Archive pour le Tag 'Mélenchon'

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Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Mélenchon veut des présidentielles tout de suite

Mélenchon veut des présidentielles tout de suite

 

Mélenchon en rajoute sur la chienlit provoquée par Macron avec la dissolution de l’Assemblée nationale. Mélenchon veut le départ du chef de l’État en cas d’assemblée nationale à majorité introuvable. Comme ce sera vraisemblablement le cas. Le problème, c’est que l’organisation précipitée de présidentielles en rajoute une couche sur le désordre politique mais aussi économique qui va s’installer pendant des mois en France. En effet on ne peut pas bâcler une campagne présidentielle. Il faut au moins six mois pour l’organiser et permettre à la démocratie de jouer tout son rôle dans la sérénité. Or aujourd’hui il n’y a aucun courant qui remporte la majorité en France, aucun vrai leader qui s’impose, beaucoup de prétendants mais très peu d’hommes d’État. Ne parlons pas des programmes politiques qui ne sont que des catalogues de promesses qui seront vite oubliées une fois les élections législatives passées.

La France a un urgent besoin de redressement économique et de justice sociale, aussi d’autorité. Replonger immédiatement dans une campagne électorale serait favoriser un chaos encore plus grand.

Invité jeudi soir de TF1, l’ancien candidat à la présidentielle a affirmé que la France serait en effet «ingouvernable» si le chef de l’État restait à son poste.

Que se passerait-il si le pays, à l’issue des élections législatives dont le second tour se tiendra dimanche, était complètement ingouvernable ? Si aucune majorité, d’un côté comme de l’autre, ne se dégageait des urnes ? L’hypothèse, impensable il y a encore quelques semaines, pourrait bien se concrétiser, à la vue du sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio qui, malgré une courte avance pour RN, n’accorde la victoire absolue à aucun bloc.

 

Invité jeudi soir du «20 heures» de TF1, Jean-Luc Mélenchon a anticipé un scénario : avec une majorité introuvable, «la solution pour sortir de l’impasse, c’est qu’(Emmanuel Macron) s’en aille.» «C’est d’ailleurs assez normal, c’est lui qui est le responsable de la pagaille», a-t-il cinglé, en s’appuyant sur l’épisode du cartel des gauches, rassemblant radicaux et socialistes, qui avaient poussé à la démission en 1924 le président Alexandre Millerand  !

Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un éventuel débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins» : de l’humour pour Mélenchon !

«Un flic mort, c’est un vote pour le RN en moins». C’est à propos de ce slogan scandé lors de manifestations contre le Rassemblement national, que le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon a déclaré au journaliste du JT de M6 qui l’interrogeait : «C’est absurde… mais on a le droit de rigoler quand même»«Pas sur la mort des gens, bien sûr», a-t-il ensuite tenté de nuancer. Provoquant un véritable tollé sur les réseaux sociaux et dans le débat public.

Mélenchon un «obstacle» pour la gauche pour Ruffin

 Mélenchon  un «obstacle» pour la gauche pour Ruffin 

De même que Macro est considéré comme un boulet par la majorité elle-même, Mélenchon est également considéré comme un handicap pour la victoire de la gauche au sein même des Insoumis. Le député sortant François Ruffin, un des candidats au poste de premier ministre en cas de victoire de la gauche aux législatives, a estimé mardi que le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon était un «obstacle à la victoire du Front Populaire» .

«C’est pas un appui ici Jean-Luc Mélenchon, c’est plutôt quelque chose qui repousse les électeurs», a indiqué François Ruffin sur TF1 depuis sa circonscription, où il tente de se faire réélire malgré les très bons scores du Rassemblement national aux dernières élections européennes.

Au sein du Nouveau Front populaire, les socialistes, les communistes et les Ecologistes souhaitent une mise en retrait du fondateur de La France insoumise, jugé trop clivant par beaucoup, même à gauche. Le triple candidat à la présidentielle, fort de ses 22% en 2022, se contente pour l’instant de dire qu’il ne s’«élimine» pas mais ne s’«impose» pas non plus pour le poste de premier ministre, en cas de victoire de la gauche aux législatives anticipées, des élections pour lesquelles le RN est donné largement favori.

 

Mélenchon: Boulet de la gauche et avantages pour le RN

Mélenchon: Boulet de la gauche et avantage pour le RN

 

Il est clair que Mélenchon constitue un véritable boulet pour la gauche. En effet , l’intéressé est largement rejeté par l’opinion y compris de gauche; il est même contesté au sein de son parti. Le problème c’est qu’il persiste à vouloir exister en politique un peu comme Macron, lequel multiplie aussi les interventions contre-productives.

