Archive pour le Tag 'Mélenchon'

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Mélenchon : « Le gouvernement va dans le mur » (interview BFM)

Mélenchon : « Le gouvernement va dans le mur » (interview BFM)

Jean-Luc Mélenchon  interrogé sur les retaites  : « Les Allemands discutent de passer à la retraite à 70 an, ça suffit ! »

Sur la taxe à 75% : François Hollande a annoncé que cette taxe toucherait finalement les entreprises où les salaires dépassent le million d’euros, dont les clubs de football.  

Jean-Luc Mélenchon : Passer d’une tranche de 45% à 75% c’est stupide. Un impôt n’est pas destiné à punir mais à partager. Ca devrait être un niveau dans l’impôt sur le revenu, pas une taxe sur les entreprises ».

 A propos de l’accord sur la réforme du travail, qui arrive ce mardi à l’Assemblée et qui prévoit plus de flexibilité pour les entreprises contre davantage de protection pour les salariés. Ce texte transpose l’accord national qu’avait conclu le patronat (Medef, CGPME, UPA) et trois syndicats (CFDT, CFTC et CFE-CGC) le 11 janvier dernier. L’accord porte sur davantage de flexibilité pour les employeurs contre de nouveaux droits pour les salariés.

 Jean-Luc Mélenchon : « Cessez de nous prendre pour des gamins : on nous l’a déjà fait l’accord de compétitivité. Pendant deux ans on garantit l’emploi, et après ? On dit juste qu’il faut se serrer la ceinture pendant deux ans ».

  Jean-Luc Mélenchon : Nous allons déposer 4500 amendements sur ce texte. »Jean-Luc Mélenchon :« Ce n’est pas le travail qui pose problème. Le problème c’est que les carnets de commande ne sont pas remplis. Il faut donc avoir une politique de développement de l’activité. Or le gouvernement veut réduire les coûts du travail, ce qui amène de plus en plus de chômage, ce qui déséquilibre tous les comptes sociaux. Cette politique va dans le mur. »

 Jean-Luc Mélenchon : « C’est très choquant. Quand vous avez d’un côté le Medef, de l’autre, certains syndicats qui discutent, vous avez deux parties. Une troisième partie est impliquée mais absente de la discussion : c’est la société tout entière, qui paye pourtant pour le chômage». -Jean-Luc Mélenchon : « Nous allons déposer 4500 amendements parce que c’est un texte très technique. Nous allons essayer de le désarticuler ce texte parce qu’il est globalement mauvais. Il nuit à l’économie. Il va être une méthode de plus pour mettre le pistolet sur la temps des travailleurs. Ca va être une fragilisation des rapports sociaux dans l’entreprise. Or il faut penser au collectif de travail, pas seulement aux patrons et aux actionnaires ».

 

 

Mélenchon tape sur le PS

Mélenchon tape sur le PS

 

