Archive pour le Tag 'Mélenchon'

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LFI: Un stalinien pour remplacer Mélenchon

LFI: Un stalinien pour remplacer Mélenchon !

Le député LFI des Bouches-du-Rhône Manuel Bompard officiellement nommé à la tête du mouvement lors du rassemblement des cadres et des militants à Paris

Depuis le retrait, en septembre dernier, du député Adrien Quatennens, accusé de violences conjugales, Manuel Bompard assurait à sa place la coordination opérationnelle du mouvement.

À noter que LFI se passera d’élections pour désigner les principaux responsables se fent simplement à leur haut niveau de compétences. Ce qui par parenthèse permettra d’écarter notamment François Ruffin.

Concernant les fonctions de François Ruffin dans le mouvement, le député de la Somme, peu investi par le passé dans les instances, ne sera pas inclus dans la direction opérationnelle, mais il sera intégré dans une nouvelle instance, appelée le « conseil politique », qui sera dédiée à la « discussion stratégique ».

Ce mouvement va de plus « changer de nature », selon l’ancien directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon. Cette restructuration passera ainsi par la constitution de boucles départementales censées favoriser la communication entre les groupes d’action locaux. Une école des cadres sera aussi créée et prise en charge par l’Institut La Boétie, lancé en juillet 2020. La fondation insoumise, dont Jean-Luc Mélenchon prendra la direction .

Le principal problème rencontré LFI c’est qu’en fait il est pratiquement impossible de remplacer Mélenchon tellement il incarne le mouvement et le réduit même trop souvent à sa propre personne. Et le successeur aura bien du mal à faire preuve d’autant de charisme. Le risque étant que LFI se transforme tout simplement en classique organisation politique d’extrême gauche et se condamne un mouvement d’opposition minoritaire voire anecdotique.

À noter aussi que le nouveau « secrétaire national » a fait toute sa carrière professionnelle dans la politique. Bref un véritable apparatchik à la mode stalinienne.

M élenchon n’est pas mort mais ses héritiers se disputent déjà l’héritage

Mélenchon n’est pas mort mais ses héritiers se disputent déjà l’héritage

Il est possible que le retour de Mélenchon s’impose rapidement à la tête du mouvement LFI. Un parti qui pourrait éclater tellement les héritiers se partagent déjà les dépouilles d’un Mélenchon qui n’est pourtant pas encore mort.

Le problème de ce parti qui représente un courant non négligeable désormais en politique, c’est qu’il est surtout incarné par Mélenchon et que les lieutenants ne sont pas à la hauteur. Aussi Bompard successeur de Mélenchon, lui, a fait le ménage en écartant tous les héritiers potentiels. Il utilise en cela la bonne vieille méthode communiste.

Le problème c’est que la plupart des dauphins ne sont vraiment pas du calibre de Mélenchon ni sur le plan politique, ni sur le plan intellectuel et encore moins sur le plan du charisme. Clémentine Autain ( transfuge du PC) par exemple qui depuis des mois tente de se placer en prenant du champ avec Mélenchon. Éric Coquerel aussi. Ou encore François Ruffin au profil davantage syndicaliste que politique.

Ce week-end, lors d’une Assemblée représentative du mouvement Insoumis – composée de 160 personnes dont cent militants « tirés au sort »au sein des groupes d’action, l’unité de base – une nouvelle direction – la «coordination des espaces» – a été présentée.Les principaux responsables n’ont pas été réellement élus mais choisis « en fonction de leurs compétences » On y trouve des ténors dont Mathilde Panot, chef de file des députés insoumis ou Manon Aubry, coprésidente du Groupe de la gauche au Parlement européen.

Manuel Bompard pour remplacer Mélenchon

LFI: Manuel Bompard pour « remplacer » Mélenchon ?

Le député LFI des Bouches-du-Rhône Manuel Bompard officiellement nommé à la tête du mouvement lors du rassemblement des cadres et des militants à Paris

Depuis le retrait, en septembre dernier, du député Adrien Quatennens, accusé de violences conjugales, Manuel Bompard assurait à sa place la coordination opérationnelle du mouvement.

