Archive pour le Tag 'Mélenchon'

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Sondage : Mélenchon, c’est la gauche pour les français

Sondage : Mélenchon, c’est la gauche  pour les français

 

On ne vote pas nécessairement pour lui, pourtant c’est Mélenchon qui représente  la vraie gauche. Pour 29% des personnes interrogées par BVA, le co-président du parti de gauche est en effet la personnalité symbolisant le mieux la gauche. Derrière lui, Martine Aubry convainc 25 % des sondés contre 23% pour Manuel Valls. Mais chez les sympathisants de gauche, la maire de Lille devance très légèrement Jean-Luc Mélenchon (33 % contre 32 %) quand le Premier ministre arrive loin derrière (16%). Quant à François Hollande et Arnaud Montebourg, crédités respectivement de 8% et 6%, ils peuvent difficilement rivaliser. Un écart qui se confirme au sein des sympathisants de gauche puisque le président arrive 7 points derrière le chef du gouvernement alors que le ministre de l’Economie enregistre 10 points de moins que Manuel Valls. Mais c’est surtout l’ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot, qui fait figure de grande perdante du classement BVA. Elle arrive en dernière position avec seulement 1 % de convaincus (2% chez les sympathisants de gauche).  Selon ce même sondage, 45% des Français et 52% des sympathisants de gauche approuvent une possible alliance des députés socialistes frondeurs aux écologistes et communistes pour s’opposer ou s’abstenir sur les prochains textes budgétaires.

« Retournement » : Hollande a consulté une voyante (Mélenchon)

« Retournement » : Hollande a consulté une voyante (Mélenchon)

« Réaction de Mélenchon au « retournement » : « Hollande a du consulter une voyante ! . « Ce n’est pas possible (…) Je désapprouve une nouvelle fois le recours aux méthodes d’illusionniste ». C’est ainsi que Jean-Luc Mélenchon a qualifié le retour de la croissance annoncé dimanche par François Hollande qui a notamment déclaré, cité par « Le Journal du Dimanche » : « On est entrés dans la deuxième phase du quinquennat, le redressement n’est pas terminé, mais le retournement économique arrive», « Tous les clignotants sont au rouge et lui ne les voit pas », a encore affirmé le coprésident du Parti de Gauche qui a ajouté que « de la manipulation, il y en a toujours eu chez lui, c’est quasiment une seconde nature (…) Je l’ai toujours connu dans cet aspect de duplicité permanent ». « Il a dû aller voir une voyante (…) on ne demande pas à un gouvernement ni au président de la République de faire des prévisions, on leur demande de gouverner », a commenté de son côté le député UMP, Henri Guaino, sur iTélé. « C’est le grand bluff de François Hollande saison 3, après le redressement dans la justice qui s’est traduit par un matraquage fiscal sans précédent, après l’inversion de la courbe du chômage qui finalement ne s’est pas inversée. », a estimé quant à elle l’ex-ministre UMP du Budget Valérie Pécresse. Ce dimanche, François Bayrou a lui parlé de « pensée magique ». Selon le président du MoDem, « Il y a 20 ou 25 ans qu’on a entendu vingt formules qui vont dans le même sens », a-t-il dit en citant « le bout du tunnel » de Pierre Mauroy, Premier ministre de 1981 à 1984. « Je ne crois pas que la question des difficultés économiques de la France soit une question de météorologie européenne ou internationale (…) Ce n’est pas le vent qui manque, c’est le bateau qui n’est pas en état de prendre le vent si le vent vient », a ajouté le maire de Pau.

