ». Jugé en comparution immédiate ce mercredi, il a été condamné à 8 mois de prison ferme. Une information confirmé par le parquet de Valence à l’AFP.

« Merci à la police pour sa célérité et son efficacité, à la justice pour sa fermeté », déclare l’édile.

Interpellé à Marseille en début de semaine, l’homme né en 1990 a été condamné en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Valence dans la Drôme pour « outrages par paroles ou menaces » à l’encontre de l’édile et a été incarcéré dans la foulée.

Sept jours plus tôt, la maire de Romans-sur-Isère, où était scolarisé en lycée le jeune Thomas, tué au couteau lors d’un bal de village mi-novembre, avait déposé plainte après avoir reçu des menaces par téléphone et sur les réseaux sociaux, dont une de mort « par décapitation », selon l’édile.

Elle souligne que « l’auteur des ces menaces de mort » n’a quant à lui pas encore été « appréhendé ». Une enquête disjointe se poursuit.

Marie-Hélène Thoraval explique « avoir reçu deux appels anonymes qui ont été opérés auprès du standard de la mairie avec un message plutôt qui relevait de l’intimidation, [lui] demandant si [elle] disposait d’une kalachnikov chez [elle] et si [elle] avait des gardes du corps ».

C’est pour ces faits, que l’homme condamné ce mercredi comparaissait devant le tribunal. Il a toutefois été relaxé des faits d’ »appels téléphoniques malveillants ». En garde à vue comme devant le tribunal il a contesté les faits, affirmant que quelqu’un d’autre avait utilisé son téléphone !

Un marginal, sans emploi, auteur des fausses menaces à la bombe à Versailles

Un marginal, sans emploi, auteur des fausses menaces à la bombe à Versailles

Un abruti de 37 ans, sans emploi, sera jugé ce lundi 23 octobre devant le tribunal judiciaire de Versailles. Il est l’auteur des fausses informations concernant les menaces de bombes à Versailles.

Toujours d’après les informations de BFMTV, l’homme a reconnu les faits. Il a expliqué avoir vu les informations dans les médias sur les alertes à la bombe successives, et s’être dit : »Pourquoi pas moi ? », résume une source proche de l’enquête.

Le suspect, âgé de 37 ans, vit chez ses parents, est sans emploi et n’a pas d’antécédents judiciaires. Il souffre de schizophrénie mais selon une source judiciaire, il est accessible à une sanction pénale.

Placé sous contrôle judiciaire, il comparaîtra libre ce lundi 23 octobre. La comparution immédiate aura lieu à 14 heures au tribunal judiciaire de Versailles. L’audience sera publique. L’homme risque deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

Intelligence artificielle : des menaces pour l’humain ?

Intelligence artificielle : des menaces pour l’humain ?

IA: Une menace pour l’espèce humaine ?

Science et Société-La fin de homme face à l’intelligence artificielle ?

Le développement de l’IA représente une menace de taille pour l’espèce humaine, analyse l’auteur de La Guerre des intelligences (voir résumé) à l’heure de ChatGPT *. Il est urgent, explique-t-il dans le Figaro, de réfléchir à ses conséquences politiques et aux moyens de cohabiter avec elle.

L’arrivée de ChatGPT a relancé le débat sur l’intelligence artificielle générale : de quoi s’agit-il ?

Laurent ALEXANDRE. – Il existe deux types d’IA qui préoccupent les chercheurs. D’abord, l’intelligence artificielle générale, qui serait légèrement supérieure à l’homme dans tous les domaines cognitifs. Ensuite, la super-intelligence artificielle, l’ASI en anglais, qui pourrait être des milliers, voire des millions, de fois supérieure à la totalité des cerveaux sur ­terre.

Faut-il croire à son émergence ou s’agit-il en réalité d’un fantasme ?

Sam Altman, le patron de ChatGPT, a écrit le mois dernier qu’il est convaincu que la super-intelligence artificielle sera là avant 2030. Il n’y a pas de certitude que nous y parviendrons, mais je constate qu’il y a de plus en plus de chercheurs, une grande majorité, même, qui sont aujourd’hui convaincus que l’IA nous dépassera dans tous les domaines.