À noter que LFI se passera d’élections pour désigner les principaux responsables se fent simplement à leur haut niveau de compétences. Ce qui par parenthèse permettra d’écarter notamment François Ruffin.

Concernant les fonctions de François Ruffin dans le mouvement, le député de la Somme, peu investi par le passé dans les instances, ne sera pas inclus dans la direction opérationnelle, mais il sera intégré dans une nouvelle instance, appelée le « conseil politique », qui sera dédiée à la « discussion stratégique ».

Ce mouvement va de plus « changer de nature », selon l’ancien directeur de campagne de Jean-Luc Mélenchon. Cette restructuration passera ainsi par la constitution de boucles départementales censées favoriser la communication entre les groupes d’action locaux. Une école des cadres sera aussi créée et prise en charge par l’Institut La Boétie, lancé en juillet 2020. La fondation insoumise, dont Jean-Luc Mélenchon prendra la direction .

Le principal problème rencontré LFI c’est qu’en fait il est pratiquement impossible de remplacer Mélenchon tellement Il incarne le mouvement et le réduit même trop souvent à sa propre personne. Et le successeur aura bien du mal à faire preuve d’autant de charisme et de culture. Le risque étant que LFI se transforme tout simplement en classique organisation politique d’extrême gauche et se condamne un mouvement d’opposition minoritaire voire anecdotique.

À noter aussi que le nouveau « secrétaire national » a fait toute sa carrière professionnelle dans la politique.

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique- Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle lors du prochain congrès d’Europe écologie les Verts. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux. ( Notons qu’à l’intérieur même des « Insoumi »s une personnalité comme Clémentine Autain prend aussi du champ avec Mélenchon dans la perspective de 2027).

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la présidence de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . Par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleine de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée. Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

Pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Ainsi a-t-elle eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Manifestation CGT : un nouvel échec après celui de Mélenchon

Manifestation CGT : un nouvel échec après celui de Mélenchon

C’est à peine s’il est rendu compte de la journée de grève interprofessionnelle de la CGT dans les médias tellement la participation a été médiocre. Pas étonnant cette manifestation a été organisé dans la précipitation par la CGT sans concertation avec les autres syndicats. Du coup s’est surtout retrouvé les organisations ultra gauche globalement assez marginales.L’objectif de cette manifestation visait à souligner la nécessité d’augmentation du pouvoir d’achat. Un objectif largement partagé dans l’opinion compte tenu de la dérive de l’inflation. Il s’agissait aussi de soutenir la grève CGT dans le secteur du carburant. Or le moins qu’on puisse dire c’est que les Français sont très partagés sur cette grève très minoritaire dans les raffineries et les dépôts d’essence.

Selon un nouveau sondage « Opinion en direct » réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et diffusé ce mardi. 49% des Français désapprouvent ce mouvement contre 39% qui le soutiennent.

Concernant la grève dans les raffineries, 48% des Français se déclarent hostiles ou en opposition au mouvement des salariés de Total, une hausse de 8% en près d’une semaine. Cela s’explique en partie par l’accord trouvé entre la CFDT et la direction du groupe pétrolier.

71% des personnes interrogées estiment que « les salariés ont déjà obtenu une augmentation suffisante de la part de la direction de Total, [et qu'ils] devraient arrêter la mobilisation », contre 28%. Résultat, une nette majorité des Français est favorable à la réquisition des salariés en grève pour rétablir l’approvisionnement des stations essence (60%, +9%).

Les Français n’ont pas mieux apprécié la marche de Mélenchon contre la vie chère. Une action considérée comme entretenant la confusion entre la responsabilité politique et la responsabilité syndicale. En effet Mélenchon parlait clairement de la convergence des luttes sociales voir même du prélude à une situation révolutionnaire. Or la préoccupation des salariés est toute autre, elle concerne de manière prioritaire le pouvoir d’achat.

Quant à la manifestation d’hier la CGT a encore voulu se faire plus grosse que le bœuf. Et cette grève compte tenu de son échec constitue davantage une grève éteignoire qu’une plate-forme de lancement de grève générale.