La manipulation chez Hollande, une seconde nature (Mélenchon)

La manipulation chez Hollande, une seconde nature (Mélenchon)

 

« Un bilan consterné ». L’anniversaire des deux ans de l’élection de François Hollande amène Jean-Luc Mélenchon à un constat amer. Le coprésident du Parti de Gauche lui reproche l’ensemble de sa politique. « Je connaissais François Hollande idéologiquement, je savais qu’il était éloigné de l’idée de départ du socialisme », déplore Jean-Luc Mélenchon. Pis, le candidat à la présidentielle de 2012 considère que le Président « mène une politique économique de droite ». Il ajoute : « On pouvait penser qu’il était social-démocrate, il ne l’est pas ». Au rang des griefs viennent s’ajouter des critiques concernant l’ensemble de la méthode du chef de l’Etat. « Il dit des choses qui n’ont aucun rapport avec la réalité. Il y a toujours eu de la manipulation en lui, c’est une seconde nature ». Et Jean-Luc Mélenchon de rappeler le jour où François Hollande s’était fait passer pour un homme de droite, en 1983, et d’affirmer que le président de la République a écrit « un livre de Max Gallo » : « J’ai toujours connu cette duplicité ».

 

Ecoutes : » Hollande était « informé »(Mélenchon)

Ecoutes : » Hollande était « informé »(Mélenchon)

Dimanche soir, dans l’émission Tous politiques diffusée sur France Inter et France24, Jean-Luc Mélenchon est revenue sur la semaine de polémiques autour de l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy. Le coprésident du Parti de gauche (PG) s’est dit « certain » que François Hollande était « parfaitement informé » de ces écoutes judiciaires.  »Personne ne nous fera croire que les écoutes démarrent et personne n’est au courant dans les rouages de l’Etat? Si c’est vrai, alors c’est que ce sont des irresponsables absolus », a-t-il ainsi déclaré Jean-Luc Mélenchon. « Si j’ai une certitude, c’est celle-là. Il était parfaitement informé, il était au courant », a encore martelé Jean-Luc Mélenchon en évoquant le président de la République. Interrogé pour savoir s’il pensait que François Hollande et Jean-Marc Ayrault mentent lorsqu’ils disent qu’ils n’étaient pas informés, Jean-Luc Mélenchon a répondu : « Oui bien sûr, ce n’est pas grave, c’est habituel, ils mentent tout le temps. » « Les rois des menteurs, c’est eux. Ils avaient dit qu’ils renégocieraient le traité européen, ils ne l’ont pas fait; ils ont dit qu’ils feraient la retraite à 60 ans, ils ne l’ont pas fait », a-t-il enchaîné avant de s’en prendre également à Manuel Valls.  »Les officiers de police judiciaire sont placés sous l’autorité du juge qui prend la décision mais la voix hiérarchique c’est toujours la police nationale. Bien sûr que tous ces gens savaient », a-t-il conclu après avoir précisé qu’il ne demandait pas pour autant la démission de Christiane Taubira.

 

Notre Dame des Landes : le projet sera abandonné (Mélenchon)

Notre Dame des Landes : le projet sera abandonné ( Mélenchon)

Il a raison Mélenchon, le projet de Notre dame des Landes sera abandonné dès que Ayrault ne sera plus Premier ministre ; Aucun autre gouvernement ne voudra s’encombrer de ce dossier contesté et contestable. Le futur gouvernement aura assez à faire ailleurs. Invité ce lundi de France Info, le co-président du Parti de gauche est revenu sur la polémique entre le Premier ministre, le PS et les Verts à propos de Notre-Dame-des-Landes. Il parle d’une perte de temps car selon lui ce projet d’aéroport sera abandonné quand Jean-Marc Ayrault quittera Matignon, « bientôt ». « Pour ma part j’ai participé à une manifestation tranquille, je n’ai rien vu de ces violences » assure Jean Luc-Mélenchon.  Et le co-président du Parti de gauche assure que « ce n’est pas un évènement sans racines. Il s’est installé un climat dont Manuel Valls est le responsable. Lorsqu’il a fallu évacuer la zone du projet d’aéroport, les ordres qu’il a donnés étaient d’une dureté incroyable. Il y a des scènes d’une violence terrible dans les bois, des médecins avaient parlé d’état de guerre ». Mais pour Jean-Luc Mélenchon, ce n’est pas le sujet. Le sujet c’est ce projet d’aéroport : « Je suis contre, des tas de gens sont contre. Cet aéroport est absurde. C’est de l’obstination de la part de Jean-Marc Ayrault. Tout le monde le sait. Et l’aéroport cessera le jour où Jean-Marc Ayrault ne sera plus Premier ministre, bientôt ». Et le co-président du Parti de gauche de dénoncer l’attitude de Jean-Marc Ayrault à l’égard des partis de la majorité : « Il a une mentalité qui est comme ça, il fait de la police politique. Tout le monde doit être en ordre, une seule tête. Il a l’habitude de nous traiter tous d’une manière insupportable… »