Le leader des insoumis avait d’abord déclaré qu’il était candidat éventuel à Matignon. Puis il s’est ravisé. Maintenant il affirme n’avoir aucune ambition mais finalement être disponible quand même pour tous. De quoi plomber la liste de l’union populaire déjà hypothéquée par de nombreuses contradictions.

De quoi s’interroger sur les intentions réelles de Mélenchon qui peut-être ne souhaite pas la victoire de l’union de la gauche et préfère une stratégie de lutte dans l’opposition en espérant une vaine révolution…. un jour enfin.

Les propos de l’ancien leader insoumis, qui a déclaré avoir « l’intention de gouverner », ont fait beaucoup réagir parmi les responsables de gauche, et l’hypothèse de Jean-Luc Mélenchon à Matignon est loin de faire l’unanimité.

 Alors que le nom de Jean-Luc Mélenchon pour une potentielle nomination à Matignon en cas de victoire de la gauche aux élections législatives divise, le fondateur de La France insoumise affirme ne pas « être concerné par cette bataille ».  »Je ne suis candidat à rien », martèle-t-il sur France 2 ce lundi 24 juin.

Jean-Luc Mélenchon répond notamment à la vague de critiques soulevée par ses propos tenus samedi, où il affirmait avoir « l’intention de gouverner », assurant que cette phrase a été prononcée « dans le flot de la discussion ».

  »Je ne fais pas une carrière, tout cela est derrière moi », ajoute-t-il, soutenant toutefois à nouveau « ne pas s’imposer » mais ne pas « s’éliminer » non plus.

L’ancien candidat à la présidentielle mentionne ensuite plusieurs noms au sein de son parti capables, selon lui, d’être nommés à Matignon: Manuel Bompard, Mathilde Panot, Clémence Guetté, Éric Coquerel ou encore Younous Omarjee. « Je peux parfaitement être un ministre parmi d’autres ou ne pas être ministre du tout », complète-t-il. De quoi jeter encore un peu plus le trouble !

Le radicalisme de Mélenchon constitue évidemment un avantage pour le RN car le leader des insoumis joue le rôle d’épouvantail.

 

Les Purges de Mélenchon par un bureau politique fantôme

Les Purges de Mélenchon par un bureau politique fantôme

D’apparence, la situation semblait favorable au sein du Nouveau Front populaire pour lancer une dynamique d’ampleur pour les législatives de 2024. Sous l’égide de l’union et de l’opposition au Rassemblement national, les différentes formations politiques de gauche ont formé une coalition, élaboré un programme commun, et se sont mis d’accord sur la stratégie d’un candidat unique par circonscription.Mais dans la soirée du vendredi 14 juin est annoncé que cinq des députés insoumis, compagnon de route de Jean-Luc Mélenchon : Alexis Corbière (Seine-Saint-Denis), Raquel Garrido (Seine-Saint-Denis), Danielle Simonnet (Paris), Frédéric Mathieu (Ille-et-Vilaine) et Hendrik Davi (Bouches-du-Rhône), ne seront pas réinvestis sous l’étiquette LFI pour les législatives. Certaines voix s’élèvent et évoquent une « purge » des députés ayant ouvertement critiqué le fonctionnement interne du mouvement, ainsi que certaines prises de position de son leader-fondateur.

 

par  ,Doctorant en science politique, Université de Lille dans the Conversation

 

Cette décision a stupéfait les différentes formations politiques qui composent le Nouveau Front populaire, ainsi que dans les rangs des insoumis, la qualifiant d’« irresponsable et dangereux ». Cette incompréhension est d’autant plus forte en raison de la courte période d’organisation des législatives et de la montée en puissance du Rassemblement national aux élections européennes de 2024. La stratégie attendue aurait été de reconduire les députés sortants, capitalisant ainsi sur leur capital autochtonie et médiatique, évitant ainsi de remobiliser des militants et des moyens financier qui auraient pu être utilisés dans d’autres circonscriptions.

Cette situation est d’autant plus absconse que le député sortant de la 1ère circonscription de Lille, Adrien Quatennens, s’était vu réinvesti alors même qu’il était largement contesté au sein des formations politiques de gauche, après avoir été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour des violences conjugales sur son ex-compagne.

Finalement, il annonce renoncer à se présenter, laissant sa place à Aurélien Le Cocq, co-animateur des jeunes Insoumis et candidat en dixième position aux élections européennes.