Bref un nouveau fiasco des stratégies ultra gauche. Et n’en parlons pas des grèves reconductibles envisagées par Sud à la SNCF. Une entreprise déjà minée par une situation conflictuelle récurrente et une situation financière dramatique.

Manif vie chère de Mélenchon : Le fiasco

Manif vie chère de Mélenchon : Le fiasco ?


La recherche de la convergence des luttes annoncée par Mélenchon a abouti dimanche à un immense fiasco avec le refus des confédérations syndicales de s’y associer et une participation ridicule. Surtout quand l’objectif suprême visait à créer une atmosphère révolutionnaire. La marche contre la vie chère décidée par Mélenchon et ses alliés politiques risque de se retourner contre ses organisateurs. D’abord il y a une grande confusion entre responsabilité politique et syndicale. Les questions de pouvoir d’achat des salariés doivent d’abord être traitées dans les branches et entreprises et non dans la rue à l’initiative de partis politiques.

Cette marche a rassemblé tout ce que compte l’ultra gauche. (EELV, LFI, certains PS, les gauchistes révolutionnaires ) mais sans le parti communiste qui a raison refuse la confusion.

Toutes les confédérations syndicales ont d’ailleurs refusé de s’associer à cette marche.

Certes l’opinion publique soutient la revendication d’une revalorisation des revenus faces à une inflation galopante mais il n’est pas du tout certain qu’elle soutienne autant la démarche de l’ultra gauche qui a surtout un objectif politique, à savoir la contestation du pouvoir. Mélenchon a même souhaité donner un caractère révolutionnaire qui paraît assez dérisoire pour une manifestation qui n’a rassemblé que 30 000 personnes. Évidemment les organisateurs en comptent 5 fois plus.

En tout cas la mobilisation a été ridicule au regard d’une participation potentielle des ménages et des citoyens concernés.Sans parler des contradictions entre le slogan contre la vie chère et le slogan écologiste !

Le souvenir de cette manifestation sera d’ailleurs vite oublié après celle organisée par la CGT mardi ; une manifestation qui elle-même ne connaîtra pas un grand succès car organisée dans la précipitation et sans unité syndicale.

Manif vie chère ou marche politique ?

Manif vie chère : Le fiasco de Mélenchon ?


La recherche de la convergence des luttes annoncée par Mélenchon a abouti dimanche à un immense fiasco avec le refus des confédérations syndicales de s’y associer et une participation ridicule. Surtout quand l’objectif suprême visait à créer une atmosphère révolutionnaire.La marche contre la vie chère décidée par Mélenchon et ses alliés politiques risque de se retourner contre ses organisateurs. D’abord il y a une grande confusion entre responsabilité politique et syndicale. Les questions de pouvoir d’achat des salariés doivent d’abord être traitées dans les branches et entreprises et non dans la rue à l’initiative de partis politiques.

Cette marche a rassemblé tout ce que compte l’ultra gauche. (EELV, LFI, certains PS, les gauchistes révolutionnaires ) mais sans le parti communiste qui a raison refuse la confusion.

Toutes les confédérations syndicales ont d’ailleurs refusé de s’associer à cette marche.

Certes l’opinion publique soutient la revendication d’une revalorisation des revenus faces à une inflation galopante mais il n’est pas du tout certain qu’elle soutienne autant la démarche de l’ultra gauche qui a surtout un objectif politique, à savoir la contestation du pouvoir. Mélenchon a même souhaité donner un caractère révolutionnaire qui paraît assez dérisoire pour une manifestation qui n’a rassemblé que 30 000 personnes. Évidemment les organisateurs en comptent 5 fois plus.

En tout cas la mobilisation a été ridicule au regard d’une participation potentielle des ménages et des citoyens concernés.Sans parler des contradictions entre le slogan contre la vie chère et le slogan écologiste !

Le souvenir de cette manifestation sera d’ailleurs vite oublié après celle organisée par la CGT mardi ; une manifestation qui elle-même ne connaîtra pas un grand succès car organisée dans la précipitation et sans unité syndicale.