 

Conseil stratégique de l’attractivité, « le café du commerce » ( Mélenchon)

Conseil stratégique de l’attractivité, « le café du commerce » pour Mélenchon

Jean-Marc Ayrault a reçu dimanche soir à Matignon les patrons de 26 entreprises internationales, à la veille de la tenue à l’Elysée d’un « Conseil de l’attractivité », a constaté une journaliste de l’AFP.   »Nous sommes heureux de partager avec vous, et de discuter de la richesse de vos expériences », a déclaré M. Ayrault, selon des propos rapportés par son entourage.   »L’investissement est, et a été, dès le départ, une priorité de mon gouvernement », a-t-il ajouté, précisant que son « ambition est que la France soit à la hauteur des grandes mutations du monde ».  Le Conseil stratégique de l’attractivité qui se tiendra lundi matin à l’Elysée a pour but de convaincre les patrons étrangers « que la France est un pays où l’on peut investir », avait expliqué vendredi le ministre de l’Economie Pierre Moscovici.  L’objectif est de « leur expliquer tout ce que nous faisons sur la compétitivité, sur la simplification, sur l’amélioration de l’environnement réglementaire et fiscal », avait-il dit.  Selon M. Moscovici, le message de François Hollande, qui a été celui de sa visite aux Etats-Unis, est de dire que « la France est un pays dans lequel on peut avoir confiance ».  . « Réunir des grands patrons en disant aujourd’hui ‘c’est la journée de l’attractivité’, c’est le café du commerce ce  truc », a  ironisé Mélenchon sur BFM.

« La presse va mal, c’est bien fait » (Mélenchon)

« La presse va mal, c’est bien fait » (Mélenchon)

Mélenchon s’en prend à la perse complaisante. Il a raison car le spectacle qu’a donné cette presse institutionnelle en particulier lors de la conférence de presse de Hollande est lamentable ; ce n’est plus de la complaisance c’est de la complicité. On a même vu des journalistes qui tremblaient en posant pourtant des questions pourtant bien ampoulées. Une presse unanime pour féliciter Hollande aussi bien sur l’affaire Dieudonné que sur son virage pseudo social démocrate. Résultat, 73 % des français ont considéré que toute le gouvernement en a fait beaucoup trop sur cette affaire du comique  (notamment en s’attaquant à la liberté d’expression) ; et Valls dégringole dans les sondages ; depuis, silence dans la presse ! C’est le même résultat sur le fantastique virage de Hollande, 25% seulement lui font confiance. La presse va mal, c’est sûr parce qu’elle ne procède pas à des analyses (quitte  se tromper évidemment) mais se contente de reprendre les propos à la mode dans les salons parisiens et les dépêches officielles.Qui parle aujourd’hui par exemple de l’abandon par Hollande de son objectif d’inversion du chômage. ? Pour ses vœux à la presse, Jean-Luc Mélenchon a lui gardé le verbe tranchant et les attaques ciselées. La presse, d’abord.  « Elle va très mal, mais pour une partie d’entre elle, c’est bien fait », a-t-il commencé afin d’installer une ambiance détendue. Sans un mot sur la droite, il a ensuite ciblé, comme à son habitude, le gouvernement. En remerciant cette fois la presse d’avoir poussé Hollande à faire son « coming out libéral ». « Il ne pouvait pas donner le sentiment de tromper tout le monde la même semaine », a-t-il ajouté dans une allusion à la vie privée d’Hollande. Toujours soucieux de décoller les écolos du PS, il est revenu sur une des phrases marquantes du discours d’Hollande : « Oser dire que c’est l’offre qui crée la demande, il n’y a aucun écologiste qui peut accepter ça ». Et d’ajouter sur l’orientation du gouvernement : « Comment une politique pareille pourrait produire autre chose que du chômage? ». Pour lui, Hollande ne fait « pas le choix des entreprises mais du capital ».