La Guerre des intelligences -résumé ( de likedin)

Les inégalités de QI sont majoritairement génétiques (de naissance) et globalement héréditaires même si le mode de vie (malbouffe, sous-stimulation…) accentue cet état de fait. De fait, les inégalités de QI se creusent.

Après une période d’augmentation générale du QI (due à une meilleure hygiène de vie), l’effet Flynn s’est tari en occident, entrainant une baisse du QI moyen, car les personnes au meilleur QI font moins d’enfants et les personnes de faibles QI en font plus et les stimulent moins.

En Asie, l’effet Flynn bat son plein : le QI connaît une forte augmentation pour des raisons environnementales (fin de la malnutrition, éducation…).

L’Afrique devrait connaître à son tour une explosion du QI dans les prochaines décennies.

L’éducation est clef : on en est encore à l’âge de pierre. Il n’y a pas d’évaluation des méthodes (cf les débats stériles entre méthode globale et syllabique alors qu’aucune étude sérieuse n’a jamais été menée sur le sujet), process de transmission inchangé depuis des siècles/millénaires (cours magistral de groupe). Grâce aux neurosciences on va vraiment comprendre comment le cerveau apprend / les cerveaux apprennent.

On pourra alors vraiment faire de la pédagogie efficace et individualisée.

Après le QI, le QCIA

Mais au-delà du QI, le vrai enjeu va être le QCIA (quotient de compatibilité avec l’IA) car l’IA arrive à grands pas.

Aujourd’hui, on n’en est qu’aux balbutiements (l’IA est encore faible, il n’existe pas encore d’IA « forte », consciente d’elle-même) mais les développements sont extrêmement rapides.

Les nouvelles IA sont auto-apprenantes (deep-learning) et deviennent des boîtes noires. On ne sait pas vraiment comment elles fonctionnent car elles évoluent d’elles-mêmes en apprenant. Cela les différentie fondamentalement des algorithmes qui sont pré-programmés par quelqu’un, donc auditables.

Les IA apprennent grâce à la masse des données (textes, vidéos, photos, données de navigation…) dont on les nourrit.

Ce n’est pas un hasard si Google et FB sont des créateurs d’IA : avec les datas dont ils disposent, ils peuvent nourrir les IA.

L’Europe en protégeant les données utilisateurs fait prendre un retard à l’IA européenne vs la Chine ou les US.

Les IA vont rapidement remplacer le travail intellectuel (avocat, médecin…) car la masse de données qu’elles possèdent est phénoménale (ex : des millions de clichés radiologiques, des milliards de datas de santé…) et cela permet de réaliser des corrélations impossibles à un humain.

Paradoxalement, les métiers manuels diversifiés seront les derniers remplacés car un robot multitâche coûte plus cher qu’un programme informatique (le radiologue sera remplacé avant l’aide-soignante).

La fin du travail est annoncée par beaucoup, mais cette peur méconnait l’inventivité humaine : de nouveaux métiers vont apparaître autour de l’IA (comme les datascientistes, les développeurs web ou les spécialistes du retargeting n’existaient pas il y a 20 ans). Par nature, on ne peut pas prévoir ce que seront ces jobs, mais ils existeront comme après chaque révolution industrielle. Ce qu’on peut imaginer et que ces futurs emplois seront étroitement liés à l’IA, il est donc essentiel que notre intelligence soit compatible, d’où l’importance du QCIA.

L’IA est pour le court terme une formidable opportunité (elle va résoudre de nombreux problèmes bien mieux que les humains, surtout dans la santé). Le problème est qu’on ne sait pas comment elle va évoluer. Une IA forte (ie avec conscience) peut devenir dangereuse pour l’homme et comme elle sera dupliquée / répartie (via Internet) dans tous les objets connectés, elle sera difficile à tuer en cas de besoin.

Comment l’IA avec conscience se comportera-t-elle avec nous ? Cela est très difficile à prévoir.

Quel avenir pour l’humanité ?

Assez vite, l’homme va être dépassé par l’IA, alors comment rester dans la course et ne pas être asservi ?