La révolution de Mélenchon reportée à une date ultérieure !

La révolution de Mélenchon reportée à une date ultérieure !

Mélenchon avait promis la foudre, la tempête et la révolution pour la rentrée. En fai, t on devra se contenter d’une manifestation relativement modeste le 16 octobre mais sans les syndicats qui refusent la récupération politique par la NUPES. Même le parti communiste s’interroge sur l’opportunité d’une telle démarche qui risque de faire apparaître davantage la faiblesse de la gauche et ses divisions.En outre,  cette initiative alimente une grande confusion entre la responsabilité syndicale et la responsabilité politique. De ce point de vue, cette décision de manifestation risque de faire apparaître la gauche comme une force d’opposition à finalité syndicale et non comme une force potentielle de gouvernement. Par ailleurs , cette marche risque aussi de jeter un trouble sur les initiative de manifestation des syndicats déjà considérés comme trop politisés pour beaucoup

Dans un appel commun diffusé vendredi à l’AFP, les partis de la gauche – à l’exception du Parti communiste – et plusieurs organisations associatives et syndicales ont appelé à une « marche contre la vie chère et l’inaction climatique ».

Jean-Luc Mélenchon avait appelé à une « initiative politique » telle que cette marche dès juillet.

La France insoumise, le Parti socialiste, EELV et d’autres organisations politiques et associatives ont appelé vendredi à une « grande marche contre la vie chère et l’inaction climatique » le 16 octobre à Paris. L’initiative, évoquée pour la première fois début juillet par Jean-Luc Mélenchon lors d’une conférence au siège du Parti ouvrier indépendant (POI) – également signataire de l’appel -, s’inscrit « dans la continuité des mobilisations engagées par les syndicats et associations, dont les journées nationales d’action des 22 et 29 septembre et la mobilisation climat du 23 septembre », ont précisé ces organisations dans un communiqué transmis à l’AFP.

Le Parti communiste, pourtant membre de la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes), est absent des signataires de cet appel à l’instar des syndicats, qui ont dit en début de semaine qu’ils ne feraient pas partie de l’appel, contrairement à au souhait de Jean-Luc Mélenchon de construire uun nouveau « front populaire ». Mais les choses peuvent encore évoluer. Une nouvelle réunion est prévue entre les différents partis, associations et syndicats le 4 octobre.

Non à « une politique antiécologique »

Les organisations marcheront donc « contre le pouvoir macroniste » qui « refuse d’augmenter les salaires, de geler les loyers ou de bloquer les prix face à la vie chère », écrivent ces organisations, parmi lesquelles Générations, le Nouveau parti anticapitaliste, Ensemble !, la Gauche démocratique et sociale (GDS), L’Alternative, La Voix lycéenne, Nouvelle Donne, le Parti ouvrier indépendant (POI) et Pour une Écologie Populaire et Sociale (PEPS).

Hausse des salaires, blocage des prix de l’énergie et des produits de première nécessité, taxe immédiate sur les super-profits ou encore retraite à 60 ans feront partie des revendications du cortège,  qui s’élancera de Paris le 16 octobre, précédé par des « initiatives symboliques le samedi 15 octobre », indiquent ces organisations.

 

 

Mélenchon : Son rêve permanent de révolution !

 Mélenchon : Son rêve permanent de révolution !

 

Pour les membres de la Nupes, rompre avec Jean-Luc Mélenchon c’est prendre le risque de devenir la brebis galeuse de la gauche, poursuivre derrière lui c’est jouer en faveur d’une rupture politique dont il ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde.