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Affaire Gayet : Hollande en Tartuffe (Mélenchon)

Affaire Gayet : Hollande en tartuffe  (Mélenchon)

 

 Ce n’est pas tant l’affaire en elle même qui pose problème mais ce qu’elle dit de la psychologie de Hollande qui d’après Mélenchon « pense toujours rouler tout le monde «. Une affaire qui aura des conséquences politiques plus graves qu’il n’y parait. Hollande fait en effet parti de cette élite qui ne doute pas de la légitimité de son pouvoir, de ses droits, de se privilèges. , ils  lui sont dus  comme les doits de l’ancienne aristocratie remplacée désormais par l’oligarchie. Quelle idée d’avoir installé sa compagne à l’Elysée alors qu’il n’est pas marié, le mariage pour tous c’est pour les autres, pas pour lui. Pour ensuite la tromper avec une comédienne ; qui va-t-il installer à l’Elysée, la mère de ses enfants, sa compagne répudiée ou sa nouvelle maîtresse. Finalement le fait en lui même n’a que peu d’intérêt tellement ce statut de Première Dame est désuet, ce qui importe c’est la manière dont se comporte Hollande , comme un spécialiste de l’enfumage  Le monde politique français s’inquiète donc des conséquences politiques de la liaison présumée entre François Hollande et la comédienne Julie Gayet, qui a franchi un nouveau cran avec l’hospitalisation de sa compagne, Valérie Trierweiler. La séparation entre vie publique et vie privée, traditionnellement mise en avant en France pour excuser les frasques des dirigeants politiques et invoquée lors de la publication des photos de Closer vendredi, est de moins en moins évoquée, dans l’opposition comme dans la majorité. Si les membres du gouvernement et les dirigeants du Parti socialiste, parti du chef de l’Etat, s’y accrochent encore, le relatif consensus qui traversait jusqu’ici tout le spectre politique français est en train de craquer. Officiellement, le ton reste détaché au PS, où l’on espère que la grande conférence de presse que donnera mardi François Hollande ne sera pas polluée par « l’affaire ». « Quand on demande aux Français si cela a une incidence sur leur jugement sur la politique, ou sur un gouvernement, ils disent ‘non’ », a dit lundi le porte-parole du parti, David Assouline, lors d’une conférence de presse. « Je suis d’accord avec eux : il faut que ce grand moment politique reste un grand moment politique. » Mais en privé, une certaine panique est perceptible. « Les dégâts vont être considérables, ce sera un des marqueurs majeurs du quinquennat », dit un député socialiste. « La vie privée du président de la République, ça n’existe pas. » Le président de l’UMP, Jean-François Copé, a été un des premiers à ouvrir le feu, dimanche, en jugeant cette affaire « désastreuse pour l’image de la fonction présidentielle ». Le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, a pour sa part accusé le chef de l’Etat de « tartufferie ». « Tartuffe il l’est. Il est surtout victime de cette habitude