Aujourd’hui, Jean-Luc Mélenchon paraît toujours un peu plus – aux yeux de ses dissidents, avec Clémentine Autain et François Ruffin en tête, et plus largement au sein de la gauche – comme un « agent perturbateur », dont les décisions relèvent davantage du personnel que du collectif. Cela soulève des interrogations quant à la capacité de Jean-Luc Mélenchon à continuer d’incarner une figure de stabilité et de présidentialité pour son mouvement.

Malgré son retrait annoncé, Jean-Luc Mélenchon garde une influence centrale sur la direction, la ligne politique de LFI et plus récemment les investitures. Cela est devenu évident lors de la nomination à l’unanimité de Manuel Bompard, un fidèle de l’ancien candidat, à la tête de la coordination du mouvement.

Les 21 membres de la « Coordination des Espaces » impliqués dans cette décision comprennent des proches du leader tels que Sophia Chikirou, Gabriel Amard, Mathilde Panot, Louis Boyard, Danièle Obono, Clémence Guetté et Manon Aubry, tous membres de sa garde rapprochée. En revanche, certains, tels qu’Alexis Corbière, Clémentine Autain, François Ruffin et Eric Coquerel, affirment ne pas avoir été consultés et se retrouvent écartés des instances opérationnelles.

Cette désignation est perçue par certains membres en interne comme « une purge », un acte de « verrouillage » ou encore une forme d’« autodésignation ». Cette nomination est révélatrice de l’influence persistante de Jean-Luc Mélenchon sur la direction du parti.

En parallèle, en assumant la co-présidence avec Clémence Guetté de l’Institut La Boétie, il conserve une position stratégique au sein du mouvement. Cet institut est conçu comme un laboratoire d’idée pour le parti et de formation des futurs cadres, axant ses programmes sur les thématiques chères à l’ancien candidat, lui permettant de continuer à exercer une emprise idéologique et de façonner les futurs leaders du parti selon ses principes et sa vision politique.

Malgré les critiques et les dissidences, Jean-Luc Mélenchon reste le centre de gravité du mouvement, renforcé par une garde rapprochée qui fonctionne comme une société de cour. Ce cercle d’intimes, composé de proches et de fidèles, joue un rôle clef dans la direction et les stratégies du parti, écartant critiques et dissidents.

Raquel Garrido sera la première à en subir les conséquences, suspendue de son rôle de porte-parole à l’Assemblée nationale pour une durée de quatre mois par le « bureau politique », un organe qui ne figure dans aucun organigramme du mouvement. Cette sanction fait suite à ses critiques publiques de la stratégie et de la direction de LFI, et notamment contre son leader.

Attal veut Mélenchon pour le débat télévisé de mardi

 Attal veut Mélenchon pour le débat télévisé de mardi sur TF1

Ce débat aura lieu mardi 25 juin à partir de 21 heures et sera en direct. Il opposera Manuel Bompard pour le Nouveau Front populaire (NFP), Gabriel Attal pour la majorité présidentielle sortante et Jordan Bardella pour le Rassemblement national (RN). Mais , Gabriel Attal exige que Jean-Luc Mélenchon «prenne part à la campagne électorale» et soit présent à la place de Bompart.

Le 23 mai, Jordan Bardella, 28 ans, et Gabriel Attal, 35 ans, s’étaient fait face, sur France 2, dans un débat centré sur l’Europe mais qui avait largement débordé sur des questions de politique intérieure. Le troisième homme de la soirée sera l’insoumis Manuel Bompard, 38 ans, coordinateur de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône dans la circonscription occupée avant lui par Jean-Luc Mélenchon. Le 13 juin, le fondateur de LFI avait refusé de participer à un débat avec Gabriel Attal et Jordan Bardella, se rangeant derrière les chefs de partis.

 

Le président du RN, le premier ministre et le coordinateur de la France insoumise doivent débattre mardi soir sur TF1. «Par clarté», Gabriel Attal exige que Jean-Luc Mélenchon «prenne part à la campagne électorale».

La petite phrase de Jean-Luc Mélenchon, qui a confié samedi sur France 5 avoir «l’intention de gouverner ce pays», aiguise l’appétit de Gabriel Attal. Le chef de file des macronistes exige que «par clarté» l’Insoumis «confronte son programme et prenne part à la campagne électorale» dont ce débat, a-t-il déclaré dimanche soir au Figaro.