- l’eugénisme : les humains mieux sélectionnés in-vitro seront plus intelligents et en meilleure santé (cf Bienvenue à Gattaca). Cela pose évidemment de nombreux problèmes éthiques mais les réponses à ces problèmes seront différentes selon les pays et la Chine et les US sont plus permissifs. Cependant, cette évolution sera lente alors que l’IA évolue en permanence : les humains risquent de rester à la traîne de l’IA. Enfin, maîtriser la conception des enfants doit interroger sur la capacité de survie de l’espèce humaine en tant que telle. Le hasard de la génétique (mutations non prévues) est en effet le moyen trouvé par la vie pour s’adapter, sur le long terme, à un environnement lui-même en évolution permanente (principe de l’évolution).

- l’hybridation : cette solution prônée par Elon Musk consiste à se mettre des implants cérébraux qui vont booster notre cerveau. Si l’idée est très enthousiasmante (maîtriser la connaissance sans effort ni délai), le vrai risque est la manipulation : qui produit les contenus ? seront-ils orientés ? quid du brain washing ? que se passe-t-il si nous sommes hackés ? Ces implants seraient-ils le cheval de Troie d’une véritable dictature de la pensée encore plus aboutie que 1984 ? En effet, si on peut injecter des informations directement dans notre cerveau, il sera possible également de lire nos pensées. Que reste-t-il de nous si nous n’avons même plus de refuge de notre cerveau pour penser en toute liberté ? Quel usage un gouvernement pourrait-il faire de ces informations, qui ne soit pas totalitaire ?

- projeter nos esprits dans des corps robots : la victoire ultime sur la mort. Sans corps, nous sommes immortels. Mais que restera-t-il de nous quand nous serons fusionnés avec l’IA et que la mortalité n’existera plus alors qu’elle est l’essence même de l’homme et vraisemblablement l’origine de son désir créatif ?

Le problème de toutes ces évolutions c’est qu’elles ont des effets bénéfiques individuels indéniables à court terme (moins de maladies, meilleur QI…), mais à la fois vont créer des inégalités temporaires (seuls les riches pourront au début s’offrir cela) et impliquent des changements pour l’humanité toute entière.

Dès lors que les effets bénéfiques sont importants, il sera impossible d’enrayer le développement des IA dans tous les aspects de nos vies. En effet, quel parent pourrait refuser de faire soigner son enfant par une IA plutôt qu’un médecin, si ses chances de survie sont décuplées ? Quel homme politique pourrait assumer de faire prendre à son pays un retard si énorme en terme de santé publique ?

Mais si les humains sont connectés à des implants, l’IA sera certainement dedans. Serons-nous encore des humains ? Comment ne pas être asservis par l’IA si celle-ci est déjà dans nos cerveaux ?

Les technobéats ne réfléchissent pas à plusieurs générations, trop enthousiastes de voir où leur création les mènera. Quant aux politiques ils sont complètement largués et ne comprennent rien à la technologie. De toute manière, ils ne savent pas penser à plus de deux ans.

Au final, l’IA se développe sans maîtrise, car personne ne pense ni ne parle pour l’humanité.

(A ce sujet, je recommande l’essai d’Edmund Burke « Réflexion sur la Révolution de France » qui explique sa pensée, le « conservatisme », et sa vision de la société comme un contrat entre les vivants, mais également entre les vivants, les morts et les futures générations. Il y a certainement des idées pour nourrir le débat.)

Dans tous les cas, la bataille sera gagnée par les tenants de l’hybridation (transhumanistes) car ceux qui s’hybrideront (et ils le feront même si la réglementation le leur interdit) deviendront super-intelligents et deviendront donc de-facto les leaders. Ceux qui refuseront l’hybridation seront à la traîne.

Face à une IA galopante et à l’hybridation, le rôle de l’école va changer. Notre valeur sera dans ce qui fait notre humanité puisque la connaissance sera injectable à la demande sans effort. Donc il faudra former davantage à l’esprit critique, la réflexion, la créativité. L’homme a cet avantage sur la machine de faire des erreurs et c’est des erreurs que viennent des découvertes.