de penser qu’il peut rouler tout le monde », a déclaré lundi ce chef de file du Front de gauche à LCI et Radio Classique. Avec lui, « la tartufferie est permanente », a-t-il insisté. « On voit bien qu’il y a un impact public au moins sur un plan : ça nous intéresse, la sécurité du président. On ne peut pas considérer que c’est son affaire privée de savoir s’il est en sûreté ou pas », a poursuivi Jean-Luc Mélenchon. Pour lui, un dirigeant à ce niveau doit savoir « bâtir un équilibre » entre « passions » et devoirs et François Hollande devrait être « davantage habité » par sa fonction ». « Ça continue d’affaiblir une fonction qui est déjà à terre », a estimé en écho le vice-président du Front national, Florian Philippot, sur France 2. « Et puis c’est vrai qu’au niveau international ça n’est pas très bon pour l’image de la France. Il faut qu’on tourne cette page assez vite. » Certes, 77% des Français interrogés par l’Ifop pour le Journal du Dimanche estiment que cette « affaire privée » ne concerne que François Hollande. Mais ce sondage a été effectué avant l’annonce de l’hospitalisation de Valérie Trierweiler. En dehors des questions de sécurité, est également posée la question du statut de la compagne du président, qui a endossé depuis le début du quinquennat le costume de « Première dame », occupe des bureaux à l’Elysée et accompagne le chef de l’Etat dans de nombreux déplacements en France et à l’étranger. L’entourage de cette journaliste a confirmé qu’elle avait été hospitalisée vendredi à la suite de la publication par le magazine « people » Closer de photographies donnant consistance à des rumeurs vieilles d’un an. Selon son cabinet, cette hospitalisation durera le temps qu’il faudra. « Elle a besoin de récupérer après le choc qu’elle a subi. Il lui faut de la tranquillité. »Selon le journaliste du Parisien Frédéric Gerschel, qui l’a contactée par téléphone dans la clinique parisienne, Valérie Trierweiler « est très sonnée, apparemment ». « Elle sent qu’il est tout à fait nécessaire d’avoir une clarification car on voit maintenant que le débat est un peu politique », a-t-il déclaré à RTL. « Il y a aussi un aspect argent public », a ajouté Frédéric Gerschel. « Il est clair que si elle n’est plus Première dame, elle a tout à fait conscience qu’elle ne peut pas continuer à avoir un cabinet à l’Elysée. » Tous les analystes politiques s’accordent à estimer que les révélations de Closer et leurs suites pèseront lourdement sur la conférence de presse que François Hollande doit donner mardi. Le chef de l’Etat devait la consacrer à l’explication du nouveau tour qu’il entend donner à sa politique économique, avec notamment la promesse d’un « pacte » avec les entreprises prévoyant des baisses de charges contre des embauches. Plusieurs centaines de journalistes se sont fait accréditer et personne ne doute que la question de ses relations avec Julie Gayet et des suites qu’il entend leur donner sera posée.