Le Figaro rapporte que Mélenchon, comme à son habitude, est allé loin dans la charge. Trop loin peut-être puisque cette fois-ci, les socialistes l’ont accusé d’antisémitisme. Samedi, en marge du congrès, l’eurodéputé a considéré que le ministre de l’Économie Pierre Moscovici, un «petit intelligent qui a fait l’ENA», ne «pense pas français mais pense finance internationale». Le matin même, son bras droit François Delapierre, secrétaire national du PG, avait dénoncé au cours d’une intervention publique «les 17 salopards de l’Europe» faisant référence à l’attitude des 17 gouvernements de la zone euro à l’égard de Chypre. «Dans ces 17 salopards, il y a un Français, il a un nom, il a une adresse, il s’appelle Pierre Moscovici et il est membre du Parti socialiste», avait-il ajouté, applaudi par les 800 délégués présents.  Suite aux propos de Jean-Luc Mélenchon, le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, avait dénoncé ces propos: «Cette attaque sur l’identité française de Pierre Moscovici donne le haut-le-cœur. Elle signe une dérive dangereuse qui doit cesser dans l’injure et la mise en cause personnelle. Elle franchit les limites de l’acceptable et ne peut être tolérée par aucun républicain.» Mélenchon semble ahuri par ce procès en antisémitisme. «Ils ne savent plus jusqu’où aller pour me diaboliser… J’ignorais complètement que Moscovici est juif, et je vais vous dire, je m’en fous complètement…» Dimanche matin, Mélenchon hésitait encore sur la stratégie à employer face aux socialistes, ses anciens camarades, alors qu’entre eux, le point de non-retour semble être atteint. «Si je réponds à Désir, je lui offre un vis-à-vis dont il a besoin pour exister alors qu’il est en très mauvaise posture dans son propre parti…» «Je suis leur mauvaise conscience absolue», observe-t-il, presque fier d’incarner le mal pour les socialistes dont il vomit la tiédeur et, surtout, le libéralisme économique. Mélenchon et ses proches du PG sont convaincus que «le conflit crée la conscience» et que c’est «en secouant les esprits que les gens réfléchissent». Une méthode que n’approuvent pas forcément leurs alliés du Parti communiste au sein du Front de gauche, même s’ils partagent le même objectif. Énoncé à la manière de Jean-Luc Mélenchon, c’est «flanquer le système par terre». À la façon de Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, c’est «proposer des solutions» et installer «une autre majorité à gauche». Chargé des relations avec les autres partis de gauche au sein du PCF, Francis Parny juge que l’accusation d’antisémitisme est «une polémique inappropriée car ce n’est pas la question qui a été posée dans les propos de Jean-Luc Mélenchon». Mais lui et d’autres dirigeants communistes présents au congrès, dont Pierre Laurent, ont été gênés, sans le dire publiquement, par la volonté exprimée par le PG de créer des «listes» de personnalités à faire tomber, que ce soit des chefs d’entreprise ou des maires… «Dresser des listes, c’est du populisme. Et les dérapages sont plus fréquents lorsque l’on prétend, comme le PG, vouloir concurrencer le FN sur son propre terrain, ce dont nous nous gardons», commentait dimanche un membre de la direction du PCF. Dimanche, l’entourage de Jean-Luc Mélenchon était sans regret. «Les antisémites, ce sont ceux qui pensent juif lorsque l’on parle finance internationale», affirme Alexis Corbière, secrétaire national du PG et conseiller de Paris. Et il cite une note, à l’époque signée par Éric Besson et validée par le PS dans la perspective de présidentielle de 2007, dans laquelle le futur ministre d’ouverture tenait des propos d’une même nature ambiguë sur Nicolas Sarkozy…

 

Mélenchon : limiter les très hauts salaires

Mélenchon : limiter les très hauts salaires

La Suisse va sans doute faire tache d’huile en cette période d’austérité, la demande de limitation des salaires des patrons risque de monter en puissance. Il y a en effet une impudeur scandaleuse de la part des patrons qui gagnent 1 million et plus par mois quand ils demandent en même temps des efforts à des salariés qui touchent le SMIC ou à peine plus. »En votant pour limiter les rémunérations des patrons, les Suisses ont donné un signal fort du refus populaire qui court dans tous les pays d’Europe: halte aux rémunérations abusives », écrit dans un communiqué Martine Billard, co-présidente, avec Jean-Luc Mélenchon, du PG. « En votant pour la suppression des parachutes dorés, ils ont aussi dit que le discours sur la soi-disant prise de risque des patrons ne pouvait se conjuguer avec des primes anti risques », a ajouté l’ex-députée.   »Il serait temps que ce type de dispositions s’appliquent partout en Europe à commencer par la France », « ces privilèges doivent être supprimés ». Le Parti de Gauche « salue cette avancée votée par le peuple suisse. Il rappelle, qu’avec Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de Gauche à l’élection présidentielle, il a défendu une revendication similaire proposant que la rémunération maximum dans une entreprise ne dépasse pas 20 fois la rémunération minimum ». Les Suisses ont plébiscité dimanche l’initiative limitant les « rémunérations abusives » des patrons des sociétés suisses cotées en Suisse ou à l’étranger et prévoyant d’interdire leurs indemnités de départ surnommées « parachutes dorés ».