 

Il est clair que le rêve de Mélenchon se nourrit de la révolution française tout autant que des régimes révolutionnaires à caractères dictatoriaux notamment d’Amérique du Sud. Cependant,  cette posture ne peut incarner toute les aspirations d’une gauche aux fondements idéologique très disparates. Du coup, Mélenchon cultive une personnalisation très poussée , souvent brillante mais caricaturale, qui condamne son camp à l’opposition NDLR

Chronique

Gare à celui qui osera rompre ! Dans les rangs de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), quelle que soit la couleur du parti membre – rose, verte ou rouge – le même constat domine : en renouant avec l’unité, la gauche a retrouvé sa fierté. Cela se lit dans le regard des militants, dans le récit de la campagne des législatives de juin, qui était de nouveau joyeuse et pleine d’espoir.

Si Jean-Luc Mélenchon peut se targuer d’une victoire au cours de sa longue vie politique, c’est bien d’avoir retourné le moral d’un camp qui se trouvait entraîné dans la spirale dépressive de ses divisions. Au prix d’une rupture avec le front républicain, d’abord lors de la présidentielle d’avril, puis lors des législatives, le leader des « insoumis » a redonné du jeu à la gauche en installant la tripartition du paysage politique. Il l’a fait en usant de toutes les cartes qu’offre la Ve République à qui sait s’en servir, notamment une extrême personnalisation du combat derrière sa propre personne qui s’est elle-même prise au jeu.

Au terme de sa troisième bataille présidentielle, l’« insoumis » a vraiment cru pouvoir se faire élire président de la République puis il a cru pouvoir s’imposer comme premier ministre de cohabitation en remportant le scrutin législatif. Rien de tout cela n’est advenu mais l’illusion a quand même produit quelque chose : il n’y a plus seulement Macron face à Le Pen mais Macron face à Le Pen et à Mélenchon.

Le prix à payer pour les composantes de la gauche qui ont un minimum de culture gouvernementale est cependant lourd : si l’ancien député a réussi l’union, il l’a faite à ses conditions. Ceux qui seraient tentés de rompre seront des traîtres, ceux qui resteront seront comptables de l’aventure dans laquelle il les entraîne.

Taïwan : Mélenchon félicité officiellement par la dictature chinoise !

Taïwan : Mélenchon félicité officiellement par la dictature chinoise  !

 

Une nouvelle fois Jean-Luc Mélenchon s’est rangé du côté des dictateurs avec l’affaire de Taiwan puisqu’il a soutenu la position de la Chine. Cette posture de soutien aux dictatures est constante chez Mélenchon, elle vaut pour la Chine mais aussi pour Poutine , les dictatures et autres autocraties d’Amérique du Sud.

Une position qui a quand même du mal à être avalée par les autres sensibilités de la NUPES notamment les écologistes et les socialistes

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, s’est rapidement démarqué de ses alliés au sein de la Nupes. Tout en critiquant l’initiative de Nancy Pelosi, qu’il a qualifiée de « discutable » sur Twitter, il a relevé que « la volonté des Taïwanais de vivre en démocratie ne l’est pas ».

La critique a été plus vive encore du côté de Julien Bayou : « Mélenchon parlait de “provocation” quand l’Ukraine démocrate se défendait au Donbass face à la Russie autoritaire. Et parle de “provocation” de Taïwan quand… ce pays agit librement face à la Chine. Un pays démocrate, c’est forcément une “provocation” pour une dictature », a considéré, lui aussi sur Twitter, le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

Dans la foulée, le parti a dénoncé les manœuvres militaires de la Chine à Taïwan. « EELV condamne l’intimidation militaire de la Chine et appelle à la désescalade. Nous apportons notre soutien au peuple taïwanais, à la démocratie taïwanaise », est-il écrit dans un communiqué.

  Yannick Jadot, l’ancien candidat du parti à l’Elysée, a ajouté sa voix au concert des critiques écologistes, en assurant sur Twitter, sans citer son ancien rival, que « le nationalisme chinois est un outil de propagande pour justifier la barbarie ». A ses yeux, « une seule Chine », c’est d’abord « une seule dictature ».