 

« Hollande a parlé. Les huîtres baillent! », (Mélenchon)

« Hollande a parlé. Les huîtres baillent! », (Mélenchon)

 

Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, a ironisé sur les vœux aux Français de François Hollande en tweetant : « les huîtres baillent ! Passons aux choses sérieuses : à taaable ! ». « Hollande a parlé. Les huîtres baillent ! Passons aux choses sérieuses : à taaable ! », a tweeté Jean-Luc Mélenchon juste après les voeux radio-télévisés du président de la République, depuis l’Equateur où il est en déplacement.  Mes voeux pour cette année : qu’ils s’en aillent tous. Viennent les jours heureux et le temps des cerises ! », a-t-il encore tweeté quelques heures plus tard.  L’année dernière, Jean-Luc Mélenchon avait présenté ses « anti-voeux » dans lesquels il étrillait François Hollande avant la diffusion des voeux présidentiels.

Sondage Mélenchon handicap pour la gauche… et Hollande ?

Sondage Mélenchon handicap pour la gauche… et Hollande ?

 

 

Curieux sondage qui consistent à demander aux français si Mélenchon est un handicap pour la gauche. Comme il critique le gouvernement la réponse est sans surprise, d’autant que Mélenchon  fait rarement dans la dentelle. . Une forte majorité de Français (72%) considère que Jean-Luc Mélenchon est « plutôt un handicap pour l’ensemble de la gauche » et à 61% qu’il a « tort d’employer des formules trop rudes », selon un sondage BVA pour l’émission CQFD Si les criques de Mélenchon sont effectivement un handicap, le véritable problème c’est Hollande. A quand un sondage pensez-vous que Hollande est le principal handicap pour la gauche ? La réponse est sans doute trop évidente pour être posée !

Hollande : un homme du passé dans sa tour d’ivoire (Mélenchon)

Hollande : un homme du passé dans sa tour d’ivoire  (Mélenchon)

Comme on lui demandait sur France 5 si le président Hollande, qui bat des records d’impopularité, pouvait encore tenir trois ans et demi à l’Elysée, M. Mélenchon a tenté d’éluder : « Ce personnage passera (…) je ne m’occupe pas de lui ».  Puis, relancé sur la crédibilité de celui qu’il avait qualifié de « capitaine de pédalo » pendant la campagne présidentielle, l’ex-candidat du Front de gauche a lâché: « Cet homme se trompe, il est d’une autre époque, il arrive tout droit… il est sorti du frigidaire des années 70-80″.  Et d’enchaîner: « Il croit qu’en mettant les comptes d’aplomb d’après les exigences de la finance internationale tout va aller bien et qu’il va passer entre les gouttes, ce monde-là est fini, il faut qu’il le comprenne, nous sommes dans des rapports de force qu’il faut traiter d’une manière civilisée et ne pas éviter ».  Vous pensez qu’il est dans une tour d’ivoire et ne voit rien des effets de la crise ? « Absolument ! Rien ! Et il est entouré de technocrates qui n’ont aucune espèce de conviction politique et qui ont une calculette dans la tête », a répondu Jean-Luc Mélenchon.   »Il s’est entouré de banquiers, de hauts techniciens ce n’est pas comme ça qu’on dirige la France (…) ! », a-t-il ajouté, « il faut tracer une ligne d’horizon. Que faisons-nous, nous les Français, à part payer les dettes ? C’est quoi notre but dans la vie ? Autrefois on a fait le train à grande vitesse, on a fait la fusée, moi j’ai proposé l’économie de la mer comme espace de développement. Bon sang mais il faut un peu avoir de l’ambition, pas simplement regarder la pointe de ses chaussures et espérer passer entre les gouttes à chaque manifestation! »

 

Municipales: le PCF en désaccord avec Mélenchon veut sauver les meubles

Municipales: le PCF en désaccord avec Mélenchon veut sauver les meubles

Le PC pour les municipales veut surtout sauver ce qui reste  qui reste des meubles, donc s’allier là où c’est possible avec le PS ; Du coup désaccord avec Mélenchon qui ne veut d’une alliance avec le PS qu’au deuxième tour. « Nous n’avons pas tout à fait la même appréciation des choses sur la conduite de listes au premier tour mais sur le rassemblement de la gauche au deuxième, je pense que nous pouvons tomber d’accord », a-t-il dit, interrogé par i>TELE.  Assurant que le PCF était « en position dans beaucoup d’endroits de conduire des listes », le numéro un communiste a expliqué que ce serait fait en priorité « là où nous avons des maires ».  Il a ajouté que son parti entendait également « participer à la constitution de rassemblements de gauche », vraisemblablement avec le PS, le but étant de ne « pas laisser la gestion des communes, surtout dans cette période, à la droite et à l’extrême droite ».  A Paris, le PCF présentera ses chefs de file aux municipales le 9 septembre et les militants voteront en octobre sur la stratégie. Ils auront à choisir entre une alliance avec le PS dès le premier tour, comme en 2001 ou en 2008, ou des listes communes avec le PG, son allié au sein du Front de gauche.  Le PG a d’ores et déjà annoncé qu’il ne se rangerait pas derrière le PS au premier tour des municipales parisiennes, et présenté son chef de file dans la capitale, la conseillère de Paris Danielle Simonnet.