À commencer par le débat télévisé qui opposera mardi soir sur TF1 les trois représentants des principales alliances en lice aux législatives anticipées. «Je lui propose de débattre de nos projets. Jean-Luc Mélenchon a réaffirmé son souhait d’être premier ministre et de diriger le pays. Dans ces conditions, il devrait venir débattre avec moi comme le fait Jordan Bardella (le président du Rassemblement national, NDLR). Plutôt que d’envoyer son porte-parole, Manuel Bompard (le coordinateur de la France insoumise, NDLR)», a précisé Gabriel Attal.

Mélenchon : un boulet pour 80 % des Français

Mélenchon : un boulet pour  80 % des Français

D’après un sondage réalisé par Odoxa-Backbone Consulting pour  Le Figaro 79 % des sondés estiment que le chef de file de La France insoumise représente un handicap pour le Nouveau Front Populaire lors des élections législatives du 30 juin et 7 juillet prochains. Un sentiment largement partagé par les électeurs de droite, mais aussi à gauche. Près de 87 % des sympathisants du Parti socialiste et des écologistes sont également de cet avis.

38 % des personnes interrogées ont une bonne opinion du Rassemblement national. Un chiffre plus avantageux que celui de La France insoumise, rejeté par 78 % des Français. Jordan Bardella, le patron du RN, profite, lui, d’une bonne image auprès de 40 % des sondés et 71 % le voient comme un atout pour son camp.

Qui de Jean-Luc Mélenchon ou Jordan Bardella ferait un bon Premier ministre ? 39 % penchent en faveur du président du Rassemblement national, contre 15 % pour Jean-Luc Mélenchon.

Programme Front populaire: un coût de 200 milliards d’après Mélenchon

Programme Front populaire: un coût  de 200 milliards d’après Mélenchon

 

Selon les calculs de coin de table de Mélenchon et de son parti, le programme du nouveau Front populaire provoquerait 200 milliards d’euros de dépenses sur cinq ans qui théoriquement doivent être équilibrés par 230 milliards de recettes nouvelles liées à la croissance. Des recettes évidemment très hypothétiques car si la France perd en compétitivité, il faudra s’attendre à une détérioration de l’activité générale et donc des recettes fiscales.

Notons cependant que Mélenchon n’est pas le seul à faire dans la fuite en avant des dépenses et des déficits. Pour le programme du Front National on envisage un cout des annonces surtout sociales de l’ordre 200 milliards et pour Gabriel Attal de 25 à 50. On objectera juste titre qu’il s’agit de calculs approximatifs d’autant que les promesses de campagne sont ensuite rarement suivies des effets annoncés

« Selon les calculs de notre parti, à horizon cinq ans, il y aura un total de 200 milliards d’euros de dépenses publiques et 230 milliards de recettes pour l’État. Comment? Par un coup de fouet à l’activité. La dépense sociale crée du bien-être, lequel permet la consommation, qui, elle, produit de l’emploi et des recettes fiscales », estime le fondateur de LFI.

Mélenchon : handicap pour 80 % des Français

Mélenchon : handicap pour  80 % des Français

D’après un sondage réalisé par Odoxa-Backbone Consulting pour  Le Figaro 79 % des sondés estiment que le chef de file de La France insoumise représente un handicap pour le Nouveau Front Populaire lors des élections législatives du 30 juin et 7 juillet prochains. Un sentiment largement partagé par les électeurs de droite, mais aussi à gauche. Près de 87 % des sympathisants du Parti socialiste et des écologistes sont également de cet avis.

38 % des personnes interrogées ont une bonne opinion du Rassemblement national. Un chiffre plus avantageux que celui de La France insoumise, rejeté par 78 % des Français. Jordan Bardella, le patron du RN, profite, lui, d’une bonne image auprès de 40 % des sondés et 71 % le voient comme un atout pour son camp.

Qui de Jean-Luc Mélenchon ou Jordan Bardella ferait un bon Premier ministre ? 39 % penchent en faveur du président du Rassemblement national, contre 15 % pour Jean-Luc Mélenchon.

Législatives – Les boulets de la campagne- Macro, Mélenchon, Ciotti

Législatives – Les boulets de la campagne- Macro, Mélenchon, Ciotti

La dissolution précipitée souligne les faiblesses de certains courants et de certains responsables au point même que les plus hauts dirigeants apparaissent aujourd’hui comme des boulets pour leur propre organisation voire pour la démocratie.