 

Chine: » Le cynisme de Mélenchon » (JULIEN BAYOU, EELV)

Chine: » Le cynisme de Mélenchon »  (JULIEN BAYOU, EELV)

 

 

 

Le secrétaire national d’Europe écologie-les Verts JULIEN BAYOU découvre sans doute avec un peu de retard le cynisme de Mélenchon qui pourtant s’est toujours rangé du côté des régimes de dictature et autres autocraties, du côté de la Russie bien sûr, mais de la plupart des régimes autoritaires et confirme avec la Chine. Mélenchon a en effet considéré que la visite de la représentante des États-Unis à Taïwan constituait une sorte de provocation. Finalement un langage assez proche de ceux qui parlent « d’humiliation de Poutine » pour justifier la guerre en Ukraine

Julien Bayou, député au sein de cette coalition de gauche et secrétaire national d’Europe écologie-les Verts, a réagi sur BFMTV aux propos de Jean-Luc Mélenchon concernant la visite américaine à Taïwan.

« Ce n’est pas possible, sous prétexte de je ne sais quelle soi-disant ‘provocation’, de considérer que l’intimidation de la Chine à l’égard de Taïwan est acceptable », a affirmé Julien Bayou.

Le chef de la France Insoumise avait qualifié de provocation la venue sur l’île de Nancy Pelosi, présidente de la chambre des représentants des États-Unis.

« Il faut soutenir les peuples quand ils luttent pour leur droit »

« On ne peut pas être démocrate à géométrie variable et considérer que, parce que telle ou telle action froisserait un régime autoritaire comme la Chine, on devrait abandonner Taïwan », poursuit Julien Bayou. Il a aussi qualifié la vision diplomatique de Jean-Luc Mélenchon de « datée ».

« [Je vois] un vrai cynisme: tout ce qui est opposé aux États-Unis est bien. Je trouve que ça relève d’un comportement non-aligné. Mais c’est en 1955 en fait la conférence de Bandung sur le non-alignement, en pleine Guerre froide. On en est très loin je crois », critique-t-il encore.

Le secrétaire national d’EELV dénonce encore la « rhétorique des provocations », qui, selon lui, ont aussi joué un rôle dans le conflit en Ukraine. « Il faut soutenir les peuples quand ils luttent pour leur droit, où que ce soit dans le monde, et quand bien même ça fâche des régimes autoritaires », conclut-il.

 

Taïwan : Mélenchon remercié officiellement par la dictature chinoise !

Taïwan : Mélenchon remercié officiellement par la dictature chinoise  !

 

Une nouvelle fois Jean-Luc Mélenchon s’est rangé du côté des dictateurs avec l’affaire de Taiwan puisqu’il a soutenu la position de la Chine. Cette posture de soutien aux dictatures est constante chez Mélenchon, elle vaut pour la Chine mais aussi pour Poutine , les dictatures et autres autocraties d’Amérique du Sud.

Une position qui a quand même du mal à être avalée par les autres sensibilités de la NUPES notamment les écologistes et les socialistes

Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, s’est rapidement démarqué de ses alliés au sein de la Nupes. Tout en critiquant l’initiative de Nancy Pelosi, qu’il a qualifiée de « discutable » sur Twitter, il a relevé que « la volonté des Taïwanais de vivre en démocratie ne l’est pas ».

La critique a été plus vive encore du côté de Julien Bayou : « Mélenchon parlait de “provocation” quand l’Ukraine démocrate se défendait au Donbass face à la Russie autoritaire. Et parle de “provocation” de Taïwan quand… ce pays agit librement face à la Chine. Un pays démocrate, c’est forcément une “provocation” pour une dictature », a considéré, lui aussi sur Twitter, le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV).

Dans la foulée, le parti a dénoncé les manœuvres militaires de la Chine à Taïwan. « EELV condamne l’intimidation militaire de la Chine et appelle à la désescalade. Nous apportons notre soutien au peuple taïwanais, à la démocratie taïwanaise », est-il écrit dans un communiqué.

  Yannick Jadot, l’ancien candidat du parti à l’Elysée, a ajouté sa voix au concert des critiques écologistes, en assurant sur Twitter, sans citer son ancien rival, que « le nationalisme chinois est un outil de propagande pour justifier la barbarie ». A ses yeux, « une seule Chine », c’est d’abord « une seule dictature ».

 

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