Politique Niger–CEDEAO : pour l’instant des menaces verbales

Politique Niger–CEDEAO : pour l’instant des menaces verbales

Pour l’instant le ton monte entre la CEDEAO et les putschistes mais on n’en reste cependant à des menaces verbales. La question d’une intervention militaire de la CEDEAO est clairement évoquée. Une réunion des chefs d’état-major des armées de la CEDEAO a été reportée témoignant du fait sans doute qu’on hésite encore entre l’action militaire et l’action diplomatique Reste cependant les conditions d’une telle intervention qui paraissent particulièrement délicatse et pourraient nourrir radicalité et nationalisme de la part de la population surtout à Niamey.

Le problème évidemment c’est que ce putsch au Niger porte un rude coup à l’économie de la sou région car l’instabilité ainsi créée ne va pas encourager les investisseurs à intervenir dans ces régions. Et c’est évidemment aussi une gifle à la CEDEAO tant sur le plan économique que politique. Enfin ce putsch porte les germes après celui du Mali et du Burkina Faso d’une contagion possible à d’autres pays et d’une déstabilisation encore plus large cette partie de l’Afrique.

Le président ivoirien Alassane Ouattara, de retour d’un sommet à Abuja a affirmé selon l’AFP que les chefs d’État ouest-africains avaient donné leur feu vert pour qu’une opération «démarre dans les plus brefs délais» afin de rétablir l’ordre constitutionnel au Niger.

Alassane Ouattara a indiqué que la Côte d’Ivoire fournirait «un bataillon» de 850 à 1100 hommes, aux côtés du Nigeria et du Bénin notamment, et que «d’autres pays» les rejoindront. «Les putschistes peuvent décider de partir dès demain matin et il n’y aura pas d’intervention militaire, tout dépend d’eux», a-t-il martelé, ajoutant: «Nous sommes déterminés à réinstaller le président Bazoum dans ses fonctions».

La France a apporté jeudi soir «son plein soutien à l’ensemble des conclusions» adoptées lors du sommet. En outre, Paris «réitère sa ferme condamnation de la tentative de putsch en cours au Niger, ainsi que de la séquestration du Président Bazoum et de sa famille», a ajouté le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. Washington a également soutenu les mesures de la Cédéao, a indiqué le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken.

Niger–CEDEAO : pour l’instant des menaces verbales

Niger–CEDEAO : pour l’instant des menaces verbales

Pour l’instant le ton monte entre la CEDEAO et les putschistes mais on n’en reste cependant à des menaces verbales. La question d’une intervention militaire de la CEDEAO est clairement évoquée. Restent cependant les conditions d’une telle intervention qui parassent particulièrement délicate et pourrait nourrir radicalité et nationalisme de la part de la population surtout à Niamey.

Le problème évidemment c’est que ce putsch au Niger porte un rude coup à l’économie de la sou région car l’instabilité ainsi créée ne va pas encourager les investisseurs à intervenir dans ces régions. Et c’est évidemment aussi une gifle à la CEDEAO tant sur le plan économique que politique. Enfin ce putsch porte les germes après celui du Mali et du Burkina Faso d’une contagion possible à d’autres pays et d’une déstabilisation encore plus large cette partie de l’Afrique.

Le président ivoirien Alassane Ouattara, de retour d’un sommet à Abuja a affirmé selon l’AFP que les chefs d’État ouest-africains avaient donné leur feu vert pour qu’une opération «démarre dans les plus brefs délais» afin de rétablir l’ordre constitutionnel au Niger.

Alassane Ouattara a indiqué que la Côte d’Ivoire fournirait «un bataillon» de 850 à 1100 hommes, aux côtés du Nigeria et du Bénin notamment, et que «d’autres pays» les rejoindront. «Les putschistes peuvent décider de partir dès demain matin et il n’y aura pas d’intervention militaire, tout dépend d’eux», a-t-il martelé, ajoutant: «Nous sommes déterminés à réinstaller le président Bazoum dans ses fonctions».

La France a apporté jeudi soir «son plein soutien à l’ensemble des conclusions» adoptées lors du sommet. En outre, Paris «réitère sa ferme condamnation de la tentative de putsch en cours au Niger, ainsi que de la séquestration du Président Bazoum et de sa famille», a ajouté le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué. Washington a également soutenu les mesures de la Cédéao, a indiqué le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken.

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