Le boulet le plus encombrant est sans conteste désormais le président de la république qui évidemment n’a encore pas compris que chaque parole prononcée constitue un argument supplémentaire pour voter RN chez beaucoup d’électeurs. Non pas que les paroles de Macron manquent toujours de pertinence. Le problème c’est qu’il n’est plus ni entendu, ni écouté. Sa posture jupitérienne, sa suffisance ne suscite désormais que rejet et même haine. Cela vaut pour l’ensemble de la population ou presque y compris dans son propre camp. S’y ajoutent des contradictions flagrantes liées au « en même temps « ,  idéologie fumeuse et dangereuse. Dans la majorité présidentielle actuelle, la plupart des responsables eux-mêmes souhaitent désormais que le président se taise.

Dans l’opposition de gauche Mélenchon est évidemment le boulet le plus lourd à porter. Chaque fois qu’il s’exprime lui aussi  provoque réprobation y compris chez ses pairs. Par exemple quand il annonce son éventuelle candidature à Matignon. Chez lui aussi trop de discours tue le discours sans parler évidemment de ses méthodes staliniennes et de ses positionnements politiques.

Autre boulet, celui de Monsieur Ciotti qui pèse évidemment sur le parti LR. Un Ciotti rallié au RN dans la nuit de publication des résultats des Européennes pour sauver son poste de député à Nice et qui se voit même ministre de l’intérieur !  Il n’est pas certain que la manœuvre politicienne de Ciotti rendre  service au RN car l’intéressé ne brille pas par son intelligence, sa stature et son honnêteté.

Avec cette dissolution précipitée en tout cas Macron a réussi à organiser un  » beau bordel » dans le pays estime même des responsables de la majorité.

On pourrait évidemment citer d’autres boulets qui constitue autant de contradictions et de risques pour le pays

Législatives–Mélenchon justifie sa purge

Législatives–Mélenchon justifie sa purge

Pas d’état d’âme du côté de Mélenchon qui justifie sa purge en éliminant des opposants y comprit les responsables historiques. Au nom du renouvellement ! Et pas d’appel possible  possible puisque statutairement Mélenchon décide seul du bouclage des investitures.

Le parti d’extrême-gauche n’a donc pas réinvesti cinq sortants dont Alexis Corbière, Raquel Garrido et Danielle Simonnet, des compagnons de route historique de Jean-Luc Mélenchon. Leur tort ? L’avoir critiqué en public. D’aucun, à l’instar de l’Insoumis François Ruffin ou l’écologiste Marine Tondelier, y ont vu une «purge».

Par contre, vis-à-vis de François Hollande au Nouveau Front populaire, et à sa candidature en Corrèze, Jean-Luc Mélenchon s’est montré satisfait. «Tout renfort est le bienvenu pour battre le Rassemblement national.

Son de cloche totalement différent pour le coordinateur du parti Manuel Bompard, qui a jugé sur BFMTV «incongrue et absolument incohérente» la candidature de François Hollande.

Politique-Mélenchon, Candidat premier ministre !

Politique-Mélenchon,  Candidat premier ministre !

 

Invité du JT de France 2 ce mercredi 12 juin, Jean-Luc Mélenchon affirme se « sentir capable » d’aller à Matignon, tout en affirmant n’être candidat « à rien du tout » et appelant à « attendre » le résultat des élections.(info BFM)

Le leader insoumis a assuré soutenir la proposition faite par le socialiste Olivier Faure: « c’est le groupe parlementaire le plus important qui propose » son candidat, ce qui ne revient pas à « imposer », a-t-il précisé.

Les alliés socialiste, communiste et écologiste de La France insoumise ont déjà tous assuré que l’union de la gauche autour d’un « front populaire » pour les législatives anticipées ne se ferait pas derrière Jean-Luc Mélenchon, lui préférant une « personnalité consensuelle ».

« Il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » de l’union de la gauche pour Matignon, en cas de majorité à l’Assemblée, a prévenu le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur TF1, rappelant que pendant la campagne des européennes « certains mots sont restés en travers de ma gorge ».

Selon le député, « il y avait une espèce d’évidence » lors des précédentes législatives car le leader insoumis avait fait 22% à la présidentielle. Mais dimanche, « c’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête de la gauche », a-t-il complété.

Jean-Luc Mélenchon? « Il n’était pas dans les discussions, nous sommes en train de construire autre chose », a abondé le patron des communistes Fabien Roussel sur France2, dont l’inimitié avec l’ancien triple candidat à la présidentielle est notoire.

De son côté, la députée écologiste Sandrine Rousseau a défendu le choix d’une « personne consensuelle » pour mener la campagne du « front populaire ».

« La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord », a-t-elle expliqué sur LCI, évoquant les noms de l’insoumis François Ruffin ou de l’ancien dirigeant de la CFDT Laurent Berger, déjà évoqué par Raphaël Glucksmann.

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