 

chansons-poèmes de  g.bessay:

Mali : Mélenchon déraille

Mali : Mélenchon déraille

A force de vouloir jouer à l’opposant Mélenchon a déraillé. Sur nombre de question, ses analyses alimentent parfois utilement le débat même si on peut douter de la crédibilité de ses propositions. Cette fois, il déraille complètement sur le Mali en demandant un débat préalable au parlement. Pourquoi aussi envoyer un message officiel aux islamiste pour les prévenir de la riposte française afin qu’ils  puissent s’adapter à temps !  Les guerres ne se décident pas sur la voie publique. Il y avait sans des interrogations que Mélenchon a négligées par facilité ou ignorance. Comme la durée de l’opération et ses chances de réussite vis-à-vis de la réunification du Mali ou encore les risques d’attentats en France. (Jusque là toutes guerres de ce type ont été perdues). Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de Gauche, a donc jugé vendredi « discutable » l’engagement de l’armée française au Mali et « condamnable » le fait que la décision ait été prise « sans en saisir préalablement ni le gouvernement ni le Parlement ».   »L’intérêt d’une intervention militaire extérieure pour régler le problème posé au nord du Mali est discutable. En décider alors que les intérêts fondamentaux de la France ne sont pas en cause, selon le chef de l’Etat lui-même, et alors que les troupes africaines sont engagées, est discutable », écrit M. Mélenchon dans un communiqué.   »En décider seul, sans en saisir préalablement ni le gouvernement ni le Parlement, est condamnable », a-t-il ajouté. Remarque : n’intervenir que lorsque les intérêts fondamentaux sont en jeu relève d’une conception assez post colonialiste de la solidarité infranationale ; par ailleurs  quand on connait la réalité des forces africaines, on peut douter de la capacité d’évaluation des forces en présence de la part de Mélenchon.   François Hollande a confirmé vendredi l’engagement des forces armées françaises au Mali pour repousser les groupes armés islamistes en soutien aux troupes maliennes. Dans une déclaration à l’Elysée, le chef de l’Etat a affirmé que cette opération de lutte contre des « terroristes » durerait « le temps nécessaire », ajoutant que le Parlement serait « saisi dès lundi » sur ce dossier.

Mélenchon à Hollande : « tes vœux , c’est ton maximum d’action »

Mélenchon à Hollande : « tes vœux , c’est ton maximum d’action »

 

« Dis leur bonne année, François, à nos camarades, c’est ton maximum pour eux ! » peut-on lire sur le blog de Jean-luc Mélenchon. Des « anti-voeux » comme il titre ce billet d’humeur dans lequel il ne cesse de critiquer le chef de l’Etat à qui il reproche sa passivité face à la crise économique.Ecouter Les « anti-voeux » de Jean-Luc Mélenchon à François Hollande « Les voeux, c’est ton maximum d’action possible » écrit Mélenchon. « Bonne année, les Sodimédical, ces femmes sans salaires, gagnantes de trente procédures à qui tu avais dit ‘on ne vous oublie pas !’ quand elles t’ont abordé sur le marché de Châlons. Leur boîte est liquidée (…) Dis aussi ‘meilleurs voeux pour l’année nouvelle’ aux ouvriers de Florange, à ceux de Sanofi, à ceux de Thalès », poursuit l’ex-candidat à la présidentielle.   »Les voeux, c’est ton maximum d’action possible », assène Jean-Luc Mélenchon. « Vas-y François, les voeux c’est ton excellence ! Voici des idées : ‘Qu’ils mangent de la brioche !’ ».  « Qu’ils aillent à Rungis ‘pour savoir que le pays est gouverné’ comme tu l’as proclamé à la face des caissons, des cageots et des carcasses qui semblaient en douter en te voyant faire l’important à quatre heures du matin dans un marché où ton cortège ralentissait le travail », écrit-il.  « Bref, une semaine après la fin du monde, François Hollande va nous annoncer que l’année prochaine sera pire (…) Moins pire que pire se sera pire de toute façon. A vingt heures les masochistes seront à la fête ! », conclut M. Mélenchon.   Des propos durs à l’encontre de François Hollande. Pour Eric Coquerel, secrétaire national du Parti de gauche, « la dureté c’est la politique qui est menée ».

 

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