Mélenchon : »Si Mr Barroso est le carburant, Mr Hollande est le pompiste »

Mélenchon : »Si Mr Barroso est le carburant, Mr Hollande est le pompiste »

 

Jean-Luc Mélenchon, le co-président du Front de Gauche répond à la charge d’Arnaud Montebourg contre José Manuel Barroso. Le ministre français accuse le président de la Commission d’être « le carburant du Front national », pour Jean-Luc Mélenchon c’est le gouvernement « qui sème de la désespérance ».

 

Mélenchon : les allemands sont pauvres

Mélenchon : les allemands sont pauvres

Jean-Luc Mélenchon, coprésident du Parti de gauche, a déclaré dimanche qu’aujourd’hui « personne » n’avait « envie d’être allemand », critiquant un modèle germanique qu’il juge fait « pour ceux qui ne s’intéressent pas à la vie ». Interrogé sur des propos de Luc Chatel (UMP) comparant les démographies en Allemagne et en France, Jean-Luc Mélenchon a déclaré : « On est quand même content d’avoir des gosses. Dans quinze ans nous allons être plus nombreux que les Allemands. » Jean-Marc Ayrault a divisé par deux le nombre de places de crèche promises par François Hollande.Jean-Luc Mélencho Avant d’ajouter : « Mais pour ceux qui s’intéressent à la vie personne n’a envie d’être allemand. Ils sont plus pauvres que la moyenne, ils meurent plus tôt que les autres, ils n’ont pas de gosse et leurs immigrés foutent le camp parce qu’ils ne veulent plus vivre avec eux, c’est dire », a ajouté l’eurodéputé interrogé dans l’émission « Tous politique » sur France Inter avec l’AFP et Le Monde.   »La politique familiale c’est comment on fait en sorte que nos mômes soient bien accueillis, qu’on puisse bien s’en occuper et qu’en même temps les femmes puissent protéger leur autonomie professionnelle« , a-t-il dit, estimant que la situation « va se dégrader furieusement ». « Le Premier ministre Ayrault a annoncé 275.00 places de crèche et aussitôt, la cour des réjouis d’applaudir. Personne ne s’apercevant qu’il a divisé par deux le nombre de places de crèche promises par François Hollande« , a-t-il dénoncé.

 

Mélenchon : période d’essai terminée pour Hollande

Mélenchon : période d’essai terminée pour Hollande

De la place de la Bastille à celle de la Nation, grand classique des défilés de la gauche en France, une « marche citoyenne » réunissait dans l’après-midi 180.000 manifestants, selon Jean-Luc Mélenchon qui avait affirmé vendredi que ce serait « un triomphe » si le cortège regroupait 100.000 personnes. La préfecture de police l’a évalué à « 30.000″.  Une divergence de chiffrage qui a mis le feu aux poudres entre M. Mélenchon et Manuel Valls (Intérieur), le premier décrivant le second comme « aux abois » et le second accusant le premier d’être « un théoricien du complot ».  Depuis l’élection de François Hollande il y a un an, le 6 mai 2012, il s’agissait de la première grande manifestation à l’appel d’une partie de la gauche, une initiative dénoncée en termes vifs par des ministres et dirigeants du PS, pour qui Jean-Luc Mélenchon instille au sein de la gauche le poison de la division.  Aux troupes du PCF et du Parti de gauche s’était jointe une foule de personnalités, dont Eva Joly (EELV), candidate des écologistes en 2012 qui avait remis ses lunettes vertes de la campagne présidentielle, et le médecin urgentiste Patrick Pelloux.  Le fondateur du site Médiapart, Edwy Plenel, dont la participation avait été annoncée par les organisateurs dans une liste d’une centaine de personnalités, a précisé à l’AFP avoir suivi la manifestation « en tant que journaliste » et non pas comme participant.  Le NPA d’Olivier Besancenot était là, mais avec ses propres mots d’ordre.  Les drapeaux rouges flottaient place de la Bastille où l’on pouvait compter quelques balais en référence à l’expression « coup de balai » de Jean-Luc Mélenchon. Sur les pancartes, des slogans tels que « séparation du Medef et de l’Etat » ou « Hollande passe la 6e ».  Des drapeaux verts de EELV étaient également présents. « On voudrait que le changement s’incarne avec plus de rapidité et plus d’efficacité », a dit à la presse Sergio Coronado, seul député EELV présent, qui n’a « pas l’impression d’être déphasé avec la base » des militants écologistes.   »On n’a jamais intérêt quand on a été élu par un électorat de lui tourner si rapidement, si facilement le dos », a-t-il ajouté, précisant: « ce n’est pas une manifestation contre François Hollande, c’est une manifestation pour que le gouvernement change de cap ».  Sur un podium à Bastille, M. Mélenchon a affirmé, à propos du quinquennat Hollande, que « la période d’essai (était) terminée » et que « le compte n’y (était) pas » alors que les manifestants scandaient « résistance ! ».  Oeillets rouges à la boutonnière, foulard rouge autour du cou, il a accusé le président de ne pas respecter ses engagements de campagne. « Nous n’avons pas changé d’avis, nous ne voulons pas de la finance au pouvoir, nous n’acceptons pas les politiques d’austérité », a-t-il dit .  Derrière lui, des représentants des « entreprises en lutte » (Fralib, ArcelorMittal, Sodimedical, Carrefour, Prestalis, Air France, Sanofi…), qui ont ensuite pris place dans le cortège, derrière le carré de tête où étaient réunis les représentants du FG tels Clémentine Autain (la Phase), Marie-George Buffet (PCF) ou Christian Picquet (gauche unitaire).  Numéro 1 du PCF, Pierre Laurent, brins de muguet à la boutonnière, a déploré « une année gâchée pour le changement ». « Un an plus tard, c’est le gâchis et la colère », a-t-il insisté, refusant de se « rallier à l’idéologie de la défaite face aux forces de l’argent ». Cette « marche citoyenne », a-t-il dit, est « un appel à la remobilisation, un appel à reprendre le combat là où le gouvernement a trop vite renoncé ».  Quant à Mme Joly, dont le parti ne s’est pas associé à ce rassemblement, elle a invoqué « les dizaines de milliers de militants de la gauche et de l’écologie qui veulent que ça change maintenant, qui veulent que ça change vraiment ». Elle a demandé à François Hollande de « retrouver l’esprit du Bourget, lorsqu’il disait vouloir combattre le pouvoir de l’argent ».   »La manifestation n’est pas une mobilisation antigouvernementale, elle doit être un point d’appui pour mener une autre politique », a-t-elle dit.   »Nous avons chacun nos histoires, nos traditions politiques (…) Mais nous ne nous laisserons pas diviser ». Elle répliquait ainsi aux ministres et dirigeants du PS, qui accusent les organisateurs de la manifestation de « diviser la gauche » et s’en prennent à M. Mélenchon, qui avait donné pour mission à cette initiative de donner « un coup de balai » après le scandale Cahuzac.   »La politique, c’est toujours un rapport de force », a dit Martine Billard coprésidente du PG. « Nous voulons dire dans la rue qu’il y a une gauche dans ce pays et pas une gauche de résignation ».   »On sait qu’il y a des gens dans les couches populaires, chez les salariés (…) qui sont révoltés contre ce gouvernement et l’objectif (…) c’est de leur donner une perspective politique commune, (…) c’est une grande manifestation de la gauche anti-gouvernementale », a déclaré M. Besancenot.  Depuis Soustons (Landes), Harlem Désir (PS) a dénoncé la stratégie de « fracas » de M. Mélenchon. On « n’a pas besoin d’une gauche qui se déchire, on a besoin d’une gauche qui se rassemble dans l’action ».

 

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